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international - Page 992

  • USA : fêtes religieuses supprimées du calendrier scolaire après des pressions musulmanes

    Une école du Maryland a voté mardi dernier une suppression de toutes les références religieuses des jours chômés dans le calendrier scolaire, tels que Noël, Pâques, Yom Kippour et Rosh Hashana, répondant à la pression de chefs de la communauté musulmane.

    Ces derniers n’ont pas été apaisés par cette décision : elle est selon eux indélicate envers leur communauté qui attendait au contraire que l’on inscrive les fêtes musulmanes au calendrier.

    Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/

  • Cités françaises : le retour de la féodalité et du règne des seigneurs dealers ! - Par Adrien Abauzit

    Une énième fois une cité de la banlieue française s’est embrasée. Il était évident que ce type d’évènement se reproduise, de même qu’il est tout aussi évident qu’il se reproduira encore.

    Même une amélioration de la situation économique de la France n’y changerait rien.

    Pour en être convaincu, il suffit de comprendre le processus auquel nous assistons dans les cités, de banlieues et de certaines grandes villes, depuis plusieurs décennies.

    De nombreuses cités françaises sont des bastions d’économies parallèles. C’est un fait. Parler de la question de la délinquance, comme le font les tartufes qui nous gouvernent, sans évoquer l’économie parallèle, c’est volontairement passer à côté du problème.

    Les émeutes de Trappes, comme celle d’Amiens en 2012, celles de Villiers le Bel en 2007 et celles de 2005, n’avaient qu’un seul but. Un but identique à celui des caillassage de pompiers, d’ambulanciers, de médecins et de policiers.

    Ces émeutes ont pour but de faire reculer la frontière de l’autorité publique. De redélimiter les frontières à partir desquelles les dealers font la loi, à proprement parler, à la place de l’Etat français.

    Ces émeutes ne sont pas le fruit du hasard ou de la spontanéité. Le moindre prétexte est utilisé par les dealers pour embraser leur ville, car c’est à ce prix qu’ils annexent des territoires.

    Médusé, le peuple français assiste à la privatisation de l’espace public par des seigneurs de guerre. Ceci est l’exact reflet d’un processus que la France a déjà connu : l’émergence et le triomphe de la féodalité. En effet, entre le milieu du IXème siècle et le XIIème siècle, la France a vu son territoire s’atomiser au profit de seigneurs de guerres qui chassaient de leur futur fief toute autorité royale, afin d’imposer leur autorité.

    En clair, la féodalité est en train de faire son grand retour dans les cités françaises. L’analogie n’est pas trop forte. On retrouve des grandes familles régnantes. Du guetteur au dealer, qui est en relation avec le grand banditisme, on retrouve également différents statuts, différents grades.

    Si le gouvernement français le voulait, ce phénomène serait enraillé dans les vingt-quatre heures. L’Etat dispose de tous les moyens logistiques et techniques pour une telle opération. Alors pourquoi ne fait-on rien ?

    Diverses raisons l’expliquent selon l’auteur : crainte d’une explosion qui se terminerait en guerre civile, lâcheté et peut-être aussi corruption. Mais il se peut qu’il y ait un motif encore plus pervers : on laisse se développer cette néo-féodalité, car grâce à elle, naît une délinquance qui permet d’exercer une véritable stratégie de la tension sur le peuple. En effet, le peuple français baisse les yeux de nos jours devant les petites têtes blondes de nos racailles d’origines scandinaves et non devant une quelconque Tcheka.

    Un vieil adage dit que les rois ont fait la France. Il paraît incontestable que la République soit décidée à favoriser sa décomposition.

    Adrien Abauzit, 14.11.2014
    Billet initialement publié sur La Gauche m'a tuer

    http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/societe/1588-cites-francaises-le-retour-de-la-feodalite-et-du-regne-des-seigneurs-dealers-par-adrien-abauzit

  • L’Etat Islamique, un repaire d’apostats! Le parcours révélateur de Maxime, égorgeur en Syrie

    Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a indiqué aujourd’hui qu’il y avait une «très forte probabilité» qu’un Français apparaisse sur la vidéo de l’État islamique dévoilée hier matin et sur laquelle on voit des djihadistes égorger plusieurs prisonniers.

    Depuis hier, la vidéo propagandiste de l’Etat Islamique, qui montre l’égorgement monstrueux de 18 soldats syriens a rebondi vers une autre propagande plus insidieuse: un Français d’origine, converti à l’Islam, serait probablement l’un des égorgeurs. Tous les médias ne cessent de répéter que cet assassin serait issu d’une famille catholique. D’abord si c’est le cas qu’on cesse de le présenter comme converti, mais plutôt comme apostat, c’est le terme qui convient lorsqu’on voit la chose du point-de-vue catholique. Ensuite réfléchissons à l’enchainement des trahisons qui  conduisent des jeunes influençables à devenir les idiots utiles du mondialisme à travers l’Islam.

    Cette apostasie n’aurait jamais eu lieu sans la politique du Grand remplacement menée depuis la Présidence de Valéry Giscard d’Estaing en 1975 en France par les traîtres qui ont pris le pouvoir.  

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  • L’Unicef nie l’existence de traces de stérilisants dans les vaccins contre le tétanos

    Le "Friday fax" de C-Fam :

    "Dans une interview exclusive avec C-Fam, l’UNICEF a nié catégoriquement les allégations des évêques kenyans, selon lesquels des traces de traitement stérilisant auraient été trouvées dans des vaccins contre le tétanos. Le vaccin sponsorisé par l’UNICEF et l’OMS est camoufle un programme de contrôle démographique.

    Les agences de l’Onu ont publié cette semaine un communiqué de presse commun, dans lequel ils accusent les évêques kenyans de « désinformation », et d’avoir formulé des accusations « sans preuve ».

    Les évêques kenyans font campagne contre un vaccin néonatal contre le tétanos destiné à des femmes en âge de procréer. Il est financé par des agences, qui en ont fait, selon les évêques, un « programme de contrôle démographique camouflé ». Ces derniers appellent les kenyans à n’utiliser que les vaccins contre le tétanos les plus courants.

    Selon les évêques, quatre différents laboratoires ont testé le vaccin mis en cause et y ont trouvé l’hormone de la grossesse, la Beta-hCG. Combinée à un vaccin, celle-ci aurait pour effet de produire des anticorps si la femme vaccinée venait à produire cette hormone naturellement en début de grossesse. Le vaccin préviendrait donc l’implantation de l’embryon, pourrait causer des fausses couches, et également des problèmes de stérilité.Les évêques affirment qu’ils se devaient de mettre le public en garde, puisque le gouvernement ne l’avait pas fait.

    James Elder, représentant de UNICEF en Afrique, a déclaré au Friday Fax dans une interview exclusive que seules les femmes en âge de procréer avaient été ciblées car le programme protégeant les nouveau-nés et leurs mères vivant dans des régions reculées, où les enfant naissent dans des conditions « non hygiéniques ». La protection des nouveau-nés, a-t-il expliqué, est assurée pendant plusieurs semaines après la naissance.

    James Elder explique par ailleurs que le statut juridique du vaccin dans le pays a pour objectif de protéger les nouveau-nés, concernés par la plupart des nouveaux cas de tétanos au Kenya. Il est destiné aux femmes vivant dans des régions rurales, et qui n’ont pas un accès adéquat aux établissements médicaux. Le traitement consiste dans 3 doses de vaccins anti-tétanos, et les protège contre le virus pendant cinq ans. Il a également expliqué que le Kenya recommande la prise de trois doses de vaccin pour les hommes comme pour les femmes, pour assurer une immunité à vie, au lieu de prendre une seule dose valable pour une période de cinq à dix ans.

    L’UNICEF et l’OMS ont assuré avoir « pris note » des tests commandés par la Kenya Catholic Doctors Association. Ils suggèrent que ces derniers n’ont pas été accomplis par des laboratoires « appropriés », puisque ces derniers n’ont pas testé le vaccin mais des prélèvements sanguins. Les agences de l’Onu se sont montrées inflexibles sur le fait que la Kenyan National Regulatory Authority avait été mandatée pour étudier la qualité, la sécurité et l’efficacité du vaccin.

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    Marie Bethanie

  • Wahhabite connection : comment l’Arabie saoudite a déstabilisé le monde en exportant son islam radical depuis 40 ans. (2/2)

    Propos de David Rigoulet-Roze, enseignant et chercheur, consultant en relations internationales, spécialisé sur la région du Moyen-Orient (*), recueillis par Atlantico.

    Cette étude, en deux parties, nous a été communiquée par un contributeur régulier et fidèle lecteur que nous remercions.

    ♦ Rôle de l’Arabie Saoudite dans la diffusion de l’islamisme salafiste et évolution de sa relation avec les Etats-Unis.

    L’Arabie saoudite a beau être l’allié traditionnel des puissances occidentales au Moyen-Orient, et notamment dans la lutte actuelle contre l’Etat islamique, le royaume est le principal soutien des mouvements fondamentalistes qui s’étendent dans le monde entier

    David Rigoulet-Roze (suite) :

    C’est ce qui aurait poussé Riyad à passer un deal avec Oussama Ben Laden, à la faveur d’une rencontre organisée en 1991 entre le chef d’Al-Qaïda et le prince Turki Al-Fayçal[17] lorsque ce dernier était encore l’omnipotent chef du GID (services secrets saoudiens) : en contrepartie d’une somme de quelque 200 millions de dollars destinée à financer le djihad, il aurait été demandé et obtenu de Ben Laden, alors autorisé à quitter l’Arabie saoudite, de ne pas importer ce même djihad au sein du royaume saoudien, laissant en revanche une entière liberté d’action au fils prodigue pour aller semer la tempête aux quatre coins du monde[18]. Ce deal a toujours fait l’objet des plus vifs démentis de la part du principal intéressé saoudien mais il poursuit encore la réputation sulfureuse du Prince Turki al-Fayçal. Si pacte il y eut il devint bel et bien caduque avec la vague d’attentats des années 2003-2004 imputés à Al-Qaïda.

    La menace sur le royaume n’a pas disparu depuis et elle connaît un regain de vigueur inédit avec l’apparition de l’« Etat islamique » officiellement établi le 29 juin 2014[19], lequel a largement pris le relais d’une Al-Qaïda pour partie supplantée par sa redoutable concurrente djihadiste. On retrouve la même schizophrénie que précédemment si l’on considère que, dans un premier temps, l’EILL (« Etat islamique en Irak et au Levant ») devenu depuis l’« Etat islamique », a probablement bénéficié d’une certaine complaisance de la part des pétro-monarchies en général, voire de l’Arabie saoudite en particulier via la politique planifiée par le prince Bandar devenu chef d’Al Mukhabarat Al A’amah ou General Intelligence Directorate (GID) selon l’acronyme anglo-saxon, c’est-à-dire les services de renseignements du royaume, le 19 juillet 2012 jusqu’à son retrait sur décision royale le 15 avril 2014. L’EIIL, en effet, représentait un potentiel de déstabilisation avéré contre le régime alaouite – une secte dérivée du chiisme – du président Bachar al-Assad en Syrie et du gouvernement chiite pro-iranien de l’ancien Premier ministre Nouri al-Maliki en Irak. C’est certainement ce qui fait que cette organisation djihado-terroriste ait pu faire l’objet de financements de la part de certains « généreux donateurs privés » du Golfe ainsi que l’on qualifie souvent les initiateurs de ces fonds, afin éviter d’avoir à mettre éventuellement en cause les Etats en tant que tels. Mais cette indulgence coupable risque d’avoir un prix, car aujourd’hui l’« Etat islamique » est devenu une sorte de créature de Frankenstein qui proclame ouvertement son ambition d’expansion territoriale sur une large échelle du Proche et du Moyen-Orient arabo-musulman et de renverser les régimes stigmatisés comme « corrompus » de ces pétro-monarchies. La pression se fait d’ores et déjà sentir sur les frontières régionales. La menace n’épargne plus le royaume d’Arabie saoudite, pourtant siège des « deux lieux saints » que sont La Mecque et Médine, puisque l’« Etat islamique » par la voix d’un responsable de l’organisation, un certain Abou Tourab Al Mugaddasi, est allé rien moins que jusqu’à prôner la destruction de la Kaaba (« la Pierre noire »)[20] de la Mecque et de « tuer ceux qui adorent la pierre ». Et ce au motif que la vénération de cette « Pierre noire » qui faisait l’objet d’un culte pré-islamique renverrait au péché du Shirk (« associationnisme »), c’est-à-dire à une séquelle du polythéisme : « Si Allah le veut, nous allons tuer ceux qui adorent des pierres à la Mecque et détruire la Kaaba. Les gens vont à la Mecque pour toucher les pierres, pas pour Allah »[21].

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  • Wahhabite connection : comment l’Arabie saoudite a déstabilisé le monde en exportant son islam radical depuis 40 ans. (1/2)

    Propos de David Rigoulet-Roze, enseignant et chercheur, consultant en relations internationales, spécialisé sur la région du Moyen-Orient (*), recueillis par Atlantico.

    Cette étude, en deux parties,  nous a été communiquée par un contributeur régulier et fidèle lecteur que nous remercions.

    ♦ Rôle de l’Arabie Saoudite dans la diffusion de l’islamisme salafiste et évolution de sa relation avec les Etats-Unis.

    L’Arabie saoudite a beau être l’allié traditionnel des puissances occidentales au Moyen-Orient, et notamment dans la lutte actuelle contre l’Etat islamique, le royaume est le principal soutien des mouvements fondamentalistes qui s’étendent dans le monde entier

    Atlantico :  L’Arabie saoudite est un allié de longue date des puissances occidentales, et joue en principe un rôle de “pivot” au Proche-Orient et au Moyen-Orient. Pourtant, le pays est aussi le berceau du wahhabisme, l’islam influençant la plupart des mouvements djihadistes. Quelle est la nature du lien que le Royaume des Saoud entretient avec ces différents mouvements ?

    David Rigoulet-Roze : L’Arabie saoudite apparaît en effet comme un allié de longue date des Occidentaux en général et des Etats-Unis en particulier. L’expression de cette alliance tient d’ailleurs dans ce qui est passé à la postérité comme le de « Pacte du Quincy »[1].

    Le deal sous-tendant cette alliance pouvait se résumer de la manière suivante : le monopole américain sur le pétrole saoudien en contrepartie de la sécurité militaire assurée par les Etats-Unis. Il faut comprendre que se profile alors la Guerre froide et qu’il n’est pas question de permettre à l’Union soviétique de prendre pied dans la région qui contient les plus grandes réserves pétrolières avérées de la planète. A cet égard, les déclarations des responsables américains sont instructives dans la constante qu’elles révèlent par-delà les Administrations américaines. Comme le déclara en juin 1948, le secrétaire américain à la Défense de l’époque, John Forrestall : « L’Arabie doit désormais être considérée comme incluse dans la zone de défense de l’hémisphère occidental ». Avec le début de la Guerre froide, le nouveau président démocrate Harry Truman (1945-1952) se voulut plus explicite encore dans une lettre adressée à Ibn Saoud en date du 31 octobre 1950 : « Aucune menace contre votre royaume ne pourra survenir sans constituer un sujet de préoccupation immédiate pour les Etats-Unis ». Le changement d’Administration américaine avec le président républicain Dwight David Eishenhower (1952-1961) ne fit que confirmer ce grand deal. La « doctrine Ike » reposait plus que jamais sur l’idée cardinale selon laquelle on ne met pas en difficulté les alliés pétroliers du « Monde libre », ce qui revenait à leur assurer une sorte de garantie d’immunité, sinon d’impunité. C’est selon. Ces assurances américaines seront par la suite renouvelées par le président démocrate John Fitzgerald Kennedy (1961-1963) dans une lettre adressée à son successeur le roi Faysal, en date du 25 octobre 1963 : « Les Etats-Unis apportent leur soutien inconditionnel au maintien de l’intégrité territoriale de l’Arabie saoudite ». La base de cette alliance stratégique était encore résumée en ces termes à la fin des années 70 par Marshall Wylie, un diplomate américain : « Nous avons besoin de leur pétrole et eux de notre protection ». Cette alliance stratégique fut formalisée en ces termes par le président démocrate Jimmy Carter (1977-1981) dans son discours sur l’Etat de l’Union du 23 janvier 1980 : «Toute tentative, de la part de n’importe quelle puissance étrangère, de prendre le contrôle de la région du golfe Persique sera considérée comme une attaque contre les intérêts vitaux des Etats-Unis d’Amérique. Et cette attaque sera repoussée par tous les moyens nécessaires, y compris la force militaire ». On ne pouvait être plus clair. Le fait est qu’à l’époque, les Américains ne se préoccupaient pas véritablement du fait que le royaume saoudien n’était pas précisément un modèle de régime démocratique. Et ce, d’autant moins que les Etats-Unis allaient largement utiliser à leur profit les deux qualités essentielles faisant de ce royaume un partenaire stratégique indispensable, deux qualités qui se combinaient alors opportunément : la première résidait dans le fait que ce régime ultra-conservateur sur le plan politique et religieux était apparu en mesure de faire obstacle à la vague montante, dans les années 50-60, du « nationalisme arabe » à caractère républicain. Lequel s’exprima sous une forme résolument anti-colonialiste d’abord – notamment avec le panarabisme « socialisant » de Gamal Abdel Nasser en Egypte -, puis anti-impérialiste ensuite, ce qui ouvrait une « fenêtre d’opportunité » inespérée au développement de l’influence soviétique dans la région[2] ; la seconde résidait dans le fait que le royaume d’Arabie saoudite – ce « royaume des sables » transformé par les grâces de la géologie en caricature de « Pays de l’Or noir », faisant de lui la « banque du pétrole », puisqu’il était, et est toujours quoiqu’on en dise parfois, doté des plus grandes « réserves prouvées » aisément accessibles de la planète[3] ce qui lui confère le statu de swing-producer (« producteur-pivot ») de l’OPEP -, disposait des moyens financiers idoines pour ce faire, les fameux « pétro-dollars ». Ces derniers allaient lui permettre de financer sa politique « réactionnaire » au premier sens du terme, en favorisant hors du royaume – lequel se trouve être historiquement le « berceau » du wahhabisme[4] – le développement d’une idéologie islamiste rétrograde dont le salafisme[5] constitue en quelque sorte le produit d’exportation.

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  • Les indices d’un jeu d’échecs monétaire planétaire: Jacques Sapir décortique

    Un peu technique cet article, mais très intéressant pour ceux qui s’intéressent à la guerre économique qui est déclarée entre le monde occidental soumis sans partage au règne du dollar et le monde des BRICS qui sont en train de mettre sur pied une alternative à cette domination, avec peut-être un retour à l’étalon or.

    Cette étude démontrerait, (avec les réserves de l’auteur), que la Russie aurait anticipé les attaques des USA sur son économie. De telle sorte que les USA, dans cette analyse des fluctuations boursières, semblent davantage être sur la défensive qu’à l’offensive, ainsi qu’on peut l’observer par ailleurs.

    La Russie ayant monté une alliance pour faire concurrence à la suprématie du dollar, il était normal qu’elle ait anticipé la réaction américaine. Mais cette volonté de secouer le joug du dollar n’est-il pas la conséquence du non respect de l’engagement de l’OTAN, en compensation de la réunification de l’Allemagne, de ne pas s’étendre vers l’Est ? Et notamment une réponse aux manœuvres de déstabilisation  qui ont commencé en 2004 en Ukraine ? 

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  • Bouteflika est encore hospitalisé en France

    D'après le Dauphiné.com, qui précise qu'une compagnie de CRS a été déployée autour du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble, où le président algérien est hospitalisé. Le Parisien, lui, propose un récapitulatif des hospitalisations du président algérien en France. Et certains commentaires du journal El Watan suggèrent que les Algériens ne sont pas très contents que leur président ne fasse pas confiance aux hôpitaux de son pays. Au fait, qui paie pour ces hospitalisations ?

    Marie Bethanie

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