Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 989

  • La situation tragique des réfugiés chrétiens en Irak

    La situation des réfugiés chrétiens en Irak est rendue plus difficile encore à cause de l'hiver. Une vidéo relayée par l'Observatoire de la christianophobie :

     

    Marie Bethanie

  • Rome : un diplomate américain appelle à un « pacte mondial des religions »

    Vu sur Reinformation.tv :

    Jerry Chite, diplomate américain au Bureau des conflits et des opérations de stabilisation a estimé que les chefs religieux devaient s’atteler à juguler les violences dues aux fanatiques. Il réitère ainsi son appel à « un pacte mondial des religions » lancé en grande pompe le 22 février dernier à Rome avec des autorités religieuses parmi lesquelles le cardinal Kasper, mais apparemment resté inaudible.

    Après avoir rappelé que les gouvernements et les organisations de la société civile ont un rôle important à jouer dans tout processus de paix, Jerry White a affirmé que les chefs religieux possédaient la clé pour lutter contre l’alarmante augmentation des violences religieuses :

    Du Parlement mondial des religions au Pacte mondial des religions

    « Il suffit d’ouvrir un journal pour constater que le vocabulaire religieux est employé tous les jours pour justifier la violence… La religion devrait donc faire partie de la solution (…) Depuis le Parlement Mondial des Religions en 1893, beaucoup d’initiatives interreligieuses ont vu le jour au fil des années… Le contexte est différent, avec l’actuelle prolifération des violences perpétrées explicitement au nom de Dieu. Nous sommes dans une situation d’urgence. Nous devons aller au-delà des conférences interreligieuses et nous demander à quoi ressemblerait une fatwa interreligieuse contre la violence. Pouvons-nous aller au-delà de la simple prière pour la paix ? » a-t-il lancé.

    La rhétorique usée d’un diplomate américain à Rome


    Il tend ainsi à la fois à enrôler les religions dans un combat politique et à soumettre les dites religions. Sa rhétorique, parfaitement usée, veut donner à croire au grand public que toutes les religions engendrent la même violence, pour mener en fin de processus, et par le biais de la sacro-sainte tolérance, à un syncrétisme déiste d’inspiration franc-maçonne.

    On notera pour le fun le courage d’un personnage qui prône une action commune des religions bien tranquille à Rome, loin de ceux qui, précisément, tuent « au nom de Dieu »…

    http://www.contre-info.com/rome-un-diplomate-americain-appelle-a-un-pacte-mondial-des-religions#more-35199

  • Obama pourrait perdre le contrôle du Congrès

    Lu dans Présent de samedi dernier :

    "Le 4 novembre prochain [...] on renouvellera les deux assemblées du Congrès à Washington, un grand nombre de postes de gouverneur et une armée de fonctionnaires locaux allant des maires aux shérifs en passant par les juges. Bref, une série d’élections avec, comme l’exige la tradition, toute la solennité désirée mais également tout le suspense voulu. Car le suspense sera au rendez-vous : Obama risque de perdre le contrôle du Congrès. Il a déjà, lors d’’une précédente confrontation, laissé la chambre des représentants aux républicains. Dans dix jours, il pourrait lâcher aussi le sénat.

    Le sénat compte 100 sièges exactement – deux pour chacun des 50 Etats fédérés. Les républicains ont besoin de remporter six sièges pour pouvoir se rendre maîtres de cette haute assemblée. Ils en ont déjà trois assurés (Montana, Dakota du Sud et Virginie de l’Ouest), trois Etats qui font partie depuis longtemps de leur patrimoine électoral et que Mitt Romney, adversaire d’Obama en 2012, avait d’ailleurs aisément conquis. Restent donc encore trois Etats – l’Alaska, la Caroline du Nord et le Kansas. Trois Etats où les candidats démocrate et républicain sont au coude à coude dans les sondages. Là, le suspense demeure total. [...]

    En Alaska, le sénateur démocrate Mark Begich, qui se représente, affronte le républicain Dan Sullivan, qui fut naguère le ministre de la Justice de cet Etat perdu dans l’extrême nord-ouest du continent. Chacun des cinquante morceaux de la mosaïque qui composent l’Amérique donne l’impression d’avoir quelques problèmes bien à lui. Le défi de l’Alaska – presque une obsession – concerne ses relations avec le gouvernement fédéral, avec Washington. Moins la Maison Blanche et son Congrès interviennent dans nos affaires et mieux on se porte, répète en substance le républicain à chacune de ses réunions électorales, non sans succès. A quoi son adversaire démocrate répond invariablement au cours de chacune de ses interviews : comment voulez-vous goudronner des routes, construire des pipe-line, aider l’industrie du bois sans subsides fédéraux ? Un domaine rassemble les deux hommes : les armes à feu. En Alaska, il y en a autant que d’habitants.

    Ce n’est pas tout à fait le cas en Caroline du Nord, et, de toute façon, ce débat ne s’y trouve pas prioritaire. Ce qui divise la candidate démocrate Kay Hagan et le candidat républicain Thom Tillis ? Plutôt des questions de plus vaste envergure :l’avortement, le « mariage » homo, l’école publique, les impôts. On peut dire que les grands dossiers qui assaillent les élus à Washington se sont curieusement rassemblés en Caroline du Nord comme pour un banc d’essai. Ici, c’est vraiment la gauche et la droite qui s’étripent. Au milieu d’une nuée de billets verts : près de 50 millions de dollars y seront dépensés d’ici au 4 novembre. Un record national.

    Au Kansas, pas de record de ce type, mais tout de même une particularité notable : c’est le seul Etat où un indépendant tient le rôle de vedette au point d’avoir le droit de prétendre à la victoire. Il s’appelle Greg Orman. Industriel richissime, il s’applique à financer par ses propres deniers sa campagne électorale, ce qui donne à celle-ci un petit air original et décapant. « Je ne parviens pas, clame-t-il, à trouver des terrains d’entente ni avec les démocrates ni avec les républicains. Les deux partis sont vieux, usés, inopérants. Au Kansas, ils ont échoué. Ils n’ont pas trouvé de solutions aux problèmes qui se posent à l’Etat. Et ils n’ont pas imaginé les solutions aux problèmes que l’avenir nous réserve. Bref, il faut du neuf. Mais avant cela, il faut renouveler les élus que le Kansas enverra à Washington. » Orman est d’abord parvenu à distancer tellement le candidat démocrate que celui-ci a abandonné la course. Reste le candidat républicain, Pat Roberts. Que voulez-vous qu’il fasse ? Il a bien été obligé de faire passer Orman, dans ses discours, pour un dangereux démocrate mariné à la sauce libérale – une sorte de « taupe » travaillant pour Obama et son parti sous un camouflage d’indépendance qui « ne doit tromper personne ».

    Mais Orman est malin. Son étiquette d’indépendant lui permet d’ajouter un suspense personnel au suspense déjà en place du fait d’un coude à coude dans les sondages. S’il est élu, quel camp choisira-t-il, le démocrate ou le républicain ? Orman n’a rien dit de précis à ce sujet. Il pourrait devenir l’arbitre national de ces élections législatives. Du jamais vu. Pourtant, depuis plus de deux siècles, on croyait avoir passé en revue tous les scénarios possibles."

    Michel Janva

  • Asia Bibi a écrit au pape François

    Lu sur l'Observatoire de la Christianophobie :

    "C’est une révélation que nous a faite hier le blogue Vatican Insider du quotidien italien La Stampa. Un de ses journalistes,Paolo Affatato, a obtenu une copie d’une lettre qu’Asia Bibi a adressée au pape François peu de temps après l’arrêt de la Cour d’appel de Lahore du 16 octobre dernier, confirmant la sentence de mort, en novembre 2010, d’un tribunal de première instance. Je n’ai sous les yeux que la version espagnole de cette lettre. Voici la traduction des extraits qu’en donne Vatican Insider."

    • « Pape François, je suis votre fille Asia Bibi. S’il vous plaît, priez pour moi, pour mon salut et pour ma liberté. Actuellement, je ne peux que me confier à Dieu qui est le Tout-Puissant et qui peut tout (…) Je m’accroche toujours à ma foi chrétienne et je place ma confiance en Dieu, notre Père, qui me défendra et me rendra ma liberté. Je me confie aussi à vous, Saint Père François, et à vos prières (…) Pape François, je sais que vous priez pour moi de tout votre cœur. Je sais que grâce à votre prière ma liberté pourra être possible. Et au nom de Dieu Tout-Puissant et de sa gloire, je vous exprime toute ma reconnaissance pour votre proximité en ce moment de souffrance et de déception (…) Mon seul espoir est de pouvoir revoir un jour toute ma famille réunie et heureuse. Je crois que Dieu ne m’abandonne pas et qu’il a un projet de bien et de bonheur pour moi, qui se manifestera d’ici peu. Je remercie toutes les personnes qui dans les communautés chrétiennes de par le monde prient pour moi et font tout leur possible pour m’aider ».

    Dans cette lettre, la seconde qu’Asia Bibi adresse au papeFrançois – la première le fut au lendemain de Noël 2013 –, elle remercie aussi la Renaissance Education Foundation de Lahore qui « aide mon mari Ashiq et ma famille ».

    Voilà qui devrait exciter notre zèle à prier pour Asia Bibi et pour manifester concrètement notre condamnation que l’inique sentence de mort dont elle a été frappée, en signant notre pétition destinée aux autorités pakistanaises : c’est ici, et c’est urgent !

    Marie Bethanie

  • L’ONU suggère aux Pays-Bas d’abandonner la Saint-Nicolas… par antiracisme

    Le débat est houleux et les Néerlandais, très attachés à la fête de la Saint-Nicolas, ont protesté à l’annonce del’ouverture d’une enquête de l’ONU sur le « Zwarte Piet », connu en Français sous le nom de « Père Fouettard », personnage au visage traditionnellement peint en noir, affublé d’un costume médiéval et coiffé d’une perruque afro…

    L’évêque turque Saint Nicolas, fêté dans ce pays comme en Belgique, en Allemagne et dans l’est de la France est représenté avec une longue barbe blanche, sa mitre et son manteau rouge tandis que le  « Zwarte Piet » noir est considéré comme un blagueur inoffensif qui apporte de la gaieté à la fête. Mais ses détracteurs antiracistes le voient comme un symbole raciste et dénonce un retour à l’époque des colonies néerlandaises.

    Le débat, qui anime chaque année les Pays-Bas depuis les années 60 prend une nouvelle tournure depuis l’annonce de l’ouverture d’une enquête de l’ONU… La présidente du comité du Haut-Commissariat de l’ONU au droits de l’Homme en charge de l’enquête a suggéré mardi dernier d’abandonner la fête de Saint-Nicolas pour ne garder que la fête de Noël. « Qu’il y a t-il de mauvais à avoir un seul Père Noël, pourquoi devez-vous en avoir deux ? » , a-t-elle déclaré à la télévision néerlandaise, ajoutant de l’huile sur le feu de la colère néerlandaise et oubliant au passage que Noël n’est pas d’abord la fête commerciale du Père Noël…

    Lire la suite

    http://www.contre-info.com/

  • L’Eglise en chiffres : le nombre de catholiques augmente dans le monde

    A l'occasion de la Journée Missionnaire mondiale ont été présentées les statistiques de l’Eglise missionnaire. Les chiffres sont des dernières statistiques annuelles de l’Eglise (du 31 déc 2012).

    • Population mondiale : 7.023.377.000 personnes, avec une augmentation de 90.067.000 par rapport à 2011.
    • Nombre de catholiques : 1.228.621.000, avec une augmentation de 15.030.00 personnes depuis 2011 (avec en tête l’Amérique et l’Afrique, puis l’Asie).
    • Evêques : 5133 (1 de plus)
    • Prêtres : 414.313, c'est-à-dire 895 de plus qu’en 2011. On note une diminution notable en Europe (-1375) mais une forte augmentation en Afrique et en Asie.
    • Religieux non prêtres: 55.314 (augmentation de 229 dans l’année)
    • Religieuses : 702.529, 10.677 de moins.  
    • Séminaristes majeurs : diminutions de 565 candidats, pour un nombre total de 120.051. La diminution ne concerne qu’Amérique et Europe. Les diocésains sont en diminution.
    • Séminaristes mineurs : 102.703, c'est-à-dire 173 de plus.
    • Séminaristes mineurs diocésains : 79.954 (+604).

    Le Salon Beige

  • Le maire de Béziers Robert Ménard en Syrie

    Le monde entier connaît aujourd’hui la ville martyre de Maaloula, en Syrie, dont la population majoritairement chrétienne a été atrocement persécutée par les islamistes du Front al-Nosra. Les habitants n’ayant pas fui ont été massacrés et les églises saccagées. La ville étant à nouveau sous le contrôle de l’armée syrienne régulière, les habitants reviennent peu à peu vivre sur leur terre natale où tout est à reconstruire.

    Robert Ménard s’est rendu sur place afin de sceller le jumelage qu’il avait annoncé entre Béziers et Maaloula. Le maire de Béziers et son homologue syrien de Maaloula ont en outre signé un accord de coopération qui aidera la ville syrienne meurtrie à reconstruire des logements, à améliorer le système de traitement et d’assainissement des eaux, à rouvrir l’orphelinat et à restaurer l’institut d’enseignement de la langue araméenne.

    De retour de son voyage, Robert Ménard a déclaré au journal Midi libre : « La France se trompe vis-à-vis de la Syrie. Il est impossible de renvoyer dos à dos le régime de Béchar el-Assad et celui de ces barbares qui assassinent et détruisent. Il y a aujourd’hui une obligation à défendre un régime, certes critiquable, mais qui est le seul à pouvoir faire barrage à Daesh»

     

    Baudouin Lefranc

    http://www.medias-presse.info/le-maire-de-beziers-robert-menard-en-syrie/16987