islamisme - Page 135
-
Sur Sud Radio avec André Bercoff, Claude Ardid -"La montée de la violence autour de la laïcité dans les écoles a été cachée".
-
Laïcité : le plan de lutte de Macron contre le « séparatisme »
Le chef de l’Etat doit se rendre à Mulhouse, mardi, pour aborder les questions de radicalisation, d’islam politique et de communautarisme. Une prise de position très attendue depuis le début du quinquennat.
Après les débats sémantiques, place aux annonces. Emmanuel Macron doit commencer à dévoiler, mardi 18 février, à l’occasion d’un déplacement à Mulhouse (Haut-Rhin), son plan de lutte contre le communautarisme. Ou plutôt contre le « séparatisme islamiste », appellation finalement retenue par l’Elysée, après plusieurs mois de tractations et de débats. Une manière, selon l’entourage du chef de l’Etat, d’agréger sous un même terme ces « notions entremêlées » que seraient la radicalisation, l’islam politique et le communautarisme. Et de cibler plus clairement « l’hydre islamiste » dénoncée par Emmanuel Macron au lendemain de l’attentat contre la Préfecture de police, à Paris, en octobre 2019.
https://www.tvlibertes.com/actus/laicite-le-plan-de-lutte-de-macron-contre-le-separatisme
-
Libération de djihadistes français : Guillaume Larrivé sonne l’alerte
Le 13 février 2020, le député LR Guillaume Larrivé écrivit une lettre ouverte, publiée par Le Figaro, adressée à Emmanuel Macron au sujet de la libération de djihadistes français d’ici 2022 :
« 531 individus sont incarcérés pour des faits de terrorisme islamique. Or, parmi eux, objectivement regardés comme les plus dangereux à ce stade, 43 seront libérés au cours de l’année 2020, 57 le seront en 2021, et 46 encore en 2022. »
L’association de mots « djihadistes français » pourrait être perçue pour beaucoup comme un oxymore, mais c’est pourtant la réalité de la société française actuelle. De la même façon que l’État français envisage de rapatrier des islamistes partis en Syrie pour prêter allégeance à l’État islamique, la logique du système judiciaire impose dorénavant la libération de ces détenus, de nationalité française.
-
Éric Zemmour : « Aujourd’hui, Napoléon réunirait les dignitaires musulmans et les obligerait à bazarder la moitié du Coran »
13/02/2020 – FRANCE (NOVOpress)
Face à Thierry Lentz, Éric Zemmour a déclaré : « Aujourd’hui, Napoléon réunirait les dignitaires musulmans et les obligerait à bazarder la moitié du Coran ».Un passage à voir dans la 2ème partie de l’émission « Face à l’info » du 12 février 2020.
-
L’affaire Mila, ou les leçons de la “racaillisation” de la France
Le déferlement de haine et de menaces qui s’est abattu sur Mila après que quelques phrases de sa part ont été publiées sur les réseaux sociaux témoigne du renoncement de la France à défendre ses valeurs, estiment Jean Messiha et Frédéric Amoudru, ancien cadre d’une grande banque française.
Une jeune fille, comme des millions d’internautes, “tchate” sur Instagram et se livre à une foule d’anonymes. Une racaille s’en mêle et s’adonne à ce que tant de femmes et de jeunes filles doivent supporter dans l’espace public comme dans l’espace digital : les gauloiseries (si on peut encore utiliser ce termes sans être traité de raciste) et les réflexions salaces. Elle révèle son homosexualité et dit ne pas avoir envie de coucher avec un « renoi » ou « rebeu », ce qui est encore permis dans notre pays (mais pour combien de temps encore ?). S’ensuit une bordée d’injures homophobes et sexistes « au nom d’Allah ». Piquée au vif, la jeune fille contre-attaque et dit, en termes crûs, ce qu’elle pense de cette religion qu’on lui jette à la figure, alors que son tchat n’avait rien à voir avec les questions de foi.
-
Marine Le Pen sur l’affaire Mila : « Le fondamentalisme islamiste est en train de ravager notre pays »
Marine Le Pen sur l’affaire Mila : « Le fondamentalisme islamiste est en train de ravager notre pays »
-
Urgence ... islamisme et Turquie
Préparant une conférence, qui sera consacrée au sujet et que je suis invité à donner le 24 février, je rassemblerai à partir d'aujourd'hui, en marge de cette un certain nombre d'éléments d'information et, partant de là, de réflexions, sur l'actuel contentieux euro-turc et particulièrement franco-turc : occulté dans la plupart des médias de l'Hexagone, il occupe une place de choix sur le site d'information, ou plutôt de désinformation, de l'agence officielle de l'État turc Anadolu.
À ce sujet il faut dire merci au quotidien Présent d'avoir eu le courage de reprendre les deux informations ci-dessous que vous ne trouverez guère dans les journaux du système[1]et que je reproduis sans honte.
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, géopolitique, islamisme 0 commentaire -
Mila : qui n’a dit mot consent
59% des jeunes soutiennent les harceleurs et se prononcent pour l’interdiction du blasphème. Céline Pina s’inquiète: l’Affaire Mila nous parle de la fin de notre république, selon elle.
En ce début février, le sondage révélé par Charlie Hebdo suite à l’affaire Mila et portant sur le droit au blasphème a de quoi faire frémir. Une jeune fille risque sa vie alors qu’elle n’a rien fait de mal et 50% des Français, au lieu de la soutenir, défendent la sacralisation d’une religion en utilisant les mots des islamistes, dont un qui fut naguère beau mais justifie aujourd’hui toutes les soumissions : le respect.
-
[VIDÉO] Débat Eric Zemmour/Marlène Schiappa : « Ah bon ? Mohammed c’est un prénom islamique ? »
Eric Zemmour : « Il y a des départements comme la Seine-Saint-Denis où se sont les prénoms islamiques qui sont en tête.
Marlène Schappa : – C’est quoi un prénom islamique ?
– Mohammed c’est un prénom islamique, c’est un prénom qui sort du Coran.
– Ah bon ? »Face à l’info sur CNews : à regarder en replay ici
-
Albi : des drapeaux du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie accrochés sur le toit de l’Église, le prêtre porte plainte
Ce dimanche 9 février, dans le quartier de Rayssac d’Albi (Tarn) un groupe de jeunes a été surpris alors qu’ils accrochaient des drapeaux du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie sur le toit de l’Eglise- Saint -Jean-Baptiste.
Le curé de la paroisse, le Père Paul de Cassagnac a déposé plainte ce lundi 10 février exprimant son soutien aux témoins de cette scène. En réponse l’archidiocèse publia un communiqué où ils reprennent les mots du Curé qui appelle à : « rechercher la paix et à réveiller le sens religieux »Suite à l’appel d’un riverain la Police s’est immédiatement rendue sur les lieux mais les jeunes étaient déjà partis et les drapeaux décrochés.