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islamisme - Page 138

  • Islam et blasphème, par Annie Laurent

    Voici la suite des réflexions que nous avait fait parvenir Annie Laurent, et que nous avions publiées le mercredi 26 février dernier. Vous pouvez les retrouver en cliquant sur le lien suivant : Annie Laurent, Islam et blasphème (I)
     
    Depuis deux décennies, la liberté d’expression et le blasphème sont devenus un enjeu du débat relatif à la présence musulmane en Europe. Plusieurs affaires en témoignent.

    1°/ En 2001, un procès a été intenté par la Grande Mosquée de Paris et la Ligue des droits de l’homme contre le romancier Michel Houellebecq pour avoir déclaré que la nature de l’islam est « de soumettre » (Lire, septembre 2001). Il fut relaxé en 2002 au motif que la critique d’une religion ne constitue pas un appel à la haine contre ses fidèles.

    2°/ En 2004, le film Soumission, considéré comme blasphématoire, a valu à son réalisateur, le cinéaste hollandais Théo Van Gogh d’être assassiné par des islamistes.

    3°/ En 2005, le quotidien danois Jyllands-Posten publia par solidarité une dizaine de dessins représentant Mahomet. Suite au tollé qui s’ensuivit, le gouvernement regretta cette publication puis le directeur du journal présenta des excuses, promettant de ne plus recommencer.

    4°/ En 2006, France-Soir reproduisit les caricatures, ce qui valut à son directeur d’être licencié.

    5°/ Puis, Charlie-Hebdo édita un numéro spécial reprenant les caricatures complétées par d’autres (février 2006). L’hebdomadaire fut relaxé en 2007, décision confirmée en appel en 2008. Mais, le 7 janvier 2015, 11 personnes travaillant à Charlie-Hebdo ont été assassinées par deux djihadistes.

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  • Reçu d'Annie Laurent : Islam et Blasphème (dans "La petite feuille verte")...

     Le sujet déborde les limites des pays musulmans et influenceurs, les communautés islamiques installées en Occident.

    Compte tenu de cette importance, il a été divisé en deux parties. Vous trouverez la première dans la Petite Feuille Verte n ° 68 (texte complet ci-après), la suite sera traitée dans la prochaine, qui portera le n ° 69...

    ISLAM ET BLASPHÈME

    Plusieurs affaires récentes défrayant la chronique ont mis en évidence l’importance que l’on accorde au blasphème dans le monde musulman.

    L’une d’elles a particulièrement retenu l’attention car elle s’est déroulée en France en janvier 2020.

    Les propos tenus par une adolescente prénommée Mila, qui avait crûment exprimé son aversion pour l’islam, lui ont valu de nombreuses menaces de mort, menaces que le délégué général du Conseil Français du Culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, a semblé approuver. « Cette fille sait très bien ce qu’elle fait. Qui sème le vent récolte la tempête » (Le Figaro, 30 janvier 2020).

    Ce responsable se situe donc du côté des musulmans pour lesquels le blasphème est passible des plus graves sanctions, tandis que d’autres appellent à la tolérance dans ce domaine

    1919484265.5.jpgLE BLASPHÈME DANS LES TEXTES

    Le Coran évoque le thème du blasphème sans le nommer.

    • « Oui, Dieu maudit en ce monde et dans l’autre ceux qui offensent Allah et son Prophète. Il leur prépare un châtiment ignominieux. Ceux qui offensent injustement les croyants et les croyantes se chargent d’une infamie et d’un péché notoire » (33, 57).

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  • Valeurs raconte la situation à la frontière grecque et le chantage d'Erdogan.

    Notre envoyé spécial Bastien Lejeune a été à la frontière gréco-turque pour constater la situation. Il décrit une police grecque extrêmement tendue, qui fait face à des tentatives d’intrusions des migrants et qui est abandonnée par l’Union européenne, censée être gardienne des frontières extérieures de l’union.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/03/17/valeurs-raconte-la-situation-a-la-frontiere-grecque-et-la-ch-62207223.html
  • L’inquiétant dérapage islamiste d’une école suédoise

    3143687510.jpgLa chronique de Philippe Randa

    La loi du plus fort étant toujours la meilleure, pourquoi certains musulmans se gêneraient-ils d’imposer leur religion aux autres ? Qui plus est à des enfants ! Qui plus est à l’école !

    À l’école Söderfors, dans la ville de Tierp, au nord de Stockholm, un professeur a contraint sa classe à écrire : « J’appartiens à l’Islam. Je prie dans une mosquée. Je célèbre le Ramadan. Je lis le Coran. Le Ramadan dure 30 jours. Le Coran possède 114 sourates. »

    L’ennui est que l’école n’étant pas (encore) confessionnelle, des parents ont été quelque peu choqués de la facétie…

    C’est le site Les.Observateurs.ch, toujours bien informé, qui rapporte l’affaire : « Ma fille est chrétienne et a refusé d’écrire JE CROIS EN ALLAH. Mais elle a dû écrire qu’elle appartenait à l’Islam » s’est offusqué Evelina Wickman, une mère de famille qui a été déposé plainte à la police après avoir eu la confirmation par d’autres parents que sa fille ne délirait pas.

    En France, heureusement, la neutralité obligatoire en matière de politique, de mœurs et de religion est sensé protéger de telles dérives nos chères têtes de plus en plus modérément blondes… jusqu’à quand ? Et est-ce vrai sur tout le territoire français ?

    À l’heure où certains ministres, notamment l’actuel ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer envisage (déclaration en septembre 2018) de développer l’apprentissage des langues étrangères, dont l’arabe – même s’il n’évoque pas (encore) une quelconque obligation – et qu’un rapport de l’Institut Montaigne (groupe de réflexion libéral) intitulé « La fabrique de l’islamisme » préconise de « mobiliser le ministère de l’Éducation nationale (pour relancer) l’apprentissage de la langue arabe (tant) les cours d’arabes dans les mosquées sont devenus pour les islamistes le meilleur moyen d’attirer des jeunes dans leurs mosquées et écoles », est-il vraiment exagéré de penser qu’on s’achemine, doucement, mais sûrement, vers de telles dérives ? Et plus tôt que tard ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/03/16/l-inquietant-derapage-islamiste-d-une-ecole-suedoise-6220518.html

  • Aurélien Taché, lou ravi de l’islam

    Aurélien Taché, lou ravi de l’islam

    CNews proposait jeudi 12 mars un débat entre Eric Zemmour et Aurélien Taché.

    Ce dernier, tout d’abord engagé au Parti socialiste et conseiller auprès des ministres du Logement Sylvia Pinel et Emmanuelle Cosse ce qui est (seuls les gens de mauvaise foi pourraient en douter) un gage de qualité, ayant rejoint Emmanuel Macron et élu député LaREM, ayant rendu en février 2018 un rapport sur l’intégration des étrangers, et à la tête d’un groupe de travail sur la laïcité chez LaREM, se revendique progressiste. Il a, lors de ce débat, démontré toute sa connaissance fine de l’islam.

    Il a en effet terminé par ces affirmations :

    « Pour moi, l’islam est une religion qui concerne l’individu, ce n’est pas une force au sens d’un groupe, d’une communauté qui voudrait comme ça. Qu’est-ce que ça veut dire ? Il n’y a pas de communauté de musulmans. Il y a des gens qui croient ».

    Il est alors interrompu par Eric Zemmour :

    « Même votre président parle de séparatisme. Donc ça veut dire qu’il y a des gens qui se séparent ».

    Aurélien Taché de répondre :

    « Je ne pense pas que ce soit un problème ».

    Peut-être, pour résoudre la crise du coronavirus, pourrait-on nommer Aurélien Taché ministre de la Santé ?

    https://www.lesalonbeige.fr/aurelien-tache-lou-ravi-de-lislam/

  • «Je vais vous égorger» : un islamiste qui voulait épouser une fillette de 10 ans incarcéré

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    L’homme, âgé de 30 ans et converti à un islam rigoriste, a vu sa demande de remise en liberté rejetée par la cour d’appel de Montpellier.

    C’est un bien triste énergumène auquel la cour d’appel de Montpellier était confrontée, mardi 3 mars. Ce jour-là, le tribunal a dû statuer sur la demande remise en liberté d’un certain Quentin, 30 ans, au chômage, vivant chez ses parents, converti à un islam rigoriste et grand consommateur de cannabis. Pour cause, ce dernier a été incarcéré après un violent épisode survenu le 10 février à Agde (Hérault), rapporte Midi Libre ce samedi 7 mars.

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  • Le discours de Macron sur le séparatisme islamiste et ses impostures : à propos de République et de France, et de la loi républicaine

    Le discours de Macron sur le séparatisme islamiste et ses impostures : à propos de République et de France, et de la loi républicaine

    Rappelez-vous, c’était le 18 février 2020 à Bourtzwiller, quartier de Mulhouse, qu’Emmanuel Macron s’est paraît-il attaqué au séparatisme islamiste. Un premier article a déjà présenté le discours et annoncé neuf impostures. Un deuxième article a présenté les deux premières (à propos de communautarisme et de stigmatisation) ; un troisième les trois suivantes (ce serait la faute à la République, il n’y aurait pas de PROJET d’islamisation et les Frères musulmans seraient combattus). Voilà les deux suivantes.

    Sixième imposture : la République, jamais la France

    Pourquoi parler constamment de la République et si peu de la France ? Les chiffres sont éloquents : E.Macron cite 76 fois le mot « république » (contre 12 fois le mot « France ») et parfois de façon frénétique :

    «  Dans la République, il y a un ordre public qui permet de vivre libre et qui doit être respecté. Quand on trouble l’ordre public, c’est-à-dire la quiétude de chaque citoyen, que ce soit au titre de quelque justification y compris quand elle est religieuse, on ne peut l’accepter. La République peut préserver cet ordre pour que chacun y soit libre. Au fond, nous avons un socle, des lois que nous nous sommes données et il en va de notre unité, c’est que la République se tienne selon ces lois, ces valeurs, ces aspirations communes… C’est pourquoi notre ennemi est, à ce titre, le séparatisme c’est-à-dire ce phénomène que nous observons depuis des décennies qui est une volonté de quitter la République, de ne plus en respecter les règles, d’un mouvement de repli qui, en raison de croyances et d’appartenance, vise à sortir du champ républicain et ça ce n’est pas acceptable. Dans la République, on ne peut pas accepter qu’on refuse de serrer la main à une femme parce qu’elle est femme. Dans la République, on ne peut pas accepter que quelqu’un refuse d’être soigné ou éduqué par quelqu’un parce que c’est une femme. Dans la République, on ne peut pas accepter la déscolarisation pour des raisons religieuses ou de croyance. Dans la République, on ne peut pas exiger des certificats de virginité pour se marier. Dans la République, on ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures aux lois de la République ».

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  • A propos du discours d’Emmanuel Macron sur le séparatisme islamiste : la revue des impostures

    A propos du discours d’Emmanuel Macron sur le séparatisme islamiste : la revue des impostures

    Rappelez-vous, c’était le 18 février 2020 à Bourtzwiller, quartier de Mulhouse, qu’Emmanuel Macron s’est paraît-il attaqué au séparatisme islamiste.

    Bourtzwiller avait été choisi pour cet événement parce que le quartier a “de vraies difficultés” comme le disait le Président de la République, citant aussi la présence d'”associations qui prônaient de sortir de la République”, “la déscolarisation, des influences extérieures“. C’est l’un des 47 “Quartiers de reconquête républicaine” (QRR) en France, dispositif créé en 2018 pour lutter contre la délinquance et les trafics. C’est aussi l’endroit où est construite la plus grande mosquée de France : « ce projet qui est vieux de plus de 10 ans maintenant a été parachevé en ce qui concerne la salle de culte, qui est ouverte depuis mai 2019, mais pour le reste du complexe, qui est un projet qui comporte une école coranique, des locaux destinés à du soutien scolaire, une piscine, des commerces, des espaces de bien-être, le tout sur plus de 4 600 mètres carrés » (E.Macron), soit un futur merveilleux centre de bien-être 100% musulman.

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  • Un seul choix : l'Etat national ou le chaos.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Qu'elles soient sanitaires, économiques, sociales, financières, internationales, migratoires ou géopolitiques, les crises qui se succèdent et se chevauchent, mettent en lumière l'incapacité des démocraties — singulièrement des démocraties européennes — à faire face. Tiraillés entre leur crainte de ne pas en faire assez et celle de devoir en faire trop, soumis à l'idée qu'ils se font d'une opinion publique qui n'attend pourtant d'eux que l'action, les dirigeants occidentaux tanguent et roulent sous les coups des tempêtes comme autant de bateaux ivres. 

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