Faudra-t-il attendre tranquillement qu’un djihadiste ou autre fou d’Allah s’en prenne physiquement à Zineb El Rhazoui pour que l’Etat se décide enfin à sévir, et que les grands médias cessent de fermer lamentablement les yeux sur le harcèlement dont cette courageuse journaliste fait l’objet ? Prise pour cible depuis des années par l’« islamophère » et ses complices, qui ne lui pardonnent pas ses déclarations récurrentes contre l’islamisation galopante de notre pays, l’ancienne collaboratrice de Charlie Hebdo a vu redoubler ces dernières semaines les appels au meurtre contre sa personne, au point de devoir lancer un appel au secours déchirant sur Twitter !
« J’ai envie de la décapiter »
Son « crime » ? Avoir osé évoquer le 14 septembre dernier sur LCI la polémique autour d’Imane Boune, et déclaré, à propos de cette étudiante voilée présentée de façon gratifiante par BFM TV, qu’elle était, après « enquête sur [son] environnement idéologique », « une militante islamiste, extrêmement prosélyte et radicale ». Des propos qui auront suffi à enflammer immédiatement la foule considérable des islamistes qui hantent les réseaux sociaux et valent à Zineb El Rhazoui un déferlement incessant de menaces de mort depuis des semaines. Parmi les innombrables « amabilités » citées par la courageuse journaliste, on retiendra celles-ci, particulièrement révélatrices de la barbarie que le gouvernement a laissé s’installer et prospérer en France : « Je vais la brûler cette connasse », « Poussez-la sous un train », « Qu’on lui coupe la tête à cette salope », ou encore « J’ai envie de la décapiter à coups de hache »…
« Nous ne laisserons rien passer. Jamais »