Le ministre de l’intérieur Christophe Castaner a déclaré ce jeudi que, depuis l’attentat commis à la Préfecture de Police de Paris, 287 signalements pour radicalisation islamiste d’agents publics avaient été enregistrés, dont 110 dans les rangs de la police nationale. Parmi ces « 110 cas signalés » pour radicalisation islamiste dans les rangs de la police, « 73 cas ont été classés » et « 2 agents ont été écartés ». Le ministre a totuefois précisé qu’un « signalement de radicalisation était une suspicion », et qu’une « suspicion ne valait pas radicalisation». Il a ajouté que « l’essentiel » de ces signalements avait été classé sans suite.
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Radicalisation : selon Christophe Castaner, 287 agents publics ont été signalés après l’attentat de la Préfecture, parmi lesquels 110 au sein de la police nationale
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Zones de non-droit : « la menace d’embrasement est encore plus forte »
Ancien préfet et Directeur pour l’intégration, Michel Aubouin a travaillé au cœur de l’Etat. Pendant 40 ans, il a vu petit à petit des quartiers entiers rompre avec la République.
Près de 10% de la population française vit aujourd’hui dans de telles enclaves. Michel Aubouin a quitté ses fonctions pour dénoncer cette situation. L’équilibre national est au bord de la rupture, dit-il. Un entretien choc.
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Erdogan menace l’Europe de submersion migratoire
A la recherche d’un soutien international pour faire plier l’armée de Bachar al-Assad dans la région syrienne d’Idlib, Recep Tayyip Erdogan a annoncé ouvrir ses frontières vers l’Union européenne pour laisser passer son flot de migrants.
Le président de la République de Turquie a annoncé, samedi 29 février, l’ouverture de ses frontières vers l’Union européenne. Une décision qui concerne « 18 000 migrants depuis vendredi », selon les autorités turques qui veulent mettre la pression sur les dirigeants européens afin d’obtenir du soutien dans le bras de fer qui les oppose à Vladimir Poutine et Bachar al-Assad dans la région nord de la Syrie.
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Ni peste islamiste ni choléra républicain : communautarisme gaulois !
Retrouvez tous les samedis les réflexions inspirées par l’actualité à Julien Langella, co-fondateur de Génération identitaire et membre d’Academia Christiana.
La polémique autour du « séparatisme islamiste » évoqué par Manu-les-gros-bras se renforce avec l’hystérie de certaines réactions, comme celle de Danièle Obono (LFI) aux propos de Jean-Michel Blanquer : « C’est une réalité depuis un certain nombre d’années. C’est un phénomène qui s’est accentué […]. Il m’arrive d’aller dans certaines villes où ça se voit. » Les grandes envolées lyriques sur le « retour » dans la République des brebis islamistes sont une impasse totale.
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Municipales à Nice : accusé par Vardon, Estrosi nie avoir donné à une association islamiste un terrain de 3000m² pour un projet de mosquée
Lors du débat de @F3cotedazur, Christian #Estrosi a menti aux Niçois en affirmant qu’il n’avait pas donné un terrain municipal de 3000m2 pour la construction d’une grande mosquée liée aux islamistes de l’UOIF.
Cette vidéo démontre et démonte son mensonge : diffusez-la !Regarder la video ici => fdsouche
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Carnage islamiste à la préfecture de police – Laurent Nuñez admet un… « loupé »
Alors que l’analyse par les enquêteurs des ordinateurs et du téléphone portable de Mickaël Harpon a apporté ces derniers jours de nouveaux éléments confirmant la motivation islamo-terroriste de l’auteur de la tuerie de la préfecture de police de Paris du 3 octobre dernier, Laurent Nuñez était auditionné mercredi par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les fameux « dysfonctionnements » qui ont permis à Harpon de commettre ce carnage. Une audition au cours de laquelle le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, ne craignant pas l’euphémisme, a admis un « loupé » dans la détection de Harpon.
« Comment tuer les mécréants »
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Marc Trévidic sur les 43 jihadistes libérés en 2020
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Un policier suspendu pour radicalisation réintégré dans une autre unité
Il avait été écarté à la suite de l’attaque de la préfecture de police. Un agent suspendu pour des soupçons de radicalisation va être réintégré aux forces de l’ordre, dans un service différent, dès la semaine prochaine.
le policier devrait reprendre le travail le 2 mars prochain, dans une antenne en charge de la fraude fiscale. Il travaillait avant à la traque de fugitifs.
(…) Son comportement avait été signalé en 2011 après son mariage avec une avocate de confession musulmane et sa conversion. Son refus de tout contact avec personnel féminin, sa nouvelle barbe et ses discours sur la religion avaient suscité l’inquiétude de ses collègues. Les collègues du capitaine l’ont à nouveau signalé fin 2019.
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Macron, chef du Système qui en est à l'origine, veut lutter contre le séparatisme islamique !
Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes (Bossuet).
Nous vivons l'époque de la hideuse Sainte Alliance de la Révolution et du Fric (ce que l'Action française appelait "la fortune anonyme et vagabonde"). L'une comme l'autre unies dans la volonté acharnée de noyer la France (et l'Europe) sous le flot incessant de l'immigration invasion :
- les révolutionnaires pour briser les dernières résistances qui s'opposent à leurs chimères universalistes, et qui sont culturelles, nationales, identitaires; celles qu'opposent à une utopie mondialiste révolutionnaire les anciens peuples/nations historiques de l'Europe chrétienne, ancrés dans une Histoire bi-millénaire, et partageant un socle commun de valeurs gréco-romaines et judéo-chrétiennes...
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Terroristes libérés de prison, tout va bien pour le ministre de la Justice, Nicole Belloubet
Nicole Belloubet, ministre de la Justice du gouvernement Macron, l’a annoncé lundi dernier : 43 djihadistes détenus sortiront de prison en 2020, une soixantaine en 2021.
En janvier, le premier est sorti, Flavien Moreau. Il avait fait de multiples voyages en Syrie et avait été condamné à 7 ans de détention. En prison, il n’a rien perdu de son amour pour le djihad, bien au contraire.
Le ministre a souligné, pour se montrer rassurante, qu’actuellement ces détenus font « l’objet d’une double mesure : un contrôle judiciaire qui fait qu’ils sont pris en charge à leur sortie et des mesures administratives de surveillance ». Et d’ajouter : « Les services de renseignement les suivent de manière très précise » lors de leur sortie de prison.