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islamisme - Page 185

  • Nicolas Bay en déplacement au Centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe (61)

  • Le Hijab vous souhaite la bienvenue !

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    La chronique de Philippe Randa

    À défaut d’arrêter le progrès, on n’arrête pas non plus le vivre ensemble. Ainsi, après le burkini sur les plages, voici le temps du hijab sur les panneaux de bienvenue : en Suède, on entre donc dans la ville de Gävle avec le sourire d’une dame « symbole de la grande diversité de la ville » !

    Comme on pouvait s’y attendre, la facétie en irrite plus d’un.

    « Il faut penser à ce que cela signifie. Certaines portent ce vêtement, le hijab, volontairement. Mais pas toutes. Pour des millions de femmes dans le monde, ce vêtement représente un manque de liberté », s’est insurgé le député démocrate suédois Roger Hedlund, membre du conseil municipal de Gävle.

    Ça n’est pas venu à l’esprit de Johan Adolfsson, responsable de la communication pour la municipalité de Gävle pour qui, la femme en question est « une des nombreuses femmes musulmanes de Gävle… »

    « Actuellement, nous apprend le site LesObservateurs.ch, la Suède ne connaît pas d’interdiction générale des vêtements islamiques, tels que le hijab, la burqa ou le niqab. Toutefois, les employeurs individuels peuvent interdire aux employés de porter des symboles religieux, philosophiques ou politiques pendant les heures de travail. En revanche, la police et les pompiers sont autorisés à porter le hijab. »

    Il est bien loin l’époque où ceux qui martelaient que l’immigration était une chance pour la France, voulaient nous convaincre qu’il fallait aider les immigrés à s’intégrer d’abord pour mieux qu’ils s’assimilent ensuite grâce aux sacro-saintes « valeurs républicaines ». Aujourd’hui, il faut « vivre avec leurs valeurs »… en attendant demain, de « vivre leurs valeurs » ? On ne cache pas sa joie à cette idée !

    Lire EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • In Memoriam. Guillaume Faye (1949-2019), artisan du réveil de l’Europe colonisée

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    Le polémiste Guillaume Faye a rendu les armes. Les dieux lui réservent à coup sûr une place de choix au banquet des héros. En attendant, l’Europe vient de perdre un artisan de son réveil, lui qui avait annoncé, avant tout le monde, la colonisation de l’Europe, le grand remplacement, l’immigration massive venue d’Afrique et d’Asie, et le scénario qui se trame aujourd’hui sous nos yeux.

    C’est en 2002 que j’ai été foudroyé à la lecture du livre La Colonisation de l’Europe, discours vrai sur l’immigration et l’islam, paru en 2000 (L’Aencre). À peine âgé de 18 ans alors, j’ai littéralement bu cet ouvrage, qui a profondément remué le militant de la gauche nationaliste bretonne que j’étais à l’époque et qui a été l’un des déclics de mon engagement au sein de la mouvance identitaire par la suite. Quelques années plus tard, lors d’un congrès d’Adsav, le parti du peuple breton, j’ai eu l’immense honneur, à l’époque, de précéder l’allocution de Guillaume Faye à la tribune. Une allocation, qui, elle aussi, par son dynamisme, par son humour, par son entrain, par son efficacité, par son éthylisme également, avait subjugué la salle.

    Je ne pourrai pas parler de Guillaume Faye avant cette période, ne l’ayant pas connu. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, licencié d’histoire et de géographie, Guillaume Faye a également fait des études de lettres classiques et de philosophie. Il a travaillé comme journaliste au Figaro-Magazine, à Paris-Match, à VSD, à Magazine-hebdo, à Valeurs actuelles et à la radio « libre » La Voix du Lézard. Il fut un théoricien de la Nouvelle droite, « un pourfendeur virulent de la société établie, de l’Occident et des idéologies occidentales, ainsi qu’un chaud partisan d’une alliance entre l’Europe et le tiers-monde » peut-on lire sur la fiche Metapedia le concernant.

    C’est surtout à partir de 1998, période à laquelle il commence à publier plusieurs livres de réflexion, qu’il devient penseur identitaire reconnu. C’est également à cette période que sa route se sépare du GRECE.

    Je ne rentrerai pas dans des débats que les gens de même pas 20 ans à l’époque ne pouvaient pas connaître. Le fait est que Guillaume Faye, par sa plume incisive, par son franc-parler, par la manière de décrire simplement des situations sans perdre son temps en philosophie abstraite, a su parler à une jeunesse qui se voulait militante, activiste, et rebelle.

    De Pourquoi nous combattons à L‘Archéofuturisme (et à sa deuxième version, 2.0) en passant par son programme politique ou par un Sexe et Dévoiement d’anthologie, tout chez Guillaume Faye était inventif, provocateur, créatif, percutant. Guillaume Faye était l’anti-réactionnaire par excellence. Il avait compris qu’il fallait regarder vers le futur, et qu’il ne fallait pas être réfractaire à l’évolution, au progrès technique, aux nouvelles technologies. Qu’il fallait juste s’en servir, les faire évoluer, les dompter, les rendre utile, pour notre civilisation.

    Je n’ai pas encore lu son dernier livre Guerre civile raciale, mais il est évident que ce vieux loup de Guillaume Faye a sans doute continué à balancer quelques obus politiques dans ces pages !

    Depuis que je l’ai connu, j’ai eu plusieurs fois l’occasion, l’honneur de discuter et d’échanger avec lui, notamment lors de ses venues à Ti-Breizh, la maison de l’identité bretonne de Guerlesquin. Guillaume Faye, esprit curieux et ouvert, a toujours suscité des critiques, des remarques. Qui m’ont toujours profondément agacé. Oui, il buvait plus que de raison. Peut-être même se droguait-il. Oui, il a eu une vie totalement débridée. J’ai envie de dire, et alors ? Ce génie laisse derrière lui une œuvre complète qui, dans plusieurs siècles, permettra peut-être d’expliquer pourquoi notre civilisation est morte ou bien alors, ce que j’espère, comment est-ce qu’elle a réussi à faire face aux maux qu’elle traversait… Et aux génies, on se doit de pardonner tous les excès, puisqu’ils font eux aussi partie des traits du génie ! 

    Guillaume Faye était un génie politique, quoi qu’en disent ses détracteurs, parfois sans doute par jalousie inavouée. Certains de ses livres, comme La Nouvelle question juive ou Comprendre l’islam, ont suscité des grosses critiques politiques, ou moins d’intérêt ? Gardons de lui ce qu’il est essentiel de garder.

    La Colonisation de l’Europe, bien avant le succès plus grand public de Laurent Obertone. L’Archéofuturisme, sans que quiconque n’ait réussi à produire depuis une synthèse entre notre longue mémoire et notre avenir. Il faut lire, faire lire, faire relire Guillaume Faye autour de soi. Il avait écrit ce qui se passe aujourd’hui, et l’avait dénoncé, avant tout le monde, tandis que d’autres, pour ne pas saborder de modestes carrières, se planquaient.

    C’est n’est qu’un Au Revoir Guillaume. Tu dois enfin pouvoir te reposer là où tu es. Sans doute encore un verre de vin à la main, mais l’alcoolisme n’est plus une maladie là où tu es, c’est certain ! Nous, de notre côté, nous continuerons de parcourir tes livres, nous les lirons, nous les transmettrons. Ils nous permettront de garder les yeux grands ouverts, et d’affronter, dès aujourd’hui, les menaces auxquelles l’Europe est confrontée.

    Un Européen libre et rebelle nous a quittés.

    YV Tribune reprise de breizh-info.com

    https://fr.novopress.info/213862/in-memoriam-guillaume-faye-1949-2019-artisan-du-reveil-de-leurope-colonisee/#more-213862

  • Emmanuelle Ménard : « Ce défilé de femmes voilées, en cette journée de la Femme, était juste une provocation »

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    8 mars, Journée internationale de la femme. À cette occasion, Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, a voulu rendre hommage à une belle figure de femme, Jacquette de Bachelier, qui vivait à Béziers aux XVIe et XVIIe siècles. Par ailleurs, la députée explique pourquoi la municipalité de Béziers a décidé d’interdire un stand de femmes portant le voile islamique à l’occasion du Salon de la femme et du bien-être.

  • Quand la prison ultra-sécurisée dorlote l’islamiste !, par Ivan Rioufol

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    La menace islamiste reste un impensé, jusqu’au cœur de la prison. Michaël Chiolo, détenu français converti à l’islam en 2010, en donne un aperçu terrifiant. Mardi matin, il a sévèrement blessé au couteau deux surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe, aux cris d’”Allah Akbar !”. Son profil de radicalisé était connu de l’administration pénitentiaire. Il était inscrit au fichier pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste. Condamné à trente ans de réclusion pour le meurtre crapuleux d’un ancien résistant de 89 ans, il avait également, par la suite, était reconnu coupable d’apologie du terrorisme (un an de prison supplémentaire) pour avoir demandé à ses codétenus de rejouer la tuerie du Bataclan dans la cour de la maison d’arrêt, présentée comme un établissement ultra-sécurisé.

    Or Chiolo, alias Abdel-Karim, n’était pas considéré comme spécifiquement dangereux. Non seulement il n’était pas détenu dans le quartier prévu pour les radicalisés, mais il avait bénéficié de l’usage d’une unité de vie familiale (UVF), cet espace intime qui permet au prisonnier de se retrouver avec sa famille durant 24 ou 48 heures (72 heures parfois). C’est dans cet appartement confortable que Chiolo avait fait venir son épouse. Arrivée entièrement voilée, elle n’avait pas été fouillée pour autant. C’est elle qui a introduit le couteau en céramique (indétectable), et peut-être des explosifs. Dans l‘assaut du Raid qui a mis fin à dix heures de retranchement du couple, la femme a été tuée.

    Autant de légèretés accumulées laisse sans voix. Cette naïveté face à l’islam radical en dit beaucoup sur la banalisation du danger par les autorités publiques. Nicole Belloubet, la garde des Sceaux, n’est pas crédible quand elle assure, ce mercredi, que le problème de la radicalisation en prison n’est pas “sous-estimé” mais qu’il est au contraire “pris à bras le corps”. Il est impardonnable, par exemple, de laisser venir des visiteurs sans fouilles préalables. Les failles béantes apparues hier ne sont pas nouvelles. Elles sont le résultat d’un laxisme né de l’excuse sociale. Cette faiblesse est d’autant plus préoccupante que la France pourrait recevoir certains des djihadistes vaincus en Syrie. Ce matin, Rachida Dati, ancien garde des Sceaux, a réclamé sur RTL “une politique pénale sur la radicalisation en prison”. C’est ce manque persistant qui pose problème.

    Comment comprendre que la terreur islamiste ne soit toujours pas prise en compte à sa juste mesure ? Les islamistes incarcérés, comme Chiolo, ne sont pas seulement des détenus de droit commun. Ils sont des bombes à retardement. Ils ne doivent pas se faire dorloter dans des UVF, mais être mis à l’écart et sous surveillance constante. Ce matin, 18 prisons étaient bloquées par un mouvement de surveillants, légitimement excédés. Mais eux-mêmes ont -ils toujours clairement sonné l’alarme sur la dangerosité spécifique des radicalisés ? Après avoir débattu de ce sujet, mardi soir sur CNews, avec Yoan Karar (surveillants FO), je n’en suis pas certain.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 6 mars 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • La gauche, l'islamisme et leur mystère

    6a00d8341c715453ef0240a490dc63200b-320wi.jpgLa dernière édition de Valeurs actuelles,[1]titrait la semaine écoulée, sur les islamo-gauchistes. L'hebdomadaire conservateur enquête en effet « chez les anti Finkielkraut au cœur d'une dérive française ». Une telle plongée devrait ouvrir les yeux de tous ceux qui, en toutes circonstances, mettent en accusation et désignent pour méchants du film, les populistes (pouah !), les nationalistes, coupables de tous les maux.

    Le mariage de la gauche et de l’islamisme ne produit pas seulement des attitudes absolument indignes, il relève de l’absurdité.

    Absurde en effet, du moins en apparence, ce paradoxe, l'un des plus surprenants du spectre politique européen. Il peut être appelé à juste titre l'islamo-gauchisme. L'expression ne détonne même plus.

    Sans appartenir en rien à la vieille gauche, on peut sans trop de polémique la créditer d'un complexe à la fois laïc, égalitaire, à prétention scientifique, tourné vers ce que les réactionnaires considèrent comme une illusion : le progrès.

    L'islamisme au contraire, sous aucun de ces aspects, n'adhère à de telles références.

    La sacro-sainte laïcité devrait naturellement s'opposer à tout ce qu'enseignent les différentes écoles théologiques et jurisprudentielles coraniques. La religion y inspire chaque chose. Elle se mêle de chaque action, s'insinue dans la moindre pratique, si possible en imitant le comportement supposé du fondateur, il y a quelque quatorze siècles[2]. Les hiérarchies sociales, familiales, conjugales, lui paraissent immuables, dictées par des lois divines.

    Tous ceux qui voudraient, à l'instar des Occidentaux, faire de la Science ou bien un absolu, ou bien une réalité que les écritures sacrées ne sauraient préempter, paraissent, au musulman pieux, des chiens d'infidèles. Quant à l'évolution du monde vers une sorte d'aimable un point oméga, téléologie implicite et optimiste de toutes les gauches, voilà qui paraît, là aussi, aux croyants de l'islam au mieux une billevesée, au pire un blasphème. La fin des temps ne se révélera pas au terme de jours meilleurs mais au contraire dans le chaos et la douleur.

    L'incompatibilité des deux visions du monde paraît totale.

    Et pourtant, tous les jours, ce sont bien des gens classés à gauche qui font mine de prendre parti, en Europe, pour accorder plus de places aux adeptes de l'islam.

    À divers égards, on peut penser qu'il s'agit d'une simple tactique électorale. Dans la politologie américaine, le parti démocrate fédère les voix des minorités ethniques.

    Cela s'est progressivement installé aussi bien en France.

    Le progrès économique a privé les partis marxistes de leur clientèle prolétarienne d'autrefois. Le parti communiste en est réduit en France à des pourcentages de misère, y compris dans ses vieux bastions rouges. Quant aux socialistes, il y a bien longtemps que son problème a pu être dénoncé comme un complexe de « prolophobie ». L'expression semble avoir été inventée par un conseiller en communication de l'équipe Hollande[3]. Sa clientèle ne se situe même plus dans les fiefs résiduels de la CGT, chez les personnels à statut, mais dans les couches moyennes de la fonction publique. Le mythe, le soupçon antiraciste, a pu bénéficier au second tour, pendant un quart de siècle aux politiciens socialistes. Ce fut toute l'habileté d'un Mitterrand de dessiner un échiquier à partir des années 1980, puis de la campagne de SOS Racisme.

    Depuis, la pratique quotidienne a sans doute détruit, au bout de quelque 30 ans, une part de cette mythologie antiraciste auprès des populations qu'elle ne parvient plus à rassembler que du bout des lèvres, au second tour.

    Mais la gauche du nouveau monde, de plus en plus, est bel et bien devenue le parti des complaisances pour l'islamisme et pour tous ses corollaires, les bandes voyoucratiques de casseurs et de pillards, les trafics de drogue, l'antisémitisme des banlieues mais aussi les profanations quotidiennes, impunies et ignorées des médias, des églises et des cimetières chrétiens.

    Cette gauche du nouveau monde est ainsi devenue le parti de la destruction méthodique du pays et de l'Europe.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    6a00d8341c715453ef0240a490dc9a200b-120wi.jpg[1] Numéro 4298 du 28 février au 6 mars
    [2] cf. "Qui était Mahomet" par Henri Lammens.
    [3] cf. article "Il faut chasser des instances du PS les réflexes de prolophobie". François Kalfon, secrétaire national du PS aux études d'opinion, retrace la relation du parti aux électeurs populaires et analyse la situation actuelle.

    https://www.insolent.fr/

  • Stéphane Ravier : « Le grand débat organisé dans une mosquée islamiste à Marseille : c’est la laïcité version Macron ! »

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    Lundi soir, à Marseille, c’est à la mosquée Islah qu’a eu lieu un grand débat en présence du député LREM Saïd Ahamada. Dans les colonne de Boulevard Voltaire, Stéphane Ravier dénonce une grave atteinte à la laïcité, les responsables de cette mosquée dispensant, selon lui, un discours de haine appelant au meurtre des mécréants.

    Depuis le tweet de protestation de Stéphane Ravier, le site de la mosquée a été fermé, fait remarquer le sénateur des Bouches-du-Rhône.

    Le grand débat national continue. À Marseille, il a notamment eu lieu dans une mosquée qualifiée d’islamiste. En quoi cela est-il choquant ?

    Lorsque le grand débat se fait à Marseille, il se fait dans une mosquée… tout un symbole ! J’ajoute qu’il s’agit bien d’une mosquée islamiste. Elle publie, donc elle cautionne, les ouvrages du premier des islamistes du XXe siècle sur son site Internet. Il y est question de tuer les apostats, de djihad, etc. Nul ne pouvait ignorer les appels à la haine propagés sur ce site, y compris les pouvoirs publics.
    Le député de La République en marche élu de cette circonscription, monsieur Saïd Ahamada, qui a des ambitions municipales pour 2020, y a pourtant participé.
    C’est la laïcité version nouveau monde, version Macron.
    C’est très inquiétant. Cette mosquée aurait dû être sous contrôle de l’État depuis bien longtemps. Cela fait plusieurs mois que j’ai alerté les pouvoirs publics, et notamment le préfet de région, sur les publications de cette mosquée sur son site Internet. Ce dernier m’avait répondu qu’il avait pris en compte mes remarques. Curieusement, depuis mon tweet d’hier, ce site Internet est fermé. Heureusement que j’ai en ma possession toutes les captures d’écran nécessaires pour prouver tout ce que j’ai annoncé il y a déjà plusieurs mois.

    Est-ce que le choix de ce lieu exclut de fait une partie des citoyens ?

    Tout le monde est, certes, libre d’aller en ce lieu, mais avouons que c’est assez symbolique et qu’il est possible de le voir comme un débat entre citoyens musulmans. Et pas seulement citoyens français, d’ailleurs. Cela ressemble quand même fort à une démarche discriminatoire. Qu’un élu de la République puisse participer à ce genre de démarches est inquiétant pour notre ville et notre pays. Cela en dit long sur les intentions d’Emmanuel Macron de vouloir réformer la laïcité pour qu’elle fasse une place à l’islam, alors que c’est à l’islam de se conformer à nos lois.

    On ne vous a pas entendu vous choquer lorsque les réunions dans le cadre du grand débat avaient lieu dans des églises.

    Je n’en avais pas entendu parler. Mais quand bien même, jusqu’à présent, à ma connaissance, il n’y a pas d’appel à la haine, au meurtre et au rejet sur les sites Internet des paroisses. Les églises sont, d’ailleurs, plutôt le lieu qu’occupent les clandestins, avec le soutien de la hiérarchie ecclésiale, comme c’est le cas à Marseille.
    Je crois qu’on ne peut pas comparer l’un et l’autre.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/213850/stephane-ravier-le-grand-debat-organise-dans-une-mosquee-islamiste-a-marseille-cest-la-laicite-version-macron/

  • Prisons, usines à islamistes ?

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    Un détenu islamiste a attaqué avec sa compagne deux agents pénitentiaires de la prison d’Alençon-Condé. Les forces de l’ordre ont donné l’assaut après plusieurs heures de siège. Le terroriste a été interpellé et sa complice tuée.

    L’un des établissements les plus sécurisés de France cible de deux terroristes. Mardi 5 février aux alentours de 9 h 45, après un week-end passé ensemble dans l’unité de vie familiale, Michaël Chiolo et sa compagne Hanane Aboulhana ont attaqué deux surveillants pénitentiaires de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne), à l’aide d’un couteau en céramique. Michaël Chiolo se réclamerait de l’Etat islamique et dit avoir agi « pour venger Chrérif Chekatt », le terroriste ayant tué cinq personnes à Strasbourg, en décembre dernier. Ils se seraient connus lors d’un séjour à la prison d’Epinal. Après s’être retranchés dans l’unité de vie familiale pendant sept heures, ils ont été délogés vers 19 h 30 par le RAID. Le terroriste a été interpellé, tandis que sa compagne est décédée des suites de ses blessures.

    Agées d’une trentaine d’années, les deux victimes ont été hospitalisées. L’un d’eux aurait été « éventré », tandis que son collègue aurait été gravement touché au visage. Leurs jours ne sont « pas en danger », mais ils restent « très perturbés par cette agression sauvage », selon Philippe Devique, secrétaire régional du syndicat UFAP. La section antiterroriste du parquet de Paris a annoncé s’être saisie de l’enquête.

    Un terroriste converti

    Michaël Chiolo, 27 ans, n’était pas dans le quartier pour radicalisés (QPR), ouvert en septembre. Détenu de droit commun, il avait été condamné en appel à 28 ans de prison ferme, en décembre 2015, après avoir séquestré puis étouffé un octogénaire à son domicile, près de Metz (Moselle) en 2012. Converti à l’islam en 2010, il se fait remarquer en novembre 2015, lorsqu’il demande à ses codétenus de « rejouer » l’attaque du Bataclan dans la cour de la maison d’arrêt de Mulhouse. Il sera condamné à un an de prison ferme.

    Selon son avocat, Me Pauline Brion, Michaël Chiolo avait demandé après sa conversion « qu’on lui trouve une épouse ». C’est avec Hanane Aboulhana, 34 ans, qu’il projetait de se marier après l’avoir rencontrée en prison. Elle n’était pas fichée pour des faits de radicalisation.

    Une profession en danger

    « Il y a un an, nous avons connu une mobilisation sans précédent pour réclamer davantage de moyens et donc davantage de sécurité. Un an après, pas grand-chose n’a changé », déclarait Emmanuel Guimaraes (FO), le 12 février dernier. Et le temps ne fera rien à l’affaire. Le retour prévu de 150 djihadistes partis prendre les armes en Syrie pour le compte de l’Etat islamique pourrait augmenter considérablement l’insécurité dans les prisons, mettant en péril le travail des gardiens, insuffisamment armés et formés, en proie à des criminels de guerre.

    Joseph Rousseau, de FO Pénitentiaire à la prison d’Alençon, s’est indigné : « Face au détenu radicalisé armé d’un couteau, les surveillants n’avaient que deux sifflets… »

    Etienne Lafage

    Article paru dans Présent daté du 6 mars 2019

    https://fr.novopress.info/213847/prisons-usines-a-islamistes/

  • Jean-Michel Blanquer autorise les écoles du mouvement islamiste turc Millî Görüş

    Jean-Michel Blanquer autorise les écoles du mouvement islamiste turc Millî Görüş

    Lu sur le site Dômes et Minarets :

    « Après le collège Eyyûb Sultan en 2014, c’est une école élémentaire qui ouvrira à la rentrée dans la capitale alsacienne. Les pré-inscriptions pour l’année 2019-2020 sont désormais ouvertes. Avec ce nouvel établissement privé, la Confédération Islamique du Millî Görüş à travers son réseau UEPM renforce sa présence au sein de l’enseignement musulman privé en France. Celui-ci comprenant une centaine d’écoles et de projets d’écoles. Deux autres écoles privées sont en projet dans le Grand-Est à Belfort et Besançon, toujours portés par la même organisation. »

    Pour comprendre la nature du Millî Görüş lire ce dossier complet.

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-michel-blanquer-autorise-les-ecoles-du-mouvement-islamiste-turc-milli-gorus/

  • Attaque à Condé-sur-Sarthe: les prisons face au défi de la radicalisation islamiste

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    Michaël Chiolo, le détenu radicalisé qui a poignardé mardi matin deux surveillants à la prison de haute sécurité de Condé-sur-Sarthe, a été interpellé dans la soirée à l’issue d’un assaut des forces de l’ordre au cours duquel sa compagne a été tuée. Détenu de droit commun, Michaël Chiolo, qui purge une peine de 30 ans, se serait “radicalisé en prison”, selon une source policière, mais n’était pas détenu dans le quartier pour radicalisés ouvert en septembre. Converti à l’islam en 2010, le détenu purge une peine de réclusion criminelle pour arrestation, enlèvement, séquestration suivie de mort et vol avec arme, et d’un an d’emprisonnement pour apologie publique d’acte de terrorisme.

    Nicole Belloubet a annoncé avoir saisi l’Inspection générale de la justice pour comprendre comment un détenu radicalisé a pu attaquer deux surveillants avec couteau introduit en détention sans être détecté lors des contrôles de sécurité.

    https://fr.novopress.info/213829/attaque-a-conde-sur-sarthe-les-prisons-face-au-defi-de-la-radicalisation-islamiste/