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islamisme - Page 185

  • Fiche S: qu’est ce que c’est ? Combien de personnes sont concernées ?

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    En France, une fiche S est une fiche signalétique du fichier des personnes recherchées. La lettre S est l’abréviation de « sûreté de l’État ». Les fiches S sont principalement émises par la direction générale de la Sécurité intérieure.

    A noter qu’il ne n’agit pas d’un fichier pénal. Les personnes qui figurent sur une “fiche S” n’ont donc pas forcément été condamnées – c’est même le cas de la grande majorité d’entre elles.

    En France, combien de personnes sont concernées ?

    https://fr.novopress.info/212994/fiche-s-quest-ce-que-cest-combien-de-personnes-sont-concernees/

  • Enfin une bonne nouvelle aux yeux des Français

    6a00d8341c715453ef022ad3c6e68f200b-320wi.jpgLe bon goût et les scrupules vaguement hérités du christianisme le commandent. En principe, on ne se félicite pas de la mort d'un homme, ni d'ailleurs de celle d'un chien. Pourtant ce jeudi 13 décembre, 48 heures après l'attaque criminelle contre le marché de Noël à Strasbourg chacun pouvait constater la satisfaction et même les applaudissements de tout le pays, apprenant que Chérif Chekatt, auteur de l'attentat avait été abattu. Vers 21 heures, des policiers en situation de légitime défense ont appliqué eux-mêmes la peine de mort, n'en déplaise aux admirateurs de Badinter.

    "Très bonne nouvelle", réagit sur C News, dès qu'il l'apprend, le juge Fénech.

    Quelques minutes plus tard, à 22 heures, Castaner intervient. Meilleur dans le costume du communicant que dans celui du ministre de l'Intérieur, responsable de l'ordre public donc des désordres. Nous avons suffisamment dénoncé ici sa médiocrité dans la gestion des manifestations, au départ pacifiques, des gilets jaunes pénétrés par les casseurs et les black blocs. On doit au contraire le féliciter de son sobre et court propos de ce soir dans la capitale alsacienne. Il reflète ce que pensent tous les Français, y compris ceux qui se faisaient l'écho des rumeurs complotistes les plus irrecevables.

    Il semble donc utile de revenir sur l'environnement de cette traque de deux jours.

    Comme pratiquement toujours l'organisation État islamique a revendiqué, avec son délai habituel, le crime qu'il s'auto-attribue dans le cadre du djihad. Ce mot se voit ainsi flétri par ceux qui s'en réclament. Il en va de la sorte pour pas mal des concepts que véhicule la prédication mahométane, dénoncée dès son apparition au VIIe siècle par les Pères de l'Église, comme la Centième hérésie[1].

    Ergoter comme ne manquent pas de le faire, tant l'organe du bobolande Le Monde ne fait pas novation. Ce que les perroquets complices, déguisés en bisounours, cherchent à nous présenter comme la RATP, Religion d'Amour, de Tolérance et de Progrès a encore frappé. Voilà ce que pensent, globalement, à tort ou à raison, 80 % des Français. Et l'auteur de ces lignes ne se sent aucunement responsable de l'amalgame, fût-il dénoncé comme erroné, et de la stigmatisation, fût-elle ressentie pour injuste. Vox populi vox Dei, dites-vous, quand cela vous arrange.

    Depuis les Lettres écrites par Louis de Montalte à un provincial de ses amis, diffusées en 1656-1657 par les réseaux sociaux de l'époque, basés en Hollande, l'esprit français se croyait débarrassé, de la casuistique, par la plume géniale de Blaise Pascal. Reconnaissons humblement ici au sociologue franco-iranien Farhad Khosrokhavar, le mérite, ou le culot, d'avoir réhabilité à Paris cette forme de raisonnement, imputée aux jésuites espagnols. Pour ce Directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, l’auteur de la fusillade de Strasbourg n’est pas un djihadiste. Faut-il s'étonner que sa démonstration soit abritée précisément par Le Monde[2]?

    Fermer volontairement les yeux sur l'obscurantisme sans faille de la mouvance islamiste ne doit pas être considéré, cela étant, comme une nouveauté. Le congrès de Bakou, organisé par l'Internationale communiste en 1920 en a fait une doctrine marxiste-léniniste[3]. Les compagnons de route d'hier et d'aujourd'hui, attachés à la destruction de l'Occident, y ont toujours excellé depuis un siècle.

    Autre caractéristique du dossier, l'environnement dans lequel a germé cette plante vénéneuse. On apprend que tel frère de l'assassin réside en Algérie. Hélas c'est au profit de l'Alsace que s'est partiellement effectué le regroupement familial. L'erreur d'aiguillage, remontant à un décret signé Chirac en 1974 a fait le malheur des victimes. A l'heure où ces lignes sont écrites le plus récent dénombrement déplore trois morts et treize blessés.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Lire à ce sujet les œuvres de saint Jean Damascène disponibles en français: et notamment "Écrits sur l'islam" [collection Sources chrétiennes n°383].
    [2] cf. "Chérif Chekatt ou le faux djihadiste""
    [3] cf. mon petit livre "La Faucille et le Croissant" Islamisme et bolchevisme au congrès de Bakou.

    https://www.insolent.fr/page/2/

  • Terrorisme islamique : gouvernement et majorité aveugles, sourds et muets

    Terrorisme islamique : gouvernement et majorité aveugles, sourds et muets

    Lors de la séance de questions/réponses, mercredi 12 décembre à l’Assemblée nationale, et interrogé par six députés successivement sur l’attentat de Strasbourg, le gouvernement représenté tantôt par Edouard Philippe, tantôt par Christophe Castaner ou Laurent Nunez n’a pas prononcé une seule fois le mot islamiste ou islamique. Pas une fois.

    Boris Vallaud (PS) interroge sur l’état de la menace terroriste. Aucune réponse globale, simplement un rappel par Christophe Castaner que

    « cet individu est connu depuis très longtemps, hélas ! pour des faits de droit commun. Il a été condamné pour la première fois à treize ans. Ses actions, son comportement systématiquement marqué par la violence, lui ont valu soixante-sept inscriptions. Il a été identifié pour radicalisation, et était suivi pour cela. »

    Frédéric Reiss (LR) interroge sur les mesures que le gouvernement entend prendre. Le gouvernement ne répond pas à la question.

    Bruno Studer (LREM), à la limite du sanglotement et qui tient à préciser que le terroriste est « un Strasbourgeois né à Strasbourg, un Alsacien né en Alsace, un Français né en France et n’ayant grandi nulle part ailleurs qu’à Strasbourg, en Alsace, en France » (N.D.L.R. : Chériff Chekatt, sans doute donc un indépendantiste alsacien…) demande aussi les mesures prises. Nous sommes rassurés alors d’apprendre que le gouvernement a

    « décidé, sous l’autorité du Premier ministre, de réagir immédiatement en élevant le niveau Vigipirate au niveau d’alerte « urgence attentat » ».

    Antoine Herth (UDI) demande si nous sommes « face à une nouvelle forme de terrorisme, œuvre d’un islamisme lié aux milieux crapuleux ? ». M. Castaner ne répond pas à la question posée.

    Eric Diard (LR) souligne que « ce terrible drame met une nouvelle fois en lumière la menace que représente la barbarie islamiste et notre difficulté à suivre efficacement les individus radicalisés. ». Il s’étonne parce que les mesures prises étaient celles prévues pour un délinquant de droit commun (on attend 6 heures du matin pour se présenter au domicile du «tueur pour l’appréhender en tant que délinquant de droit commun »). Pourtant il était fiché S depuis 2016 et inscrit au fichier FSPRT. Le secrétaire d’Etat Nunez (après que son ministre a bien dit que le terroriste était suivi pour radicalisation) réussit le tour de force de dire tout à la fois que « l’individu a en effet été détecté en détention » et que « malheureusement, l’on n’a jamais détecté de radicalisation ». Et donc,

    « parce que c’est notre travail, le cas a bien été évoqué en groupe d’évaluation départemental ; il a bien été décidé d’entraver l’action de cette personne, et si c’est la voie du droit commun qui a été choisie, c’est parce que c’était la seule permise par les textes ».

    Enfin en réponse à une question de Jean-Luc Mélenchon qui évoque le « mode opératoire du terrorisme » (sans précision), Edouard Philippe répond en parlant « symboles touchés par chacune des attaques terroristes ». Sans rien de plus.

    Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire. Pourtant, aux dernières informations, il semblerait que ce gouvernement et cette majorité soient toujours responsables de la sauvegarde de la France et des Français.

    https://www.lesalonbeige.fr/terrorisme-islamique-gouvernement-et-majorite-aveugles-sourds-et-muets/

  • Attentat de Strasbourg : fin de cavale pour Chérif Chekatt – Journal du vendredi 14 décembre 2018

     

    Attentat de Strasbourg : fin de cavale pour Chérif Chekatt – Journal du vendredi 14 décembre 2018

    Sécurité / Attentat de Strasbourg : fin de cavale pour Chérif Chekatt

    Chérif Chekatt abattu ! Après 48h de traque, les forces de l’ordre ont finalement mis la main sur le terroriste islamiste. Un soulagement pour les habitants de Strasbourg, pourtant la menace persiste.

    Social / Gilets Jaunes : Acte 5 : le clap de fin ?

    Stop ou encore ? Dans un contexte délicat, les Gilets Jaunes tenteront de maintenir leur mobilisation… cinq jours après les annonces d’Emmanuel Macron et quatre jours après l’attentat de Strasbourg, le mouvement pourrait bien connaître son dernier rassemblement pour l’année 2018.

    Social / Le retour de l’encadrement des loyers

    L’encadrement des loyers revient sur la table. Alors que les gilets jaunes continuent leur mobilisation, de nombreuses municipalités militent pour son retour sous couvert d’un regain de pouvoir d’achat. Un dispositif à double tranchant pour le marché de l’immobilier.

    International / Irak : la tentation sécessionniste

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/attentat-de-strasbourg-fin-de-cavale-pour-cherif-chekatt-journal-du-vendredi-14-decembre-2018

  • Cherif Chekatt, enfant monstrueux du multiculturalisme, par Ivan Rioufol

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    La Une de Libération, ce mercredi, résume bien la bienveillance médiatique à l’égard du radicalisme islamiste. Le journal titre en bandeau : Strasbourg, attaque meurtrière près du Marché de Noël. Il laisse en revanche la place centrale à une photo de lycéens de Mantes-la-Jolie (Yvelines) prise jeudi dernier. Sous le titre : Retour sur une humiliation, le cliché montre des jeunes agenouillés face à un mur glauque, têtes baissées, mains entravées dans le dos. Ce que l’on est invité à comprendre est limpide : la police s’est comportée à Mantes comme une force d’oppression brutale et injuste. L’attentat terroriste, commis hier soir par un fiché S (3 morts, 13 blessés) est, lui, relégué en information subalterne et édulcorée. Il est possible que Libé ait été lié par l’urgence de son bouclage.

    Il n’empêche : le choix paresseux de privilégier la victimisation de jeunes majoritairement issus de l’immigration, qui s’étaient pourtant prêtés à des violences urbaines depuis trois jours, est conforme à l’esprit de complaisance qu’observent la gauche et ses extrêmes vis-à-vis de la diversité sacralisée. Le “progressisme” n’a pas de mots assez durs pour dénoncer les dangers de l’extrême droite. Le chef de l’Etat a parlé de “lèpre qui monte” en pointant le réveil des nations. Son ministre Gérald Darmanin a récemment évoqué la “peste brune” pour parler des Gilets jaunes qui manifestaient à Paris. Mais les regards se détournent et les mots manquent dès qu’il s’agit de nommer l‘islam politique, totalitaire, conquérant. Il frétille librement dans les cités, comme un poisson dans l‘eau.

    Cherif Chekatt, 29 ans, toujours en fuite ce mercredi à midi, est né à Strasbourg dans un quartier aux influences salafistes. Ce multirécidiviste devenu terroriste est le produit de la nouvelle société multiculturelle. Elle s’est constituée sous le poids d’une immigration musulmane de masse. Elle a rompu, pour une partie importante, avec le processus d’assimilation. L’idéologie islamiste, qui déteste l’Occident et la France tout particulièrement, a trouvé refuge dans ce communautarisme lâchement toléré. Et c’est bien cette insouciance du pouvoir qui est scandaleuse. Cela fait 40 ans que l’Etat laisse s’établir et prospérer une contre-société dont une partie de la jeunesse se radicalise.

    Ces territoires perdus ne cessent d’enfanter leurs monstres quand ils passent à l’acte guerrier. Ceux qui se sont autorisés à insulter les Gilets jaunes, trop homogènes, provinciaux et enracinés à leurs yeux, sont souvent les mêmes qui font valoir la culture de l‘excuse sociale dès qu’il s’agit des nouvelles minorités ethniques ou religieuses. La gauche et l’extrême gauche, qui croient reconnaitre dans le musulman le nouveau juif persécuté, se prêtent en fait à une collaboration honteuse quand elles minimisent le danger de l’islamofascisme, pour préférer alerter sur une “ultradroite” qui menacerait la République. Dans ce contexte, la signature par la France du pacte de l’ONU sur les migrants, lundi au Maroc, consolide la dérive multiculturelle. Le texte incite à “promouvoir le respect mutuel des cultures, des traditions et des coutumes entre les communautés d’accueil et les migrants”. L’islam radical se frotte les mains…

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 12 décembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Xavier Raufer : « Chérif Chekkat [était] un islamiste dangereux, l’un de ses frères l’est encore plus »

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    Pour Boulevard Voltaire, le criminologue Xavier Raufer revient sur le cas Chérif Chekkat, auteur de l’attentat au marché de Noël de Strasbourg. Quelques heures plus tard, le terroriste allait être retrouvé et abattu.

    Cherif Chekatt a ouvert le feu pendant le marché de Noël de Strasbourg.
    Comment a-t-il pu frapper dans la mesure où les points d’accès au marché de Noël étaient sécurisés ?

    Cherif Chekatt arrive sur le point de contrôle situé au niveau du pont du Corbeau et de la rue du vieux marché aux poissons vers 19h40.
    Au même endroit, une heure avant, une dame habitant Strasbourg m’écrit dans un mail qu’elle a été contrôlée de près. On lui avait demandé de présenter ses papiers d’identité et d’ouvrir son sac.
    Lorsqu’il s’y présente, Cherif Chekatt sait qu’il est poursuivi par la police et par la gendarmerie puisqu’il a failli être arrêté le matin même. Il n’était pas présent à son domicile. Les gendarmes ont perquisitionné son appartement et ont trouvé au moins une grenade défensive, une arme de guerre très dangereuse. Si vous larguez ce type de grenade dans une pièce, elle tue une trentaine de personnes. Ils ont également trouvé une arme de poing.
    À la suite de cette perquisition, les gendarmes ont fait leur boulot puisqu’ils ont publié une note d’alerte stipulant qu’un individu dangereux était en fuite. Ils ont joint sa taille, son poids, sa photographie, son patronyme et les endroits où il était susceptible de se trouver. La perquisition a eu lieu vers 6 heures du matin et la fiche en question est apparue sur les terminaux de police et de gendarmerie au plus tard à 7h30.
    Le même soir vers 19h40, ‘’l’intéressé’’, comme on dit dans les rapports de police, arrive à ce point d’où il peut accéder au centre-ville et où il est supposé être bien contrôlé et fouillé.
    On ne sait pas comment, mais il passe avec une arme de poing impressionnante, un vieux pistolet d’ordonnance et un poignard. Il était donc censé être fouillé et ne pas pouvoir entrer même avec un trombone ou une épingle. Pourtant, il passe.
    On peut décliner trois hypothèses pour l’expliquer. Première hypothèse, les gens censés être sur le point de contrôle ne voient plus clair parce qu’ils sont épuisés après avoir été sur des manifestations de lycéens le matin. Deuxième hypothèse, ils étaient en train de partir et ont négligé de contrôler l’individu en question. Dernière hypothèse, ils n’étaient déjà plus là.

    Il était officiellement poursuivi et recherché pour un braquage qui a mal tourné.
    Comme vous l’avez relevé, on n’envoie pas la DGSI pour un voleur de poules.
    Même s’il était fiché S, comment la DGSI a-t-elle pu être intéressée par un profil comme Cherif Chekatt alors qu’il avait officiellement le profil d’un braqueur ?

    Il est plus que fiché S. Un autre fichier existe. Le FSPRT est un fichier qui rassemble non seulement des personnes dont on est sûr qu’elles sont radicalisées, preuves à l’appui, mais également qu’elles sont dangereuses et ont accès à des armes ou à des outils dangereux.
    Cherif Chekatt figure sur les deux fichiers. En conséquence de quoi, tout ce qu’il fait est susceptible de basculer côté crime de droit commun. Il semble que la raison pour laquelle les gendarmes voulaient l’arrêter à ce moment-là était un home jacking. Cela consiste à s’introduire dans une maison pour braquer les habitants, voler leur argent et prendre leur numéro de carte bancaire. Il était avec 3 ou 4 complices d’origine maghrébine comme lui.
    Ils avaient peut-être l’envie ou le désir d’accumuler de l’argent pour pouvoir faire des attentats. On ne le sait pas pour le moment, mais nous le saurons peut-être. Ses trois complices ont été arrêtés. Ils sont entre les mains de la police.
    L’individu en question est signalé depuis trois ans pour son prosélytisme. C’est un véritable gibier de prison. Il est connu comme le loup blanc parce qu’à chaque fois qu’il est en prison, il y a coups et blessures sur les dépositaires de l’autorité. Il n’arrête pas de casser la gueule aux gardiens. Il le fait toujours dans des circonstances et avec des déclarations qui montrent que c’est un islamiste confirmé.
    L’islam fanatique salafiste interdit la musique, mais les guerriers ont le droit de chanter. Il a donc fait toutes sortes de déclarations sur ce qui s’appelle les anachid, les chants guerriers de Daesh. Il raconte que ‘’les abrutis de gardiens ne comprennent pas, mais nous les chantons dans toute la prison’’. Il est donc fier de son côté chahut militant, chahut islamiste à l’intérieur de la prison sur des chants de guerre qui appellent à tuer tous les infidèles. Il est clair que c’est un islamiste dangereux.
    La famille Chekatt est très compliquée. Ses parents et deux de ses frères ont été arrêtés. Le père a eu plusieurs épouses successives. Il a une ribambelle de frères et soeurs. Parmi eux, un des frères aînés de Cherif est encore plus dangereux, plus sophistiqué et plus organisé. Il n’a pas encore été arrêté. La crainte actuelle est que Cherif et son frère soient ensemble. Cela renforcerait certainement la capacité de nuisance de Cherif parce qu’il s’est pris une 5,56 dans le coude. Un de ses bras est donc neutralisé.

    On a du mal à imaginer qu’un homme aussi recherché et en plus blessé peut encore échapper aux forces de l’ordre…

    Deux solutions sont possibles. Premièrement, il se trouve peut-être en Allemagne, car nous avons eu deux signalements de deux Allemands crédibles. Ils ont dit avoir vu un garçon qui ressemblerait à Cherif. On cherche donc de ce côté-là, mais ce n’est pas sûr.
    Deuxièmement, depuis la zone où il a disparu, il peut très facilement rejoindre d’autres quartiers périphériques de Strasbourg où résident les éléments d’une importante communauté de Tchétchènes fanatisés et salafistes. Ce sont des gens redoutables dont certains sont d’anciens guerriers des guerres de Tchétchénie qui savent ce que c’est que la guérilla urbaine. D’autres sont plus jeunes comme les complices de Khamzat Asimov venu en mai dernier à Paris assassiner au nom de l’État islamique un passant au poignard dans le 2e arrondissement près du quartier de l’Opéra. Ce sont donc des garçons très dangereux.
    En somme, s’il a disparu en Suisse ou en Allemagne, on finira par le retrouver. S’il est planqué avec son frère aîné et des Tchétchènes, ça ne va pas être une promenade de santé pour aller le récupérer.
    Voilà où nous en sommes à l’heure actuelle.

    Xavier Raufer

    http://www.bvoltaire.fr/xavier-raufer-cherif-chekkat-etait-un-islamiste-dangereux-lun-de-ses-freres-lest-encore-plus/

  • Malaise sur le plateau de Cnews après les révélations de Xavier Raufer sur Cherif Chekatt

  • Terrorisme : l’impuissance vertigineuse de l’État

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    On sait maintenant qui est le « Français », le « Strasbourgeois » qui a tué trois personnes et en a blessé onze autres au Marché de Noël de la capitale alsacienne. Il s’appelle Cherif Chekatt. Ses parents sont d’origine marocaine, ce pays où se trouve Marrakech, où un ministre français vient de signer discrètement le pacte de l’ONU pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, c’est-à-dire en vue d’assurer le transport et l’accueil de migrants dont nos pays n’ont aucun besoin.

    Multirécidiviste international puisqu’il a profité de la proximité de frontières poreuses pour commettre 27 crimes et délits en France, en Allemagne et en Suisse, il n’a que 29 ans, et est passé de la délinquance à l’islamisme en prison, suivant le processus habituel. Son dernier séjour en détention en France s’est achevé en 2015. En 2016 et 2017, les geôles allemandes l’ont accueilli. Depuis 2016, il était fiché « S » en France pour radicalisation islamiste. Depuis août 2018, il est impliqué dans un vol avec violence et tentative d’homicide. Lorsque les gendarmes et la DGSI viennent le cueillir, il a quitté l’appartement où l’on trouve des armes, et s’est lancé dans son expédition meurtrière, au cri de « Allah Akbar » selon le procureur général de Paris, Rémy Heitz. On mesure avec ce résumé la dimension vertigineuse de l’impuissance de l’Etat.

    Nous sommes parvenus à une forme de société où tout est inversé, où les signes évidents d’une décadence mortelle sont applaudis comme autant de progrès. Ce n’est pas un progrès que de voir d’honnêtes gens mourir sous les coups d’ennemis de la société qui ont bénéficié de sa clémence, de sa volonté de racheter le coupable à tout prix, de son manque de conviction en ses propres valeurs, de sa repentance diffuse pour des crimes imaginaires, de l’épuisement de ses ressources, aussi, perdues dans le puits sans fond d’un État-Providence obèse et inefficace. Au nom d’une religion qui justifie la mort du mécréant et dans certains pays les peines les plus cruelles envers les délinquants, chez nous, c’est l’un d’entre-eux qui pratique la peine capitale pour participation à un marché de Noël !

    Est-il normal que le terroriste islamiste Salah Abdeslam vive à nos frais dans sa cellule, insultant en permanence ses gardiens alors qu’il refuse de parler à ses juges ? Serait-il si choquant de rétablir la peine de mort ? Serait-il scandaleux de restaurer la relégation dans la lointaine Guyane pour les récidivistes impénitents ou les djihadistes ? Serait-il inacceptable d’appliquer réellement les peines prononcées et de prévoir de très longues détentions pour les récidivistes, en partie financées par un travail obligatoire ? Serait-il injuste de priver de sa nationalité française un immigré qui en possède une autre et qui a commis un crime, voire un délit, ou bien encore qui est fiché « S » pour radicalisation islamiste ? Serait-il insupportable qu’on l’expulse de notre pays ? Toutes ces mesures seraient de bon sens parce qu’elle viseraient l’intérêt supérieur de la France et le bien commun des Français au lieu d’obéir à une idéologie suicidaire.

    L’attentat de Strasbourg n’est pas un complot gouvernemental. S’il est idiot de crier au complot, il serait niais de se cacher l’opportunité d’un événement qui doit réjouir secrètement le pouvoir, puisqu’il lui fournit l’argument d’un appel aux Gilets jaunes à cesser leur mouvement, alors que ses « gestes » n’y ont pas suffi. Devant l’émotion provoquée par ce nouvel acte criminel, si semblable à ceux qui l’ont précédé, le Président et le gouvernement vont appeler à la décence, à la responsabilité et à l’union sacrée. On aimerait une réponse plus forte et plus offensive, comme l’expulsion de tous les fichés « S » étrangers. Mais notre gouvernement est un artiste du faire semblant : de même qu’il prétend avoir répondu aux revendications des Gilets jaunes par la distribution de cadeaux de Noël sans portée réelle, de même il va poursuivre une politique d’immigration massive, et de justice passive qui continueront à désarmer notre pays.

    Christian Vanneste

    http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-limpuissance-vertigineuse-de-letat/

  • Les mahométans, « gentils donneurs de leçons de morale »

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    Bernard Plouvier

    Strasbourg (l’un des hauts-lieux de la politicaille européenne), soirée du 11 décembre 2018 : un fou furieux se réclamant du sieur allah tire sur les badauds d’un marché de Noël, en tue 3 et en blesse une douzaine, avant de fuir courageusement.

    Pas de quoi s’en étonner : c’est l’attentat mahométan de la semaine en Europe. Depuis la proclamation du Djihâd par le fou furieux Abou Bakr II en 2014, nous sommes habitués aux actes terroristes de ces fous haineux, d’ailleurs généralement connus des services de police (variante : de nos efficaces services de renseignements).

    C’est d’ailleurs le cas de ce tireur : djihadiste répertorié, ayant tâté de 6 mois de prison après une agression terroriste. Il avait écopé de deux ans, mais avec sursis pour la plus grande partie... ce qui est l’équivalent judiciaire d’une invitation à la récidive. C’est fait !

    La surprise de l’honnête citoyen ne provient pas du sociopathe assassin, ni de l’absurdité d’un système laxiste, dans lequel des fonctionnaires de l’État font semblant de punir et d’autres ne peuvent rien faire d’utile. Sur ce point, l’alternative est simple : ou on élimine, discrètement mais impitoyablement, les mahométans qui prônent le djihâd dès qu’on les a repérés, ou on cesse de promettre aux Français une « protection » parfaitement illusoire. Tout cela, on le sait depuis 2015. 

    La surprise – qui n’en est pas une vraie, car l’on avait déjà noté la tendance des jeunes mahométans à excuser les actes terroristes commis par les fous d’allah – vient d’une réaction à chaud d’un jeune mahométan qui crèche (c’est le mois idéal pour employer ce verbe !) à Strasbourg. Interrogé par un journaliste de Cnews (la chaîne d’info du groupe Canal+ & Bolloré), et bien qu’il sache le bilan sanglant de son ami, il n’a pas hésité à le présenter comme un barbu « super-gentil, cultivé... un grand-frère toujours prêt à donner des leçons de morale » !    

    Face à de tels moralistes, il ne reste à la Nation qu’une ressource : passer des revendications fiscales qui mobilisent plusieurs millions de Français, si l’on prend en compte les participants et leurs sympathisants, à la création de milices citoyennes non armées – puisque seuls les voyous peuvent disputer l’exclusivité du port d’arme aux si efficaces forces de l’ordre -, mais d’une vigilance toujours en éveil, composée d’individus rompus aux sports de combat.

    La Nation n’a rien à attendre des politiciens, fort peu des juges, à peine plus des policiers, surmenés à force de verbaliser sur les routes et de tenter de maîtriser ces casseurs encouragés par de curieux personnages – qui ne viennent pas de cette « droite extrême » dont on nous rebat les oreilles. La Nation doit légitimement se méfier des mahométans qui évoquent favorablement le djihâd ou prennent des assassins pour des héros.

    Il est urgent d’exiger de nos princes inefficaces la tenue d’un referendum sur l’immigration extra-européenne et sur la liberté de culte sur le sol français pour les individus qui prônent l’imposition de la charî’a. La France a instauré, en 1905, une absolue séparation des Églises et de l’État. Même si le culte mahométan est financé par des millions de pétrodollars, seuls des corrompus peuvent accepter ses débordements.      

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Terrorisme(s): arrêtons de reculer

    JEANNE-1-300x263.jpgComment se fait-il que dans  la quasi totalité des cas, les racailles appréhendées pour des  faits de terrorisme, soient décrites spontanément aux journalistes qui interrogent leur  entourage  (plus ou moins lointain)  comme des mecs sans histoire,  sympas,  quoique, parfois,  un peu  rigide sur les valeurs, mais appréciées par tous les gens du  quartier  ou de la cité pour leur gentillesse? « C’est un gars super gentil, pas  quelqu’un qui cherchait les problèmes. Ce n’est pas quelqu’un de borné, qui sait rien de la vie, quelqu’un  de très gentil,   il est cultivé. Il avait un discours assez appuyé sur la religion,  il était assez sévère sur la religion, il ne faut pas le décevoir avec la barbe. Il est comme le grand frère, toujours à apporter de bons conseils,  à délivrer des petites leçons de morale… » C’est en ses termes que Rachid  décrivait lui aussi  hier soir sur l’antenne de Cnews  la personnalité de Chérif Chekatt, 29 ans,  islamiste fiché S depuis 2016, au profil tristement banal de délinquant multirécidiviste radicalisé, un profil hybride « très défavorablement connu » des services de police, en France comme en Allemagne.  Il  est l’auteur présumé de l’attaque par balles hier contre le marché de Noël à Strasbourg, qui a fait trois morts et treize blessés dont huit graves. Originaire du quartier pluriel de Koenigshoffen dans la capitale alsacienne, il est toujours activement recherché au moment ou nous écrivons ces lignes.

    « Face à l’horreur, une seule réponse : l’unité de la Nation » a twitté  le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, tandis que  le niveau  d’Alerte urgence attentat était décrété, ce qui, de facto, alimentant en retour les rumeurs complotistes, devrait entraver les manifestations et rassemblements des gilets jaunes. Invitée ce matin des Quatre vérités sur France 2, Marine Le Pen en a pris acte : « je suppose que si ce niveau d’alerte terroriste est maintenu, il inclut l’interdiction des manifestations. Je ne polémiquerai pas là-dessus, la sécurité du peuple français doit être en cause pour que le Ministère de l’Intérieur prenne cette décision. »

    La présidente du RN a rappelé qu’elle plaidait de longue date « pour la mise en œuvre d’un Parquet national anti-terroriste » sachant que  les « délinquants radicalisés commettent bien souvent ces délits et crimes pour financer le terrorisme. »  Sur le fond, Marine a rappelé son souhait d’une expulsion de notre territoire  des étrangers fichés S – « ce serait autant de moyens supplémentaires qui seraient dégagés pour pouvoir surveiller ceux qui ont la nationalité française ! »- et a pointé  l’inertie, l’angélisme coupable, depuis de longues années, des partis au pouvoir.  « Je ne sais pas par quelle pudeur, qu’est-ce qui explique le fait que dans notre pays on refuse de s’attaquer au fondamentalisme islamiste, qui est une idéologie mortifère, mortelle, qui a fait 250 morts et des centaines de blessés en France depuis six ans (…). Il faut s’attaquer aux organisations islamistes. Le salafisme se propage dans notre pays, il est financé de l’étranger, et même parfois, au moyen d’associations culturelles, cultuelles ou sportives, financé par de l’argent public ! »

    Lors de son passage sur BFMTV , le  maire  socialiste de Strasbourg, Roland Ries, visiblement ému,  ne s’est pas départi  pour autant de cette pudeur en renonçant à appeler  vraiment un chat un chat: «Je ne crois pas que des attaques de ce genre puissent donner raison à ce qu’il convient d’appeler  (?) un terroriste » a-t-il déclaré .  Un terroriste certes, mais pas un terroriste hors-sol, un  terroriste islamiste (la précision qui fâche et qu’il ne faut pas prononcer pour ne pas se couper du vote pluriel?);   une racaille  qui a trouvé sous le badigeon de  l’idéologie salafiste un support et une justification à sa  haine de la France, des impies, des koufars, des infidèles, des croisés… .

    Un terrorisme désormais enkysté dans  le sol français  qui est aussi  le fruit de l’immigration-massive, de l’échec de l’assimilation, du laxisme d’Etat, du masochisme anti-national,  du refus par nos élites d’affirmer  nos valeurs helléno-chrétiennes  et surtout de les défendre sans esprit de recul. Pour ne parler que de lui,  le très européiste maire de Strasbourg  milita en 2015  pour  l’accueil des immigrés clandestins (migrants) lors du tsunami migratoire déclenché par l’ouverture des frontières de l’Allemagne par Angela Merkel. Il  s’était aussi signalé par cette  proclamation qui est restée dans les annales, déclarant « servir des repas halal dans les écoles par respect pour la diversité, mais pas de poisson le vendredi par respect pour la laïcité. » Cette phrase se suffisant à elle-même,  tout autre commentaire serait superflu.

    La présence d’un foyer islamiste radical à Strasbourg est déjà ancienne ont rappelé un certain nombre de commentateurs; des attentats y ont déjà été déjoués  in extremis grâce  à  la vigilance de nos services de renseignements. Ce fut le cas notamment en 2003, bien avant l’émergence de l’Etat Islamique,  avec le démantèlement d’une  cellule qui  devait frapper la  Cathédrale de Strasbourg et commettre un  massacre au Marché de Noël.

    Hier,  c’est  donc  encore le Marché de Noël qui était visé, pour taper au portefeuille un évènement  annuel très important pour l’économie de la ville. Mais aussi bien sûr,  pour s’attaquer symboliquement  à  une fête annonçant pour les Chrétiens  la naissance du Sauveur et pour tous les  Européens, croyants ou non, un moment de réjouissance collective, si ce n’est communautaire,  la victoire de la lumière sur les ténèbres. C’est à quelques mètres du magnifique sapin illuminé dressé au cœur de la ville, que Chérif Chekatt  a entamé son périple sanglant;  sapins  qui comme les crèches chassées de   nos écoles, de nos mairies, de nos  bâtiments administratifs dans les banlieues de la diversité (avec le soutien indirect des laïcards anti-cathos), déclenchent l’animosité des nouveaux arrivants les plus extrémistes   qui se disent heurtés dans leur sensibilité, dans leur foi, par ce type de provocations. 

    Nous assistons ces dernières années de la part des progressistes à des actes de soumission, de dhimmitude,  proprement insupportables affirme  Bruno Gollnisch.  Nous nous en étions fait l’écho ici, à Amiens, l’équipe du maire PS, Gilles Demailly, au nom du  « vivre ensemble» ,  avait   rebaptisé le Marché de Noël  en «Marché d’Hiver ».» Idem pour le Marché de Noël de Bruxelles  rebaptisé Loisirs d’hiver tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître  le mot  croix… Ne nous y trompons  pas, cette éradication sémantique est tout sauf anecdotique. Elle procède d’un terrorisme intellectuel, véhiculé par les lâches  et/ou les  prosélytes  des sociétés ouvertes,   qui ouvre la voie au terrorisme sanglant que nous subissons aujourd’hui.

    https://gollnisch.com/2018/12/12/terrorismes-arretons-de-reculer/