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islamisme - Page 185

  • Jordan Bardella : "Les musulmans radicaux ont gagné la bataille face à la République"

  • Les médias et la gentille maman voilée, de l’instrumentalisation à la soumission

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    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ La demande de Julien Odoul, président du groupe RN à la région Bourgogne-Franche-Comté, adressée à la présidente du Conseil régional de bien vouloir faire sortir une mère de famille voilée accompagnant une sortie scolaire n’en finit plus de faire débat ! Sur tous les plateaux, dans tous les journaux, la question brûlante de l’islam et du voile resurgit. Pierre Boisguilbert revient sur cet épisode qu’il analyse d’une double manière : à la fois comme une instrumentalisation et comme une soumission.
    Polémia

    Ainsi Fatima a une « opinion négative de ce qu’on appelle la République ». Voila qui est plus facile à affirmer face aux caméras qu’une opinion négative de ce qu’on appelle l’islam. Cette affaire de femme voilée, et non pas porteuse d’ un simple foulard, dans le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté aura vu tous les médias audiovisuels solidaires de la pauvre maman « stigmatisée » (cf. Macron) serrant sur son sein son fils éploré.

    Alors qu’il semble bel et bien qu’il s’agisse d’une provocation, d’un testing selon le procédé cher à SOS Racisme, comme le confirme la proximité de cette citoyenne avec le CCIF proche des si républicains Frères musulmans et le fait que cette provocation a été retournée en victimisation. La photo témoin diffusée jusqu’à saturation de la nouvelle Pietà islamico sensu visant à rendre sympathique la musulmane et à clouer au pilorie le vilain islamophobe Julien Odoul — contre lequel Fatima va porter plainte.

    Instrumentalisation

    Le problème, c’est que les Français sont sur la position de principe de ce dernier et qu’ils ont pour certains appris avec stupeur qu’être voilée était compatible avec l’accompagnement scolaire, y compris dans un lieu officiel qu’un Conseil régional. Les médias, comme toujours, en font trop dans l’indignation vertueuse et leur acharnement dévoile, si l’on ose dire, leurs arrière-pensées. Le plus révélateur de cette instrumentalisation en faveur des voilées a été sans doute la haine de Laurence Ferrari sur CNews voulant absolument obtenir du méchant Odoul l’aveu d’un sentiment de honte pour avoir agressé une maman (terme repris jusqu’à la nausée) et fait pleurer sa chère petite tête brune. Après ce passage où Ferrari s’est assumée comme militante exaltée, qui peut encore croire en sa possibilité de traiter l’actualité avec une honnêteté sinon une objectivité journalistique ? Elle s’est discréditée. Mais est-ce bien grave dans ce milieu ou on l’aura certainement trouvée admirable ?

    On aimerait savoir ce qui se passerait demain si un accompagnateur de sortie scolaire arborait un gigantesque Sacré-Cœur ou une énorme croix celtique sur son blazer ? Pas difficile de trouver la réponse…

    Pire même. Que se passerait-il si un parent apprenant — mais informe t-on de cela ? — qu’une sortie au zoo serait conduite par une femme voilée, en privait ses enfants ? Il serait traîné dans la boue par les médias.

    Exit le faux Dupont de Ligonnès, haro sur Dupont-Lajoie

    Cette affaire aura permis aux journalistes — est ce un hasard ? — de se refaire rapidement une santé déontologique. Cela faisait deux jours en effet qu’ils étaient empêtrés dans leur fake news généralisée sur le vrai-faux Dupont de Ligonnnés. Ils ont encore un peu plus perdu de crédibilité et du droit de s’autoproclamer presse de référence par rapport aux autres. Ils sont tous allés dans le même sens sans vérification ni esprit critique dans la course à l’audience et la peur d’être devancé par la concurrence. C’est le fameux banc de poisson. Ils en sont même arrivés à se demander s’il ne faudrait pas revenir au respect du secret de l’instruction ? C’est dire s’ils se sont sentis morveux, même si la faute a été vite rejetée sur les Ecossais, pas assez rigoureux dans le décodage des empreintes. Mais la gentille maman musulmane humiliée par les ennemis du vivre-ensemble est arrivée à point nommé.

    Oublié Dupont de Ligonés au profit du retour de Dupont-Lajoie, l’ignoble franchouillard. Comme quoi c’est pratique de choisir les informations que l’on va traiter. Sauf que la même info sur toutes les chaines, avec les mêmes commentaires, alors que le Kurdistan syrien est écrasé par le régime turc, c’est se dévoiler dans l’espace public, c’est toléré, c’est légal… Mais, comme dirait Blanquer, est-ce souhaitable ?

    Pierre Boisguilbert 25/10/2019

    Crédit photo : Capture d’écran YouTube

    https://www.polemia.com/medias-gentille-maman-voilee-instrumentalisation-soumission/

  • ENTRETIEN CHOC avec Sébastien Jallamion - Des Islamistes dans la Police, l'affaire Michaël Harpon

  • Élimination d’Al-Baghadi : Macron mauvais joueur

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    Succès retentissant de Donald Trump dont la politique extérieure semble parfois, au simple observateur, touffue, dirons-nous. N’empêche, l’élimination du « calife » de l’État islamique Abou Bakr al-Baghadi par les forces spéciales américaines est une victoire majeure dans la lutte contre le terrorisme et une page d’histoire.

    À sa manière quelque peu hollywoodienne, Donald Trump a conté lui-même au monde entier cet exploit.

    « Ce raid était parfait et n’aurait pas pu avoir lieu sans l’aide d’autres nations et populations. Je tiens à remercier la Russie, la Turquie, la Syrie, l’Irak et les Kurdes syriens. »

    Dans le récit épique du président américain, une grande absente : la France. Nous disposons pourtant de forces terrestres en Syrie. Et Jupiter en pleine gloire, à ses débuts, avait pourtant commandé de tirer depuis la frégate Aquitaine un missile de croisière afin d’anéantir un centre de recherche présumé « dangerosissime » du préqualifié tyran Bachar el-Assad.

    Mais les temps ont bien changé ! Jupiter est descendu de l’Olympe, les déconvenues se sont ajoutées aux gaffes, bévues et boulettes dont la liste est, hélas, bien longue.

    Alors, le commentaire présidentiel français laisse transparaître son amertume de petit perdant : « La mort d’al-Baghdadi est un coup dur porté contre Daech, mais ce n’est qu’une étape. Le combat continue avec nos partenaires de la coalition internationale pour que l’organisation terroriste soit définitivement défaite. C’est notre priorité au Levant. »

    Qu’une étape ? Souvenons-nous, c’était le 9 novembre 2017, presque deux ans. Emmanuel Macron déclarait, martial : « Presque deux ans jour pour jour après ces attentats [ceux du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis], nous avons gagné… »

    Notons, aussi, le curieux emploi du terme « Levant », terme pour le moins désuet et fleurant bon les années vingt, voire François Ier et la République de Venise. Ah, cette méconnaissance de l’Histoire, toujours évoquée mal à propos !

    Dans « ce n’est qu’une étape », je sens, pour ma part, un caprice de petit joueur perdant qui ne peut supporter le verdict des réalités.

    Le métier de Président, c’est vraiment dur, pour un jeune. Grâce à Emmanuel Macron, une partie des électeurs français guériront peut-être de leur stupide jeunisme.

  • Quelle est l’alternative au projet de transformation de notre pays en terre d’islam ?

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    La République ? Vous y croyez vraiment ? Comment le pourra-t-elle, dès lors qu’elle ne se donne comme objectif que de laïciser l’islam ?

    Sans doute obtiendra-t-elle la neutralité bienveillante d’une majorité de musulmans de France, mais elle sera impuissante devant l’hydre islamiste qui s’est donné comme objectif de nous conquérir au prix d’un combat mené à coups d’attentats. La minorité fondamentaliste qui représente 10 à 20 % des musulmans de France ne sera jamais « laïcisable ». Et la majorité silencieuse des laïcisés sera toujours susceptible de les rejoindre à un moment charnière de bascule. Ajoutons à cela l’argument démographique, le combat semblerait perdu d’avance si la France n’était, de toutes les nations de la terre, sans doute celle à laquelle notre Dieu chrétien a apporté la plus grande attention. Cette France « fille aînée de l’Église » !

    Sauf que les chrétiens sont en train d’abjurer, ou à tout le moins de renoncer à ce destin peu commun et exemplaire. Pourquoi ? Comment ? C’est la grande question des années écoulées depuis 1789…

    Il demeure que notre peuple est encore modelé par le christianisme.

    Mais le conformisme ambiant fait qu’il est devenu de règle de critiquer l’Église, de refuser ses dogmes, son intolérance supposée. Il suffit de participer à un dîner en ville où que ce soit, et même de lire les articles de l’excellent Boulevard Voltaire, pour rencontrer ces hommes et ces femmes qui vous assènent leurs jugements fruit d’un anticléricalisme ancien. Pour certains (ils sont une majorité), leurs modes de vie les ont éloignés des dogmes dont ils ne veulent plus, incapables de revenir en arrière et trop jaloux de leurs conquêtes sur le supposé obscurantisme du christianisme. D’autres, moins nombreux, se disent encore catholiques mais vivent en dehors d’une Église qu’ils ne fréquentent plus que de manière épisodique, irrégulière et sans aucun esprit sacrificiel ni sacramentel. Les derniers, enfin, sont simplement indifférents ou ignorants du christianisme.

    Imaginons pourtant, un instant, qu’une majorité de cette France encore catholique retourne à l’Église, qu’elle aille à la messe le dimanche, remplissant à nouveau ses églises, qu’elle retourne au confessionnal. Je sais, je rêve. Mais imaginons quand même…

    Ne serait-ce pas la seule alternative crédible à l’islam en conquête ? Ne serait-ce pas un électrochoc d’une puissance redoutable pour les musulmans qui nous méprisent parce que nous sommes devenus sans religion. La seule opposition qu’ils craignent, c’est celle de Jésus-Christ et ses saints. C’est, en même temps, la seule opposition pour laquelle ils auraient de la considération et du respect.

    Alors oui, je rêve, mais la France n’a-t-elle pas connu d’autres retournements dans son histoire ?

    Il suffirait que tout ce peuple piégé dans son conformisme moderniste comprenne que l’amour ne se réalise pleinement qu’autour du Christ vivant, présent dans ses sacrements, et que si son enseignement est exigeant il est également la seule voie de la paix véritable.

    Le blog de Bernard Hawadier : ICI.

    Bernard Hawadier

    https://www.bvoltaire.fr/quelle-est-lalternative-au-projet-de-transformation-de-notre-pays-en-terre-dislam/

  • Jordan Bardella sur les tirs à la mosquée de Bayonne : "Vous avez tort de nous pointer du doigt"

  • Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    De Bernard Antony :

    Ce lundi matin, Emmanuel Macron rencontrait à l’Élysée les représentants du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), cet organisme jadis créé à l’initiative (malheureuse) de Nicolas Sarkozy.

    Feu le cardinal Lustiger exprima alors sur ce fait une juste réprobation, regrettant que ce dernier ait ainsi fait de l’islam en France une sorte de « religion d’État ».

    Ce n’est en effet que par la reconnaissance de l’État que l’islam en France existe en tant que religion !

    Or, combien de fois faudra-t-il répéter qu’ils se trompent lourdement, les laïques qui fondamentalement ne voient l’islam que comme un phénomène religieux somme toute très semblable au catholicisme en particulier et au christianisme en général,  dont les églises s’appelleraient mosquées, les curés imans, et dont la bible s’appellerait Coran ?

    Cela, alors que l’islam est avant tout une « orthopraxie », c’est-à-dire une pratique de vie conforme au modèle du prophète Mahomet, et non une « orthodoxie », c’est-à-dire d’abord une doctrine théologique juste.

    Emmanuel Macron affirme préférer parler de laïcité que d’islam pour n’être pas « complice d’une espèce de confusion collective ».

    En termes chrétiens, cela se traduirait par une affirmation de volonté de ne pas mélanger ce qui relève de l’État et ce qui relève de la religion (« Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ! »). Et donc, en termes laïques, de ne demander aux musulmans que de respecter les lois de la République.

    Mais c’est là qu’est l’erreur et même une macro-erreur !

    Car l’islam est une gouvernance sociale totalitaire, depuis le gouvernement de Médine par le prophète Mahomet, à la fois chef politique, chef de guerre, chef religieux, chef des mœurs.

    Sa constitution fondamentale, régissant tous les ordres, est la charia, c’est-à-dire la loi tirée, pour tous les aspects de la vie, du Coran et des Hadîths, les actes et les paroles du prophète.

    Emmanuel Macron hélas s’inscrit totalement dans la confusion collective en croyant que l’on peut établir dans l’islam la distinction entre le religieux et la politique, entre ce que l’on appelle en terme chrétien « le spirituel » et « le temporel ».

    Ce serait là vouloir un islam sans la charia !

    Mais sans la charia, l’islam ne serait plus l’islam ou deviendrait un autre islam. Et dans ce cas, il n’y aurait certes plus, et très heureusement, « d’islamisme » !

    Nous avons été heureux de lire sous la plume de Rémi Brague, grand historien et philosophe des religions, grand scientifique de l’islam, « qu’entre l’islamisme et l’islam, il y a différences de degrés, non pas de nature ».

    C’est ce que nous écrivions en 2006 dans notre livre « L’islam sans complaisance ». C’est ce que nous n’avons cessé de répéter au long des années. Quant au recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, ancien président du CFCM, aujourd’hui comme si souvent, reçu à l’Élysée, qui prétend défendre un islam non politique, n’écrivait-il pas :

    « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. (…) Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire ».

    Ainsi la France selon M. Dalil Boubakeur doit-elle accueillir et intégrer un ensemble qui est à la fois religion, communauté, loi et civilisation !

    Mais cet ensemble, selon lui, serait étranger à toute dimension politique !

    Bon courage à monsieur Macron qui veut d’un islam non communautariste !

    https://www.lesalonbeige.fr/islam-oui-macron-est-bien-complice-de-la-confusion-collective/

  • Laurent Obertone : « Les jeunes musulmans sont bien plus radicaux que ne l’étaient leurs aînés »

    http://www.fdesouche.com/1285499-laurent-obertone-les-jeunes-musulmans-sont-bien-plus-radicaux-que-ne-letaient-leurs-aines

  • Une guerre de conquête, à peine voilée…

    Tout pour « la voilée et son fils », Rien pour les victimes de ceux qui partagent la même idéologie qu’elle…
    Julien Odoul, président du groupe RN au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, avait demandé à ce qu’une femme parmi le public, dans cette enceinte retire son voile…
     Et c’est le scandale du siècle, lourdement médiatisé !
    Et pourtant cela aurait été si simple de le faire (ou à défaut de quitter la salle) ; sous la Présidence de l’Assemblée Nationale de Laurent Fabius un prêtre et une religieuse n’avaient-ils pas dû respectivement retirer leur croix et leur voile pour pouvoir s’asseoir dans l’hémicycle !
    Mais cette jeune femme n’a pas voulu obtempérer aux injonctions du Président du Groupe, d’où le tohu-bohu qui en a résulté avec indignations et pleurs d’enfant.
    Apparemment, comme l’a fait judicieusement remarquer l’écrivaine, journaliste franco-marocaine Zineb El Rhazaoui : « Cette femme (la maman voilée) préfère faire pleurer son enfant qu’enlever son voile, garder son voile est plus important pour elle que les larmes de son enfant ».
    Par ailleurs des photos grossies montrent le sourire béat de la donzelle au moment de l’esclandre, enfin passons…
    L’affaire aurait pu en rester là, mais que nenni : une première plainte contre le vilain monsieur a été déposée auprès du parquet de Dijon afin de réclamer des poursuites pour « des violences commises en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère racial » ; rien que cela !
    Mais pour bien enfoncer le clou une deuxième plainte doit également être activée auprès de la justice pour « provocation publique à la haine raciale par des élus ».
    L’avocate de la plaignante ayant déclaré : « Ce n’est pas qu’une question de laïcité mais de racisme… (en effet) Ma cliente a été humiliée, son image a été diffusée partout, elle est très marquée et son fils voit un psychologue » ; et depuis cet esclandre, Fatima E., la victime a confié avoir « peur de tout, j’ai des frissons et je tremble. Sincèrement ils ont détruit ma vie ».
    Un certain nombre de remarques s’imposent à ce stade :
    Aurait-elle eu peur des foudres de son mari, pour insoumission, si elle avait retiré son voile ?
    Alors que de nombreuses femmes luttent, dans le monde musulman, pour s’émanciper de ce marqueur identitaire de déni d’égalité et de défi à la fraternité, en risquant leur vie…
    « Quand je vois un voile, s’écrie Zined El Razaoui, je ne peux pas m’empêcher de penser aux iraniennes qui s’immolent pour pouvoir enlever cette prison, aux afghanes qui se font tirer dessus si elles ne le portent pas, aux jeunes filles dans les banlieues françaises ».
    Les pleurnicheries d’un gamin à cause d’un voile non retiré par sa mère valent apparemment plus, médiatiquement parlant, qu’à titre d’exemple, la détresse des enfants du couple de policiers égorgés par des islamistes adorateurs du Coran et de la sunna, comme elle !
    Là encore Zined El Razaoui est extrêmement pertinente quand elle proclame : « Je pense aux orphelins des attentats de la préfecture de police de Paris dont personne ne parle, qu’on a complètement évincé du débat pour parler d’un gamin avec une histoire de voile et de victimisation ».
    Je veux rappeler à tous ceux qui se réfugient derrière l’expression miraculeuse du « Pas d’amalgame » qu’il est temps de prendre officiellement position pour dénoncer les atrocités commises au nom d’un islam, soit disant radical, et s’en dissocient définitivement.
    Si l’Islam, après ses crimes atroces et lâches sur des innocents depuis des années (remontons au 5 juillet 1962 à Oran) en vient à mettre le feu en Europe et que nous nous trouvions face à face comme l’a dit un précédent ministre de l’intérieur, ne croyons surtout pas qu’il y aura des modérés pour nous venir en aide.
    Alors, les musulmans de France montreront le vrai visage de l’Islam.
    Patrick VERRO – VPF Ile de France
    source

  • Sondage : les Français vent debout contre le voile (et la mollesse de Macron)

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    Nouveau sondage choc, après celui du bilan de mi-mandat d’ : pour Le Journal du dimanche, l’IFOP a interrogé les Français sur leur perception du voile islamique après la nouvelle « affaire du voile » du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté soulevée par Julien Odoul.

    Et les résultats sont édifiants : une très forte majorité de Français se dit opposée à la présence du voile dans l’espace public, et au-delà même de ce qu’interdit actuellement la loi.

    Pour Hervé Gattegno, cette enquête « révèle un net durcissement de l’opinion face à toutes les manifestations religieuses dans l’espace public et confirme une focalisation particulière envers la religion musulmane. À Emmanuel Macron, qui assurait jeudi que le port du voile hors des enceintes scolaires n’était « pas [son] affaire »les citoyens répondent en quelque sorte que c’est la leur. »

    Et quand on dit « majorité », les chiffres sont nets, et en augmentation depuis les précédentes enquêtes : 78 % des Français estiment le modèle français issu de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’État « en danger » (+4). De plus, 80 % jugent que la question de la laïcité « se pose différemment s’agissant de la religion musulmane » et 61 % que l’ est « incompatible avec les valeurs de la société française » (+8 par rapport à février 2018). On assiste donc à une véritable cristallisation (d’aucuns diront durcissement ou même « radicalisation »…) de l’opinion. Sur l’, les Français, désormais, se sont fait leur religion. Et ils ont peut-être quelques raisons pour cela.

    Et une fois cette conviction acquise, ils demandent toute une série d’interdictions : 73 % des Français veulent interdire le port de signes religieux lors de sorties scolaires, 75 % pour les usagers des services publics, mais ils sont aussi 72 % à le demander dans les entreprises du secteur privé.

    Ce qui est frappant, dans cette évolution de l’opinion publique, c’est qu’elle touche tous les milieux, tous les âges et toutes les couleurs politiques.

    Par rapport à cette cristallisation, les positions (ou les calculs électoraux) du président de la République, qui se lave les mains, et même de son ministre Blanquer, qui se contente de vœux pieux mais n’agit pas, apparaissent en total décalage : désormais, l’islamisation, dont le voile est le signe et l’étendard, a suscité une prise de conscience chez une majorité de Français qui attend des réponses fermes. Force est de constater que, pour le moment, la mollesse d’Emmanuel Macron ne les rassure guère.

    Pascal Célérier

    https://www.bvoltaire.fr/sondage-les-francais-vent-debout-contre-le-voile-et-la-mollesse-de-macron/