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islamisme - Page 211

  • A Marseille : le Bastion social avec la Syrie de Bachar

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    Samedi après-midi des militants marseillais du Bastion social ont manifesté leur soutien à la Syrie baassiste en lutte à la fois contre l'islamisme terroriste et contre la coalition mondialiste menée par les Etats-Unis.

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    Ce fut aussi le cas à Lyon devant le consulat américain.

  • L’ISLAMISME RESPONSABLE DES ÉMEUTES À TOULOUSE ? M. MOUDENC NE SAIT PAS !

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    Toulouse en feu ! Depuis dimanche 15 avril, la Ville rose est le théâtre d’émeutes, avec des dizaines de voitures incendiées dans plusieurs quartiers de la ville, dont le fameux Mirail, émeutes qui, dans la foulée, se sont propagées à Colomiers et Blagnac. « Il est vrai que ce sont des quartiers taraudés par l’islamisme. Mais est-ce le cœur du problème ? » Dans une interview au Point, le maire de la ville avoue qu’il « ne sai[t] pas » !

    Ce ne sont pourtant pas les raisons de savoir qui lui manquent, à Jean-Luc Moudenc, lui qui administre 471.941 habitants (enquête de l’INSEE publiée en décembre 2017), dont 50.000 musulmans, chiffre en pleine expansion selon une enquête de La Dépêche de 2015, qui parle d’« une évidente pression musulmane »… Interviewé par Le Point, le 18 avril, il en énumère, d’ailleurs, clairement trois.

    D’abord, c’est à cause d’une rumeur selon laquelle un détenu de la maison d’arrêt de Seysses ne se serait pas pendu mais aurait « été assassiné par des gardiens ». Il n’en fallait donc pas plus pour mettre le feu aux poudres au Mirail – le détenu n’était donc pas bouddhiste -, un quartier « qui pose problème depuis des années », lui rappelle le journaliste. Eh bien, grâce au dispositif voulu par le gouvernement, cela va changer car ce quartier va, à partir de septembre, servir de test à « la reconquête républicaine », annonce l’édile. Waouah, ça claque comme la cravache sur le flanc de la jument ! On piaffe d’impatience…

    Ensuite, c’est à cause de l’interpellation d’une femme affublée d’un niqab, qui a provoqué « beaucoup d’émoi ». La faute aux policiers, en somme, qui ont insisté parce que la dame refusait de montrer sa bobine. Incroyable, n’est-ce-pas, de ne pas être autorisée à ne pas respecter la loi ! La dame en question rameute immédiatement une trentaine d’individus qui attaquent les policiers à coups de projectiles divers et variés. Et, exactement comme en temps de guerre, ces « jeunes » s’organisent et érigent une barricade.

    Enfin, la troisième raison de cette furie, c’est, en quelque sorte, encore la faute aux policiers. En effet, le maire de Toulouse révèle que « la police avait effectué ces derniers jours beaucoup de saisies de drogue sur place, et asséché ainsi le trafic ». Ah, c’est donc cela ! Et, donc, pour retrouver l’apaisement, on va laisser les trafics reprendre ?

    Peut-être bien un mélange des trois, la cause de ce désordre, le maire n’est pas sûr.

    Et l’islamisme, alors, en rapport avec ces scènes de guérilla urbaine ? Non, monsieur le maire ne sait pas, donc. En revanche, il a ses obsessions. Ramener à tout prix la paix dans ces quartiers qui, la veille encore – grâce à la reprise tranquille d’activités lucratives ? -, étaient sages comme des images. Mais, surtout, « il faut faire attention aux amalgames et éviter les généralités ». Et, surtout, il faut dia-lo-guer. « Dialogue avec les habitants »« situation d’apaisement »« rencontres avec la population sujette à beaucoup de désarroi, d’incompréhension, de manipulations »« rétablir le dialogue » : notre notable LR connaît ses éléments de langage par cœur.

    Mais, au fait, « dialoguer » avec qui ? Avec des femmes en burqa et des « jeunes » qui mettent le feu, caillassent et, derrière leurs barricades, hurlent « Vous êtes chez nous ! » ?

    http://www.bvoltaire.fr/lislamisme-responsable-emeutes-a-toulouse-m-moudenc-ne-sait/

  • Un garçon de Douma révèle des détails sur le tournage de la vidéo sur «l’attaque chimique»

    Le garçon syrien Hassan Diab, présenté par les Casques blancs comme une personne touchée par la présumée attaque chimique le 7 avril à Douma, a raconté à un journaliste russe comment la vidéo sur «l’attaque» a été filmée.

    Il n’y a eu aucune «attaque chimique» à Douma, une banlieue de Damas, le 7 avril dernier et les personnes qui «auraient été touchées par un agent chimique» ont été invitées par les Casques blancs, a annoncé mercredi Hassan Diab, un garçon de 11 ans qui figurait dans la vidéo.

    «Nous étions dans un sous-sol. Maman m’a dit qu’il n’y avait rien à manger et qu’on mangerait demain. Nous avons entendu des cris dans la rue, on criait "Allez à l’hôpital". Nous avons accouru à l’hôpital et dès que j’y suis entré, on m’a attrapé et on a commencé à m’asperger d’eau. Ensuite, on nous a mis sur des lits à côté d’autres personnes», a indiqué le garçon à la chaîne de télévision Rossiya 24.

    Le correspondant de guerre de la chaîne, Evguéni Poddoubny, a noté qu’on avait obligé le garçon à tourner dans cette vidéo.

    Lire la suite sur Sputniknews

  • Terrorisme : Français, réveillez vous, vous êtes gouvernés par des incompétents irresponsables

    Ce matin, je suis en colère de plaider dans le désert devant les failles évidentes de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste que je dénonce depuis plusieurs années et de ne pas être entendu. Que faudra-t-il de plus que le sacrifice suprême d’un officier supérieur de gendarmerie pour que les Français prennent conscience de ce qui se dessine sous notre nez ? L’attentat de Trèbes vient signifier de manière éclatante l’échec de notre politique de prévention des actes terroristes. Il souligne la passivité, l’incompétence et l’irresponsabilité de nos gouvernants passés et actuels. Une remise à plat complète de notre dispositif antiterroriste sur notre sol s’impose. Les Français doivent l’exiger et dénoncer la prévarication des Cazeneuve, Valls, Hollande et, aujourd’hui, Philippe, Collomb et Macron.

    Incompétence et irresponsabilité, d’abord. Redouane Lakdim, l’auteur des attaques, né au Maroc en 1992, aurait été naturalisé en 2004 car son père était devenu français. L’application de l’art 25-1 du Code civil aurait pu permettre de le déchoir de cette nationalité. Celui-ci prévoit le cas de l’individu qui « s’est livré au profit d’un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France ». Cette qualification aurait déjà dû être élargie à la radicalisation islamiste en relation avec un groupe terroriste ou encore au rejet de la laïcité et de nos valeurs républicaines.

    Si monsieur Hollande avait fait voter une loi sur la déchéance de nationalité, comme ils s’y était engagé devant le Parlement réuni à Versailles au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, Redouane Lakdim aurait pu faire l’objet de cette déchéance et être expulsé vers le Maroc. Fiché S en 2014 pour radicalisation islamiste et son appartenance à la mouvance salafiste, il était aussi un homme très actif sur les réseaux sociaux salafistes.

    C’est aussi l’échec de la surveillance des fichés S du haut du spectre par la DGSI, submergée par le nombre d’individus à surveiller. Et ce n’est pas ce service de renseignement qu’il faut incriminer, mais les responsables politiques qui le mettent dans cette situation. « Nous l’avions suivi et nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation, mais il est passé à l’acte brusquement », a précisé Gérard Collomb ! Quel aveu d’échec cinglant ! Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout.

    C’est aussi la grille des critères de dangerosité qui n’est plus adaptée devant le nombre en augmentation permanente des fichés S et au fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). C’est, in fine, l’échec du renseignement intérieur en général par manque de volonté politique de mener la guerre intérieure qui nous est déclarée.

    Une remise à plat de notre politique antiterroriste s’impose donc à l’évidence. Il faut impérativement dégrossir le nombre d’individus à surveiller en amont, donc utiliser les leviers administratif et judiciaire en remettant à l’ordre du jour la perte et la déchéance de nationalité ainsi que l’expulsion des étrangers fichés S et au FSPRT.

    Mais d’autres mesures s’imposent également comme le croisement de certains fichiers renseignement et judiciaire, dès lors qu’il s’agit d’analyser les métadonnées et de les croiser et permettre aux services de renseignement de continuer à surveiller un suspect même après une mise en examen par un magistrat. L’interdiction du retour des djihadistes devrait également s’imposer alors que l’on s’apprête à en recueillir encore.

    Et que dire des centaines de djihadistes emprisonnés, imprévisibles et dissimulateurs, qui vont sortir de prison dans les mois et années à venir ! Il n’y a plus, actuellement, de débat national sur le sujet de la rétention judiciaire permettant de ne pas libérer un individu tant qu’il est considéré comme dangereux. À tout cela, Emmanuel Macron et sa pseudo-task force n’y pourront rien.

    Par Philippe Franceschi Consultant en sécurité

    Source : BVoltaire via https://www.cadoitsesavoir.fr/terrorisme-francais-reveillez-vous-vous-etes-gouvernes-par-des-incompetents-irresponsables/

  • Macron reçoit les Frères Musulmans de Syria Charity à l’Elysée

    Précisions de l'Observatoire de l'islamisation, suite à notre information d'hier :

    "Syria Charity fait les tournées des mosquées fréristes et salafistes en France afin de lever des fonds. Son représentant en Champagne est le syrien Abdulhamid AL Khalifa, imâm de la mosquée de ‘L’Association de l’Institut Islamique et Culturel Rémois », qui gère une salle de prière (non déclarée comme telle) dans le quartier de la Croix-Rouge, fréquentée en son temps par Saïd Kouachi. Il s’entend très bien avec la grande mosquée UOIF de Reims (AMCIR) chez qui il peut installer sa communication pour « Syria Charity » comme nous l’avions remarqué lors de notre passage dans le cadre de notre enquête sur les Mosquées radicales (éditions DMM).

    Abdulhamid AL Khalifa est aussi membre actif de l’association «Ligue Pour une Syrie libre – Section REIMS», qui comme l’explique l’humanitaire Pierre Le Corf en Syrie, est une organisation des rebelles islamistes. Syria Charity et la Ligue pour la Syrie Libre travaillent très étroitement ensemble comme l’illustrent à la fois la personnalité de Khalifa et l’enquête dans Alep Est libérée de Le Corf."

    Michel Janva

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  • Trèbes : la « dissimulation islamique » (taqiya) en première ligne ?

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    Par Julius Muzart, ancien haut fonctionnaire (ER), enseignant en droit public, essayiste 

    A Trèbes, comme partout où s’exprime l’islam, la pratique de la « dissimulation islamique »  (la taqiya) a tourné à plein régime ces derniers temps. Quelques jours après les attentats,  l’imam de la mosquée Essalam de Carcassonne, déclarait, en arabe : « il aurait fallu lui [Radouane Lakdim] enseigner les vraies valeurs de la religion, lui enseigner le coran. Il aurait fallu lui expliquer ce que signifie le djihad dans l’islam, le vrai, celui du messager de Dieu ».

    L’islam, une religion de paix ?

    Accordons à cet imam le bénéfice du doute, et supposons qu’il croie vraiment à ce qu’il dit. Dans ce cas, deux conclusions s’imposent.

    D’abord, c’est que Monsieur l’imam devrait se replonger dans le coran : il semble avoir oublié une partie de ce qui s’y trouve. En toutes lettres et sans ambiguïté.
    Ensuite, c’est que pour ce musulman pieux mais « de base », la Taqiya islamique est devenue une seconde nature. En quelque sorte, il pratique la dissimulation islamique comme il respire.

    Il faudrait qu’enfin, nous autres, les infidèles, les cibles élues, nous prenions clairement conscience de la manipulation que nous subissons massivement à propos de l’Islam. Manipulation qui constitue, au-delà des actions meurtrières, l’autre moitié de l’arsenal guerrier de l’islam conquérant.

    Et que nous rappelions, inlassablement les réalités :

    • Non, l’islam n’est pas, n’a jamais été une religion de paix. Il s’en défend, au contraire.
    • Non, la « guerre sainte n’est pas, n’a jamais été un combat spirituel, encore moins un combat du croyant contre lui-même.
    • Non, il ne s’agit pas (même pas !) d’une question d’interprétation, quoi qu’en disent les porte-voix de la Taqiya.

    Ces réalités, elles ne sont pas extraites de sources exclusives ni des confidences rares d’un expert.  Elles sont à la disposition de tout un chacun sur la toile, pour peu qu’on veuille bien se reporter à un des innombrables sites de propagation de l’Islam.  Ceux qui s’adressent aux fidèles, et qui le font sans la fausse pudeur de nos media sidérés.

    Toutes les informations ci-dessous sont puisées à ces « bonnes sources ». Le djihad, c’est bien la guerre armée contre les incroyants et les infidèles. C’est, en toutes lettres ce que dit le Coran. Nous allons y revenir.

    Qu’est-ce que la « taqiya » ?

    Mais d’abord, cette Taqiya, en quoi consiste-t-elle ?

    Là encore il faut aller à la « bonne » source : le Livre saint lui-même.

    Citations :

    Sourate 3, verset 28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux ».

    Sourate 13, verset 42 « la ruse appartient à Allah, en totalité »

    Sourate 8, verset 30 : (Allah) « est le plus habile à fomenter un complot »

    En d’autres termes, le livre saint lui-même, non seulement admet, mais préconise la dissimulation et la ruse aux musulmans qui se trouvent en situation hostile, c’est-à-dire sur le territoire des mécréants ( le dâr el harb, c’est-à-dire ni plus ni moins que « le « territoire de la guerre »).

    Et au-delà du Livre saint, les prescriptions de recours à la Taqiya, émanant des  autorités de l’islam abondent.

    La guerre sainte

    Ceci étant posé, venons-en à ce que dit vraiment le Coran lorsqu’il aborde la guerre sainte et plus généralement le combat à mener contre les infidèles.

    Une des escroqueries essentielles ( et ordinaires) de la propagande islamiste vise à faire croire que, quand l’islam parle de « guerre sainte », c’est d’un combat spirituel pour la propagation de la parole divine qu’il s’agit. Il n’y a rien de tel dans l’islam, et d’ailleurs les musulmans, en général, n’y croient pas.

    Le djihad comme combat spirituel, c’est au départ une idée très minoritaire (et très persécutée !) au sein de l’islam, reprise notamment par les « soufis ». Cette idée a été instrumentalisée plus récemment par l’islam de combat (et ses collaborateurs occidentaux) comme blague à servir aux idiots utiles qui nous abreuvent.

    Et les « intellectuels commentateurs » de s’en donner à cœur joie sur la question de l’interprétation du Coran. C’est à qui ferait le plus subtil.

    Or, lorsqu’il s’agit de savoir ce que dit le Coran sur la guerre sainte, il n’est nul besoin d’interprétation, il suffit de lire.

    Nous citerons donc mot à mot ( précisons pour les subtils qu’on peut faire le même exercice en arabe, mais ce n’est pas le sujet).

    Sourate 2

    Al-baqarah (La vache)

    1. Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Allah n’aime pas les transgresseurs!
    2. Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association[1] est plus grave que le meurtre

    Sourate 4

    An-nisa (Les femmes)

    1. Ô les croyants! Prenez vos précautions et partez en expédition par détachements ou en masse.
    2. Vous en trouverez d’autres qui cherchent à avoir votre confiance, et en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu’on les pousse vers l’Association, (l’idolâtrie) ils y retombent en masse. (Par conséquent,) s’ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors saisissez-les et tuez les où que vous les trouviez.

    Sourate 5

    Al-ma-idah (La table servie)

    1. 33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées[2],

    Sourate 9

    Al-tawbah (Le désaveu ou Le repentir)

    1. 5. Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade
    2. Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d’un châtiment douloureux[3] et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent .
    3. Légers ou lourds, lancez-vous au combat, et luttez avec vos biens et vos personnes[4]dans le sentier d’Allah . »

    Fin de citation.

    Il faut toute la rouerie de spécialistes de la Taqiya pour affirmer sans rire que ces versets soient sujets à interprétation ;  il faut toute la naïveté, et toute l’ignorance des journalistes occidentaux pour y croire.

    Une interprétation salafiste et une interprétation douce ?

    Allons un cran plus loin, et revenons sur « l’interprétation ».
    Depuis quelques années, on farcit les têtes occidentales avec la distinction entre les « salafistes » et « les autres » Les salafistes d’où viendrait tout le mal parce qu’ils seraient les tenants de l’interprétation  littérale du Coran, celle des « anciens » (salàf).
    On en a déduit que, face à ces salafistes bloqués, il y avait en quelque sorte des « libéraux »… Il faut quitter d’urgence cette illusion. Ceux qui se différencient des salàfs, qui sont désignés sous le vocable de « successeurs » (ou « khalàfs ») ne se distinguent des premiers que par des nuances.

    Sur l’essentiel de la question d’interprétation, ils se rejoignent pour affirmer, en chœur, que le livre est écrit « dans une langue arabe très claire », et qu’il ne peut pas comporter de contradiction. S’il se trouve (par exception) des versets sujets à interprétation, ils doivent être interprétés par référence aux versets sans équivoque.

    Bref : ne cherchez pas la difficulté, le Livre est clair. La lecture des sites de propagation est claire ; et il y a bien lieu de lire les versets cités plus haut dans toute leur clarté. Il est certain qu’un certain nombre de musulmans aimeraient beaucoup qu’il n’en aille pas ainsi. Qui aimeraient beaucoup ne pas vivre en permanence sous la menace d’être taxés d’impiété ou, pire encore, d’apostasie. D’exprimer, le cas échéant, leur désaveu des attentats. Pourquoi croit-on qu’aucune manifestation de ce désaveu ne se soit organisée en France ? Parce que, pour ceux qui n’approuvaient pas (il s’en trouve), pas question de le manifester publiquement, le risque était – réellement – trop grand. Bref de sortir, eux et leur famille, de la terreur que font régner les imams de l’ordre moral. Prompts à rappeler que les « prescriptions » qu’ils appliquent sont issues, clairement, de la parole de Dieu, éternelle et incréée

    Et c’est ainsi que s’impose et s’étend, à Carcassonne comme partout, la taqiya.

    Julius Muzart 14/04/2018

    [1] « L’association », c’est le christianisme. Les chrétiens sont désignés comme « associateurs » parcequ’ils proclament le dogme de la Sainte Trinité. Pour les musulmans, c’est une hérésie grave car ils « associent » le Fils et le Saint Esprit à Dieu le père, alors « qu’il n’y a qu’un seul Dieu »

    [2]  Pour une « guerre spirituelle », cette précision de détail est curieuse :  s’agissant des modalités de conduite de cette guerre, le Coran, descend assez loin dans le détail physique des châtiments à appliquer aux mécréants.

    [3] Ici, la menace de châtiment contre ceux qui ne combattent pas se fait plus directe et plus générale : ne pas combattre n’est pas seulement être moindre en dignité : c’est un péché qui expose à, « un châtiment douloureux »

    [4] Et une pierre de plus dans le jardin de l’interprétation pacifique : la parole de Dieu, éternelle et incréée ( c’est ainsi que les musulmans pieux considèrent le coran) est explicite : luttez avec vos biens et avec vos personnes. C’est d’un investissement physique qui est demandé. Et pourquoi préciser « légers ou lourds » s’il ne s’agissait pas d’une confrontation physique ?

    Crédit photo : Prière dans une mosquée australienne – Par Dnalyensid [CC BY-SA 3.0]

    https://www.polemia.com/trebes-la-dissimulation-islamique-taqiya-en-premiere-ligne/

  • Un tiers des jeunes musulmans français favorables aux massacres islamistes

    C'est une enquête du quotidien italien Il Foglio quotidiano :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Irak: plus de 300 condamnés à mort pour appartenance à l’EI

    Plus de 300 personnes, dont une centaine d’étrangères, ont été condamnées à mort en Irak, et autant d’autres à la prison à perpétuité, pour appartenance au groupe Etat islamique (EI), a-t-on appris mercredi de source judiciaire. Deux tribunaux jugent les affaires de terrorisme en Irak, l’un à Tel Keif, près de Mossoul (nord), l’ancienne “capitale” irakienne du “califat” autoproclamé de l’EI, et l’autre à Bagdad, où la Cour pénale centrale s’occupe notamment des étrangers et des femmes.

    Depuis janvier à Bagdad, 97 ressortissantes étrangères ont été condamnées à mort, 185 à la prison à vie, 15 à trois ans de prison et une à un an de prison, selon une source judiciaire.

    La plupart des condamnées sont Turques, ou originaires des anciennes républiques de l’Union soviétique. Une Allemande a également été condamnée à la peine capitale, tandis qu’une Française a été condamnée mardi à la perpétuité.

    A Tel Keif, “815 personnes ont été jugées: 212 peines de mort et 150 peines de prison à perpétuité ont été prononcées”, indique dans un communiqué le porte-parole du Conseil suprême de la magistrature, le juge Abdel Sattar Bayraqdar.

    Selon lui, la grande majorité de ces personnes appartiennent à EI. “Il a été prouvé qu’ils avaient mené des actions criminelles au cours d’audiences publiques menées conformément à la loi et durant lesquelles les droits des condamnés ont été garantis”, poursuit-il.

    En outre, “341 personnes ont été condamnées à des peines de prison et 112 ont été libérées après que leur culpabilité n’a pas été prouvée”.

    Lundi, le ministère de la Justice a annoncé que onze condamnés pour “terrorisme” avaient été pendus en Irak, le quatrième pays qui exécute le plus au monde, selon l’ONG de défense des droits de l’Homme Human Rights Watch (HRW).

    Source Lalibre

    https://www.patriote.info/actualite/international/irak-plus-de-300-condamnes-a-mort-pour-appartenance-a-lei/

  • Comment les Russes ont repris Douma juste avant les frappes

    Analyse d'Antoine de Lacoste pour le Salon beige :

    Pendant que les occidentaux montrent leurs muscles et bombardent des sites improbables, les Russes eux, continuent à lutter contre les islamistes. Jeudi 12 avril, la police militaire russe s’est déployée dans Douma après de dures négociations.

    L’histoire s’est donc spectaculairement accélérée ; en effet, l’issue inéluctable d’une nouvelle offensive et les manifestations répétées de la population exigeant la reddition du groupe et la fin des combats, ont contraint le groupe Jaich al-Islam et son chef Issam Bouwaïdani à accepter de négocier avec les Russes.

    Ces derniers voulaient aller vite afin de parachever la victoire de la Ghouta avant toute  frappe franco-américaine. Pour cela, ils ont demandé à l’armée syrienne de ne pas entrer encore dans Douma, afin de ne pas compromettre les négociations. La haine est en effet telle entre les deux adversaires syriens, armée et islamistes, que toute étincelle peut vite dégénérer en reprise des combats.

    L’évacuation a commencé dans la nuit de jeudi à vendredi sous le contrôle de la police militaire. Ce n’est pas la première fois que celle-ci est utilisée dans le conflit. A Alep Est, déjà, ce sont ces militaires qui patrouillaient après la reddition et l’évacuation des islamistes vers Idleb. Ce sont en général des Caucasiens, musulmans, dont l’encadrement s’est souvent illustré dans la guerre contre les Tchétchènes. Certains sont d’ailleurs eux-mêmes tchétchènes et sont des soutiens très sûrs de Poutine. En Tchétchénie aussi, il y a plusieurs camps.

    L’état-major russe estime que ces hommes sont très utiles pour dialoguer avec la population syrienne et la rassurer alors qu’elle vient de subir de durs combats.

    Les islamistes évacués n’ont été, pour une fois, pas dirigés vers Idleb, mais un peu plus à l’Est, à Al Bab. Cette localité avait été reprise à Daesh par l’armée turque il y a quelques mois qui préparait ainsi déjà son occupation du nord de la Syrie. Pourquoi Al Bab et non Idleb comme d’habitude ? C’est une exigence des dirigeants de Jaich al-Islam qui ne tenaient nullement à se retrouver sous la coupe d’Al-Nosra qui règne sur les autres groupes islamistes dans la province d’Idleb.

    Les Turcs ont accepté avec empressement : les combattants aguerris qui sont arrivés pourront éventuellement servir de chair à canon en cas de combats contre les Kurdes…

    Aujourd’hui le drapeau syrien flotte sur Douma et c’est une victoire de prestige considérable dans toute la Syrie. Evidemment on se perd quelque peu en conjectures sur ce soudain revirement de Jaich al-Islam. Pendant des semaines, ce groupe refuse obstinément toute évacuation. Il s’obstine alors même que tous les autres mouvements se sont rendus et qu’il ne tient qu’un ou deux km2 de territoire. Puis, le 7 avril, c’est l’attaque chimique. Deux jours après, comme si sa mission était accomplie, le groupe reprend les négociations et accepte l’évacuation sans la moindre difficulté.

    Il y a tout de même de quoi se poser des questions…

    Michel Janva

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  • Trahison ecclésiastique : rassemblement « islamo-chrétien » au couvent de l’Annonciation des dominicains de Paris

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    Samedi 14 avril, un rassemblement « islamo-chrétien » (« Ensemble avec Marie ») s’est tenu au couvent de l’Annonciation des dominicains à Paris… Au programme : lecture coraniques et évangéliques, lecture de la lettre adressée par l’imam Ali à l’un de ses compagnons devenus gouverneur d’Égypte et « invocation commune » dans le couvent !

    « Si nous sommes ici, c’est que, tous, nous aimons Marie », ont souligné tour à tour Mgr Michel Dubost, évêque émérite d’Evry et le cheikh Ismael Al-Khaliq, imam de l’association chiite Imam Al-Khoei, basée aux Lilas, en banlieue parisienne.  
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