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islamisme - Page 208

  • Attentat à Paris : deux morts dont l'assaillant

    Gilbert Collard
     
    @GilbertCollard

    Le terrorisme islamiste "aurait" encore frappé en plein . Pensons plus que jamais aux victimes, aux forces de l'ordre et aux secours ! https://twitter.com/GuillaumeBiet/status/995389882120929280 

    Ici : 

    "Un homme a agressé plusieurs passants avec un couteau dans le IIe arrondissement de la capitale, près de l'Opéra. Les motivations de l'agresseur étaient pour l'heure inconnues.

    Une personne a été tuée et plusieurs blessées samedi soir à Paris par un homme armé d'un couteau, qui a été abattu par la police, selon des sources policières ou proches du dossier. L'agression a eu lieu dans le IIe arrondissement, près de l'Opéra. La préfecture de police a indiqué que l'agresseur avait été «maîtrisé». Les motivations de l'agresseur étaient pour l'heure inconnues. Dans un tweet, le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, salue le sang froid» des policiers qui «ont neutralisé l'assaillant».

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Algérie et le Maroc dans les mailles du conflit entre l’Arabie saoudite et l’Iran, par Bernard Lugan

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    La rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l’Iran intervenue au mois d’avril 2018 constitue un des derniers épisodes du conflit opposant l’Arabie saoudite à l’Iran. Elle complique encore davantage les relations entre un Maroc aligné sur Ryad et une Algérie veillant à conserver son autonomie par rapport au système d’alliance saoudien. Constitué autour des monarchies du golfe (sauf le Qatar), ce dernier est soutenu directement par les Etats-Unis et indirectement par Israël.

    Le contexte est clair : l’Arabie saoudite connaît ses faiblesses face à l’Iran. Elle sait que, seule, elle serait militairement balayée. Elle a conscience que sa famille royale est haïe par des populations qu’elle méprise depuis des décennies. Elle n’ignore pas que sa légitimité historique et religieuse est discutable et que, si elle a pu s’emparer des lieux saints de l’Islam, ce fut grâce aux anglo-saxons. Pour assurer sa survie, elle doit rassembler autour d’elle tous les « Arabes » (lire les sunnites), contre l’ennemi séculaire perse (lire les chiites). En même temps, elle cherche à donner une nouvelle image d’elle en finançant de colossales campagnes de publicité dans la presse occidentale vantant l’aggiornamento qui en ferait désormais un pays ouvert, moderne et tolérant…

    Avec la guerre en Syrie, Ryad a amorcé la constitution d’une alliance offensive contre le « terrorisme iranien ». La manœuvre est cousue de fil blanc car le terrorisme islamiste n’est pas chiite, mais sunnite. Nulle marque de chiisme en effet dans les attentats de septembre 2001, dans ceux qui ont frappé l’Europe ou la Russie, dans Al-Qaïda, dans l’Etat islamique ou dans Boko Haram. Tous sont au contraire liés à des branches du sunnisme et dans bien des cas, financés par les officines wahhabites gravitant autour des cercles princiers saoudiens.

    Le plan de Ryad s’est déroulé en trois phases :
    1) Guerre du Yémen contre les miliciens Houthi proches de l’Iran.
    2) Isolement du Qatar qui a le tort de ne pas rompre avec l’ennemi perso-irano-chiite.
    3) Lutte à mort contre le Hezbollah libanais désigné par le ministre saoudien des Affaires étrangères, Mohamed al Khalifa, comme « une menace pour la sécurité nationale arabe ». On ne peut être plus clair dans la dénonciation en creux de l’Iran perse…

    L’Arabie saoudite et Israël ont en commun d’avoir le même ennemi iranien et le même allié américain. Un allié lui aussi totalement obsédé par le « danger » iranien. Les voilà donc tous trois partenaires dans la grande manœuvre d’encerclement de l’Iran. Ils ont cependant subi un grave échec en Syrie où, non seulement ils n’ont pas réussi à chasser du pouvoir un allié de Téhéran, mais où, en plus, l’enchaînement des évènements a fait que leur partenaire turc s’est détourné d’eux pour finalement, réalpolitique oblige, se rapprocher de la Russie, donc, de facto, de l’Iran.

    Dans le monde dit « arabe », et fidèle à sa politique d’indépendance, l’Algérie garde la tête froide, conservant de bonnes relations avec tous les protagonistes, dont l’Iran et la Syrie. Consciente de son isolement, elle a renoué des relations un moment distendues avec la Russie et elle s’est spectaculairement rapprochée de la Turquie. C’est alors qu’est intervenu un évènement aussi grave qu’insolite et dont les conséquences pourraient être considérables. Il s’agit d’une « livraison d’armes » du Hezbollah libanais allié de l’Iran, au Polisario, lequel est un appendice des services algériens.

    Une telle livraison, si toutefois elle était avérée, conduit à faire trois remarques :
    – Militairement, elle ne présente aucun intérêt car le Polisario dispose déjà de toutes les facilités dans les arsenaux algériens.
    – En revanche, une telle livraison, réelle ou supposée, a eu un très fort impact au Maroc où l’on est plus que chatouilleux dès-lors qu’est posée la question du Sahara. Les services iraniens ont-ils donc voulu faire comprendre au Maroc qu’ils ont les moyens de lui compliquer la tâche dans ses provinces sahariennes revendiquées par le Polisario s’il persiste à s’aligner sur Ryad ?
    – Mais ce faisant, Téhéran ayant violé cette souveraineté qu’elle défend si jalousement, comment va réagir l’Algérie ?

    En définitive, cet épisode montre deux choses :

    1) Face à la menace algéro-polisarienne sur ses provinces sahariennes, le Maroc est condamné à un quasi alignement sur la position américano-saoudienne.

    2) L’Algérie qui porte à bout de bras le Polisario depuis sa création n’est pas à l’abri d’une provocation de la part de ce dernier qui pourrait déclencher une crise majeure avec le Maroc. L’épisode en cours pourrait alors lui faire enfin comprendre qu’un accord avec Rabat lui serait plus profitable qu’un soutien aveugle à un Polisario paraissant chercher de nouveaux parrains, avec pour conséquence qu’Alger risquerait de moins le contrôler dans l’avenir. Cette livraison pourrait alors être un bon prétexte pour couper les ailes à un mouvement dont les ramifications islamo-mafieuses commencent à poser bien des problèmes dans toute la région saharo-sahélienne.

    Un tel accord serait bénéfique pour les deux pays. Le Maroc qui n’aurait plus à craindre un conflit avec l’Algérie, pourrait alors moins dépendre des Etats-Unis et de l’Arabie saoudite, ce qui, par voie de conséquence renforcerait l’Algérie dans sa constante d’indépendance et permettrait enfin la définition d’une politique maghrébine commune.

    Bernard Lugan

    Texte repris du site Blog de Bernard Lugan

    https://fr.novopress.info/

  • Racisme : le Conseil des droits de l’homme de l’ONU demande à l’Allemagne d’agir contre l’antisémitisme aggravé par les migrants

    Allemagne antisémitisme migrants racisme Conseil droits homme ONU
    L’Allemagne répondait ce mardi aux questions et aux remarques des autres pays membres de l’ONU réunis au sein du Conseil des droits de l’homme à Genève. Plusieurs pays se sont inquiétés de la vague d’attaques antisémites dont souffre la nation qui a organisé et exécuté la déportation systématique des juifs d’Europe pendant la Deuxième guerre mondiale. Beate Rudolf, de l’Institut allemand pour les droits de l’homme, a parlé d’un problème de longue date de l’Allemagne avec un antisémitisme ancré dans sa population, que le « nouvel antisémitisme » amené par les migrants ne ferait qu’empirer. L’Allemagne ainsi retoquée pour « racisme »… est félicitée par d’autres pays pour l’accueil qu’elle a réservé à ces migrants ! Mais d’autres représentants ont dénoncé les actes racistes qui les visent (5.700 répertoriés ces dernières années) et le manque d’efforts de l’Allemagne contre le racisme et la xénophobie.

    Lire la suite sur REINFORMATION.TV

  • La montée des islamistes en Belgique

    6a00d8341c715453ef0224e038e221200d-320wi.jpgA l'approche des élections communales en Belgique, souligne, et déplore, le site d'information 7 sur 7 en date du 7 mai, qu'en dehors de la participation des partis islamistes issus des communautés turques et marocaines, certains partis traditionnels belges n'hésitent pas d'utiliser la propagande islamique dans leur campagne électorale :
    Ainsi, c'est un parti flamand, le CD&V, – sigle correspondant à Christen-Democratisch en Vlaams, Chrétiens-démocrates et flamands, - formation membre du Parti populaire européen qui distribue à Anvers un calendrier islamique pour le mois de Ramadan avec un message : "On vous souhaite un bon Ramadan et une joyeuse fête du sucre”.
    Dans son calendrier en néerlandais, le CD&V indique comme l'année en cours 1439 du calendrier islamique, non 2018 du calendrier officiel de l'Union européenne et de la Belgique (...)

    → Lire la suite de cette chronique sur le site de l'IHS

    http://www.insolent.fr/

  • Lucien Cerise sur Radio Courtoisie : Formatage social et manipulation des radicalisés (avril 2018)

  • Sonia Mabrouk : face à l'islam, le déclin de la civilisation chrétienne n’est pas pour demain

    6a00d83451619c69e20224e038e237200d-250wi.jpgSonia Mabrouk est une journaliste franco-tunisienne. Ancienne journaliste à Jeune Afrique, elle présente, jusqu'en 2017, l'émission quotidienne On va plus loin sur Public Sénat et Les Grandes Voix sur Europe 1. Elle anime depuis 2017, quotidiennement, sur CNews, Les Voix de l'info. Sortant la tête de l'actualité quotidienne, elle publie aujourd’hui Dans son coeur sommeille la vengeance, roman sur les “lionceaux” de Dae’ch, ces enfants biberonnés à l’idéologie islamiste, pour mettre en lumière ce qu’elle perçoit comme les prémices d’un sursaut national. Elle explique dans Valeurs Actuelles :

    "Vous parlez très rapidement, dans votre roman, de la valeur chrétienne de la rédemption que Lena a héritée de sa mère… C’est une motivation étonnante aujourd’hui.

    C’est le pivot de ce livre, parce qu’il fallait que mon héroïne veuille spontanément offrir une seconde chance à ces enfants. C’est cette volonté qui va la révéler à elle-même. Lena commence cette aventure comme une exilée de l’intérieur, elle ne sait plus qui elle est. Et c’est en s’accrochant à l’espérance, à la seconde chance, qu’elle redécouvre sa religion et la force de ses valeurs. La civilisation chrétienne est forte grâce à ses valeurs. Elle survivra si les valeurs chrétiennes sont défendues et portées haut et fort par les chrétiens en France et ailleurs dans le monde. [...]

    Dans ce roman, Lena discute avec Amra. Cette dernière lui parle de soumission, de déclin, de la disparition du christianisme. N’a-t-elle pas raison ?

    Amra décrit en effet une réalité. Ce déclin et cette fragilité sont là. Mais la guerre contre l’islamisme interroge radicalement la civilisation judéo-chrétienne. En redécouvrant qui elle est et les paroles de sa mère catholique, mon héroïne trouve la force de résister à cette description apocalyptique. Certains ont tendance à voir la civilisation chrétienne et ses principes comme une immense fragilité. Je crois qu’en face de l’islam politique et conquérant, cette apparente fragilité devient au contraire une force. Mon héroïne Lena va puiser très loin dans les valeurs de cette civilisation pour résister, croire, espérer et peut-être se sauver…

    La grande majorité, comme votre héroïne, a rejeté l’encens, les églises et la religion… Avez-vous vraiment l’impression d’un cheminement inverse ?

    Lena a rejeté l’Église à 7 ans… et petit à petit, par ses doutes existentiels, elle en retrouve le chemin. Quelque chose me frappe quand je vois les églises partout en France : elles ne sont pas du tout vides ! J’y vois des familles, des enfants et des jeunes qui savent très bien ce qu’ils font là. Pendant trop longtemps, des émissions de télévision ont mis en avant les tenants de l’islam politique, des journaux de la presse écrite ont mis en exergue des gens au double discours, beaucoup de lumière a été mise sur ceux qui portent leur religion en étendard. En revanche, dès qu’il s’agit des catholiques, on fait comme s’ils n’existaient pas, comme s’ils étaient une minorité silencieuse… et, pis, on les rabaisse ! C’est une erreur condamnable, car ces valeurs chrétiennes peuvent constituer un projet contre l’islamisme.

    Qu’est-ce qui vous fait dire ça, dans la France d’aujourd’hui ?

    La récente mort d’Arnaud Beltrame m’a profondément marquée.Le mouvement unanime avec lequel la France a salué cet homme nous montre que rien n’est perdu. J’en ai la profonde conviction. Certains ont parlé, à son sujet, de sacrifice. Je pense vraiment qu’il est plutôt allé au bout de sa mission : il savait ce qu’il faisait, il s’est battu, il a voulu terrasser son ennemi. J’aime citer de Gaulle lorsqu’il dit : « Nous allons, même quand nous mourrons, vers la Vie. » C’est exactement ce qu’a fait Beltrame, en réalité. Il a opposé au terroriste islamiste ses valeurs, la mission de vie qu’il s’est assignée.

    Que comprendre de sa force ?

    Lorsque sa femme parle de l’acte d’un chrétien, il ne faut certainement pas le minorer. Beltrame a risqué sa vie pour en sauver une autre. Son exemple est incroyable. Il incarne, par son geste, un projet spirituel d’une puissance inouïe. Et nous, dans les médias, nous n’en parlons pas parce que nous avons peur de mettre en avant une religion, parce que les mots de “civilisation chrétienne” sont devenus des gros mots… C’est ridicule !

    Qu’est-ce que cet exemple a changé, pour vous ?

    Avant, les terroristes avaient un avantage considérable : ils étaient les seuls à être capables de mourir pour leurs idées, ou plutôt leur idéologie. Dans le roman, Amra le dit à Lena : « Vous, vous avez peur, vous bombardez depuis des avions sophistiqués, la mort vous effraie. Vous ne regardez pas l’ennemi droit dans les yeux, vous n’êtes même pas capables de le nommer. » Dans mon livre, Lena finit par lui donner tort. Dans la réalité, c’est Arnaud Beltrame qui l’a fait. Ce jour-là, dans le supermarché, il est allé, malgré la mort, vers la vie, vers l’absolu, vers la transcendance.

    On a parfois tendance à considérer que les convictions sont personnelles et qu’elles ont toutes la même valeur, vous semblez rejeter ce relativisme.

    Il est urgent de sortir définitivement du déni et donc du relativisme. Tout ne se vaut pas. Ce jour-là, le projet d’Arnaud Beltrame n’avait pas d’équivalent. Il a tout transcendé et réveillé en nous une part de résistance, que nous exprimons chacun à notre manière. Beaucoup de Français le ressentent dans leur quotidien et au plus profond d’eux. C’est pour cela que je dis que le déclin de la civilisation chrétienne n’est pas pour demain, contrairement à tous ceux qui affirment que tout est fichu et qu’une mort lente attend les valeurs judéo-chrétiennes… Je crois à l’inverse au sursaut, à la renaissance, à la continuité millénaire.

    Lorsqu’elle comprend ça, Lena entre dans une église et se signe. Vous y allez fort !

    Je crois que même pour les non-croyants il est difficile d’échapper, à un moment ou à un autre de sa vie, à ce que l’on est. Lorsque je reviens en Tunisie et que j’entends le chant du muezzin, cela me fait quelque chose alors que je suis croyante mais non pratiquante. Je ne pourrais pas l’expliquer, c’est de l’ordre de l’irrationnel. C’est la même chose pour Lena. Elle franchit le porche d’une église, et la vérité, sa vérité, comme une évidence, se trouve là.

    Est-ce que votre Lena est, pour vous, la France ?

    Oui, Lena est la France. On nous parle aujourd’hui de lutte contre le terrorisme, de restrictions, de lois, mais les moyens ne suffisent pas. Ils ne font vivre personne. Mon héroïne comprend très vite qu’il faut opposer une mystique à cette idéologie mortifère. Seulement, dans mon livre, Lena fait cette démarche toute seule. Je me demande encore comment un pays entier pourrait y arriver. Il faudrait pour cela un discours, un projet, qui mène vers cette transcendance, qui n’est pas la religion mais qui incarne la spiritualité ! Ce projet doit être porté, il manque cruellement aujourd’hui !"

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  • Le colonel Beltrame martyr du « vivre ensemble » ?, par Guy Rouvrais

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    Dcxi-ZJWkAANA3V.jpg« Un président ne devrait pas dire ça… » C’est le titre de l’ouvrage où François Hollande se livre sans retenue ni pudeur à deux journalistes. C’est aussi ce qu’on entend, en ce moment, à propos de son successeur cette fois, depuis qu’a été diffusé sur France 3 un documentaire dans lequel le chef de l’Etat évoque la première année de son mandat.

    Dans ce film complaisant – son auteur, Bertrand Delais, est un proche de Macron récemment nommé à la tête de la Chaîne parlementaire – , le Président a déclaré : « Le colonel Beltrame est mort parce que la France, ce sont des idées, des valeurs, quelque chose d’une guerre qui le dépasse. Les gens qui pensent que la France, c’est une espèce de syndic de copropriété où il faudrait défendre un modèle social qui ne sale plus » et où l’« on invoque la tragédie dès qu’il faut réformer ceci ou cela, et qui pensent que le summum de la lutte c’est les 50 euros d’APL, ces gens-là ne savent pas ce que c’est que l’histoire de notre pays » laquelle est « une histoire d’absolu, c’est un amour de la liberté au-delà de tout, c’est une volonté de l’égalité réelle. »

    Ce rapprochement était inattendu et il provoque, çà et là, une certaine indignation, non pas à cause du colonel Beltrame, mais en ce que le chef de l’Etat considèrerait comme négligeable que l’on fût à 50 euros près, à savoir les 5 euros mensuels dont l’APL a été amputée après réforme. Ce n’est pourtant pas une découverte de constater que le Président, énarque, inspecteur des Finances, banquier d’affaires, évolue depuis longtemps dans un univers où il ne fréquente guère les plus modestes. Il a révélé à la Haute autorité pour la transparence qu’avant d’intégrer l’Elysée comme secrétaire général adjoint, il gagnait chez Rothschild un million d’euros par an. Alors pensez, 50 euros ! Peut-il songer un seul instant qu’il peut y avoir pour une mère de famille seule un héroïsme du quotidien à gérer à l’euro près un budget qui ne suffit jamais pour élever ses enfants ? Elles sont légion.

    Toutefois, il faut aller au-delà de cette condescendance et s’arrêter aussi sur la France pour laquelle le colonel serait mort. Les valeurs de notre pays auxquelles l’officier aurait donné sa vie, consisteraient donc en la « liberté au-delà de tout » et « l’égalité réelle », Emmanuel Macron a oublié la fraternité pour que la devise républicaine soit complète…Ce serait donc un martyr du « vivre ensemble » ayant offert sa vie pour l’idéal républicain. Ainsi se réécrit l’histoire. Alexis Corbière, de la France insoumise, a répondu, indigné, au Président mais loin de le contredire sur le fond, il va dans le même sens en assurant, lui, que « La France, c’est une France sociale et républicaine » qui aurait donc inspiré Arnaud Beltrame à lui sacrifier sa vie. L’un et l’autre, le chef de l’Etat et son contradicteur, gomment la dimension chrétienne de son acte héroïque. Ce n’est pas l’amour de la République ou l’exaltation du « vivre ensemble » qui peut pousser un homme comme lui à faire don de sa propre existence. Pour ce croyant fervent, c’est la parole du Christ, celui qui a dit : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. » Ni Macron, ni Corbière ne veulent se souvenir que « l’histoire de notre pays » est une histoire chrétienne dont le colonel Beltrame est un des beaux fruits.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 8 mai 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Formation d'imams à Bruxelles avec des manuels antisémites et prônant le djihad

    Selon La Libre.be :

    6a00d83451619c69e20224df317ad2200b-250wi.jpg"La formation des imams délivrée en arabe au sein du Centre islamique et culturel de Belgique (CICB), qui abrite la Grande mosquée de Bruxelles, incite les fidèles à se lancer dans le djihad armé pour “se rapprocher de Dieu”, à “briser le cou” des minorités musulmanes comme les Druzes et les Alaouites, à jeter les homosexuels du haut des bâtiments et considère les juifs comme “un peuple corrompu, maléfique et perfide”. C’est un rapport confidentiel de l’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (Ocam) qui le dit – et que “La Libre Belgique” a pu lire. L’analyse date du 26 février. Elle couvre l’année académique 2016-2017 et a été remise récemment à la Commission parlementaire de suivi des attentats terroristes, qui en discutera ce mercredi à Bruxelles.

    En une quarantaine de pages, l’Ocam dresse un tableau effrayant des cours et manuels en vigueur dans ce CICB qui, jusqu’en mars 2019, dépend encore entièrement de l’Arabie saoudite (un financement de 4,5 millions d’euros ces quatre dernières années). On se souvient que sur la recommandation de la commission d’enquête parlementaire qui a planché sur les attentats du 22 mars à Bruxelles, le gouvernement a rompu, en mars, la concession de la Grande mosquée, avec un an de préavis, pour la confier à l’Exécutif des musulmans.

    Des ouvrages distribués surtout côté francophone

    Installée dans un des plus beaux parcs de Bruxelles, la Grande mosquée fait partie du réseau de la Ligue islamique mondiale. Depuis sa fondation, elle n’a cessé de diffuser en Belgique une pensée wahhabite salafiste. “Cet enseignement consiste en une transmission sans discernement des visions classiques de droit islamique et des doctrines telles qu’elles ont été observées du neuvième au douzième siècle de notre ère”, explique l’Ocam. [...]

    L’un des manuels utilisés à Bruxelles, en troisième année, est “Les grands principes de base du musulman sunnite”. Selon l’Ocam, “dans les années 80-90, ce cours faisait partie du matériel pédagogique des milieux djihadistes arabes au sein et aux alentours du leadership central d’Al-Qaïda”. Ce texte incite notamment les musulmans sunnites à mener “le combat armé aux côtés de leurs dirigeants, qu’ils soient bien guidés ou corrompus, afin d’instaurer les lois de l’islam”. Les Druzes et Alaouites, qu’on trouve en Syrie auprès du régime de Bachar Al-Assad mais aussi ailleurs, sont considérés comme des “polythéistes égarés”.

    Un autre manuel, “La voie du musulman”, vendu dans des librairies en Europe, stipule que “le djihad armé est l’une des formes les plus élevées de rapprochement de Dieu le Très haut et l’expression la plus noble de la pratique religieuse”. Pour les homosexuels, il suggère, comme le faisait Daech, de procéder à trois types d’exécution : la lapidation, le bûcher ou “trouver le bâtiment le plus haut du village (ou de la ville) et y jeter du toit l’homosexuel, la tête en bas, après quoi, il sera achevé par lapidation”.

    Un concentré d’antisémitisme

    Un troisième manuel, consacré aux autres confessions et rédigé par un savant saoudien contemporain, est un concentré d’antisémitisme. Il considère notamment que les juifs sont “des traîtres, des infidèles et des imposteurs”, “obscènes et grossiers”, “cruels et insensibles”, “cupides, avides et avares”. Selon ce théologien qui a pignon sur rue, “les juifs ont recours à la violence, au pouvoir et à la terreur afin de contrôler le monde”. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/formation-dimams-%C3%A0-bruxelles-avec-des-manuels-antis%C3%A9mites-et-pr%C3%B4nant-le-djihad.html

  • Victoire capitale pour Riposte Laïque : la Cour d'Appel de Paris relaxe Pierre Cassen

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    La Cour d'Appel de Paris vient de confirmer, un an après, la décision de la 17e Chambre correctionnelle : elle a relaxé Pierre Cassen, estimant ne pas disposer de suffisamment de preuves pour établir qu'il demeurait le directeur de publication de Riposte Laïque, ce que voulaient démontrer le Parquet de Paris et les associations dites antiracistes.

    C'est une victoire très importante pour Riposte Laïque et son fondateur, peut-être même capitale. Mais elle ne mettra pas fin au harcèlement  judiciaire subi depuis plusieurs années par Pierre Cassen. En effet, ce dernier passera de nouveau devant les tribunaux, le 23 mai, le 13 juin et le 27 juin, ce qui confirme l'ampleur de l'offensive menée contre RL. Mais Pierre Cassen et son avocat, Maître Pichon, forts de cette relaxe, seront en bien meilleure position pour répondre aux accusations obsessionnelles des associations dites antiracistes et du Parquet.

    Ce verdict, ainsi que les résultats des appels aux dons lancés par notre site, mettent Riposte Laïque dans une situation bien plus favorable pour continuer à lutter, quotidiennement, contre l'islamisation de notre pays, permise par l'invasion migratoire organisée par le pouvoir.

    Cette victoire est celle de toute la réinfosphère, et des défenseurs de la liberté d'expression. Elle ne nous fait pas oublier que d'autres patriotes sont trop souvent lourdement condamnés, de manière inique, pour oser résister au discours dominant.

    Malgré la volonté de ce régime de multiplier les lois liberticides contre la réinfosphère, dont Riposte Laïque, nos contributeurs, quotidiennement, continueront à dire aux Français une vérité que médias et politiciens font tout pour leur cacher.

  • L'ONU sait que la plus grande partie du territoire syrien est sûre, mais malgré cela, elle ne souhaite pas le retour des déplacés

    6a00d83451619c69e20224df311688200b-800wi.jpgA la veille des élections législatives, le président libanais Michel Aoun a accordé un entretien à la BBC Arabic dans lequel il a évoqué le quasi-million de réfugiés syriens au Liban inscrits auprès de l'ONU :

    "nous ne faisons pas pression sur les déplacés pour qu'ils quittent le Liban. Mais en même temps, nous n'acceptons pas qu'on mette des obstacles devant ceux qui désirent rentrer et qu'on fasse pression sur eux pour qu'ils restent chez nous. Nous nous interrogeons sur les intentions de ceux qui sont derrière le maintien des déplacés (syriens) au Liban. L'ONU sait très bien que la plus grande partie du territoire syrien est désormais sûre, mais malgré cela, elle ne souhaite pas le retour des déplacés".

    Le Liban accueille près d'un million de réfugiés syriens enregistrés auprès de l'ONU. Le pays a officiellement rejeté le communiqué relatif de la conférence internationale d'aide aux réfugiés syriens, tenue à Bruxelles les 24 et 25 avril, et qui estimait qu'une solution politique en Syrie devait précéder leur retour dans leur pays. M. Aoun avait affirmé que le Liban réclamait "un retour sécurisé des déplacés, notamment dans les régions stables" tenues par le régime syrien, alors que la communauté internationale estime un tel retour prématuré.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html