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islamisme - Page 213

  • Face cachée du Ramadan : faux jeûne, business, orgies de nourriture, indigestions massives, gaspillage, dégâts sociaux

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    Le terme « jeûne » n’est pas forcément adapté pour désigner les pratiques islamiques du ramadan… qu’on ne peut plus rater en France.

    Certes, le fait de ne pas avoir le droit de boire de l’eau pendant tout le jour est dur, voire inhumain quand il fait chaud (et cela interroge sur la religion qui impose de tels préceptes).

    Pour le reste, certains parlent du « mois de la nourriture » !

    En Algérie, en 2010, le nombre de personnes admises aux services des urgences médicales après l’Iftar (repas de rupture du « jeûne ») durant les 10 premiers jours du « mois sacré » avoisinait les 10 000. « La quasi-totalité des cas personnes souffrant de troubles digestifs, d’hypertension et de troubles de diabète ont été enregistrés au niveau des hôpitaux du nord du pays », a indiqué à Echorouk le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Mustapha Khiati.

    Au Qatar, dès le soir du premier jour du ramadan, les hôpitaux ont reçu en 2013 des dizaines de patients souffrant de douleurs. Douleurs non pas dues un manque de nourriture ou d’eau, mais à l’inverse dues à un excès.

    En effet, les patients, qui se sont suralimentés au cours de l’iftar, se sont plaints principalement de brûlures d’estomac, et de vomissements répétés. Tout au long du ramadan, les hôpitaux qataris reçoivent régulièrement des patients ayant trop mangé. En 2015, une centaine de personnes ont été admises au service des urgences au cours de la première nuit du ramadan.

    Le ramadan est aussi l’occasion d’un formidable gaspillage de nourriture :

    « Les musulmans jettent plus de 40 % des plats préparés chaque jour pendant le Ramadan. » C’est le constat d’une étude réalisée par Mohammed Aman, un écologiste du Bahreïn spécialiste de l’environnement et des déchets. « Les gens ont tendance à multiplier par trois la quantité de nourriture qu’ils consomment durant l’Iftar », ajoute-t-il.

    Par ailleurs, en Algérie, femmes et enfants battus au sein du foyer durant le ramadan : +120% ; rixes et disputes causant des blessures : +400% ; voies de fait, agressions : +320% ; vols de voitures, escroqueries, faux et usage de faux : +180% ; rendements dans les entreprises : -62% ; nombre de sinistres : +410% ; nombre de blessés : +214% ; nombre de décès : +80%. Ces chiffres ne sont pas le fait d’islamophobes rabiques, mais résultent d’une enquête menée par l’institut algérien Abassa, dans 24 régions administratives d’Algérie, auprès d’un échantillon représentatif de 3.004 individus. L’objectif de cet institut était d’identifier et de quantifier les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois du Ramadan. On voit les résultats… Depuis, l’Institut Abassa a été démantelé par les autorités algériennes.
    http://www.contre-info.com/face-cachee-du-ramadan-faux-jeune-business-orgies-de-nourriture-indigestions-massives-gaspillage-degats-sociaux#more-45206

  • Islam radical dans les médias : de quoi cette empathie est-elle le nom ? L’exemple de Libération

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    Alors que débute le Ramadan et que 300 imams étrangers arrivent sur le territoire national, une étrange ambiance règne dans les médias quand il s’agit d’évoquer l’islam radical. Un cas d’école avec Libération, le 14 mai 2018.

    Après l’attentat perpétré à Paris le samedi 12 mai 2018 par un tueur islamiste musulman, Libération a publié un article donnant la parole à d’anciens camarades de classe et à un ancien professeur du terroriste. Les témoignages anonymes sont ceux de quatre personnes ayant connu le tueur ainsi que son complice au lycée Marie-Curie de Strasbourg. Ce qu’ils racontent est édifiant et ajoute à ce que l’on sait par ailleurs de l’état mental, intellectuel et ethnique des lycées français. Toute aussi édifiante est la façon dont Libération « raconte » les faits, par le prisme de ses témoins.

    Voyage au bout de l’islamisme

    Comme il est devenu habituel, le tueur musulman était « gentil », « timide », « sympathique » et rien ne semblait le prédisposer à tuer des innocents avec un couteau de cuisine. C’est ce qui ressort des témoignages. Libération ne prend pas la peine, ni le recul critique, une vertu pourtant éminemment journalistique, d’interroger ce fait : quelle information se cache derrière ce qui est dit depuis plus de trois ans, après chaque attentat islamiste, au sujet de tueurs toujours présentés ainsi ? Et que signifie que des journaux tels que Libération fassent ressortir de tels portraits au sujet d’assassins, sans en interroger le sens ?

    Les témoignages vont très loin dans l’empathie, bien plus que tout ce que pourrait imaginer l’observateur moyen concernant un autre cas de figure potentiel, par exemple si un tel article était publié au sujet d’un tueur évangéliste du Sud des États-Unis : le terroriste musulman « allait chercher à manger », « il n’avait pas de musique sur son téléphone », « on ne le soupçonnait pas de quoi que ce soit », « c’était un mec discret et gentil », « c’était un ami », « il disait qu’il voulait sauver des vies », « nos classes étaient mixtes, avec des athées, des chrétiens et des musulmans. Il n’y avait pas de discrimination », « ils me montraient des textes ou des images pour me prouver que le Coran n’incitait pas à la violence », « personne ne pouvait imaginer cela de quelqu’un de si respectueux, si poli », « un mec adorable, il était discret, studieux, il voulait devenir médecin », « ce qu’il a fait est impardonnable mais quand on l’a connu, quand on l’a côtoyé pendant trois ans, quand on a mangé avec lui pendant trois ans, ça nous choque que le voir diabolisé par les médias » (sic !), « on sait tous qu’il s’est fait laver le cerveau »… Un tueur gentil, sympa, un pote auquel il n’aurait pas fallu toucher, lequel est cependant coupable d’un attentat au motif d’une conception religieuse et politique totalitaire du monde. Imaginons que Libération ait existé en 1945, il est permis de se demander si sa rédaction aurait mené l’enquête au lycée de Himmler, histoire de voir si ce garçon reconnu coupable de quelques meurtres n’auraient pas été un type discret, sympa et poli…

    Par contre, son complice et supposé inspirateur est présenté comme le grand méchant de ce drame. L’effet de contraste est saisissant, renforçant le sentiment d’empathie véhiculé par les témoignages au sujet du tueur. N’oublions pas, à ce propos, que ce qui est dit par les témoins dans cet article résulte d’un choix de la rédaction de Libération, laquelle ne publie pas ici l’intégralité des propos des témoins mais ce qu’elle veut publier. Le complice ? « Je sais qu’il voulait partir en Syrie pendant un petit moment. C’était des rumeurs comme cela. Après ça s’est étendu et tout le lycée l’a su et après il s’est calmé et il a dit qu’il avait retrouvé la raison. On se moquait de lui en disant qu’il allait partir en Syrie », « il était assez brutal », « plus pratiquant », « il voyait tout à travers le prisme de la religion », « j’avais bien perçu qu’il y avait un problème quant à sa vision de la démocratie ou sur le rapport aux femmes. Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes », « il avait fait un exposé sur le sujet et j’ai dû y mettre fin car je ne pouvais pas laisser dire tout ça au sein d’une institution laïque », « quand je le voyais parfois après le bac, je changeais de trottoir », « il avait une vision extrémiste, en tout cas poussée de l’islam. Il s’exprimait toujours contre les actions terroristes mais il disait aussi que c’était normal qu’il y ait des attaques si la France lançait des frappes en Syrie », « il tenait toujours à ce qu’on ne fasse pas d’amalgame entre islam et terrorisme »…

    Ce qui devrait étonner Libération

    ‣ Le complice de l’assassin est présenté comme violent et ses camarades se méfient de lui depuis qu’il s’est levé en classe et a jeté violemment des tables et des chaises dans un mur.

    ‣ Ce même complice est radicalisé et fait un exposé de propagande sur l’islam radical en classe, même si cet exposé est interrompu.

    ‣ L’avancée discrète des islamistes radicaux apparaît comme une stratégie évidente dans ce cas d’école et pourtant de cette stratégie Libération ne dit mot.

    Plus surprenant encore :

    Dans un lycée de la République française, la question de l’islam est devenue centrale : au point que l’on peut envisager d’en exposer les doctrines sectaires et radicales en classe. Il est possible d’affirmer dans ce cadre que la « charia est une bonne chose ».
    Un élève peut se lever et jeter chaises et tables contre un mur.
    Des individus scolarisés en France tiennent ouvertement des propos de collaboration avec des ennemis de la France
    Les lycéens s’amusent, se moquent d’un individu radicalisé dont il est supposé qu’il envisage de partir en Syrie
    Le chef d’établissement d’un lycée de la République doit concentrer son attention sur des musulmans attirés par le salafisme, source avérée du djihadisme.
    Le quotidien n’interroge pas l’origine des deux complices, ni le fait qu’ils sont des migrants devenus français depuis peu.

    Cette phrase : « Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes » devrait interpeller les journalistes des médias officiels. Dans l’expression du témoin, le voile en tant que marqueur de l’inégalité hommes femmes au sein de l’islamisme est évident. Voilà qui donne de la perspective à un autre moment de présence de l’islam dans l’espace public et médiatique français, une présence qui est devenue permanente : l’intervention de la musulmane voilée présidente de l’UNEF Sorbonne à la télévision, le 14 mai ; une musulmane voilée prenant la parole en tant que syndicaliste étudiante, responsable d’un syndicat féministe et « progressiste » de gauche.

    Devant les critiques, une salve d’empathie à fusé, un peu comme au sujet du « sympathique » lycéen devenu tueur dans les rues de Paris. Pourtant, le simple bon sens ne peut que conduire à dire ceci : il est incroyable qu’une représentante syndicale de l’UNEF soit voilée, et tout autant incroyable que nombre de journalistes ne voient pas une évidence en cela. Ce qui n’est pas le cas par exemple de Marianne, très clair à ce sujet. D’autres discours deviennent pour le moins confus : ici. Discours de méconnaissance complète des stratégies des islamistes en direction de la jeunesse. N’est-il pas problématique qu’une religion en particulier occupe une telle place, quotidienne, empathique et souvent militante, dans l’espace public de la République laïque, avec le soutien d’une partie de la gauche radicale et la bienveillance de nombre de médias officiels ?

    Tribune reprise du site OJIM

    https://fr.novopress.info/210871/islam-radical-dans-les-medias-de-quoi-cette-empathie-est-elle-le-nom-lexemple-de-liberation/#more-210871

  • Marc Trévidic : « Le moteur du terrorisme islamiste est la haine du Français »

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    9115-20180523.jpg« Il y a une spécificité du terrorisme islamiste c’est la haine du Français, la haine du mécréant, la haine d’une jeune femme que l’on n’estime pas assez habillée. »

    L’ancien juge antiterroriste qui a eu face à lui avant leur passage à l’acte, Adel Kermiche l’égorgeur du père Hamel en 2016 à Saint-Etienne du Rouvray, ainsi que Larossi Abballa qui a assassiné le couple de policiers de Magnanville sous les yeux de leur fils de quatre ans, déclare qu’il faut d’abord utiliser les moyens légaux existants et bien les utiliser, avant de se lancer dans de nouvelles mesures qui sortent du droit, inapplicables et contre-productives : « Avec des moyens un peu plus étoffés on peut détecter les éléments de radicalisation. »

    Dans un récent sondage Elab, les Français ne sont pas de cet avis : 80 % d’entre eux sont pour l’expulsion des étrangers fichés S, 77 % pour interdire le retour des Français partis se battre en Irak et en Syrie et 74 % pour la rétention administrative des fichés S les plus dangereux.

    « La réponse est évolutive » assure Marc Trévidic. « Dès qu’on détecte quelqu’un que l’on considère dangereux, il faut la capacité de mettre le paquet. On se rend compte souvent, a posteriori, qu’il y avait des éléments qui auraient dû nous mettre la puce à l’oreille. Avec des moyens un peu plus étoffés, on a peut-être des chances de les arrêter avant et cela reste dans notre système de droit », estime le désormais premier vice-président au tribunal de grande instance de Lille.

    Marc Trévidic a commenté la proposition de Nicole Belloubet, ministre de la Justice, qui souhaite la création d’un parquet national anti-terroriste, précisant qu’il fallait décentraliser ce parquet et créer impérativement des antennes en province où les magistrats de terrain auraient des contacts avec les policiers et les agents de renseignements de terrain : « Aujourd’hui tout remonte à Paris. La DGSI c’est le même problème. Ils ont des agents sur le terrain qui font des rapports qui sont lus une semaine après à Levallois. »

    La France est aujourd’hui le pays d’Europe le plus ciblé par l’Etat islamique avec 245 victimes. Un pays miné par la haine de la France en effet, entretenue par des décennies d’idéologie anti-raciste et de repentance portée par le ministère de l’Education nationale, les médias et les gouvernements, sur lesquelles le communautarisme islamiste fait son lit dans nos banlieues et nos quartiers.

    Article paru dans Présent daté du 22 mai 2018

    https://fr.novopress.info/210864/marc-trevidic-le-moteur-du-terrorisme-islamiste-est-la-haine-du-francais/

  • « Terrorisme : je ne suis pas plus islamophobe que christianophobe ou judéophobe. Je préfère interpeller sur les causes que sur les conséquences, aussi dramatiques soient-elles… »

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    Entretien avec Philippe Randa

    Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale

    Plusieurs personnalités ont signé un « Manifeste contre les nouveaux collabos de l’islam » cliquez ici dont Guy Millière, Guillaume Faye, le Dr Alain de Peretti, Gérard Brazon, Jean Robin, Abbé Guy Pagès, Marc Rousset, Uli Windisch… Pas vous ?

    Non, bien qu’on me l’ait proposé, mais je ne suis pas plus islamophobe que christianophobe ou judéophobe… De philosophie païenne, je suis tolérant envers toutes les religions. Les sanglantes dérives au nom d’Allah sont directement et avant tout liées à l’immigration incontrôlée et à l’actuelle politique extérieure des États-Unis… Je préfère interpeller sur les causes que sur les conséquences, aussi dramatiques soient-elles. Au début du XXe siècle, les musulmans en France étaient estimés à environ 120 000 ; ils pratiquaient leur religion au vu et au su de tout le monde sans revendications insupportables et personne n’y trouvait rien à redire… Tout a changé à la fin de ce siècle après l’arrivée incontrôlée de plusieurs millions d’immigrés à majorité musulmane : les conversions à l’islam n’ont jamais été numériquement importantes, c’est le flot continu – car l’immigration officiellement « restreinte » depuis les années soixante-dix du siècle dernier, ne l’a jamais été – de millions d’étrangers convertis qui nous posent aujourd’hui des problèmes autant d’identité que de sécurité : tous les jours, nous pouvons constater autant l’échec de l’intégration que de l’assimilation pour des millions de ces « nouveaux Français » qui, de fait, ne le sont que de papiers ; plus terrible encore, il y a le rôle que jouent les innombrables associations et les « idiots utiles » qui favorisent et accueillent les clandestins : leurs filières sont redoutablement efficaces. Grâce au totalitarisme du « politiquement correct » relayé par la quasi-totalité des médias mainstream, ils agissent quasiment en toute impunité : les différents gouvernements de la France depuis un demi-siècle sont paralysés à l’idée d’être accusés de racisme. Ainsi le passeur de migrants Cédric Herrou qui a enfreint la loi française est invité au Festival de Cannes, tandis que les militants de Génération identitaire qui ont fait respecter sans violence aucune cette même loi française notamment au Col de l’Échelle, sont discriminés jusque sur leurs lieux de travail.

    Vous pensez donc que l’islam peut avoir une place en France ?

    De fait, il l’a : il y a entre 8 et 10 millions de personnes d’« origine musulmane », plus ou moins croyantes et pratiquantes. On peut imaginer les traquer, les parquer et les expulser, bien sûr ! Mais encore faudrait-il expliquer comment s’y prendre et où « s’en débarrasser »… Leurs pays d’origine ? Ils sont plusieurs millions à être nés sur le sol français, désormais depuis deux ou trois générations…

    Cela pourrait au moins s’envisager pour les Fichés « S » ?

    Rappelons qu’ils sont au nombre de 20 000 selon l’actuel Ministre de l’Intérieur Gérard Colomb : tous ne sont pas musulmans, certes, mais c’est la majorité. À l’évidence, les pays dont ils sont originaires n’accepteront sans doute par de récupérer de telles canailles, nées qui plus est sur le territoire français. Quant aux naturalisés, tel Khamzat Azimov, né en Tchétchénie en 1997 et naturalisé français, si tant est que leur pays d’origine accepte de les récupérer, on imagine quel sort leur sera réservé sur place… Certains pourront s’en réjouir, mais les associations auto-proclamées des droits de l’homme dont c’est le gagne-pain feront pleurer dans les chaumières françaises sur le sort qui leur sera réservé. Et puis, l’actuel président tchétchène ne s’est pas gêné de dénoncer la responsabilité de notre belle démocratie (que le Monde entier est censé nous envier) dans la dérive djihadiste d’Azimov ; je le cite : « Il est important de noter que l’entière responsabilité de l’orientation criminelle de Khamzat Azimov revient aux autorités françaises ; il est né en Tchétchénie, mais il a grandi dans la société française, où ont été forgées sa personnalité et ses opinions »… Incontestablement, il a raison. Ça fait mal à entendre, certes, même si les coups de couteau d’Azimov ont fait plus de mal encore à ses victimes (1 mort et 4 blessés)…

    Alors, il n’y a rien à faire ? On laisse l’islam continuer de progresser en France et les Fous d’Allah frapper où ils veulent, quand ils veulent ?

    Bien sûr que non, mais plutôt que des imprécations, ne pourrait-on pas plutôt chercher des solutions efficaces parce que surtout envisageables ? Par exemple, inscrire l’interdiction du « djihad » dans la loi française et l’assortir d’une déchéance automatique de la nationalité française ? Ainsi, tous ceux partis faire la guerre en son nom hors de nos frontières ne pourraient plus revenir… Ce serait déjà autant de personnes dangereuses tenues à l’écart ! Quant aux « terroristes potentiels » qui ne sont pas encore passés à l’acte, ce sont pour la grande majorité d’entre eux d’anciens délinquants de droit commun. C’est donc à ce stade-là qu’il convient d’abord d’intervenir : repérer autant parmi la population carcérale que parmi les aumôniers musulmans ceux qui les radicalisent… Et puis surtout, principalement et impérativement, pour tarir la source d’approvisionnement en terroristes futurs, fermer les vannes de l’immigration incontrôlée… Tant que cela ne sera pas le cas, on ne pourra que compter nos chômeurs et pleurer nos morts. Soit continuer la politique de l’autruche comme depuis des décennies. Le pire serait de découvrir que nos concitoyens s’y sont définitivement résolus.

    Directeur du site EuroLibertés. Ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale, chroniqueur politique, éditeur (éditions Dualpha, Déterna et L’Æncre) et auteur de plus d’une centaine de livres. Sociétaire de l’émission « Bistrot Liberté » sur TVLibertés. Il écrit également des billets pour le quotidien Présent et co-anime chaque jeudi l’émission « Synthèse » avec Roland Hélie sur Radio Libertés. Ses chroniques politiques sont publiées chaque année en recueil sous le titre : « Chroniques barbares ». Dernier livre paru Une démocratie hors de prix, préface d’Aristide Leucate.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • TERRORISME ISLAMISTE : LES MÉDIAS ONT VRAIMENT CHANGÉ

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    Les dernières réactions aux agressions islamistes ont fait apparaître une nouvelle approche politique et médiatique du phénomène et l’on a vu, ces derniers temps, se tenir et se développer, de plus en plus nombreux, des propos nouveaux, en contraste avec les indignations immenses et graves qui étaient de mise à l’époque héroïque des Charlie, charlots et autres résistants des terrasses et cafés des lendemains d’attentat…

    Et, certes, on organise encore des marches blanches, mais avec moins de monde et de conviction ; la tour Eiffel, sur ordre de la reine socialiste Hidalgo de Paris, est privée de lumière toute une nuit, mais plus personne ne s’en soucie ; on voit encore bougies et bouquets de fleurs s’entasser sur les lieux où ont péri les malheureuses victimes, mais en moins grand nombre ; et les heures de reportage qui leur sont consacrées fondent comme neige au soleil…

    Non, le cœur n’y est vraiment plus, et les médias se font peu à peu l’écho d’un début de changement de pensée sur le terrorisme islamiste et ses effets, alors que les célèbres pilules de Cépassalislam ou de Padamalgame ont vu leurs ventes baisser sensiblement.

    C’est qu’un nouveau concept vient de naître, qui est celui de sa banalisation et de sa normalisation, exprimées à travers la formule : « Il faut que les Français s’habituent, il faut qu’ils apprennent à vivre avec, car cela ne s’arrêtera pas… »

    Exemple de ce discours, sur une chaîne de télévision — j’ai oublié laquelle, mais peu importe puisqu’elles disent toutes la même chose —, le propos tenu par un célèbre chroniqueur — mais de plus en plus de journalistes et de politiques le tiennent également. Voici à peu près ce que cela donnait : « Il faut que chaque Français se dise, tous les matins en sortant de chez lui, qu’il peut se faire renverser par une voiture, qu’une tuile peut lui tomber sur la tête ou qu’il peut aussi recevoir un coup de couteau, alors qu’il marche sur le trottoir. »

    Eh oui, c’est comme ça, c’est la vie, mon brave ! Tout peut arriver !

    N’en doutons pas, ce nouveau concept fataliste, avec les nouvelles perspectives économiques qu’il pourrait engendrer, est appelé à se développer dans les mois et les années qui viennent. Bientôt, les coups de couteau en pleine rue, les voitures qui vous foncent dessus, les massacres de clients dans les supermarchés au nom d’Allah seront mis sur le même plan qu’une glissade sur une peau de banane, un entartage crémeux façon BHL ou un dépassement du 80 km/h.

    Et pour encore plus de banalisation, mais aussi de bénéfice économique — car, dans la France du Président Macron, tout ce qui peut rapporter de l’argent est vite repéré —, j’imagine d’autres suites lucratives. N’a-t-on pas vu se créer, déjà, une entreprise (pardon, une start-up) pour compter les manifestants de la CGT et des Insoumis chroniques ? Ainsi, une nouvelle start-up pourrait bientôt proposer à ses clients des cottes de mailles et des minerves ultrafines en acier trempé sur lesquelles aucun couteau, y compris le plus acéré, n’aurait de prise. L’heureux acheteur de ce nouveau produit vestimentaire pourrait se promener tranquille dans les rues sans risque de se faire égorger ou poignarder dans le dos ou la poitrine. En même temps, il contribuerait à la prospérité du pays et à la création de nouveaux emplois.

    On pourrait appeler cette nouvelle start-up, dont on peut être sûr qu’elle sera vite cotée en Bourse, et que ses actionnaires percevront de gros dividendes, « Stop Attentat » ou « Marche Tranquille » ou encore « Jecrainsplusrien.com »…

    http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-islamiste-medias-ont-vraiment-change/

  • Islamisation : appliquons le principe de précaution

    Cet article de Jean-Louis Chaton, Président du Comité d’action pour le respect de l’État de droit (CARED), avait été publié il y a 2 ans et demi. Et les gouvernements successifs n'ont rien fait :

    "Je rends un vibrant hommage aux victimes malheureuses du terrorisme et demande l’application du principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation.
    Parmi les auteurs des attentats du 13 novembre, figure au moins un « réfugié » accueilli en Grèce le 3 octobre. Au moins un autre terroriste était, par ailleurs, classé S, c’est-à-dire reconnu comme dangereux, mais laissé en liberté.

    Si le principe de précaution en matière d’immigration et d’islamisation avait été appliqué, les attentats n’auraient pas pu avoir lieu. Je dénonce donc la politique laxiste et angélique des gouvernements successifs et demande aux actuels dirigeants d’appliquer ce principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation en :
    – ne laissant pas entrer en France des centaines de milliers de clandestins, en grande majorité de confession musulmane, parmi lesquels se trouvent des terroristes ;
    – interdisant la diffusion de livres islamistes, incitant au meurtre, ainsi que la tenue de congrès et de conférences salafistes ;
    – fermant un certain nombre de mosquées et en incarcérant ou expulsant tous les prêcheurs de haine qui y sévissent ;
    – expulsant, incarcérant ou assignant à résidence tous les terroristes potentiels fichés « S » qui passeront à l’acte tôt ou tard, comme le montrent les faits d’actualité répétés ;
    – laissant partir des terroristes djihadistes vers la Syrie, au lieu de s’opposer à leur départ, et en empêchant, en revanche, leur retour ;
    – ouvrant enfin un grand débat national lucide sur la place de l’islam dans notre République, seule religion aujourd’hui capable d’enfanter de tels monstres, au lieu de s’enfermer dans le déni suicidaire du « pas d’amalgame »."

    Guillaume de Thieulloy donnera une conférence organisée par le CARED le 23 mai :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France vous souhaite un bon ramadan, par Caroline Parmentier

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    Le ramadan, considéré comme une « période délicate » par les services préfectoraux et la police, vient de commencer. Marqué par l’arrivée en pleine période d’attentats islamistes, de 300 imams étrangers (algériens et marocains) sur le sol français, accueillis par un gouvernement aux petits soins.

    Je sais que le ramadan a commencé quand ma fille m’annonce que plusieurs élèves de sa classe sont dispensés de sport parce qu’ils n’ont pas le droit de boire. Essayez d’empêcher vos enfants de boire par 30 degrés au soleil si vous êtes catholique ou Témoin de Jéhovah et vous serez dénoncé comme appartenant à une secte maltraitante. Essayez de sécher le cours de sport si vous n’êtes pas musulman et il vous faudra non pas seulement un motif religieux ou un mot des parents, mais un certificat médical certifiant votre incapacité après une visite chez un médecin.

    Après les attentats de Trèbes et de l’Opéra, la décision de faire venir 300 imams étrangers est totalement irresponsable. La Croix (mieux rencardée sur le ramadan que sur le carême) nous apprend que « les communautés musulmanes en ont besoin » : « Elles recherchent des religieux capables de réciter l’intégralité du Coran – appris par cœur – sur un mode psalmodique, une pratique connue sous le nom arabe de “tajwid” ». Des textes de fraternité et de paix comme chacun sait. Le vivre ensemble c’est bon pour les idiots utiles.

    Ce sont les « meilleurs imams », nous assure le président du CFCM, ceux de l’islam des Lumières sans doute, passés au crible des services antiterroristes (ce qui nous rassure beaucoup) au moment même où Macron dit travailler à un plan pour mieux contrôler le culte musulman en France et l’éloigner des influences étrangères. « Comment dans un Etat laïque, le ministre de l’Intérieur, certes ministre des Cultes, se préoccupe-t-il de faire venir des imams d’Algérie pour le ramadan ? », s’est indigné Jeannette Bougrab. « Imaginez un seul instant la réaction des médias si le ministre de l’Intérieur s’occupait de recruter des curés dans les campagnes où les offices ne peuvent plus être célébrés. » L’ancienne secrétaire d’Etat, fille de harki, rappelle que « la radicalisation est venue par des prédicateurs du Moyen-Orient, issus pour la plupart des Frères musulmans, mouvement fondé par le grand-père de Tariq Ramadan ».

    Et le ramadan des migrants ?

    Prêtes à se soumettre pour quelques milliards de plus, les grandes surfaces se mettent de plus en plus à l’heure du hallal, les rayons sont de plus en plus envahissants. Le chiffre d’affaires de ce marché communautaire est estimé à 7 milliards d’euros, presque autant que le marché du bio. Carrefour propose jusqu’au 28 mai des réductions spécifiques, Auchan met en avant un catalogue de produits « aux parfums de l’Orient » avec une réduction sur les pistaches, ou une remise sur les bonbons halal.

    Alors que pour Anne Hidalgo, « le ramadan fait partie du patrimoine culturel français », les migrants du camp du canal Saint-Denis et de la porte de la Chapelle se plaignent que les associations ne s’adaptent pas comme il faut et ne leur apportent pas assez d’aliments au moment de la rupture du jeûne… « C’est dans ces moments que notre foi est mise à l’épreuve et nous nous montrerons dignes de notre Prophète », déclare Mohammed car comme il le confie à Libération : « Le ramadan, ça nous rappelle un peu la maison ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 18 mai 2018

    https://fr.novopress.info/

  • ALAIN DE PERETTI : LES FINANCES DE L’ISLAM EN FRANCE SONT EXTRÊMEMENT IMPORTANTES GRÂCE AU HALAL. IL SERAIT BON QUE L’ÉTAT Y METTE SON NEZ

    En ce début de ramadan, les grandes surfaces multiplient les campagnes publicitaires en direction de ce marché en pleine expansion.

    Le docteur Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal, réagit à cette omniprésence commerciale.


    Les grandes surfaces ont compris que le ramadan était un marché rentable…

    Il serait difficile de « louper » le commencement du ramadan compte tenu de l’énorme campagne qui est faite autour de cet événement. Cela confirme ce que je dis d’une façon lapidaire : le halal est la conjonction du mercantilisme et de l’obscurantisme.
    Lénine disait que les capitalistes vendraient la corde pour les pendre. Nous n’avons rien changé depuis la fin du communisme. Il y a effectivement un marché en pleine expansion, il suffit de jouer sur l’obscurantisme d’un islam qui non seulement n’évolue pas, mais en plus régresse, car revient à ses origines du VIIe siècle. Nous ne sommes pas prêts de voir le bout dans ces conditions-là.

    Qu’est-ce qui vous dérange dans le principe du ramadan ?

    Je ne parlerai pas des reproches que l’on peut faire sur les impacts négatifs de la santé.
    Je rappelle que les dépenses de consommation et de nourriture augmentent de 44 % pendant cette période. C’est dire que ce n’est pas une période de jeûne ni de privation. C’est surtout la grande bourse. Mais ce n’est pas mon propos.
    Le ramadan, c’est le Hallal, c’est-à-dire, en terme musulman, ce qui est permis, autorisé et même obligatoire. Cela sort de cette sourate : «  vous êtes la meilleure des communautés que Dieu a faites parmi les hommes, vous ordonnez le licite et vous interdisez l’illicite ». Cela signifie qu’ils doivent donc obliger le halal et interdire le haram.
    Tout cela, c’est la charia, la loi islamique qui englobe la lapidation de la femme adultère, la peine de mort pour l’apostat et toutes sortes de joyeusetés. La charia est un ensemble juridique totalement incompatible avec nos règles de droit positif telles que nous les connaissons en Occident et plus particulièrement dans les pays européens.
    Dernièrement, Frédéric Saint Clair a écrit un livre nommé « La droite face à l’islam » qui parle de soft power islamique. Personnellement, je préférerais le terme de soft djihad, c’est-à-dire un djihad qui permet d’accoutumer peu à peu la population française non musulmane à la charia.
    Il y a tout cela derrière le ramadan, sans parler non plus des problèmes que cela pose en matière de sécurité au travail.

    Derrière ce marché très lucratif que représente la communauté musulmane par le biais des produits liés au ramadan, il y a toujours un problème de financement assez opaque ?

    C’est plus qu’opaque. Cela permet le financement de l’islam, même s’il y a au passage des poches particulières qui se remplissent, et aussi du terrorisme. Je rappelle en cela les enquêtes d’un journaliste canadien qui a démontré par l’entremise de sociétés de charité islamiques comment cet argent transitait. On peut également citer le procès Holy Land aux États-Unis.
    Dernièrement, j’ai eu le plaisir d’entendre Bariza khiari, une sénatrice La République En Marche d’origine musulmane, dire que les finances de l’islam en France étaient extrêmement importantes grâce au halal et qu’il serait bon que l’État y mette son nez.

    Dr vétérinaire Président de Vigilance Halal
  • La France en guerre laisse l’ennemi en paix

    Celui qui tue au nom d’Allah sait attendrir et culpabiliser l’humaniste benêt qu’il combat. Il lui suffit d’exposer sa communauté en victime : ce statut vaut protection chez les belles âmes. Emmanuel Macron est de celles-là, quand il redoute de nommer l’idéologie islamiste qui excite les égorgeurs. Réagissant à l’attentat au couteau commis samedi soir à Paris (quartier de l’Opéra) par un djihadiste français d’origine tchétchène (un mort, quatre blessés), le chef de l’État s’est contenté en effet de dénoncer un "terroriste". Il a aussi assuré, dans un tweet envoyé depuis sa villégiature de Brégançon (Var) : "La France ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté". Les grands mots cachent souvent des faiblesses. De fait, lundi, Macron a aussi tenu Israël pour seul responsable des 60 morts palestiniens tombés ce jour-là à Gaza sous les balles de son armée. Le Hamas a dû apprécier la condamnation. Ce mouvement terroriste islamiste veut qu’Israël disparaisse de la carte.

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