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islamisme - Page 255

  • Islamistes à la RATP : l’auteur de Mahomet au volant répond à Danièle Obono

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    RATP-Chauffeurs-de-bus-238x350.jpgGhislaine Dumesnil, conductrice de bus à la RATP jusqu’en 2015, a raconté dans son livre Mahomet au volant, la charia au tournant (éditions de Riposte laïque) les avancées affolantes du communautarisme islamiste au sein de la RATP, entreprise publique qui emploie le plus grand nombre de fichés « S » et où les barbus imposent de plus en plus la loi coranique.

     Vous avez bondi en entendant la députée de La France insoumise Danièle Obono affirmer que le comportement d’un chauffeur de bus qui refuse de conduire un bus après une femme ne relève pas de la radicalisation islamiste mais d’un simple sexisme ?

    — Soit elle ne connaît pas le sujet dont elle parle, ce qui est embêtant pour une députée qui prétend défendre l’intérêt des Français. Soit elle cherche à disculper l’islam, ce qui est à mon avis beaucoup plus grave et revient à nier totalement la réalité de la situation. C’est le nouveau « négationnisme ». Pour moi elle sait très bien ce qui se passe et elle est complice.

    8958-20171004.jpg[…] Danièle Obono feint de se demander si lorsqu’un conducteur de bus refuse de prendre le volant après une femme, c’est sexiste ou religieux. Elle est de mauvaise foi. Et parfaitement complice. Je rappelle à Mme Obono que Samy Amimour, l’un des tueurs islamistes du Bataclan, qui avait travaillé à la RATP, s’était fait remarquer par son refus de travailler avec des femmes. On a vu comment ça a fini.

    — Avez-vous des exemples personnels et vécus de la période (de 1999 à 2015) où vous étiez machiniste RATP ?

    — L’exemple le plus choquant et qui était quotidien, c’était le refus de saluer les femmes. C’est quelque chose de très perturbant et d’humiliant.

    Je peux donner à Danièle Obono des dizaines de noms de musulmans qui refusaient de nous parler, de nous regarder dans les yeux et de nous serrer la main, au sein de l’entreprise publique de la RATP parce que nous étions des femmes.

    Et je la mets au défi de trouver un seul chauffeur de bus non musulman qui aurait eu la même attitude avec les femmes (avec toutes les femmes) par « sexisme ». Jamais elle ne trouvera une seule affaire de ce type ! Ça n’existe pas. Qu’elle nous en cite une seule avec le lieu et la date.

    Dès 2006 circulait à la RATP un tract édité par un syndicat des cadres qui citait le cas de conducteurs de bus qui refusaient de travailler avec des femmes et de conduire le bus après elles, lors de la relève suivante. Ce syndicat appelait la direction générale au secours et demandait – avec de nombreuses précautions verbales déjà – que soit mis un terme à ces pratiques. Sans jamais pointer du doigt les musulmans bien sûr mais tout le monde avait compris de quelle religion il s’agissait car tout le monde la vivait chaque jour.

    L’attitude que ces musulmans radicalisés ont vis-à-vis de leurs collègues féminines ils l’ont aussi avec leurs usagers quand ce sont des femmes. Je me souviens d’une cliente qui était venue me voir au moment ou je reprenais mon service et qui m’avait dit : « Madame, le chauffeur qui était avant vous dans ce bus n’a jamais voulu me répondre ni me vendre un ticket. » Les barbus ont également cette attitude avec leur hiérarchie si elle est féminine. […]

    — Pouvez-vous nous rappeler l’histoire surréaliste des gobelets de café ?

    — Les gens ont du mal à l’imaginer peut-être mais je me souviens qu’il y avait des gobelets en plastique partout dans les toilettes et sur les lavabos. Les musulmans allaient jusqu’à boucher les toilettes avec ces gobelets qui servaient à purifier leur sexe avant d’aller se prosterner, car ils voulaient obtenir une douchette pour leurs ablutions avant la prière coranique. C’était leur revendication. Ils voulaient faire plier la direction.

    Quand on parle du grand remplacement, c’est exactement ce que j’ai vécu à la RATP. Je l’ai vécu dans ma banlieue française et dans mon entreprise publique. J’ai dû quitter mon quartier parce qu’il n’était plus possible d’y vivre et j’ai dû quitter la RATP parce qu’il n’était plus possible d’y travailler.

    C’est une petite France la RATP. Il y avait de tout comme chauffeurs mais c’était homogène, des fils d’instituteurs, des fils d’ouvriers, des gens très culturellement de gauche et très syndiqués mais c’était très convivial et familial. Tout a volé en éclat. C’est la charia qui règne et on y parle en arabe. L’islam c’est vraiment un bon moyen de faire exploser une société. […]

    Propos recueillis par Caroline Parmentier

    Extraits d’un entretien paru dans Présent daté du 4 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • MARSEILLE : RETOUR AU RÉEL POUR M. PHILIPPE ET UNE CLASSE POLITIQUE EN PLEINE APESANTEUR

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    En ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire.

    Drôle de semaine, comme on aurait dit « drôle de guerre ». Une semaine marquée par « L’Émission politique » du Premier ministre, toujours inconnu pour un tiers des Français, et plaisantant avec un journaliste chauve sur sa calvitie, pour évoquer l’avenir des derniers fleurons français avec un flacon de shampooing L’Oréal. Une semaine marquée par les petits jeux d’appareil politiciens de MM. Lagarde et Bayrou encore, ce dimanche, tout émoustillés par leurs petits succès au Sénat. Une semaine marquée par la présentation du budget, toujours aussi déficitaire comme tous les ans depuis quarante ans. La routine. Le monde d’avant dans toute sa splendeur rassurante.

    Certes, il y avait bien eu ces élections allemandes pour rappeler que quelque chose était pourri au royaume de l’Union européenne. Et puis cette étrange levée de l’immunité parlementaire de M. Collard qui avait osé montrer les crimes de Daech, alors que le député El Guerrab, qui a violemment agressé M. Faure, siège toujours à l’Assemblée, et à la commission de la Défense. Drôles de méthodes parlementaires…

    Et voilà que dans ce dimanche tristounet d’automne, en ce début d’après-midi, ce que l’on tend par tous les moyens à nous faire oublier est réapparu. Une attaque au couteau, dans la gare Saint-Charles de Marseille. Deux passantes ont été tuées. Les soldats de Sentinelle ont abattu l’agresseur. « L’assaillant aurait crié “Allah Akbar“ ” en passant à l’acte. » Selon le conditionnel d’usage au Monde dans ce genre de situations.

    Réactions des officiels ? Le ministre de l’Intérieur, M. Collomb, tweete qu’il se rend immédiatement sur place. Et une adjointe au maire de Marseille, après avoir rendu un hommage mérité aux militaires de Sentinelle, a déclaré que « le nombre de victimes aurait pu être plus élevé ». Avec de tels raisonnements, qui espère-t-elle consoler ? Et pour combien de temps ? Quant au Président Macron, il s’est dit « indigné ». Très bien. Mais encore ?

    La veille, M. Collomb avait détaillé la liste des attentats islamistes déjoués, notamment pendant la campagne présidentielle, et fait le point sur les 17.000 fichés S « suivis ». Rien de rassurant.

    De « L’Émission politique » de M. Philippe, on n’a retenu que son humour poli, avec un dernier clin d’œil à son alopécie naissante : sur un sujet déjà oublié, « on ne va pas couper les cheveux en quatre, voyons ! » Rires…

    C’était de la pure lévitation automnale. De la lévitation ? De l’évitement.

    Mais en ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire. Et nous aimerions bien que sur l’islamisme aussi, dont M. Philippe a très peu parlé, il cesse de couper les cheveux en quatre.

    http://www.bvoltaire.fr/marseille-retour-reel-m-philippe-classe-politique-pleine-apesanteur/

  • S'attaquer aux femmes, c'est répondre à une lecture littérale du Coran

    Jeannette Bougrab commente dans Le Figaro l'attentat à Marseille :

    "L'horreur à l'état brut! Viser les femmes par égorgement et éventration, comme dans les montagnes de Blida, en Algérie, dans les années 1990, n'est pas anodin. Cela a une signification politique. Selon Ali Harb, un philosophe libanais, la violence dans l'islam est démultipliée parce que sa doxa religieuse se structure autour de deux notions: la pureté et la souillure. Dans l'islam, les femmes sont considérées comme impures. S'attaquer aux femmes, c'est répondre à une lecture littérale du Coran. Lorsque la communauté internationale s'est indignée des viols commis par l'État islamique, leurs dirigeants ont objecté qu'ils répondaient à une prescription: «Chacun doit se rappeler que réduire en esclavage les familles kuffars et prendre leurs femmes comme concubines est un aspect fermement établi par la charia. Et qu'en le niant ou le moquant, on nierait ou on moquerait les versets du Coran.» Même une femme musulmane n'existe pas seule. Mariée, on la soupçonne d'exciter les instincts masculins. Aussi doit-elle se cacher."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Terrorisme : encore l’Etat Islamique ? - Journal du Mardi 03 Octobre 2017

  • "Marseille, Las Vegas: le déni de réalité"

    Le billet de Lucien SA Oulahbib :

    "Les services de police français et américains "ne voient aucun lien" avec la revendication dudit " État islamique", pourtant jamais celui-ci n'a revendiqué d'attentat auquel il n'était pas impliqué, l'E.I indiquant pourtant que le tueur venait de se "convertir", ensuite il semble bien que concernant l'assassin de Marseille il a bien prononcé devant témoins le slogan djihadiste, ce qui implique qu'il est au moins connecté avec celui-ci.

    Le déni de réalité se situe donc à trois niveaux :

    • le fait qu'il y ait des armes en circulation aux USA n'a rien à voir, puisque le désir de tuer pour soumettre précède toute possession de celles-ci.
    • le fait qu'un droit commun bascule djihadiste n'a rien d'original puisqu'il s'agit pour lui d'une sorte de rédemption, l'Europe a connu ce débat lors du quiétisme ce qui mettait en colère Pascal puisqu'il suffisait de faire pénitence pour être absous, aujourd'hui tuer au nom d'un dieu pour prétendre à son blanchissement peut être considéré comme étant de plus en plus similaire…
    • le fait que les Autorités occidentales refusent de plus en plus de faire le lien avec l'islam dénote bien moins de leur totale méconnaissance des dizaines et dizaines de versets qui appellent à la destruction de celui qui refuse la "vraie foi", qu'il dévoile en réalité leur cynisme éhonté car ils savent bien que de gros intérêts sont en jeu et que dénoncer ces versets seraient se mettre à dos des bailleurs de fonds qui par exemple tiennent une grosse part de la dette française et américaine…

     Il est ainsi préférable pour le cynisme froid des monstres étatiques de supporter quelques centaines d'assassinats par an, infime aux côtés des morts du cancer de l'alcool et des accidents de la route, plutôt que de mettre à mal des intérêts colossaux en mettant ne serait-ce qu'en débat un système de pensée qui n'a comme unique volonté dans son corpus de base que l'idée de "soumission d'autrui".

    Le hic pour la population qui tombe au hasard sous l'égorgement est que des milliers et des milliers de jeunes sont forgés dans cet esprit là, alimentés en plus par une haine de l'Occident portée par une extrême gauche complice et admirative, s'habillant même à l'identique, la femme portant une longue jupe noire chemisier noir, l'homme en pantalon bouffant, longue barbe, le tout mettant de côté des centaines d'années de lutte émancipatrice, d'affinement de soi, au profit d'un retour rustique à l'idée d'un esprit "bio" dans un corps "bio", soit la nouvelle génération des réactionnaires verts, génération d'envahisseurs avec le look en plus des petites machines infernales de Matrix s'insérant dans votre nombril-cerveau, pour vous fliquer façon Angot dans votre tête et le rire  Joker dans Batman d'un Ruquier diabolique aux anges…

    Tout le reste n'est que balivernes…."

    par Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/10/marseille-las-vegas-le-d%C3%A9ni-de-r%C3%A9alit%C3%A9.html

  • Le terroriste islamiste de Marseille était clandestin !

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    Deux Françaises, deux cousines, Laura et Mauranne, ont été égorgées et poignardées hier à Marseille à la gare Saint-Charles par un terroriste islamiste. Le scandale est total. En plus d’être connu de longue date par les services de police pour sept délits, dont des vols et deux infractions à la législation sur les étrangers en 2005 et 2006, le terroriste islamiste de Marseille était en garde à vue pas plus tard que vendredi soir à Lyon. Il aurait même dû faire l’objet d’une expulsion si le centre de rétention administrative de Lyon Saint-Exupéry n’avait pas été plein.

    Par ailleurs, la personne de permanence à la préfecture de Lyon, susceptible de signer l’obligation de quitter le territoire, était absente ce samedi.

    Par son laxisme et son manque de rigueur dans l’expulsion des clandestins, l’État français met en danger ses citoyens. Il est responsable de la mort des jeunes Laura et Mauranne. Alors que les terroristes islamistes ont déclaré la guerre à l’Europe et en particulier à la France, une telle légèreté est criminelle !

    Nous appelons Emmanuel Macron et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb à procéder à l’expulsion immédiate de tous les clandestins présents sur le sol français.

    Un communiqué des Identitaires

  • Eglises profanées, chrétiens chassés : les islamistes sévissent désormais au Mali

    Tout cela se passe à la barbe des unités françaises déployées au Sahel contre le terrorisme :

    "La conférence épiscopale du Mali s'est déclarée dimanche "inquiète" après plusieurs attaques commises récemment contre des églises et des chapelles dans le centre de ce pays du Sahel à 90% musulman où les catholiques sont très minoritaires.

    "Ces dernières semaines, ces derniers mois, nos églises, nos chapelles, ont été victimes de plusieurs attaques par de présumés jihadistes. (...) Nous sommes inquiets", a déclaré à l'AFP le secrétaire de conférence épiscopale du Mali, Edmond Dembélé.

    "La semaine dernière, dans le village de Dobara (centre, 800 km au nord de Bamako), des hommes armés ont forcé la porte de l'église et y ont retiré crucifix, images et statue de la Vierge Marie, nappes d'autel et ont brûlé le tout devant ladite église", a précisé Edmond Dembélé.

    "D'autres attaques d'églises et de chapelles dans le centre du Mali se sont déroulés devant des fidèles" les semaines précédentes, a-t-il ajouté.

    "En septembre toujours, dans la localité de Bodwal (centre), des Chrétiens ont été chassés de leur lieu de culte par des hommes armés avec ce message: +Nous allons vous tuer si nous vous voyons prier encore dans l'église", a-t-il poursuivi".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les islamistes n'occupent plus que dix pour cent du territoire syrien

    Analyse d'Antoine de Lacoste pour les lecteurs du Salon Beige :

    Avant l'intervention russe déclenchée le 30 septembre 2015, les différents mouvements islamistes occupaient la majeure partie du territoire syrien. Les loyalistes ne tenaient plus que l'ouest du pays et les plus grandes villes mais partiellement pour certaines :  Damas, Homs, Alep et Lattaquié. Les Kurdes avaient, de leur côté, préservé une partie des zones longeant la frontière turque au nord.

    Daesh tenait l'est, la vallée de l'Euphrate et une partie du nord ; Al-Nosra la province d'Idleb au nord-ouest en concurrence avec des milices turkmènes organisées par Ankara, les FDS (soutenus par les occidentaux) le sud. Une myriade d'autres groupuscules islamistes gravitaient dans ces zones; leurs effectifs étaient variables et poreux d'un mouvement à l'autre. Les règlements de compte étaient quotidiens en fonction de la solde et des perspectives de butin. Une vieille tradition sunnite...

    Tous ces mouvements étaient par ailleurs en conflits incessants dans de nombreuses zones urbaines, notamment dans la banlieue de Damas, l'est d'Alep et d'Homs. Des affrontements sanglants les y opposaient régulièrement.

    Depuis l'intervention russe et la délivrance d'Alep en décembre 2016, le combat a changé d'âme et la reconquête est lente, complexe, mais régulière.

    Aujourd'hui c'est encore Daesh qui occupe les zones les plus importantes à l'est : une partie de Deir ez-Zor, où les combats font rage contre l'armée syrienne, Al Mayadin, un peu plus bas et les territoires frontaliers de l'Irak. L'Etat islamique s'est d'ailleurs renforcé dans cette zone, grâce à des combattants venus d'Irak après leur défaite de Mossoul. À Raqqa, son ex-capitale, le siège mené par les Kurdes (camouflés par les Américains en FDS) progresse lentement. Mais de nombreux combattants de Daesh ont évacué la zone pour rejoindre Deir ez-Zor, et ils ne sont plus que quelques centaines à se battre. L'issue ne fait donc aucun doute.

    Le Front al-Nosra (rebaptisé Fatah al-Cham) fait, quant à lui, régner sa tyrannie dans la province d'Idleb, après avoir vaincu les factions rivales. La concentration islamiste est très importante dans cette zone et la reprise de la province, pas encore programmée, risque d'être très difficile.

    Les FDS enfin, détiennent plusieurs zones au sud de Damas, le long des frontières jordanienne et israélienne.  L'armée syrienne et le Hezbollah libanais ne parviennent pour l'instant pas à les déloger car l'aviation israélienne intervient régulièrement pour les en empêcher. Les Russes temporisent, protestent, mais, fort sagement, ne veulent pas entrer en conflit direct avec l'Etat hébreu. Ce serait un prétexte trop tentant pour une intervention américaine.

    Il est maintenant certain que Daesh perdra ses derniers territoires. Mais les Syriens n'en auront pas fini pour autant avec eux. En effet, la tactique de Mossoul, très critiquée, notamment par Al Nosra, ne sera pas reproduite à l'infini : perdre des milliers d'hommes dans une bataille perdue d'avance, relève de la stupidité pure et simple.

    De nombreux combattants se fondent maintenant dans les villes, attendant le moment propice pour organiser des attentats. Plusieurs dizaines de chiites ont ainsi péri dans des opérations kamikazes à Bagdad, il ya quelques jours.

    D'autres rejoignent le vaste désert syrien, se camouflant dans les villages, s'enterrant, près à mener des coups de main audacieux et sanglants. Soixante-dix soldats syriens ont ainsi été tués le 28 septembre, surpris par une attaque éclair, sur la route menant de Palmyre à Deir ez-Zor.

    Il faut noter que cette opération a été menée le jour même de la diffusion d'un message du chef de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi. Il est donc toujours vivant et se terre du côté de la frontière irakienne. Il a appelé ses fidèles à poursuivre la lutte contre "les croisés", notamment dans leurs propres pays.

    Nous non plus, nous n'en avons pas fini avec le terrorisme islamiste.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le terrorisme low-cost s’empare de Marseille - Journal du lundi 2 octobre