Deux Françaises, deux cousines, Laura et Mauranne, ont été égorgées et poignardées hier à Marseille à la gare Saint-Charles par un terroriste islamiste. Le scandale est total. En plus d’être connu de longue date par les services de police pour sept délits, dont des vols et deux infractions à la législation sur les étrangers en 2005 et 2006, le terroriste islamiste de Marseille était en garde à vue pas plus tard que vendredi soir à Lyon. Il aurait même dû faire l’objet d’une expulsion si le centre de rétention administrative de Lyon Saint-Exupéry n’avait pas été plein.
Par ailleurs, la personne de permanence à la préfecture de Lyon, susceptible de signer l’obligation de quitter le territoire, était absente ce samedi.
Par son laxisme et son manque de rigueur dans l’expulsion des clandestins, l’État français met en danger ses citoyens. Il est responsable de la mort des jeunes Laura et Mauranne. Alors que les terroristes islamistes ont déclaré la guerre à l’Europe et en particulier à la France, une telle légèreté est criminelle !
Nous appelons Emmanuel Macron et le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb à procéder à l’expulsion immédiate de tous les clandestins présents sur le sol français.
Un communiqué des Identitaires
### COMMUNIQUÉ ###
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, insécurité, islamisme, lobby, magouille et compagnie 0 commentaireL'islam dévoilé - conférence d'Odon Lafontaine (Olaf)
Eglises profanées, chrétiens chassés : les islamistes sévissent désormais au Mali
Tout cela se passe à la barbe des unités françaises déployées au Sahel contre le terrorisme :
"La conférence épiscopale du Mali s'est déclarée dimanche "inquiète" après plusieurs attaques commises récemment contre des églises et des chapelles dans le centre de ce pays du Sahel à 90% musulman où les catholiques sont très minoritaires.
"Ces dernières semaines, ces derniers mois, nos églises, nos chapelles, ont été victimes de plusieurs attaques par de présumés jihadistes. (...) Nous sommes inquiets", a déclaré à l'AFP le secrétaire de conférence épiscopale du Mali, Edmond Dembélé.
"La semaine dernière, dans le village de Dobara (centre, 800 km au nord de Bamako), des hommes armés ont forcé la porte de l'église et y ont retiré crucifix, images et statue de la Vierge Marie, nappes d'autel et ont brûlé le tout devant ladite église", a précisé Edmond Dembélé.
"D'autres attaques d'églises et de chapelles dans le centre du Mali se sont déroulés devant des fidèles" les semaines précédentes, a-t-il ajouté.
"En septembre toujours, dans la localité de Bodwal (centre), des Chrétiens ont été chassés de leur lieu de culte par des hommes armés avec ce message: +Nous allons vous tuer si nous vous voyons prier encore dans l'église", a-t-il poursuivi".
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, islamisme 0 commentaireLes islamistes n'occupent plus que dix pour cent du territoire syrien
Analyse d'Antoine de Lacoste pour les lecteurs du Salon Beige :
Avant l'intervention russe déclenchée le 30 septembre 2015, les différents mouvements islamistes occupaient la majeure partie du territoire syrien. Les loyalistes ne tenaient plus que l'ouest du pays et les plus grandes villes mais partiellement pour certaines : Damas, Homs, Alep et Lattaquié. Les Kurdes avaient, de leur côté, préservé une partie des zones longeant la frontière turque au nord.
Daesh tenait l'est, la vallée de l'Euphrate et une partie du nord ; Al-Nosra la province d'Idleb au nord-ouest en concurrence avec des milices turkmènes organisées par Ankara, les FDS (soutenus par les occidentaux) le sud. Une myriade d'autres groupuscules islamistes gravitaient dans ces zones; leurs effectifs étaient variables et poreux d'un mouvement à l'autre. Les règlements de compte étaient quotidiens en fonction de la solde et des perspectives de butin. Une vieille tradition sunnite...
Tous ces mouvements étaient par ailleurs en conflits incessants dans de nombreuses zones urbaines, notamment dans la banlieue de Damas, l'est d'Alep et d'Homs. Des affrontements sanglants les y opposaient régulièrement.
Depuis l'intervention russe et la délivrance d'Alep en décembre 2016, le combat a changé d'âme et la reconquête est lente, complexe, mais régulière.
Aujourd'hui c'est encore Daesh qui occupe les zones les plus importantes à l'est : une partie de Deir ez-Zor, où les combats font rage contre l'armée syrienne, Al Mayadin, un peu plus bas et les territoires frontaliers de l'Irak. L'Etat islamique s'est d'ailleurs renforcé dans cette zone, grâce à des combattants venus d'Irak après leur défaite de Mossoul. À Raqqa, son ex-capitale, le siège mené par les Kurdes (camouflés par les Américains en FDS) progresse lentement. Mais de nombreux combattants de Daesh ont évacué la zone pour rejoindre Deir ez-Zor, et ils ne sont plus que quelques centaines à se battre. L'issue ne fait donc aucun doute.
Le Front al-Nosra (rebaptisé Fatah al-Cham) fait, quant à lui, régner sa tyrannie dans la province d'Idleb, après avoir vaincu les factions rivales. La concentration islamiste est très importante dans cette zone et la reprise de la province, pas encore programmée, risque d'être très difficile.
Les FDS enfin, détiennent plusieurs zones au sud de Damas, le long des frontières jordanienne et israélienne. L'armée syrienne et le Hezbollah libanais ne parviennent pour l'instant pas à les déloger car l'aviation israélienne intervient régulièrement pour les en empêcher. Les Russes temporisent, protestent, mais, fort sagement, ne veulent pas entrer en conflit direct avec l'Etat hébreu. Ce serait un prétexte trop tentant pour une intervention américaine.
Il est maintenant certain que Daesh perdra ses derniers territoires. Mais les Syriens n'en auront pas fini pour autant avec eux. En effet, la tactique de Mossoul, très critiquée, notamment par Al Nosra, ne sera pas reproduite à l'infini : perdre des milliers d'hommes dans une bataille perdue d'avance, relève de la stupidité pure et simple.
De nombreux combattants se fondent maintenant dans les villes, attendant le moment propice pour organiser des attentats. Plusieurs dizaines de chiites ont ainsi péri dans des opérations kamikazes à Bagdad, il ya quelques jours.
D'autres rejoignent le vaste désert syrien, se camouflant dans les villages, s'enterrant, près à mener des coups de main audacieux et sanglants. Soixante-dix soldats syriens ont ainsi été tués le 28 septembre, surpris par une attaque éclair, sur la route menant de Palmyre à Deir ez-Zor.
Il faut noter que cette opération a été menée le jour même de la diffusion d'un message du chef de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi. Il est donc toujours vivant et se terre du côté de la frontière irakienne. Il a appelé ses fidèles à poursuivre la lutte contre "les croisés", notamment dans leurs propres pays.
Nous non plus, nous n'en avons pas fini avec le terrorisme islamiste.
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, islamisme 0 commentaireLe terrorisme low-cost s’empare de Marseille - Journal du lundi 2 octobre
L'homme qui a poignardé deux femmes à Marseille sortait de garde à vue
L’homme aurait été arrêté pour une dizaine de faits de délinquance mineurs, notamment des vols et des infractions à la législation sur les étrangers. Il s’agit d’un Algérien ou d'un Tunisien en situation irrégulière.
L'Etat islamique a revendiqué l'attaque.
Jean-Sébastien Ferjou (atlantico.fr) :
«Regardons les origines … Ce sont principalement des maghrébins, il y a eu 1 malien et tous les autres étaient maghrébins.»
Damien Givelet : «Il peut y avoir des tas de raisons aussi, psychologiques, et autres …»
«Si ça vous semble plus confortable de penser que c’est psychologique, très bien. Il me semble qu’il y a gens de personnes qui souffrent de problèmes psychologiques, j’ai pas l’impression qu’ils se jettent tous dans les gares ou ailleurs en criant “Allah Akbar” ! (…) Il faut arrêter d’avoir peur de stigmatiser. Quand on n’aborde pas les choses de front, c’est là où on laisse les choses pourrir.»
ALERTE ATTENTAT – Deux morts à Marseille, le terroriste islamiste abattu
Un terroriste islamiste a été abattu gare Saint-Charles, à Marseille, après avoir attaqué des passants avec un couteau au cri de « Allah Akbar » : il a tué deux personnes. La police nationale demande d’éviter le secteur où l’opération est toujours en cours.
On apprend dans le même temps qu’un très important dispositif a été déployé hier, comprenant une équipe du Raid, autour de la synagogue de Nîmes, sur la base de menaces réelles et sérieuses d’un attentat imminent.
Et qu’à Toronto, au Canada, un islamiste a foncé dans la foule au volant d’un camion, faisant plusieurs blessés. Un islamiste, et non un « déséquilibré » : un drapeau de Daesh a été retrouvé dans la cabine.
#Marseille Gare Saint Charles @PoliceNat13
Opération de Police en cours
Évitez le secteurLes Noirs américains vont-ils tous devenir islamistes?
Ex: http://www.europesolidaire.eu
Ce n'est plus une découverte, même pas une redécouverte. Ce qu'il faut bien nommer le racisme anti-Noirs aux Etats-Unis n'a cessé de sévir. Même si la population noire est en train de devenir majoritaire face aux Blancs, elle n'est pas près de changer le rapport de force entre ces derniers, qui détiennent tous les postes qui comptent, et les Noirs, encore largement contraints aux petits emplois ou au chômage.Cependant les Blancs craignent de plus en plus de se voir à terme détrônés par les Noirs. Il s'agit plus d'un fantasme que d'une perspective sérieuse, sauf peut-être dans les villes ouvrières de la rust belt, où les Noirs s'en sortent mieux que les Blancs car s'adaptant mieux à la crise et bénéficiant de plus d'appuis que les Blancs de la part des communautés Noires. C'est d'ailleurs comme on le sait parmi ces « Pauvres Blancs » que Trump avait trouvé beaucoup de ses électeurs.Jusqu'à présent, les conflits raciaux entre Blancs et Noirs aux Etats-Unis ne s'étaient pas accompagnés de conflits religieux, les uns et les autres pratiquant les mêmes religions dominantes, protestantisme ou catholicisme évangélique notamment Les choses pourraient rapidement changer si les Noirs, comme certains ont commencé à le faire, se convertissaient à l'islam. Ce ne serait pas principalement par une découverte spontanée du Coran. Ce serait parce qu'ils seraient travaillés, principalement via l'Internet, par des recruteurs arabo-islamistes ayant récemment pris conscience de ce que représenterait pour eux une conversion massive au djihad dans un pays, les Etats-Unis, où le Président avait publiquement déclaré vouloir interdire l'immigration musulmane.
Mais pour que ces conversions massives, sinon encore au djihad, du moins à l'islamisme, se fassent rapidement, il faut que des leaders d'opinions au sein des Noirs américains se convertissent publiquement à l'islam et en affichent les signes distinctifs.
Colin Kaepernik
C'est ce qui en train de se faire avec le joueur de football américain métis Colin Kaepernik. Celui-ci est depuis quelques mois au coeur d'une affaire ayant pris une grande ampleur. Il avait refusé d'écouter debout l'hymne américain à la fin d'un match, pour protester contre les violences commises par la police à l'égard des Noirs. Déjà célébré pour ce fait chez les afro-américains, il l'est plus encore aujourd'hui du fait que Trump avait dans un tweet fait allusion à ses semblables en termes de « son of a bitch » dans lequel Kaepernick avait affirmé s'être reconnu 1).
L' « affaire Kaepernik » prend actuellement une grande importance chez des millions de Noirs, pour qui celui-ci est devenu un symbole de leur résistance nécessaire au « supremacisme blanc ». Mais le point important pour nous ici est que Kaepernick avait partout annoncé s'être converti à l'islam et arbore depuis une magnifique barbe noire, signe distinctif du mâle dominant et du guerrier en terre d'Islam.
Si la polémique continue, il y a gros à parier que sous peu l'islamisme se sera répandu parmi les noirs américains souffrant de la ségrégation ambiante. Ces nouveaux convertis ne se transformeront pas nécessairement tous en combattants de la foi, mais il suffira que quelques milliers d'entre eux le fassent pour que, dans une société où les armes à feu s'achètent sur étagère, les Etats-Unis deviennent rapidement un nouveau terrain de guerre où l'Etat Islamique ou ses homologues poursuivront sur une vaste échelle leur lutte à mort contre l'Occident.
Projet de loi de lutte contre le terrorisme : Intervention de Marine Le Pen (25/09/2017)
La religion musulmane pose de plus en plus de problèmes au travail
Encore marginal, il convient de le dire, les appartenances religieuses ne sont pas sans poser des problèmes dans les entreprises. Toute religion entraine des règles à suivre. Et donc les préceptes des religions entrainent parfois que les croyants soient obligés de ne pas suivre les directives de leur patron pour respecter leur religion.
Si depuis toujours on voit que des personnes refusent telles ou telles activités pour des raisons éthiques, l’arrivée de l’islam en France présente tout un nouveau type de contrainte.
On voit désormais des refus de travailler dans la même pièce qu’une femme, de pousser un chariot chargé d’alcool…
Ces « cas conflictuels » qui ne représentaient que 6,7 % en 2016 constituent aujourd’hui 7,5 % de l’ensemble des faits recensés. Si les entreprises peuvent toujours licencier les récalcitrants ou encore se protéger via la « loi travail » ou la Cour de justice européenne, il n’est pas sûr que cela aide leur croissance.
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