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islamisme - Page 253

  • Une affiche de l’État Islamique évoque un prochain attentat à Rome

    Une nouvelle affiche pro-attentat diffusée par la Wafa Media Foundation (agence de propagande de l’État Islamique), menace de perpétrer des attentats terroristes à Rome à l’occasion des fêtes de Noël.

    Elle montre un djihadiste avec à ses pieds un loup et sac à dos dont émerge un fusil lance roquette. Ce sont les chrétiens qui sont la visés, ainsi il est inscrit : «La fête des Croisés approche, montrez-leur le sens du terrorisme, ne retiens pas ton sang, la récompense est le paradis».

    L’affiche appelle donc les “loups solitaires” à passer à l’attaque et à tuer les chrétiens sans épargner son propre sang dont l’effusion mènera directement au paradis d’Allah…

  • I-Média#178 : Esclaves en Libye, les larmes de la manipulation.

  • NOS UNIVERSITÉS SONT ISLAMISÉES : EN DEHORS DE CÉLINE PINA, QUI OSERA LE DÉNONCER ?

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    Les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques.

    « Pourquoi l’université est une cible privilégiée des islamistes et de leurs faux-nez, les Indigènes de la République ? », s’interroge ingénument, sur son blog, l’élue socialiste de la région Île-de-France, Céline Pina, par ailleurs auteur, en 2016, d’un brûlot remarqué intitulé Silence coupable et éloquemment sous-titré « Islamistes : ils ne sont grands que parce que nos élites sont à genoux ». Sa dénonciation d’un Salon de la femme musulmane à Pontoise l’avait sortie de l’anonymat puisqu’elle avait dû endurer les griefs bilieux des responsables de son parti.

    Et la même de répondre : « Si l’Université est aussi massivement investie, c’est pour la même raison que Tariq Ramadan, qui n’est pas universitaire, se présente comme professeur à Oxford : le titre universitaire notabilise, renforce et donne autorité autant à l’homme qu’à l’idéologie. C’est une arme de légitimation massive », ajoutant que « c’est ainsi que pour crédibiliser leur idéologie, la hisser à la hauteur d’un savoir et lui donner les apparences de la science, les islamistes tentent de noyauter le monde universitaire ».

    C’est un fait éminemment constatable que, depuis une vingtaine d’années, nombre d’universités en France sont progressivement investies par un islam à visage voilé. Les modus operandi sont divers, de la petite association étudiante à vocation cultuelle dont on finit par découvrir qu’elle abrite une salle de prière clandestine – comme ce fut le cas, il y a quelques années, à l’IUT de Saint-Denis – à l’intégration, au sein des équipes pédagogiques, de maîtres de conférences dont, pour certains profils, un observateur avisé se demanderait, perplexe – mais finalement peu dupe –, comment l’impétrant a-t-il pu décrocher et sa thèse et sa qualification par le Conseil national des universités (CNU) et son poste au sein de l’université ?

    Le phénomène n’est pas seulement local, puisque le ministère de l’Enseignement supérieur, qui est seul habilité à délivrer les diplômes autant qu’à certifier les formations dispensées au sein des universités, doit faire face à la concurrence effrénée et pullulante des instituts mahométans privés de formation (tels l’Institut européen des sciences humaines, émanation des Frères musulmans, l’Institut d’études islamiques de Paris, l’Institut international des sciences islamiques, l’Institut méditerranéen d’études musulmanes d’Aix-en-Provence ou encore l’Institut Avicenne des sciences humaines basé à Lille). 

    Résultat : l’État se laisse tranquillement déborder, faible de sa résignation comme de son aboulie. Un DU de finance islamique finira par ouvrir à Paris-Dauphine en 2010 quand, un an auparavant, l’Institut européen des sciences humaines de Saint-Denis précité avait obtenu, par arrêté du recteur d’académie de Créteil, la reconnaissance de ses formations initiales en langue arabe et en théologie musulmane.

    Le phénomène n’est pas seulement national puisqu’en Suisse, l’université de Fribourg accueille un Centre suisse pour l’islam et la sociét et que l’Institut d’études de la culture et de la religion musulmanes a été créé au sein de l’université Goethe de Francfort, portant ainsi à cinq (avec Erlangen-Nuremberg, Tübingen, Osnabrück et Münster) le nombre d’universités allemandes dispensant des cours de théologie islamique.

    Pendant ce temps, comme une bombe explosant en silence, les Étudiants musulmans de France (EMF) viennent de décrocher leur premier siège au sein du conseil d’administration de l’université de Lille. Une victoire idéologique incontestable pour ces islamistes à peine pubères qui ne craignent pas de s’afficher aux côtés des racistes anti-blancs des Indigènes de la Républiques, d’apporter leur soutien au Secours islamique de France ou aux anti-islamophobes du CCIF jusqu’à même faire partie, encore récemment, du bureau national de l’UOIF.

    Une chose est certaine : les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques. La porosité intellectuelle de l’université française permet ce gramscisme islamique.

     Docteur en droit, journaliste et essayiste
  • Les étudiants musulmans arrivent 3e aux élections du conseil d’administration des universités du Nord de la France

    6a00d83451619c69e201bb09db479a970d-250wi.jpgLu dans Minute :

    "[...] Troisième, avec 514 voix, soit tout de même 10 % des suffrages exprimés. Un résultat qui leur permet de décrocher un siège sur les six à pourvoir ! Certes, EMF [Etudiants musulmans de France] est encore loin des résultats de la liste « interassos » qui se taille la part du lion avec 3 000 voix et trois élus, mais avec son élu au sein du conseil d’administration, l’association musulmane fera jeu égal avec l’Unef, qui ne place, elle aussi, qu’un seul représentant malgré un score deux fois plus élevé. Bref, les musulmans s’imposent comme la force politique montante dans les facultés lilloises !

    [...] Dans la profession de foi de Active ta fac !, rien ne laisse sous-entendre de quelconques revendications communautaristes. Le programme électoral est des plus basiques : simplification des procédures d’inscription, élargissement des plages horaires des BU, les bibliothèques universitaires, accompagnement des étudiants, etc. Bien démago, comme tous les programmes des listes étudiantes, mais pas très original. Rien en tout cas, qui fasse une différence entre une liste « musulmane » et une liste associative étudiante de base. [...]

    Répondant à nos questions, le responsable se dit ainsi opposé aux menus halal au restaurant universitaire, opposé également aux salles de prières dans les facs. Quand nous l’interrogeons sur les prières organisées sous les escaliers d’un bâtiment de l’université de Lille 3, il nous répond ne pas être au courant de ces faits, pourtant connus de tous ! « Nous serons surement accusés de communautarisme », reconnaît-il lucide. « Mais la vérité est autre. Nous la connaissons et c’est ce qui compte. »

    Alors pourquoi se déclarer « étudiant musulman », si ce n’est pas pour défendre les étudiants... musulmans ? Mohamed Machta nous explique. « Nous revendiquons les principes de laïcité. Cependant, nous avons une éthique et des valeurs qui s’inspirent de l’islam au sein de notre association. C’est donc la raison du M de EMF », accompagnant sa réponse d’une smiley. Quelles sont ces valeurs ? « Solidarité, partage, humilité, respect et excellence »... L’islam, c’est vraiment hyper cool.

    Alors, communautaristes les Etudiants musulmans de France ? Difficile de prétendre le contraire... Entre le soutien au Secours islamique de France, les quêtes pendant le ramadan, les « iftar solidaires » et les cours d’histoire de la civilisation musulmane, EMF affiche bel et bien la couleur. D’ailleurs, tous les étudiants que nous avons interrogés confirment le communautarisme du syndicat étudiant. « Les femmes tractent entièrement voilées ; les types de l’EMF ciblent leur public, pour récupérer tous les votes des minorités », nous détaille ainsi un étudiant lillois en lettres, qui préfère rester anonyme... Pire, il y a deux ans, les mêmes « avaient fait venir des barbus de 35 ou 40 ans pour venir tracter et parler en arabe aux étudiants de Lille 3. » « En revanche, continue notre interlocuteur, les têtes de liste EMF ont un look d’étudiant lambda. »

    [...] L’agenda de ces étudiants lambdas, sympas et bien intégrés, est tout aussi loin d’être innocent. Un exemple, l’année dernière, Etudiants Musulmans de France lançait la branche française du projet international « Advise Islamophobia ». Advise, pour Advocating Against Islamophobia In Education. Il s’agit d’un projet « intra européen visant à développer des stratégies de plaidoyer auprès des étudiant.es sur les questions d’islamophobie et autres formes de discrimination », projet soutenu par la fondation Soros.

    Des réunions, des débats, des colloques, des week-ends de formation sont donc organisés pour mobiliser les étudiants contre l’islamophobie, à Nancy, Lille, Paris ou encore à Marseille. Parmi les intervenants, des membres du Parti des Indigènes de la République, comme Fatima Ouassak, pour qui « l’école est utilisée par les Blancs comme outil pour transmettre leurs privilèges à leurs enfants, et comme arme pour entraver le champ des possibles des nôtres », des proches de l’UOIF, comme Yanis Khalifa, devenu suppléant du député macroniste de Seine-Maritime, Sira Sylla [...]». « Si Khalifa est discret, ajoutions-nous, c’est que la maison-mère d’EMF a une réputation légèrement sulfureuse. Etudiants musulmans de France est le bras de l’UOIF, la branche française des Frères musulmans, dans l’université française ! Or jusqu’à très récemment, il était effectivement membre de son bureau national. »

    [...] Dans le même ordre d’idée, les étudiants musulmans ont publié avec le très islamiste CCIF, le Collectif contre l’islamophobie en France, un guide de lutte contre l’islamophobie à l’université donnant tous les conseils pratiques aux étudiants pour garder leur voile, jeûner pendant le ramadan ou faire tranquillement sa prière, avec tous les articles des différents codes sur lesquels s’appuyer, ainsi que la jurisprudence, seuls manquant les 06 des avocats auxquels faire appel en cas de « discrimination ».

    Interrogé sur ces liens avec l’UOIF et le CCIF, Mohamed Machta, notre responsable lillois décline : « Aucune section ne dépend de l’UOIF. » Alors, pourquoi, chaque année, l’association a-t-elle un stand à la Rencontre annuelle des musulmans de France, le grand raout de l’UOIF au Bourget ? « C’est une opportunité de se faire connaître des étudiants. » Effectivement, on peut voir les choses comme ça...

    Les rapports avec le CCIF, eux, semblent encore plus difficiles à assumer. La réponse se fait, tout un coup, plus hésitante. « Nous n’avons, que je sache, aucun lien avec le CCIF », commence notre interlocuteur. Et quand nous lui présentons la preuve de ces liens entre les deux organisations, il avoue : « Aujourd’hui, le CCIF lutte contre l’islamophobie en France, soit contre la discrimination. Je trouve que c’est une bonne initiative. » [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/11/les-%C3%A9tudiants-musulmans-arrivent-3e-aux-%C3%A9lections-du-conseil-dadministration-des-universit%C3%A9s-du-nord.html

  • Manifestation interdite : Génération Identitaire poursuit l’État !

    Islamistes-Attentats-321-Morts-300x260.jpgLa décision de la préfecture de police de Paris d’interdire la manifestation de Génération Identitaire « Face aux islamistes : Défendons l’Europe ! » prévue le 25 novembre reposait sur un seul prétexte : le manque d’effectifs pour assurer le maintien de l’ordre public au regard des différents rassemblements devant se tenir en même temps dans les rues de la capitale.

    Au prix d’une discrimination inacceptable, la préfecture a donc laissé se dérouler plusieurs manifestations politiques non déclarées ou déposées largement après la nôtre.

    Génération-identitaire-Manif-Paris-2-300x225.jpgToutefois, contrairement à ce qu’elle prétendait jusque devant le tribunal administratif saisi en urgence d’une demande de suspension, l’administration disposait bel et bien d’importants moyens humains et matériels pour sécuriser l’événement.

    Preuve en est le nombre de policiers et gendarmes dépêchés sur le lieu de rendez-vous afin de s’assurer que nul ne braverait l’interdiction (voir photos).

    La faiblesse des effectifs policiers n’avait d’ailleurs jamais été évoquée lors des entretiens préparatoires avec la préfecture, tandis que le professionnalisme de notre service d’ordre était reconnu tant par les services de l’Etat que par le Juge des référés.

    Génération-identitaire-Manif-Paris-3-263x350.jpgLa notification tardive de l’interdiction ne nous a pas permis d’informer correctement tous les sympathisants désireux de se joindre à l’événement, qui ont été bloqués et refoulés sans ménagement vers le métro.

    Nos responsables ont même été empêchés de se rendre sur place pour appeler à la dispersion.

    La volonté de l’État était clairement d’entraver au maximum notre action.

    Cette attitude inadmissible ne peut pas rester sans suite.

    C’est pourquoi nos avocats déposeront dans les prochains jours une requête devant le tribunal administratif afin de constater l’illégalité de cette décision abusive et d’obtenir de justes dommages et intérêts.

    Communiqué de Génération identitaire

    https://fr.novopress.info/

  • Christophe Castaner : « l'islam, religion d'amour... » !

    Communiqué de presse du MNR :

    913647494.5.jpgLe nouveau chef de file de La République en Marche, Christophe Castaner, vient de déclarer au micro de Jean-Jacques Bourdin : « certains, au nom de l'islam, ont des comportements qui ne sont pas acceptables. Cela n'a rien à voir avec l'islam, qui est une religion de bonheur, d'amour, comme la religion catholique ». On se frotte les yeux en lisant une telle déclaration : C. Castaner a-t-il jamais essayé de lire le coran ? Quand des terroristes tuent en criant « Allahou Akbar » (c'est-à-dire Allah est plus grand), cela n'a pas de rapport avec l'islam ?

    Rappelons ce qu'écrivait Mme Delcambre, docteur en civilisation islamique, dans son livre « L'Islam des interdits » :  « Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l'intégrisme n'est pas la maladie de l'islam. Il est l'intégralité de l'islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. » Alors, faut-il décerner à M. Castaner la palme de l'inconscience ou de l'aveuglement ?

    Une fois de plus, insistons pour que nos responsables politiques ouvrent les yeux sur le danger que recèle l'islam : ce n'est qu'à ce prix que pourront être évités de nouveaux drames.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
     
  • Reportage : Les Identitaires au Bataclan, par Caroline Parmentier

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    8997-20171129.jpgDès la fin de matinée, ce samedi 25 novembre, le quartier Cambronne / La Motte-Piquet est quadrillé par les forces de l’ordre. Dispositif impressionnant en nombre visant à empêcher tout rassemblement : contrôles d’identité répétés, prises en photos de certains jeunes, fouilles. Malgré tout, un petit groupe se forme devant le bar Le Pierrot. Des sommations appelant à la dispersion retentissent.

    Romain, l’un des responsables de Génération Identitaire, nous déclare :

    « Nous avions face à nous une extrême gauche qui ne respecte pas les règles alors que nous les respectons, et la justice a fait le choix de nous interdire. Ce comportement est scandaleux. On ne peut pas fonctionner comme ça. On a en France aujourd’hui un vrai manque de courage politique. Les politiques n’osent pas se positionner pour lutter contre l’islamisme, pour lutter contre l’immigration massive qui est quand même le fait générateur de cet islamisme. On a des pouvoirs publics qui sont complaisants avec ces islamistes, complaisants avec l’extrême gauche. On préfère aujourd’hui interdire de manifester à des Français, des patriotes, qui souhaitent protéger leur pays plutôt qu’à ceux qui posent des problèmes. Mais Génération Identitaire continuera à être en première ligne face à l’islamisation et face à l’immigration massive. »

    Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, prend la parole devant une haie de gendarmes : « La liberté de manifester est une liberté constitutionnelle et le préfet de police a eu tort de l’interdire. C’est un scandale que le tribunal administratif ne garantisse pas la liberté de manifester et la liberté d’expression. C’est une liberté fondamentale. Nous ne sommes pas en Corée du Nord… Nous sommes dans un régime de plus en plus totalitaire et ce qui se passe est donc extrêmement grave. Nous avons un petit dictateur qui s’appelle M. Macron ! »

    Hélène Rochefort

    Ni ballons roses, ni ballons bleus, ni bougie, ni nounours. Interdits de manifester, les militants de Génération identitaire se sont rassemblés devant le Bataclan pour dénoncer l’islamisme et ses centaines de victimes en France.

    La manifestation était prévue de longue date et organisée en toute légalité avec l’autorisation de la préfecture de police. Au dernier moment, sous la pression de l’extrême gauche qui annonçait une violente contre-manifestation, la préfecture a décidé d’interdire la manifestation Identitaire. « Comme d’habitude » relève Jean-Yves Le Gallou, « le système utilise les “antifas” comme chiens de garde. »

    Les militants identitaires se sont alors rassemblés spontanément devant le Bataclan aux cris de « Pas d’islamistes dans nos quartiers » ou encore « Tout le monde déteste les islamistes ». 15 personnes ont été interpellées.

    « Nous combattrons l’islamisme avec ou sans l’autorisation de ceux qui ont décidé de les protéger », déclare l’association dans un communiqué. « Vous pouvez nous faire confiance, Génération Identitaire, fidèle à son ADN sera très bientôt de retour dans la rue ! »

    « La devise du pouvoir macroniste, c’est deux poids, deux mesures » dénonce Jean-Yves Le Gallou : « Complaisance avec l’extrême gauche et préférence immigrée. Répression pour les patriotes et les Identitaires. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 28 novembre 2017

  • UNIVERSITÉ : DU MARXISME À L’ISLAMISME, NE PAS RÉÉDITER AUJOURD’HUI LES ERREURS D’HIER

    En l’an 2000, quand une de mes étudiantes, couverte d’un sari d’un vert brillant, vint me demander si sa tenue traditionnelle me dérangeait, je lui assurai que non. J’étais heureuse que l’université méritât bien son nom. Des cours en amphi offerts à tous, tous les âges, tous les pays.

    En 2013, pourtant, un professeur à Sciences Po Aix se plaignit officiellement du prosélytisme d’une étudiante voilée musulmane qui perturbait ses cours. Depuis, les plaintes se sont multipliées. La récente tribune de Céline Pina, dans Le Point, « contre l’entrisme islamiste à l’université » à propos de l’invitation de Houria Bouteldja à l’université de Limoges relance le débat.

    Cet entrisme existe bien, et pas seulement dans « les cursus liés aux discriminations et à la diversité » mais aussi en troisième cycle de cursus plus classiques. Il prend sa source dans un paradoxe : habituellement soucieux de ne pas « discriminer » sur autre chose que sur des critères scientifiques, les membres des jurys de thèse en sont venus à considérer souvent que lorsque les « thésards » étaient d’un autre pays, d’une autre culture, si leur travail était inféodé à une idéologie ou une dictature, on pouvait fermer les yeux. C’est ainsi que des thèses défendant l’union indéfectible du politique et du religieux, du droit et de la charia ou « dé-coloniales » avant l’heure étaient soutenues…

    Et à chaque fois se déroulait le rituel bien huilé d’un jury qui émettait sur les points les plus contestables des critiques argumentées, mais qui ne sanctionnait le manquement évident à l’objectivité qu’en évitant autant que possible la mention « très bien ».

    Sans doute faut-il cesser cette indulgence coupable dans un contexte où les victimes expiatoires des crimes supposés de leurs ancêtres dans certains cas, de leur seule europeanité dans l’autre, se comptent désormais par centaines en France. De plus, ce qui pouvait être perçu comme un coup de pouce sans conséquence donné à des étrangers venus faire leurs études en France ne l’est plus lorsque les candidats sont originaires de ces pays mais français. Demain, ils seront ici attachés d’études et de recherche, maîtres de conférences et professeurs d’université.

    Entre l’endoctrinement marxiste d’hier et l’actuel prosélytisme islamiste, il y a eu une période faste où la science semblait en voie de triompher de tout totalitarisme partisan ou religieux. Il faut donc soutenir la supplique de Cécile Pina contre toute consécration universitaire apportée à l’idéologie qui « contient en germe la mort des libertés réelles » car elle « pare de l’aura de l’intellectuel engagé celui qui trahit pourtant l’éthique scientifique ».

    Le livre Soumission, de Houellebecq, fustige précisément celle des universitaires face à l’islam radical. De fait, la peur de paraître « islamophobe » paralyse le corps professoral comme jadis l’accusation d’anticommunisme le paralysait face à des thèses marxistes.

    Ne retombons pas dans les erreurs d’hier.

    http://www.bvoltaire.fr/universite-marxisme-a-lislamisme-ne-reediter-aujourdhui-erreurs-dhier/

  • On ne communiquera jamais assez sur les persécutions contre les chrétiens d’Orient

    6a00d83451619c69e201bb09dae9aa970d-200wi.pngCharles de Meyer, président de SOS Chrétiens d'Orient, est interrogé dans Valeurs Actuelles. Extrait :

    "Certains trouvent que vous communiquez beaucoup, voire trop…

    Pour ma part, je trouve qu’on ne communiquera jamais assez sur les crimes et persécutions commis contre les chrétiens d’Orient. Ce qui se passe au Proche-Orient depuis quelques années — ou en Turquie depuis un siècle — est extrêmement grave. Mais pour vous répondre complètement, oui, nous vivons avec notre époque et avons intégré l’importance de la communication dans nos paramètres. L’information et la sensibilisation de l’opinion publique sont même inscrites dans nos statuts ! Nous avons en outre la chance de nous appuyer sur une équipe très jeune, soutenue par des centaines de volontaires venus sur le terrain. Forts de cette expérience, ils sont les mieux placés pour faire connaître au grand public nos actions en faveur des chrétiens d’Orient. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html