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islamisme - Page 256

  • L'homme qui a poignardé deux femmes à Marseille sortait de garde à vue

    L’homme aurait été arrêté pour une dizaine de faits de délinquance mineurs, notamment des vols et des infractions à la législation sur les étrangers. Il s’agit d’un Algérien ou d'un Tunisien en situation irrégulière.

    L'Etat islamique a revendiqué l'attaque.

    Jean-Sébastien Ferjou (atlantico.fr) :

    «Regardons les origines …  Ce sont principalement des maghrébins, il y a eu 1 malien et tous les autres étaient maghrébins.»

    Damien Givelet : «Il peut y avoir des tas de raisons aussi, psychologiques, et autres …»

    «Si ça vous semble plus confortable de penser que c’est psychologique, très bien. Il me semble qu’il y a gens de personnes qui souffrent de problèmes psychologiques, j’ai pas l’impression qu’ils se jettent tous dans les gares ou ailleurs en criant “Allah Akbar” ! (…) Il faut arrêter d’avoir peur de stigmatiser. Quand on n’aborde pas les choses de front, c’est là où on laisse les choses pourrir

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ALERTE ATTENTAT – Deux morts à Marseille, le terroriste islamiste abattu

    attentat-gare-saint-charles-Marseille.jpg Un terroriste islamiste a été abattu gare Saint-Charles, à Marseille, après avoir attaqué des passants avec un couteau au cri de « Allah Akbar » : il a tué deux personnes. La police nationale demande d’éviter le secteur où l’opération est toujours en cours.

    On apprend dans le même temps qu’un très important dispositif a été déployé hier, comprenant une équipe du Raid, autour de la synagogue de Nîmes, sur la base de menaces réelles et sérieuses d’un attentat imminent.

    Et qu’à Toronto, au Canada, un islamiste a foncé dans la foule au volant d’un camion, faisant plusieurs blessés. Un islamiste, et non un « déséquilibré » : un drapeau de Daesh a été retrouvé dans la cabine.

    https://fr.novopress.info/

  • Les Noirs américains vont-ils tous devenir islamistes?

    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Ce n'est plus une découverte, même pas une redécouverte. Ce qu'il faut bien nommer le racisme anti-Noirs aux Etats-Unis n'a cessé de sévir. Même si la population noire est en train de devenir majoritaire face aux Blancs, elle n'est pas près de changer le rapport de force entre ces derniers, qui détiennent tous les postes qui comptent, et les Noirs, encore largement contraints aux petits emplois ou au chômage.
    Cependant les Blancs craignent de plus en plus de se voir à terme détrônés par les Noirs. Il s'agit plus d'un fantasme que d'une perspective sérieuse, sauf peut-être dans les villes ouvrières de la rust belt, où les Noirs s'en sortent mieux que les Blancs car s'adaptant mieux à la crise et bénéficiant de plus d'appuis que les Blancs de la part des communautés Noires. C'est d'ailleurs comme on le sait parmi ces « Pauvres Blancs » que Trump avait trouvé beaucoup de ses électeurs.

    Jusqu'à présent, les conflits raciaux entre Blancs et Noirs aux Etats-Unis ne s'étaient pas accompagnés de conflits religieux, les uns et les autres pratiquant les mêmes religions dominantes, protestantisme ou catholicisme évangélique notamment Les choses pourraient rapidement changer si les Noirs, comme certains ont commencé à le faire, se convertissaient à l'islam. Ce ne serait pas principalement par une découverte spontanée du Coran. Ce serait parce qu'ils seraient travaillés, principalement via l'Internet, par des recruteurs arabo-islamistes ayant récemment pris conscience de ce que représenterait pour eux une conversion massive au djihad dans un pays, les Etats-Unis, où le Président avait publiquement déclaré vouloir interdire l'immigration musulmane.

    Mais pour que ces conversions massives, sinon encore au djihad, du moins à l'islamisme, se fassent rapidement, il faut que des leaders d'opinions au sein des Noirs américains se convertissent publiquement à l'islam et en affichent les signes distinctifs.

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    Colin Kaepernik

    C'est ce qui en train de se faire avec le joueur de football américain métis Colin Kaepernik. Celui-ci est depuis quelques mois au coeur d'une affaire ayant pris une grande ampleur. Il avait refusé d'écouter debout l'hymne américain à la fin d'un match, pour protester contre les violences commises par la police à l'égard des Noirs. Déjà célébré pour ce fait chez les afro-américains, il l'est plus encore aujourd'hui du fait que Trump avait dans un tweet fait allusion à ses semblables en termes de « son of a bitch » dans lequel Kaepernick avait affirmé s'être reconnu 1).

    L' « affaire Kaepernik » prend actuellement une grande importance chez des millions de Noirs, pour qui celui-ci est devenu un symbole de leur résistance nécessaire au « supremacisme blanc ».  Mais le point important pour nous ici est que Kaepernick avait partout annoncé s'être converti à l'islam et arbore depuis une magnifique barbe noire, signe distinctif du mâle dominant et du guerrier en terre d'Islam.

    Si la polémique continue, il y a gros à parier que sous peu l'islamisme se sera répandu parmi les noirs américains souffrant de la ségrégation ambiante. Ces nouveaux convertis ne se transformeront pas nécessairement tous en combattants de la foi, mais il suffira que quelques milliers d'entre eux le fassent pour que, dans une société où les armes à feu s'achètent sur étagère, les Etats-Unis deviennent rapidement un nouveau terrain de guerre où l'Etat Islamique ou ses homologues poursuivront sur une vaste échelle leur lutte à mort contre l'Occident.

    1. http://www.lci.fr/international/sortez-moi-ce-fils-de-p-i...

  • Projet de loi de lutte contre le terrorisme : Intervention de Marine Le Pen (25/09/2017)

  • La religion musulmane pose de plus en plus de problèmes au travail

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    Encore marginal, il convient de le dire, les appartenances religieuses ne sont pas sans poser des problèmes dans les entreprises. Toute religion entraine des règles à suivre. Et donc les préceptes des religions entrainent parfois que les croyants soient obligés de ne pas suivre les directives de leur patron pour respecter leur religion.

    Si depuis toujours on voit que des personnes refusent telles ou telles activités pour des raisons éthiques, l’arrivée de l’islam en France présente tout un nouveau type de contrainte.

    On voit désormais des refus de travailler dans la même pièce qu’une femme, de pousser un chariot chargé d’alcool…

    Ces « cas conflictuels » qui ne représentaient que 6,7 % en 2016 constituent aujourd’hui 7,5 % de l’ensemble des faits recensés. Si les entreprises peuvent toujours licencier les récalcitrants ou encore se protéger via la « loi travail » ou la Cour de justice européenne, il n’est pas sûr que cela aide leur croissance.

    https://fr.novopress.info/

  • Tempête rouge : le succès de l’intervention russe en Syrie

    La Presse Internationale a, dans sa grande généralité, assez peu communiqué sur ce que l’on peut appeler le succès de l’intervention militaire russe en Syrie[1]. Et même si l’intervention du Corps expéditionnaire russe n’est pas terminée, force est de constater que tant sur le plan politique que sur le plan militaire, la copie rendue séduit à plusieurs titres. L’opération qui visait à « sauver » le Président Bachar al-Assad a clairement touché son but en assurant à l’homme de Damas non seulement une plausible victoire mais surtout l’assurance de sa gouvernance à court terme; sur le plan militaire, les Russes n’ont pas fait les choses à moitié en éradiquant l’Etat Islamique des axes principaux de la Syrie comme d’une majeure partie du terrain qu’il occupait. Outre ces bénéfices directs, la Russie renforce sa stature d’Etat avec lequel le monde doit – désormais – compter.

    De la crise libyenne à celle de Syrie.

    Pour comprendre cette intervention qui a commencé officiellement le 30 septembre 2015, il est nécessaire de remonter aux événements survenus en Libye (2011) qui avait vu une Russie dupée, en complet désaccord avec les Etats membres de l’OTAN qui avaient transformé une résolution « de bonne intention » en un passeport d’intervention. « Une bonne résolution a été transformée en un chiffon de papier pour couvrir une opération militaire inutile », affirmait Dmitri Medvedev le 20 juin 2011 dans une interview au Financial Times. Après avoir été compréhensive des crises du « Printemps arabe », la Russie va ensuite se démarquer irréversiblement de la communauté internationale, estimant que «  le caractère exclusivement humanitaire de la résolution 1973 » a été transformée de manière « inacceptable » en permettant de « violé(r) le mandat donné par le Conseil de Sécurité ».

     Dès lors, la Russie n’entend plus laisser faire et refuse l’idée qu’on puisse changer de l’extérieur le régime de Damas. Pour Moscou, le départ de Bachar al-Assad est une ingérence sans fondement. Alliée de longue date à la Syrie, la Russie a bien entendu de nombreux avantages à lui venir en aide: déjà à l’époque de la guerre froide, l’URSS coopère  économiquement et militairement avec elle; son libre accès au port de Tartous lui donne un point d’appui matériel et technique d’une haute valeur stratégique en Méditerranée (accord de 1971); enfin, en intervenant au profit d’un allié, elle supprime un champ d’actions supplémentaire aux forces des Etats de l’OTAN qui ne rêvent que d’encerclement de la Russie..

    « Cette opposition totale sur cette question est un autre facteur explicatif de la politique (de Poutine), un chercheur américain allant jusqu’à estimer que « le jour où le président Obama a déclaré le 18 août 2011 que “le temps était venu pour le président Assad de partir”, faisant du changement de régime une priorité officielle des États-Unis, la fenêtre pour un terrain commun avec la Russie aux Nations Unies s’est complètement fermée »[2] indique Anne de Tinguy[3]

    Le 30 septembre 2015, à la télévision russe, Vladimir Poutine s’exprime sur l’intervention en Syrie: « Le seul moyen de lutter efficacement contre le terrorisme international – en Syrie comme sur les territoires voisins – […] est de prendre de vitesse, de combattre et de détruire les combattants et les terroristes sur les territoires qu’ils contrôlent et de ne pas attendre qu’ils arrivent chez nous. »

    Stratégie aérienne et faible engagement terrestre.

    Si l’’intervention russe est un succès, par-delà le faible effectif engagé sur le terrain, il n’en reste pas moins vrai qu’il est aussi le résultat d’une volonté politique à choisir ses alliés comme à nommer ses ennemis. Et pour le coup, la Russie a été clairvoyante comme courageuse à désigner, dans ce bourbier syrien constitué d’une mosaïque de belligérants, ceux qu’elle voulait clairement combattre, bien au-delà des combines internationales aux enjeux pour le moins sibyllins et ce, avec le concours d’une Armée Syrienne (AAS) visiblement tout à fait capable à manœuvrer sur son terrain.

     Au niveau des moyens engagés, le format étonne :les forces aériennes russes ont aligné 70 aéronefs[4] – sur les 1600 dont dispose le pays – et les forces terrestres 4 à 5000 hommes[5] – sur les 750 000 hommes de la Fédération de Russie – ont été déployés en Syrie (dont la fameuse 810e Brigade d’Infanterie de Marine) auxquels on peut rajouter quelques unités de Forces Spéciales (Spetsnaz), une dizaine de chars et quelques batteries LRM (Lance-Roquette Multiple) pour l’artillerie sans oublier les drones. Ainsi, la stratégie russe était axée sur une option clairement aérienne évitant pour le coup l’hypothétique enlisement, souvent synonyme de coûts humains élevés, dont les armées soviétiques avaient fait les frais en Afghanistan comme en Tchétchénie quelques décennies auparavant. Quant à la « productivité » de cette opération, elle relève de la quasi-excellence.

    « Malgré la densité engagée, le coût d’emploi (environ 3 millions d’euros/jour) peut être comparé à l’action de l’opération française Chammal au Levant (1 200 hommes et environ 15 aéronefs, un million d’euros/jour) et qui, pour n’évoquer que le volet appui aérien, représente une moyenne de 6 sorties aériennes (dont une frappe/jour pour 33 pour les Russes). Au regard des résultats obtenus, il est incontestable que les Russes ont une « productivité » opérationnelle très supérieure à celle des Américains ou des Français.».[6]De plus, comme le souligne Michel Goya « la brigade aérienne a été engagée dans plusieurs dizaines d’opérations combinées, à un rythme très élevé (1 000 sorties mensuelles en moyenne) rendu possible par la proximité des bases de la ligne de contact, comme Hmeimim en premier lieu (à 25 km au sud de Lattaquié)  Shairat ou Tiyas près de Palmyre ».

    Une redoutable efficacité.

    A l’actif des Russes, l’intervention a considérablement réduit les forces rebelles et ce, dès l’année 2015, accentuée avec la prise d’Alep en décembre 2016 comme de l’axe autoroutier M5 ou la « route de Damas » qui traverse le pays de la Jordanie jusqu’à Homs en passant par Alep et Damas, ainsi que l’aéroport de Deir ezzor, assiégé par l’Etat Islamique. Cette semaine encore, c’est Maadan, une des dernières localités aux mains de l’EI au Sud de Raqqa qui a été reprise par les troupes syriennes. Cependant quels constats est-il permis de faire après deux ans d’intervention[7]? Comme l’explique à nouveau Michel Goya, l’essentiel des pôles de résistance ont basculé à un moment ou à un autre pour disparaître.

    «  Il n’y a plus que deux pôles territoriaux rebelles arabes sunnites cohérents en Syrie : la partie de l’Euphrate syrien encore tenue par l’Etat islamique et surtout la province d’Idlib, aux mains d’une coalition de factions dominée par Hayat Tahrir al-Sham (ex-Jabhat al-Nosra). Les autres forces rebelles sont désormais éclatées et servent souvent de supplétifs àd’autres acteurs par ailleurs concurrents, comme la Turquie, le Parti de l’union démocratique kurde (PYD), la Jordanie, Israël ou les Etats-Unis. Encore une fois, cette évolution est largement le fait de l’intervention russe qui lui donne aussi un poids diplomatique particulier tant sur le théâtre lui-même, où la Russie sert d’intermédiaire avec quasiment tous les acteurs locaux ou extérieurs et sur la scène internationale. D’un point de vue tactique, ces espaces disputés sont essentiellement urbains, parfois montagneux, et toujours difficiles à conquérir surtout pour des forces disponibles en manœuvre offensive, et relativement peu nombreuses de part et d’autre. On a donc assisté à des opérations extrêmement fragmentées et à des batailles d’autant plus lentes que la motivation des défenseurs était forte ».

    Pour conclure et même si la bataille n’est pas encore finie, on peut allègrement dresser un constat très positif de l’intervention russe en Syrie. Avec des effectifs réduits et un engagement de matériels certes intensif mais somme toute rationné, les Russes ont réussi un pari qui, par l’intelligence et l’intensité des actions, s’est transformé en victoire. Et même si la victoire militaire est essentiellement russe, on peut en attribuer les effets politiques à Moscou comme à Damas qui n’en n’attendait pas plus de son fidèle allié. Et force est de constater qu’avec une feuille de route cohérente –et je dirais loyale-, les Russes ont acquis une autorité qui, des Occidentaux en passant tous les belligérants locaux, laissera pour longtemps l’empreinte d’une redoutable efficacité.

    Ch.Mihaïlovitch Tripetzky

    [1] Voir l’excellent article de Michel GOYA in« La voie de l’épée »

    [2] Charap 2013 p. 37‑39

    [3] Anne de Tinguy : « La Russie face aux révoltes libyennes et syriennes »

    [4] Composés essentiellement de bombardiers tactiques Sukhoi-34, de chasseurs multi rôles Sukhoi-30 et Sukhoi-35, complétés d’hélicoptères Mi-24 PN, MI-35M et Kamov-52

    [5] Russia’s Syria operation cost over $460 million — Putinhttp://tass.com/politics

    [6] Michel Goya in « La voie de l’épée »

    [7] Le nombre de tués russes est officiellement de 23 militaires et 17 employés civils de sociétés privées.

    http://www.medias-presse.info/tempete-rouge-le-succes-de-lintervention-russe-en-syrie/80743/

  • Prière de rue musulmane géante à Clichy-la-Garenne

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie:
    La police encadre une prière de rue géante depuis six mois en banlieue parisienne. C’est dans une vidéo que publie l’Observatoire de l’islamisation qu’on peut s’en rendre compte. A Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), des centaines de musulmans se retrouvent pour prier dans la rue. Bien alignés, ils ont installé un tapis sur la chaussée et des haut-parleurs pour que les rangées les plus éloignées puissent entendre le prêcheur. Ils sont tellement nombreux qu’ils occupent plus d’une voie de circulation pour les voitures.

    Et cela ne semble pas inquiéter la mairie. Des policiers armés assurent la sécurité de ces gens et font signe aux voitures de circuler. Les organisateurs estiment accueillir au moins un millier de fidèles d’Allah. Rémi Muzeau, le maire Les Républicains de Clichy la Garenne, avait promis tout comme son prédécesseur socialiste de construire une mosquée supplémentaire. L’écrivain et ancien musulman Majid Oukacha, commente la vidéo sur Twitter : « On y voit le résultat de la peur de nos élus laissant l’islam coloniser nos rues ».

    D’autant que cette mosquée n’est pas modérée pour un sou. Toujours selon l’Observatoire de l’islamisation qui possède plusieurs vidéos tournées sur place, l’imam qui dirige cette prière du vendredi des musulmans psalmodie le verset 36 de la sourate 9 du coran, dans lequel on peut lire : « Combattez les associateurs sans exception, comme ils vous combattent sans exception, et sachez qu’Allah est avec les pieux ». Ce verset est connu pour être souvent interprété comme un appel à l’extermination des chrétiens et des athées par la force.

    D’autres prières de rues non autorisées ont lieu chaque vendredi à Paris. Rue Morand (dans le XIe), elle bloque la circulation. Rue Etienne Marey (XXe) également, les fidèles de la mosquée Anwaar E Madina prient sur le trottoir.

     https://fr.novopress.info/

  • Les tensions religieuses au coeur de l'entreprise - Journal du jeudi 28 septembre 2017

  • Un ancien fiché S entre dans la police !

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    Un communiqué du MNR :

    D'après une information de RTL, confirmée par Europe 1, un homme, fiché S en 2012 pour son intérêt pour l'islam radical, était néanmoins entré dans la police comme adjoint de sécurité (ADS), après avoir tenté de faire carrière dans l'armée.. Après trois années de surveillance, la fiche S est levée. Et, « couronnement» de cette histoire, il est devenu vendredi dernier gardien de la paix... Que doit-on penser de la hiérarchie qui a permis cela, cependant que le policier patriote Sébastien Jallamion a été démis de ses fonctions et contraint de s'exiler, suite à la dénonciation d'une collègue qui n'avait pas apprécié un message (privé) sur Facebook pointant du doigt le danger de l'État islamique ? Comment peut-on sérieusement penser que nous sommes protégés des dangers du terrorisme islamique ? Combien faudra-t-il de nouveaux morts pour que nos autorités ouvrent les yeux et arrêtent de parler d' « islamophobie » quand certains veulent attirer l'attention sur les dangers liés à l'islam ?

    Avec tous les patriotes, dénonçons sans relâche les dangers extrêmes de la complaisance envers l'islam radical, fruit abouti de l'islam orthodoxe.

     

     
  • Jeannette Bougrab : « Il n’y a pas d’autre choix que d’expulser l’islam de la cité »

    Jeannette-Bougrab.jpg

    8953-20170927.jpgElle n’a jamais eu froid aux yeux, elle revient avec des propos d’un rare courage. Deux ans après les tueries de Charlie Hebdo et de l’Hyper Casher, Jeannette Bougrab publie un manifeste de combat contre la barbarie islamiste et ceux qui la protègent. Cette fille de harkis, ancienne secrétaire d’Etat et ancienne présidente de la Halde, accuse les politiques et les médias français de « complicité ».

    Jeannette Bougrab a été très mal traitée au moment de la mort de Charb. On l’a accusée d’usurper sa relation avec le dessinateur assassiné, les médias n’ont pas supporté qu’une Arabe musulmane dise la vérité sur l’islam. Elle a été menacée de mort et traînée avec Pascal Bruckner devant les tribunaux pour « islamophobie ». « Poursuivie par l’éternelle pléiade des idiots utiles de l’islamo-salafisme », rappelle l’hebdomadaire Marianne.

    « Les médias m’ont lynchée », déclare-t-elle aujourd’hui. « Les amis de Charb ont été dégueulasses avec moi. Je n’étais pas du bon milieu, je n’appartiens pas à cette famille de Charlie Hebdo. »

    Jeannette-Bougrab-Lettre-dexil-228x350.jpgSes Lettres d’exil, sous-titrées La barbarie et nous, écrites depuis la Finlande où elle est partie vivre avec sa fille May, dénoncent la bienveillance politico-médiatique au service des promoteurs du communautarisme islamiste : voile, burkini, ramadan. « En Algérie, on se bat pour porter le bikini, en France on protège le burkini ! »

    Jeannette Bougrab condamne les choix de perdition faits par la droite comme par la gauche depuis 30 ans :

    « On veut construire des mosquées alors qu’il n’y a plus de bibliothèques dans les quartiers. Les imams ont remplacé les instituteurs. La situation s’est aggravée depuis mon départ. »

    « La violence est omniprésente dans l’islam »

    Elle évoque une France « gangrenée par l’islamisme » et égrène la litanie des morts : Charlie, le Bataclan, le 14 juillet à Nice, le père Hamel, le couple de policiers de Magnanville, les militaires français, les adolescents, les enfants… « L’idée qu’en France on est protégé, est une erreur. On n’est plus protégé. »

    De son exil géographique, elle fustige « l’exil intérieur » auxquels sont assignés avec elle les millions de Français meurtris par la terreur et exaspérés par ce qu’elle appelle « l’empire du déni » :

    « La guerre contre Daesh est une chose. Mais le combat contre les bien-pensants occidentaux en est une autre, à bien des égards plus complexe et sournoise. Il est vital que nous commencions, dès à présent, cette déradicalisation des esprits. »

    Plus politiquement incorrect encore et plus précis, celle qui se déclare Française, Arabe et musulmane se dit « excédée d’entendre autour d’elle que sa culture est pure tolérance, alors que la violence y est omniprésente » :

    « Qu’on cesse de m’opposer la religion de l’amour d’un islam imaginaire par crainte de m’entendre proférer la vérité. Moi, la fille de musulmans, je crois qu’il n’y a pas d’autre choix pour la France que d’expulser l’islam de la cité.(…) N’avons-nous plus le désir et l’amour de la France ? »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 27 septembre 2017

    https://fr.novopress.info/207469/jeannette-bougrab-il-ny-a-pas-dautre-choix-que-dexpulser-lislam-de-la-cite/