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islamisme - Page 372

  • Le PS sacrifie les femmes

    Pour plaire aux frères islamiques et hiérarchiser leurs priorités, les frères maçons et gauchistes se devaient de sacrifier les femmes : c'est fait.
    Choix cornéliens et reniements au Parti socialiste… On se souvient du Salon de la femme musulmane à Pontoise et de Céline Pina, cette empêcheuse de prêcher en rond, membre du PS, dénonçant le sexisme des discours des imams. Elle se fâcha avec son secrétaire fédéral du Val-d’Oise, Rachid Temal, et finalement fut débarquée sans ménagement. Aujourd’hui, on annonce la nomination de Yacine Chaouat, ex-adjoint d’un maire parisien PS, comme membre du secrétariat national adjoint. L’homme a été condamné en appel à six mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Il se pourvoit en cassation. Son ex-compagne, tunisienne, lui reproche d’avoir été « contrainte de ne pas quitter l’appartement » et d’avoir été « frappée à coups de ceinturon ». Sic.

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  • Que se passe-t-il réelement en Syrie ? Partie 3/4 : Pierre Piccinin Da Prata

  • La presse polonaise choque les biens pensants

    La presse polonaise ne dénonce pas le voile islamique mais le viol islamique de l'Europe et cela choque nos bobos, restés bien silencieux lors des viols et agressions sexuelles en Allemagne :

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    Michel Janva

  • Syrie: Israël allume le front de Quneitra, ses milices battues de nouveau

    Lésé par les changements sur le terrain en Syrie en faveur de l’armée syrienne et ses alliés, Israël tente tant bien que mal de reprendre le dessus dans le sud, où les milices qu’il soutient ont subi d’importants revers. Mais sa nouvelle tentative de mardi s’est à son tour soldée par un revers cuisant.
    Selon le journal libanais al-Akhbar, citant des observateurs informés, des mouvements suspects avaient été détectés ces derniers jours sur le front de la province de Quneitra en particulier.
    Au moment où mardi matin, 12 milices combattant dans le cadre de l'Armée syrienne libre (ASL) ont annoncé le lancement d’une bataille qu’ils ont baptisée « Si vous retournez, nous retournerons », dans le but de prendre le contrôle de plusieurs positions de l’armée syrienne. Ces milices lorgnent surtout la localité Cheikh Miskine, conquise par l’armée la semaine passée, ainsi que la localité avoisinante Atma.
    Des sources sécuritaires syriennes ont confié pour al-Akhbar que cette bataille était attendue depuis bien longtemps, mais la décision de la déclencher a été prise depuis trois jours. Et pour cause : « la situation sur le terrain incommode Israël qui tente d’ouvrir une brèche en direction de la province ouest de Damas. Alors que les milices veulent à tout prix réaliser une victoire morale pour s’attirer le soutien des Etats » impliqués dans la crise syrienne, explique ces observateurs.
    Surtout que les réconciliations battent leur plein à Deraa et Quneitra.
    Mais comme la bataille était prévue, elle a été avortée avant son déclenchement.
    Les miliciens étaient en train de s’attrouper dans la région al-Jaaila, (ouest de cheikh Miskine) lorsque des avions russes et syriens les ont bombardés. Il y a eu au moins 26 tués dans leurs rangs, et 40 blessés. D'autres miliciens sont tombés dans une embuscade de l'armée, essuyant des pertes dans leurs rangs.
    Selon al-Akhbar, ces milices, en l’occurrence Bataillon al-Hamzé, Jaïch al-Ababil, Jaïch al-Yarmouk, Front des révolutionnaires de Syrie, et Bataillon al-Fourkane sont tous considérés par les puissances occidentales comme étant des "factions modérés". Alors que la milice wahhabite pro saoudienne Jaïch al-islam a fait part à la bataille, la branche d’Al-Qaïda en Syrie le front al-Nosra et le mouvement al-Mathanna étaient absents, remarque al-Akhbar. Ils ont du battre en retraite après leur perte de la localité de Cheikh Miskine, laquelle constituait leur principale voie d’approvisionnement.
    Les pertes des milices s'étaient accentuées vers le dernier trimestre de 2015, lorsque les forces gouvernementales et leurs alliés avaient réalisé une opération-éclair au cours de laquelle elles ont reconquis le triangle de la province de Damas-Deraa-Quneitra, qui est vital pour la sécurité de la capitale. Les milices étaient alors parvenues à réaliser quelque progression dans la province de Quneitra et à y assiéger des localités loyalistes, et quelque région de Deraa. Mais elles se sont rétractées après l’échec de la campagne baptisée « Tempête du sud » sur les portes de la ville de Deraa.
    Sachant que les milices soutenues par les puissances occidentales sont directement commanditées par les services de renseignements israéliens Amane, elles ont reçu ces derniers jours des munitions et des armes de leur part. Sans compter les trois camions conteneurs chargés d’armements en provenance de la Jordanie qui ont traversé samedi dernier la frontière. « Mais cette quantité est nettement inferieure à ce qui avait été envoyé dans le passé», constate une source sécuritaire. « Lors de la bataille de Bosra al-Cham et de l’aéroport al-Tahaalat, ce sont 40 camions conteneurs qui avaient été dépêchés », ajoute-t-elle.
    Depuis un mois, l’armée syrienne avait bombardé un convoi d’ânes transportant des armes sur le versant de la montagne al-Cheikh. Ce convoi était sorti de l’observatoire de l’armée d’occupation israélienne installé sur la montagne de Jabal al-Cheikh.
    « Ce que l’armée syrienne est entrain de reconquérir ces derniers temps, il sera presque exclu qu’elle le perde de nouveau », croient savoir les observateurs, conclut al-Akhbar.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVVZVlFVlLpiJcWLa.shtml

  • Après l'attentat d'Ankara

    L'attentat d’Ankara du 17 février appelle, à l'évidence, la condamnation de toute personne civilisée. L'explosion d'une voiture piégée, technique terroriste aveugle par excellence a fait, apprenait-on aujourd'hui, frappant le quartier central de Kizilay, 28 morts et 61 blessés.

    C'est horrible. Comme étaient horribles en juillet 2015, aussi bien l'attentat de Suruç, attribué à l’organisation de l'État islamique puis les représailles de l'armée turque dirigées contre les Kurdes et qui ont abouti à la rupture du cessez-le-feu institué en 2013 dans l'Est anatolien entre l'armée et le PKK.

    Or, la reprise de cette guerre qui avait fait des milliers de morts dans le Kurdistan turc a été délibérément voulue par Erdogan, après son échec électoral, dans le but de rallier les militaires et les nationalistes, but atteint qui lui a permis, ayant procédé à de nouvelles élections législatives, de regagner une majorité parlementaire et de nommer un nouveau premier ministre en la personne de Ahmet Davutoglu.

    Ces subtilités de la politique turque échappent peut-être à l'opinion et aux médias de l'Hexagone. Elles ne sauraient être ignorées d'aucun responsable politique européen, américain ou russe.

    Or, assimilant les Kurdes de Syrie au PKK, la propagande d'Ankara accuse aujourd'hui délibérément et globalement "les Kurdes" d'être responsables de l'attentat qui aurait été commis, nous dit-on, par un réfugié syrien. Dès ce 18 février, le premier ministre Davutoglu affirmait, en effet, que l’auteur de l’attentat était un Syrien de 23  ans infiltré en Turquie, qui a pu être identifié grâce à ses empreintes digitales : "Cette attaque terroriste, dit-il, a été commise par des éléments de l’organisation terroriste PKK en Turquie et un milicien des YPG."

    Or, cette dernière organisation kurde de Syrie est celle qui, par exemple a remporté la victoire décisive de Kobané libérant cette ville de Daësh. Elle est depuis le 13 février, la cible de l’artillerie turque qui la bombarde désormais jour après jour. Même si la méthode  de l'attentat à la voiture piégée reste absolument condamnable, en toutes circonstances, et si Davutoglu dit vrai, ce qui n'est pas son métier ordinaire, les choses se présentent différemment dans le contexte ainsi précisé.

    L'actuel gouvernement turc n'a pas voulu faire le choix du combat prioritaire contre Daësh qui suppose l'entente avec les Kurdes qui, sauf erreur sont chez eux dans le Kurdistan, aussi bien dans le Kurdistan syrien, que dans le Kurdistan irakien ou le Kurdistan turc, dans lequel, quand ils en ont la liberté, votent assez clairement pour le parti kurde HDP.

    Il existe sans doute de puissantes racines à cette absence de choix. Depuis la révolution kemaliste la Turquie reste influencée par des relents à la fois jacobins et totalitaires, qui prolongent ceux du génocide arménien de 1915, commis par les jeunes-turcs et que les gouvernements turcs successifs n'ont jamais voulu reconnaître depuis un siècle.

    L'islamo-terrorisme de Daësh est pour lui un moindre mal, sinon un allié secret, par rapport aux revendications kurdes qui, depuis le traité de Sèvres de 1920, jamais appliqué, ne sont pas autre chose que le droit à l'autodétermination.

    Tant que nous en sommes là, et quelles que soient les contorsions récentes de Mme Merkel par exemple, il nous semble parfaitement irréaliste de compter en quoi que ce soit sur ce gouvernement.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Négociations de paix et indignations en Syrie pour stopper la défaite de nos alliés terroristes

    Le monde politico-médiatique occidental et les USA critiquent violemment l’offensive des troupes syriennes et de leurs alliés russes contre les villes stratégiques de Madaya et d’Alep depuis décembre 2015, alors qu’il n’y avait eu aucune réaction ou information sur le siège de Deir Ezzor par l’État Islamique qui dure depuis 11 mois.

    De même notre nouveau ministre des affaires étrangères n’hésite pas à parler de crime de guerre concernant les frappes russes alors que les écoles et hôpitaux détruits par nos alliés – et clients – saoudiens sont systématiquement ignorés.
    Mais maintenant que les soldats de Bachar al Assad regagnent du terrain les gouvernements Européens s’inquiètent pour leurs alliés d’Al Qaida piégés à Alep et demandent, comme le faisait encore la semaine dernière Laurent Fabius au nom de la France « la levée de tous les sièges qui affament les populations et à l’arrêt des bombardements».

    Ce silence est surprenant de la part d’une presse toujours prête à passer en boucle des photos d’enfants immigrants noyés. Il y aurait dans le drame de cette ville martyre des images-chocs à publier, mais comme il s’agit d’une population loyale au président Bachar al Assad, comme pour le massacre des chrétiens Yazidis, cela ne représente aucun intérêt pour nos journalistes et politiques.
    Après tout, comme l’avait aussi déclaré notre ministre des affaires étrangères en 2012 « Bachar al-Assad ne mériterait pas d’être sur la terre » et cela visiblement s’applique aussi à ses partisans. Vous ne verrez donc jamais comme dans le journalLibération de ce mardi 16 février sur Alep une couverture et un reportage de 4 pages sur les massacres commis contre les populations loyalistes. Seuls quelques journaux étrangers osent publier de témoignages qui sortent de la propagande officielle.

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