Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 380

  • Bayern über alles ?

    Comment tenter de stopper le flux migratoire qui l’année 2015, a vu plus de 1 000 000 migrants pénétrer en Allemagne ? Le land de Bavière a des idées…

    La Bavière a haussé le ton ces dernières semaines. Face à l'incurie de l'Allemagne, incapable de gérer, selon elle, la crise migratoire, son ministre des Affaires intérieures, Joachim Herrmann, a déclaré que, si ce triste état de choses persistait, elle pourrait bien décider de reprendre à son compte le contrôle de ses frontières. En s'exprimant à la veille des fêtes de fin d'année, le ministre bavarois a sans doute tenu à marquer le coup. Et peut-être à rappeler à Berlin que son nom officiel est toujours « l’État libre de Bavière ».

    Quoi qu'il en soit, ses propos, donnés au Welt am Sonntag, l'édition dominicale de Die Welt, sont nets. Pour lui, les contrôles réalisés aux frontières par l'Allemagne sont inadéquats et représentent « un risque immense pour la sécurité » en Bavière. Cela tient notamment au fait que la police fédérale allemande n'est pas en mesure de remplir efficacement cette mission en raison d'un manque d'effectifs.

    La Bavière a proposé ses services aux forces de police allemandes, qui les a refusés .« Il s'agit d'une décision purement politique prise à Berlin », tempête Joachim Herrmann. « Le fait qu 'aucun contrôle approprié ne puisse être réalisé cinq semaines après les attentats de Paris, malgré le danger flagrant, est une preuve d'incompétence. »

    Le mot est lâché ! Et le ministre y ajoute un calcul rapide, et définitif. « Quelque 4 000 demandeurs d'asile traversent encore quotidiennement la frontière en Bavière. (...) Nous pourrons encore accueillir 350 000 réfugiés en 2016, mais pas une nouvelle fois plus d'un million »,déclare-t-il.

    Des frontières sur la route des Balkans

    Berlin aurait tort de voir dans ces propos un simple coup de sang. Plusieurs faits sont, en réalité, à prendre en considération. Tout d'abord, le fait que le ministre Joachim Herrmann est membre de la CSU, c'est-à-dire de l'Union chrétienne-sociale en Bavière, qui correspond à peu près à ce qu'est la CDU dans le reste de l'Allemagne, mais en en étant indépendant et, de ce fait sans doute, beaucoup plus conservateur.

    Autre point important, celui des frontières de la Bavière. Sise au sud-est de l'Allemagne, elle possède ainsi des frontières avec la Suisse, la République tchèque et l'Autriche, ce qui la place directement sous le flux migratoire arrivant de bien des pays par la route des Balkans. On ne saurait préjuger cependant que la Bavière, si elle mettait sa menace à exécution, et prenait effectivement la décision de contrôler elle-même

    ses frontières, ne déciderait pas de les contrôler toutes, c'est-à-dire d'interdire le passage à ceux des migrants arrivant d'autres länder allemands...

    Oh ! bien sûr, dans l’esprit de Joachim Herrmann, les critiques politiques ne sont pas limitées à Berlin. Elles se veulent la dénonciation d'une politique qui émane de Bruxelles, et qui, des institutions européennes, s'étend à tous les pays qui en dépendent.

    Mais la volonté bavaroise de protéger soi-même ses frontières va à l’encontre de ce qu'est l'Allemagne : une république fédérale, régie par la loi fondamentale adoptée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en 1949, par laquelle les länder ont remis certains pouvoirs, notamment en ce qui concerne la défense des frontières, à l'Allemagne ainsi constituée.

    Une volonté temporaire ?

    En dénonçant sinon l'union fédérale, du moins sa fragilité, et surtout en récupérant sur ce point frontalier sa souveraineté, la Bavière remet (ou remettrait) en cause l'existence même de l'Allemagne telle que nous la connaissons aujourd'hui.

    La question qui se pose dès lors serait de savoir si la volonté exprimée par Joachim Herrmann, et défendue, on peut le supposer, par un certain nombre de responsables politiques bavarois, n'aurait qu'une expression temporaire, auquel cas il s'agirait d'une simple suspension de la Loi fondamentale pour un temps donné.

    Ou si les Bavarois ne prendraient pas goût à la réalité, peut-être moins improbable en notre époque de mutations politiques qu'il n'y paraît, d'un réel « État libre de Bavière ».

    Olivier Figueras monde&vie 13 janvier 2016

  • Najat V. Belkacem VS Barakacity : mentalité arabo-maghrébine et radicalisme musulman

  • Jean-François Colosimo : « L’alliance de la Turquie avec Daech est objective »

    Jean-François Colosimo a accordé un entretien-fleuve à FigaroVox au sujet du rôle géopolitique de la Turquie au Proche-Orient. Il déplore le double-jeu d’Erdoğan et la passivité de l’Europe.

    LE FIGARO. - On a appris les bombardements d’un village chrétien de Sharanish au nord de l’Irak, dans le cadre des opérations anti-PKK. Juste après les attentats d’Istanbul, la Turquie avait lancé une campagne de frappes aériennes contre Da’ech en Irak et en Syrie. Quel est son ennemi prioritaire, Da’ech ou les minorités ?

    Jean-François COLOSIMO. - Une vague de bombes qui revêt valeur d’avertissement pour l’État islamique et de gage pour les États-Unis ne saurait épuiser la question du double jeu d’Ankara dans la nouvelle crise d’Orient. Le fait de se vouloir à la fois le champion de l’Otan et le passeur de Da’ech n’engage pas d’autre ennemi prioritaire que soi-même. La Turquie est en lutte contre la Turquie. Elle combat les spectres des massacres sur lesquels elle s’est édifiée. Que les minorités, chrétiennes ou autres, souffrent au passage, c’est leur sort. Car toute l’histoire moderne du pays se conjugue dans ce mouvement de balancier perpétuel entre adversité du dehors et adversité du dedans. Et au regard duquel les changements de régime ne comptent guère.

    Comment s’est opéré le basculement d’une Turquie laïque vers l’intensification de l’emprise de l’islam sur toute la société ? Quel est le sort des minorités ethniques et religieuses ?

    Afin de comprendre la Turquie d’aujourd’hui, il faut, comme il est d’habitude en Orient, s’établir sur le temps long. Plusieurs illusions de perspective menacent en effet une claire vision : qu’il y aurait une permanence en quelque sorte éternelle de la Turquie, qu’il y aurait lieu d’opposer la Turquie laïciste de Mustafa Kemal et la Turquie islamiste de Recep Erdoğan, que l’avenir de la Turquie serait nécessairement assuré.

    La Turquie contemporaine est incompréhensible sans l’Empire ottoman, lequel est lui-même incompréhensible sans l’Empire byzantin qui l’a précédé : comment passe-t-on, à l’âge moderne, d’une mosaïque multi-ethnique et pluri-religieuse à des ensembles nationaux et étatiques cohérents ? Or, la décomposition de l’Empire ottoman, entamé dans les années 1820 avec l’indépendance de la Grèce, n’en finit pas de finir. Depuis la chute du communisme, de Sarajevo à Bagdad, les récents incendies des Balkans et les présents incendies du Levant attestent de sa reprise, de sa poursuite et de son caractère, pour l’heure, inachevé. [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Jean-Francois-Colosimo-L-alliance

  • Nous n’irons plus au Bataclan par André WAROCH

    « Ce n’est pas un complot, c’est pire, c’est une logique. »

    Guillaume Faye 

    Le 1er janvier dernier, revenant du réveillon du jour de l’An que j’avais passé chez des amis, un peu fatigué, je me suis arrêté dans cette ville que je ne connaissais pas. 

    C’était une petite ville de province, naguère oubliée de Dieu et des hommes, une sous-préfecture paressant sur les bords de Loire, comme une loutre repue et bedonnante, cernée de vieux remparts qui jetaient encore sur le fleuve l’ombre des siècles passés. 

    Je garai la voiture, et allai faire quelques pas dans le centre. 

    Il y a encore trente ans, on aurait pu jurer que rien ne viendrait jamais troubler la quiétude de ces lieux. Que les mêmes nuages continueraient à passer au-dessus des mêmes fronts, que le même soleil éclairerait les mêmes enfants s’adonnant aux mêmes jeux. Que les mêmes coutumes, les mêmes gestes quotidiens se perpétueraient imperturbablement, comme ils s’étaient perpétués depuis peut-être un millénaire.

    Puis, un jour, la banlieue était arrivée, venue du Nord, et s’était jetée sur sa proie. 

    Je le compris en allant prendre un café au bistrot en face de l’église. J’écoutais discuter les habitués. La ville, ce matin-là, se réveillait les mains tremblantes, la bouche pâteuse et les yeux embués, ne pouvant croire à ce qu’elle voyait. La nuit du 31 avait été terrible : onze voitures avaient été incendiées en plein centre-ville, des vitres avaient été brisées un peu partout, des cailloux jetés sur les forces de l’ordre. Les restaurants avaient du fermer, les clients évacués en catastrophe. 

    En sortant du café, je pris la direction de l’église, et, effectivement, je remarquai des policiers et des pompiers allant et venant, puis je tombai, sur le parking de la place du marché, devant cette carcasse de voiture, totalement calcinée, et fumant encore. 

    J’écoutais les conversations, à peu près les mêmes qu’au bistrot, des badauds qui se massaient. Comme souvent, le plus important n’était pas ce que les hommes disaient. C’était ce qu’ils ne disaient pas.

    Je lisais dans leurs yeux et dans leur âme comme dans un livre ouvert. Ils savaient que ce qui venait de se passer n’était pas un accident. Que cela se passerait de nouveau. Ça ou quelque chose d’encore pire. Et que cela se répéterait. Et que cela ne s’arrêterait plus. La seule solution pour eux, désormais, était de fuir tant qu’il en était encore temps. Fuir vers un territoire non encore contaminé. Fuir, pour beaucoup, pour la deuxième ou la troisième fois. 

    Il pouvait m’arriver d’éprouver de la haine, une haine inextinguible devant les responsables de ce désastre qu’était devenu mon pays; de la peur, à la pensée que mes enfants ne pourraient pas toujours compter sur la protection de leurs parents, qu’ils étaient en danger, condamnés à vivre dans ce pays maudit dont même les crétins commençaient à comprendre, mais trop tard, que c’est la mort qui l’attendait. Mais ce jour-là, quand je repris la route ce jour-là, je me rendis compte que rien d’autre ne m’habitait qu’une immense tristesse. 

    Dans des territoires de plus en plus étendus, c’est un couvre-feu en bonne et due forme qui est dorénavant instauré par la racaille allogène à travers tout le pays. L’immigration est comme une maladie, comme un cancer que les autorités locales ont traité comme une grippe. Maintenant que le mal a progressé à un point tel qu’on ne peut plus le cacher à la population, il est médiatiquement décrété que le temps est désormais venu de vivre avec, comme un fait accompli et irrémédiable, et cesser de regretter l’ancien monde. 

    Le terrorisme islamiste n’a pas fait son apparition en France avec les attentats du Bataclan et de Charlie-Hebdo, ni même lors des attentats des années quatre-vingt-dix menés par le FIS et le GIA algériens. Le terrorisme islamiste, dans le vrai sens du terme, est né dans les années soixante-dix, avec la mise en place d’une immigration de masse en provenance du Maghreb. Il est né avec la première voiture brûlée. Car la véritable définition du terrorisme n’a rien à voir avec la façon dont il se manifeste, bien qu’à ce mot on associe toujours l’utilisation de bombes explosant dans la foule, ou plus récemment de rafales d’arme automatique tirées à l’aveugle dans des salles de concert. 

    La véritable définition du terrorisme, telle que donnée par le Larousse, est celle-ci : « Ensemble d’actes de violence commis par une organisation pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système. » 

    Quand quatre musulmans enlèvent une fille identifiée comme française, l’emmènent dans un parc ou ils la bâillonnent et l’attachent, la violent par tous les orifices pour finir par lui uriner dans la bouche et la frapper à coups de bâton, comme cela est arrivé en mars 2014 aux abords de la gare d’Évry, cette ville dans laquelle Manuel Valls avait exprimé le souhait de réinjecter quelques « Blancos » (juste pour le plaisir de voir violer leurs enfants dans les jardins publics ?), cela n’a absolument rien à voir avec ce mot tarte-à-la-crème : délinquance, dont l’utilisation systématique n’a d’autre fonction que celle, encore et toujours, de cacher la vraie nature des choses aux habitants de ce pays livré

    Cette agression, qui était « raciste » au dire même de leurs auteurs, n’est rien d’autre, quand on la dépouille des trois décennies de mensonge qui s’interposent entre elle et nous, qu’une attaque terroriste, sans bombes et sans fusil, commis par des gens qui, depuis déjà très longtemps, nous ont déclaré la guerre. 

    C’est ce terrorisme du quotidien que les Français qui habitaient autrefois ces villes ont fui. Plutôt que de voter pour le seul parti qui admettait cette réalité et se proposait de la combattre, ils ont pris la décision, fait unique dans l’histoire, de s’auto-expulser

    C’est à ce peuple châtré, aveugle, fanatique lui aussi, de ce fanatisme morbide des chrétiens de l’Antiquité qui préféraient mourir dans l’arène plutôt que de porter les armes, sacrifiant leur vie au nom de la non-violence, que les djihadistes, qui, eux, sacrifient leur vie au nom de la violence, ont affaire. Quand ces « valeurs chrétiennes devenues folles » (elles le sont bien, folles, mais elles ne le sont pas devenues, l’étant dès le départ) rencontrent les « valeurs » islamistes, elles aussi d’ailleurs devenues folles d’après nos médias, se déroule alors une sorte d’immonde et gigantesque orgie sado-masochiste qui pourrait être intitulée, si on en faisait un film, Décapite-moi, j’ai envie de pardonner. Les quelques Européens restés normaux, c’est-à-dire fidèles aux valeurs antiques selon lesquelles le seul destin de l’ennemi est d’être repoussé, soumis ou exterminé, assistent médusés à la destruction de leur pays, et au triomphe inéluctable de la barbarie sur la décadence. 

    Il fut un temps ou les Européens, tordant le cou à la non-violence inhérente au christianisme, jusqu’à quasiment l’asphyxier (processus analysé par l’historien Jean Flori), élaborèrent, face aux Turcs Seldjoukides , un contre-djihad : le Pape, prenant résolument la relève de l’Empereur romain, appelait le monde latin à délivrer le tombeau du Christ profané par l’infidèle musulman, et à secourir les Byzantins, refaisant ainsi, contre l’ennemi musulman, l’unité des anciens empires d’Orient et d’Occident. La récompense des cieux et l’absolution étaient promises aux chevaliers qui prendraient les armes. Trois ans plus tard, Jérusalem était prise, les Barbares passés au fil de l’épée, Byzance sauvée pour quatre siècles. 

    Aujourd’hui, les Croisades sont considérées, à travers toute l’Europe, comme la dernière des abominations. Comme l’avait vu Dominique Venner, le christianisme, en disparaissant comme religion constituée, redevient ce qu’il est, un venin qui s’infiltre au plus profond de l’âme des peuples pour leur ôter jusqu’au souvenir des notions les plus évidentes de survie collective et d’auto-défense. Le judaïsme, en s’attachant aux rites comme ciment de la communauté, laissait de côté la morale, de manière plus ou moins hypocrite. Jésus, lui, en rejetant les rites, instaura « la circoncision des cœurs », c’est-à-dire la mutilation de l’âme. 

    Le christianisme, qui a par là même disparu en tant que religion au sens strict, a vaincu dans les esprits en tant que morale, et d’abord chez les élites européennes. Personne, en effet, n’a obligé celles-ci à accepter les migrants. Les pétro-monarchies du Golfe, pourtant arabes et musulmanes, n’en ont pas accueilli un seul. Ils ne se sont pas imposés, ils ne sont pas venus avec des avions et des tanks. Ils ont été invités. 

    Car à cette lecture crypto-religieuse des événements, il faut en ajouter une autre qui la complète, celle d’une lutte des classes à l’intérieur même du monde blanc. 

    Si on se penche sur la situation de la France, pays qui peut se prévaloir d’avoir été le premier à organiser sa propre invasion dès les années soixante-dix, et maintenant que l’on dispose de tout le recul nécessaire, une analyse doit maintenant s’imposer clairement : l’immigration extra-européenne, dès l’origine, est l’arme principale des élites pour se débarrasser du prolétariat et de la classe moyenne autochtone.

    Osons synthétiser crûment la vérité : l’immigration, musulmane ou non, est, en elle-même, un attentat, un gigantesque attentat qui dure depuis quarante années, et qui a été déclenché depuis le sommet de l’État, avec la complicité, jamais prise en défaut  depuis, de tout l’appareil médiatique, de toutes les grandes entreprises, de l’Église, des syndicats. 

    Se focaliser sur les exactions des arabo-musulmans ne doit jamais faire oublier qu’ils sont les hommes de main de ceux qui les ont envoyés. Ils  représentent, de très loin, le groupe immigré le plus haineux envers la population de souche, et sont, pour cela, ceux que les médias défendent le plus farouchement (ainsi les Chinois, qui ne se rendent jamais coupables d’un seul acte de violence, sont à peu près ignorés).

    Au fur et à mesure que les exactions susdites se sont étendues, le système pénal s’est effondré, les lois ont cessé d’être appliquées, les peines de prison, même pour de très graves délits, n’ont plus été exécutées. Carte blanche était donnée aux envahisseurs, jusqu’à la situation actuelle, où le ministère de la justice a été confiée à une descendante d’esclave dont tout le combat politique consiste à se venger de ceux qu’elle considère, selon une vision totalement raciale et génétique, comme les coupables éternels de la traite transatlantique (qui n’est, au regard de l’histoire de notre pays, qu’une anecdote).

    Le véritables ennemis des élites politico-économico-médiatiques, ce ne sont pas les islamistes, mais le peuple, le vrai, le de souche (et cela inclut tous ceux qui s’identifient à lui, sans en être techniquement parlant), celui qui ne veut pas que son pays disparaisse. Face à lui, toute la fange des idéologues de la haine, des dégénérés mondialistes, des « trans-genre », des immigrationnistes forcenés, de tous ceux, en définitive, qui haïssent de toutes leurs tripes la France et les Français, ce qu’ils appellent « l’antiracisme ».

    Si beaucoup d’entre nous se sont réjouis, ou en tout cas n’ont pas versé la « larmichette » réglementaire suite aux attentats de Charlie-Hebdo ou du Bataclan, c’est parce qu’ils avaient conscience, plus ou moins confusément, que ces événements ne les concernaient pas. Qu’il s’agissait là de chamailleries entre les islamistes et ceux qui les ont fait rentrer pour nous éjecter, donc entre nos deux ennemis mortels. Nous, nous n’allons pas au Bataclan. Nous ne manifestons pas pour le mariage gay. Nous ne militons pas pour l’ouverture des frontières, pour la dissolution de la France et de l’Europe dans le grand marché mondialisé et dans l’immigration. Nous ne prônons pas non plus la guerre contre les pays arabo-musulmans qui ne nous ont pas attaqués. Peu nous chaut qu’ils deviennent ou non fondamentalistes, qu’ils décident d’appliquer lacharia ou de se convertir au bouddhisme. Tout ceci ne nous regarde pas. Nous, nous voulons défendre notre pays et notre continent.

    Voilà le vrai, le seul padamalgam qui vaille. Celui qui dit la vérité de la guerre civile entre Français de souche, celle que les élites nous ont déclaré mais qu’elles ont préféré ne pas livrer elles-mêmes, en dressant contre leur propre peuple les pires ennemis de l’Europe.

    André Waroch

    http://www.europemaxima.com/?p=4705

  • Le PS allemand paye des marginaux violents pour empêcher les manifestations d’opposants à l’immigration de masse

    Source journalistenwatch ;TAZ

    https://www.taz.de/!5020381/#sthash.cRIQV2NC.dpuf

    Des documents du dernier congrès des « Jusos », les jeunesses socialistes du SPD, le parti socialiste allemand, font état de dépenses au profit de diverses associations Antifa.
    On peut voir en particulier sur la ligne 6 des dépenses horaires de 45 € par heure pour participer aux manifestations ainsi que des locations de 48 bus pour acheminer ces miliciens.
    On pourra constater ainsi que les Antifas qui se présentent comme des anarchistes ont monté une multitude de sociétés comme Antifa Reisen en charge des déplacements, Antifa Gmbh pour tout ce qui est publication et Antifa Catering pour tout ce qui est nourriture. Le document du congrès indique d’ailleurs que des sandwichs étaient prévus dans les dépenses.

    antifas-allemands.png


    Ces opérations correspondent en particulier aux violentes contre-manifestations qui avaient eu lieu contre PEGIDA à Dresde et Legida à Liepzig le 9 février 2015. Le gouvernement en avait fait porter la faute sur les « extrémistes » anti-immigration et aucune arrestation d’Antifa n’avait eu lieu.
    Il y avait déjà eu des rumeurs sur ces attaques si bien organisées et l’on pouvait voir un début d’organigramme sur le net où des associations de Demokratie-Vereine « pro-démocratie » financées directement par les autorités publiques redistribuaient ces fonds à diverses sociétés commerciales montées par les Antifas.
    Les « cartels » politiques SPD/CDU/Verts achetaient eux aussi des prestations auprès de ces entreprises estampillées Antifa.
    Ces accusations avaient été qualifiées de pure propagande et l’arrivée massive d’immigrées avait commencé à ce moment-là.

    Lire la suite

     

  • L'Etat islamique à l'assaut de l'Europe par la guerilla moderne

    Imprévisible, inaccessible et insaisissable, l'Etat islamique manœuvre à sa guise et se joue de toutes les règles de vigilance européennes et s’apprête à refrappersur le vieux continent et spécialement en France. C'est ce qui ressort d'un rapport d'experts : 

    ""Les experts nationaux sont d'accord sur le fait que le soi-disant Etat islamique a la volonté et la capacité de conduire de nouvelles attaques en Europe", a souligné Rob Wainwright. "Les attaques viseront en priorité les cibles molles (la société civile: NDLR), en raison de l'impact que cela génère", précise ce rapport qui décrit "un changement de stratégie de l'EI qui veut agir globalement".

    Le rapport est le fruit d'un séminaire entre experts des 28 Etats membres de l'Union européenne organisé trois semaines après les attentats de Paris qui ont fait 130 morts le 13 novembre dernier. Il signale un "changement dans le mode opératoire" de l'organisation djihadiste implantée en Syrie et en Irak, désormais capable de réaliser "quand elle le souhaite", partout dans le monde, des "séries d'attaques complexes et bien coordonnées" grâce à des combattants locaux connaissant bien le terrain.

    "Il semblerait que les commandants de l'EI ont une liberté tactique quand ils choisissent leurs cibles, afin d'adapter leurs projets à des circonstances locales spécifiques, ce qui rend encore plus difficile pour les forces de l'ordre la détection de tels projets et l'identification des personnes impliquées à un stade précoce", observe le rapport".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/letat-islamique-%C3%A0-lassaut-de-leurope-par-la-guerilla-moderne.html

  • D’Athènes à Calais c’est bien ce Système qu’il faut changer !

    Il y a un an tout juste, Alexis Tsipras,  héros de la gauche  anticapitaliste et/ou eurosceptique, arrivait au pouvoir à Athènes. Alors qu’un  sondage publié vendredi  indique que 85% des Grecs sont mécontents de l’action de leur  gouvernement,  la correspondante du quotidien  Libération, Maria Malagardis, constate «qu’il semble loin le temps ou (M. Tsipras) promettait de  renouer avec l’espoir!». Désormais «les agriculteurs qui ont sorti leurs tracteurs dans la rue et agressent les députés ou les permanences de Syriza ne sont pas les seuls à manifester leur colère. Avocats, médecins, artistes, commerçants, retraités et même handicapés sont tous descendus dans la rue depuis une semaine.» La parole est donnée à l’analyste politique Georges Seferzis : «Tsipras a échoué à mettre un terme à l’austérité, mais se présente toujours en Grèce comme le défenseur des plus faibles. Le problème, c’est que son dernier projet de loi écrase d’impôts et de hausses de cotisations sociales les petits entrepreneurs et les agriculteurs, qui forment le cœur de l’économie grecque. La réalité de la Grèce ce ne sont pas seulement les indigents, c’est surtout cette petite classe moyenne qui a l’impression de trinquer une fois de plus. »

    «Tsipras lui-même a-t-il changé ? Ou bien n’est-il que le général vaincu d’un pays à la souveraineté limitée ?». Ce qui est certain  c’est que lui même et son parti Syriza  étaient  portés par les espoirs d’un peuple grec très durement tabassé, paupérisé,  par les diktats financiers de latroïka BCE-FMI-Commission européenne. Hellènes qui payent aussi actuellement  au prix fort, souligne Bruno Gollnisch, car «l’Europe» n’est pas seule responsable de tous les  maux,  les conséquences  de décennies  de mauvaises  habitudes, de  gabegie, de tricherie, de corruption, de gestion fantasque des comptes publics qui caractérisèrent la société grecque, notamment lors des années de règne du  Pasok (parti socialiste)

    Le  référendum du 5 juillet de l’année dernière a vu  les électeurs  soutenir  M. Tsipras (qui avait mis son mandat en jeu)  en votant Non  (à 61 %)  à la proposition de réformes formulée par les créanciers du pays. Le  parti au pouvoir a aussi remporté les élections  législatives de septembre,  marquées cependant par une très sensible montée de l’abstention.

    Bref,  malgré  sa  capitulation  finale  devant les préteurs, la  trahison  des électeurs (8 jours après le référendum…), ses reniements, ses démissions,  son refus de se libérer de l’euro qui asphyxie inexorablement son pays,  M. Tsipras  gardait vaille que vaille la confiance du peuple grec…faute de mieux ?

    Sur le site du magazine Causeur, analysant les législatives de septembre, l’économiste Jacques Sapir notait néanmoins «qu’il n’y a pas d’avenir pour la Grèce tant qu’elle reste dans la zone Euro et tant qu’elle ne fait pas défaut sur une part importante de sa dette. Ceci commence à se dire tant aux FMI que dans les couloirs de l’Union européenne. Le dossier grec est donc toujours sur la table. Même si, aujourd’hui, d’autres problèmes sont en train de focaliser l’attention, comme la crise des réfugiés.»

    M. Sapir ne croyait pas si bien dire et la crise des migrants est plus actuelle que jamais, et s’expose de manière particulièrement emblématique à Calais. Cette fin de semaine, le maire (LR)  Natacha Bouchart manifestait avec des commerçants de la ville pour exiger un «  moratoire sur les taxes des commerçants du Calaisis » en raison d’ « une forte baisse de l’activité.» Celle-ci est due, comme chacun le sait, à l’explosion du nombre des clandestins traînant dans les rues  et créant un climat de peur, de violences et de tensions dans la commune. Samedi  toujours, desCollectifs de soutien aux migrants ont  organisé une autre manifestation qui a réuni  environ 2000 personnes, en présence  du  député écolo-gauchiste Karima Delli (EELV) et de Philippe Poutou, un des figures du   groupuscule trotskyste NPA.

    Occasion offerte  à l’extrême gauche (antifa et autres casseurs appartenant à la mouvance internationaliste  No Borders)  de se livrer à des déprédations.  26 immigrés clandestins et 9  militants  No Borders   ont été interpellés après s’être introduit à l’intérieur d’un ferry britannique  dans le port de Calais.  Située en centre-ville, la statue  du Général De Gaulle et d’Yvonne de Gaulle du a été ornée d’un tag «Nik la France» pendant la manifestation d’extrême gauche. Une dégradation qui a  suscité  les réactions forcément indignées du   président du Conseil régional  Xavier Bertrand et de Mme Bouchart… bien forcés cette fois  de sortir de leur silence.

    Le Figaro le rappelle  à ses  lecteurs, « le mouvement des No Borders est apparu en Allemagne dans les années 90. Depuis 2009, il apporte un soutien inconditionnel aux migrants de la Jungle qui souhaitent rejoindre la Grande-Bretagne. Les activistes aident ainsi les migrants de Calais à s’installer, à entreprendre des démarches administratives et ouvrent parfois des squats pour les accueillir. D’après le ministère de l’Intérieur, qui surveille de près le mouvement, ces anarchistes sont d’origine française, allemande et hollandaise. La presse outre-Manche évoque également la présence de nombreux militants britanniques dans leurs rangs.»

    Les propos du porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre Henry Brandet, sont rappelés pour l’occasion : «ll y a des militants No Borders qui ont été identifiés (…) qui profitent du désarroi, de la détresse de ces migrants, qui instrumentalisent cette détresse, et les poussent à faire n’importe quoi»,  «il y a derrière la détresse de ces migrants un certain nombre de personnes irresponsables qui instrumentalisent cette misère à d’autres fins qu’à des fins humanitaires.»

    La violence  des No Borders, petits pions qui instrumentalisent de pauvres immigrés mais qui sont tout autant instrumentalisés, répond en quelque sorte symétriquement à celle d’un capitalisme financier, apatride,  mondialisé. Lui aussi est sans foi ni loi,  lui aussi prône la disparition  des  souverainetés nationales, des frontières,  la libre circulation sans frein des personnes, des biens  et des capitaux. D’Athènes à Calais c’est bien ce Système là dont il convient de changer !  

    http://gollnisch.com/2016/01/25/dathenes-a-calais-cest-bien-ce-systeme-quil-faut-changer/

  • Migrants : après Cologne l’AFP continue à ne voir que des femmes et des enfants…

    Source : OJIM

    Fin septembre 2015, l’Ojim évoquait déjà la manipulation par l’image orchestrée par les médias au sujet de la crise migratoire.

    Alors qu’environ 80% des clandestins qui arrivent en Europe sont des hommes seuls, les agences de presse et les médias qui reprennent leur contenu n’ont de cesse de nous présenter sans arrêt des images de femmes, d’enfants voire de couples épris d’amour.

    Près de quatre mois plus tard, et alors que Cologne est passé par là, la situation n’a pas changé. Comme l’a fait remarquer le compte Twitter des « Bobards d’or », qui en a publié quelques unes et se réserve sans doute le sujet pour la prochaine cérémonie, l’AFP poursuit sa campagne de désinformation en mettant largement en avant les femmes et les enfants, en dépit de la réalité du terrain.

    Sur cette photo reprise par Jean-Yves Le Gallou, on voir par exemple un homme tenir la main à un enfant, suivi d’une femme et d’autres petits bambins.

    CZK_K34WkAUMPND.jpg

     Sur cet autre exemple, c’est bien une femme qui est mise au premier plan alors qu’à l’arrière, il n’y a que des hommes.

    CZLNjcYW0AA44Ng.jpg

     Enfin, rien de tel qu’une photographie chargée d’émotion comme celle de cet enfant en larmes emballé dans des couvertures…

    CZLO065WIAAMpfn.jpg

     Comme nous le disions déjà dans notre dossier, « l’image, dans cette campagne, joue un rôle fondamental. Il s’agit d’émouvoir, d’émouvoir et d’émouvoir encore, jusqu’à éradiquer l’esprit critique. Refuser, ou même simplement questionner ce qui est en train de se passer vous transforme alors immédiatement en salaud ». Nous sommes en plein dedans.

    http://fr.novopress.info/197325/migrants-apres-cologne-lafp-continue-voir-femmes-enfants/#more-197325

  • Les « migrants » et l’extrême-gauche attaquent une famille de patriotes calaisiens chez eux !

    Au cours de la manifestation pro-clandestins organisée samedi 23 janvier à Calais, des voyous immigrés et leurs complices d’extrême-gauche sont venus agresser des patriotes calaisiens, proches du Collectif Sauvons Calais, dans leur propre maison !

    Sur la vidéo, on ne voit aucun membre des forces de l’ordre, qui pourtant encadrent d’habitude en nombre les manifestations des opposants à l’invasion migratoire à Calais.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Entretien avec Piero San Giorgio sur le crise migratoire

    Joseph Navratil s’est entretenu avec Piero San Giorgio pour LaPravda.ch au sujet des conséquences en Europe de la forte proportion de jeunes hommes parmi les migrants, de l'analyse sous l'angle du survivalisme du départ de jeunes hommes de zones de guerre, de l’islamisation de la Suisse et de la politique helvétique.

     

    http://www.scriptoblog.com/index.php/notes-de-lecture/geopolitique/1841-entretien-avec-piero-san-giorgio-sur-le-crise-migratoire