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islamisme - Page 378

  • Persécution anti-chrétienne et assassinat dans le camp de Grande-Synthe

    Daniel Hamiche relaie cette information (source), que les grands médias se garderont bien de diffuser. Ce n'est malheureusement une surprise pour personne ici car on pouvait s'attendre à ce que des réfugiés chrétiens se fassent assassiner dans les camps de migrants en France, étant donné ce qu'on sait qu'ils subissent en Allemagne :

    "Notre frère Daniel O. nous rapporte de terribles nouvelles de la situation des migrants dans nord de la France. Les chrétiens iraniens subissent des persécutions de la part des réfugiés musulmans. Deux pasteurs nous font part des conditions suivantes, au travers de deux courriels récents. Voici le premier courriel, d’un premier pasteur : « Nous avons  fait, à la demande des migrants iraniens, une réunion spéciale cet après midi à l’Église. Ils étaient une vingtaine de jeunes hommes. Attentifs et ouverts, plusieurs ont répondu à l’appel et 3 d’entre eux souhaitent être baptisés en nous expliquant que ça n’était pas possible en Iran. Nous confirmons que les chrétiens sont malmenés sur le site de Grande-Synthe où la majorité des migrants est musulmane. Un jeune chrétien  a eu le nez cassé, un autre a reçu 2 coups de couteau, et un autre encore après avoir été maltraité est introuvable. On a juste retrouvé quelques unes de ses affaires. Qu’est il devenu ?  [Il a été retrouvé mort après l’envoi de ce mail ; il a été assassiné] […]

    Voici le deuxième mail : « La situation des migrants chrétiens de Grande-Synthe est préoccupante et devient particulièrement critique. Nous avons dû prendre la décision, hier soir de loger une quinzaine d’entre eux, dans les locaux de l’Église. Car ils ont étés malmenés la nuit de lundi à mardi et plusieurs ont reçus des coups de couteaux… L’un d’eux a été tué la semaine passée aux abords du camp… Durant ces quinze derniers jours, plusieurs chrétiens de l’Église ont puisé sur leurs propres fonds pour les loger à l’hôtel ; mais cette solution ne peut être reconduite, (près de 800 € en moins de quinze jours ». C’est dans ce camp de Grande-Synthe (Dunkerque) que notre frère iranien a été assassiné pour sa foi. Je n’ai rien trouvé à ce sujet dans les médias. Ce sont des islamistes mafieux qui ont pris en otage le camp, négocient les passages en Angleterre et font même payer pour l’accès aux douches installées par la municipalité. Et dans ce camp on assassine en toute impunité les musulmans qui veulent bénéficier de la liberté de conscience et devenir chrétiens parce que, soi disant, le Coran l’interdit."

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Après Cologne, les conséquences d’une insécurité culturelle devenue réalité

    La gravité des événements survenus au soir du 31 décembre dans la ville allemande sonne peut-être pour la gauche l'heure de la fin des illusions du multiculturalisme normatif
    L’affaire de Cologne –ce qui s’est passé en fait dans plusieurs villes allemandes et européennes au soir du 31 décembre– est d’une gravité exceptionnelle. Si ces faits n’ont bien évidemment pas la même portée qu’un attentat terroriste, tels ceux que la France a, comme d’autres pays, connus l’an dernier, ils pourraient en revanche jouer un rôle similaire voire plus profond encore dans la conscience collective des sociétés européennes au regard de l’immigration et de l’islam.
    Le terrorisme reste en effet un passage à l’acte fort heureusement exceptionnel, une violence ultime, alors qu’on est là, dans les événements du 31 décembre en présence d’actes quotidiens même s’ils ont été perpétrés d’une manière et à une échelle inédites en Europe. Le harcèlement sexuel collectif et massif de femmes dans le même lieu, public, est en effet une pratique qui rappelle ce qui a pu avoir lieu dans certains pays arabes, on pense immédiatement à la place Tahrir au Caire.
    Insécurité physique et insécurité culturelle
    L’onde de choc de ces actes n’est même pas encore absorbée –on notera ici qu’elle a d’ailleurs mis un certain temps avant de se diffuser dans les médias, signe de la sidération et de l’embarras qu’elle a occasionnée– que leurs conséquences en matière de débat public sur l’entrée des migrants et les conditions de leur intégration ont déjà été bouleversées en Allemagne comme ailleurs en Europe. Et ce alors même que les enquêtes sur les origines de ces faits n’ont pas livré leurs conclusions.
    Ce sont les moeurs et le mode de vie au quotidien des sociétés européennes qui sont cette fois très directement concernés: le fait pour les femmes de pouvoir sortir et se déplacer librement dans l’espace public. L’insécurité physique rejoignant ici, donnant corps si l’on peut dire, matériellement, à l’insécurité culturelle ressentie vis-à-vis de l’arrivée de migrants; le harcèlement des femmes incarnant la crainte d’une remise en cause de certains modes de vie, spécialement pour les femmes, en raison de l’arrivée d’étrangers, de religion et de culture musulmane notamment, dans les sociétés européennes.
    De tels faits peuvent dès lors conduire non seulement au renforcement de l’hostilité aux migrants au sein de l’opinion publique européenne mais encore, plus profondément, à une remise en question, au sein de la gauche notamment, de l’idéal diversitaire du multiculturalisme normatif qui a de longue date été adopté comme élément-clef de son programme politique voire de sa stratégie électorale.
    Une hostilité croissante aux migrants
    L’affaire de Cologne témoigne en effet de la réalisation d’un certain nombre de craintes énoncées à l’égard de l’entrée de migrants en Europe depuis la crise de l'été 2015. Comme si les représentations qui étaient à l’époque construites sur des préjugés ou des fantasmes étaient validées aujourd’hui par le comportement de certains de ces migrants. Ainsi, par exemple, le présupposé suivant lequel dans la masse de migrants, il pourrait y avoir non seulement des terroristes potentiels mais encore des délinquants potentiels et, en l’espèce, des jeunes gens dont l’éducation ou la culture ne leur permettent pas de s’intégrer immédiatement dans les sociétés d’accueil, eu égard notamment à leur compréhension des rapports hommes-femmes, a-t-il été confirmé par l’attitude des groupes d’agresseurs du 31 décembre.
    Comme le résumait parfaitement l’écrivain Thierry Jonquet: «Ne pas dire la vérité, c’est laisser à ses ennemis politiques le privilège de la dire à votre place»
    La confirmation de telles craintes invalidant de facto nombre des discours tenus à l’époque sur la distinction entre les réfugiés et les migrants économiques par exemple ou encore sur le fait que le niveau de diplôme et plus largement le niveau socio-culturel des migrants, syriens notamment, serait en moyenne élevé et permettrait donc une intégration plus rapide aux sociétés d’accueil.
    D’autant plus que les attentats terroristes en France notamment, et les différents réseaux mis à jour à l’occasion des enquêtes qui les ont suivis, apportent eux aussi de l’eau au moulin aux critiques de l’ouverture des frontières européennes puisque certains activistes islamistes voire directement des terroristes ont pu se servir des portes d’entrée des migrants pour aller et venir entre la Syrie ou l’Irak et l’Europe. Un continuum délétère entre le risque «culturel» et le risque terroriste que représenterait l’accueil des migrants pouvant ainsi très vite être établi aux yeux de l’opinion.
    La confirmation par les faits de ces craintes et de ces peurs évoquées depuis des mois venant, une fois de plus, renforcer le discours de ceux qui s’en servent le mieux dans le débat public, à savoir les partis populistes d’extrême-droite. Comme le résumait parfaitement l’écrivain Thierry Jonquet: «Ne pas dire la vérité, c’est laisser à ses ennemis politiques le privilège de la dire à votre place».
    La fin de l’illusion multiculturaliste à gauche

    Face à un tel défi, la gauche semble manquer cruellement d’arguments, au point qu’elle donne l’impression de se réfugier dans une forme de déni du réel, en mettant en cause par exemple l’usage que fait l’extrême-droite de ces événements plutôt que les faits eux-mêmes!
    Or il ne faut pas s’y tromper, il s’agit d’un événement-clef, surtout à l’heure où les forces de gauche peinent, dans la plupart des pays d’Europe, à convaincre du bien-fondé de leur programme économique –du moins de ses différences avec celui des partis de droite. Les questions de société et identitaires étant devenues d’autant plus déterminantes pour l’ensemble des forces politiques depuis que les électeurs, tout particulièrement à gauche, ne font plus confiance à leurs dirigeants pour résoudre les difficultés économiques et sociales qu’ils connaissent (chômage, pouvoir d’achat, impôts…)– et évidemment depuis qu’une partie des électeurs privilégient nettement ces thématiques dans leur choix des partis populistes d’extrême-droite.
    Pour une majeure partie de la gauche, tout spécialement en France, ces événements pourraient bien marquer, plus encore que les attentats, la fin des illusions du multiculturalisme et, avec lui, de la possibilité même d’envisager une stratégie politique reposant sur l’alliance des minorités partie-prenantes de ce multiculturalisme –stratégie que l’on connaît depuis 2011 sous le nom du think tank «progressiste» Terra Nova.
    Pour une majeure partie de la gauche, ces événements pourraient bien marquer, plus encore que les attentats, la fin des illusions du multiculturalisme
    On avait déjà compris, à l’occasion de certaines réactions d’associations et de familles musulmanes à l’occasion du débat sur le mariage pour tous ou de la querelle autour des «ABCD de l’égalité» dans les écoles en 2012-2013, qu’une «coalition progressiste» regroupant les «dominés» ou les «discriminés» serait difficilement réalisable dès lors que cela concernait des questions dites de société ou de moeurs. Les intérêts et le rapport à l’identité étant trop éloignés d’une «minorité» à l’autre pour pouvoir constituer un projet politique commun.
    On pourrait bien finir par comprendre aujourd’hui, au sein de cette gauche multiculturaliste, que la défense de la cause des femmes (de leur émancipation, de leur liberté, et de leur égalité avec les hommes) est strictement incompatible avec certaines habitudes, conceptions ou représentations culturelles et religieuses, du moins sans un effort conséquent d’éducation et d’exigence vis-à-vis de ceux qui ne s’y conforment pas. Le fait que ces derniers soient, comme c’est le cas dans les événements du 31 décembre, issus de l’immigration et qu’ils soient de culture ou de religion musulmane, pose un gros problème à cette gauche, celui du choix entre deux «valeurs» essentielles à ses yeux: le féminisme d’une part, le respect des différences identitaires culturelles de l’autre.
    Les défis et bouleversements actuels pourraient ainsi représenter, pour cette gauche qui croit encore à la possibilité d’un multiculturalisme normatif, l’occasion historique d’une transition: de la défense d’un droit absolu à la différence identitaire comme fondement du «vivre ensemble» contemporain (au nom du respect des différences culturelles et religieuses notamment) à la promotion d’un droit à l’indifférence des individus dans l’espace public, quelle que soit leur identité. Dans le contexte français, une telle transition, un tel déplacement, permettrait assurément de faire revivre, par la gauche si l’on peut dire, un républicanisme trop souvent oublié ou fustigé en son sein. Et accessoirement, cela permettrait aussi aux forces politiques qui se réclament de la gauche de pouvoir à nouveau être audibles auprès de certains de nos concitoyens. Ceux qu’elle a, de longue date, perdus en raison de ses errements multiculturalistes. Si des drames que nous vivons pouvait sortir quelque chose de bon politiquement, une telle évolution en ferait assurément partie.

    Laurent Bouvet Slate :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVkAFyuAVvscjFDlo.shtml

  • Mensonge sur l’islamophobie

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    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Isabelle Kersimon, auteur du livre Islamophobie : la Contre-Enquête dénonce les chiffres falsifiés du collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). En effet, il semble que le rôle de ce collectif soit « D’alimenter le sentiment de persécution des musulmans par les non-musulmans et de faire entériner le concept d’islamophobie pour imposer l’interdit de “diffamer les religions, surtout l’islam”. Cette affirmation de la journaliste suit la déclaration de Bernard Cazeneuve qui affirme que les actes antimusulmans ont triplé en 2015. Le porte-parole du CCIF évoque des chiffres beaucoup plus élevés, ce qui semble étrange.

    Mais qu’est-ce qu’un acte islamophobe pour le CCIF ?
    Une question posée à une jeune femme voilée pendant un entretien à l’ANPE, des infractions relevant du simple droit commun, des propos jugés insultants voire des expulsions de prédicateurs violemment antisémites et appelant au djihad contre l’Occident : voilà ce qu’est un acte islamophobe selon le collectif. Le CCIF voudrait accréditer la théorie selon laquelle l’islam serait plus touché que les deux autres religions monothéistes. On assisterait ainsi à une sorte de “concurrence victimaire”.

    Qu’advient-il des Chrétiens et des Juifs ?
    La journaliste constate que les chiffres sont aveugles et ne prennent pas en compte la gravité des infractions, toutes mises sur un même pied d’égalité. Le ministre de l’Intérieur note que les attaques antisémites ont diminué de 5 % en 2015. En revanche, les attaques chrétiennes ont augmenté de 20 % et les chiffres n’ont pas été falsifiés ! Derrière ces statistiques et ces mensonges se cache cependant une réalité inquiétante : l’État est incapable de répondre aux attaques antireligieuses quelles qu’elles soient et trouve pour seule réponse une laïcité utopique.

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    http://fr.novopress.info/

     

  • Big Brother Facebook lutte contre les messages « extrémistes »

    Critiquée par le gouvernement allemand pour « négligence » dans la lutte contre « la propagation des discours de haine », qui ont suivi l’afflux de 1,1 million de clandestins en Allemagne depuis l’été, Facebook s’est engagé à agir.
    Facebook a donc lancé lundi une opération intitulée « Initiative pour le courage civil en ligne », à Berlin. Doux euphémisme pour qualifier la répression du « politiquement correct. »
    Facebook veut non seulement modérer les propos, mais aussi mobiliser la société civile. La société promet un million d’euros, pour soutenir les ONG luttant « contre le racisme et la xénophobie ». Facebook a annoncé avoir fait appel aux services d’une filiale de l’éditeur allemand Bertelsmann pour surveiller et effacer les messages « racistes » publiés sur sa plate-forme en Allemagne.
    « Big Brother » nous regarde vraiment.

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  • Syrie: violents combats entre le régime et l'EI, une centaine de morts

    De violents combats se déroulaient samedi dans le nord et l'est de la Syrie où les forces du régime, soutenues par les frappes russes, affrontent le groupe Etat islamique (EI) qui a tué au moins 75 combattants progouvernementaux.
    Ces soldats syriens et combattants de milices prorégime ont trouvé la mort lors d'une attaque revendiquée par le groupe jihadiste sur plusieurs quartiers de Deir Ezzor (est) et ses environs.
    Dans la province d'Alep (nord), au moins 16 combattants de l'EI ont été tués dans une attaque avortée contre une position du régime près de la ville d'Al-Bab, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
    La télévision d'Etat syrienne a également rapporté que les forces du régime avaient repoussé une offensive dans la région.
    Selon l'OSDH qui dispose d'un large réseau d'informateurs en Syrie, des avions russes effectuaient des frappes dans la région entre l'aéroport militaire de Koueiris, contrôlé par le régime, et Al-Bab, dans le nord-est de la province.
    Au cours des derniers jours, les forces prorégime ont progressé vers Al-Bab, un bastion de l'EI, en reprenant plusieurs villages aux alentours. Elles se trouvent désormais à moins de dix kilomètres de cette ville, une distance qu'elles n'avaient plus atteinte depuis 2012.
    Située à 30 km au sud de la frontière turque, Al-Bab est tombée aux mains des rebelles en juillet 2012 puis de l'EI en novembre 2013.
    Les combattants prorégime tentent notamment de couper l'accès des rebelles à Alep, la deuxième ville de Syrie, qui est divisée entre quartiers ouest contrôlés par le gouvernement et quartiers est sous contrôle rebelle.
    "A travers cette opération, l'armée tente d'élargir sa zone de sécurité autour de la ville" d'Alep, et d'empêcher les rebelles de se réapprovisionner depuis les environs, a expliqué à l'AFP une source de sécurité.
    Selon un commandant des forces progouvernementales, le régime se bat actuellement sur sept fronts différents dans la province d'Alep.
    Le régime espère aussi affaiblir l'EI qui contrôle une partie de la province, voisine de celle de Raqa, dont le chef-lieu est la capitale de facto du groupe jihadiste.
    "Les forces du régime ont un plan précis pour couper le territoire que contrôle l'EI dans la province d'Alep de celui qu'il contrôle à Raqa", a souligné Rami Abdel Rahmane, le directeur de l'OSDH.
    Dans la ville de Raqa, "au moins 16 personnes ont été tuées, dont des civils, et 30 ont été blessées dans huit raids qui ont visé des quartiers de la ville et ses alentours", a-t-il ajouté, sans préciser si les frappes ont été menées par l'aviation russe ou la coalition internationale menée par Washington.
    - 'Lourdes pertes' -
    En difficulté l'été dernier, les forces de Bachar al-Assad ont repris l'offensive depuis le début le 30 septembre de l'intervention de la Russie, fidèle allié de Damas, qui a depuis mené des milliers de frappes aériennes.
    Certaines opérations ont rencontré un réel succès, à l'image de la prise de Salma, quartier général des rebelles islamistes et du Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, dans les montagnes de Lattaquié (nord-ouest).
    Mais l'EI reste capable d'infliger des défaites au régime et a revendiqué dans un communiqué une "vaste attaque" menée samedi sur plusieurs fronts dans la ville de Deir Ezzor, affirmant avoir pris le contrôle de la banlieue Al-Baghaliyeh.
    Selon l'OSDH, l'offensive déclenchée par un attentat suicide à la voiture piégée, a tué 75 soldats et combattants de milices progouvernementales.
    L'ONG affirme que l'organisation jihadiste a avancé dans le nord de la capitale divisée de la province pétrolière du même nom et contrôle désormais environ 60% de l'agglomération.
    L'agence officielle syrienne Sana a de son côté évoqué "un massacre" et des "dizaines de civils tués" à Al-Baghaliyeh, une banlieue de Deir Ezzor.
    Le régime contrôle toujours des portions de la capitale provinciale ainsi qu'un aéroport militaire à proximité, malgré les attaques répétées de l'EI.
    Depuis le début en mars 2011 de la guerre civile en Syrie, devenue de plus en plus complexe avec une multiplication des acteurs, 260.000 personnes sont mortes et des millions ont été poussées à la fuite.
    Le Conseil de sécurité de l'ONU a réclamé vendredi la levée des sièges des villes qu'il a qualifiés de "tactique barbare" et de "violation grave du droit international".
    Après des mois d'attente désespérée, les habitants de Madaya, ville assiégée près de Damas, ont reçu cette semaine une aide internationale humanitaire d'urgence.

    afp via nouvel obs :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_mondialisme/EuVFpEyEEAPVrzMgKF.shtml

  • Parlement européen : quotas obligatoires d’immigrés dans tous les États

    Le voici enfin ! Le grand rapport sur l’immigration (en novlangue, « rapport d’initiative stratégique sur la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’Union européenne vis-à-vis des migrations », destiné à définir « la position officielle du Parlement européen sur l’immigration ») confiée à Kashetu Kyenge, l’ancienne clandestine devenue politicienne de gauche en Italie, et à la maltaise Roberta Metsola (du Parti populaire européen, le groupe censément conservateur où siègent les « Républicains » — UMP) est enfin prêt. Il sera discuté dans les prochaines semaines à la commission « Libertés publiques » du Parlement européen, et en séance plénière en mars ou avril.

    « Le rapport,comme l’explique fièrement Kyenge, a une approche globale et pas seulement sécuritaire et en termes d’urgence ». Outre des dispositions tristement prévisibles, comme « un mécanisme européen permanent de recherche, de sauvetage et d’assistance des migrants en péril », pour aller chercher en mer toujours plus de clandestins, la principale nouveauté est d’introduire des quotas. Mais attention, pas des quotas pour limiter le nombre d’immigrés, mais au contraire pour l’augmenter encore.

    Kyenge a fièrement expliqué ce beau mécanisme devant les caméras. Chaque État européen se verra attribuer un quota obligatoire de « migrants ». Une fois qu’un État aura atteint son quota, on enverra les « migrants » dans les autres États. Et lorsque tous les États ont leur quota ? Eh bien, « on retourne au premier pays qui a déjà atteint son seuil » et on lui colle un nouveau quota. Et ainsi de suite, jusqu’à extinction – la nôtre, bien entendu. C’est ce que la Congolaise la plus célèbre d’Italie appelle « le principe de la solidarité et du juste partage des responsabilités ». En d’autres termes, l’organisation planifiée de l’invasion.

    http://fr.novopress.info/197259/parlement-europeen-quotas-obligatoires-dimmigres-les-etats/

  • Enquête sur la fermeture des frontières après les attentats de Paris

    Après les attentats de Paris, François Hollande fait une importante annonce à la télévision : le pays va fermer ses frontières. Cette information est reprise dans la plupart des grands médias parisiens. Quelques heures plus tard, le premier Ministre, Manuel Valls, et Bernard Cazeneuve, le Ministre de l’Intérieur confirmeront l’annonce du chef de l’Etat : « On va fermer les frontières et mobiliser toutes les forces possibles ». On annonce également l’embauche de milliers de personnes pour faire face à la situation.

    Fermeture des 3.000 km de frontières ?

    L’objectif est clair : plus un seul terroriste ne doit pouvoir franchir le territoire pour y organiser une nouvelle attaque. Mais la France, qui possède près de 3.000 kilomètres de frontières avec la Belgique, l’Allemagne, la Suisse, l’Italie et l’Espagne notamment, a vu fondre ses effectifs douaniers depuis ces 20 dernières années. Le constat est le même pour ce qui est de ses effectifs de police pour « raisons budgétaires », et on ne parle pas de la réduction considérable des armées. Depuis les accords de Schengen qui ont vu tomber les frontières, les infrastructures de protection ont disparu, les unes après les autres. Alors, le pays est-il en capacité de pouvoir, réellement, fermer ses frontières ? C’est ce que vous allez découvrir dans ce reportage qui vous entraine du nord-est de Lyon, à Menton, le sud-est des Alpes Maritimes.

    Reportage : Armel Joubert des Ouches pour Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/

  • Attentats : Marion Maréchal-Le Pen demande des précisions à Bernard Cazeneuve

  • Merkel dans l’impasse ?

    Si l’Allemagne est la locomotive de l’Europe, peut-être serait il temps de détacher les wagons...

    Est-ce que ça va durer ?

    Il n’est pas un débat politique, et plus particulièrement en période électorale, sans qu’au moins l’un des interlocuteurs ne cite l’Allemagne comme exemple économique d’une société dynamique à suivre. Il est vrai que quand la France se désindustrialisait, l’Allemagne renforçait, rénovait et renouvelait son tissu industriel. Sa croissance est plus élevée que chez nous (ce qui n’est pas difficile), son taux de chômage peu élevé et sa balance extérieure excédentaire. [...]

    Olivier Perceval - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Merkel-dans-l-impasse