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Le faiseur de rois milliardaire d’extrême gauche George Soros a versé plus de 15 millions de dollars depuis 2016 à des groupes à l’origine des manifestations pro-palestiniennes de ce mois-ci, où les manifestants ont ouvertement applaudi les lâches attaques terroristes des militants du Hamas contre Israël.
Cette semaine, un député Renaissance veut lutter contre l’islamisme… mais pas trop, Jean-Luc Mélenchon a le soutien de Rivarol et Antoine Léaument sort son pun’s d’immunité !
Retrouvez, chaque vendredi, le meilleur des perles politiques de la semaine !
Depuis le 19 octobre, des dizaines de visites domiciliaires dans le milieu des islamistes radicaux se sont révélées fructueuses. Seule une minorité des étrangers mis en cause pourra être expulsée.
Au lendemain de l’assassinat de Dominique Bernard, les préfets et les services de l’État sont mobilisés pour identifier les « profils dangereux ». Il ne s’agit pas tant de ceux qui figurent dans la catégorie S que dans le fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste qui collecte les profils d’islamistes radicaux. Du jeudi 19 au samedi 21 octobre, la police judiciaire s’est déployée tous azimuts pour mener des « visites domiciliaires ».
Dans une vidéo virale sur les réseaux sociaux depuis l’attaque du Hamas, Mahmoud al-Zahar, un des principaux chefs du Hamas, souhaite que «la planète entière» soit sous la loi islamique.
«Il n’y aura plus de juifs ni de traîtres chrétiens».
Le Hamas n’a pas grand chose à voir avec l’OLP d’Arafat, lequel était marié à une chrétienne. L’objectif n’est pas vraiment la libération de la Palestine et donc la création, comme formulée par Macron, d’un Etat à part entière. L’idéologie est celle de Daec’h et d’Al Qaïda. Rien à voir avec un mouvement de résistance…
Chaque mercredi, « Éléments », avec François Bousquet, est partenaire de Ligne droite, la matinale de Baudouin Wisselmann, sur Radio Courtoisie. Aujourd’hui, ils reçoivent Jacques Baud, ancien colonel de l’armée suisse et auteur de « Vaincre le terrorisme djihadiste » aux éditions Max Milo. Malgré les grandes discours de nos gouvernants et des opérations policières surmédiatisées, le terrorisme islamiste ne cesse de frapper et de prendre de l’ampleur.
Les gendarmes de l’Eure ont saisi un imposant arsenal chez un homme de 39 ans, résidant aux Andelys (Eure), selon un communiqué de la gendarmerie nationale. La cellule renseignements a été mise en alerte en raison du “comportement suspect de cet individu, acheteur de plusieurs armes sur un site internet de vente en ligne”.
« Sinon… ce sera la guerre sur notre sol » : l’alerte a été lancée, ce lundi matin sur Europe 1, par l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler. Si rien n’est fait pour contrer les Frères musulmans, qui visent à instaurer une société islamique mondiale (califat) en rassemblant la communauté des croyants (l’Oumma), la chercheuse prévient : « Ce qui s’est passé le 7 octobre (l’attaque du Hamas contre Israël) arrivera ici ». L’auteur de l’enquête sur « Le frérisme et ses réseaux » (Odile Jacob) n’est pas la première à sonner le tocsin. Mais la perspective d’une guerre civile se précise pour qui veut bien observer la fracture qui s’installe entre deux France, deux cultures, deux civilisations, deux modèles de société : un France laïque et démocratique, contre une France islamisée et totalitaire.
Les médias de service public ne déçoivent jamais. Même dans le contexte actuel de massacres commis par le Hamas en Israël et d’une menace djihadiste maximale en Europe, une bonne partie des journalistes français parviennent encore à exonérer l’islamisme. C’est plus fort qu’eux. Pointer l’idéologie qui motive tant d’attentats est au-dessus de leurs forces. Prendre des mesures contre les étrangers radicalisés choque leurs sacro-saintes « valeurs républicaines ».
La Commission européenne subventionne des organisations proches du groupe terroriste, du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) et des Frères musulmans.
Depuis l’attaque terroriste sans précédent du 7 octobre 2023 contre la population israélienne, les Gouvernements européens hésitent à suspendre tout ou partie des subventions européennes versées à l’Autorité palestinienne. Rien qu’entre 2021 et 2023, cela représente 691 millions d’euros.
Macron sera en Israël, ce mardi 24 octobre. Bien tard. Il est probable, malheureusement, que le monde entier s’en moque comme d’une guigne… mais il est cependant possible que le président de la République nous déçoive quand même. Jordan Bardella rappelait, dimanche, sur Europe 1 et CNews (dans « Le Grand Rendez-vous »), que notre Président avait réussi le tour de force de se mettre à dos à la fois le Maroc et l’Algérie, ce qu’aucun chef d’État français avant lui n’avait réussi à faire. Il y a fort à parier qu’il a le talent nécessaire pour se brouiller à la fois avec le monde arabe et avec le gouvernement israélien. À la fois vibrionnant et totalement inutile, dans une version renouvelée de la mouche du coche, il fera probablement quelques selfies et publiera un ou deux tweets en hébreu ou en arabe, et la France continuera de couler. Même si rien n’est perdu, même si nous sommes condamnés à l’espérance, entre une opposition islamo-gauchiste désormais totalement revendiquée, une jeunesse immigrée qui déteste notre pays et un exécutif complètement aux fraises, il y a peu de raisons de se réjouir pour démarrer la semaine, alors que la précédente a mal fini.