En matière de recrutement, « les entreprises n’ont pas eu beaucoup le temps de souffler entre la pandémie de Covid-19 et la crise actuelle. Des secteurs comme le médical, l’informatique, l’ingénierie manquent cruellement de personnel. La seule option pour certains profils est d’aller les chercher dans d’autres pays », explique Olivier Desurmont, président et cofondateur d’Anywr (anciennement Cooptalis), spécialiste du recrutement et du placement de candidats, qu’ils soient en free-lance ou salariés, dans le monde entier.
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Emploi : Des entreprises françaises utilisent des cabinets spécialisés pour embaucher au Maghreb
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Pierre Vermeren : «Je n’aime pas cette expression “les Français ne veulent plus faire certaines tâches” . En Ile-de-France, les classes populaires ont été chassées.»
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Plus de 20% des travailleurs en Ile-de-France sont immigrés, selon une étude de l'INSEE
Une étude statistique de l'Insee révèle que plus de 20% des travailleurs en Île-de-France sont immigrés.
"L'Ile-de-France occupe une place particulière en matière d'emploi des travailleurs immigrés, ne serait-ce qu'en termes de volumes, puisqu'ils représentent 22% de la population active de la région", précise e chef du service régional de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). C'est deux fois plus que pour le reste de la France métropolitaine.
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« Bruno décrouvre un risque majeur pour l’industrie française dont la production chute de 10% ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Haaaaa, notre Steve Austin en col roulé, notre lumière du ministère, notre phare dans le cauchemar économique, notre vedette de la dette vient de parler.
Il vient d’entrevoir la lune, je dis bien entrevoir, parce que notre Bruno n’a pas encore franchi le Rubicon, son Rubicon.
Je l’aime notre Bruno. On sent bien qu’il a tout compris le pauvre bougre et qu’il est coincé de tous les côtés. Manu, Babeth-la-doudoune, sans oublier la Cruelle von-der la hyène, qui veut faire la guerre au monde entier. Pas facile de composer avec tout ça. Mettez-vous à sa place 30 seconde. Zut, quoi, faites preuve d’empathie.
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« Réveillez-vous ! L’écosystème industriel hexagonal est en danger ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je le dis et je le répète depuis des semaines.
Si nous ne devions sauver qu’une catégorie d’acteurs économiques et que nous devions choisir entre les entreprises et les particuliers, la logique et le bon sens voudraient que l’on choisisse non pas de sauver le chauffage des particuliers mais l’énergie des entreprises.
C’est très simple finalement et très rationnel.
Si nous sauvons les particuliers au détriment des entreprises qu’on laisse mourir, en quelques mois c’est tout l’écosystème industriel et productif de ce pays qui va disparaître. Puis les particuliers seront massivement mis au chômage. Puis face au nombre de faillites d’entreprises, le coût du chômage explosera, les cotisations sociales disparaitront, les caisses de l’Etat se videront à vitesse grand V. Au bout d’un an, l’Etat ne pourra plus payer le chauffage des particuliers, qui auront froid ET seront en plus au chômage.
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On ne vous le dit pas. L’industrie européenne en pleine destruction
Ce qui se passe actuellement en Europe est effrayant.
Alors que l’on parlait de « relocaliser » c’est exactement l’inverse qui se produit, à un rythme qui n’est pas terrible, non, c’est un rythme qui est tellement rapide que nous assistons à la destruction de ce qu’il restait d’industrie en Europe.
Voici une vidéo courte à voir pour comprendre la profondeur et la gravité de la situation.
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Flambée des prix de l'énergie : agriculteurs, industriels et supermarchés alertent d'une même voix sur le risque pour la filière alimentaire
Les fédérations d'agriculteurs (FNSEA, Coopération agricole), des industriels de l'agroalimentaire (ADEPALE, ANIA, ILEC, FEEF), des grandes surfaces (Perifem) ont parlé jeudi d'une seule voix pour lancer un «appel au secours» concernant la «hausse disproportionnée des coûts de l'énergie» pour les entreprises, alors que le gouvernement présente jeudi son plan de sobriété.
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[Grand entretien] Dimitri Pavlenko : Le drame du pouvoir d’achat et de la désindustrialisation
Marc Baudriller. Les auditeurs et les téléspectateurs vous connaissent. Vous animez la matinale d’Europe 1, vous participez à « Face à l’info » sur CNews et vous publiez Combien ça va nous coûter ? aux Éditions Plon. Tout d’abord, une question personnelle : comment vous organisez-vous au quotidien pour être sur tous ces fronts à la fois ?
Dimitri Pavlenko. Le rythme de vie d’un matinalier est précis. On se lève vers 2 h 30–3 h 00 du matin, certains de mes collègues se lèvent encore plus tôt que moi, on arrive assez tôt à la radio. Bien entendu, le soir, on ne fait pas de vieux os, le week-end non plus, car on récupère de la semaine. Et puis, on fait une sieste dans la journée. Cela permet de lisser le temps de sommeil sur la semaine. Les études disent que l’important est de cumuler un certain quota d’heures de sommeil sur la semaine. Si vous dormez 8 à 10 heures le week-end et 6 ou 7 heures le reste de la semaine, ça va ! Malgré tout, on vit avec une dette de fatigue permanente.
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Se former au travail au XXe siècle, avec Stéphane Lembré
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« Pour baisser l’inflation, monter le chômage. Les banques centrales nous attaquent ! » L’édito de Charles SANNAT
par 26 Sep 2022 | |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
« En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »
Cette remarque que l’on pourrait qualifier aujourd’hui d’éminemment complotiste n’est pas de moi mais de Franklin Roosevelt.
L’idée c’est que les choses n’arrivent pas par hasard et c’est objectivement assez vrai. Il y a bien des coups de chance et des fautes à pas de chance, mais globalement si je travaille bien et que j’apprends bien mes leçons, généralement, les notes sont bonnes. Quand on ne fiche rien, généralement elles sont mauvaises. Les choses n’arrivent nettement pas hasard quand on y pense bien.
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