Lettre à notre Sandrine nationale qui est encore allée faire un popo vert sur les agriculteurs !
Sandrine, depuis que je t’ai rencontrée un beau jour de manifestation pro-migrants devant l’Assemblée nationale – où tu m’as souri comme une évadée de quartier de haute sécurité mentale –, tu occupes tous mes vilains scénarios du soir. C’est bien simple, je suis comme Jean-Pierre Marielle dans le film Calmos de Bertrand Blier, à chaque fois que je pense à toi je suis obligé de me surveiller !