La « révolution du bon sens », dont s’est réclamé Donald Trump lundi dans son discours d’investiture, est une hérésie pour les idéologues au pouvoir, emmurés dans leurs croyances. Cette rupture blasphématoire s’annonce néanmoins historique. Elle a pris pour cible, dans l’immédiat, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et les Accords de Paris sur l’urgence climatique, qualifiés d’ « escroqueries » par le président des Etats-Unis. Vont être remises en question, spectaculairement cette fois, les affirmations « scientifiques » prédisant l’apocalypse sanitaire ou climatique si les peuples ne se soumettent pas aux normes et aux vérités d’organisations supranationales. Jusqu’à présent, la contestation de cette politique anxiogène était abaissée à l’étiage du « complotisme ».
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Santé, climat : ces marchands de peur visés par le trumpisme
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Les promoteurs du programme sanguinaire et meurtrier de l’avortement
Dans son discours au forum de Davos, Javier Milei a déclaré aussi :
Cependant, lorsque l’on affirme que la Terre a déjà connu cinq cycles de changements brusques de température et que, dans quatre d’entre eux, l’homme n’existait même pas, on nous traite de « terraplanistes » afin de discréditer nos idées, sans tenir compte du fait que la science et les données sont de notre côté.
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Liberté d’expression en Allemagne : Zakharova tacle Scholz suite à ses propos à Davos
La porte-parole de la diplomatie russe a réagi le 21 janvier aux déclarations faites à Davos par Olaf Scholz concernant la liberté d’expression en Allemagne. La diplomate a notamment mis en avant le cas des médias russes dont les activités ont été restreintes dans le pays.
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Les statistiques ethniques contre l’omerta…
Le cas du Havre évoqué sur une radio d’information. La ville d’Edouard Philippe est devenue la porte d’entrée de la drogue en Europe, avec des pratiques qui confinent à celles d’un pays en voie de développement : intimidation et meurtre de dockers, pression sur des témoins à charge en plein tribunal. Et la cadre de la lutte, quand on lui demande le profil des contrevenants, se perd en paraphrases : « Le profil habituel », « des profils importants pour les services de police et de justice »… mais encore. On n’a pas le droit. Et Piolle, le maire de Grenoble, l’un des premiers concernés, enchaîne sur le même sujet, alors que sa ville est devenue un genre de Chicago, où il ne maîtrise plus trop la situation. Il paraphrase lui-aussi : il peut encore aller partout, mais le dialogue est devenu difficiles dans certains endroits, où justement, sévissent les dealers. Mais selon Piolle, il n’y a pas de coupable, il n’y a que des jeunes « fracassés », des familles « éplorées », des services sociaux qui n’ont pas fait leur travail, ou qui peinent, faute de subsides… ben voyons. Des coupables ? Oui, les grands cartels de la drogue, en fait personne donc, c’est loin, c’est impalpable, un cartel international. Que propose-t-il ? La légalisation. Ben voyons, encore une fois. Pendant qu’il y est il peut aussi proposer la légalisation du viol et du meurtre, ça évitera que les services de maintien de l’ordre se cassent la tête. Lui non plus ne nomme pas, parce que c’est impossible légalement, même si tout le monde a compris de qui on parlait. On mesure à quel point l’État s’est donné tout seul des contraintes destinées à éviter que l’on nomme les gens, les coupables… et cela profite largement aux voyous, qui savent qu’on ne les nommera pas et que leur faute sera répartie sur l’ensemble de la population, par correction politique.
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L’apocalypse n’est pas encore arrivée
“Le changement climatique” a été identifié : il s’agit d’un homme de 28 ans originaire de Reseda, vêtu d’un sweat à capuche noir et tenant un briquet et des allumettes. – Peach Keenan
« La vie imite l’art », disait Oscar Wilde, un aperçu très perspicace de la condition humaine sous la forme d’une plaisanterie. Très hollywoodien. Dommage qu’il n’y avait pas de talk-show de fin de soirée à l’époque d’Oscar. Il aura fallu attendre plus de quatre-vingts ans, mais l’incendie apocalyptique de Los Angeles décrit au point culminant du roman de Nathanial West, Le jour de la sauterelle, paru en 1939, est enfin arrivé : la ville des rêves s’est transformée en un gigantesque cauchemar flamboyant. Les répercussions de ce fiasco assombriront notre vie nationale pendant des années.
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Crise de panique chez les gauchistes
Ces idéologues ne font pas dans la nuance et enchaînent les fakes news. Ainsi Libé nous offre un festival de mauvaise foi :
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Stop au mythe des immigrés dévoués et des Français fainéants !
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L’administration Trump supprime le site Web pro-avortement du ministère de la Santé dès le premier jour
Un site Web du gouvernement fédéral proposant des ressources pour aider les femmes à obtenir un avortement a été fermé le premier jour de la deuxième administration Trump, ce que les pro-vie considèrent comme un signe d’espoir pour le nouveau ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS).
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Blocage à Rennes 2 : les assos de gauche sèment (encore) le chaos
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« La théorie du cheval mort pour comprendre ce qui arrive à nos élites ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La théorie du cheval mort est une petite histoire qui semble venir d’un conte des Indiens d’Amérique semble-t-il du Dakota, ne m’en demandez pas plus je n’ai pas de grosses connaissances en Indiens d’Amérique.
Bref, la légende dit assez justement d’ailleurs, que quand le cheval que tu montes est mort, il vaut mieux en descendre… Logique.
Cette histoire permet en réalité d’évoquer ceux qui ne veulent pas reconnaître que le cheval est mort… ce que l’on appelle le déni.