En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
En France, on cause. On n’agit plus. C’est le propre des époques de déclin. Les Byzantins, nous dit-on, spéculaient sur le sexe des anges pendant que les mahométans les encerclaient. Mais Byzance avait quand même duré 1 000 ans. Il n’est pas sûr que nous fassions aussi bien désormais pendant que nous dissertons, nous, sur la réalité du sexe des hommes. Car nous sommes descendus en dessous de la ceinture.
Il faut en venir à la racine du risque existentiel devant lequel nous sommes désormais placés : ce sont les idées humanistes qui nous détruisent, les idées progressistes, égalitaristes et universalistes, les idées de gauche en somme. Elles exercent une hégémonie sur toute la société : sur les dirigeants, sur la majorité de l’opinion, et même sur leurs adversaires, la droite et l’extrême droite, qui les reprennent malheureusement trop souvent à leur compte (voir cette chronique). Elles inspirent la plupart des politiques conduites depuis cinquante ans. Ce sont elles qu’il faut combattre, enfin, de façon frontale.
Toutes les années, la querelle rebondit concernant les crèches de Noël, singulièrement à Béziers où le maire, Robert Ménard, persiste à installer la sienne dans l’espace de son hôtel de ville. Il est, d’ailleurs, pour cela plébiscité par la population, quelles que soient ses origines. Toutes les autorités religieuses, même musulmanes, assistent à son inauguration, et il n’est pas rare de voir des femmes voilées expliquer à leurs enfants la symbolique de la Nativité. Cela n’empêche pas la Ligue des droits de l’homme de réitérer depuis onze ans son opposition, en invoquant une atteinte au principe de laïcité et à l’obligation de neutralité du service public.
L’homosexualité, la liberté pour les LGBT sont devenues des poncifs du débat public. Il serait mauvais de s’y opposer. Ce serait même la marque d’un esprit étroit et toute personne ouverte intellectuellement développée se devrait de favoriser l’expression LGBT.
La garde à vue de l’homme soupçonné d’avoir agressé trois femmes sur la ligne 3 du métro parisien, vendredi, a été levée pour raison psychiatrique, indique ce samedi soir le parquet de Paris. Il a été conduit à l’infirmerie psychiatrique.
L’obsession du contrôle de l’information n’a jamais constitué une dérive accidentelle du pouvoir politique dans nos démocraties post-modernes ; elle en est l’horizon naturel dès lors qu’un régime ne parvient plus à convaincre par la seule force de son discours. La récente volonté d’Emmanuel Macron d’instaurer une « labellisation officielle » des médias s’inscrit précisément dans cette logique. Présentée comme une simple mesure technique, presque sanitaire (à laquelle nous a habitués le locataire de l’Élysée depuis 2020), destinée à protéger les citoyens contre la désinformation, elle constitue en réalité l’expression la plus aboutie de la tentation libérale-autoritaire du macronisme : une idéologie politique intimement persuadée que la vérité et la rationalité résident en elle, et que toute parole lui échappant ne peut relever que du complotisme, de la manipulation ou, pire encore, de la passion populaire.
Richard Ferrand, président du Conseil constitutionnel et cacique du régime macroniste, paiera-t-il un jour le prix de sa forfaiture ?
À sa sortie de prison, l’agresseur malien des trois femmes blessées vendredi dans le métro parisien avait fait l’objet d’une OQTF et avait été placé en centre de rétention administrative (CRA), où il n’avait pu être maintenu que 90 jours.
Quand on écoute les socialauds, la main sur le cœur et la bouche en cul-de-poule, ils vous racontent qu’ils sont pour les idéaux de la Révolution française et de la République, et bien sûr contre les privilèges. Sauf les leurs !
On se demande encore ce que la gauche va bien pouvoir inventer après l’attaque au couteau dans le métro parisien, par un OQTF d’origine malienne, déjà connu de la police pour des faits similaires ? On rappelle que par mesure de précaution, quand une vache a une maladie bénigne, on abat sans sommation tout un troupeau de bêtes saines. Non pas qu’il faille abattre ces gens mais à tout le moins, le principe élémentaire de précaution serait de ne pas les laisser entrer plus longtemps dans notre pays. Les immigrationnistes vont nous servir leur éternel refrain : « Ils ne sont pas tous comme ça ». Oui, et ceux qui le sont justifient qu’on les laisse faire ? Mais on ne les laisse pas faire vous diront-ils encore. Si justement, on les laisse faire, parce qu’il faut bien analyser l’attitude de notre gouvernement. Il laisse entrer à gros bouillon des gens dont on sait qu’une partie d’entre eux sont vindicatifs avec la population générale et surtout avec la population de type caucasien, il veille à ce que les peines prononcées en cas de jugement ne soient pas trop dures, afin disent les magistrats, de « leur laisser une chance de s’intégrer ». Le même état nous prive de tout mode de calcul qui pourrait permettre justement de savoir combien de ces gens sont des meurtriers en puissance, en interdisant les fameuses statistiques ethnico-religieuses que nous réclamons au RPF. Comme ce même état intervient en cas de maison squattée, non pas pour en virer les occupants illégaux, mais pour les protéger des foudres d’un propriétaire qui aurait l’outrecuidance de vouloir reprendre son bien par la force.