
Pour Guy Mollet, patron de la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière, ancêtre du Parti socialiste), cela ne faisait aucun doute, comme il l’avait affirmé avec force à Béthune, en 1957. Les choses ont-elles vraiment changé ?
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Plus chaud SUR TOUTE LA PLANETE
Les archéologues et les historiens, en s’appuyant sur des preuves matérielles et textuelles, soutiennent souvent que l’OCR optimum climatique romain a eu un impact plus large, potentiellement global, en raison des indices suivants :
• Prospérité agricole et expansion : En Europe, en Afrique du Nord et dans certaines parties de l’Asie, la période romaine coïncide avec une expansion agricole notable. Par exemple, la culture de la vigne dans le nord de l’Angleterre (zones aujourd’hui trop froides pour cela) et la production céréalière intensive en Afrique du Nord (le «grenier de Rome») suggèrent des conditions climatiques favorables, potentiellement plus chaudes et humides. Ces observations sont documentées dans des textes romains (par exemple, Pline l’Ancien) et des études archéobotaniques.
Il devient difficile, en France, d’exprimer une opinion sans se voir immédiatement attribuer un qualificatif honteux. Un stratagème classique de la bien-pensance pour intimider les dissidents et les esprits libres, et les faire taire.
Exprimez votre hostilité à l’invasion migratoire, et vous trouverez le gaucho de service qui vous qualifiera de raciste, voire de suprémaciste blanc.
par Orestis Nikiforou
Depuis son adoption, l’euro est présenté comme un symbole d’unité et de prospérité européenne. Pourtant, la monnaie unique ne profite pas à tous les États membres. Privés de souveraineté monétaire, certains pays sont enfermés dans une économie rigide, avec une croissance faible et un chômage élevé. Cet article analyse les enjeux démocratiques et économiques liés à la zone euro, remet en question le dogme «TINA» (There Is No Alternative), et explore les opportunités offertes par les monnaies numériques nationales et les initiatives monétaires innovantes.
Ah ! Ces grands soirs de la démocratie subventionnée où vingt associations, selon ceux qui savent compter sur leurs doigts, vingt-deux selon les manifestants, réussissent l’exploit de rassembler tout juste cinquante personnes sur une place du Pas-de-Calais pour protester contre Caroline Parmentier ! Un exploit d’autant plus remarquable que chacune de ces officines bénéficie d’un soutien étatique, régional, municipal ou bruxellois. Il y avait là le nec plus ultra du monde associatif sous perfusion, flanqué de drapeaux inclusifs, de slogans millésimés 1985 et de pancartes « IVG = liberté », bien évidemment brandies par les derniers survivants du mitterrandisme associatif. Un bel alignement de planètes pour un flop d’anthologie.
L’Observatoire de l’immigration et de la démographie révèle que l’immigration coûte 3,4 % du PIB français. Au-delà de cette révélation récente, fracassante, il faut analyser les choses avec lucidité. Les gens de terrain n’ont pas eu besoin de ce chiffre de l’OID pour se rendre compte que quelque chose n’allait pas. L’immigration ne financerait que 86% de ses coûts, le reste est à la charge des contribuables, aggravant les difficultés économiques. Et encore, l’estimation est basse, on va voir pourquoi. Il ne s’agit pas, bien entendu, de l’immigration en générale, ce que tout le monde a bien compris, mais d’une certaine immigration, essentiellement masculine, qu’il n’est pas besoin de détailler. Personne ne se plaignant des Hollandais qui viennent ouvrir des commerces artisanaux dans le Morvan.
Depuis quelque temps, des juges entonnent la complainte de Calimero, le célèbre poussin noir malchanceux : « C’est vraiment pas zuste. » Car on les accuserait à tort de laxisme, de partialité, d’obscurité et de lenteur, de prendre la place des gouvernants ou des législateurs. Non, ce n’est vraiment pas zuste, disent en chœur les nouveaux Calimero en manteau d’hermine ; car, eux, ils ont conscience de remplir au contraire parfaitement leur fonction de gardien du Système. Cruel malentendu !
Agnès Pannier-Runacher l’affirme. La ministresse de l’escrologie n’a que 51 ans. Et déjà le cerveau bien ramolli. À cause de la canicule ou du sucre en poudre comme la plupart des sinistres et des députains macronards-progressistes ? Son patron Fripounette donne le mauvais exemple. Comme lui, elle parle beaucoup pour dire n’importe quoi.
« Il faut s’adapter au réchauffement climatique. Un enfant qui naît aujourd’hui en France, dans un pays qui se réchauffe plus vite que le reste de la planète, c’est pas de chance, c’est géographique, il vivra dans un monde à + 4 degrés quand il aura 75 ans, en 2100. »
Dominique Galouzeau de Villepin se sent pousser des ailes de président, il les avaient déjà eues, mais pas les 500 signatures. L’homme aux cheveux bleus bon genre, de fière allure, se sent humaniste, voyez vous. Né en 1953 à Rabat, écrivain, diplomate et avocat, qui n’a donc jamais vraiment travaillé ni fréquenté le peuple, il fut entre autres, Ministre des Affaires étrangères en 2002, donneur de leçon aux Nations unies contre l’invasion de l’Irak en 2003. Il a mis en place l’état d’urgence à la suite des émeutes de 2005. Il fut aussi, l’homme du contrat première embauche, genre de truc au rabais pour les jeunes qui a fait descendre les gens dans la rue. Né à Rabat et passant la majeure partie de son enfance à l’étranger, en Afrique, aux États-Unis et au Venezuela… on peut douter de sa fibre patriotique.