Olivier Andriès, directeur général du groupe Safran, a annoncé qu’il refuserait désormais toute implantation industrielle dans des villes dirigées par des majorités écologistes. La décision fait suite à l’accueil hostile reçu lors de l’installation d’une fonderie à Rennes en février 2024, où certains élus écologistes locaux s’étaient publiquement opposés au projet.
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« Si c’est pour se faire accueillir par des tomates, ce n’est pas la peine » : Le groupe Safran ne veut plus investir dans les villes écologistes
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UE : Dix millions d’euros pour la propagande islamiste du « Coran européen »
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Rennes, symbole de l’écologie punitive : quand l’idéologie verte fait fuir les industriels (Safran)
Créer 500 emplois, redonner vie à une friche industrielle, investir 80 millions d’euros dans une usine high-tech respectueuse de l’environnement : sur le papier, le projet de Safran à Rennes cochait toutes les cases. Mais c’était sans compter sur la véritable guerre idéologique déclenchée par les élus écologistes locaux. Résultat : une fracture politique, un patron outragé… et un avertissement clair lancé aux autres villes gouvernées par les Verts.
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Vienne (38) : la Ville gèle 75 % des subventions d’une association pour manquement à la neutralité politique. Le maire reproche au Club Léo-Lagrange d’avoir relayé un message appelant à faire barrage au RN.
La Ville de Vienne a décidé, lors du conseil municipal du 14 avril 2025, de geler jusqu’à nouvel ordre la subvention annuelle du Club Léo-Lagrange, qui s’élevait à 150 000 € en 2024. Cette décision intervient après un courriel envoyé en juillet 2024 par l’association à ses adhérents, relayant un message de la Fédération Léo-Lagrange appelant à faire barrage au Rassemblement National lors des législatives. Le maire, Thierry Kovacs, a invoqué un manquement au devoir de neutralité des associations subventionnées .
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Origines et fins de l’idéologie antiraciste (1)
« De quoi l’antiracisme est-il ne nom ? », certes la formule est désormais éculée mais la pertinence du questionnement demeure. Et c’est à cette interrogation que tente de répondre Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue « Éléments », dans une série d’articles retraçant l’historique les tenants, les aboutissants et les non-dits de ce phénomène devenu une sorte de religion civile.
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Le COCO Ian Brossat s’attaque au co-living car il n’aime pas le co-dodo !!!
En quelques jours Ian Brossat candidat à la mairie de Paris pour achever de terminer la Capitale après le règne de notre Dame de Paris à savoir Anne Hidalgo, nous a gratifiés de la panoplie complète du parfait petit Coco qui veut faire de l’économie administrée.
Il va complètement détruire le marché immobilier déjà sinistré de la capitale française.
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Antisémitisme et christianophobie explosent, mais LFI traque… l’islamophobie
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"On a franchi un cap !" : quand la gauche s'attaque ouvertement aux journalistes - Hanane Mansouri
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Avec Mathilde Panot, les députés LFI sont tous devenus « les Putains de l’islam »
Montage réalisé dans l’esprit « Je suis Charlie », des fois que Mathilde et Manon aient de mauvaises intentions judiciaires…
Rappelez-vous, c’était au mois d’août 2019. À l’université d’été des Insoumis, Henri Pena Ruiz, surnommé le pape de la laïcité, créait le scandale en affirmant qu’on avait le droit d’être islamophobe. Ce professeur de philosophie, par ailleurs marxiste, est un homme pourtant très prudent sur l’islam, préférant, comme les francs-maçons, ne cibler que la seule religion catholique et ne pas évoquer l’islam, sauf pour faire les louanges, malgré ses origines espagnoles, d’Al-Andalus. Mais, interpellé par une participante, il n’avait pu s’empêcher d’émettre cette évidence : en France, il n’y a pas de délit de blasphème, et on a donc le droit de critiquer tous les dogmes, y compris l’islam. Cela avait provoqué un grand trouble, et les musulmans de service, derrière Taha Bouhafs, avaient qualifié le pauvre Henri de « raciste », lui qui avait passé sa vie à qualifier ainsi ce qu’il appelait l’extrême droite.
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L’UE libre-échangiste, un danger mortel pour la France !
L’UE vient de montrer sa couardise face à Donald Trump, von der Leyen souhaitant garder son sang-froid, et la nullité Stéphane Séjourné, vice-président de la Commission, nommé par Macron, écrivant sur X : « Aux entreprises, je veux dire une chose, restons calmes et prudents ». Nous voilà donc très mal partis car l’UE a finalement décidé de ne pas répliquer à l’augmentation des droits de douane par Trump. Cette décision de la suspension des surtaxes ne fait d’ailleurs pas l’unanimité au sein du comité des représentants permanents des Vingt-Sept car l’Europe est soumise à trois surtaxes douanières : 25 % sur l’acier, l ’aluminium, les automobiles et 10 % pour tous autres produits. La fermeté de la Commission, c’est donc du « bidon » ! L’UE « se couche » d’autant plus qu’elle insistait sur la nécessité de riposter…