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lobby - Page 1034

  • Des oligarques coupés de la réalité, par Guillaume de Thieulloy

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    La crise migratoire « les » rend fous – je veux, bien sûr, parler des oligarques de la caste jacassante qui racontent n’importe quoi.

    Le plus impressionnant, peut-être, tient dans le traitement de l’accord européen du 29 juin.

    À en croire la belle unanimité des médias français, grâce à l’opiniâtreté d’Emmanuel Ma­cron et d’Angela Merkel, la crise migratoire était, pour ainsi dire, résolue.

    En tout cas, l’accord marquait un premier pas dans la « bonne » direction.

    Inutile de dire que, compte tenu de l’orientation des médias politiquement corrects, cette annonce n’était pas vraiment de nature à me rassurer.

    D’autant qu’Emmanuel Macron se félicitait de la victoire de la « coopération européenne ».

    C’était tout simplement faux. L’accord en question marquait, en réalité, le triomphe du groupe de Visegrad, de l’Italie et de l’Autriche – sans parler d’Horst Seehofer, le ministre allemand de l’Intérieur qui est devenu le cauchemar de la chancelière.

    Il n’y a rien, dans l’accord, sur les fameux quotas, rien sur l’obligation d’accueillir les migrants. Tout est sur la base du volontariat. Mieux, les ONG, qui se substituent souvent aux passeurs sont explicitement visées dans le texte de l’accord.

    Le plus vraisemblable, c’est que cet accord ne serve à rien. Mais s’il devait effectivement s’avérer un « bon signal », comme l’a déclaré Mme Merkel, ce serait comme le signal de la fin de l’utopie mondialiste.
    Lentement, la « mondialisation heureuse » s’estompe et l’histoire reprend ses droits.

    Il est frappant, à ce propos, de voir se reconstituer sous nos yeux les vieux empires. L’Autriche, la Hongrie et l’ensemble du groupe de Visegrad, aidés de l’Italie et de la Bavière, reconstituent pratiquement le saint empire, dont l’unité s’est forgée par la lutte contre l’islam (naguère l’empire ottoman, aujourd’hui l’invasion migratoire).

    La Prusse de Merkel, allié traditionnel de la Turquie, tente en vain de freiner cette évolution.

    Le plus absurde est la politique de la France qui continue à soutenir ses adversaires.

    Jadis, les révolutionnaires n’a­vaient rien compris au renversement d’alliance de Louis XV qui, voyant la Prusse menacer, s’était rapproché de l’Autriche, et ils ont consciencieusement détruit ce renversement d’alliance, jusqu’à la funeste bataille de Sadowa qui préparait la naissance d’un nouveau Reich – lequel envahit trois fois la France en moins d’un siècle.

    Aujourd’hui, M. Macron s’obstine à soutenir Mme Merkel, dont les intérêts sont pratiquement contraires aux nôtres, au lieu de soutenir la Hongrie ou l’Autriche, nos alliés naturels.

    Mais, en matière de folie, l’Hi­malaya fut atteint avec le limo­geage de l’ambassadeur de Fra­nce en Hongrie, Éric Fournier.

    L’opération se fit en trois temps, comme une valse autrichienne. Tout d’abord, les trotskistes de Mediapart publièrent une note confidentielle de l’ambassadeur qui justifiait la politique de Viktor Orban.
    On se demande comment l’officine d’Edwy Plenel s’est procuré la note, mais on se doute que celle-ci n’a pas dû plaire à tous ses destinataires.

    Deuxième temps : Emmanuel Macron dénonce les propos de l’ambassadeur, mais s’oppose à toute sanction, pour ne pas créer de « délit d’opinion dans la fonction publique ».

    Avant, troisième temps, de limoger Éric Fournier dès le lendemain ! Si tous les fonctionnaires qui disent ce qu’ils pensent sont ainsi « remerciés », on comprend que les dirigeants vivent dans un monde Potemkine, sans le moindre rapport avec la réalité. La crise migratoire les rend fous, oui, mais, en outre, leur folie les conduits à se couper de plus en plus de la réalité, aggravant encore cette folie.

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les 4verites.com

    https://fr.novopress.info/211435/des-oligarques-coupes-de-la-realite-par-guillaume-de-thieulloy/

  • Zoom – Pierre Conesa : Hollywood, arme de propagande massive

    Pierre Conesa est ancien haut fonctionnaire au ministère de la Défense. Après un livre brillant sur La Fabrication de l’Ennemi, il revient avec un nouvel ouvrage Hollywar : Hollywood, arme de propagande massive.
    Au fil des pages, Pierre Conesa étudie les figures des héros et des méchants qui évoluent au gré des époques. Une figure du mal construite des Indiens d’Amérique aux terroristes islamistes en passant par les Russes de l’ex-URSS, et des héros américains.
    Une propagande permise par un cinéma diffusé dans le monde entier et qui permet à l’Amérique, dépourvue de roman national à proprement parler de développer un sentiment patriotique grâce à des superproductions qui ne reculent devant rien pour séduire ou lobotomiser.

     https://www.tvlibertes.com/2018/07/03/23959/pierre-conesa-hollywood-arme-de-propagande-massive

  • Merkel affaiblie après l’accord européen sur l’immigration, par Olivier Bault

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    Le président français Emmanuel Macron s’est sans doute félicité un peu vite de l’accord obtenu à l’arrachée à l’aube vendredi matin au Conseil européen de Bruxelles. Dès le week-end, l’on s’est aperçu que chacun interprétait différemment les termes (vagues) de l’accord. Ainsi, pour les centres contrôlés – nouveau nom donné aux centres de tri, ou hotspots –, qui pourront être ouverts dans différents pays sur la base du volontariat, les Italiens ont eu la mauvaise surprise d’entendre très vite le président français leur expliquer que, la France n’étant pas un pays de première arrivée, il n’y a pas de raison d’ouvrir de tels centres sur son territoire. Autrement dit, tout reste comme avant, et c’est pourquoi les Italiens n’ont pas l’intention de rouvrir leurs ports désormais interdits aux navires des ONG, et c’est tant mieux !

    De la même manière, Angela Merkel avait, semble-t-il, cru comprendre au cours du sommet – peut-être était-ce la fatigue – que quatorze pays européens, dont les quatre de Visegrád, lui avaient promis qu’ils négocieraient avec elle des accords bilatéraux pour reprendre à l’Allemagne les « migrants » passés par leur territoire. C’est en tout cas ce qu’elle a annoncé dans une lettre expliquant les conclusions du dernier Conseil européen aux partenaires de sa coalition : la CSU, parti frère bavarois de son propre parti CDU, et le SPD social-démocrate. Mais dès que l’information a été reprise dans les médias allemands dimanche, les pays « de l’Est » concernés ont apporté un démenti cinglant à la chancelière.

    Le ministre de l’Intérieur allemand Horst Seehofer, chef de la CSU, avait prévenu Mme Merkel il y a deux semaines, lorsque celle-ci s’était opposée à son plan de refoulement systématique aux frontières de l’Allemagne des immigrants déjà enregistrés dans un autre pays de l’UE : si elle ne revenait pas du Conseil européen avec un accord correct, permettant de lutter efficacement contre l’immigration clandestine à l’intérieur de l’UE, il démissionnerait. Après s’être réuni avec son parti dimanche, le ministre a donc annoncé son intention de démissionner, estimant que l’accord vanté par Macron serait « inefficace ».

    Seehofer n’a toutefois pas été suivi par son parti et ce n’est pas non plus la première fois depuis 2015 qu’il menace la CDU de rupture. Lors d’une réunion entre eux lundi, les leaders de la CDU et de la CSU ont réaffirmé leur volonté de gouverner ensemble. S’en est suivie une réunion « de la dernière chance » entre Seehofer et Merkel lundi soir, à l’issue de laquelle un compromis a été annoncé. Les contrôles à la frontière avec l’Autriche seront renforcés, et les immigrants y seront orientés vers des centres fermés en attendant de vérifier leur statut. Ceux qui auront déjà été enregistrés dans un autre pays de l’UE ou déjà déboutés du droit d’asile seront alors renvoyés en Autriche.

    Les politiques européennes ayant échoué, notamment en raison du refus de Berlin et Paris – malgré les appels en ce sens des ex-pays de l’Est et de l’Autriche – de mettre en place de vraies politiques de lutte contre l’immigration illégale comme l’a fait l’Australie depuis 2013, on s’oriente vers des politiques nationales avec des coopérations intergouvernementales dans le style de celles qui ont conduit à la fermeture de la route des Balkans début 2016. Même Mütti Merkel s’y met, pour conserver son poste…

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 3 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Affaire des « dix membres de l’ultradroite » : la montagne accouche d’une souris

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    Source Contre-info cliquez ici

    C’est désormais officiel, le tapage médiatique qui a duré une demi-semaine pour expliquer au bon peuple que : « tout comme les jihadistes (qui ne sont pas de vrais musulmans), les grands méchants de l’extrême-droite (qui sont de bons Français), peuvent commettre des meurtres de masse au nom d’une l’idéologie mortifère », était un bourrage de crâne journalistico-judiciaire.

    Finalement, on apprend par le procureur que le fameux passage à l’acte violent « demeurait toutefois imprécis à ce stade » (cf France Info). En clair, il n’y avait aucun passage à l’acte de prévu… Et les fameuses craintes de la DGSI ? Du flan…

    Le danger selon le procureur, est que l’AFO « proposait à ses membres des formations, notamment au combat et au secourisme, et des stages de survivalisme »… D’ailleurs la mise en examen des 10 militants pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » est un indice. Ce motif est qualifié de flou par nombre de juristes français (...)

    Le véritable crime de ces Français ne serait-il pas d’avoir anticipé les violences ethniques qui risquent d’éclater un jour dans notre pays, en se préparant à se défendre ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Du dérapage verbal d’un Président qui joue un peu trop à l’enfant terrible

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    Bernard Plouvier

    Génial Président Macron – vous savez bien : celui qui est en train de réduire le chômage des Français à la vitesse de l’éclair, celui qui donne des leçons de politique et de courtoisie à Poutine et à Trump, celui à quila notion de populisme donne de l’urticaire – se permet de parler de « Mafia bretonne ».

    Bien sûr, Emmanuel Macron n’a nullement voulu « offenser les Bretons ». On peut toutefois parier que jamais il n’aurait osé parler de Mafia juive qui pourtant existe bien, elle, ni de Mafia tchétchène, qui existe aussi, ni du sectarisme de certaine officine maçonnique… pourtant la notion d’influence politique d’une secte participe du même esprit mafieux : secret et coups fourrés, pouvant aller fort loin dans la canaillerie voire dans l’action directe, utilisation des titulaires de postes publics comme des agents d’influence, virtuosité dans la pratique de la corruption etc.

    Les comportements mafieux avérés, quotidiennement pratiqués dans notre beau pays :  trafics d’objets d’art volés, trafic de stupéfiants, traite des jeunes filles et de femmes vénales, voire d’individus de sexe indéterminable, certaines spéculations mobilières et immobilières, jeux et sports truqués, élimination des adversaires etc., tous ces comportements mafieux ne semblent guère interpeller la conscience de notre Grand Président.

    Non, il est plus simple pour lui de salir auprès d’un pape fin connaisseur – c’est un démagogue d’exception que le jésuite Bergoglio – une partie hautement estimable de la Nation française.

    Mafia bretonne ! Combien de milliardaires chez les agriculteurs bretons ? Combien de riches parrains de la drogue chez les Bretons ? Combien de canailles politiciennes, combien de trafiquants de « chair fraîche », combien de racketteurs, combien de tueurs à gages en Bretagne ?

    Génialissime Président a énormément d’excuses à présenter à la Nation française pour avoir sali à l’étranger une partie de notre Nation et une partie qui a joué un grand rôle dans l’histoire de France. Mais qu’est-ce que peut bien représenter l’Histoire de France pour un globalo-mondialiste ?

    Les marins, les paysans, les soldats, les artisans, les industriels bretons ont joué un plus beau et plus grand rôle dans notre histoire que bien des financiers d’origine cosmopolite au comportement de mafieux, ou que les importateurs de haschisch, cocaïne, morphine, héroïne, ecstasy ou les autres merveilles de la chimie « bizarre », pas vraiment bretonne.

    Génialissime Président ferait bien d’apprendre à se taire lorsqu’il tient absolument à briller en public et surtout à l’étranger. Faire rire aux dépens de la Nation française, même un De Gaulle, général de guerre civile, n’avait pas osé le faire. Ce qui fait rire les courtisans et l’épouse de Super-Macron fait grincer des dents le « Bon Peuple » qui commence à être excédé.

    Si Grand Président veut laisser un nom dans l’histoire de France, c’est en agissant, non en faveur des riches, mais en faveur des nombreux chômeurs autochtones qu’il doit le faire, en luttant contre l’insécurité et le racisme anti-Blancs, mais en aucun cas en continuant d’importer inutilement des laissés pour compte d’autres continents.

    Au lieu de jouer au potache en goguette, qu’il nous montre s’il est capable de diriger le pays. Sinon, qu’il s’en aille.   

  • Les (vrais) ennemis de l’Europe

    europe-tableau-Delecluze.jpgAngela Merkel a voulu l’immigration torrentielle mais ce choix idéologique s’appuyant sur de fumeuses considérations économiques et démographiques,   est en train de faire imploser la scène politique allemande, fragilisant un des (seuls) piliers de l’Europe bruxelloise. Faute d’avoir obtenu de la chancelière une inflexion très  ferme  de la politique migratoire, les conservateurs de la CSU, alliés aux chrétiens-démocrates de la CDU de Mme Merkel  au sein d’ une brinquebalante coalition  gouvernementale, ont menacé de claquer la porte. Les avancées brandies par Mme Merkel dans la foulée du dernier Conseil européen,  -plateforme de débarquements  des immigrés illégaux sur les côtes africaines  de la Méditerranée dans des pays volontaires , centres d’accueil contrôlés sur le territoire de l’UE- mais aussi l’annonce par la chancelière de l’accord  signé entre  Berlin et  14 pays pour y raccompagner  les immigrés clandestins qui y sont enregistrés,  n’ont pas convaincu   outre mesure.

    Horst Seehofer, dirigeant de la CSU  et ministre de l’Intérieur, en conflit ouvert  avec Angela Merkel depuis son  entrée au gouvernement , a déclaré  dimanche soir  qu’il envisageait   d’abandonner tous ses mandats, signifiant par là qu’il  prenait  la mesure de son incapacité à agir, mais aussi du  ras-le-bol populaire. Une dépêche reuters résume les raisons de cette crise: «La direction de la CSU  qui milite pour un durcissement de la politique migratoire face à la poussée électorale du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) en prévision des élections régionales du mois d’octobre, se réunissait ce dimanche pour arrêter sa position en la matière. Horst Seehofer a déclaré qu’il ne voyait pas d’autre alternative que de renvoyer certains migrants à la frontière allemande, position qui l’a mis en conflit avec Merkel.»

    In extremis, souligne une dépêche de l’Afp,   « Angela Merkel a finalement réussi à préserver sa coalition en concluant lundi soir à l’arraché  un compromis (avec son ministre de l’Intérieur) restreignant fortement la politique migratoire du pays. Le compromis trouvé prévoit l’instauration de  centres de transit  à la frontière entre l’Allemagne et l’Autriche. C’est là qu’y seront installés à l’avenir les demandeurs d’asile arrivant dans le pays mais déjà enregistrés dans un autre Etat européen – c’est à dire la quasi-totalité d’entre-eux – en attendant leur expulsion vers le pays d’entrée.»

    Cela suffira-t-il  à désamorcer la bombe à retardement que constituent  les centaines de milliers d’ immigrés peu ou pas assimilables qui campent sur le  sol allemand et quid de l’application concrète de cette mesure?  Les Allemands jugeront bientôt de l’efficacité de ce dispositif,  M Seehofer relayant comme l’AfD  le sentiment très répandu (et très réel) selon lequel  l’immigration a engendré outre-Rhin  une explosion de la  criminalité comme en témoigne une accumulation de faits divers sordides – viols à répétition, vols avec violence de personnes âgées ou fragiles,  meurtres…

    Déjà,  en octobre 2015, Horst Seehofer, soucieux de ne pas laisser à l’AfD le monopole de la contestation, avait  dénoncé  la politique d’invasion migratoire de la chancelière allemande  en présence du chef de l’Etat hongrois,  Viktor Orban. Il avait  même menacé de fermer les frontières de son land de  Bavière en cas de poursuite de cette invasion… Mais les lanceurs  d’alerte et autres dirigeants politiques soucieux  de la vox populi sont toujours dans le collimateur de la gauche morale et des grandes consciences bruxelloises. Sur le site euractiv  l’opposant à Viktor Orban  Gergely Karácsony,  qui a lourdement  échoué  aux législatives d'avril dernier,  la coalition de la gauche obtenant seulement  12 % des voix,   vient de demander  à l’UE « de cesser de financer les politiques eurosceptiques et populistes. »

    « Le fait qu’Orbán calomnie l’Union européenne avec de l’argent qui vient de l’UE, et alors que la Hongrie fait partie de l’UE, est frustrant pour l’opposition europhile » « Il faudrait un système où ce ne sont pas les gouvernements nationaux qui décident de l’utilisation des fonds européens, mais l’UE elle-même » explique doctement ce socialiste hongrois.   Cette demande de mise sous tutelle des mal-pensants  n’est pas nouvelle.  Ils se trouvent même de bonnes âmes pour contester la possibilité même d’autoriser  à siéger nationaux, populistes,  eurosceptiques  du fait de leur hostilité à l’euromondialisme. Le socialiste Martin Schulz, ex président  du parlement européen,  un des principaux initiateurs des persécutions judiciaires que subissent toujours  les députés frontistes,  demandait pareillement qu’il n’y ait pas  d’argent pour « les ennemis de l’Europe».

    Eurocrates qui sont  tenaillés par la peur des réactions populaires, des expressions démocratiques  qu’il s’agit encore et toujours de museler ou d’éviter. Rappelons-nous de  Pierre Moscovici, commissaire aux affaires économiques, qui  déclarait en   septembre 2016, trois mois après le Brexit, «qu’un référendum sur l’Europe est une très mauvaise méthode»… Mais est-il encore possible de hurler au fascisme, au retour des heures les plus sombres, de la peste, de  la guerre,  du choléra, de hurler  à l’assassinat de l’idéal de Jean Monnet, René Cassin  et  Simone Veil quand le rafiot bruxellois est déserté, prend l’eau de toute part?

    Peut-on encore dénoncer  de manière hautaine  la subversion démocratique  quand les peuples ont  résolument tourné  le dos ces derniers mois  aux consignes de Bruxelles, d’Attali, de Soros, de Davos?  M. Macron impressionne-t-il grand monde quand il prend son air méprisant  pour fustiger  la   lèpre nationaliste?  Non,  le roi est nu.  Leçons de maintien  et menaces  n’ont pas empêché ces derniers mois nos voisins  de voter  en  faveur du  Brexit, de porter   au pouvoirs  nationaux-conservateurs, nationaux-populistes en Pologne, en Hongrie,  en Slovaquie, en Slovénie, en Autriche, en  Italie, sur fond de montée en Allemagne de la contestation nationale et de  présence de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle.

    Les  ennemis de l’Europe, constate Bruno Gollnisch,  ce  sont  pour les technocrates bruxellois et leur  relais  – et c’est un cas emblématique d’inversion accusatoire -,  tous ceux  qui  veulent introduire de vraies règles  de  protections sociales et  économiques dans la mondialisation , qui rappellent le bienfait des frontières, des souverainetés populaires,   qui entendent préserver  l’identité  ethnique , confessionnelle, culturelle des peuples européens. Serions-nous les seuls  sur la planète à avoir honte de ce que nous sommes, à ne pas vouloir le transmettre à nos enfants,  aux générations futures?.  Ce qui ne veut pas  dire   transformer  l’Europe en camp de concentration, la  fermer au monde,  se complaire dans le  repli  frileux, xénophobe  et mortifère,  comme  le disent caricaturalement les démagogues de la Caste européiste.  Notre vision  du devenir de l’Europe,  des patries libres, nos souhaits  nous cataloguent, paraît-il,   comme  des ennemis du genre humain.  Les adversaires  de l’opposition nationale ont cependant  radicalement échoué à convaincre et à prouver aux   européens que  leur  projet s’inscrit  du côté du bien, du bon, du  beau  et du vrai. 

    https://gollnisch.com/2018/07/03/les-vrais-ennemis-de-leurope/

  • Migrants – Marine Le Pen rappelle que “les ONG sont les complices des passeurs”

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    Marine Le Pen était l’invitée de RTL ce mardi 3 juillet 2018.

    Interrogée notamment sur la crise migratoire qui frappe l’Europe, Marine Le Pen a pointé du doigt la complicité des ONG dans ce drame humain :

    Il faut confisquer les bateaux des ONG qui sont clairement les complices des passeurs. Il faut arraisonner les bateaux de migrants qui partent, les mettre en sécurité et les ramener sur les rives de la Syrie ou de la Libye. De là où ils sont partis.

  • LA MANIPULATION MÉDIATIQUE SUR "LA CRISE DES MIGRANTS"

  • Le sacre de l'avortement

    6a00d83451619c69e2022ad357832b200c-800wi.jpgCe matin au Panthéon, Emmanuel Macron a chanté les louanges de Simone Veil en évoquant le crime abominable de l'avortement :

    "Pour les femmes meurtries dans leur chair, dans leur âme, par les faiseuses d'anges, pour les femmes qui devaient cacher leur détresse ou la honte, et qu'elle arracha à leur souffrance en portant avec une force admirable le projet de loi sur l'interruption volontaire de grossesse, à la demande du président Valéry GISCARD D’ESTAING et avec le soutien du Premier ministre Jacques CHIRAC."

    L'ACPERVIE-SOS-Maternité rappelle :

    "La cérémonie qui aura lieu au Panthéon, le 1er Juillet, a une signification plus grande qu’un jugement (très positif et très officiel) sur une personne. Elle est l’inscription dans le marbre d’une « vérité » issue d’une manipulation monumentale de l’opinion publique.

    Cette « vérité » est aujourd’hui prise comme telle par une immense majorité de personnes de bonne foi. Néanmoins, les Protestants et Évangéliques se souviennent, à l’évocation de cette manipulation (encore utilisée récemment en Irlande), de la parole de l’Écriture Sainte: «  Malheur à ceux qui appellent le mal, bien et le bien, mal/ Qui changent les ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres/Qui changent l’amertume en douceur et la douceur en amertume » Esaie 5,20.

    Dans les années 1970, on avait un lobby, le Club de Rome. Dans sa vision: « croissance économique zéro, croissance démographique zéro », le démantèlement de l’industrie et la promotion du chômage n’étaient pas seuls (appuyés ou non par des considérations « écologiques »), il y avait malheureusement l’avortement, qui a été promu dans divers pays par des campagnes médiatiques intenses financées par des prédécesseurs de Soros (Rockefeller en tête de file). Ces campagnes livraient au public des chiffres fabuleux d’avortements par an, avec des femmes mortes par dizaines de milliers. Dans un but humanitaire, il fallait légaliser la « Santé reproductive », ce qui a multiplié le nombre réel des avortements par 5 à 7.

    Ainsi, en France, on avait parlé de 200 000 voire 2 millions d’avortements, avec 20 000 mortes.

    Voici textuellement ce qui était enseigné en Médecine Légale en 1966: " La seule statistique valable est due au juge d'instruction GOLETI qui avait relevé toutes les informations judiciaires qui s'étaient succédées entre 1947 et 1953,  relatives aux avortement criminels. Elle fait état de 350 à 492 informations par an, avec un nombre d'avorteurs inculpés variant suivant les ans entre 150 et 276. La même statistique en 1954 fait état de 460 avortements dont 45 mortels.

    Dans la Revue du Praticien du 11 Février 1974, on lit, sous la plume de E.Hervet, (p 639): "Aux entretiens de Bichat 1973, Monrozies fit un exposé, fortement nourri de statistiques, sur la mortalité et la morbidité comparative des avortements clandestins et des avortements légaux. Il plongea dans la stupéfaction et dans le désarroi les nombreux journalistes présents dans la salle, en indiquant des chiffres sensiblement voisins.

    "A ces journalistes qui demandaient, à l'issue de la conférence, des explications, il a été facile de dire qu'ils s'étaient laissés abuser pendant des années sur la gravité réelle de l'avortement clandestin. Ils avaient préféré entendre les voix qui dénonçaient cet avortement comme un fléau national avec son cortège de 6000 à 10 000 morts chaque année. Ils n'avaient pas entendu les voix, à vrai dire moins retentissantes, qui contestaient la réalité de ce massacre, et fixaient à quelques dizaine de morts les avortées, chaque année, c'est à dire à un chiffre cent fois moindre »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html