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lobby - Page 1151

  • Pas de débarquements de migrants pendant les élections italiennes !

    migrants-en-mer-300x170.jpgÉtrange. Durant la dernière ligne droite des élections italiennes, les débarquements de migrants sur les côtes du Bel Paese semblent avoir cessé !

    « Je suis préoccupé. Cela fait des jours que l’on n’entend plus parler de gens qui débarquent sur nos côtes ou de pauvres malheureux qui sont conduits à nos ports. Il n’y a plus d’immigrés. Peut-être parce que tous ceux qui partent de l’Afrique du Nord se sont noyés et personne cette fois-ci ne s’en est aperçu ? Je ne le crois pas. Peut-être parce qu’il fait trop froid ? Je n’y crois pas non plus : c’est un business, il ne peut pas s’arrêter d’un seul coup. Et puis ils sont tellement nombreux les bateaux au large qui attendent avec une couverture et une tasse de chocolat chaud. Et les embarcations ne voyagent pas sur des rails. Peut-être parce que nous sommes à l’approche des élections et il vaut mieux alors que l’attention des gens ne soit pas détournée des belles paroles qui sortent de la bouche de nos politiciens ? Et bien, là-dessus il me vient quelques doutes ! Sait-on jamais que quelqu’un d’ici réussisse à diriger ce trafic et qu’après le 4 mars fasse repartir ces voyages de l’espoir ? Jamais dire jamais ! »

    Disons-le tout de suite : ce ne sont pas Matteo Salvini ni Giorgia Maloni ou autre « xénophobe, fasciste, raciste » de leur acabit qui insinuent que les débarquements seraient « pilotés » par des organisations mafieuses sensibles à la nécessité d’un arrêt technique pour ne pas déranger la période électorale !

    Ce constat a été fait, le 2 mars dernier, par le général Vincenzo Santo, qui n’est pas n’importe qui en Italie : Général de Corps d’Armée (au repos), ex-numéro deux de l’OTAN en Afghanistan en tant que chef d’État-major, ancien chef d’État-major de la mission Isaf (International Security Assistance Force) et aujourd’hui un des plus éminentscollaborateurs d’un des plus sérieux sites italiens de géopolitique et de défenseReportDifesaUne pointure en somme ! Le même qui, il y a quelques mois, sur ce même site, en appelait à l’emploi de l’armée comme seul moyen valide et alternativeefficace pour arrêter l’immigration illégale :

    « Il suffit d’utiliser l’armée, écrivait-il alors, pour ce pourquoi elle a été créée : protéger les frontières. Est-ce vraiment vrai que l’immigration est « un phénomène contemporain que l’on ne peut arrêter » ? Il ne l’est pas. Si on le voulait vraiment, en peu de jours, l’armée italienne pourrait arrêter les flux migratoires. »

    En évoquant cette migration « à l’arrêt », le général Santo, militaire pragmatique, habitué aux terrains de guerre, est convaincu que « sur l’Europe rôde un spectre » : « le spectre de l’immigration » :

    « Le relativisme omniprésent, écrit-il sur ReportDifesa, nous porte à devoir montrer que nous sommes contents parce que le nombre de débarquements apparaît en diminution. Folie ! Ce n’est pas cela le problème. Le vrai problème est que ces débarquements doivent cesser et que de toute façon l’immigration doit être contrôlée et gérée avec un sens plus approfondi de l’État et, surtout, en se sortant de la tête l’idée qu’ils veulent nous inculquer que c’est un phénomène inarrêtable et inéluctable. »

    Pour le général italien l’Europe est minée par une vision utopiste, celle de la promesse occidentale qui stipule que le bien-être matérialiste doit être universellement partagé et que chacun devrait donc pouvoir s’établir où il veut… pour consommer ! « Position radicale à valeur universelle » qui sert avant tout les intérêts des marchands d’êtres humains qui se font ainsi un bien joli pactole…

    Mais le général Santo va plus loin dans sa réflexion :

    « L’Italie n’a pas de stratégie. On parle d’intégration, sorte de raccourcis alternatif à l’assimilation (…) pour finir dans la misérable réalité du multi-culturalisme, dans le no-go-zones. »

    Ce qui est d’après Vincenzo Santo rien de moins que l’actualisation du fameux plan Kalergi selon lequel l’homme du futur sera de sang mixte. La race future euroasiatique-négroïde, extrêmement semblable aux antiques Égyptiens, substituera la multiplicité des peuples, par une multiplicité de personnalités…

    « C’est une folie, continue le général, mais une folie lucide qui d’un côté semble être l’objectif de la direction technocratique de Bruxelles, désormais obnubiléepar Soros, et de l’autre côté attendre que les dérives ochlocratiques de ses associés la conduisent à la difficile gloire finale : l’effacement des nations ! »(définition Ochlocratie : Emprunté au grec okhlocratia, de okhlos, « foule » et –kratos, « pouvoir ». « Gouvernement par la foule, la multitude, la populace », ndlr).

    Selon le général, plus de 240 millions d’individus voudront, dans les prochaines trente années, émigrer en Europe de l’aire islamique et de l’Afrique :

    « Si cela devait se réaliser, souligne Santo, la population européenne, aujourd’hui d’environ 700 millions de personnes, augmenterait de façon démesurée, tant à ne pas pouvoir exclure de graves conflits de nature économique et sociale. »

    Il voit se profiler à l’horizon une société multi-tribale dans laquelle

    « le peuple originel se constituera comme une tribu au milieu des autres tribus, chacune avec ses propres règles et sa propre gouvernance. C’est le multi-culturalisme. Le signe de l’échec de l’état de droit… »

    Et aux bien-pensants qui comparent l’accueil à « un signe de civilisation » il rétorque  :

    « De quelle civilisation parle-t-on ? De la nôtre que nous voudrions garder ou de celle qu’on est en train de nous préparer ? Celle de Kalergi ? »

    Et le général italien prophétise :

    « La guerre civile ne vient pas de l’extérieur mais est un processus endogène. Peut-être les signes sont-ils déjà là sans que nous nous en apercevions. Aristote dans sa Politique disait que la différence de races est élément de rébellion… aussi ceux qui ont accueilli des hommes d’autres races soit comme compagnons de colonisation, soit comme concitoyens, après la colonisation, la majeur partie est tombée dans des factions…” »

    « Et nous, où en sommes-nous ? » 

    se demande le général avant de conclure :

    « Je vous le dis, nous sommes dans l’inconscience… dans l’attente du prochain débarquement. Peut-être après le 4 mars ! »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/pas-de-debarquements-de-migrants-pendant-les-elections-italiennes/88478/

  • Assistants parlementaires : où est l’équité ?

    balance-300x179.jpgCommuniqué de Bruno Gollnisch, député européen, relatif à la décision du Tribunal de l’Union Européenne (Luxembourg) dans l’affaire qui l’oppose à l’administration du Parlement Européen

    Ce 7 mars, le Tribunal de l’Union Européenne (Luxembourg) a rejeté mon recours contre l’inique décision du Secrétaire Général du Parlement Européen, M. Klaus WELLE, qui, sur ordre de l’ex-Président socialiste Martin SCHULZ, organise méthodiquement depuis 18 mois la spoliation des moyens qui sont nécessaires à l’accomplissement de mon mandat en même temps qu’il tente de me ruiner financièrement.

    Tous les principes de droit dont se gargarise l’Union Européenne ont cependant été violés en la circonstance : j’ai été présumé ” coupable ” sans aucune preuve. Malgré nos demandes répétées, et des textes qui nous en donnaient clairement le droit, ni mon assistant ni moi-même n’avons à aucun moment été entendus. Tous les éléments prouvant le travail de mon assistant, travail effectif et en lien avec mon mandat, ont été balayés sans raison sérieuse. Il m’a été reproché de l’avoir laissé être candidat à une élection et d’avoir un engagement au sein du Front National, alors que ces activités sont parfaitement légitimes, licites, et communes aux assistants de nos adversaires…

    Il est profondément regrettable que le Tribunal de l’Union, en ne faisant pas droit à nos réclamations, paraisse avaliser ces pratiques d’une administration politisée, qui ne font pas honneur à l’Union Européenne, et qui visent à nuire aux seuls élus de la minorité. Je rendrai publics prochainement tous les éléments du dossier, et j’envisage un pourvoi devant la Cour.

    https://gollnisch.com/2018/03/07/assistants-parlementaires-equite/

  • MIGRANTS : LES MÉDECINS NE SONT PAS LÀ POUR TRAITER LES MAUX QUE LES POLITIQUES NE VEULENT PAS RÉGLER

    Une psychiatre parisienne vient d’être mise en examen pour avoir fourni à des clandestins des centaines de certificats médicaux de complaisance, pour leur permettre d’acquérir des titres de séjour. Cinq autres praticiens avaient connu le même sort en décembre pour des pratiques similaires. Si, aux yeux du monde, la médecine grandit toujours un peu ceux qui l’exercent, il n’y a pas de profession sans brebis galeuses et ces confrères qui – avec la complicité des associations immigrationnistes – ont monté ce genre de commerce sont évidemment inexcusables. De même que ceux qui confondent prise en charge des toxicomanes et open bar de produits de substitution…

    Mais après les malhonnêtes, il y a aussi les faibles, qui n’ont pas toujours le choix. Imaginez-vous jeune femme médecin dans un « quartier », il est 20 h 45, votre salle d’attente est vide après l’accueil de votre dernier patient, un jeune sans-papiers accompagné de ses deux « cousins-interprètes » bodybuildés, qui vous réclame un certificat pas vraiment justifié par son état de santé. Devant votre réticence, ils commencent à taper du poing sur votre bureau… Vous faites quoi ? Sans parler des 25 € dont vous ne verrez jamais la couleur, au nom de quoi devriez-vous être celle qui dispose, in fine, du droit régalien de décider qui peut fouler notre sol ? Refusez et vous risquez de vous faire casser la figure. Acceptez et, la semaine prochaine, ils seront trois ou quatre à vous demander la même chose… Reposons la question : vous faites quoi ?

    Ce 7 mars, le site médical Egora publiait le récit d’un confrère de Bobigny : « Le jour où j’ai été humilié devant mon externe. »Extrait : « Le caïd est entré dans la salle d’attente en criant qu’il avait déjà cogné le médecin précédent et qu’il fallait examiner sa fille sur-le-champ. Face aux insultes, à la rage, et surtout pour protéger l’externe présent avec lui, le Dr Thomas Cartier a accepté un rendez-vous. En huit ans d’installation en banlieue parisienne, ce généraliste n’avait encore jamais reçu de menaces de mort. » 

    En bout de chaîne, la médecine est priée de traiter tous les problèmes que la lâcheté des politiques, entraînant celle des forces de l’ordre et de la magistrature, refuse de traiter. On prête au « petit père » Queuille (vingt et une fois ministre sous deux Républiques) l’aphorisme selon lequel il n’y aurait pas de problème qu’une absence de décision ne finisse par résoudre. Un demi-siècle après sa mort, la pratique s’est affinée, et on pourrait dire qu’il n’y a pas de problème dont on ne puisse se débarrasser en refilant la patate chaude à la médecine.

    Lequel des deux divorcés mérite la garde des enfants, ou qu’est-ce qu’on fait de Mamy pendant les grandes vacances ? Demandez au docteur. Monsieur X. a été licencié, n’a aucune chance de retrouver du travail, mais est encore à plusieurs mois de la retraite : en cherchant bien, le docteur ne trouverait-il pas une petite invalidité ou une longue maladie pour faire le joint ? Ça arrangerait tout le monde !

    L’enchaînement est imparable. Tout problème ou conflit génère du stress. Tout stress peut entraîner des maladies. Donc, tout problème peut finir chez le médecin.

    Quant à penser qu’il le règle…

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-medecins-ne-traiter-maux-politiques-ne-veulent-regler/

  • Agro-industrie, malbouffe, cancer ! Fréquence Orages d'acier - 06/03/18

  • Angela Merkel et son nouveau gouvernement veulent sauver l’Union Européenne

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Angela Merkel s’est exprimée publiquement ce lundi au lendemain de l’annonce de l’accord de coalition de son parti avec les sociaux démocrates. Les résultats du référendum interne des adhérents du parti social démocrate annoncés ce dimanche ont ouvert la voie à cette alliance, plus de deux tiers des votants se prononçant en faveur de cet accord. Presque six mois après les élections le gouvernement allemand est donc formé, ce dont Madame Merkel s’est réjouie. Elle a assuré que ce gouvernement se mettrait rapidement au travail, et s’est également prononcée sur l’avenir de l’Union Européenne.

    La chancelière a affirmé qu’une voix forte de l’Allemagne aux côtés de la France et d’autres États membres serait nécessaire. Elle a notamment énuméré trois points qu’elle qualifie de défis européens. Ceux-ci sont la montée des nationalismes, illustrée parfaitement par l’Italie ce dimanche, le commerce international et notamment les États Unis qui renforcent leurs barrières douanières, ainsi que le conflit en Syrie, dans lequel l’Europe n’a pour ainsi dire aucun poids alors qu’elle en subit de plein fouet les conséquences migratoires.

    Mais il apparaît que ces défis ne sont pas tous à ranger sous la même appellation. En effet la montée des nationalismes ne met en péril que l’Union Européenne si chère aux yeux de Madame Merkel et son parti. Elle semble au contraire même être une solution aux deux autres points qui eux sont des défis pour les pays européens eux-mêmes. En effet le défi du commerce international incarné par le protectionnisme des États-Unis pourrait être contré par un nationalisme économique similaire. Quand au conflit en Syrie, il n’est un défi européen qu’au niveau de la crise migratoire qui en découle. Et celle-ci est évitable pour un pays n’ayant pas à suivre à la politique migratoire suicidaire de l’Union Européenne et pouvant donc contrôler ses frontières, preuve en est donnée par Israël et dans une moindre mesure la Hongrie.

    Alors que l’alliance au sein même de son gouvernement est précaire, madame Merkel aura donc également fort à faire pour sauver une Union Européenne plus encore vacillante, dont les pays se dirigent peu à peu vers un retour au nationalisme.

  • POURQUOI MACRON PROTÈGE EFFECTIVEMENT "LA VIE DÉMOCRATIQUE" ? | NOVLANGUE

  • La différence entre les homosexuels et les “homosexualistes”

    6a00d83451619c69e201bb09f93051970d-800wi.pngInterrogé dans la revue LGBT Friendly, Jean-Marie Le Pen assure n'être « pas du tout » homophobe.

    « D'ailleurs la plupart de mes collaborateurs sont homosexuels ». «Je fais bien la différence entre les homosexuels et les “homosexualistes” qui sont ceux qui transforment leur choix sexuel personnel en idéologie politique».

    « La LGBT, c'est un lobby qui veut peser sur l'opinion, et qui s'érige en représentant d'une communauté sans en avoir le mandat ». « A partir du moment où les homosexuels ne mettent pas leurs mains dans ma braguette ou dans celle de mes petits-enfants, et qu'ils ne se promènent pas avec une plume dans le cul sur les Champs-Elysées, ça m'est égal ».

    Par ailleurs, selon lui, les agressions contre les homosexuels « viennent généralement de la part des musulmans, qui ont dans ce domaine un rigorisme plus marqué que d'autres religions ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • BERNARD DE LA VILLARDIÈRE : IL ÉTAIT UNE FOIS UN JOURNALISTE ÉPRIS DE VÉRITÉ ET TÉMÉRAIRE…

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    Quand un brave homme devient-il un homme brave ? Quel est l’élément déclencheur ? J’observe Bernard de La Villardière sur le plateau de Thierry Ardisson, stoïque, mesuré, ne retirant pas une virgule de ses déclarations sur le hijab qui lui ont valu, quelques jours auparavant, une volée de bois vert sur le plateau de Cyril Hanouna, faisant face sans faiblir aux anathèmes éculés de Hapsatou Sy, aux envolée lyriques faciles roulées dans la panure idéologique, et aux applaudissements serviles d’un public grégaire, tout acquis à celle qui l’accable. Il pourrait s’écraser, s’excuser, jurer que son prochain reportage sera une ode aux mille et une félicités de la diversité, et tout serait pardonné. Pourquoi s’entêter ? N’a-t-il pas vu, avant lui, les Ménard et autres Zemmour pendus haut et court ?

    J’observe Bernard de La Villardière et me gratte le menton : il pourrait n’aborder son métier (ce serait si simple) qu’avec la classe et la distinction naturelles qui le caractérisent, pratiquer élégamment la polémique feutrée de salon, n’arpenter (le chandail jeté sur les épaules) que les zones interdites dûment balisées, les sujets tabous de bon aloi et à l’intérieur des clous, les enquêtes exclusives cent fois explorées, ratissées, damées, lissées comme une plage de l’île de Ré en début d’été, en prenant soin d’éviter les flaques qui éclaboussent les mocassins à gland. À sortir du bois, il a tout à perdre et rien à gagner : il serait homme politique, il pourrait y avoir un calcul électoral… mais un journaliste comme lui ? Quel est le profit ?

    Il pourrait n’avoir d’autre ambition, comme tant d’autre baby-boomers à « cheveux de riches » (je vous renvoie à la page Facebook dédiée qui a beaucoup de succès), qu’à durer, qu’à reculer l’âge de la retraite – car si la pénibilité de certaines professions pousse à arrêter de travailler, la confortabilité de certaines autres enjoint à s’accrocher -, multipliant les courbettes devant le politiquement correct… pour faire oublier son profil honni que d’aucuns – c’était, notamment, la marotte de Delphine Ernotte – se sont promis de bouter hors de la télé.

    Il pourrait, mais il n’en fait rien. Un drôle d’oiseau, hein ? Faut-il qu’il soit un peu maso ? Ou juste décidé à faire son boulot. 

    Combien de papiers pleins de rancœur – et comment les condamner – lit-on dans la presse alternative contre les médias mainstream dénonçant avec verdeur les « journaleux », les « journalopes » et même – plus créatif encore – les « journalutes ». Inutile de vous décortiquer le mot-valise ?

    Bernard de La Villardière est, quant à lui, un « journalien » : journaliste et homme de bien. Preuve que les jugements collectifs sont, comme les punitions, souvent injustes.

    Bientôt aura lieu la cérémonie bien connue des Bobards d’or, qui revient implicitement à élire, au sein de la caste médiatique, un Toquard d’or.

    Cette année, on devrait suggérer un prix spécial du jury, un trophée qui, exceptionnellement, ne serait pas satirique mais véridique et mérité : La Villardière devrait recevoir un Bernard d’or. Voici un journaliste. Un vrai.

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • Valérie Pécresse court derrière la gauche LGBT, qui ne le lui rend pas

    6a00d83451619c69e201b7c955a654970b-250wi.pngToujours cette incapacité des politiques qui se disent de droite à de croire que, parce qu'ils feront des courbettes aux lobbys de gauche, ils seront forcément acceptés par ceux-là. La présidente LR de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a été la cible de commentaires particulièrement acerbes émanant des militants LGBT.

    Valérie Pécresse a salué le "carton plein" aux Césars du film célébrant Act Up, en rappelant que "la région Île-de-France [avait] soutenu ce magnifique film grâce à notre fond de soutien au cinéma et à l'audiovisuel". Les militants LGBT lui ont alors rappelé sa politique régionale, sa participation passée à la Manif pour tous ou encore son alliance aux dernières régionales avec Sens Commun.

    Auprès de L'Obs, Valérie Pécresse a défendu la sincérité de son soutien tant au film qu'à la cause qu'il défend.

    "Je suis personnellement intervenue pour que '120 battements par minute' puisse être subventionné par la région. Il n'avait pas été sélectionné lors de son premier passage en comité de lecture en raison du trop grand nombre de demandes. Il a pu être réexaminé une deuxième fois car on m'avait signalé le caractère exceptionnel du film". 

    Mais rien n'y a fait. Conclusion, elle a perdu le soutien de sa droite sans gagner celle de sa gauche.

    Michel Janva

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