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lobby - Page 1148

  • Islamisme radical : flagrant délit de désinformation pour le Monde !

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    Comme l’a noté le site Fdesouche, Le Monde a changé le titre d’un de ses articles en ligne. Ainsi, le titre : « L’inquiétante radicalité des jeunes musulmans » devient « L’inquiétante radicalité d’une minorité de jeunes ».

    Le corps de l’article n’est pas en reste de novlangue et d’euphémisme. Ainsi, le fait de ne pas « totalement » condamné les attentats contre Charlie Hebdo est désigné comme une « tentation radicale ».

    Pour parler d’islamisation, les sociologues parlent de « manifestations de radicalité » ou encore « d’adhésion à l’absolutisme religieux ».

    Pour traiter de la perte de confiance dans les médias, ils utilisent le concept de « radicalité informationnelle ».

    https://fr.novopress.info/

  • BLOCAGES D’UNIVERSITÉS : À QUAND UNE RÉVOLTE DES ÉTUDIANTS POUR POUVOIR TRAVAILLER ?

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    L’université de Toulouse Le Mirail est bloquée depuis plusieurs semaines. On ne sait plus très bien pourquoi. Au début, c’était le refus de la fusion avec une autre université. Maintenant, c’est la sélection, qu’instaurerait Parcoursup. Demain, ce sera… À Toulouse, on ne manque pas d’imagination.

    C’est, par tradition, l’une des universités pionnières dans la contestation, avec Tolbiac, Rennes et Bordeaux La Victoire : des universités de lettres et sciences humaines, de préférence. Toulouse essaime parfois : on a vu, ces dernières années, des commandos expérimentés venir prêter main-forte à des étudiants bordelais.

    La technique est bien rodée. Tout se fait démocratiquement, du moins en apparence : assemblées générales, dont on ne vérifie pas la qualité des membres, réunissant quelques centaines d’étudiants (ou prétendus tels) sur plus de 30.000. Avec les abstentions et les refus de vote, il n’est pas rare qu’une proposition soit validée par 500 personnes. Impossible de rentrer dans l’université : toutes les portes sont bloquées, les locaux occupés.

    Généralement, quand on fait grève, on s’engage dans un rapport de force, on prend un risque, on perd une part de son salaire. À l’université du Mirail, point de risque, sinon de ne pas avoir ses examens. Mais nos étudiants « grévistes », parmi lesquels des militants d’extrême gauche, prêts à en découdre à la moindre occasion, et quelques naïfs ont trouvé la parade.

    S’ils bloquent l’université et empêchent la tenue des cours, c’est, paraît-il, par souci d’équité : pour que les courageux « grévistes » ne subissent pas les conséquences de leur engagement héroïque. Si les examens peuvent malgré tout se dérouler, ils seront aménagés de façon que personne ne soit lésé. Ou bien, comme à Toulouse, l’AG demande que tous les étudiants reçoivent une note de 10 au minimum pour que leur année soit validée. C’est ainsi que certaines universités françaises forgent leur réputation.

    L’immense majorité des étudiants, qui souhaitent travailler et réussir leurs examens sont pris en otages par une minorité. S’ils veulent s’opposer à la pression de la minorité, ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes et avoir recours aux réseaux sociaux. Car l’administration est souvent craintive, quand elle n’est pas complice.

    Il faut constater, pour le regretter, que beaucoup de professeurs, par connivence idéologique, par lassitude ou sous l’effet de l’intimidation, laissent faire. Quant aux médias, ils se posent rarement des questions sur la représentativité et la légitimité de ces assemblées générales et de leurs décisions.

    Une solution consisterait à organiser une consultation de l’ensemble des étudiants. Mais les bloqueurs s’y opposeraient, car ils seraient assurés de perdre. C’est ainsi que, dans nos universités, les autorités publiques laissent se développer ce que de Gaulle appelait, à juste titre, la chienlit.

    Ceux qui en pâtissent, ce sont les étudiants sérieux, qui veulent se former, avoir un diplôme de valeur et trouver un métier. À quand une révolte des étudiants pour pouvoir travailler ?

    http://www.bvoltaire.fr/blocages-duniversites-a-revolte-etudiants-pouvoir-travailler/

  • Éric Zemmour : « C'est la France périphérique qui paie cher la réforme de la SNCF »

    BILLET - Les usagers habituels des trains ont payé un lourd tribut à la grève des cheminots. Et notamment ceux qui vivent loin des grandes villes, constate Éric Zemmour. [RTL 5.04]. Il montre que droite et gauche confondues se sont accordées pour mener une politique du rail qui favorise les classes dominantes bobos des grandes métropoles. Les élites friquées, privilégiées, bobos de droite et de gauche réconciliés par Macron qui y a trouvé son électorat. Minoritaire mais dominant.  LFAR 

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Ce sont des images qui ont tourné en boucle sur nos écrans. De rares RER bondés pris d'assaut. Ou au contraire, dans la grande couronne, comme on dit, dans des territoires largement ruraux, des gares vides et des rails encombrés de passagers qui ne savent à quel saint se vouer.

    Autour de toutes les grandes villes françaises, et de la métropole parisienne en particulier, le même spectacle désolant. Pour tous ceux qui n'ont pas les moyens de vivre en centre-ville, la galère des transports n'est pas une expression toute faite, mais une cruelle réalité. 

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Une filière démantelée à Montpellier : chaque étranger « mineur » isolé coûte 100 000€ par an aux Français

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    Et ce n’est qu’une des nombreuses filières d’acheminement d’étrangers dans notre pays. Les clandestins resteront en France, l’argent ne sera jamais remboursé et nous continuerons à accueillir les étrangers mineurs isolé qui coûtent plus de 100 000€ par an et par personne ! Un scandale d’Etat…

    Pour la première fois dans ce genre d’enquête difficile et de longue haleine, les policiers français et ivoiriens, qui ont uni leur coopération grâce notamment à des officiers de liaison en poste à Paris et dans ce pays africain, sont parvenus à identifier et à arrêter la tête du réseau. Il était à la fois le faussaire qui a procuré à de jeunes adultes les faux documents d’état-civil -18 ans et 20 ans, au lieu de 15 ans et 17 ans figurant sur les pièces d’identité-, mais également l’organisateur des migrations illégales en bateau en Europe, via la Libye, l’Italie et enfin la France avec comme destination finale, Montpellier. Il utilisait des passeurs.

    Lire la suite sur ContreInfo

  • Le parquet de Paris veut interdire de dire "Le changement de population, c'est maintenant !"

    Le parquet de Paris a requis hier 5 000 euros d'amende avec sursis contre Nicolas Dupont-Aignan jugé pour provocation à la haine ou à la discrimination pour avoir évoqué une "invasion migratoire". Le respect de la liberté d'expression pour un homme politique est de plus en plus menacée en France :

    N. Dupont-Aignan
     
    @dupontaignan

    En 2016, les socialistes compensent la baisse de natalité par l'invasion migratoire. Le changement de population, c'est maintenant !

    Suite à ce tweet de 2017, Nicolas Dupont-Aignan s'était justifié sur France Info :

    "Nous sommes, face au phénomène migratoire en France, face à un déni de réalité. Ces chiffres sont effrayants. La réalité, c’est que, pour la première fois, l’immigration légale (je parle pas des clandestins, je parle pas des demandeurs d’asile qui se voient refuser l’asile - et qui sont pas expulsés) aboutit à 226.000 entrées légalisées sur le territoire, alors que l’excédent naturel français est l’un des plus bas de ces dernières années puisque nous sommes passés à 198.000. Cela veut dire que, comme on a réduit la politique familiale, comme on a réduit le pouvoir d’achat, comme ils ont accablé les Français d’impôts, les migrations prennent de l’ampleur.

    Je suis attaché à l’égalité des droits des Français et des étrangers quelle que soit leur couleur, leurs origines. Mais il ne peut pas y avoir d’assimilation, c’est-à-dire d’égalité des droits, de modèle républicain quand on est pas capable de maîtriser les entrées sur notre territoire. On atteint la cote d’alerte. Nous devons absolument bloquer l’immigration et renforcer la natalité. [...] J’assume ce que je dis : si on continue à ne pas maîtriser les flux dans notre pays, la population change et l’assimilation républicaine ne se fait plus par l’emploi ni le destin commun. [...] Si on ne fait rien, on est en voie d’un remplacement de population qui n’est pas bon pour la population française ou étrangère car elle remet en cause notre modèle républicain."

    Suite à ce réquisitoire stalinien, Debout La France publie ce communiqué :

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    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le moment est une fois encore venu de refuser la dictature rouge dans les entreprises comme dans les universités

    6a00d83451619c69e201b7c95e202e970b-800wi.jpgDe Bernard Antony :

    "Des raisons essentielles motivent notre opposition sur bien des plans à la politique d’Emmanuel Macron et de son gouvernement. Celle-ci est en effet d’une part modelée par le vieil étatisme jacobin, imprégnant toujours l’énarchie dirigeante ; de l’autre, par le libertarisme sociétal de déconstruction humaine, familiale et sociale tel que procédant de la connivence idéologique Macron-Bendit-Schiappa.

    Mais on ne saurait pour autant appuyer irresponsablement n’importe quelle force, n’importe quel mouvement opposés à ce régime. La politique du pire est en effet toujours la pire des politiques. La vérité, c’est qu’on ne saurait par principe désapprouver le gouvernement lorsqu’il veut réformer la vieille structure de la SNCF, de plus en plus sclérosée, coûteuse et non sans risque d’insécurité. Ce que l’on doit regretter, c’est qu’il ne s’attaque pas du tout au centralisme paralysant de la SNCF, alors que le pays a partout besoin de la réanimation de son système de transport ferroviaire.

    Le remède n’est évidemment pas dans ce que propose la nébuleuse groupusculaire archéo-communiste ou lénino-trotskyste constitutive des noyaux dirigeants d’un syndicalisme politiquement détourné de sa fonction. La prise en otage qui pourrait durer, des mois durant, de la plus grande partie de la population active du pays ne peut être acceptée. Elle est ruineuse, paralysante, destructrice du bien commun national. La réapparition des drapeaux rouges et noirs rappelle les plus mauvais moments de notre histoire d’après-guerre. Une partie du peuple découvre avec stupéfaction que la dictature de la violence bolchevique ne relève pas que des fumées de l’histoire.

    Même si nous lui sommes profondément opposés sur d’autres plans, on ne peut que souhaiter que notre gouvernement fasse preuve de l’énergie salvatrice qui fut celle en 1948 du grand ministre socialiste de l’Intérieur, Jules Moch. Celui-ci, Français juif, grand combattant de la guerre de 14 et également résistant, père d’un fils également résistant, tué par la Gestapo, ce Jules Moch, dans son discours historique prononcé le 16 novembre à l’Assemblée Nationale, déclarait notamment que « le bolchevisme moderne est la plus gigantesque entreprise de dépravation de l’homme qui ait jamais existé ». Presque soixante-dix ans plus tard, en 2018, il se trouve encore des bolcheviques tels que le lénino-trotskyste Besancenot pour prôner la violence révolutionnaire dans les universités au mépris de la grande majorité des étudiants qui ne veulent ni d’études malmenées ni d’examens au rabais. Le moment est une fois encore venu de refuser la dictature rouge dans les entreprises comme dans les universités."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Et s’ils remettaient ça, 50 ans après ?

    Les choses bougent, dans les universités. On sent déjà, après ce pluvieux mois de mars, les bourgeons de la colère commencer à éclore. Après la pluie vient le beau temps et, avec lui, le joli mois de mai. Moi, grâce à ma boule de cristal, je parie sur un mois marial très chaud, pas seulement en température mais surtout en manifestations étudiantes et lycéennes. D’ailleurs, nous en sentons déjà les prémices. Il faut être un journaliste « macronisé » pour ne pas discerner l’engrenage qui se met en place.
    Ainsi à l’université Panthéon-Sorbonne, le président craint que la situation ne « dégénère » sur le site de Tolbiac. Cela, depuis qu’une assemblée générale réunissant quelques centaines de personnes a voté, jeudi, une reconduite du blocus jusqu’à au moins mardi. D’aprèsLe Figaro, qui tient l’information de la direction de l’université, ils seraient 120 à occuper, la nuit, un amphi pour s’opposer à la nouvelle loi sur les universités. Son président n’exclut pas de « faire appel à la police ».
    « Je serai obligé de le faire si cela perdure et si l’intégrité physique des personnes est menacée », a déclaré Georges Haddad lors d’un point presse. 
    À Montpellier, le doyen de la fac de droit et un professeur sont suspendus par le ministre suite aux agissements d’hommes cagoulés contre des étudiants grévistes dans la nuit du 22 au 23 mars. Cela n’a pas empêché, à la fac Paul-Valéry, étudiants, syndicalistes, enseignants et personnels de voter une occupation active illimitée.
    À l’université Paris-Vincennes-Saint-Denis, depuis mardi, le bâtiment, historiquement de gauche, est occupé par des étudiants et des migrants.
    Un phénomène qui s’est déjà produit il y a trois mois à Nantes, où un château, dévolu à l’université, avait été occupé par des migrants soutenus par des étudiants d’extrême gauche. 
    Depuis trois semaines, dans les universités de Toulouse et Bordeaux, c’est la surchauffe dans les amphithéâtres, ce qui a entraîné l’évacuation des agitateurs par la police, le 6 mars. Surchauffe qui s’est amplifiée depuis les incidents de Montpellier. 

     À Grenoble, plus de 80 doctorants et enseignants-chercheurs ont écrit une lettre ouverte pour dénoncer « une intervention policière très violente » contre des manifestants venus « lancer des slogans contre Frontex » lors d’un colloque organisé par la faculté de droit sur le thème du contrôle des frontières de l’Union européenne.

    À Lille, environ 200 étudiants se sont réunis, le 23 mars, devant l’université Lille-II avant d’occuper un amphithéâtre.
    Des AG ont rassemblé 200 à 300 personnes à Strasbourg et 400 à 800 à Nancy.
    Comme on disait à l’époque : « Ceci n’est qu’un début, continuons le combat. » 
    Cela ne vous rappelle rien ? Je sais que nous, Français, avons la mémoire courte, mais là, une alerte devrait tinter dans la tête de nos gouvernants. Surtout que, contrairement à Mai 68, le monde du travail, à travers les cheminots, et plus généralement les fonctionnaires, est cette fois au départ des actions et des rassemblements. 
    Un cocktail explosif est en train de s’élaborer qui comprend syndicats avec migrants, lycéens et étudiants en fer de lance. Ce cocktail n’attend que les beaux jours pour éclater et fêter dignement le cinquantième anniversaire des mouvements de 68.
    Tout le problème est de savoir comment réagira Macron : fera-t-il tonner ses foudres jupitériennes et, surtout, sera-t-il rejoint par la majorité silencieuse ? 
    L’avenir nous le dira, mais l’air du mois de mai risque fort, en attendant, d’être saturé, dans les grandes villes, de gaz lacrymogènes.
     J.-P. Fabre Bernadac
    Source 

    http://philippedelbauvre.blogspot.fr/

  • De nombreuses expulsions d’immigrés délinquants empêchées par leur pays d’origine

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    La Loi française veut que des mesures d’éloignement soient prises à l’égard d’immigrés illégaux, de clandestins, de déboutés du droit d’asile ou d’étrangers délinquants. Les textes sont complexes et bourrés de chausse-trappes. Les procédures sont longues, bureaucratiques et propres à tous les recours imaginables avec l’aide des associations immigrationnistes et grâce à la complaisance d’une partie des pouvoirs publics.
    Par ailleurs pour éloigner un individu susceptible de l’être, il faut qu’il puisse être accueilli par son pays d’origine. Pour ce faire celui-ci doit le reconnaître comme tel et délivrer un Laisser Passer Consulaire (LPC). Sinon l’« éloigné » restera en France.
    Force est de constater que plusieurs pays sur lesquels la France ne manque pourtant pas de moyens de pression ou de rétorsion, désignés en novlangue administrative comme « peu coopératifs », contribuent d’une manière consciente à l’invasion que nous connaissons et considèrent la France comme le dépotoir de leurs délinquants.

    La problématique des éloignements

    Qu’est-ce qu’une mesure d’éloignement ?

    Un étranger non-européen peut faire l’objet de plusieurs mesures administratives d’éloignement : obligation de quitter la France, expulsion, reconduite vers un autre pays européen … Ces mesures sont prises en cas de séjour irrégulier, menace à l’ordre public, etc.

    L’obligation de quitter le territoire français (OQTF) est la principale mesure d’éloignement qui concerne les étrangers. La décision est prise par le préfet, notamment en cas refus de délivrance de titre de séjour ou de séjour irrégulier en France. Elle oblige l’étranger à quitter la France par ses propres moyens dans un délai de 30 jours.

    Depuis la fin des années 1970, l’effectivité des mesures d’éloignements est affichée par les pouvoirs publics comme un objectif prioritaire. Malheureusement force est de reconnaître que ce dispositif représente aujourd’hui une des faillites de l’administration française. C’est ainsi qu’environ 90% des mesures d’éloignement décidées à la suite de refus de droit d’asile ne sont pas exécutées et ce malgré les demandes de coopération formulées auprès des pays d’origine des « éloignés ».

    Le sésame indispensable : les demandes de laissez-passer consulaires (LPC)

    Les « éloignés » et autres expulsés manifestant la plus grande réticence à quitter la France, notamment en ne présentant pas leur passeport aux autorités préfectorales françaises, celles-ci sont contraintes de se tourner vers leur pays d’origine et de demander à leur consulat en France de coopérer. Soit le consulat accepte de rencontrer l’étranger qui y est conduit sous escorte policière pour un entretien visant à « reconnaître » celui-ci comme son ressortissant soit il refuse purement et simplement d’apporter son concours et ne délivre aucun LPC. Ce cas est malheureusement trop fréquent et plusieurs pays sont considérés comme « peu coopératifs ».
    Un constat de faillite

    Des chiffres consternants

    En 2017, selon les statistiques de la Direction Générale des Étrangers en France (DGEF), il a été délivré 1 097 019 visas en forte augmentation pour le Maroc, mais aussi, il faut le noter, pour le Pakistan, l’Inde et le Bangladesh. Les mesures d’éloignement prononcées se sont élevées à 33 388.

    Pour la même année les LPC demandées ont été de 2982. Il convient de souligner la disproportion entre ce nombre de demandes et celui des mesures d’éloignement prononcées. D’autant plus que seulement 1452 demandes ont donné lieu à reconnaissance, soit un taux de 49% et que, très modestement, 1221 LPC ont été délivrés soit un taux 41%.

    Au final, en 2017, sur 33 388 mesures d’éloignement, 3766 ont été exécutées soit un ratio de 11%qui démontre à lui seul l’échec d’une politique et d’un système.

    Les pays les moins coopératifs et dont le taux d’exécution est le plus faible sont des pays d’Afrique noire comme le Mali, la Cote d’Ivoire et la Guinée, mais également le Bangladesh, l’Inde et l’Afghanistan.

    Un exemple démonstratif

    Azzedine B., algérien, est un délinquant multirécidiviste. Il a été condamné en 2010 à 6 mois de prison pour extorsion avec violence puis, en 2011 à 3 ans de prison pour le même motif par le même tribunal de Saint-Etienne, en 2012 à 6 ans d’emprisonnement pour vol avec arme par une cour d’assises du Loiret, en 2016 à 3 mois d’emprisonnement pour violence dans un local administratif. Il commet de nombreux incidents en détention. Une vraie « chance pour la France ».

    Le 15 décembre 2016, l’autorité préfectorale du Loiret prend un arrêté d’expulsion. Coup de chance, le garnement est aisément identifiable grâce à son passeport algérien délivré par le consulat d’Algérie à Saint-Etienne et un extrait d’acte de naissance établi en Algérie. Ce pays peut donc le « reconnaître ». La préfecture saisit alors le consulat d’Algérie aux fins de délivrance d’un LPC .

    Par courrier du 6 juin 2017 le consulat d’Algérie refuse d’établir un LPC pour « des motifs familiaux » et indique qu’il a transmis le dossier à son ambassade et à son ministère qui répondront, s’ils le jugent nécessaire. Au bout du compte le refus de LPC est confirmé malgré des échanges de courriers entre ambassades.

    Finalement Azzedine B. a été, à la fin de sa période détention le 21/09/2017, assigné à résidence dans le département de la Loire chez sa maman qui, à l’évidence, ne manquera pas d’exercer sur son fiston une influence bienfaisante de nature à le transformer en honnête homme !

    Des conséquences graves

    Tout cela coûte cher, épuise les magistrats et les policiers, bafoue la Loi et le sens commun. Surtout notre pays et nos institutions sont traités sans égards et ridiculisés.

    Enfin s’entassent en France, à l’affût de la moindre opportunité de mal faire, des délinquants multirécidivistes qui n’ont pas leur place chez nous .

    Et pourtant il y aurait des solutions si on le voulait vraiment.

    C’est François-Noël Buffet, sénateur LR du Rhône qui, à Bourdin Direct, a préconisé des mesures de rétorsion :

    – Menaces de refus de titres de séjour ;

    – Limitation des visas de tourisme ;

    – Limitation des accords de regroupement familial.

    Ces propositions s’inscrivent cependant dan le système actuel de l’immigration. D’autres mesures sont envisageables à caractère financier :

    – Restrictions sur les transferts financiers des ressortissants des pays tiers vers leur pays, leur village , leur famille. En 2016 la Banque de France a estimé les envois de fonds à l’étranger par des travailleurs résidant en France à 10Md€. Les trois pays du Maghreb en représenteraient 40% soit 4,4Md€. Et Dieu sait qu’un pays comme l’Algérie en a besoin.

    – Réduire voire bloquer ponctuellement l’aide publique au développement.
    Conclusion

    Dans un pays soucieux du respect de ses Lois et attaché à sa dignité de telles dérives seraient inacceptables. Mais, comme l’a dit François-Noël Buffet, la mise en œuvre de solutions ne peut marcher que s’il existe une volonté forte.
    C’est justement là que le bât blesse. En réalité il existe deux volontés qui concourent pour que cette dérive perdure. Celle des pays tiers qui ne souhaitent pas récupérer leurs malfrats et, au fond, sont bien contents de bafouer la France. Et celle du pouvoir politique de favoriser par tous les moyens l’invasion de notre pays quel qu’en soit le prix pour notre sécurité et notre vie quotidienne.

    André Posokhow

    Texte repris du site Polemia

    https://fr.novopress.info/210278/de-nombreuses-expulsions-dimmigres-delinquants-empechees-par-leur-pays-dorigine/

  • Vie et mort de Winnie Mandela

    6a00d8341c715453ef01bb0a0146d1970d-320wi.jpgLe 2 avril, mourait à Johannesburg, où elle aura droit à des funérailles d’État, l'ex épouse de Nelson Mandela, Winnie Madikizela-Mandela. Officiellement, elle était âgée de 83 ans.

    Nelson Mandela avait connu Winnie à un arrêt de bus, pour elle il avait abandonné femme et enfants.

    À la fin de l’apartheid en 1991, elle était entrée au gouvernement.

    À la fin de sa vie, elle reprochera à son ex-mari d’avoir "laissé tomber les Noirs et favorisé l’économie blanche". Pour elle, la nation arc-en-ciel était un "mythe".

    Son modèle était sans doute celui de la Haïti de Toussaint l’Ouverture (1743-1803) et plus encore le Zimbabwe de Mugabé. Des régimes incapables et corrompus dont la seule issue consiste à détourner la colère de leur peuple contre les méchants Blancs.

    Son vrai successeur s'appelle Julius Sello Malema. Né en 1981, il était devenu en 2008 président de la ligue de jeunesse du Congrès national africain (ANCYL). Pour ses propos et ses discours appelant à la violence contre les Blancs, il est exclu de l'ANC en 2012.

    Revenons sur la carrière de cette Winnie Mandela révolutionnaire pudiquement désignée comme "controversée".

    Très vite, le discours et l'action de celle qu'on surnomma "la mère de la nation" avait évolué vers un radicalisme extrême. Ayant endossé le slogan "un boer, une balle", elle justifiera, le 13 avril 1985, dans son discours de Munsieville, le supplice du pneu enflammé autour du cou des "traîtres" noirs. "Avec nos boîtes d'allumettes et nos pneus enflammés, nous libérerons ce pays".

    En janvier 1989, elle accuse d'espionnage au profit du gouvernement blanc un jeune militant de 14 ans, Stompie Seipei Moketsi. Celui-ci, sur l'ordre de Winnie Mandela sera battu à mort avec des pelles et des pioches pendant plusieurs jours. L'exploit est signé de sa garde rapprochée connue sous le nom de Mandela United Football Club (MUFC).

    En 1990, on la voit au bras de son mari libéré, mais celui-ci prend rapidement ses distances. En 1991, il la soutient cependant encore quand elle est reconnue coupable d'enlèvement et complicité dans le meurtre de Moketsi. Sa condamnation à six ans de prison pour enlèvement est alors réduite en appel à une simple amende. Plus tard, devant la Commission de la vérité et de la réconciliation, ses anciens complices affirment qu'elle avait été l'organisatrice de l'enlèvement et avait aussi participé directement au meurtre de Moketsi.

    En avril 1992, Nelson Mandela annonce leur séparation. La même année, accusée de corruption et mauvaise gestion, elle est démise de ses fonctions dirigeantes à l’ANC. Le divorce ne sera prononcé qu'en mars 1996. Nelson Mandela a déclaré à son propos : "J'ai été l'homme le plus seul qui soit", alors que des rumeurs d'infidélité entouraient cette dernière.

    De 1993 à 1997, elle préside la ligue des femmes de l'ANC.

    En mai 1994, elle devient vice-ministre des Arts, de la Culture, de la Science et des Technologies.

    Elle doit démissionner onze mois plus tard, à la suite d'accusations de corruption. Elle reste cependant populaire auprès de la base radicale de l'ANC, celle qui refuse la collaboration du gouvernement noir avec les colons blancs. En décembre 1997, elle renonce à sa candidature à la vice-présidence de l'ANC après de nouvelles révélations sur son implication dans le meurtre de Stompie Seipei Moketsi dans le cadre de la Commission vérité et réconciliation (TRC) présidée par l'archevêque Desmond Tutu. Et en 1998, ladite Commission la déclare "coupable politiquement et moralement des énormes violations des droits de l’homme" commises par sa petite milice MUFC.

    Le 24 avril 2003, elle est reconnue coupable par la justice sud-africaine de 43 accusations de fraudes, de 25 accusations de vols et son frère, Addy Moolman, est lui aussi condamné. Elle est condamnée à quatre ans de prison. Elle est également condamnée pour avoir assisté à des séances de tortures à Soweto, visant des jeunes, présumés indicateurs, par sa garde personnelle.

    C'est en 2010, que Winnie Madikizela-Mandela condamnera la politique de son ancien mari. Elle lui reproche d'avoir accepté de partager le prix Nobel de la paix avec Frederik de Klerk et l'accuse d'avoir donné son accord à un mauvais arrangement et ainsi "d'avoir laissé tomber les Noirs et d'avoir favorisé l'économie blanche".

    Dans un article étonnement indulgent publié par Le Monde, Jean-Philippe Rémy, correspondant régional à Johannesburg, écrit, fort complaisamment: "les dernières années, elle restait proche de son parti de toujours, l’ANC Congrès national africain, mais s’intéressait de près aux activités de EFF, les Combattants pour la liberté économique de Julius Malema. Elle faisait un peu la vestale pour ces jeunes radicaux qui jouent avec le feu, comme elle aimait tant."

    En 2013, elle avait déclaré : "L’année prochaine, nous irons aux élections mais je ne sais pas ce que nous, en tant qu’ANC, pourrons dire au peuple. Nous aurons un bilan qui nous enlèvera toute crédibilité. Quand je pense au degré de corruption dans nos rangs, au nombre de nos cadres aussi incompétents que voleurs. Ce qui se passe contredit totalement ce pourquoi nous nous sommes battus. Maintenant, notre combat porte sur le nombre de voitures au garage et l’épaisseur de notre portefeuille d’actions dans l’industrie minière."

    Involontairement sans doute, elle nous fournissait ainsi une assez bonne conclusion.

    JG Malliarakis 

    Lien FB de l'insolent

    http://www.insolent.fr/