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  • MILOŠEVIĆ INNOCENTÉ PAR LE TPIY, CELA N’INTÉRESSE PAS NOS MÉDIAS !

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    Maurice Pergnier Boulevard Voltaire cliquez ici

    Tous les jugements du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie ne trouvent pas le même écho dans nos médias : celui qui condamne à perpétuité Ratko Mladić (ancien chef de l’armée des Serbes de Bosnie) pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide a fait l’objet d’une ample couverture ; en revanche, on chercherait en vain dans notre presse les gros titres faisant état de ce que le même tribunal (et dans le même jugement) innocente Slobodan Milošević (ancien président de Serbie) des mêmes crimes, dont les médias et la justice internationale l’ont pourtant accusé pendant vingt-cinq ans.

    Le jugement Mladić, dans son quatrième volume, publié le 22 novembre 2017, stipule en toutes lettres que le TPIY n’a constaté « nulle preuve que Slobodan Milošević [sont cités aussi quelques autres accusés] ait de quelque façon contribué à la réalisation de l’entreprise criminelle [visant à faire de la République serbe de Bosnie une entité ethniquement pure]. » Il est à noter qu’il ne s’agit là que d’une confirmation, le tribunal ayant déjà formulé la même appréciation dans le jugement de Radovan Karadžić, condamné l’année précédente, innocentant Milošević une première fois (sans que cela intéresse davantage nos médias).

    Est-ce à dire que, si le procès de Milošević n’avait pas été interrompu brutalement, il y a onze ans, par la mort de l’accusé, celui-ci aurait bénéficié d’un acquittement ou d’un non-lieu ? Peu probable car, à l’époque, Karadžić et Mladić étaient en fuite, et les commanditaires du TPIY avaient besoin à tout prix de la condamnation d’un bouc émissaire pour justifier leur appui aux sécessions de la Croatie, de la Slovénie, de la Bosnie et, enfin, du Kosovo, ainsi que l’embargo et le bombardement de l’OTAN sur la Serbie. Cependant, Milošević, qui assurait lui-même sa défense, le faisait tellement bien, en démontant pièce à pièce les absurdités de l’accusation, que le procès, de l’aveu général, tournait à la débâcle pour cette dernière. Le moins qu’on puisse dire, c’est que sa mort en cellule (d’une crise cardiaque qui aurait pu être évitée si on avait accédé à ses demandes d’hospitalisation) tombait opportunément. Le tribunal ne se trouvait plus devant le dilemme d’ou bien prononcer une lourde condamnation qui eût fait de lui un martyr, ou bien déclarer un non-lieu qui mettait à bas toute une stratégie politique fondée uniquement sur la diabolisation à outrance des dirigeants serbes.

    On aurait pu penser que, pour nos médias, ce blanchissement posthume de leur « boucher des Balkans » serait un sujet d’étonnement digne de commentaire. C’est juste un non-événement. Il est vrai que le TPIY n’a pas donné beaucoup de publicité à sa mise hors de cause de Milošević. Le paragraphe en question se trouve dans la note 15357 d’un volume de 471 pages : seuls les spécialistes se sont donc donné la peine de le lire. Mais peut-on imaginer que, étant donné le caractère spectaculaire de la chose, lesdits spécialistes ne se soient pas empressés d’en informer les gens de presse ?

    Émettre des doutes sur la culpabilité de Milosevic (notamment celle d’avoir ordonné le « génocide » de Srebrenica) a longtemps été qualifié de révisionnisme – et l’est encore ! – par des médias influents. Est-il permis, sans s’exposer au même anathème, de se demander si les certitudes infaillibles qui applaudissent à la condamnation de Mladic sont de la même eau que celles qui ont prévalu pendant 25 ans pour Milosevic ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le Commissaire européen à l’immigration veut imposer par tous les moyens le Grand Remplacement

    Dimitris Avramopoulos, commissaire européen chargé de l’immigration, affirme que les Européens doivent accepter l’immigration massive en provenance du tiers monde comme la « nouvelle norme », estimant que rien ne permettra à une quelconque partie de l’Union Européenne de rester« homogène et sans immigration ».

    Dans un entretien publié lundi par POLITICO avec pour titre « Les migrants européens sont là pour rester », le commissaire européen démontre sans état d’âme sa vision dictatoriale destinée à imposer à toute l’Europe le plan d’immigration de grand remplacement.

    Comme pour se convaincre qu’il n’existe pas d’autre voie possible, le commissaire européen déclare :

    « Il est temps d’affronter la vérité. Nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais arrêter l’immigration. »

    Et de livrer une petite explication :

    « L’immigration est profondément liée à nos politiques en matière d’économie, de commerce, d’éducation et d’emploi – pour n’en citer que quelques-unes. »

    Le commissaire européen Avramopoulos avoue que les institutions européennes ne considèrent pas les « réfugiés » comme des personnes accueillies temporairement en Europe le temps qu’une guerre dans leur pays d’origine se termine, mais bien au contraire comme une transplantation permanente de populations extra-européennes dans les pays de l’UE.

    « Ils ont trouvé la sécurité en Europe, mais nous devons aussi veiller à ce qu’ils trouvent un foyer », écrit-il à propos de ces immigrés, précisant que programmer les Européens à l’accueil de l’immigration de masse est « non seulement un impératif moral », mais aussi « un impératif économique et social pour notre continent vieillissant – et l’un des plus grands défis dans l’avenir proche ».

    Or, ce sont ces mêmes institutions européennes qui ont tant manœuvré pour imposer par ailleurs sur notre continent une politique malthusienne faite de pilules contraceptives, d’avortements, de divorces et d’attaques répétées contre l’institution familiale, provoquant inexorablement de la sorte le déclin démographique qui permet de justifier ensuite l’immigration massive comme LA solution au vieillissement orchestré de notre population.

    Loin de se limiter à faciliter l’immigration massive en cours, le commissaire européen explique que la Commission s’emploie également à « renforcer les voies légales d’immigration économique grâce à une Carte Bleue plus ambitieuse pour les travailleurs hautement qualifiés et à lancer des projets pilotes ciblés de migration de main-d’œuvre dans les principaux pays du tiers-monde ».

    Mais malgré cette propagande, le commissaire européen constate que les personnes d’origine non européenne vivant en Europe sont beaucoup plus susceptibles de vivre d’aides sociales, d’allocations de chômage ou de bas salaires, au point que la Commission européenne a même souligné que des « mesures d’intégration » seraient nécessaires pour accueillir ces immigrés qu’elle prétend être essentiels aux économies du continent.

    Le commissaire européen a également félicité POLITICO pour avoir publié une série d’articles qui accusent l’Europe d’être « trop blanche » et invitent l’UE à prendre des mesures qui encourageraient le remplacement des Européens de souche par des « personnes de couleur » dans les emplois.

    Le commissaire à l’immigration estime que tout cela n’est pas encore « suffisant pour provoquer les changements dont nos sociétés ont besoin pour être prêtes à affronter les réalités du XXIe siècle ».

    Le commissaire européen Avramopoulos n’a pas manqué de désapprouver les mesures prises par les gouvernements d’Europe centrale pour s’opposer à cette immigration. « Il est naïf de penser que nos sociétés resteront homogènes et sans immigration si l’on érige des clôtures », a-t-il déclaré, avant de conclure que « La seule façon de rendre nos politiques d’asile et d’immigration pérennes, c’est de commencer par changer collectivement notre façon de penser ».

    Curieusement, lorsque ce même commissaire européen se rend en Israël, il ne trouve pas nécessaire de critiquer les clôtures israéliennes ni les mesures prises par ce pays pour garantir une forme d’homogénéité et ne tolérer qu’une immigration très sélectionnée.

  • L’islam à la conquête de l’école

    Islamconqueteecole-600x785.jpgIl y a 28 ans, à Creil, à travers le voile de trois jeunes filles, une lutte âpre s’est engagée entre les Résistants à l’islamisation de notre pays et ceux qui désirent faire de notre pays le 58e pays musulman de la planète. Ces derniers ont compris que l’école était le terrain de choix pour manipuler les mentalités, les changer, falsifier l’histoire et imposer à nos jeunes enfants l’omniprésence de l’islam.

    Malgré les 1400 ans de conquêtes, de rapines, d’enlèvements des nôtres et leur mise en esclavage, l’islam, désormais, est présenté en classe comme une “religion de paix et d’amour”… Pire encore, rien ne sera épargné à nos enfants : accompagnatrices voilées, enseignement de l’arabe, invitation de rappeurs et de voilées, prosélytisme actif pro-immigration, formation de nos enseignants par des activistes musulmans, disparition de Charles Martel mais étude des Empires africains… et Belkacem !

    Ce petit ouvrage de Christine Tasin montre les différents aspects de l’endoctrinement de nos enfants, nomme les responsables politiques français et européens et remonte à la clé de tout, un document musulman de 2000 expliquant comment et pourquoi l’islam doit partir à la conquête de l’école.

    Pour commander cet ouvrage : https://ripostelaique.com/lislam-a-la-conquete-de-lecole-le-terrifiant-livre-choc-de-christine-tasin.html

    https://fr.novopress.info/208925/lislam-a-la-conquete-de-lecole/

  • Merci pour ce moment…à grand coup de bûche de bonheur

    Saint-Nicolas.jpgÉvoquant l’élection de Miss France diffusée samedi sur TF1, une cht’i de souche, Maëva Coucke (une insupportable provocation raciste?),  le journaliste d’Europe 1 David Abiker a commis ce tweet assez drôle, en pleine polémique désormais habituelle initiée par d’ autoproclamés féministes et autres défenseurs des minorités opprimées : « je trouve que le concours miss France a une approche légèrement genrée de la compétition et assez peu inclusive des moches. » En Autriche, la récente compétition électorale législative a été elle aussi assez peu inclusive pour la gauche de manière générale, et les euromondialistes en particulier. Vainqueur de ce scrutin, le jeune conservateur assumé Sebastian Kurz du Parti populaire (ÖVP) vient de conclure une alliance de gouvernement avec nos amis de l’opposition nationale autrichienne du Parti de la liberté (FPÖ). Ceux-ci ont obtenu six portefeuilles dans ce nouveau gouvernement dont trois ministères régaliens (l’Intérieur confié à Herbert Kickl , la Défense  attribué à Mario Kunasek, les Affaires étrangères à Karin Kneissl).  Le président du FPÖ,  Heinz-Christian Sträche,  est nommé pour sa part vice-chancelier et ministre de la Fonction publique et des Sports, l’ex candidat national  à la présidentielle Norber Hofer  à la tête du  ministère des transports…

    Les nationaux Autrichiens sont donc de retour aux affaires 17 ans après les négociations menées par leur ancien dirigeant Jörg Haider qui, au terme des législatives de 1999,  avait vu  le FPÖ  (26,9 % des voix)  nouer  une alliance de gouvernement en 2000  avec l’ ÖVP présidée à l’époque par Wolfgang Schüssel. Un accord  qui eut alors pour conséquence la mise au ban de l’Autriche par les instances de l’UE   et les médias-gardiens-du-dogme  qui avaient hurlé au retour  de la Bête immonde. La montée en puissance des mouvements nationaux,  patriotes, populistes  au sein de l’Union européenne, la résistance du groupe de Visegrad aux oukases bruxelloises,  rendront cette fois beaucoup plus difficile un ostracisme aussi délirant… et nettement moins audible une  propagande aussi grossière.

    Le  vice-président du FN Nicolas Bay, invité hier de l’émission Questions politiques pour France Inter, franceinfo et Le Monde,  s’est félicité de cette entrée au gouvernement du FPÖ  dont les députés européens siègent aux côtés de ceux FN au sein du groupe ENL. Nationaux qui « défendent l’identité de l’Autriche dans l’Europe des Nations », « exactement la même position que celle du Front national.  » « Un accord de gouvernement  de ce type n’est peut-être pas forcement exportable  en France  a noté Nicolas, parce que la situation autrichienne n’est pas forcément la même »,  mais il est « la preuve que nos alliés sont prêts à travailler à l’intérêt général des Autrichiens, mais d’une manière générale, de l’Europe et des peuples européens. »

    Les lignes peuvent-elles aussi bouger en dans notre pays ? C’est la grande peur d’une large partie du microcosme politico-médiatique.   Le quotidien suisse Le Temps l’exprime en expliquant à ses lecteurs que  « L’Autriche inaugure une expérience dont l’issue sera scrutée par toutes les droites classiques du continent. Aux Pays-Bas, cette droite a barré la route à Geert Wilders en s’appropriant en grande partie ses idées. En France, Les Républicains espèrent renaître en s’alignant sur la politique du Front National. Ce pari de l’accommodement – dont rien n’indique qu’il barrera la route à l’extrême droite – met en jeu l’avenir même de nos démocraties.  »

    La juppéiste ralliée opportunément à Laurent Wauquiez, Virginie Calmels, avait créé l’émoi en affirmant la semaine dernière que son parti refusait « pour le moment » la main tendue de Marine, toute alliance, même locale, municipale,  avec le FN. Cette formulation pour le moment a heurté la droite sous influence idéologique de la gauche.  Mme Calmels  a donc voulu  rectifier  le tir sur twitter et sur France info:  « Jamais on ne pourra m’accuser de vouloir faire quelconques accords avec le FN.  » «Pour le moment, ça n’a jamais eu lieu et ça n’aura jamais lieu », a-t-elle insisté.  « Souvent, j’envie Manuel Valls. Quand il dit un certain nombre de choses sur l’islam radical, lui, on ne lui fait pas le procès de tutoyer le FN (sic). Alors que quand on est de droite, on nous fait ce procès. »

    De droite ?  Celle de l’humaniste-juppéiste Dominique Bussereau, président LR du département de Charente-Maritime,  qui a appelé à voter PS pour faire barrage au FN, est à l’abri de ce genre de critiques. Lundi dernier sur Sud Radio, il s’interrogeait sur son ralliement éventuel au parti d’Emmanuel Macron et ajoutait: « le FN, c’est tout ce que j’exècre dans la vie politique. Pour moi, l’idée d’un rapprochement ce n’est même pas une ligne rouge, c’est une ligne violette. Cette phrase est très maladroite, il n’aurait pas fallu la prononcer. » M. Busserau par ses outrances pathétiques  vis-à-vis de l’opposition patriotique représente il est vrai tout ce que le peuple de la droite des valeurs rejette.  Son tweet du 28 avril dernier consécutif au soutien apporté par Nicolas Dupont-Aignan à Marine dans l’entre deux tours de la présidentielle n’a pas non plus  été oublié: « Soi disant gaulliste mais en réalité pétainiste, Dupont-Aignan doit être battu aux législatives et dans sa commune. Vrai collabo. » Et M. Bussereau est un vrai quoi ?

    Cette  droite démonétisée, celle qui conjugue trahison des promesses,  impuissance une fois au pouvoir  et  fulminations inquisitoriales est dénoncée par beaucoup de nos compatriotes. Elle est jugée, à juste titre, grandement responsable de  l’immigration-invasion, du grand remplacement,  de la paupérisation-tiers-mondisation de notre pays, de son affaiblissement, de son déclassement social, économique, identitaire.

    Invité ce matin de l’antenne  de RTL, le ministre de l’Intérieur  Gérard Collomb comme M. Wauquiez et tous ses prédécesseurs place Beauvau  depuis trente ans,  a promis de la fermeté, une augmentation des expulsions des clandestins.  « Aujourd’hui, nous ne savons qui se trouvent dans ces centres (d’accueil des migrants) . On pense qu’il y a à peu près un tiers des personnes qui sont des réfugiés, un tiers qui sont des déboutés et un autre tiers dont il faut évaluer la situation »,  environ 103 000 personnes a-t-il dit.  Et  s’il a  reconnu  que nous ne pouvons pas accueillir  toute la misère du monde – «il y a 95 000 demandes d’asile par an, c’est-à-dire une grande ville chaque année »-  il  a réaffirmé de manière contradictoire  la décision  d’ouvrir notre territoire « à  celles et ceux qui sont réfugiés des théâtres de guerre (ça fait beaucoup de monde M. Collomb!, NDLR) , qui sont prisonniers politiques, mais en même temps (sic)  d’essayer de mener une politique qui permette que les migrations économiques soient menées de manière autre.  » Tout cela est bien flou et quand c’est flou il y a un loup selon la célèbre formule de Martine Aubry

    Une immigration qui pèse sur des pans entiers de notre société et notamment à l’école. Valeurs actuellesrelayait  l’enquête annuelle d’Ipsos sur La relation à l’autre et aux minorités , dévoilée dans Le Point, selon laquelle « plus de la moitié des professeurs interrogés admettent avoir déjà été confrontés à l’hostilité de leurs élèves sur certains sujets. Ainsi, 56% des enseignants ont déjà rencontrés des difficultés avec des élèves en cours d’histoire, notamment sur les questions de religions, de croisades et de décolonisation. Même chose en cours de SVT où 51% des enseignants ont déjà eu maille à partir avec leurs élèves, en particulier sur les sujets de biologie sexuelle et de théorie de l’évolution. Ces chiffres passent à 78% et 70% chez les enseignants en zones sensibles. »

    Immigration massive qui conduit de nombreux pays occidentaux  à l’acculturation… au nom du multiculturalisme, afin de ne pas heurter la sensibilité des minorités, comme si elles arrivaient dans des pays qui étaient des pages  blanches, sans passé, sans traditions, sans culture autochtone. Le site canadien Le Peuple indiquait  dernièrement  qu’« après la compagnie General Motors qui n’ose plus parler d’un arbre de Noël, mais plutôt d’un  arbre des fêtes , c’est au tour cette fois de deux autres compagnies, IGA et Vachon, de se distancier cette année des fêtes chrétiennes. Du côté d’IGA, on apprend (…)  que la compagnie ne vend pas des bûches de Noël, mais des  bûches du bonheur ; et sur celles-ci, on y souhaite non pas un joyeux Noël, mais de  joyeuses fêtes (…). Du côté de Vachon (…)  sur un emballage pour une  bûche des fêtes (…) on souhaite de  joyeuses fêtes  plutôt qu’un joyeux Noël. » Le pli  de ne plus prononcer le nom honni de Noël est pris de manière plus générale depuis longtemps par nos médias français, les grandes enseignes, la pub…

    Gilles-William Goldnadel, chroniqueur dans l’émission de Thierry Ardisson sur C8, s’indignait hier soir de ce que le marché de Noël de Bruxelles ait été rebaptisé par son maire Loisirs d’hiver,  tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître  le mot  croix… dans le but de faciliter le vivre-ensemble (?), de respecter les populations allogènes faisant appel à ses services (?). Une offensive qui est aussi le produit du travail de sape mené par des personnalités politiques, des  officines et autres lobbies cosmopolites œuvrant sous nos latitudes à la mise en place de sociétés proprement orwelliennes.

    Me Goldnadel  rappelait aussi qu’il  y a vingt-et-un ans, le quotidien de référence Le Monde pouvait tranquillement évoquer dans un article l’inauguration par le maire de Paris Xavier Tibéri et sa femme  de la traditionnelle crèche de Noël  sur le parvis de l’hôtel  de ville, bien impensable aujourd’hui… Il est certain, constate Bruno Gollnisch, que la polémique de ces dernières années sur la présence de  crèches dans l’espace public est un indicateur assez révélateur de la montée en puissance des attaques contre notre mémoire. Racines, valeurs de notre magnifique civilisation helléno-chrétienne, vision du monde des peuples européens  menacées aujourd’hui certes  par une immigration  torrentielle. Mais cette dernière  n’est jamais  que le fruit empoisonné – ce n’est pas le seul, loin s’en faut - d’une idéologie mondialiste qui ne manque pas de collabos, comme dirait M. Bussereau, au sein d’un  Système à tuer les peuples dont les pays du sud sont  aussi les  victimes. 

    https://gollnisch.com/2017/12/18/merci-moment-a-grand-coup-de-buche-de-bonheur/

  • Immigration : Macron dans ses contradictions, par Ivan Rioufol

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    Une désuète conversation de salon : c’est ce à quoi s’est prêté le journaliste de France 2, Laurent Delahousse, en interrogeant Emmanuel Macron, dans une séquence préenregistrée mardi soir et diffusée dimanche soir sur la chaîne publique. Sur le fond, rien n’est à retenir de cette pure opération de communication et d’auto-promotion. Macron a estimé que son élection “a stupéfait le monde”. Il a expliqué qu’il avait fait enlever de l’antichambre du premier étage les portraits “des présidents morts” pour les remiser après restauration dans une pièce à part.

    Les téléspectateurs ont assisté à la mise en scène du président déambulant dans les pièces de l’Elysée (du bureau doré au hall d’entrée), de manière à bien faire comprendre qu’il était perpétuellement “en marche”. Pas un instant, les questions de Delahousse, visiblement envouté par le regard fixe de son interlocuteur, n’auront cherché à fâcher le jeune monarque républicain, prêt à déceler “l’esprit chagrin”, voire la “haine” (chez Laurent Wauquiez) derrière la moindre critique. Ce week-end, le chef de l’Etat, féru de symbolique, avait choisi le site du château de Chambord pour fêter un pré-Noël en famille, dans un gîte rural situé sur le domaine royal. Alors que les médias assurent que Macron s’apprête à défendre une position de grande fermeté sur l’immigration clandestine, ce sujet n’aura pas été abordé. Il ne l’avait pas été davantage lors de sa campagne électorale, ni lors de son débat avec Marine Le Pen ou lors de sa première intervention télévisée du 15 octobre. Hier soir, la forme a de nouveau primé sur le fond.

    Les efforts que déploie le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, pour feindre l’autorité de l’Etat face à l’afflux d’immigrés fuyant la misère, ont du mal à convaincre. Ce lundi, sur RTL, Collomb a dit son souhait de voir les associations humanitaires travailler “de manière partenariale” avec les pouvoirs publics. Or ces associations refusent de distinguer entre le réfugié politique et l’exilé économique. Elles prônent un “asile pour tous”, au nom des droits de l’homme et de la non-discrimination : des principes dont se réclame Macron, qui ne cesse de dénoncer les “populistes” qui demandent des freins à ces flux migratoires qui perturbent de plus en plus la cohésion nationale. “La situation sur Paris est totalement explosive”, assure même le ministre de l’Intérieur.

    Pourtant, dans Le Monde de ce week-end, des maires de grandes villes (dont Martine Aubry et Alain Juppé) signent une tribune collective dans laquelle ils se préoccupent “du déracinement des migrants”, qui doivent être intégrés, qu’ils soient réfugiés reconnus ou déboutés du droit d’asile ayant décidé rester. Ces maires écrivent : “Accueillir dignement les nouveaux habitants relève de nos responsabilités à tous”. Reconnaître aux clandestins le statut de “nouveaux habitants” dit tout du renoncement des prétendus humanistes à faire obstacle à une substitution de population. Pour s’opposer à cette folle invasion, Macron serait obligé de se dédire. “Je fais ce que j’ai dit”, a-t-il prévenu hier.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 11 décembre et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Tout est bon pour lobotomiser l’homme : Qui se souvient des hommes (*)

    Par Laurence Maugest, philosophe et essayiste ♦ Entendu le 16 novembre dernier sur France Info (Intox) lors d’un débat sur la grande affaire actuelle du harcèlement sexuel : « C’est toute la société qui doit se mobiliser pour réguler les hommes déviants » (sic). Depuis des semaines, les annonces semblent indiquer que les dérapages masculins sont quotidiens. Les affaires se multiplient d’une façon phénoménale, les émissions s’enchaînent. En dépit de la somme de spécialistes invités sur les plateaux de télévision ou de radio, les propos se bornent à des constats outrés. Tous les jours, les affaires tombent comme les feuilles actuellement. Les médias se mobilisent autour du hashtag qui, suivant l’adage « Il n’y a pas de fumée sans feu », conduit à condamner sans procès et biaise une réflexion qui devrait être impartiale mais qui se transforme en pensée unique sous la pression de la doxa habituelle.

    Occulter l’autre – Apologie du miroir

    Aucune analyse sur des effets éventuels de la grande liberté sexuelle des années 1970. L’individu, comme le montre si bien Bérénice Levet, est constitué d’histoire et de tradition ; il est un fruit de l’Occident. Mais cet individu n’est-il pas mort, décomposé en « Homo festivus », qui, sans hérédité ni enracinement, se recroqueville sur les plaisirs immédiats qui font de lui un Narcisse égoïste ? Narcisse qui s’admire « comme s’il était un autre » et ne peut, en aucun cas, développer la « notion d’altérité », son autre de prédilection étant définitivement lui-même. Les autres ne sont que les objets de son strict plaisir. C’est ainsi que des femmes font des enfants pour elles, s’en débarrassent si ce n’est pas leur choix d’en avoir, et que les hommes se laissent aller à leurs pulsions.

    Les mis au pilori du hashtag ne sont-ils pas, en définitive, les bons élèves de l’école de la rue de 1968 : « Jouir sans entrave » et « Il est interdit d’interdire » ?

    Occulter l’intelligence – La délation ne fait pas loi

    Le fait d’être allé si vite vers la délation est aussi une façon d’écarter toute étape d’analyse, de réflexion et de jugement réel. Mais, ce fac-similé de tribunal n’a rien de consensuel ni de formel. Il n’est en fait qu’une succession de relents personnels, juxtaposés, qui montre, encore une fois, l’atomisation de la société et le trop d’importance que l’on donne à l’expression individuelle plus qu’à l’individu lui-même d’ailleurs. En effet, le rôle de procureur que l’on offre à ce dernier est parfaitement illusoire, virtuel et infondé car il ne s’inscrit sur aucune loi mais sur un flux quotidien de catharsis épidermiques voire d’exhibitionnisme. Ce règlement de compte parfaitement barbare où les recherches de vérité et de justice sont absentes témoigne, encore une fois, de l’état de primarité de l’Homo festivus.

    Occulter la sensibilité au profit de l’émotionnel médiatique

    Ces raz-de-marée émotionnels deviennent les réponses systématiques face aux questions graves qui touchent notre société, du terrorisme aux attaques sexuelles. Pourtant, ils n’apportent aucune solution pérenne, ne s’inspirent pas de repères d’autorité réelle sur lesquels la société pourrait collectivement se fédérer. Aucun cap n’est identifiable dans un tel brouhaha où la parole, si bien libérée, perd toute sa valeur dans une cacophonie brouillonne. Sans repère collectif d’autorité, nous sommes à des années-lumière de l’hypnotique « vivre-ensemble ».

    Les médias cherchent à s’imposer comme une cour de justice où s’abreuve l’opinion publique. Ils peuvent ainsi influer de façon considérable sur les champs intimes et fondamentaux de la société comme ici la relation homme/femme.

    Leur choix est fait et s’exprime tous les jours, à chaque minute, pour notre malheur et leurs priorités crèvent leurs écrans plats. Ils privilégient, encore une fois, l’émotionnel particulièrement inflammable dans le domaine de la sexualité, pour nuire à toute approche analytique.

    • Cultiver encore et toujours les pulsions individuelles pour éviter la force de l’union et encourager les comportements convulsifs chéris par les lois du Marché.
    • Attiser l’émotionnel pour éviter la réflexion qui pourrait nous amener à réaliser que la liberté sexuelle imposée en 1968 aboutit à un emprisonnement de l’homme et de la femme et à une judiciarisation galopante des relations amoureuses.

    Manipulation réussie

    Leur manipulation fonctionne bien car le nombre de témoignages devrait nous alarmer comme signes de grande difficulté relationnelle entre les hommes et les femmes. Et pourtant il n’en est rien. Nous arrivons à postuler et à entendre sans sourciller « C’est toute la société qui doit se mobiliser pour réguler les hommes déviants », et jamais nous ne nous posons la question évidente « Pourquoi autant de déviance ? ». On ne remet jamais en cause la réalité « du Progrès » dont on se croit les enfants. On ne remet jamais en cause l’idéologie consumériste-libertaire dominante en dépit de la réalité criante de son échec. Nous devrions être amenés à constater que cette doctrine qui promulgue la toute liberté individuelle, est néfaste à la société. Et pourtant, il n’en est rien. Nous nous laissons mener par des vues de plus en plus aberrantes et déconnectées de la réalité.

    Comme l’URSS qui a tenté de remédier aux effets négatifs de sa politique en rajoutant du communisme au communisme, nous nous enfonçons de plus en plus dans nos utopies maladives : de l’apologie de l’homosexualité aux élucubrations du Genre, en passant tristement par les cours d’éducation sexuelle en maternelle…

    La finalité des insertions obscènes qui nous assaillent sur les écrans et dans les villes, qui vont jusqu’à promouvoir la zoophilie, n’est-elle pas d’humilier l’humain ? de l’éloigner radicalement de cet être pensant, ciselé par des siècles de philosophie, de chrétienté, d’art et de sciences ?

    Il faut avoir une bonne image de soi-même, de son espèce humaine pour avoir envie de se développer, de découvrir et de s’élever. Il est nécessaire, non seulement de reconnaître sa nature, mais aussi d’être conscient de sa richesse. Nous constatons que l’idéologie consumériste-libertaire cherche délibérément à nier ou, pire, à railler l’essence même de la nature humaine. Ses besoins de transcendance et d’immatérialité sont régulièrement broyés par le consumérisme alors que le versant libertaire défend une indifférenciation sexuelle tout en restant obsédé par la sexualité.

    Ce refus de la spécificité des sexes s’attaque essentiellement à la virilité qui est mise sous la haute surveillance d’une méfiance continue à coups de campagnes médiatiques. Ce sont là des tentatives régulières de nuire à l’expression de la virilité en la reliant, sans cesse, à des actes de violence réelle et grave. C’est une déconstruction organisée des qualités vitales que la virilité apporte à la société : l’autorité, la vigueur et l’épanouissement de la féminité.

    Nous voyons là, sous nos yeux, une stratégie d’émasculation et une envie évidente de faire pousser des troupeaux bêlants à proximité des caisses des centres commerciaux.

    Tout est bon pour lobotomiser l’homme au quotidien, pour le placer quelque part entre l’animal et le robot sur la nouvelle chaîne de l’évolution construite par ceux qui veulent asservir les peuples. Davos, Bilderberg, Macron et consorts. Qui se souviendra des hommes ?

    Laurence Maugest 24/11/2017

    Voir aussi :

    (*)  « QUI SE SOUVIENT DES HOMMES… » Chef-d’œuvre de Jean Raspail

    https://www.polemia.com/tout-est-bon-pour-lobotomiser-lhomme-qui-se-souvient-des-hommes/

  • P. Jovanovic : Quand l’Europe se met à ressembler à la république de Weimar - Poléco n° 152

  • On veut des actes !

    Jeudi 14, dans le très écouté 7/9 de France Inter, M. Legrand propose un « édito politique » titré «  Notre-Dame des Landes, le pari du non », éditorial qu’il conclut ainsi : « Si je perds mon pari, je promets de faire une chronique de contrition entièrement en vers et en alexandrins ! » Propos qui illustrent parfaitement que le vent semble avoir tourné. Le 6 avril 2017, le candidat Macron affirmait (France 2, L'Émission politique) : « Il y a eu un vote [la consultation de juin 2016] . Mon souhait, c'est de le faire respecter. Donc de faire [l'aéroport]. » Le 12 décembre, le président Macron promet une décision définitive « au plus tard en janvier », ne réitérant donc en rien sa fermeté d’avril concernant la construction dudit aéroport, se disant au contraire désormais « instruit et informé de manière indépendante » par le rapport de trois médiateurs qui suggère deux scénarios aéroportuaires (construction de Notre-Dame-des-Landes ou réaménagement de Nantes-Atlantique) mais un seul pour la ZAD, celui de son évacuation rapide. 

    Bien entendu, de petits calculs politiciens peuvent être prêtés au chef de l’Etat pour justifier le possible abandon du projet : sa décision devant faire une moitié de mécontents, autant choisir la moins onéreuse, en tout cas celle réputée telle ; mieux, autant donner cette satisfaction à M. Hulot, pièce maîtresse de son gouvernement et caution écologiste ; surtout, autant en tirer un grand profit sur le plan international où il entend jouer le premier rôle grâce aux efforts qu’il déploie dans le domaine climatique. Certains, plus pragmatiques, penseront qu’un tel renoncement ne constituerait pas forcément une mauvaise décision : parmi eux, tous ces opposants au projet de Notre-Dame-des-Landes qui sont d’abord des amoureux de la France « profonde », non bétonnée, non industrialisée à outrance, bref la bonne vieille France que nous aimons tous, de Maurice Barrès à Sylvain Tesson, celle de « l’enracinement » et de « la préservation de nos paysages intimes » (M. de Villiers, Le Figaro, mardi 12). 

    De toute façon, la comédie a assez duré. Premier projet en 1963, mise en sommeil pour cause de crise pétrolière pendant les années 1970, réactivation du projet dans les années 2000, décret d’utilité publique en 2008, premiers zadistes en 2009, atermoiements et incapacité des gouvernements successifs jusqu’en 2017 : il est temps que le politique reprenne ses droits. En ce sens, toute décision suivie d’effet  vaudra mieux que la continuation du pourrissement de la situation. D’autant que se trouve greffé  au problème purement technique, économique et environnemental la verrue de la ZAD, c’est-à-dire une zone du territoire national où quelques centaines de doux dingues et/ou de néo-spartakistes ultra-violents exercent une dictature de fait et de fer, pour le plus grand dommage des riverains et de la région. A leur propos, M. Cazeneuve, qui fut ministre de l’Intérieur puis Premier ministre de M. Hollande n’a jamais caché son impuissance, nous dirons sa veulerie, tétanisé qu’il était, comme ses soeurs et frères en humanisme, par la perspective de faire des victimes, perspective que tout pouvoir doit forcément assumer. 

    Voici donc MM. Macron et Philippe enfin en situation d’être jugés rapidement sur leurs actes. A eux de prendre, à propos de l’aéroport, la décision promise, et de faire sorte qu’elle soit mise en oeuvre. A eux de faire disparaître, de quelque façon que ce soit, mais le plus vite possible, une ZAD que rien ne saurait justifier. Rendez-vous est pris pour fin janvier.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/12/17/on-veut-des-actes-6009187.html