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lobby - Page 1154

  • L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?

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    Bernard Plouvier

    Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.

    Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).

    Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.

    La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.

    En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).

    Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.

    En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.

    Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?

    C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.

    - Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.

    - Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.

    - Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).

    - Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.

    En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/12/07/l-europe-unie-du-grand-remplacement-comment-en-est-on-arrive-6006143.html

  • Les succès d’Emmanuel Macron et d’En Marche ne doivent rien au hasard

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d2c49624970c-250wi.jpg"[...] « Je crois qu’Emmanuel Macron a tout à fait le talent pour être présidentiable un jour. » Celui qui a prononcé cette phrase, c’est Jacques Attali, un homme de réseaux qui ne cesse de traîner dans les hautes sphères du pouvoir depuis qu’il a conseillé François Mitterrand. Quand a-t-il dit cela ? En août 2014. A l’époque, Macron venait tout juste de prendre les rênes du ministère de l’Economie. Voilà une belle anticipation d’initié, qui voyait ce qui se tramait en arrière-salle : une recomposition du paysage politique français.

    Les événements ont d’ailleurs été annoncés au plus haut niveau. François Hollande en personne l’a affirmé : « Il faut un acte de liquidation. Il faut un hara- kiri. Il faut liquider le PS pour créer un Parti du Progrès » (propos tenus le 12 décembre 2015 et rapportés par Gérard Davet et Fabrice Lhomme - Un Président ne devrait pas dire ça, éd. Stock, 2016). On aurait dû le prendre plus au sérieux. Car, un an plus tard, c’est justement cette thématique que reprenait Emmanuel Macron sur le plateau de TF1 : « Je veux réunir tous les progressistes contre les conservateurs. »

    [...] Face à la montée du Front national, il fallait créer un grand parti unique. Avec des têtes nouvelles. Le battu de la primaire du PS, Manuel Valls, s’en était agacé : « J’en ai marre de voir que le se- crétaire général de l’Elysée aide à lever des fonds pour celui qui veut tuer notre parti » (« L’Obs », 19 janvier 2017). La brusque exposition de l’affaire Fillon procédait probablement de ces projets de recomposition. Depuis, Valls est rentré dans le rang et Fillon est parti. Le PS est laminé et LR continue de naviguer à vue. Le projet de grand parti progressiste avance. « La recomposition politique est bien loin d’être achevée. La poutre travaille encore », lançait le premier ministre Edouard Philippe le 18 novembre dernier. Elle pourrait s’accomplir lors des prochaines élections européennes, en 2019. [...]

    La préparation du candidat Emmanuel Macron remonte loin. Elle commence dès 2015. A l’époque, son cabinet au ministère de l’Economie freinait déjà les notes du secrétaire d’Etat chargé du numérique Axelle Lemaire, afin de réserver au seul ministre l’image de la modernité. En 2016, Emmanuel Macron employait à lui seul et en huit mois seulement 80 % des frais annuels de représentation du ministère afin de préparer sa campagne présidentielle, selon les journalistes Frédéric Says et Marion L’Hour (Dans l’enfer de Bercy, éd. JC Lattès).

    Par ailleurs, l’homme aux allures de gendre idéal a très tôt dragué la frange bourgeoise de l’électorat LR et les très influents courants de la Manif pour tous. En juillet 2015, il effectuait une sortie soudaine dans « Le 1 Hebdo» sur la«figure du roi»: cette intervention, qui n’avait pas de précédent et qui n’aura aucune suite, enflammait les milieux catholiques. En mai 2016, on le retrouvait à Orléans pour la fête de Jeanne d’Arc. En août, il était reçu en grande pompe au Puy du Fou par Philippe de Villiers. L’opération a fonctionné : lors du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat progressiste souvent invité dans les loges maçonniques arrivait en tête dans la majorité de la France de l’Ouest...

    Les moyens employés afin de pousser à la création du parti unique ont été à la hauteur des enjeux. Pour financer les meetings à 400 000 euros et le paiement de ses 50 salariés, En Marche (dont la marque a été déposée à la Commission des comptes de campagne dès février 2016) avait réuni des millions d’euros en faisant appel à de riches donateurs.

    Emmanuel Macron a en outre bénéficié du soutien de l’Elysée, tant pour ses voyages à l’étranger avant le premier tour que pour son exposition dans les médias publics.

    Surtout, l’ancien associé-gérant de la banque Rothschild s’était assuré du plein soutien des médias industriels après la défaite d’Alain Juppé à la primaire. L’actionnaire militant Pierre Bergé (« Le Monde », « L’Obs », « Télérama », « Challenges », Rue 89, etc.) avait affiché publiquement sa préférence pour le candidat progressiste, tout comme Bernard Arnault (« Les Echos », Radio Classique, « Le Pari- sien »/« Aujourd’hui en France »). Le groupe SFR Presse (BFM, RMC, « L’Express », etc.) avait vu son directeur rejoindre directement En Marche. [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/12/les-succ%C3%A8s-demmanuel-macron-et-den-marche-ne-doivent-rien-au-hasard.html

  • Google veut normaliser idéologiquement sa plateforme Youtube

    Google veut embaucher 10 000 personnes. Cette armée numérique serait employée à renforcer la censure de la plateforme Youtube, qui sert à diffuser des vidéos.

    Il s’agirait de supprimer les « contenus extrémistes ». On devine que les vidéos islamistes ne seront pas les seules concernées et que la dissidence anti-mondialiste sera évidemment visée.

    Les organisations et les personnes censurées auront toujours la possibilité de se tourner vers la plateforme russe Rutube. 

     

    Le PDG de Google (Eric Schmidt) explique et assume la censure à venir !

     

    https://fr.novopress.info/

  • Oui, les coups, ça fait mal

    dessin-konk-non-a-la-haine-300x251.jpgJean d’Ormesson hier, Johnny Hallyday cette nuit… Ce sont deux personnalités très populaires,  certes à des niveaux et dans des registres bien différents,  qui nous ont quittés ces dernières heures. On ne touche pas impunément, même incidemment,  à une légende nationale comme Johnny et le porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, le député Alexis Corbière, en a fait les frais, éreinté par une avalanche de critiques après un tweet particulièrement maladroit dans sa forme et sa chronologie . «  La triste mort de Johnny Hallyday ne doit pas nous faire oublier le mauvais coup qu’ils nous préparent (prochaine cible: le Smic) »  a-t-il tweeté,  en référence  au rapport commandé par le gouvernement  qui préconise  une  non revalorisation du salaire minimum au 1er janvier. Un tweet  effacé par la suite…mais trop tard. Quand on manque de la plus élémentaire psychologie, quand on  ne sent pas l’émotion de nombreux Français, voilà ce qui arrive…  M. Corbière est plus audible quand il défend son patron qui, selon ses propres termes, est tombé dans un traquenard médiatique lors de son passage sur France 2 dans L’émission politique, questionné par une succession de journalistes et  d’invités hostiles. Oui,  certes, mais c’est le sort réservé depuis toujours dans ce type d’émission à tous  des ténors du Front National!  De Jean-Marie à Marine Le Pen,  – et Bruno Gollnisch a eu également son lot de coups fourrés et d’attaques médiatiques sur et en dehors des plateaux… - les frontistes en on vu d’autres, des plus odieuses et des plus saignantes!

    Si Alexis Corbière a effacé son tweet, Jean-Luc Mélenchon lui, n’assume plus ce qu’il écrit (?).  Le Huffington Post, caution bourgeoise et libérale s’il en est, s’émeut ainsi d’une phrase du dirigeant de La France insoumise,  qui figurait   sur son blogue , avant lui aussi de la faire disparaître  en la reformulant.  Dans sa recension lundi de son passage sur France 2,   il attaque notamment  Nathalie Saint-Cricq, François Lenglet  mais aussi Léa Salamé, épouse à la ville de l’essayiste  socialo-mondialiste Raphaël Glucksmann . Au sujet de cette dernière Mélenchon avait écrit: « Je ne me suis pas préoccupé de ses liens familiaux, politiques et communautaires. Quand elle m’a pris à parti sur mon patrimoine de riche, moi le fils d’un postier et d’une institutrice, j’aurais pu lui en jeter de bien bonnes à la figure en matière de patrimoine et de famille. » Une phrase caviardée  peu après, mais là aussi trop tard,  en  «liens familiaux et communautaires politiques. » Un nouveau lapsus? Mais là aussi le mal était fait et cette sortie  sur les liens communautaires,   « ambiguë », « détestable »  dixit  Jean-Michel Apathie et Claude Askolovitch ,  a été soupçonnée  de flatter de bas-instincts innommables .« Sur la matinale de France Inter, l’éditorialiste Thomas Legrand l’a déploré lui aussi : Cette phrase n’est normalement pas du registre mélenchonien. Elle est (et je ne fais jamais ce parallèle, mais là…), elle est lepéniste (jean-mariste). » Mazette !

    Même les plus irréprochables, certes, ne sont pas à l’abri  de l’accusation d’antisémitisme et/ou de racisme. Ainsi  l’ami de Bernard-Henry Lévy, Yann Moix, a été épinglé par association communautariste  baptisée  Conseil représentatif des institutions noires de France (Cran) . Il est reproché à M. Moix, à l’occasion de la venue le 25 novembre  sur le plateau  de On est pas couché sur France 2 d’Alain Finkielkraut, des propos de bon sens, contre les délirantes exigences mémorielles et culpabilisatrices…du Cran.

    « Le problème affirmait-il,  quand le passé dépend du présent, c’est qu’il y a forcément des anachronismes et qu’on va de ce fait aller voir des crimes contre l’humanité chez Colbert, on va aller voir des crimes contre l’humanité chez Napoléon, ce qui est absolument débilissime, dans la mesure où c’est un concept moderne inventé à Nuremberg (…). L’histoire est tiraillée entre le présent depuis lequel elle fait sens parce qu’elle doit ressembler à la société, et en même temps l’anachronisme qui la fait rendre aberrante quand on lui pose des systèmes de pensée qui n’existaient pas il y a deux cents ans. »

    Louis-Georges Tin, président du Cran,  a saisi le président du CSA  pour que soit « sanctionné  le producteur de l’émission »   qui  a laissé passer des  ses propos, « réactionnaires », «  haineux et méprisants . » « Dire que ceux qui ont établi l’esclavage en France ont commis un crime contre l’humanité n’est pas anachronique. La loi Taubira votée à l’unanimité n’est pas anachronique ». Le relativisme moral est une pente dangereuse. De nombreux commentateurs s’y aventurent, et sombrent dans le révisionnisme le plus abject (…)  Cette idée grave est défendue par des figures de l’extrême-droite, mais par quantité de personnalités de tous bords, qui n’ont pas l’air extrémistes de prime abord. (…).  Le Cran appelle une fois de plus France Télévision à programmer davantage d’émissions sur l’esclavage et la colonisation pour lutter contre l’ignorance, le révisionnisme et le négationnisme qui gangrènent la société française. »

    La bêtise de ce qui tient lieu d’argumentaire à  M. Tin saute aux yeux.  Les Français n’ont rien à gagner dans une gueguerre des lobbies antinationaux  entre eux, d’une  compétition victimaire qui se fait sur notre dos. Nous le notions en septembre dernier,   la relecture simpliste, anachronique de notre passé  pour mieux  culpabiliser le gaulois reste  une entreprise   qui reçoit  le soutien intéressé d’une certain nombre d’officines  frayant dans les eaux troubles du mondialisme militant.

    Militantisme radical,  violent,   qui a été sanctionné par le tribunal correctionnel de Paris  lors du procès de sept  antifas,  le 11 octobre dernier,  rappelle l’AFP. Le 18  mai  2016, quai de Valmy,  « en marge des manifestations contre la loi travail », ils   avaient attaqué et brûlé une voiture de police dont les policiers avaient réussi à s’extraire in extremis, manquant de peu d’être transformés en torches vivantes . Parmi ces fils de bourgeois jouant les racailles,  « le militant antifasciste Antonin Bernanos, un étudiant de 23 ans descendant de l’écrivain Georges Bernanos », «  a été condamné à cinq ans de prison dont deux ans avec sursis pour avoir participé à (cette) attaque. » « Joint par l’AFP, son avocat a dénoncé une démonstration de force musclée : Ils sont venus à quinze pour l’embarquer, ils ont fracassé la porte de sa mère, alors qu’elle proposait d’ouvrir. Et à Me Arié Alimi de dénoncer : Mon client avait déjà effectué dix mois de détention provisoire et était éligible à un aménagement de peine. Il ne s’est jamais soustrait à la justice, il n’a jamais été convoqué pour une exécution de peine. » Ah! si la révolution pouvait se faire dans le confort! Brûler des flics-collabos-du-capital-et-du-racisme le matin et revenir chez papa-maman le soir dans un appartement douillet pour se mettre les pieds sous la table… 

    Comme le chantait Johnny, Les coups ça fait mal,   ceux qu’on donne comme ceux qu’on reçoit, avec des poings ou avec des mots. Il s’agit parfois de passer à la caisse et de payer l’addition. De se conduire en homme et de ne pas pleurnicher. C’est en tout cas un conseil à suivre si l’on ne veut pas passer pour un révolutionnaire ou un insoumis en peau de lapin, comme le sont en fait ces  militants d’extrême gauche instrumentalisés par un Système qu’ils prétendent combattre. 

    https://gollnisch.com/2017/12/06/oui-coups-ca-mal/

  • Le Conseil de l'Europe veut imposer le "droit" à l'avortement

    6a00d83451619c69e201b8d2c48586970c-200wi.pngLe Conseil de l’Europe publie un rapport, accompagné d’une série de recommandations aux 47 Etats membres. Le document épingle pêle-mêle l’Arménie, la Géorgie, la Macédoine, la Russie et la Slovaquie, qui ont adopté récemment « des mesures renforçant les critères à remplir pour les femmes afin d’avoir accès à l’avortement ». Il rappelle aussi qu’en Pologne « une loi a réintroduit l’obligation d’obtenir une prescription médicale pour accéder à un moyen de contraception d’urgence ».

    Outre la Pologne, le rapport pointe également des juridictions en Irlande du Nord, Irlande, Andorre, au Liechtenstein, à Malte, Monaco, et San Marin pour leur législation « hautement restrictive » en matière d’accès à l’avortement, qui n’est souvent autorisée qu’en cas de risque pour la vie ou de viol. En Italie, sept professionnels de santé sur dix refusent d’autoriser un avortement, invoquant une clause de conscience. En Turquie, une femme mariée doit obtenir le consentement de son époux pour mettre un terme à sa grossesse. Il est de

    « la responsabilité de l’Etat de s’assurer qu’un autre moyen d’accès à l’avortement est possible ». « L’avortement doit être légal à la demande d’une femme en début de grossesse et jusqu’à son terme si cela peut protéger sa vie ou si elle risque d’être maltraitée ».

    "Si cela peut protéger sa vie"... Et celui de l'enfant à naître ?

    Le Commissaire énonce 54 recommandations :

    • de renouveler l’engagement politique en faveur des droits des femmes et de se prémunir contre les mesures rétrogrades qui compromettent la santé et les droits sexuels et reproductifs des femmes ;
    • de mettre en place des systèmes de santé qui préservent et fassent progresser la santé et les droits sexuels et reproductifs des femmes ;
    • de garantir une éducation sexuelle complète
    • de faire en sorte que la contraception moderne soit abordable, disponible et accessible ;
    • d’assurer à toutes les femmes l’accès à un avortement légal et sûr;
    • de veiller à ce que le refus de donner certains soins opposés par des professionnels de santé ne compromette pas l’accès des femmes en temps utile à des soins de santé sexuelle et reproductive ;
    • de respecter et protéger les droits des femmes lors de l’accouchement et de garantir un accès de toutes les femmes à des soins de santé maternelle de qualité ;
    • d’éliminer les pratiques coercitives et de protéger le respect du consentement et des décisions éclairés des femmes dans les situations liées aux soins de santé sexuelle et reproductive ;
    • de garantir à toutes les femmes l’accès à des recours effectifs contre les atteintes à leurs droits sexuels et reproductifs ;
    • d’éliminer la discrimination dans la législation et la pratique, et de garantir l'égalité pour toutes les femmes en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs.

    Voilà aussi pourquoi il est nécessaire de participer à la Marche pour la vie du 21 janvier 2018 à Paris.

    Grégor Puppinck explique dans Gènéthique :

    "Ce rapport, endossé par le Commissaire européen aux droits de l’homme, Nils Muiznieks, a été en grande partie rédigé, comme il est précisé dès l’introduction, par le principal lobby américain pour la promotion de l’avortement auprès des instances internationales, le Center for Reproductive Rights. Un lobby proche du Planning familial. Ce n’est donc pas un rapport d’experts mais un rapport de lobby. Aussi, comme tel et sans surprise, il reprend mot pour mot l’agenda des lobbys pro-IVG.  A savoir :

    1/ Omission complète de toute mention de l’enfant,

    2/ Droit à l’IVG jusqu’à la naissance,

    3/ Restriction de la liberté de conscience des professionnels de santé.

    En fait, le militantisme du Commissaire Muiznieks était déjà bien connu. Déjà, en 2014, il avait refusé de condamner l’infanticide néonatal, alors qu’il avait été saisi par plus de 200 000 citoyens, prétendant à l’époque que cette question ne faisait pas partie de son mandat…

    Quelle importance faut-il accorder à ce rapport ?

    Il n’y a pas lieu d’accorder beaucoup d’importance à ce document car cette fonction de commissaire est purement politique. Il n’a aucun pouvoir, très peu d’autorité et encore moins de notoriété. C’est d’ailleurs pour cela qu’il peut se permettre de prendre des positions aussi peu responsables. En fait, c’est regrettable pour le Conseil de l’Europe car cela ne fait pas très sérieux.

    D'ailleurs, la Cour européenne des droits de l'homme ne prévoit aucun "droit' à l'avortement. Tout au plus, la Cour européenne tolère l'avortement : mais dire comme le fait le Commissaire, qu'il existerait un droit à l'avortement sur demande au titre des droits de l'homme est tout simplement faux. Il existe en revanche un droit à al vie, et la Cour européenne a admis que les Etats peuvent garantir ce droit depuis la conception de l'embryon. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Suspicion légitime

    L’offensive d’une partie de l’intelligentsia, des pouvoirs publics, des juges,  contre les  symboles de Noël dans l’espace public, à commencer par l’installation des crèches,  suscitent une irritation grandissante chez nos compatriotes. Ils ne sont pas dupes de la fausse symétrie établie par ces autoproclames défenseurs de la laïcité – qui sont aussi dans la quasi totalité des cas, curieusement (?) , des immigrationnistes convaincus,- entre une  religion catholique consubstantielle à l’identité française et un prosélytisme islamiste qui se développe souvent sur un mode agressif et revendicatif. Il est aussi assez piquant d’entendre certains journalistes et commentateurs se plaindre du buzz qui serait fomenté par les réacs cathos et autres extrémistes de droite autour de cette question de la visibilité de ces symboles et traditions appartenant à notre univers civilisationnel. Or, cette paisible et  tranquille (ré)affirmation de nos racines, qui s’est notamment manifestée dans les mairies FN avant que leur exemple ne fasse tâche d’huile, n’aurait pas créé tant d’effervescence sans les beuglements des groupes sectaires  habituels. On ne les présente plus:   sectaires des  loges, des officines socialistes et antiracistes,   communistes ou mélenchonistes hystériques, qui  ce sont employés à ameuter les consciences, criant au crime de lèse-majesté  contre la Déesse Raison, au blasphème contre  la république universelle (hors-sol)… 

    Invité ce matin de  RTL, la juppéiste Virginie Calmels, ralliée à Laurent Wauquiez, a tenu à envoyer des signaux aux Français exaspérés par ses attaques continuelles contre nos traditions: « Il faut qu’on arrête de créer des débats sur des choses qui ne sont finalement pas si importantes pour les Français (…). Nous avons des racines, nous n’allons pas les renier (…). Est-ce que la laïcité est mise en cause parce qu’il y a des crèches dans des lieux comme un Conseil régional ? (…).  Je suis frappée de voir que l’on nous ferait croire que la laïcité serait en danger parce qu’il y a une croix sur une statue de Jean-Paul II ou parce qu’il y a des crèches dans des mairies (…).   Je suis frappée, on ne peut plus dire les vacances de Noël, on ne peut plus dire les vacances de Pâques. Arrêtons de pousser le trait.» Mme Calmels parle d’or, mais comme à chaque fois que les ténors de droite s’expriment sur ce type de sujet, le doute s’installe.

    Opposée à toute alliance avec le Front National  – « Si Sens commun tend la main au FN, ils n’ont rien à faire dans notre famille politique » déclarait-elle dernièrement- , Virginie Calmels  ne se prive pas pour autant de durcir le ton en cette période de désignation du nouveau président de  LR . C’est d’ailleurs un grand classique de la droite… quand elle est dans l’opposition ou en campagne. Valérie Irgounet, spécialiste es extrême droite,  qui publie régulièrement  des articles dans sa rubrique  baptisée Derrière le front  sur le site de Franceinfo , consacrait il y a deux ans (mais le sujet est récurrent sous sa plume)  un papier sur « le hold-up idéologique de la droite sur le FN » . Une vieille histoire : « (En juin 2015) le député UMP Éric Ciotti proposait de rétablir le droit du sang  et de réserver le droit du sol aux enfants de ressortissants de l’Union Européenne. Peu après, le président des RépublicainsNicolas Sarkozy disait ceci à ses partisans alors réunis : Faut-il remettre en cause le droit du sol ? Cette question, incontestablement, peut se poser. En 2003, il déclarait face à Jean-Marie Le Pen : le  droit du sol fait partie de nos traditions… »

    « C’est une des thématiques privilégiées du Front National. La droite républicaine en a fait sienne depuis plusieurs décennies. L‘objectif est clair : il s’agit de séduire ses électeurs à droite de la droite et ceux du FN... alors que le parti d’extrême droite s’impose dans le paysage politique français. Au début des années 1990, le Rassemblement pour la République (RPR) et l’Union pour la démocratie française (UDF) radicalisent leurs discours sur l’immigration et envoient des signes à l’électorat frontiste en reprenant, à leur compte, la forme et le fond du discours lepéniste. Jean-Marie Le Pen  n’ayant pas le monopole de ces thèmes , explique Jacques Chirac (alors président du RPR et maire de Paris) en 1991, il faut se les approprier  (…).  Bien des années plus tard, Nicolas Sarkozy annonce la création d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale (mars 2007), en attendant le lancement d’un débat sur les valeurs de l’identité nationale, sur ce qu’est être Français aujourd’hui. Les termes choisis appartiennent au vocabulaire de l’extrême droite (sic). En liant immigration et identité nationale, l’homme politique sait qu’il laisse entendre que l’immigration constitue une menace pour l’identité nationale. Nicolas Sarkozy n’est d’ailleurs pas allusif pendant sa campagne pour la présidentielle de 2007. Son objectif est clair. Il le rappelle dans Le Figaro (26 février 2007) :  séduire les électeurs du Front National ».

    Mais les séduire pour faire quoi? Sans l’aiguillon du FN , sans une opposition nationale qui occupe désormais une place centrale, qui pèse de tout son poids sur l’échiquier politique, la droite des Wauquiez, Calmels ou Ciotti tiendrait-elle le discours identitaire, de fermeté sur l’immigration  qui est (en partie) le sien aujourd’hui, quand bien même serait-il uniquement de façade?

    Nous ne préjugeons pas bien évidemment  de la sincérité des convictions patriotiques  de cadres, élus, sympathisants de LR qui demain peut-être auront le courage de nous rejoindre, de proposer  des alliances au niveau local, comme d’autres l’ont fait avant eux.  Pour autant, si  cette droite post-juppéiste contribue désormais à la diffusion des thématiques  frontistes, à orienter  le combat culturel  dans la bonne direction, préalable indispensable à la prise du pouvoir dans les urnes, nos compatriotes doivent encore et toujours préférer l’original à la copie. C’est au pied du mur que l’on voit le  maçon.  Et les mauvais maçons de la droite libérale ont toujours refusé de tendre la main aux nationaux, de s’affranchir des oukases d’une  gauche euromondialiste avec laquelle,  comme l’a souligné Marine, cette droite là n’est séparée  que par une différence de degrés et non de nature . Cette droite en effet, celle qui roule des mécaniques, nous l’avons vu à l’oeuvre à l’époque (en 2010) ou M. Wauquiez était d’ailleurs  un très enthousiaste  ministre bruxellois  chargé des Affaires européennes…

    Bruno Gollnisch l’a souvent rappelé,  l’immigration qu’elle soit choisie (par le gouvernement, le Medef, les lobbies divers et variés) ) ou subie (par tous),  a battu des records sous le quinquennat Sarkozy. Le regroupement familial  acté par Chirac et Giscard,  plus largement les pompes aspirantes de l’immigration, le code de la nationalité,  n’ont jamais été remis en cause  par une droite régulièrement  au pouvoir depuis vingt ans, qui  disposait pourtant pour se faire du soutien des  électeurs et de très confortables majorités à l’Assemblée nationale comme au Sénat... Alors oui, la suspicion des Français est légitime!

    https://gollnisch.com/2017/12/05/suspicion-legitime/

  • La Réinformation a besoin de vous !

    Voici la lettre que Polémia a envoyée à l’ensemble de ses adhérents le 28 novembre 2017. La Réinformation a besoin de vous !


    Chère Madame, Cher Monsieur, Chers amis,
    Chers fidèles soutiens de Polémia,

    Permettez-moi de commencer ce courrier par une petite devinette : Quel est aujourd’hui le parti (pardon : le « mouvement », en novlangue) au pouvoir ? La République en marche, me direz-vous. C’est-à-dire la nouvelle étiquette de la gauche libérale/libertaire.

    Et en 2010 ? L’UMP qui n’avait pas encore pris le nom de Les Républicains.

    Et en 2000 ? Le PS.

    Et en 1995 ? Le RPR.

    Et si tout cela n’était qu’apparence ? Jeu d’ombres et théâtre de marionnettes ?

    Aux manettes ? Le Parti des médias !

    Car en 1995, 2000, 2010 et 2017, c’est toujours le même parti qui est aux manettes : le Parti des médias, le PDM.

    Le Parti des médias gouverne les esprits par une propagande incessante. Il ne rapporte pas les faits, il nie le réel. Il ne distingue pas le vrai du faux. Il dit le « bien » et dénonce le « mal »… ou plutôt ce qu’il juge ainsi en fonction de ses préjugés idéologiques et de ses intérêts.

    Des articles à l’eau de jasmin

    Pour le Parti des médias il est normal que le Conseil d’Etat réclame la suppression de la Croix surmontant la statue de Jean Paul II à Ploërmel car c’est une question de « laïcité ».

    Mais il est non moins jugé normal que les arrêtés municipaux interdisant le port du burkini sur les plages soient cassés au nom de la liberté religieuse des musulmans et de la « liberté de circulation » des personnes.

    Et c’est au nom de l’ « égalité » que les maires se voient imposer la fourniture de repas halal dans les écoles. L’abattage halal, le ramadan, l’Aïd el Kébir sont salués dans les médias comme des pratiques sympathiques qu’ils encouragent par des articles à l’eau de jasmin.

    Et quand la Place de la mairie de Clichy est occupée huit mois de suite chaque vendredi par des musulmans en prière, les médias n’en parlent pas… sauf pour dénoncer une manifestation de protestation d’élus Les Républicains. Ce qui donne ce titre hallucinant repris partout : « Une centaine d’élus perturbent une prière de rue ». Un peu comme si on déplorait que le facteur refuse de se faire mordre par le chien !

    Le PDM construit l’opinion et s’impose aux décideurs

    Bien sûr, cette manière des médias de rapporter les faits construit l’opinion. Et pèse sur les décideurs.

    Dans les tribunaux ce sont les juges politiquement corrects qui donnent le « la » et imposent leur point de vue. Les autres rasent les murs par peur d’être dénoncés et marginalisés comme le juge François Lagarde, jeune énarque écarté du Tribunal administratif de Lyon après avoir été dénoncé dans la presse pour ses prises de position rigoureuses contre l’immigration clandestine !

    La situation est encore pire en politique. Lors de la dernière présidentielle les médias ont fabriqué Macron et tué Fillon.

    Les médias sont les faiseurs de rois

    S’agissant des partis politiques, ils opposent les « gentils » (longtemps le PS, remplacé aujourd’hui par LREM) aux « très méchants » (le FN), les Républicains occupant la position du « méchant », mais un peu moins à condition qu’il n’ait aucun rapport avec le « très méchant ». La politique vue par les médias, c’est un conte pour enfants… Mais surtout les médias sélectionnent les hommes politiques selon un seul critère : leur conformisme au politiquement correct.

    Un seul critère : le conformisme

    Aux bien-pensants les invitations permanentes, le tapis rouge et les gestes de connivence. Aux dissidents le tapis de bombes médiatiques, les gestes glaçants et le bannissement. C’est pour cela que chez Les Républicains les médias ont infligé durant toute l’année 2016 un festival Juppé tout en promouvant Valérie Pécresse, NKM, Darmanin, Bruno Le Maire et maintenant Maël de Calan. Ce sont les ectoplasmes politiquement corrects qui sont placés sous la lumière. Aux autres l’éteignoir ou le dénigrement. Le FN n’est pas davantage épargné par ce phénomène d’où l’omniprésence médiatique de Philippot avant qu’il ne prenne la porte, tout en gardant son rond de serviette chez BFM-Macron et dans bien des médias.

    Le PDM : une force d’occupation mentale

    Vous le voyez, c’est le Parti des médias qui nous gouverne. Il se comporte en force d’occupation mentale de l’esprit des Français et sélectionne leurs dirigeants politiques et judiciaires. Sans le Parti des médias les délires politiques ne seraient pas possibles. Sans le Parti des médias les délires judiciaires seraient impossibles. Grâce à ses donateurs Polémia a pu concentrer ses coups sur le Parti des médias. Nous avons concentré nos analyses sur le système médiatique et, disons-le, nos coups contre le Parti des médias. Jugez-en plutôt :

    • En quinze ans des centaines d’articles sur le site polemia.com, l’un des premiers sites de réinformation ;
    • La publication de l’ouvrage de référence sur La Tyrannie médiatique chez Via Romana ;
    • La publication du Dictionnaire de novlangue, plusieurs fois mis à jour par Michel Geoffroy ;
    • Le lancement du Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie qui vient de fêter ses dix ans ;
    • L’organisation des Journées de la Réinformation, précieux lieu d’échanges, qui ont contribué à la naissance de grandes initiatives comme l’OJIM (Observatoire des journalistes et de l’information médiatique), Boulevard Voltaire et TVLibertés ;
    • C’est aussi dans cet esprit que j’anime chaque semaine sur TVLibertés I-média, l’émission critique de référence sur les médias ;
    • Et, bien sûr, les Forums de la dissidence et la Cérémonie des Bobards d’Or !

    Le Forum de la dissidence : coup de savate au Parti des médias !

    Le Troisième Forum de la dissidence s’est tenu le 18 novembre dernier. Ce fut un grand coup de savate porté à la tyrannie médiatique. D’abord par la définition d’une « bonne droite », c’est-à-dire d’une droite qui ne se soumet pas au terrorisme intellectuel de la gauche. Une bonne droite qui accepte de « livrer la guerre nucléaire culturelle ». Une bonne droite qui s’affiche sans crainte comme identitaire et conservatrice.

    Une bonne droite qui a fait fi de tous les interdits médiatiques. Par les thèmes abordés, mais aussi par les personnalités qui se sont succédé à la même tribune. Après une série d’interventions intellectuelles de fond ce fut le tour des « politiques » : Bruno Mégret, Jean-David Cattin, de Defend Europe, Pierre Cassen de Riposte laïque, mais aussi, venus des rivages de LR, l’activiste Internet Samuel Laffont et l’entrepreneur libéral conservateur Charles Beigbeder. Bref, un Forum très transgressif ! Notamment parce que des hommes venus des deux rives de la droite se sont rencontrés et parlé. Dissidence 1, Parti des médias 0 ! Mais l’étape qui suit est aussi essentielle :

    C’est la 9e Cérémonie des Bobards d’Or qui aura lieu lundi 12 mars 2018. Comme chaque année il s’agit de rire aux dépens de ceux qui nous désinforment ! Et les candidats sont déjà nombreux !

    L’AFP pour commencer. L’AFP – l’agence française de propagande – pour qui des élus qui protestent contre l’occupation de rues à Clichy « perturbent des musulmans en prière ». Une désinformation copiée/collée par des dizaines de médias.

    Parmi les candidats, on trouve aussi les pseudo-chasseurs de « fake news » (bobards), ces chiens de garde du politiquement correct, qui prétendent rétablir la vérité – leur vérité – au détriment du réel. Je pense aux « Décodeurs du journal Le Monde », à Désintox de Libé, au Lab d’Europe1, tous financés par vos impôts pour faire régner la doxa politiquement correcte. A coups de bobards sur le halal ou les clandestins. Tout cela nécessite une veille constante. Et une grande vigilance car nous n’avons pas le droit à l’erreur.

    Aidez Polémia !

    Aidez-nous à mobiliser les forces et les moyens nécessaires pour combattre le Parti des médias.

    Aidez Polémia à faire de cette 9e cérémonie des Bobards d’Or une réussite majeure. Cela n’est pas possible sans efforts ni moyens !

    Nous avons à nouveau réservé le très beau Théâtre du Gymnase sur les Grands Boulevards et prévu un buzz d’enfer, à base de vidéos soignées, pour faire connaître la manifestation et la retransmettre en direct.

    Notre objectif : plus de 600 participants, des dizaines de milliers de spectateurs en direct, puis des vidéos virales vues plus de 100.000 fois, avec des dizaines de reprises sur les sites de réinformation. Pour cela, nous avons besoin d’un budget d’au moins 25.000 €. Avec votre soutien, ces 9e Bobards d’Or feront date et cibleront le véritable ennemi : le Parti des médias.

    Avec mes remerciements anticipés, je vous prie d’agréer, Chère Madame, Cher Monsieur, Chers fidèles soutiens de Polémia, l’expression de mes meilleurs sentiments nationaux, identitaires… et fermement dissidents.

    Jean-Yves Le Gallou
    Président de Polémia
    28/11/2017

    P.S. : Faites un don, soutenez Polémia.


    Vous le savez, votre don est déductible à 66%. Ainsi, pour 150 € donnés, il ne vous en coûtera que 50 €. Et ce sera 100 € de recettes en moins pour l’État, ce qui entravera le financement d’associations ou d’actions nuisibles. Aider Polémia, c’est aider le cœur de la lutte contre le Parti des médias et le politiquement correct. C’est aussi aider le lieu de rencontre privilégié et sans complexe des forces identitaires, nationales et conservatrices. N’oubliez pas, non plus, que tout ce que fait Polémia a un effet de levier sur toute la réinfosphère.
    DONS PAR CHÈQUE

    Chèques à libeller à l’ordre de Polémia, 60 ter rue Jean-Jacques Rousseau, F 92500 Rueil Malmaison.

    DONS EN LIGNE

    Il vous est possible d’adresser votre don en ligne avec PayPal en suivant ce lien : paypal.me/polemia

  • Comment répondre aux mensonges autour de la colonisation ? (argumentaire des Identitaires)

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    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un douzième document qui propose de répondre aux mensonges autour de la colonisation.

    Ils disent souvent : « Le pillage des colonies a permis le développement économique de la France ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    Prétendre que la France – et l’Europe d’une manière générale – a pillé sans vergogne ses colonies et s’est enrichie sur leur dos a deux effets : déresponsabiliser les anciennes colonies dans leurs échecs économiques, qui seraient imputables à la colonisation, et culpabiliser les Français de souche, coupables de s’être enrichis au détriment des peuples du Sud.

    Pourquoi c’est faux ? La France importait massivement des matières premières, mais depuis d’autres pays européens ! Les importations depuis les colonies ont toujours été négligeables : en 1913, 0,1 % du coton, 3,2 % de la laine et 0,2 % de la soie importés en France venaient des colonies. Le charbon, vital pour l’économie française jusqu’aux années 1950, n’était pas produit par les colonies, qui devaient elles-mêmes en importer (Indochine exceptée). Même pendant la 1ère Guerre Mondiale ces importations ont été marginales : sur les 170 millions de tonnes importées, seules 6 provenaient des colonies.

    Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2017/11/la-france-a-pille-lafrique-lors-de-la-colonisation/

    https://fr.novopress.info/

  • L’antisémitisme et la francophobie se développent davantage que le racisme anti-musulmans

    André Versaille publie en ce moment un feuilleton sur le site du Monde, intitulé: « Les musulmans ne sont pas des bébés phoques »

    Nous savons qu’un racisme frappe des immigrés en général, et certains de culture musulmane en particulier. En revanche, il me semble nécessaire de parler d’autres racismes que l’on rencontre très fréquemment dans les cités, et dont nous ne voulons pas entendre parler : l’antisémitisme, devenu un marqueur identitaire pour beaucoup de jeunes musulmans, et la francophobie.

    On entend souvent dire que la parole raciste antimusulmane s’est libérée. C’est bien mal connaître l’histoire récente de la France. Sans remonter à la période coloniale, il suffit de se souvenir des blagues racistes anti-arabes débitées par des chansonniers dans les années 1960. Les mêmes blagues, qui à l’époque ne choquaient pas grand monde, seraient regardées aujourd’hui comme autant d’incitations à la haine raciale, et les chansonniers traînés devant les tribunaux. Même les attentats n’ont, heureusement, pas provoqué de soulèvement de haine. Les réactions les plus visibles ont été la multiplication de dépôts de bougies, et quelquefois de peluches, en même temps que de déclarations enjoignant de ne pas faire d’amalgame avec la population musulmane. Et combien de « Vous n’aurez pas ma haine ! », adressés aux djihadistes, n’avons-nous pas entendus…

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