Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1206

  • Burkinis sur les plages : comment organiser la riposte juridique – par Me Thibaut Durox

    burkinis-640_epaphotos543477-600x370.jpg

    L’activiste islamiste Marwan Muhammad, actuel porte-parole du Collectif contre l’islamophobie en France, s’est récemment illustré sur Twitter en menaçant de « procès systématique » les mairies qui prendraient des mesures restreignant le port de vêtements à connotation musulmane sur les plages. Avant lui, nous avions dû subir la provocation inouïe du millionnaire fantasque Rachid Nekkaz, ayant organisé la baignade en burkini d’un groupe de femmes en plein festival de Cannes.

    L’arrêt rendu par la cour administrative d’appel de Marseille, le lundi 3 juillet 2017, [PDF] ne pourrait-il pas mettre un coup d’arrêt aux velléités de ces promoteurs de l’islamisme culturel ? On se rappelle que, l’an passé, l’arrêté « anti-burkini » pris par le maire de la commune de Sisco, en Corse, n’avait pas été suspendu en référé. La raison en était que les risques de troubles à l’ordre public invoqués par le maire étaient, en l’espèce, bien avérés, justifiant ainsi a priori la mesure d’interdiction prise. L’absence de suspension faisait donc pressentir qu’une telle interdiction pouvait être juridiquement fondée, contrairement à l’analyse dominante qui voulut nous faire croire que la liberté religieuse devait primer en toutes circonstances.

    Attaqué au fond par ses adversaires, l’arrêté n’avait pas non plus été annulé par le tribunal administratif de Bastia.
    La cour administrative d’appel de Marseille est venue confirmer, lundi dernier, le jugement du tribunal et la légalité de l’arrêté d’interdiction, en raison des violences ayant éclaté sur la plage et des manifestations ultérieures dans la commune, qui avaient nécessité la mobilisation d’un effectif important de CRS et de gendarmes.

    Ainsi, il peut être dressé, pour les maires des communes concernées, le bilan jurisprudentiel suivant :
    – Les mesures d’interdiction doivent prioritairement et principalement reposer sur des considérations liées à la protection de l’ordre public : les risques d’atteintes à l’ordre public doivent être avérés ou suffisamment probables, pouvant résulter, notamment, de faits de violences, attroupements ou manifestations, privatisation illicite de plages. L’organisation militante, à renfort de réseaux sociaux, d’une baignade en burkini dans une commune présentant un climat tendu serait, selon nous, de nature à constituer un tel risque ;
    – Toute mesure d’interdiction doit être circonscrite dans le temps et l’espace ;
    – La référence au principe de laïcité, de même que les motifs fondés sur l’hygiène et la décence publique, ne sont pas suffisants, à eux seuls, pour motiver une interdiction, en l’absence de troubles à l’ordre public ;
    – La motivation pourrait reposer à titre subsidiaire sur les nécessités de prise en compte des « exigences minimales de la vie en société » et l’impératif de lutte contre l’exclusion des femmes, composants non encore reconnus par la jurisprudence administrative de l’ordre public immatériel, dont le Conseil constitutionnel s’était pourtant fait l’écho en 2010 dans sa décision favorable à la loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public.

    Dans leur lutte légitime contre les menaces à l’ordre public et à nos fondements civilisationnels, les maires de France devront prêter une attention toute particulière à la motivation de leurs arrêtés. C’est à ce prix que la bataille juridique, qui ne fait que commencer, pourra être gagnée !

    Me Thibaut Durox

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/207108/burkinis-sur-les-plages-comment-organiser-la-riposte-juridique-par-me-thibaut-durox/

  • I-Média#161 : Macron Villiers, le lâchage médiatique du baby boss

  • A quoi sert le Parlement ?

    Nous avions vu que les députés LREM brillaient par leur incompétence. Est-ce une relation de cause à effet ? France 3 ne diffusera plus les questions au gouvernement : les téléspectateurs ne pourront donc pas s'apercevoir du vide intellectuel de certains de leurs élus.

    France 3 diffusait depuis 1983 ces traditionnelles séances des mardis et mercredis (deux séances durant la session ordinaire, une seule en session extraordinaire) à partir de 15 heures. L’ex-député PS Jean-Jacques Urvoas écrivait dans Manuel de survie à l’Assemblée nationale en 2012 :

    «Pour les six cent mille téléspectateurs en moyenne qui les suivent sur leur écran, (les QAG) constituent la seule fenêtre sur le travail législatif, l’unique moment où chacun peut évaluer son député dans l’accomplissement de sa fonction».

    Cette décision survient après la crise entre le Président de la République et le CEMA, crise provoquée par les propos du CEMA devant la commission parlementaire de la Défense nationalequi voit ainsi sa légitimité remise en cause. Par ailleurs, les députés LREM n'ont aucune marge de manoeuvre et doivent obéir à Jupiter-Narcisse le doigt sur la couture du pantalon. Quant à l'opposition, elle n'est même pas écouté et ses amendements sont rejetés illico sans débat.

    Dans ces questions, on se demande à quoi sert le Parlement. Si ce qui est écrit là avait été réalisé ailleurs, en Russie par exemple, notre belle presse crierait à la dictature...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Rivarol n°3289 – Johan Livernette : « La franc-maçonnerie, c’est le cœur du système »

    A la page 5 du journal Rivarol du 29 juin 2017 est paru un entretien portant sur la publication de mon dernier livre La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture. L’intégralité de l’article est en ligne ci-dessous. Merci à Jérôme Bourbon (directeur de Rivarol) pour sa proposition d’interview.

    RIVAROL : Le titre de votre sixième ouvrage, La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture, est suffisamment explicite. Qu’est-ce qui a motivé l’écriture de ce livre ?

    Johan LIVERNETTE : Ce livre est dans la continuité du précédent, Le complot contre Dieu, qui démontait le mondialisme, ce projet de destruction à grande échelle. Cette fois, La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture est centré uniquement sur la secte maçonnique. Mon but fut de publier le livre le plus complet et le plus documenté possible sur le sujet, en structurant mon travail sur différents axes, de manière à faire le tour de la question en 372 pages. Lorsque j’ai vu que la franc-maçonnerie allait fêter son tricentenaire, je me suis dit que c’était le bon moment pour fournir ce travail de synthèse.

    R. : Justement, sous quel angle abordez-vous la franc-maçonnerie dans votre livre ? Quelles thématiques sont-elles traitées ?

    J. L. : Sous tous les angles. Il n’y a qu’à regarder la table des matières pour se rendre compte que cette étude est très large. Des thématiques sont cependant plus approfondies que d’autres. Je pense notamment aux origines de la franc-maçonnerie, à l’initiation, à la notion de contre-Église, aux faux principes maçonniques, à son caractère luciférien et puis surtout à l’action des sociétés secrètes durant l’histoire, c’est-à-dire depuis trois siècles.

    R. : La révolution française de 1789 est-elle abordée dans votre livre ?

    J. L. : Oui bien évidemment. Elle est le point de départ de toute cette conspiration. La révolution française est l’œuvre majeure de la franc-maçonnerie. Depuis 1789, aucun événement important ne se produit sans le concours des loges ou sans leur consentement. D’ailleurs, depuis cette révolution dite “française”, tout peut s’expliquer par le complot talmudo-maçonnique. Car tout ou presque provient d’arrières-loges liées à la haute finance apatride. C’est ce que je m’étais efforcé de démontrer en seulement 50 pages dans la Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial.

    R. : La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture s’adresse-t-il au lecteur déjà averti ou au néophyte qui ignore tout du sujet ?

    J. L. : Il s’adresse à tout le monde. Celui qui connaît déjà le sujet l’approfondira encore plus. Celui qui ne connaît rien apprendra tout. Quant aux francs-maçons, je leur en recommande vivement la lecture, afin de changer leur point de vue sur leur secte, de la quitter définitivement et de la faire découvrir à leur tour au grand public, comme l’avait fait le repenti Paul Copin-Albancelli en son temps.

    R. : Était-ce utile, selon vous, de remettre le couvert sur un sujet qui a déjà été traité ?

    J. L. : C’est plus que jamais utile de remettre le couvert sur ce sujet qui a certes été déjà étudié, mais pas de manière aussi complète et approfondie que dans mon dernier livre ou alors il y a bien longtemps : en 1893, sous l’angle kabbalistique, avec Mgr Léon Meurin dans La franc-maçonnerie, synagogue de Satan (éditions Saint-Rémi). C’est la raison pour laquelle je me suis plongé, ces dernières années, dans la documentation maçonnique, tout en étudiant la vraie histoire et non celle des manuels scolaires de la république. Les gens sont friands d’informations sur ce que les media nous cachent. Sur les dessous de l’histoire, l’implication de lobbys, sectes et sociétés secrètes en lien avec la banque. C’est ce qui a fait le succès de mes trois derniers livres.

    R. : Faites-vous le rapprochement entre la franc-maçonnerie et le pouvoir politique en France ?

    J. L. : Oui. C’était déjà le cas dans Le complot contre Dieu d’ailleurs. C’est simple : pour être à la tête d’une entreprise importante à l’échelle locale ou régionale, il faut être affilié à une loge ou faire partie d’un club para-maçonnique comme le Rotary, le Kiwanis ou le Lion’s. Pour faire une carrière dans la politique sous une république, c’est pareil. C’est un passage obligé. À gauche par exemple, les politiciens de premier plan sont généralement affiliés au Grand Orient de France. Cela devrait interroger toute personne curieuse et désireuse de s’intéresser au vrai pouvoir, aux forces occultes qui dirigent réellement la France depuis 1789. S’informer et se positionner en politique sans prendre en compte la question maçonnique et ses faux principes, c’est passer à côté de l’essentiel.

    R. : Sur quels livres, quels auteurs et quels documents vous êtes-vous appuyé dans cette étude ?

    J. L. : Sur des francs-maçons qui, par le passé, se sont permis de dévoiler leur secte : le célèbre Albert Pike, le palladiste Domenico Margiotta, mais aussi François Clavel, Jean-Marie Ragon, Alexandre Lenoir, Oswald Wirth… Et puis surtout de nombreux auteurs antimaçonniques de référence comme Mgr Ernest Jouin, Mgr Henri Delassus, Mgr Léon Meurin, Léon de Poncins, AG Michel, l’abbé Barrruel, l’abbé Barbier, Henry Coston, Epiphanius, Jacques Ploncard d’Assac ou encore Jean-Claude Lozac’hmeur sur les origines de la franc-maçonnerie. Dans L’Église romaine en face de la révolution, l’historien Jacques Crétineau-Joly avait diffusé les documents de la Haute-Vente, à l’instar de Mgr Delassus dans Le problème de l’heure présente. Pour les compte-rendus du Grand Orient, il y a l’ecclésiastique AG Michel. Pour l’infiltration au sein de l’Église : l’abbé Emmanuel Barbier ; pour les illuminés de Bavière : l’abbé Barruel et la Britannique Nesta H. Webster ; pour l’initiation : Charles Nicoullaud ; et pour l’analyse de la gnose : Étienne Couvert. L’étude d’Emmanuel Ratier sur le B’naï B’rith est incontournable, tout comme celle d’Antony C. Sutton sur la Skull and Bones ou celle de l’Américain Craig Heimbichner sur l’Ordo Templi Orientis. Pour les francs-maçons décrits par eux-mêmes et les origines de l’ONU, le travail de Léon de Poncins est très précieux. Quant à l’action maçonnique durant l’histoire, il y a l’immense ouvrage du père Nicolas Deschamps intitulé Les sociétés secrètes et la société(éditions Saint-Rémi). Lors de mon étude, il m’a semblé nécessaire de rassembler un maximum d’informations et de documents, afin d’effectuer la synthèse de tous ces travaux.

    R. : Pensez-vous avoir fait le tour de ce vaste sujet en 372 pages ?

    J. L. : Oui je l’espère, dans un esprit de synthèse, afin de ne pas trop alourdir le livre en nombre de pages. Pour qu’il soit accessible, pas trop fastidieux à lire. Pour ne pas perdre le lecteur. Le but fut vraiment de faire le tour de la question maçonnique en développant suffisamment les sujets traités.

    R. : La franc-maçonnerie est-elle, selon vous, la cause des problèmes de notre société ?

    J. L. : Elle est d’abord un symptôme. De nombreux citoyens français y accourent. Et cela devrait nous interroger. Il y a un vide spirituel et les gens cherchent à le combler. Soit par le matériel, soit en se lançant dans toutes sortes de spiritualités. Entrer en franc-maçonnerie est synonyme d’ascension sociale pour ceux qui y rentrent. Ces gens-là la voient d’abord comme un réseau d’affaires. Sur le plan politique et religieux, la franc-maçonnerie est à l’origine de nombreuses lois et décisions gouvernementales qu’il serait long de toutes énumérer. Elle est donc aussi la cause de nos problèmes. La franc-maçonnerie, c’est le cœur du système. Chacun devrait raisonner en partant de ce constat et analyser les événements historiques en fonction de l’influence des loges, de leur projet, de leurs crimes, de leur état d’esprit.

    R. : Cibler la franc-maçonnerie aide-t-il à mieux analyser les événements contemporains ?

    J.L. : Cela nous amène à démystifier les faux clivages ressassés par les médias depuis des siècles (gauche-droite, riche-pauvre…), mais aussi à reconsidérer le clivage exploiteur-exploité. Aujourd’hui, il y a clairement la judéo-maçonnerie aux affaires et nous, les simples profanes qui subissons ce système démocratique — sous contrôle des loges — qui agit contrairement aux intérêts de la France et qui poursuit même la destruction de notre pays. Et si cette même France va de châtiment en châtiment depuis 1789, la secte maçonnique n’y est certainement pas étrangère ! Dénoncer l’œuvre satanique de la franc-maçonnerie permet de mieux comprendre les causes des événements de ce monde, leur fil conducteur. À l’inverse, s’intéresser à l’histoire en occultant l’action des sociétés secrètes, c’est passer à côté de la vraie histoire.

    R. : Quel objectif vous êtes-vous fixé avec l’écriture de ce livre ?

    J. L. : Je m’en suis fixé plusieurs. Tout d’abord informer du mieux possible, en suivant la recommandation du pape Léon XIII dans son encyclique antimaçonnique Humanum Genus. Le souverain pontife y recommandait d’« arracher à la franc-maçonnerie le masque dont elle se couvre » et de la « faire voir telle qu’elle est ». Deuxièmement, dans le combat des idées, se décrasser des faux principes maçonniques est primordial. Ensuite, j’espère avoir été suffisamment convaincant pour dissuader mes lecteurs de s’y affilier. Et enfin, persuader les francs-maçons d’en sortir. Ce livre est, selon moi, un antidote radical à toute initiation en loge. Dans un second temps, il faudrait espérer et même prier pour la conversion des francs-maçons.

    R. : Abordez-vous systématiquement la question maçonnique dans les conférences que vous donnez un peu partout en France ?

    J. L. : La question maçonnique est abordée dans quasiment toutes mes interventions. Qu’elles soient orales ou écrites. Qu’il s’agisse de livres, d’articles ou de conférences. Pour quelle raison ? Parce qu’elle est centrale lorsqu’il s’agit d’analyser la nature du système qui est précisément talmudo-maçonnique. La question juive est donc tout aussi importante et déterminante. Le 8 juin je devais traiter à Marseille le sujet suivant : « République maçonnique contre France catholique ». Mais à cause de pressions exercées par des politiques sur le restaurateur, ma conférence n’a hélas pas eu lieu. Je compte pouvoir la donner dans le sud-ouest le mardi 15 août. Il ne faut jamais perdre en effet une occasion d’informer le public sur la nature et les dangers de la maçonnerie.

    Propos recueillis par Jérôme Bourbon

    Vous pouvez commander La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture en envoyant un chèque de 23,80 € (19 + 4,80 € de frais de port) à l’ordre de Johan Livernette à l’adresse suivante :

    Livernette Johan
    BP 30042
    83040 Toulon cedex 9

    https://johanlivernette.wordpress.com/2017/07/06/rivarol-n3289-johan-livernette-la-franc-maconnerie-cest-le-coeur-du-systeme/#more-3690

  • L'après-bac 2017 : le désastre du refus de la sélection.

    2564093979.jpg

    Un communiqué du MNR :

    En juillet 2017, nous apprenons que près de 90 000 jeunes diplômés du baccalauréat sont toujours à la recherche d'une inscription en faculté à la rentrée. Le système récolte ainsi les fruits amers du « 80 % d'une classe d'âge au bac » voulu par la gauche il y a une trentaine d'années, et jamais remis en cause par la « droite ». Comme ni le gouvernement, ni les syndicats étudiants ne veulent entendre parler de sélection, on voit mal comment la situation pourrait déboucher sur une amélioration. Il fut une époque -lointaine- ou le baccalauréat ouvrait effectivement la porte de l'enseignement supérieur, à ceux qui y aspiraient légitimement. 

    Actuellement, avec des taux de réussite de plus de 80 %, l'accès à l'enseignement supérieur pour tous les bacheliers est une tromperie, qui a de lourdes conséquences (négatives) sur leur vie à venir. Mais ni eux ni leur parents ne semblent en avoir conscience, obnubilés qu'ils sont par un diplôme qui ne signifie plus grand-chose, et qui ne leur assurera pas un avenir professionnel.

    En réalité, il faudrait rétablir la sélection à tous les niveaux, à commencer par l'entrée en sixième, et arrêter les surnotations visant à obtenir des statistiques apparemment meilleures.

    Avec tous ceux qui se préoccupent de l'avenir de notre pays, travaillons à ce que nos responsables aient le courage de reconnaître que la seule voie de salut pour l'enseignement réside dans le retour à la sélection.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Jean-Marie Le Méné : avortement et eugénisme

    Voici la présentation "Avortement et eugénisme" de Jean-Marie Le Méné effectuée au cours du séminaire européen du 22 juin 2017 sur la Prévention de l'avortement en Europe.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nicolas Hulot veut une énergie polluante et deux fois plus chère

    Nicolas-Hulot.jpg

    L’idéologie est imperméable à la raison : Greenpeace enseigne que chaque centrale nucléaire est une menace mortelle. Il faut donc les supprimer toutes et détruire l’outil offert par Charles de Gaulle à la France. Nicolas Hulot prévoit de détruire d’abord un tiers de cet outil, les centrales les plus anciennes. Sait-il – l’idéologie évite l’instruction – que toutes les pièces d’usure d’une centrale nucléaire sont remplacées régulièrement, comme pour les avions, et que la cuve de toutes les centrales nucléaires a été reconnue valable pour 80 ans (tests faits aux États-Unis).


    Pendant que, sur toute la planète, tous les pays qui en ont les moyens se lancent dans le nucléaire à la suite de la Russie, la Chine et l’Inde, l’Europe de l’Ouest, elle, de la Manche à l’Oder, se suicide 1. L’Europe de l’Ouest satisfait les appétits gargantuesques de l’industrie éolienne 2 allemande, danoise et espagnole (chinoise !).

    L’industrie éolienne pollue ! Dans le moins grave des cas, chaque éolienne doit être accompagnée d’une centrale thermique au gaz. La France pourra progressivement se vanter de polluer presque autant que l’Allemagne alors qu’elle est actuellement un modèle dans la lutte contre la pollution. Pour bien copier l’Allemagne, elle pourra installer des centrales au lignite et au charbon…

    Faut-il vraiment rappeler que la France importe tout en matière d’énergie, à part ses centrales nucléaires ? Faut-il préciser que la France vient d’offrir tous les secrets de ses centrales à la Chine ? Elle a agi de même pour les milliers de trains rapides chinois. La Chine vend aujourd’hui en masse la technologie française à toute la planète.

    Pour éviter tout malentendu, précisons que la France, si l’apocalypse Hulot devait se réaliser, se retrouverait tout simplement sans électricité et avec beaucoup de chômeurs supplémentaires : la création artificielle d’usines de matériel producteur d’énergie « verte » est impossible. Même l’Allemagne a fermé sa dernière usine de production de panneaux photovoltaïques et importe presque tout son matériel éolien de Chine ! Seules des variantes bien choisies du nucléaire de 4egénération auraient permis à la France de rester dans le peloton des nations industrielles.

    Malheureusement, en tous domaines, la France fait des choix suicidaires. Ainsi, ses fusées sont pour l’essentiel des engins à poudre sans avenir mais coûteux, elle est assise sur un eldorado énergétique et importe cette énergie, gangrenée par le chômage, elle importe en masse de la main-d’œuvre sans qualification… Si, demain, les taux d’intérêt redevenaient normaux, la faillite de la France ridiculiserait celle de la Grèce, tant elle vit à crédit…

    Et c’est donc cette France, jadis Lumière pour l’Europe, que Nicolas Hulot veut ruiner encore plus vite et qu’il veut plonger dans une pollution croissante. Il prétend sauver l’emploi ! Vraiment, l’idéologie est un obstacle infranchissable pour la raison…

    Notes:

    1. Un exemple ? La Belgique a participé à la mise au point du nucléaire de 4e génération, sans danger, sans déchets, utilisant des matériaux disponibles pour des milliers d’années (MYRRHA), elle est freinée dans sa recherche et finira par acheter les centrales que la Chine met au point grâce e.a. à la technologie belge…. 
    2. La Commission Européenne soutient un projet de 7.000 éoliennes géantes en mer du Nord. L’ensemble produirait 100 gigawatts… à chaque tempête pas trop violente. Ce projet, accompagné d’une île de 30 km² et d’un gigantesque réseau de distribution à travers toute l’Europe de l’Ouest, coûterait selon ses promoteurs (la North Sea Power Hub), 13 milliards d’euros. Le simple bon sens et un petit calcul suggèrent au minimum 1.000 milliards d’euros pour les éoliennes + les centrales thermiques de même puissance à maintenir au moins en stand by car le vent est capricieux + l’immense réseau de distribution. 

    http://www.bvoltaire.fr/nicolas-hulot-veut-energie-polluante-deux-plus-chere/

  • Le lobby LGBT, par ses mensonges, a contribué à propager le SIDA : il doit être traduit devant la justice

    Selon l'étude de l’équipe de chercheurs de Santé publique France, de l'Inserm et de l'équipe nationale d'intervention en prévention et santé pour les entreprises (ENIPSE), publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadairela situation de l'épidémie de VIH chez les jeunes hommes homosexuels français serait « extrêmement préoccupante ». L'homophobie insupportable de la science doit-elle être portée devant la justice ?

    Extrait du commentaire de Dominique Morin, sous le post d'Yves Daoudal :

    "le lobby homosexuel, surtout AIDES et ACT-UP la branche activiste, en mettant la main sur la "lutte contre le SIDA, ont interdit de distinguer les types de rapports particulièrement à risque de transmission, donc à proscrire car trop risqué, au prétexte de "ne pas discriminer." Résultat, la prévention a été imprécise et la propagande homosexuelle, en se victimisant comme victimes du SIDA comme une discrimination, ont fait de la "lutte contre le SIDA" une propagande active pour propager auprès des jeunes, parfois très jeunes, les moeurs homosexuels comme normatifs et interdire toute remise en cause de ces pratiques comme discriminatoire. Ils ont objectivement contribué à propager le SIDA, il suffit de regarder des images de la Gay Pride."

    La ville de Paris est aussi responsable. Le 13 juin, Jean-Luc Romero–Michel remettait au Maire de Paris un rapport intitulé « Paris, ville phare de l’inclusion et de la diversité ». 52 recommandations y figurent pour faire de Paris la capitale mondiale des droits LGBT et du tourisme LGBT. La 10e édition des Gay Games se déroulera à Paris du 4 au 12 août 2018.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html