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  • Ukraine scoop: des snipers de Maïdan témoignent à la TV italienne que les commanditaires de la tuerie étaient dans le camp américain

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    C’est un scoop international, un documentaire à couper le souffle, diffusé sur la chaine italienne Canale 5 en novembre 2017: Gian Micalessin a retrouvé trois tireurs d’élite, trois responsables du massacre de la place Maïdan, qui, - vous le verrez dans le documentaire -, loin d’être pro-russes étaient au contraire sous autorité pro-américaine. Ce documentaire exceptionnel le démontre: En Ukraine la tuerie du Maïdan qui a fait 80 morts et d’innombrables blessés, et qui a renversé le pouvoir légitime du président Ianoukovytch a bien été commandité par les services spéciaux Américains via leur homme de Géorgie, Mikhaïl Saakachvili.

    Un grand reporter de guerre Gian Micalessin a obtenu le témoignage détaillé de trois des nombreux snipers (tueurs en fait) qui ont été engagés en Géorgie pour se rendre en Ukraine renverser le pouvoir au profit des intérêts occidentaux. Ce sont des témoignages du massacre, -et de son déroulement-, abondamment  illustré en fond par les nombreux enregistrements vidéo d’époque, caméras de surveillance et reportages divers. D’autres documents accablants démontraient déjà ce scénario abominable, mais ces trois témoignages concordants et amplement argumentés ne laissent plus subsister le moindre doute. Les spectateurs attentifs seront alertés par ce document emblématique des diverses révolutions de couleurs qui ont frappé les pays d’Europe central, emblématique aussi des différents printemps arabes qui ont servi à renverser certains chefs d’Etat du Moyen-Orient inaugurant le terrorisme islamique actuel, jusqu’à la volonté aujourd’hui des Américains de saboter les négociations de paix de Genève sur la Syrie ainsi que le révèle notre précédent article.

    Au cours de son reportage, Gian Micalessin donne alternativement la parole à ses trois témoins en fonction de la chronologie des événements, chacun les ayant vécu de son côté:

    Ci-dessous l’enregistrement de la conversation  captée, 5 jours après les massacres de la place Maïdan, entre le ministre d’Estonie, Urmas Paet et Catherine Ashton, ministre des Affaires étrangères de l’UE; Urmas Paet revenant de Kiev après le massacre a été le premier a contester la version officielle et obligatoire diffusée jusqu’à aujourd’hui par les médias occidentaux. Micalessin fait référence dans son reportage ci-dessus, à cette conversation accablante pour la version officielle :

    Ci-après le script intégral du documentaire de Gian Micalessin diffusé en novembre 2017 sur la chaine de TV italienne Canale 5, suivi du témoignage de Vladimir Poutine sur le sujet :

    http://www.medias-presse.info/ukraine-des-snipers-de-maidan-temoignent-a-la-tv-italienne-que-les-commanditaires-de-la-tuerie-etaient-dans-le-camp-americain/83986/

  • Interdits de manifester, des militants de Génération identitaire se rassemblent devant le Bataclan contre l’islamisme

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    Communiqué de Génération identitaire :

    Des militants de Génération Identitaire se sont rassemblés spontanément devant le Bataclan cette après-midi pour dénoncer l’islamisme qui a fait tant de morts dans notre pays.

    Ce n’est pas parce que l’État interdit à la jeunesse de manifester contre ceux qui tuent nos frères et nos sœurs que nous baisserons la garde. Bien au contraire, nous combattrons l’islamisme dans toute l’Europe, avec ou sans l’autorisation de ceux qui ont décidé de les protéger.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/11/26/interdits-de-manifester-des-militants-de-generation-identita-6002765.html

  • DANIÈLE OBONO LÉGITIME LE RACISME ANTI-BLANC : PAS DE JUGE POUR DEMANDER LA LEVÉE DE SON IMMUNITÉ ?

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    Vincent Vauclin (Boulevard Voltaire)

    Danièle Obono est, décidément, notre meilleur atout. La députée franco-gabonaise, d’obédience mélenchoniste, s’est une nouvelle fois distinguée par une sortie polémique en défendant la « non-mixité raciale » de réunions organisées par le syndicat SUD Éducation 93. Des réunions tout simplement interdites aux Blancs, dans la France de 2017.

    Ne pouvant s’empêcher de saisir la moindre occasion pour déblatérer sur la France et les Français de souche, animée d’une haine revancharde, insatiable et compulsive, elle nous offre régulièrement des outrances telles que même des cégétistes patentés ou des journalistes bobos ne peuvent que s’en indigner et s’interroger sur les dérives de cette « lutte contre les discriminations » qui oscille aujourd’hui entre le grotesque totalitaire et l’hystérie collective.

    On se souviendra, ainsi, de cette polémique née après son passage sur RMC où cette « élue de la nation » semblait incapable de prononcer ces quelques mots : « Vive la France ». Ou encore de ce soutien ambigu au groupe ZEP et à son morceau « Nique la France » où l’on fustigeait le « paternalisme et le colonialisme » de notre pays. Ou encore de sa « fraternisation » avec la non moins sulfureuse Houria Bouteldja, présidente monomaniaque du Parti des indigènes de la République, et qui s’était notamment distinguée en qualifiant les Français de « souchiens ». De quoi suffire à désorienter jusque dans son propre camp.

    Mais si ses acolytes d’extrême gauche feignent l’indignation, c’est davantage sur la forme que sur le fond de ses propos. Car Danièle Obono n’est pas en rupture avec l’idéologie dominante : elle la précède, elle en annonce les prochains développements et ne fait qu’en pousser la mécanique jusqu’à ses conclusions logiques.

    Et c’est bien là le problème : le timing. Danièle Obono entend sauter les étapes.
     
    À rebours du processus lent et souterrain de Grand Remplacement – dont il s’agit, pour nos élites, de dissimuler le plus longtemps possible la réalité, l’ampleur et les implications -, l’urticante Obono pèche par son impatience et accélère malgré elle le lent réveil du peuple français, tant ses sorties médiatiques heurtent une opinion publique pourtant sévèrement anesthésiée.

    Mais il y a mieux. En revendiquant ouvertement un droit à la discrimination raciale, Danièle Obono crée un précédent, une jurisprudence à double tranchant qui enterre de facto la fiction du vivre ensemble et légitime, par ricochet, les futures revendications identitaires et communautaires de la majorité silencieuse. Ces Français de plus en plus ulcérés par l’arrogance prosélyte immigrée et qui finiront bien par comprendre qu’il nous faut tuer le multiculturalisme avant qu’il ne nous tue.

    On peut, enfin, s’interroger sur l’inertie de la Justice républicaine – pourtant prompte à condamner sans relâche les « incitations à la haine raciale » et à demander des levées d’immunité parlementaire d’élus mal-pensants – qui semble soudainement bien laxiste, tardant à réagir face à ce qu’il faut bien appeler une véritable ségrégation raciale.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • MARC FROMAGER : « IL Y A 70 FOIS PLUS DE MOSQUÉES EN FRANCE QUE D’ÉGLISES DANS LA PÉNINSULE ARABIQUE »

    Le 5 décembre, l’AED (Aide à l’Église en détresse) organise un colloque intitulé « L’après-Daech, entre géopolitique et mystique ». Pourquoi traiter ensemble ces deux thématiques ? Marc Fromager s’en explique au micro de Boulevard Voltaire. Il constate, notamment, qu’il y a de moins en moins de chrétiens au Moyen-Orient, et pourtant ces chrétiens sont un liant qui permet – y compris aux différentes communautés musulmanes entre lesquelles règnent de graves tensions – de vivre ensemble en paix.

    Le 5 décembre, l’AED organise un colloque liant géopolitique et mystère au Moyen-Orient.
    Pourquoi traiter ensemble ces deux thématiques ?

    Chaque année à cette époque, nous organisons un colloque. L’idée est de réfléchir sur ce qui se passe dans le monde en général autour d’un thème concernant l’Eglise.
    La question du Moyen-Orient est bien-sûr prégnante aujourd’hui. Il est en pleine évolution plutôt positive. C’est assez surprenant, car nous n’avions pas l’habitude d’avoir de bonnes nouvelles de cette région du monde.
    Le titre est L’après Daech, entre géopolitique et mystique.
    « L’après-Daesh », c’est peut-être un peu tôt. En Irak ou en Syrie, l’État islamique a perdu son assise territoriale ces derniers jours. Mais une partie de leurs combattants est toujours-là, disséminée, qui pourra encore perpétrer des attentats. Il y a aussi tous les groupes affiliés de l’État islamique que ce soit ailleurs au Moyen-Orient, dans la bande sahélo-saharienne, en Afghanistan ou au Pakistan…

    L’idée est tout d’abord de faire un point géopolitique sur le Moyen-Orient.
    Où en est la situation en Syrie et en Irak ?
    Quelles sont les nouvelles du Moyen-Orient, y compris de l’Arabie-Saoudite qui est au cœur de l’actualité aujourd’hui?
    Ensuite, nous allons essayer de prendre un peu de distance par rapport à cette thématique géopolitique pour essayer de voir si nous avons des réponses religieuses au chaos oriental.
    Le sous-titre original est Les pères de l’Église dans le chaos oriental.
    L’idée est de voir s’ils ont quelque chose à nous dire aujourd’hui sur l’unité de l’Église, un véritable enjeu là-bas, sur le dialogue entre chrétiens et musulmans, et sur la façon de trouver un chemin vers la paix.

    Ne craignez-vous pas que malgré la destruction de l’EI, les dommages faits au dialogue islamo-chrétien là-bas soient irréversibles ?

    C’est trop tôt pour le dire.
    Une des raisons de l’apparition de l’État islamique, notamment en Irak, est la dépossession du pays par les chiites. On se retrouve donc déjà en plein coeur de la crise interne à l’islam entre sunnites et chiites. La bouleversante invasion américaine de ce pays en 2003 a conduit à donner ce pays aux Iraniens. Ce résultat est assez impressionnant.
    Aujourd’hui, les chiites contrôlent Bagdad. Les 35 % d’Irakiens sunnites veulent leur revanche, reprendre Bagdad et le pouvoir sur le pays ce qui était le cas avant.
    Tant que nous n’aurons pas trouvé de solutions politiques à une juste répartition des responsabilités en Irak, alors, il y aura une tension sur les sunnites irakiens.
    À travers toute cette crise, l’Iran aura marqué des points en Irak et en Syrie. Paradoxalement, cela a renforcé la présence et la puissance iranienne. Par conséquent, les sunnites irakiens ou d’ailleurs sont dans une situation de tension vis-à-vis des Iraniens et des chiites.
    Même si l’État islamique disparaît, il est probable qu’il demeure un certain nombre de sunnites radicalisés. Certains auront goûté à l’État islamique et seront définitivement dégoûtés. Beaucoup de musulmans se posent des questions sur l’islam en voyant ce à quoi l’islam peut conduire.

     

    La surprenante critique du wahhabisme par le prince héritier saoudien Salman est-elle facteur d’espérance pour la pacification des éléments belliqueux du sunnisme ?

    À ce stade, c’est un élément extrêmement positif qui nous arrive du Moyen-Orient.
    Avant que cela rentre en application et qu’il y ait de réelles conséquences pratiques sur le terrain, il faut encore attendre. Nous espérons que cela aille vite, si c’est le cas, nous irons de surprise en surprise. Le simple fait qu’il ait eu ses propos est vraiment très encourageant.
    Trois millions de chrétiens sont présents dans la péninsule arabique. La plupart sont catholiques. Des églises se trouvent dans tous les pays sauf en Arabie Saoudite. Ce n’est pas du tout assez. Il y a 3 millions de chrétiens et 22 églises pour les catholiques. Cela fait à peu près un lieu de culte pour 140.000 fidèles. En comparaison, en France, il y a 5 millions de musulmans et 2500 mosquées. Cela fait un lieu de culte pour 2000 fidèles. Proportionnellement, en France, il y a 70 fois plus de mosquées pour les musulmans que d’églises pour les chrétiens dans la péninsule arabique.

    Je ne dis pas qu’il faut que ce soit le même ratio, mais retenons ceci lorsque les musulmans en France viennent nous dire qu’ils n’ont pas assez de mosquées. Il ne faudrait peut-être pas exagérer.
    De fait, les églises au Qatar, au Koweït, aux Émirats Arabe Unis sont parfaitement insuffisantes et sont totalement débordées. Il y a trop de monde. Etre curé là-bas n’est pas une sinécure.
    Pour le moment, il n’y a toujours rien en Arabie saoudite, c’est pourtant là qu’il y en a le plus.
    Ce sont tous des étrangers, expatriés, des Asiatiques, des Philippins ou des Indiens. De fait, il n’y a pas d’église. Les Occidentaux vont à l’ambassade, au consulat, mais encore une fois la plupart sont Philippins ou Indiens. Ils se retrouvent chez les uns et les autres par petits groupes de 50 personnes. Ils arrivent à avoir la messe dans ces conditions, mais en prenant énormément de risques.
    La situation va-t-elle évoluer rapidement ? Espérons-le !

    Les religions peuvent-elles incarner un espoir de paix là-bas ?

    La situation est différente selon les pays. En Syrie, ça se passe plutôt bien, il y avait de bonnes relations entre les catholiques et les orthodoxes. En Irak aussi, mais en Égypte c’était un peu plus compliqué. Il y a une diversité de situation.
    Quelles que soient les tensions qui existaient au sein du christianisme, cela n’a jamais généré de guerre, en tout cas, pas dans les derniers siècles. Le problème venait des tensions entre chrétiens et musulmans. Les plus grandes tensions venaient au sein de l’islam lui-même entre sunnites et chiites.
    La plupart des victimes d’attentats au Moyen-Orient sont des musulmans tués par d’autres musulmans. En général, les attentats commis par des sunnites contre les chiites et vice versa.
    Je ne sais pas si on peut dire que plus de religion portera vers la paix. Mais si on estime que la plupart des tensions aujourd’hui sont le résultat d’une tension à l’intérieur de l’islam, alors l’islam doit évoluer et doit guérir de cette impasse dans laquelle il se trouve. Ce n’est donc pas plus ou moins, c’est peut-être une amélioration qualitative, une résolution d’un conflit qui existe entre eux et qui n’est toujours pas résolu pour le moment.
    Est-ce qu’ils le résoudront un jour ? Je ne sais pas ! S’ils n’arrivent pas à résoudre ces tensions alors peut-être que se sera la fin de l’islam.
    L’autre partie, c’est les relations entre chrétiens et musulmans. Il faudrait qu’ils se dépêchent, car il y a de moins en moins de chrétiens au Moyen-Orient. Les chrétiens ont un véritable rôle à jouer. Ils sont un liant, ils permettent aux différentes communautés de vivre ensemble. Ce n’est pas de l’idéologie, mais un constat objectif qu’on a pu voir au Liban où se trouvaient des villages mixtes.
    Il y avait des sunnites, des chiites, des druzes et des alaouites à condition qu’il y eût des chrétiens. Le jour où les chrétiens sont partis, tous ces villages sont devenus monoreligieux. Il ne restait plus que des chiites ou des sunnites ou des druzes, etc.
    Ne serait-ce que pour permettre aux musulmans de vivre ensemble en paix, il faudrait qu’il y ait encore des chrétiens au Moyen-Orient. En ce sens, on pourrait dire que plus de religion serait peut-être une solution, mais l’enjeu consiste surtout en une meilleure appréhension du fait religieux.

    http://www.bvoltaire.fr/y-a-70-plus-de-mosquees-france-deglises-peninsule-arabique/

  • La politique actuelle repose sur l’idée qu’il existe trop de communes alors que ces 35 000 communes représentent une force

    6a00d83451619c69e201bb09d9ba29970d-250wi.jpgAlors que se tient actuellement le congrès des maires de France, Minute a interrogé le maire de Béziers Robert Ménard. Extrait :

    "[...] Personnellement, j’ai quitté l’Association des maires de France parce qu’elle avait pris position contre les crèches dans les mairies. Je n’y adhère donc plus – et cela fait autant d’économies pour ma ville.

    J’écouterai attentivement ce que M. Macron dira aux maires et je ne veux pas lui faire de procès d’intention avant de l’avoir entendu. Mais la politique actuelle repose sur l’idée qu’il existe trop de communes et qu’il vaudrait mieux en réduire le nombre au profit de grandes intercommunalités ; alors qu’au contraire, ces 35 000 communes représentent une force pour la France. Les conseillers municipaux et les maires sont proches de la population. Etre maire d’une petite commune – ce qui est le cas de la moitié d’entre eux – n’est pas une sinécure, mais un apostolat, un sacrifice. Ils perçoivent 625 euros par mois d’indemnité et sont à la disposition permanente de leurs concitoyens.

    Il arrive que des gens viennent sonner à ma porte à une heure du matin ! M. Macron ne comprend pas cela, il ne le sait même pas. A ses yeux, il n’existe qu’une quinzaine de métropoles, et au-delà, c’est le désert français !"

     par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/11/la-politique-actuelle-repose-sur-lid%C3%A9e-quil-existe-trop-de-communes-alors-que-ces-35-000-communes-re.html

  • Marine Le Pen dénonce une « fatwa bancaire »

     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La Société Générale vient d’annoncer la clôture des comptes du Front national. Dans le même temps, HSBC a décidé de fermer le compte de Marine Le Pen, où elle est pourtant cliente depuis plus de 25 ans.

    Les banques nient toute considération politique

    Lors de sa conférence de presse du 22 novembre, Marine Le Pen n’a pas manqué d’évoquer un « scandale démocratique », annonçant porter plainte pour discrimination contre la Société Générale et HSBC. Le député Gilbert Collard a quant à lui résumé l’ensemble des commentaires émis par les élus du parti populiste. Selon lui, c’est une « décision qui est purement politique, qui a pour but de gêner le Front national. Il y a une volonté dans ce pays aujourd’hui de ne pas avoir d’opposition réelle ».

    Des accusations fermement démenties par la Société Générale et HSBC, qui invoquent des considérations purement formelles et économiques. Dans une discussion rendue publique par Marine Le Pen, HSBC explique ainsi manquer d’informations sur l’origine des fonds sur le compte de l’élue ; lesquels proviendraient exclusivement « de l’Assemblée nationale et des allocations familiales ».

    Quelles solutions pour le Front national ?

    Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a demandé à connaître l’intégralité des éléments du litige, en particulier ceux censés justifier l’attitude de la Société Générale. La mise en place d’une « banque de la démocratie » évoquée durant l’été par François Bayrou, alors en charge de la moralisation de la vie publique, a pour le moment été repoussée. Compte tenu des « très grandes difficultés » rencontrées par plusieurs candidats pour lever des fonds, y compris par le président du MoDem, Bercy annoncerait cependant prochainement des mesures. En attendant, le Front national aurait trouvé une autre banque.

  • Jean-Michel Blanquer et l'Agrif vont déposer plainte contre Sud-Education

    6a00d83451619c69e201bb09d99e32970d-800wi.jpgLe ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer a décidé de porter plainte contre Sud Education 93, qui organise un atelier interdit aux Blancs :

    "On parle de 'non-mixité raciale', de 'blanchité', de 'racisés' [...] les mots les plus épouvantables du vocabulaire politique sont utilisés au nom soi-disant de l'antiracisme alors qu'ils véhiculent évidemment un raciste. C'est pourquoi, puisque ce syndicat a décidé de parler aussi de racisme d'Etat, que j'ai décidé de porter plainte pour diffamation à l'encontre de Sud Education 93". 

    Il regrette également que le syndicat national ne se soit pas désolidarisé de la section de Seine-Saint-Denis.

    L'Agrif également :

    "L’organisation par le syndicat de gauche Sud-Éducation d’un stage soi-disant « antiraciste » mais d’apartheid anti-blanc révèle combien il n’est plus désormais qu’une courroie de transmission du PIR (Parti des Indigènes de la République) d’Houria Bouteldja et de son conseiller idéologique Saïd Bouamama. Ce stage a pour but essentiel « la lutte contre l’islamophobie ». On sait ce que cela recouvre en réalité : une active propagande d’islamophilie. Sud et le PIR assortissent cela de la provocation délibérée d’une « formation » d’un apartheid séparant les enseignants blancs des non-blancs.

    Depuis bientôt 10 ans (première plainte le 13 février 2008), l’AGRIF a été la seule association à porter devant la justice les propos racistes d’Houria Bouteldja, traitant les Français de « sous-chiens », et les écrits de son mentor Saïd Bouamama ainsi que les paroles de son rappeur Saïd Saïdou sous les titres de « Nique la France ». Tous ceux qui, ministres et députés, sous les gouvernements de messieurs Sarkozy et Hollande, avaient juré de ne pas laisser passer pareilles éructations racistes, n’ont finalement rien fait. Seule l’AGRIF a agi et attend pour le 10 janvier 2018 l’arrêt contre « Nique la France » de la Cour d’appel de Lyon devant laquelle la Cour de cassation a heureusement renvoyé l’arrêt cassé de la Cour d’appel de Paris.

    Le « stage » Sud-PIR d’apartheid raciste montre combien madame Bouteldja, devant les tribunaux, se moquait cyniquement du monde en osant prétendre que ses catégories de « blancs » et de « non-blancs » ne correspondaient pas du tout à la réalité d’une discrimination raciale que la loi devrait punir mais à une classification idéologique. Tout simplement, dans sa dialectique islamo-gauchiste elle n’a cessé à la fois de classifier tous les musulmans dans les « non-blancs » et de ranger avec ces derniers les non-blancs non-musulmans.

    Le pire, c’est que le PIR a désormais noyauté et dirige des syndicats et autres associations avec l’appui politique de la mouvance mélenchonienne. On est là devant l’aveuglante évidence de ce que l’AGRIF n’a cessé la première de formuler et de clamer : « L’idéologie antiraciste n’est qu’un racisme en sens contraire »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Thomas Joly condamné pour avoir montré la réalité de l'islamisme

    257869780.jpgUn communiqué de Thomas Joly
    Secrétaire général du Parti de la France
    Suite au procès qui s'est déroulé le 9 novembre dernier au tribunal de Beauvais, le jugement a été rendu ce 23 novembre : deux mois avec sursis, 2.000 € d'amende.
    Il s'agit clairement d'une condamnation politique ciblée alors même que l'infraction était inexistante puisqu'il n'y a eu ni préjudice ni victime. Je constate un acharnement judiciaire à mon endroit afin de m'interdire de m'exprimer contre, rappelons-le, la barbarie de Daech.
    Sur les conseils de mon avocat, je fais donc appel de cette sanction inique destinée à intimider tous ceux qui luttent politiquement contre la colonisation migratoire, l'islamisation de la France et le terrorisme au nom d'Allah.
    Aucun jugement, aucune condamnation, aucune amende ne me feront taire ni ne m'empêcheront de dire la vérité à mes compatriotes.

  • CAMBADÉLIS VEUT DÉFENDRE LES MUSULMANS CONTRE LES IDENTITAIRES. OU SOIGNER SA CARRIÈRE

    Comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères…

    Ce jour-là, le 21 novembre 2017, le député honoraire Jean-Christophe Cambadélis se réveilla, en sueur : il avait eu une vision au cours de la nuit. Il courut jusqu’à la rédaction du Huffington Post et cria : « Il faut défendre les musulmans contre les identitaires ! »

    En effet, quel musulman se sent en sécurité quand il traverse Castelnaud-la-Chapelle ou Saint-Amand-de-Coly ? Dans ces territoires perdus, tous les ans, les attentats à l’eau bénite se multiplient pendant la fête de Pâques, et on fête la fin du carême en brûlant des voitures ; tous les mois, on lapide des pompiers à coups de boîtes de cassoulet ; toutes les semaines, on retrouve, sur le trottoir où ils priaient paisiblement, des musulmans traumatisés après avoir été aspergés au cabernet-sauvignon ; et tous les jours, des indigènes déchaînés rasent les barbes et arrachent les voiles en hurlant : « Montjoie ! Saint-Denis ! »

    N’oublions pas, non plus, les meurtres des journalistes de Charia Hebdo, qui avaient osé caricaturer saint Jean-Baptiste. Nous étions alors des millions à défiler, des millions qui disaient : « Je suis Charia », « Plus jamais ça », « Nous étions tous des juifs allemands, soyons tous des musulmans français ». N’oublions pas. N’oublions jamais. Et contre ce péril blanc, lisons Edwy Plenel. 

    En réalité, ce ne sont pas les musulmans que Cambadélis défend ; c’est lui-même, et sa carrière politique, car Cambadélis, c’est déjà la France d’après, celle qui sait qu’elle devra son avenir à cet électorat qui a déjà en partie « grand-remplacé » les Français, cette force politique à laquelle le socialiste moyen se soumet pour survivre – car il croit qu’il survivra, le naïf, quand il sera le premier à disparaître de la vie politique : qui pourrait avoir confiance dans un tel opportuniste, capable d’une traîtrise aussi parfaite ?

    « Il faut défendre les musulmans contre les identitaires ! » Oui, et je propose que l’on fasse taire définitivement les seconds, qu’ils cessent de tourmenter les premiers. Oui, défendons les musulmans contre les identitaires, comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères, et les lecteurs contre les écrivains insoumis et les murs contre les cons, et les cons contre Jean-Christophe Cambadélis, député honoraire.

    http://www.bvoltaire.fr/cambadelis-veut-defendre-musulmans-contre-identitaires-soigner-carriere/