Seuls, tous ceux qui n’ont d’autres soucis que leurs petits plaisirs individuels, trouvent encore leur compte dans l’aphorisme récréatif du « il est interdit d’interdire« . Seuls, les bobos urbains et les mondialistes connectés croient encore à cet adage célèbre qui tourne en boucle comme un manège enchanté autour de leur petit monde. Qui les tient très éloignés des préoccupations, plus terre-à-terre, du tout-venant. Cela ne serait rien, s’ils n’avaient pas voulu, pour se dédouaner, avec l’aide des apprentis sorciers du « vivre ensemble« , nous fabriquer un monde sentimental fait de faux-semblants, dans lequel nous pataugeons encore. Et qui leur permet, à l’abri derrière leur bonne conscience, pour faire oublier l’évidence de leur fatuité, de faire la morale au monde entier et d’être très généreux avec l’accueil des autres, tant que ces derniers ne gênent que les quartiers déjà submergés par la misère.
Même si cette idéologie post-soixante-huitarde, craque de toutes parts et a de moins en moins d’écho dans le peuple, elle reste dominante et majoritaire dans les médias, dans les plus hautes sphères de l’État et parmi tout le personnel politique. Ce petit monde, vivant en vase clos dans un univers fantasmé, est incapable du moindre recul pour comprendre les changements qui s’opèrent dans la société ; ses analyses, de plus en plus incompréhensibles, confuses, quand elles ne sont pas inaudibles, tombent à plat. Et elles confortent le bon sens populaire, toujours réticent aux expériences intellectuelles aventureuses, qui a déjà, depuis quelques temps, repéré la faille : seule une information fallacieuse l’avait empêché de s’exprimer.
lobby - Page 1276
-
L’agonie d’une utopie
-
Trump a gagné ! N’en déplaise au Boboland & aux groupies d’Hillary…
Qu’on l’aime ou pas (ce qui est le droit de tout un chacun), Donald J. Trump est bien le vainqueur de ces élections. Il sera même le président de tous les Américains ! À meilleure preuve le choix (possible pour la première) de deux démocrates aux postes-clés des Affaires étrangères & du NSC avec, respectivement Tulsi Gabbard & Michael T. Mike Flynn aux commandes. Le reste a-t-il vraiment de l’importance, sauf à vouloir noircir, à tout prix, du papier ?
Q. Avant d’entrer dans le vif du sujet, une question liée à l’actualité en Terre promise : que répondez-vous à ceux qui nient la nature terroriste (sic) des incendies en Israël ?
Jacques Borde. Qu’ils racontent n’importe quoi ! Ces gens-là se payent notre tête. Ni plus, ni moins !
1- des incendiaires clairement identifiés comme des Islamistes radicaux ont bien été appréhendés et déférés devant la justice.
2- des responsables takfirî ont, à la fois, justifié et revendiqué la paternité idéologique (sic) de ces actes.
3- les enquêtes sont supervisés sous l’autorité du Sherut Ha’Bitaron A’Klali (SHABAK)1 qui est responsable de la lutte anti-terroriste au plan intérieur. SR qui, par ailleurs n’a pas pour habitude de s’occuper – faute de moyens et d’hommes, contrairement aux légendes conspirationnistes et à… Hollywood, les SR hiérosolymitains ne roulent pas sur l’or – de questions qui ne ressortent pas de son expertise.
4- déjà, en décembre 2010, des incendies terroristes avaient ravagés le pays. Et des coupables avaient été identifiés, arrêtés et condamnés.Q. Restons encore au Levant : pensez-vous que l’agenda de Trump sur la Syrie soit sérieux ?
Jacques Borde. Oui, j’y crois. D’ailleurs, avant même son entrée en fonction (janvier 2017) Trump a commencé à prendre ses marques sur ce dossier…
Q. De quelle manière ?
Jacques Borde. Oh, un exemple ! Selon The Independent, son fils, Donald Trump Jr., a participé, le 11 octobre 2016 à Paris, à des pourparlers avec les Russes et quelques autres.
Mais avec du lourd : étaient présents à cette rencontre, le fondateur du Center of Political & Foreign Affairs (CPFA) Fabian Baussard, et Randa Kassis, qui rappelle que ni les États-Unis ni la France ne pourront trouver de solution à la crise syrienne sans l’aide de la Russie.
Par ailleurs, comme l’a rappelé le Wall Street Journal, Randa Kassis est en faveur d’une transition politique en Syrie mais avec le maintien du président Assad au pouvoir. Ajoutons, pour être complet que Randa Kassis a également déclaré à Al-Jazeera que la Russie était intervenue en Syrie pour « protéger » ce pays.
À ces éclairages, comment ne pas croire que l’administration Trump puisse effectivement renverser la table sur le dossier syrien. Sinon pourquoi rencontrer des gens de la stature de Kassis et Baussard affichant de tels engagements ?
Q. Et au niveau de ses propos, Trump est bien sur cette ligne ?
Jacques Borde. Idem. Relisez donc ceux-ci : «Nous recourrons à la force militaire seulement en cas de nécessité vitale pour la sécurité nationale des États-Unis. Nous mettrons fin aux tentatives d’imposer la démocratie en dehors des États-Unis et de renverser les régimes, ainsi que de nous impliquer dans des situations dans lesquelles nous n’avons aucun droit de nous ingérer ».
Personnellement, je n’y trouve rien à redire.
Q. Passons aux question intérieures. Au niveau de la prise du pouvoir, selon vous, Trump risque-t-il une procédure d’impeachment ?
Jacques Borde. Ah, oui. La dernière tarte à la crème des anti-Trump.
Premier point, Donald Trump remportera le vote des Grands électeurs, qui doit avoir lieu le 19 décembre, et sera investi le 20 janvier 2017. Il en a entre 302 et 308, je crois ! Je ne pense pas que les manœuvres de Jill Stein, l’ancienne candidate du Green Party, y changent grand-chose.
Quant à aller vers un impeachment, il faudrait que celui-ci soit voté par les Républicains, qui viennent justement de le rallier.
« Le fait qu’il ait nommé le président du Comité national républicain, Reince Priebus, comme chef de cabinet en est la preuve : il n’y a plus d’opposition avec le parti » estime le Pr. Corentin Sellin, spécialiste des États-Unis, interrogé par BFMTV.com.
« Il a rencontré Mitt Romney, il a nommé Nikki Haley, gouverneur de Caroline du Sud, qui s’était opposée à lui, comme nouvelle ambassadrice américaine aux Nations-unies. Il a été malin dans ses nominations, et tout le parti est désormais autour de lui. Par ailleurs, avec son discours protectionniste et isolationniste, il a élargi l’électorat du Parti républicain dans des proportions incroyables, ce que n’aurait pas pu faire le vice-président élu Mike Pence par exemple » poursuit Corentin Sellin.
« De fait, est-ce que l’on imagine une Chambre des Représentants républicaine et un Sénat républicain voter l’impeachment ? La réponse est non. Et à court terme, ils n’ont aucune raison de le faire. Pas plus que les Démocrates, qui ont plutôt intérêt à comprendre pourquoi ils ont perdu l’élection et à reconstruire leur parti » ajoute-il.
Donald J. Trump sera bien Président des États-Unis.
Q. Mais cette contestation des voix et de savoir à qui elles reviennent, ça n’est pas embarrassant pour Trump ?
Jacques Borde. Si. Sauf que, à bien y réfléchir, ça l’est autant pour Hillary R. Clinton et sa bande, pardi !
Car, comme l’a souligné Donald J. Trump, lors de sa campagne, des doutes pèsent lourdement sur le camp démocrate, ce dans trois États remportés par HiLIARy.
Cf ? « Une grave fraude électorale en Virginie (ouest), dans le New Hampshire (nord-est) et en Californie (…). Pourquoi les media ne donnent pas d’informations là-dessus ? Grave parti pris,gros problème ! ».
Quitte à recompter des voix, le camp républicain pourrait aussi demander à ce qu’on se penche sur les dérapages des bourgs pourris2 qui ont permis à Clinton et les siens de s’offrir ses Grands électeurs. À un moment donné, il va falloir en finir avec ce cinéma politico-médiatique. Non ?
Q. Et le conflit d’intérêt comme menace potentielle pour Trump ?
Jacques Borde. Depuis son élection, Donald Trump, qui multiplie ses rencontres avec des dirigeants internationaux dans ses appartements de la Trump Tower, à New York, est accusé (par ses adversaire, il s’entend et encore pas tous) de continuer à faire fructifier ses affaires.
Un des dernières accusations en date : l’échange téléphonique entre Donald Trump et le président argentin, Mauricio Macri, qui l’appelait pour le féliciter. Selon la presse argentine, Trump aurait profité du coup de fil pour lui demander de l’aide à propos d’un projet immobilier à Buenos Aires. Mais l’information a aussitôt été démentie par la présidence argentine.
« Pour l’heure, le fait qu’il continue à parler business avec ses interlocuteurs pose un problème moral. Mais si le 20 janvier il n’a pas totalement séparé ses affaires de la politique, c’est là que le conflit d’intérêts interviendra véritablement » note Corentin Sellin. « A partir de cette date, il faut qu’il n’ait plus aucune responsabilité exécutive au sein de la Trump Organization, qu’il ne soit plus bénéficiaire de ses entreprises, et que son business ne profite pas de l’administration. Et il ne devra plus tirer de revenus de ses affaires ».
Q. L’impeachment, comment ça marche ?
Jacques Borde. Aux États-Unis, le pouvoir de démettre le président de ses fonctions appartient au Congrès, qui rassemble la Chambre des Représentants et le Sénat. Prévue par l’article II de la Constitution américaine, qui stipule que « le président, le vice-président et tous les fonctionnaires civils des États-Unis seront destitués de leurs charges sur mise en accusation et condamnation pour trahison, corruption ou autres crimes et délits majeurs », la procédure de destitution peut être enclenchée à n’importe quel moment au cours du mandat, le président américain ne bénéficiant d’aucune immunité.
Pour être mise en route, la procédure d’impeachment doit être votée à la majorité simple, à la Chambre des Représentants. Cette majorité entraîne l’ouverture d’un procès au Sénat, où la majorité des deux tiers, cette fois-ci, est nécessaire pour que la destitution soit effective.
Dans les faits, l’impeachment n’a été utilisé que très rarement, dans l’histoire des États-Unis, puisqu’il est réservé à des situations totalement exceptionnelles, en cas de crime ou de trahison. Ce qui concernant Trump, qui n’a jamais exercé d’office politique auparavant, semble plus qu’aléatoire comme démarche.
La procédure a été enclenchée à trois reprises contre un président en exercice.
1- Andrew Johnson en 1868 ;
2- en 1974, contre le président républicain Richard Nixon, empêtré dans le scandale du Watergate. Mais le processus n’a finalement pas abouti, Nixon ayant pris les devants en démissionnant ;
2- Bill Clinton en 1998, accusé de parjure, le Sénat avait finalement décidé l’acquittement.Q. Puisque vous en parlez : quid des Clinton, sont-ils tirés d’affaire ?
Jacques Borde. Probablement, non. Certes, Donald J. Trump est, jusqu’à présent, resté évasif quant aux actions pénales contre le clan Clinton, mais l’arrivée de Jefferson B. Jeff Sessions III, au poste d’Attorney general3 est la pire nouvelle que pouvaient attendre les Clinton…
Q. Pourquoi donc ?
Jacques Borde. Parce que l’enquête sur les activités de la Fondation Clinton, soupçonnée de détournement de fonds et de réception d’argent étranger, reste d’actualité. Et l’aile la plus dure du Parti républicain n’a pas l’intention d’abandonner.
Aucune fraude de sa part geint le fan club d’Hillary ! Sauf que la Fondation a réussi à se payer un… yacht grâce aux dons. Étrange, relativement aux statuts d’icelle…
Pour le Pr. Édouard Lozanski, président de l’Université américaine de Moscou, « Les Républicains conservateurs estiment que la famille Clinton a violé la loi à plusieurs reprises et doit enfin répondre de ses actes. Une telle occasion pourrait ne plus se représenter à l’avenir. Toutefois, Donald Trump ne s’est pas clairement exprimé sur l’affaire. Sa déclaration était assez évasive ». Mais, en fait, « Cela dépendra de celui qui sera nommé au poste de procureur général, car c’est ce dernier qui supervise l’activité du FBI. S’il s’agissait de Jeff Sessions, alors les Clinton seraient menacés. Je pense que Sessions sera justement nommé: c’est un sénateur républicain en exercice et il sera soutenu par les membres de son parti ».
Or, c’est bien Jeff Sessions qui vient de prendre les commandes au Department of Justice (DoJ). Le ciel se couvre au-dessus de la Clintonie…
Notes
1 Pour Service de Sécurité générale. Équivalent israélien de la DGSI et du FBI.
2 Allusion aux pratiques de l’Angleterre pré-victorienne…
3 Ministre de la Justice.http://www.voxnr.com/7051/trump-a-gagne-nen-deplaise-au-boboland-aux-groupies-dhiliary
-
Syrie: les journalistes ont vendu leur âme au diable!
-
I MEDIA S03E43 Allemagne : Migrant violeur dans l’ombre médiatique
-
Crise au FN au sujet de l’avortement : David Rachline indique la porte aux élus solidaires avec Marion Maréchal Le Pen
Cela ne fait plus de doute : l’avortement est au centre des débats politiques, provoquant au passage une véritable crise profonde au sein du Front National.
Ce mercredi 7 décembre sur iTélé, David Rachline, directeur de campagne de Marine Le Pen, en est venu à menacer les élus et responsables locaux du parti qui affichent leur désaccord avec la position de Marine Le Pen, leur indiquant la direction de la porte.
– David Rachline : On n’est pas tous obligés d’être d’accord au millimètre près. En revanche, c’est vrai que lorsqu’on est un responsable local, on s’attend à ce que les responsables locaux soient en phase avec la présidente du mouvement. On n’oblige personne à être responsable local du Front national. […] Chacun a son opinion mais il n’y a qu’une seule candidate, il n’y a qu’un seul projet pour l’élection présidentielle, et il n’y aura qu’un seul programme qui sera appliqué une fois que nous serons au gouvernement. […] On risque rien, mais simplement il est utile pour nous de rappeler quelle est la ligne politique que défend Marine parce qu’elle est candidate à la présidentielle et je vous dis : pour ce qui est des responsables locaux, on force personne à être responsable local, pour ceux qui sont en désaccord.
– iTélé : Vous forcez personne, ça veut dire qu’il y en a qui peuvent partir ?
-
De mal en Pisa
Ce n’est une surprise pour personne, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur très impopulaire au sein des forces de l’ordre , a été nommé par François Hollande Premier ministre en remplacement d’un Manuel Valls ayant officialisé sa candidature à la primaire socialiste. Pour succéder à M. Cazeneuve place Beauvau, Bruno Le Roux, jusqu’alors président du groupe PS à l’assemblée, s’est imposé dans l’esprit de François Hollande. Interdit de territoire russe du fait de son zèle à relayer la propagande et les mesures de rétorsions initiées par Bruxelles et le gouvernement Obama contre la Russie, M. Le Roux, comme le chef de l’Etat, Marisol Touraine, Arnaud Montebourg , Najat Vallaud-Belkacem, de nombreuses figures du monde médiatique, est un Young Leaders. C’est-à-dire un membre d’un programme, précisait Benjamin Dormann dans Atlantico en mai 2012, «créé en 1981 dans le but de donner un nouveau souffle aux relations transatlantiques », « l’un des programmes phares de la French-American Foundation (FAF) ».
Bruno Le Roux est aussi connu, mais ceci découle de cela, pour son hostilité assez hystérique au camp national et patriotique. Au nombre de ses déclarations outrancières, il affirmait notamment, dans le journal Les Echos, en compagnie de l’ancienne patronne du Medef, Laurence Parisot, qu’« Il y a au FN une base de fachos, de racistes, d’antisémites ». Il avait aussi appelé à ce qu’Eric Zemmour soit chassé des médias. Bref un ministre de l’Intérieur de combat qui n’a pas été choisi au hasard en cette période électorale…
Il n’y a pas de hasard non plus, l’Education nationale a beau être le premier budget de l’Etat, la dernière enquête PISA de l’OCDE sur les performances scolaires des jeunes de 15 ans dans 72 pays du monde , confirme la médiocrité du classement de la France . Cela se vérifie entre autres, est-il souligné, pour le niveau de ses élèves en sciences, notre pays se situant derrière le Royaume-Uni et l’Allemagne. Comme les précédentes enquêtes, la dernière datait de 2013, il est indiqué que la France se distingue par le poids de l’origine sociale des enfants sur les résultats : environ 40% des élèves en France issus d’un milieu défavorisé sont en difficulté, contre 34% pour la moyenne de l’OCDE.
Invité à réagir sur RTL à cette enquête, le philosophe Luc Ferry, ex ministre de l’Éducation nationale (2002-2004), dont il nous arrive de partager les vues, a jugé que l’effort fourni par l’élève était un critère essentiel. « On est entré, dit-il, dans une société d’hyperconsommation où la concurrence des jeux de toute sorte par rapport à l’école est très grande. (…) Dans les pays asiatiques, ils travaillent comme des fous furieux. L’idée qu’un enfant ne travaille pas dix heures par jour paraît surréaliste dans une famille de Shanghai ou de Hong Kong. Chez nous, quand on arrive à les faire travailler une heure par jour, c’est déjà une performance ».
La capacité de travail est à l’évidence un élément déterminant, a fortiori pour les élèves issus de milieux modestes, pour accéder à l’ascenseur social. Un environnement familial, culturel propice est bien évidemment également un atout de taille. Aussi, il est certes loisible de contester le jugement assez péremptoire de M. Ferry selon lequel il est « absolument faux » de dire que « l’école ne fait que s’effondrer depuis quarante ans », mais nous pouvons le suivre quand il précise les raisons de la médiocrité des résultats sont également à chercher en amont. « Si l’éducation n’a pas été correcte avant l’entrée dans l’école, les professeurs sont en très grande difficulté. On ne peut pas corriger des inégalités sociales aussi incroyablement profondes simplement par le système scolaire ».
Partant de ce constat des inégalités croissantes entre élèves ayant accès aux bons établissements des centres-villes et les autres moins épargnés par la babélisation, le multiculturalisme et la crise, Luc Ferry préconise implicitement, sans prononcer le mot, une dispersion de l’immigration sur l’ensemble du territoire . Pudeur sémantique que n’avait pas un blogueur hébergé par le magazine Marianne qui notait en 2010 qu’ « il y a ce que PISA se garde bien ou, en tout cas, oublie de dire : les pays les plus en difficulté, en dépit des moyens qu’ils allouent, comme l’Allemagne ou la France, ou encore l’Angleterre sont aussi des pays de très forte immigration ».
Ajoutons que dans notre esprit, le rôle de l’Etat est d‘instruire les enfants mais certainement pas de les éduquer, rôle dévolu aux parents , la nuance est de taille, surtout à l’aune de la propagande qui sévit dans les manuels scolaires. Et si cette instruction nationale ne peut évidemment corriger toutes les inégalités sociales, elle peut cependant contribuer à donner l’amour de la France, de nos valeurs civilisationnelles. M. Ferry le notait dans Le Figaro il y a déjà deux ans en estimant qu’il fallait « réécrire de fond en comble les calamiteux programmes d’éducation civique du primaire, car c’est chez les petits que tout se joue. À ce niveau, tout est encore possible, les enfants nous écoutent, ils ne sont pas entrés dans l’âge de la révolte, voire de la haine ». Il plaidait aussi, comme le Front National avant lui, pour une refonte de l‘enseignement de l’histoire: « L’Europe n’est présentée que sous les aspects de la colonisation et de la traite négrière (…). Vous ne pouvez pas voir la civilisation européenne que de ce point de vue-là (…) on est dans l’Europe de la repentance». Est-il besoin de préciser que la droite au pouvoir n’a fait qu’accompagner, voire installer cette idéologie masochiste anti-française depuis l’élection du calamiteux Jacques Chirac dont il fut le ministre de l’Education?
En attendant insiste donc M. Ferry, « Il faut dispatcher dans la France profonde des gens qui se retrouvent dans de véritables ghettos ». Une ventilation qui ne résoudra rien, si ce n’est d’étendre le problème affirme Bruno Gollnisch, si l’immigration de peuplement se poursuit, s’il n’est pas mis un terme au regroupement familial, si la babélisation-communautarisation qui empêche l’assimilation au modèle français n’est pas endiguée. Mais à part le Front National qui a le courage, la clairvoyance de le dire ? Il n’est pas anodin non plus que ce phénomène de tiers-mondisation de la France se traduise à l’autre bout de la chaîne par une émigration , qui va s’accélérant, très inquiétante, des hauts revenus pour de raisons fiscales mais aussi de nos jeunes diplômés et cerveaux.
Julien Gonzalez-Lambert, délégué général adjoint d’un syndicat professionnel , relevait dans Les Echos la semaine dernière, chiffres à l’appui (« la France ils l’aiment mais ils la quittent»), que «Tous ces Français partent et partiront pour des raisons économiques, réglementaires, culturelles ;emportant avec eux une partie des réponses aux problèmes de notre pays, l’affaiblissant d’autant par les emplois et richesses créés ailleurs, le privant de ressources fiscales». Un problème qui n’a pas échappé à Marine qui présentera à nos compatriotes également dans les semaines à venir ses propositions pour l’école et ses analyses en matière sociale et économique, pour redonner un avenir français à nos jeunes contraints à l’exil.
-
Le PS instaure le droit de vote des étrangers aux Primaires citoyennes !
C’est un vieux rêve du Parti socialiste qui se concrétise : accorder aux étrangers le droit de vote. Si le PS n’est pas parvenu à l’imposer pour les scrutins nationaux, faute de majorité des deux tiers au Parlement, son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, l’a instauré sans rencontrer d’opposition pour les Primaires citoyennes, le nom donné à la primaire de la gauche socialiste qui aura lieu les 22 et 29 janvier prochain.
Tous les étrangers pourront désigner le candidat du PS à l’élection présidentielle, à la seule condition… qu’ils soient de gauche ! Le règlement des Primaires citoyennes prévoit en effet que peuvent voter les étrangers, qu’ils soient ou non issus des pays de l’Union européenne, dès lors qu’ils sont « adhérents aux partis ou organisations de jeunesse des partis organisateurs »,c’est-à-dire membres du Parti socialiste ou de ses satellites.
Le Grand Remplacement de l’électorat disparu du Parti socialiste, c’est maintenant !
-
Les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics... islamisés
Ces terrasses de café et ces rues ont un point commun : les femmes semblent effacées. Nous ne sommes pas au Moyen-Orient mais en France à Sevran. Dans un bar, il n'y a que des hommes peu accueillants. Le patron n'a pas envie de discuter et d'autres hommes sont choqués de voir ces femmes. "Dans ce café, il n’y a pas de mixité", assure sèchement un homme.
Pas d'amalgame : ils sont tous modérés.
Société : quand les femmes sont indésirables dans les lieux publicsMichel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
-
POURQUOI IL FAUT ELIMINER LA VERMINE DE MAI 68’…
Pieter Kerstens
Parce que la chienlit qui, en Mai 1968 dévastait nos rues et cassait par plaisir a aujourd’hui infiltré tous les rouages de nos institutions. Plus grave : elle a aussi engendré des rejetons bobos, ayant le prêt-à-penser franc-maçon et un comportement pastèque (vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur).
Pour les rares dirigeants clairvoyants qui résistent encore en Europe, la situation actuelle dans les domaines sociaux, culturels, financiers, industriels ou politiques est catastrophique, mais pas encore désespérée. Le délabrement et la décomposition de l’Europe ne sont pas les conséquences directes de Mai 68, mais l’accélération d’une fin de civilisation entamée depuis de longues décennies.
Une intelligentsia judéo-bolchevique qui fêtera le Cinquantenaire de la Révolution étudiante.
Lors des diverses commémorations des révoltes étudiantes de 68 (25e ou 40e anniversaire), on a systématiquement entendu le pédophile Cohn-Bendit, mais les médias ne se sont pas suffisamment intéressés aux manipulateurs et aux responsables des organisations qui ont joué un rôle primordial durant cette période. La plupart d’entre eux ont accédé à des postes clés de notre Société, notamment Lionel Jospin-trotskyste patenté- devenu premier ministre en France.
Et jetons un regard sur les groupements gauchistes et leurs dirigeants :
*Ligue Communiste (ex-JCR) : P. Franck, A. Krivine, B. Ben Saïd, H.Weber, P. Abramovici, S. Rabehl, J. Stein, S. Niemetz, A.Bethel.
*Lutte Ouvrière (Ex-Voix Ouvrière) : M. Schroeot, O.Kaldy, L. Stean, V.Goria, C.Jung.
*Alliance Marxiste Révolutionnaire (Ex-GMR) : N. Baby, M. Najmann, B. Schalsha, L. Weisberg, S. Mandel, D. Rothenstein, L. Rosenblatt.
*Alliance des Jeunes pour le Socialisme (ex-FER) : P. Boussel (alias Lambert), Ch. Stobnicer (alias Berg), G. Bloch, G. Rousselot. Ce mouvement possédait un Service d’ordre dirigé par un transfuge d’Occident, Rémy. Nous les retrouverons face à nous au Palais des Sports, le 9 mars 1971, lors d’un meeting d’Ordre nouveau.
*Parti Communiste Révolutionnaire : M. Mestri.
*La Voie : Blumenthal et Spitzer.
Comme on peut s’en rendre compte, les responsables de tous les mouvements gauchistes des années 1965-1972 appartiennent en grande majorité au « Peuple sûr de lui et dominateur ».
Le marxisme est toujours puissant et sera présent pour le centenaire de la guerre 1914-1918.
Enfant mongolien d’un Socialisme qui, en 1968, se voulait « à visage humain », le marxisme a entamé une mutation, à tel point que 48 ans plus tard, la « société citoyenne » a remplacé la lutte des classes. En décryptant la phraséologie et le vocabulaire utilisés par les médias, on se retrouve plongé dans la dialectique la plus stalinienne, où la novlangue a remplacé la langue de bois. La terreur rouge a émasculé des dizaines de millions d’élèves et d’étudiants ; son emprise s’étend à la Culture et à la Communication, à l’Economie et aux Finances, à la Justice, la Police et la Gendarmerie…
Alors tous ceux qui ont participé aux « Manif pour Tous » ou aux défilés pour la Vie et la Famille, devraient quand même se poser certaines questions.
QUI a voté pour les députés qui se pavanent à l’Assemblée ?
QUI a désigné les responsables des partis au Pouvoir ?
QUI soutient les partis de Droite cosmopolite et ceux de la Gauche caviar ?
QUI se taisait quand ses enfants lui expliquaient que la drogue était vendue aux portes des Collèges et des Lycées par des maghrébins clandestins ?
QUI ricanait quand il apprenait que dans le même établissement certains adultes pervers profitaient de leur fonction pour assouvir leur pédérastie ?
Le constat : en quelques décennies, le Socialolaxisme a pourri l’esprit de la majorité de nos compatriotes, leur retirant même le courage de penser !
Et ne parlons pas de la volonté d’agir, face au fléau de l’immigration/invasion, de la hausse permanente des crimes et délits, ni de la colonisation de nos quartiers, de nos rues, de nos commerces et de nos piscines par le « vivr’ensemble », le « padamalgam » et le monopole du Hallal !
Œil pour œil, dent pour dent !
Le sabotage insidieux de toutes nos institutions n’a été possible que grâce à la complicité abjecte de ce que d’aucuns dénomment la Droite. Afin de préserver certains acquis et privilèges financiers et économiques, les prétendus « libéraux » ont laissé gangréner nos Règles et nos Valeurs ancestrales par les théories « avant-gardistes » et humanistes.
La Foi est devenue une notion ringarde.
La Conviction et l’Idéal, seraient des valeurs démodées.
La Famille est présentée comme une entrave à la liberté sexuelle des pédérastes et des lesbiennes.
Les enfants, avenir de la Nation, et fruits d’un Amour réciproque, sont considérés comme une entrave au sacro-saint niveau de vie.
Le Travail et la Conscience professionnelle, sont maintenant des sujets hors de propos.
Par confort intellectuel et facilité économique, le peuple s’est embourgeoisé et au lieu d’opposer une légitime résistance à la décadence générale, il a préféré la carte de crédit et les loisirs tarifés, collé à l’écran de sa TV ou de son PC, zombie moderne relié à son I-Phone comme un grabataire en phase terminale ne survit que grâce au goutte-à-goutte.
L’hédonisme règne en maître et l’Europe glisse vers l’abîme aussi sûrement que le soleil se lève à l’Est.
La fin de l’Empire Romain s’est effectuée sur plusieurs siècles, mais s’est brusquement accélérée quand les métèques ont acquis le droit de cité. En accordant le droit de vote aux barbares établis en Europe, nous acceptons le génocide de la race blanche.
Le métissage n’est pas un enrichissement : l’état d’Israël l’a bien compris !
Comment Faire Face à l’héritage de Mai 68 :
- En clamant à haute et intelligible voix votre refus du Nouvel Ordre Mondial, de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et de l’Euro, monnaie d’escrocs, au service d’un lobby : la Banque Centrale Européenne (BCE).
- En écrivant aux médias qu’ils ne détiennent pas la Vérité Absolue, que l’information n’est pas leur monopole et que vous avez un avis différent.
- En exigeant des maires, des députés et sénateurs qu’ils appliquent le principe de Préférence Nationale dans tous les domaines et qu’ils cessent de gaspiller nos impôts au profit de parasites sociaux.
- En déposant plainte, avec constitution de partie civile pour chaque agression dont vous êtes la victime.
- En contactant les syndicats, les centrales d’achats et les supermarchés pour réclamer l’arrêt des importations de produits étrangers, que nous sommes capables de produire nous-mêmes et mieux : c’est votre emploi qui est en jeu et plus tard celui de vos enfants !
- En infligeant un vote sanction à la mafia socialaud-libéro-écolo-capitaliste ; d’abord pour les présidentielles d’avril et mai 2017 et ensuite pour les législatives du mois de juin.
C’est maintenant qu’il faut éradiquer la pègre rouge !
-
Journal du Vendredi 09 Décembre 2016 : Immigration / Nouveau campement sauvage à Saint-Denis