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Tobias Andersson : "Les Suédois seront minoritaires chez eux dans 20 ans"
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1 000 drapeaux pour 100 000 morts en AFN sur les Champs Elysées
Le 5 décembre 2016, une imposante cérémonie à la mémoire des 100000 morts en AFN dans notre histoire, a réuni à Paris 1000 drapeaux d’anciens combattants, au pied de l’Arc de Triomphe.
Cette magnifique démonstration de force des associations d'anciens combattants peut être interprétée comme une réponse à la prétention communiste d'imposer le 19 mars comme date des commémoration de la fin de la guerre d'Algérie.
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L’embrigadement des élèves dans l’accueil des migrants
Le site Breizh-info a relayé une information parue dans l’hebdomadaire L’Echo de l’Armor et l’Argoat du 30 novembre 2017, révélant que des collégiens avaient été chargés de collecter des produits d’hygiène et de première nécessité au profit des migrants et ce, dans le cadre de leur programme d’ « éducation morale et civique ».
Pour ce faire, leur professeur a fait intervenir un militant du collectif de gauche Utopia 56, un des collectifs les plus mobilisés en France, paraît-il, concernant l’accueil des migrants.
Une politique nationale
Il ne faut pas voir dans cette situation un fait divers, une toquade du chef d’établissement ou du professeur concerné.
En réalité, ces actions s’inscrivent dans le cadre de la loi de « refondation de l’Ecole » du 7 juillet 2013 pour nos enfants et sont amenées à se répandre comme autant de métastases dans notre beau pays de France de plus en plus défiguré par cette politique immigrationniste assassine.
L’ article 3 de cette loi de « refondation de l’Ecole » stipule en effet : «La nation se fixe, comme mission première à l’Ecole, de faire partager les valeurs de la République, parmi lesquelles l’égale dignité de tous les êtres humains (…) la solidarité… ». Par ailleurs, l’article 8 précise : « A l’acquisition de connaissances et instruments du savoir, substituer l’objectif de sens moral et civique… ».
Un abus de pouvoir
Ainsi, les cours sont progressivement supprimés pour aboutir à leur suppression totale à la rentrée 2018, remplacés par des activités au cours desquelles les élèves sont endoctrinés : au nom de l’égalité et de la solidarité, les élèves sont embrigadés pour réaliser des activités qui répondent à des logiques destructrices de notre identité qu’ils ne peuvent non seulement pas contester, mais qu’ils sont dans l’obligation de servir, et de servir « au mieux » (!!!).
En effet, ces activités obligées étant notées, les élèves sont conduits à déployer un zèle particulier afin d’obtenir une bonne note.
Appréciés non plus sur des savoirs mais sur des comportements, ils sont amenés à collaborer, bien malgré eux, à entretenir une situation qui détruit notre pays.
Nous devons dénoncer cette situation et nous opposer à l’embrigadement de nos enfants dans des logiques qui n’ont rien à voir avec ce que doit être une Ecole.
Claude Meunier-Berthelot, 5/12/2016
http://www.polemia.com/lembrigadement-des-eleves-dans-laccueil-des-migrants/
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Journal du Mardi 06 Décembre 2016 : guerre des crèches, nouvelle tradition de Noël
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Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus
Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens.Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé « l’immigration choisie ».L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’œuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.« Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).Autrement dit, une pénurie de main d’œuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’œuvre prête à accepter des salaires plus faibles.C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).Le rapport du Conseil d’Analyse Économique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% »(page 37)« Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).Concernant les États-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat. -
Voilà à quoi sert le CNRS…
Vu sur Ouest France, cet entretien complaisant et délirant avec un gauchiste qui met sur un même plan FN et djihadisme…
Ce pourrait être drôle si cet hurluberlu n’était pas payé avec nos impôts et relayé par les médias du Système.
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Cette vidéo constitue-t-elle un délirant délit d'entrave ?
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Marion Maréchal-Le Pen réclame la liberté d'information sur l'IVG
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L’immigration, un business lucratif – Ces associations qui vivent de subventions…
Le 23 novembre, l’Assemblée nationale a voté les » jaunes budgétaires « , ces annexes du projet de loi de finances (PLF). Il s’agit de l’affectation annuelle de subventions accordées par les différents ministères à des associations de leur choix. Ce qui ressemble fort à une distribution de l’argent du contribuable à un petit club de copains.
Et comme la transparence n’est pas une vertu politique très partagée, le citoyen qui voudrait connaître la liste des heureuses associations gagnantes devra parcourir trois volumineux rapports faits de tableaux et de chiffres sur un total de 1.400 pages. Les plus motivés n’auront cependant accès à ces documents qu’avec un temps de retard. De quoi nous permettre de vous divulguer quelques chiffres des subventions accordées en 2015.
Dans cet article, nous limiterons notre attention aux associations ayant un lien direct ou indirect avec l’immigration. Une thématique très lucrative, comme vous allez pouvoir vous en rendre compte.
- France Terre d’Asile : 348.000 euros de subventions
- Association de Service Social et Familial des Migrants (ASSFAM) : 177.000 euros de subventions
- Association d’aide aux travailleurs migrants de la région Nord : 90.000 euros de subventions
- Inter-Service des Migrants : plus de 50.000 euros de subventions
- Croix-Rouge : 50.500 euros de subventions pour son programme » Immigration et Asile «
- Migrations Culturelles Aquitaine : 30.000 euros de subventions pour » donner une visibilité aux expressions artistiques des Afriques «
- Réseau aquitain sur l’Histoire et la Mémoire de l’Immigration : 30.000 euros de subventions
- Forum réfugié de Villeurbanne : 20.000 euros de subventions
- Groupe d’information et de soutien aux immigrés : 12.500 euros de subventions
La liste n’est pas exhaustive, car il faudrait des journées entières pour décortiquer les rapports officiels. Ces chiffres ne tiennent pas compte des subventions accordées à d’autres niveaux (conseil général, conseil régional, conseil municipal).
Enfin, il convient d’ajouter à cela les professionnels de l’antiracisme:
- SOS Racisme : près de 400.000 euros de subventions
- La Maison des Potes : 115.000 euros de subventions
- MRAP : près de 30.000 euros de subventions
- LICRA : 550.000 euros de subventions
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Mum, Dad & Kids : il manque 39 000 signatures
L'initiative Mum, Dad & Kids vise à protéger, au niveau européen, le mariage homme-femme et la filiation père-mère-enfant.
Il s’agit, autrement dit, de mettre un coup d’arrêt aux tentatives de plus en plus nombreuses et pressantes d’imposer directement ou indirectement le mariage gay, la PMA sans père et la GPA aux Etats-membres de l’Union européenne qui ne les ont pas légalisés d’eux-mêmes.
Mum, Dad & Kids progresse bien : 7 pays ont maintenant dépassé, et même doublé pour certains, le seuil national requis. Mais il manque encore 39.000 signataires pour la France alors que la date limite est le 10 décembre à minuit ! La mobilisation est urgente !
Signez dès maintenant (3 minutes suffisent) et faites signer autour de vous : c'est urgent et essentiel !
A ce sujet, deux infos importantes :
· Pour soutenir Mum, Dad & Kids, vous devez notamment indiquer un numéro de pièce d'identité : il s'agit de certifier que vous êtes une personne qui existe bien, cette initiative citoyenne européenne suivant des conditions règlementaires strictes, qui rendront son succès possible. Mais soyez rassuré : cette information n'est pas enregistrée, PERSONNE n'y aura JAMAIS accès.
· Vous pouvez signer en ligne ou, si vous préférez, télécharger et imprimer le formulaire pour l'envoyer par La Poste à l'adresse indiquée.
La Manif Pour Tous, partenaire de Mum, Dad & Kids, vous remercie d'avance de votre soutien et de votre relais.