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lobby - Page 1554

  • Projet des banksters: suppression de la monnaie physique (billets & pièces) en cours…

    La dictature absolue des banques sur les peuples avance à grands pas. La suppression définitive de toute monnaie sonnante et trébuchante est l’aboutissement recherché. Mais il faut surmonter les obstacles pour ce faire, et là, les banksters ne manquent pas d’imagination.

    les banquiers planchent depuis des années sur le moyen de supprimer complètement toute liquidité, afin de mieux asservir les populations aux banques. Sans liquidités impossible d’échapper au système bancaire. Le gouvernement français a encore récemment descendu le montant en espèces par lequel les biens et services peuvent être réglés: Au nom de l’antiterrorisme, les paiements en espèces sont interdits au-delà de 1.000 euros. Et la République a également mis en place le contrôles des comptes bancaires, ce qui, pour l’instant, ne concerne qu’une catégorie de la population, mais qui pourraient s’étendre. Toujours au nom de notre bien, évidemment!

    Mais la France n’est pas le seul Etat a mettre en place la dictature des banksters. Au niveau mondial divers projets sont examinés dont la mise en place d’une taxe sur les espèces, ce qui conduirait les billets physiques (extérieurs aux banques par définitions) à perdre peu à peu de leur valeur pour finir par en éradiquer totalement l’utilisation. Il ne resterait plus que les paiements numériques, entièrement contrôlés par le système bancaire et donc par Big brother. Impossible, par ce moyen, de sortir nos avoirs de la banque pour en disposer selon nos envies, en toute discrétion, pour des raisons qui ne regardent que nous.

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  • 7e vidéo du Planning familial américain : prélèvement d'organes sur un bébé dont le coeur battait

    Voici la septième vidéo (en anglais) publiée par The Center of Medical Progress, qui accuse le Planning familial américain de trafic d'organes de bébés avortés :

     

    Le résumé de Jeanne Smits :

    La technicienne chargée de faire des prélèvements sur les femmes et de récupérer des organes sur des fœtus à des fins de recherche au Planning familial des Etats-Unis, Holly O’Donnell [témoigne] sur un avortement d’un fœtus déjà très développé dont elle a vu le cœur battre au moment des prélèvements. Etait-il né vivant ? C’est ce que semble indiquer le témoignage de l’ex-employée de StemExpress, qui raconte que c’est cet événement qui lui a fait prendre la décision de quitter ce travail qui avait fini ainsi de la révulser.
    C’est dans la clinique Planned Parenthood Alameda de Mar Monte à San José, Californie, que Holly a vécu cette expérience traumatisante. A la suite d’un avortement que sa collègue, Jessica, était venue la chercher pour « voir quelque chose d’assez cool ». Holly s’était trouvée confrontée avec ce qu’elle avait « jamais vu de plus proche d’un bébé entièrement développé ».
    « Il avait un visage. Il n’était pas complètement déchiré. Il avait un nez très prononcé. Jessica avait un de ses instruments à la main. Elle tape sur le cœur et il commence à battre. Je regarde ce fœtus, et son cœur commence à battre. Je ne sais pas si cela fait qu’il est techniquement mort, ou en vie. » Holly est saisie, mais Jessica lui explique : « C’est vraiment un bon fœtus, on dirait que nous allons récupérer beaucoup de choses dessus. »
    C’est alors que Jessica lui demande de récupérer le cerveau de l’enfant à l’aide de ciseaux, à travers son visage. « Je ne peux même pas décrire ce que cela fait. C’est à ce moment que j’ai su que je ne pouvais plus travailler pour cette société – même si c’était le moyen de guérir telle ou telle maladie. »
    Au cours de cette même vidéo, le Dr Ben Van Handel, vice-président de Novogenix Laboratories, confirme que « parfois, après la procédure d’avortement, le cœur bat encore ».
    Le Planning familial continue de soutenir de son côté que le prélèvement d’organes sur des bébés avortés est une « entreprise humanitaire » et qu’il n’est coupable de rien. La nouvelle vidéo vient cependant au secours de l’idée que les procédures d’avortement sont adaptées afin de récupérer des fœtus intacts, qui permettent de récupérer le plus grand nombre d’organes et de tissus et par là-même les meilleurs tarifs auprès des sociétés de biotechnologie.
    L’adaptation des procédures se fait éventuellement au détriment des femmes ; dans la vidéo, Perrin Larton, directrice de l’approvisionnement d’Advanced Bioscience Resources, raconte qu’elle a vu des femmes entrer dans la salle d’opération et en sortir au bout  de trois minutes. [...]"

    Louise Tudy

  • Le Foll veut une levée de l'embargo russe sur le porc

    Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll a assuré mercredi qu'il comptait mener des "discussions solides et sérieuses" avec ses alliés européens pour tenter de venir à bout de l'embargo sanitaire russe sur le porc.

     

    Dans l'embargo russe, il y a une partie diplomatique liée à la question de l'Ukraine, "mais avant cela il y avait un embargo sanitaire lié à la peste porcine qui avait été détectée dans l'est de l'Europe", a rappelé le ministre interrogé sur France 2.

    Même les pays qui ne sont pas touchés par la peste porcine ne peuvent pas aujourd'hui exporter leur viande porcine vers la Russie.

    M. Le Foll qui doit rencontrer ses homologues européens lors de deux sommets à Madrid et Berlin d'ici la fin août, va "essayer de faire en sorte qu'il y ait des discussions solides et sérieuses" à ce propos.

    "Même si l'Europe a augmenté ses exportations vers la Chine le fait que le marché russe soit fermé fait qu'il y a 100.000 à 150.000 tonnes de porc supplémentaires sur le marché européen", a-t-il ajouté.

    La cotation au marché du porc breton a repris mardi après une suspension d'une semaine suite au refus de deux des principaux acheteurs, Cooperl et Bigard/Socopa, de payer le prix préconisé par le gouvernement pour les éleveurs, 1,40 euro le kilo. Les deux entreprises ont indiqué qu'elles ne reviendraient pas au MPB tant que son fonctionnement n'aura pas été revu.

    Parmi les mesures que le syndicat national des industries de la viande (Sniv) exige du gouvernement figure la demande d'"un engagement de reprise des négociations pour une exportation de gras et d?abats de porc (produits non soumis à l?embargo diplomatique, NDLR) vers la Fédération de Russie".

    source : Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFAAZpVlpPNYSCXab.shtml

  • Vaccin antivariolique et sida : d’étranges liens!…

    Un nouvel article de Merlin, sur une probable interaction entre le vaccin antivariolique et le sida. Au moment où, la confiance dans la vaccination est remise en cause, cette information ne va pas contribuer à redorer le blason des vaccins. Il faut analyser tout ce qui circule sur le sujet. Si les faits sont acquits, il est plus que souhaitable de revoir le protocole vaccinal. Puisque le « problème »  a été soulevé par le Dr Louis de Brouwer en 1989, (lui parle d’imposture) pourquoi ne pas avoir approfondi? Voir cet article,[Vaccin DT-Polio : pourquoi il ne faut pas signer la pétition du professeur Joyeux] qui débunke une pétition contre le vaccin DT.Polio lancée par le Pr Joyeux. Informez vous, réfléchissez…

    Depuis 1989, le Dr de Brouwer, se demandait avec d’autres comment une maladie comme le sida avait pu prendre naissance si rapidement et se révéler pratiquement incurable. Toutes les infections virales étant connues et répertoriées depuis plus d’un siècle, comment celle-là aurait-elle pu échapper au monde médical et scientifique ?

    En supposant que le sida ait toujours existé en Afrique Centrale, il aurait dû causer de terribles dégâts qui ne seraient pas passés inaperçus. Or, avant 1981, personne n’a jamais entendu parler de cette maladie.

    Mais rappelons que pendant des années on a introduit dans l’organisme le virus vivant de la vaccine, comprenant l’intégralité du capital génétique de ce virus et les populations africaines furent justement les plus vaccinées contre la variole sans que l’on n’ait jamais séquencé le génome du virus de la vaccine.

    Cette observation mena le Dr Louis de Brouwer à avancer une hypothèse en rapport avec cette politique : « […] et si, par le principe vaccinal, en introduisant le capital génétique du virus vaccinia (virus vivant non atténué) dans un organisme, on permettait au virus VIH-2, présent chez les Africains, de reconstituer tout ou partie de son capital génétique devenu déficient et, par conséquent, de le faire redevenir virulent ou de créer un nouveau virus inconnu à ce jour, tel le virus du SIDA ?

    On nomme cela une recombinaison génétique et des expérimentations ont été réalisées qui prouvent que c’est possible »

    Afin de vérifier son hypothèse, Louis de Brouwer demanda à l’OMS de lui communiquer la liste de toutes les vaccinations effectuées en Afrique depuis vingt ans. Il put alors constater qu’on pouvait très exactement superposer la carte des vaccinations antivarioliques à celle des cas de sida.

    « Les médecins vaccinalistes appartenant à cette organisation et inféodés aux laboratoires fabricants de vaccins, plaideront-ils  responsables mais non coupables ? », demande-t-il.

    De son côté le Pr. Robert Gallo aurait envisagé une semblable hypothèse mais, étant fonctionnaire, il ne pouvait officiellement affirmer quoi que ce soit qui aurait risqué de briser sa carrière. Il a cependant déclaré au Times :

    « La relation entre le programme de vaccination de l’OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du tiers-monde et l’épidémie du Sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela se soit réellement passé, mais durant des années, j’ai toujours dit que l’usage de vaccins issus de virus vivants, comme l’on pratique en Afrique, peut activer un virus endormi comme celui du Sida. »

    Ce même journal du 11 mai 1987 citait un conseiller auprès de l’OMS qui s’était lui aussi longtemps demandé si le virus de la vaccine pouvait avoir déclenché l’épidémie de sida et, après des années de réflexion, il déclarait :

    « Maintenant, je suis convaincu que la théorie mettant en cause la vaccination antivariolique est bien l’explication de l’explosion du sida. […]

    D’autres médecins qui admettent la relation entre les campagnes de vaccination antivariolique et l’épidémie de sida, y voient une réponse à des questions qui les déroutaient. Celle de savoir, par exemple, ce qui avait pu faire qu’un virus considéré jusque-là comme « faible, lent et fragile » ait pu se mettre à se comporter de manière aussi agressive.

    La théorie reliant sida et vaccination antivariolique explique le cas de chacun des sept pays d’Afrique centrale qui ont le taux le plus élevé de sida. […] Les plus forts taux de sida coïncident avec les plus intenses campagnes de vaccination.

    Vaccin antivariolique et sida : d'étranges liens… !

    Les pays d’Afrique centrale touchés par l’épidémie de sida sont les mêmes que ceux où des vaccins expérimentaux ont été administrés. Ces campagnes de vaccination étaient financées par l’USAID, le CDC, l’OMS, Merck & Co Inc et la NCI. Source : Lederer R, O

    Le Brésil, seul pays d’Amérique latine qui ait entrepris une campagne d’éradication, enregistre le plus fort taux de sida dans cette même région.

    A son tour, dans Le Concours médical du 19 septembre 1987, le Dr M. Koupernik écrivait : «Vaccination antivariolique et Sida : Une question dont on ne saurait exagérer l’éventuelle portée vient d’être soulevée en Grande-Bretagne. La carte d’incidence maximale du Sida en Afrique correspondrait à celle où l’ultime effort d’éradication de la variole aurait été accompli.

    C’est cette introduction massive du virus vaccinal au sein d’une population séropositive mais «dormante » qui pourrait avoir donné le coup d’envoi du phénomène Sida. Le virus vaccinal aurait exalté les vertus agressives de son confrère simien.

    On a apporté aussi un argument ponctuel : un militaire américain séropositif a été vacciné contre la variole et a succombé en un mois à un Sida accéléré. » Ce cas avait été rapporté dans le Times du 11 mai 1987. Et le 28 mai 1987, dans une lettre au Times, le Dr J. Seels évoquait la possibilité d’une épidémie « due à la pathologie de la seringue».

    Des années auparavant, le Dr Albert Schweitzer (prix Nobel en 1952) avait remarqué que les premiers cancers en Afrique étaient apparus cinq ans après les premières campagnes vaccinales.

    Lorsqu’un vent de panique a soufflé sur le monde au début de la guerre contre l’Irak avec la menace de la variole, Bernard Kouchner a déclaré qu’une campagne de vaccination pourrait causer 350 décès en France. Comment se fait-il que le vaccin qui ne présentait publiquement «aucun danger », puisqu’il n’y avait officiellement jamais d’accident alors qu’il était obligatoire, soit devenu « très dangereux » et même mortel à présent qu’il n’est plus utilisé ?

    Nous aurait-on menti ?

    Fléau épidémique qui a sévi pendant des siècles, la variole semble être apparue au Moyen-Âge. Comment est-elle née et pourquoi, nous n’en savons rien. Nous savons seulement qu’à l’instar de toutes les épidémies, après des pics meurtriers, elle est entrée dans une phase décroissante pour finalement disparaître au milieu du XXe siècle.

    Sa disparition, concomitante de la pratique du premier vaccin universel, consacre le triomphe de la vaccination à qui on attribue l’éradication de telle ou telle maladie.

    Qu’en est-il en réalité ?

    Éradiquer un virus ou un microbe est un abus de langage, car dans le domaine du vivant, rien ne disparaît, tout se transforme. Le virus de la variole a une histoire dont nous ne connaissons pas les origines. Les virus étaient présents dès que la vie sur terre est apparue. Ils ont joué un rôle fondamental dans la transformation des espèces, car la vie est une éternelle métamorphose.

    A la faveur de quelque phénomène biologique ou environnemental, ils se recombinent.

    Le magazine Science du 7 novembre 1986 a publié les résultats des expériences menées aux Etats-Unis par R.T. Javier, F. Sedarati, et T.G. Stevens, de Los Angeles, et qui ont montré que deux virus inoffensifs mis en présence l’un de l’autre peuvent se recombiner et donner naissance à un « mutant » pathogène. Cette souche virulente peut alors entrer en conflit avec son hôte et déclencher une maladie, voire la mort.

    Le virus de la variole peut très bien être la résultante de ce phénomène mis en évidence par les chercheurs américains. Des fléaux semblables à celui de la variole ont décimé nos ancêtres depuis la nuit des temps mais les virus ravageurs finissent par s’apprivoiser et s’intégrer à notre patrimoine sans plus jamais causer de dégâts; au contraire ils peuvent même devenir un hôte indispensable à notre métabolisme, au fonctionnement de nos organes. On a récemment découvert un génome viral dans le placenta humain qui semblerait avoir pour rôle de faire fusionner le placenta avec l’utérus.

    Il est possible que dans le passé ce virus ait pu provoquer des infections sur le fœtus, mais aujourd’hui on constate qu’il est indispensable pour le bon déroulement de la grossesse. Il a donc acquis un rôle bénéfique, comme le démontre les travaux menés aux Etats-Unis par le Dr Malcolm Martin, du département de microbiologie moléculaire de l’Institut national des Allergies et Maladies infectieuses, et évoqués dans Natura medicatrix du printemps 1997 (n° 46-47).

    En réalité, la vaccination antivariolique a perturbé un processus naturel d’adaptation entre le virus et l’homme. En modifiant le cours de l’évolution de la maladie, elle a fait disparaître les symptômes mais elle n’a ni « tué » ni « éradiqué » le virus qui a poursuivi son adaptation en se transformant. […]

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    Auteur Merlin pour Homme-et-Espace

    Article extrait du livre:  « Vaccination l’overdose » (désinformation – scandales financiers – imposture scientifique) par Sylvie Simon**

    http://lesmoutonsenrages.fr/2015/08/18/vaccin-antivariolique-et-sida-detranges-liens/#more-85337

  • L’Europe : directement responsable de l’afflux de clandestins en Grèce et à Lampedusa

    En juillet, le nombre de migrants recensés aux frontières européennes a pour la première fois dépassé le cap des 100 000 en un mois (340 000 depuis janvier). Et en août, pas moins de 20 000 sont arrivés sur les seules côtes Grecques en une seule semaine. Une conséquence directe de Schengen. 

    La logique du maillon le plus faible
     
    Sur le mois de juillet, sur les 107 500 migrants recensésplus de 50 000 sont arrivés en Grèce par la mer. Même si l’origine des migrants, mais aussi la position géographique de la Grèce expliquentla concentration de près de 50% des flux de migrants illégaux dans ce pays, on peut aussi y voir la conséquence directe de Schengen. En effet, dans un espace européen où il n’y a plus le moindre contrôle aux frontières, plus besoin pour les migrants illégaux d’arriver dans le pays où ils souhaitent résider. Il suffit de choisir le plus simple d’accès, celui où il y a potentiellement le plus de chances de passer à travers les mailles du filet pour pouvoir ensuite voyager assez simplement dans toute l’Europe.
    Car il est évident que s’il y avait toujours des contrôles sérieux aux frontières de chacun des pays de l’UE, alors, autant de migrants illégaux ne viendraient pas spécifiquement en Grèce, sachant que ce pays seul ne pourrait pas en accueillir autant. La suppression des contrôles aux frontières à l’intérieur de l’UE a un rôle direct dans l’accélération des flux de migrants illégaux dans les pays de la Méditerranée car chaque pays de l’espace Schengen est un peu une porte d’entrée sur tous les pays de l’espace… Ce traité est un immense appel d’air pour les habitants des pays environnants et porte donc une part de responsabilité dans tous les drames des dernières années à Lampedusa ou ailleurs.

    Il faut mettre fin à Schenghen

    Bien sûr, la liberté de circulation des personnes est un pillier idéologique de cette Union Européenne. Mais après tout, il n’est quand même pas bien compliqué de passer par la douane et montrer ses papiers quand on va en Grande-Bretagne. Ce que montrent tous ces drames et ces flux, désastreux économiquement (du fait du chômage dans les pays européens, des difficultés d’intégration des immigrés et de la perte que cela est pour leurs pays d’origine), que socialement (par les tensions que cela créé), c’est qu’il faut démanteler purement et simplement Schengen et revenir à des contrôles aux frontières, ce qui pourrait aussi améliorer notre sécurité en compliquant les flux de criminels.
    Malheureusement, il est probable que nos dirigeants n’en feront rien. Nicolas Sarkozy, jamais à cours de démagogie, et qui n’a absolument rien fait, au gouvernement, puis comme président, malgré la négociation qui aurait été possible pour le traité de Lisbonne, a flirté avec l’idée, mais difficile de ne pas y voir seulement une nouvelle agitation politicienne. Pourtant, ce serait un service à rendre aux peuples des pays européens, car cela limiterait des flux inacceptables pour les populations en cette période de crise, cumulant chômage et baisse de pouvoir d’achat, et de questionnement sur nos identités. Mais ce serait un service rendu aux migrants, dont moins perdraient la vie dans l’aventure.

    Alors que l’immigration est un souci constant des peuples européens, il ne serait pas compliqué de revenir à de simples contrôles aux frontières pour garantir un meilleur contrôle des flux migratoires et notre sécurité. Mieux, cela permettrait sans doute de réduire le nombre de drames dans la Méditerranée

    Laurent Herblay

    http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/l-europe-directement-responsable-170926

  • La grande arnaque du travail dominical

    Dès 2016, les commerces auront le droit d’ouvrir douze dimanches par an.

    La mesure phare de la loi Macron aura fait couler des torrents d’encre et irradié les débats parlementaires : dès 2016, les commerces auront donc le droit d’ouvrir douze dimanches par an. À Paris, douze zones touristiques internationales (ZTI), autorisées à turbiner jusqu’à minuit, ont ainsi été délimitées, comprenant la quasi-totalité des gares et des centres commerciaux… dont certains fort peu fréquentés des touristes. La FNAC peut jubiler. Elle qui déplorait le rejet de l’amendement visant à étendre la loi aux biens culturels, en juin dernier, se retrouve présente dans toutes les ZTI. Le hasard fait bien les choses… Colère des syndicats, qui voient là rien de moins qu’un subterfuge conduisant à une « généralisation du travail du dimanche ». Pour le coup, ils n’ont pas tout à fait tort.

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  • Allemagne : un maire veut réquisitionner des maisons privées pour loger des immigrés !

    En Allemagne, le maire de Salzgitter, Frank Klingebiel (CDU, « droite »), a décidé de restreindre « temporairement » le droit fondamental à la propriété. En raison de l’afflux massif de demandeurs d’asile, le maire a l’intention de réquisitionner des maisons privées vides.

    Le maire promet que les propriétaires seront indemnisés. Combien ? Par qui ? Pendant combien de temps ? Comment ferait un propriétaire qui voudrait récupérer l’usage de son bien ? Dans quel état le propriétaire va-t-il retrouver son bien immobilier et qui va payer les frais de remise en ordre après saccage ?

    Cette mesure qui relève du « totalitarisme démocratique » est soutenue par le gouvernement fédéral qui a estimé qu’il fallait adapter les lois « à une situation d’urgence ». Il est notamment question de modifier les exigences légales en matière de construction pour faire bâtir de nouveaux logements destinés aux demandeurs d’asile.

    Le maire de Salzgitter a également demandé que les villes puissent se lancer dans de nouveaux emprunts pour financer l’asile des migrants !

    Le scandale est d’autant plus grand que l’Europe compte de nombreux citoyens qui vivent dans la précarité et qui n’ont pas accès aux services offerts aux immigrés.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Des trafiquants albanais empochent 9.800 euros par personne pour faire passer des immigrés clandestins de France en Angleterre

    Un réseau de « passeurs » albanais vient d’être démantelé par la brigade mobile de recherche (BMR) à Calais et à Dunkerque. Ces trafiquants organisaient les passages d’immigrés clandestins vers l’Angleterre.

    Les sommes en jeu sont énormes. Le forfait à acquitter au réseau albanais se paie entre 6500 et 7000 livres (jusqu’à 9.800 euros) par personne.

    Pour ce montant, les réseaux albanais assurent à leurs clients d’être pris en charge, jusqu’au franchissement des 35 kilomètres séparant Calais de Douvres, quel que soit le nombre de tentatives nécessaires pour y arriver.

    Les réseaux albanais fonctionnent avec des poids lourds dont les chauffeurs sont complices.

    Les intermédiaires perçoivent de 700 à 1400 euros par personne.

    Les passages se font souvent dans les cargaisons de légumes frais, de choux ou de pommes de terre, car ils dégagent une telle quantité de CO2 que les détecteurs de gaz carbonique censés repérer la respiration humaine sont inopérants.

    Les enquêteurs ont estimé que le bénéfice du trafic du réseau arrêté atteindrait un minimum d’1,4 million d’euros pour un passage de 255 immigrés clandestins depuis le mois de mars.

    Mais d’autres Albanais devraient rapidement remplacer ceux arrêtés…

    Il reste un point à éclaircir : comment ceux qui composent ces marées d’immigrés clandestins sont-ils capables de payer près de 10.000 euros pour arriver jusqu’en Europe puis presqu’encore autant pour passer de la France à l’Angleterre ?

    Beaucoup de Français, d’Européens, vivent dans la misère et sont loin d’avoir 20.000 euros d’économies.

    Alors, d’où vient l’argent ? De quoi alimenter certains propos

  • Le discours sur la reprise économique est une gigantesque farce

    Il faut rendre justice à François Hollande et à ses sbires : leur discours sur la reprise économique (Michel Sapin : « Gardons le cap, la reprise est bel et bien engagée en France », 14/8/2015), ils ne sont pas les seuls à le tenir. Au Japon comme aux États-Unis, on n’entend que ça, les premiers pour justifier le bien-fondé de leur politique monétaire expansionniste (Abenomics), les seconds, à l’inverse, pour justifier une prochaine hausse des taux d’intérêt. Le fait est que cette reprise est un mirage, elle n’existe pas ; pire : c’est tout le contraire, une lente glissade vers la récession, partout, dans tous les pays, bref une panne systémique de l’économie de marché.

    Appelez-ça comme vous voulez (erreurs de jugement ou mensonges), appelez-les comme vous voulez (incompétents bornés ou vrais salopards) ! Si le diagnostic d’une crise de civilisation est juste, cela n’a guère d’importance, la catastrophe est devant nous, la vraie.

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  • Viols et agressions sexuelles, ces autres conséquences d’une immigration hors contrôle à Calais, Sangatte,…

    Une agression sexuelle commise à Sangatte par un jeune immigré n’a retenu l’attention que de la presse locale et de quelques médias alternatifs. Du côté des journaux télévisés et de la presse nationale, on n’a d’intérêt que pour les « difficiles conditions de vie des migrants » mais on ne s’intéresse pas un seul instant à ce que subissent les habitants des villes submergées par les immigrés clandestins.

     

    « Il était environ 17 h 40 et je venais de passer l’après-midi dans mon chalet sur la plage de Calais. J’étais sur le point d’arriver sur le parking et il m’a demandé où se situaient les douches. Je lui ai répondu. Il est parti dans cette direction puis il a fait demi-tour en arrivant sur moi par-derrière. Il m’a fait une clé de bras, m’a traînée jusqu’à un chalet où il a commencé à me toucher la poitrine puis les hanches. J’ai essayé de me débattre, j’ai appelé au secours. Des gens sont passés mais ils ne m’ont pas aidée. J’ai tenté de me défendre mais j’avais encore mes sacs dans les mains et je tenais mon chien en laisse. Je lui ai demandé d’arrêter en criant, il a eu peur et il a pris la fuite ».

    Si ce récit avait été celui d’une jeune femme égyptienne durant le printemps arabe, il ferait le tour des tabloïds internationaux. Mais c’est le récit d’une jeune femme française, les faits se passent en France, à Sangatte, zone de non-droit, et l’agresseur est un immigré, ce qui rend le sujet tabou pour les médias aux ordres.

    Arrêté grâce au père de la victime, l’agresseur s’appele Nabeel Mohammed Edris, un Érythréen de 29 ans. Lundi dernier, il est passé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.

    C’est l’occasion d’apprendre que « d’autres femmes ont été importunées par monsieur. Il s’est promené tout l’après-midi avec un caleçon de bain en allant voir les jeunes femmes qui prenaient le soleil.»

    Le substitut du procureur trouve scandaleux « que les personnes qui étaient à proximité n’aient même pas levé le petit doigt pour venir en aide à la victime ».

    Le tribunal a condamné le prévenu à trois mois de prison ferme avec maintien en détention. En outre, l’agresseur aura interdiction de se présenter dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais pendant trois ans et le tribunal ordonne son inscription au FIJAIS (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles).

    La vraie question que personne n’ose poser : de Calais à Sangatte, combien de femmes, de jeunes filles, ont-elles été les victimes de viols ou d’agressions sexuelles au cours des dernières semaines ? Entre les faits cachés par les autorités et ceux non déclarés par les victimes, cette conséquence d’une immigration hors contrôle est pourtant bien en augmentation inquiétante.

    Pierre-Alain Depauw

    http://www.medias-presse.info/viols-et-agressions-sexuelles-ces-autres-consequences-dune-immigration-hors-controle-a-calais-sangatte/37030?utm_source=OxiMailing&utm_medium=e-mail&utm_campaign=mpi_94