Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1556

  • Marine Le Pen s'étonne de voir «99% d'hommes» sur les images de réfugiés

    La présidente du Front national juge qu'il y a peu de familles dans les cortèges de réfugiés parcourant l'Europe. Pour elle, il ne s'agit donc pas de réfugiés politiques mais plutôt de migrants économiques.

    La photo du garçonnet mort sur une plage turque ne serait pas une preuve suffisante. Pour Marine Le Pen, les Syriens et Irakiens en route vers l'Europe ne sont pas majoritairement des réfugiés politiques. Sur RMC, la présidente du Front national a expliqué son raisonnement: «J'en veux pour preuve les images que je vois à la télévision. Moi, j'ai vu les images des clandestins qui descendaient, qui étaient emmenés en Allemagne de la Hongrie, etc. Eh bien, sur l'ensemble de ces images, il y a 99% d'hommes». «Il y a une ultra minorité de familles», a continué l'eurodéputée. Ajoutant: «Moi je pense que des hommes qui quittent leur pays pour laisser leur famille là-bas, ça n'est pas pour fuir la persécution. C'est évidemment pour des raisons économiques.»

    Une estimation contredite par des statistiques de l'Unicef sur les réfugiés qui transitent par la Macédoine. «Un tiers sont des femmes et des enfants, contre (...) 10% en juin». «Parmi ces femmes, 12 % sont enceintes» a détaillé le 1er septembre dernier, Christophe Boulierac, porte-parole de l'organisation onusienne.

    Pas de réfugiés dans les villes FN

    Un chiffre qui n'est pas retenu par Marine Le Pen qui estime, elle, que «nous sommes confrontés à une immigration économique, une immigration d'installation qui est la conséquence du laxisme gigantesque de nos gouvernants successifs». Et ce au lendemain de l'annonce par François Hollande de l'accueil de 24.000 réfugiés en France pour les deux prochaines années.

    La présidente du Front national a prévenu: ces derniers seront persona non grata dans les mairies dirigées par son parti. «Vous demanderez à leurs maires, mais non, je ne crois pas». «Je pense que les mairies FN sont conscientes qu'elles ont en charge un lot important de misères, de pauvretés et de difficultés, et qu'elles réservent leur énergie à essayer de soulager la souffrance de leurs administrés. Or nous le disons et nous comme cohérents: nous ne pouvons plus accueillir personne. Nous sommes déjà ultra saturés», a-t-elle expliqué.

    Tristan Quinault Maupoil

    source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuEZpVyyELAWsKbfq.shtml

  • Jusqu’à quand ? Jusqu’où ?

    Hier, lors de sa conférence de presse, François Hollande a annoncé, dans une France dont les centres sociaux sont débordés, qui connait une grave crise du logement, compte six millions de chômeurs, huit millions de pauvres et peut être autant d‘immigrés, que notre pays allait accueillir 24 000 immigrés clandestins-migrants-réfugiés supplémentaires. Soit l’effort consenti pour obéir aux injonctions d’Angela Merkel et de l’Onu, que nous évoquions sur ce blogue la semaine dernière, le «machin » pressant l’UE d’accueillir 200 000 individus supplémentaires. Un formidable appel d’air et un catastrophique encouragement pour les dizaines de millions de candidats au départ des pays du sud vers l’Europe. Rappelons qu’en juin, après avoir finalement ouvert officiellement la porte et les cordons de la bourse pour installer d’ores et déjà  chez nous 9 000 clandestins, le président de la république et le Premier ministre Manuel Valls avaient annoncé  leur refus de toute politique des quotas visant à répartir les immigrés. Mais ce n’était que pour mieux accepter aujourd’hui des « quotas contraignants» dans le cadre d’un « mécanisme obligatoire et permanent» de répartition des immigrés illégaux, baptisés « réfugiés » en novlangue. A l’occasion de la sortie de son «roman noir des demandeurs d’asile », préfacé par de Jean-Yves Le Gallou, Philippe Randa expliquait dans Présent que derrière les drames de « l’immigration-colonisation » se cache aussi un juteux business. « Les associations pro-immigration jouent la pitié, non seulement pour culpabiliser  l’homme blanc, mais aussi pour récolter des fonds : l’un n’empêche pas l’autre, mais surtout, l’un est très profitable à l’autre ».

    Des maffias qui « sont régulièrement dénoncées, mais très difficilement mises en périls (…). Les multiples associations politisées à outrance – dont beaucoup sont financées sur fonds publics – n’hésitent jamais à monter aux créneaux, sous tous les prétextes possibles, pour entraver l’action des forces de l’ordre ; quant à la Justice où les membres du Syndicat de la Magistrature sont si nombreux, tout lui est bon pour laisser le temps aux pseudo-réfugiés de s’échapper dans la nature, de récupérer par des filières parfaitement au point de  faux-papiers  (…) puis de lancer la procédure de naturalisation, aidés par les mercenaires de la cause imigrationniste : militants associatifs, avocat (…) ». Et Philippe Randa de rappeler encore qu’«entre 2008 et 2012, les frais de dépenses liées aux contentieux des étrangers pour les préfectures ont doublé : de 8,5 millions d’euros, ils sont passés de 16,6 millions d’euros. Les  cochons de contribuables  apprécieront ! Chaque dossier rapporte entre 600 et 3 000 euros et certains avocats traitent jusqu’à 1000 dossiers par an. Des chiffres explicites, non ? »

    Dans ce contexte, les appels de maires LRPS en faveur de l’accueil dans leur ville de « réfugiés » se sont multipliés, de la même tonalité que le courrier adressé par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve « aux maires de France »,  les invitant dimanche « formuler des propositions d’accueil » d’immigrés clandestins.

    Alors que le pape François a demandé aux 12  000 paroisses françaises, et plus largement à toutes les communautés catholiques d’Europe, d’accueillir chacune une famille de réfugiés, le député-maire de Roanne, Yves Nicolin (Les Républicains) s’est signalé en affirmant ne vouloir prendre que « des réfugiés chrétiens ». Un parti-pris que ne partage pas son collègue sarkozyste, Gaël Perdriau, maire de Saint-Etienne, qui s’est dit prêt à accueillir tout le monde sans distinction.

    Même son de cloche  de Martine Aubry à Lille, de Roland Ries à Strasbourg, « capitale de l’Europe citoyenne » (sic), Ivon Robert à Rouen, Johana Rolland à Nantes, tandis que plusieurs présidents socialistes de conseils régionaux, notamment ceux d’Auvergne, de « Haute » et de « Basse » Normandie, ont débloqué plusieurs dizaines de milliers  d’euros pour constituer un fonds d’aide aux immigrés.

    Bien sûr, le lobby immigrationniste a donné également de la voix, via le petit monde culturel, avec l’appel lancé  à l’initiative du comédien Alex Lutz, par 66 artistes dans le Journal du Dimanche,  intitulé « Une main tendue ». Pour sa part, le ministre de la « culture », l’inénarrable Fleur Pellerin, a souhaité  vendredi à Perpignan qu’un  grand rassemblement «populaire» ait lieu le  11 septembre au musée de l’Histoire de l’immigration à Paris, date de commémoration des attentats de 2001 symbolisant un «moment de fraternité», pour manifester la solidarité des Français avec les «  migrants » d’Afrique et du Moyen-Orient.

    Mme Pellerin était  certes plus dans son rôle quand elle a dénoncé, comme l’a fait François Hollande ou encore Catherine Pégard, la présidente de l’établissement public du château de Versailles, les tags (qualifiés d’antisémites) infligés durant la nuit de samedi à dimanche à la la sculpture hideuse de l’artiste  Anish Kapoor, installée dans le parc du château, baptisée « coin sale » (dirty corner)  ou « vagin de la reine » selon les versions. Un énième épisode médiatique qui ne manquera pas de faire grimper la cote des œuvres de M. Kapoor, il n’y a pas de petits bénéfices… Mme Pellerin s’est dite «choquée» par cette «atteinte à la liberté de création et d’expression» pour laquelle la France s’est battue durant «plusieurs siècles». « Cet acte nauséabond constitue un pas de plus vers l’obscurantisme ».

    L‘obscurantisme constate Bruno Gollnisch, c’est surtout un qualificatif qui sied parfaitement à la politique tout à la fois criminellement laxiste et régressive, en ce quelle est destructrice de notre identité, de ce gouvernement soumis à l’euromondialisme. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, plutôt représentatif des opinions publiques et des exécutifs des pays de l’ancien bloc de l’Est qui sont les plus hostiles à l’accueil des immigrés non européens, l’a déclaré tout de go.« Aujourd’hui a-t-il dit, nous parlons (d’accueillir) de centaines de milliers (d’immigrés) , l’an prochain, nous discuterons de millions et, d’un seul coup, nous nous retrouverons en minorité sur notre propre continent dans une Europe chrétienne. »

    Ce qui invite à poser la question qui trotte dans la tête de nombreux européens et qui est aussi un objet de débat dans la presse américaine -voir dernièrement le Washington Post. Pourquoi les immigrés-réfugiés-clandestins-migrants  ne gagnent-ils pas des pays musulmans, notamment les plus prospères?

    Ce devoir d’hospitalité que le Coran encourage vis-à-vis des musulmans, qui doit profiter aux  membres de l’Oumma,  a été honoré par des pays comme la Jordanie, la Turquie ou le Liban, non sans conséquences parfois funestes sur la stabilité de ces pays, nous pensons notamment au Pays des cèdres.

    Mais pour quelles raisons les pétromonarchies du Golfe  sont-elles rétives à cet accueil? Le Bulletin d‘André Noël cite l’avis de Roland Lombardi, chercheur à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman d’Aix-Marseille Université : « Alors que les pays du Golfe sont bien plus proches de la Syrie que ne l’est l’Europe, des milliers de Syriens font le choix de l’UE. Face à l’Eldorado européen accueillant, l’Arabie saoudite et ses voisins présentent un visage violent et hostile à tout migrant, susceptible d’introduire avec lui des idées subversives et indésirables pour la stabilité de ces régimes. »

    Il ajoute : « Il est plus facile et surtout plus attirant de rejoindre l’Europe que les pétromonarchies du Golfe. L’Europe est toujours considérée comme un Eldorado, un pays de Cocagne. Un havre de prospérité, de sécurité et de paix, grâce aux politiques migratoires laxistes de l’Union européenne depuis des années, les différentes aides sociales et médicales accordées aux réfugiés».  Jusqu’à quand ? Jusqu’où ? Cette Europe bruxelloise mondialiste,  à laquelle notre classe politicienne a décidé de faire allégeance,  évoque plus que jamais la description de l’éthologue américain Robert Ardrey : « un train de munitions qui fonce, tous feux éteints, dans le brouillard nocturne. »

    http://gollnisch.com/2015/09/08/jusqua-quand-jusquou/

  • On a trouvé où loger quelques "migrants"

    FH
    L'heureux propriétaire de la Sapinière, située à Mougins, "le Neuilly de la Côte d'Azur", étant actuellement locataire de l'Elysée, sa maison peut abriter une famille complète de "migrants" jusqu'à avril 2017. Bizarrement, l'on apprendqu'elle ne vaudrait "que" 800 000 €, alors que dans ce village très huppé,

    "on ne trouve pas une maison correcte à moins de 1,5 million d'euros. Et, dans les quartiers les plus cotés, comme le Redon, les Colles ou Saint-Barthélemy, les villas s'envolent à 10 millions, voire bien au-delà."

    Add : mais ce matin, pendant sa conférence de presse, François Hollande a été catégorique :

    "Je n'ai pas de résidence secondaire disponible. On attend d'un chef de l'État et du gouvernement qu'il puisse encourager ceux qui désirent le faire. Ce sera le travail des élus en coordination avec les préfets."

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Aide aux « migrants » : compassion ou collaboration ?

     Par Pierre-Emile Blairon*

    bateau-immigres-300x224.jpgUn combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin.

    Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. L’une de ces officines venant en aide aux « migrants » édite un « annuaire des acteurs associatifs et institutionnels » de plusieurs centaines d’entrées regroupant cette nébuleuse d’organisations (dont la plupart des dirigeants sont issus de l’extrême gauche) mis à la disposition des clandestins.

    On connaît l’efficacité de ce réseau, d’autant plus qu’il est parrainé et subventionné par nos structures étatiques « républicaines ». On peut être surpris d’y trouver les mentions d’institutions vénérables comme la Croix-Rouge française (fondée par le maréchal Pétain le 4 août 1940 sous son appellation actuelle) ou le Secours catholique (fondé par l’abbé Rodhain, ouvertement pétainiste, décoré de l’ordre de la Francisque), dont la vocation initiale était de venir en aide aux Français en difficulté. Ces associations traditionnelles n’avaient d’autre but que compassionnel. Étrange pied de nez de l’Histoire : infiltrées par la gauche, elles se retrouvent à la pointe de la lutte antifrançaise, de la préférence étrangère, donnant tous les moyens légaux et surtout illégaux à ceux qui vont remplacer nos peuples européens, avec la bénédiction de nos gouvernants. On appelait ces gens, sous l’Occupation, des « collabos ».

     Ces militants illuminés n’ont plus de repères, de sol auquel se rattacher, ni de sang auquel appartenir, et se croient investis d’une mission universaliste ; ils vont affronter la saleté, les insultes, les violences (il y a quelques jours, en Italie, trois clandestins égyptiens ont frappé le responsable d’un centre d’accueil et violé son employée), en abandonnant délibérément nos pauvres qui souffrent. En effet, selon une enquête de 2012 effectuée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), 40 % des SDF « francophones » ne reçoivent aucune aide, alors que la quasi-totalité des « migrants » sont pris en charge par l’armada des associations d’accueil des étrangers.

     C’est que nos bons samaritains sont persuadés d’être en charge de toute la misère du monde. Le prix de passage clandestin à bord d’un bateau s’élève en moyenne à 3.000 euros. Ou bien ces gens ne sont pas dans la misère, ou bien leur trajet est payé par des organismes privés ou étatiques ; lesquels ? Quel Français pourrait s’offrir un tel voyage ? Il faut aussi savoir que nombre de djihadistes pourraient être présents parmi les gentils demandeurs d’asile, selon Gilles de Kerchove, le coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme.

    Si le Grand Remplacement n’est pas une lubie, le Grand Suicide – l’ethnomasochisme – de nos populations européennes ne l’est pas non plus. Lorsque ces bénévoles inconscients auront parmi leurs proches une personne égorgée ou victime d’un attentat, ils ne pourront pas invoquer la clause de l’ignorance. Ils seront donc alors complices.

    (*) Pierre-Emile Blairon est journaliste et écrivain

    http://lejournalduchaos.hautetfort.com/archive/2015/08/17/aide-aux-migrants-compassion-ou-collaboration-5671500.html

  • Pour un accueil des réfugiés dans les pays du Golfe !

    Continuer d’accueillir des réfugiés en si grand nombre en Europe est une hérésie ! La France, notamment, n’a pas les moyens ni les capacités de le faire. Les Français y sont d’ailleurs majoritairement opposés. Face à ce constat, nous ne pouvons néanmoins baisser les bras. Des solutions existent.

    L’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït, Oman, Bahreïn et les Émirats arabes unis n’ont jusqu’à présent proposé aucune place d’accueil aux réfugiés syriens. Ces pays participent financièrement à l’accueil des réfugiés, mais toujours dans d’autres pays. Ce n’est pas suffisant !

    Lire la suite et signer la pétition 

  • Migrants, réfugiés, clandestins, envahisseurs : la guerre des mots

    Source : OJIM

    Devant l’ampleur de la crise migratoire, devant les files de centaines de milliers de candidats à l’immigration quel vocable adopter ? L’analyse d’un éditorial de Jean Quatremer, correspondant à Bruxelles de Libération, dans l’édition papier des 5 et 6 septembre cerne quelques enjeux d’un vocable qui dépasse les querelles sémantiques.

    L’article semble ouvrir le débat. Mais le titre le referme de suite : « Ne dites plus migrant ». Il manque le point d’exclamation mais le mode impératif et performatif est de mise. Pour commencer Quatremer éreinte ses confrères français (il oublie Le Monde) qui « ont été les seuls en Europe à ne pas publier en une la photo d’Aylan ce petit garçon syrien noyé ». Ce manque de (bonne) conscience réside dans le mal français : « La crise humanitaire actuelle est traitée comme une aggravation… d’une vague migratoire, qui depuis des années vient s’échouer sur les côtes européennes … ». Le mot migrant renvoie lui-même à « immigrant » connoté négativement en France, « un cache-sexe sémantique qui permet de nier la spécificité du drame humain qui se joue à nos frontières ». Diable ! Quelles frontières ? Celles de l’Eldorado fantasmé européen ou celles de tous les conflits de tous les pays. Les frontières de l’Europe iraient jusqu’à l’Irak, la Syrie, voire l’Erythrée ou la Somalie ? Il est vrai que l’Union Européenne ne considère pas l’Europe comme un ensemble historique, géographique et culturel mais comme un agglomérat rassemblé par « les droits humains » et que les frontières morales ont l’avantage de pouvoir se passer plus facilement, première étape en attendant la suppression des frontières physiques si malvenues.

    Allons plus loin dans l’article « Parler de migrants, c’est nier leurs souffrances, c’est interdire aux citoyens de penser le drame qui se joue, c’est anesthésier l’opinion publique… » . Les arguments compassionnels peuvent se retourner comme un gant : parler de « réfugiés » c’est interdire aux citoyens de penser les conséquences à court, long et moyen terme de ce premier mouvement massif de population, c’est anesthésier l’opinion publique sur la réalité des kosovars, albanais, indiens, sri-lankais, pakistanais qui ne viennent pas de zones de guerre. C’est privilégier l’émotion – le cadavre du petit garçon – pour nier toute réflexion sur les responsables véritables des noyades, c’est oublier le rôle de la France dans le chaos libyen, celui des États-Unis dans le chaos irakien, celui des islamistes dans le chaos syrien, celui de tous ceux qui encouragent les passeurs en souhaitant la fin de tout contrôle.

     

     

    Le meilleur de l’éditorial est pour la fin : la reductio ad Lepenem. Employer le mot de « réfugié… c’est refuser cette lepénisation rampante des esprits ». Alors que les « “migrants” ne peuvent qu’être renvoyés vers la misère des camps de transit ou vers la mort ». Si vous parlez de migrant vous êtes coupable de la misère et de la mort de ceux qui veulent s’installer chez vous. Tous coupables sauf les Allemands qui en redemandent, mais pour combien de temps ?

    http://fr.novopress.info/191966/migrants-refugies-clandestins-envahisseurs-guerre-mots/

  • Les migrants : une folie ordinaire

    On me dira ce que l’on voudra mais c’est invariable : les mêmes causes produisent les mêmes résultats.

    L’Histoire se répète… Inlassablement !

    N’oubliez pas que cette banalisation n’est qu’une des facettes de la désinformation outrancière que nous subissons.
    Après l’immigration est une chance pour la France, après l’islam religion d’amour, voici le temps de « migrants » bienvenue chez nous.

    Nos dirigeants, apprentis sorciers mais vrais fossoyeurs, nous concoctent une guerre civile imminente. Je ne comprends pas comment, même avec ce bourrage de crânes permanent, les Européens ne se rendent pas compte de ce danger mortel pour eux.
    Ma question est peut-on être stupide à vie ? la réponse est OUI bien entendu !

    Ainsi lorsque l’Empire Romain qui rayonnait a commencé sa chute, c’était pour des raisons déjà de flux migratoire et de laisser-aller. La décadence a entrainé la chute et les Barbares, on les appelait ainsi à cette époque, ont détruit l’Empire en commençant par s’y infiltrer.
    Les Romains avaient été laxistes et comme ils étaient riches et opulents avaient acheté les Barbares, les employant à protéger l’Empire et ainsi les Barbares avaient sans aucune contrainte pénétrer l’Empire. Le reste coula de source et l’Empire fut détruit après de nombreux massacres perpétrés par les Barbares.

    Aujourd’hui nous avons en plus la télévision qui possède un savoir-faire en désinformation et un pouvoir de nuisance extraordinaires. Il aura suffit de montrer une image d’un enfant mort sur un rivage européen pour retourner l’opinion publique qui raffole de drames en tous genres et surtout venus d’ailleurs.
    Les enfants égorgés par les islamistes n’ont, si j’ose dire, pas eu droit à ce traitement médiatique de faveur.
    Il est clair que la cause n’est pas la même… Il y morts et morts !
    La repentance a fait le reste et nos politiciens s’y entendent sur ce sujet de gauche à droite et de droite à gauche.
    Ainsi cela leur évite de fâcher nos immigrés et d’espérer leurs voix au bon moment.
    Là où l’Europe devait adopter une politique de fermeté absolue en matière d’immigration sauvage, la propagande aura permis le contraire.

    Dans cette folie ordinaire, il se trouve même des gens qui sont prêts à accueillir des « migrants » peu importe ce que cela pourra donner. Cela permet d’être le héros d’un jour et de risquer de passer à la télévision. Grandiose et funeste à la fois !

    Tout notre système médiatico-politique est dans le déni !!!
    C’est ainsi que toute logique n’existe plus remplacée par l’émotion du moment et la langue de bois.
    Ce flux migratoire gravissime qui va emporter l’Occident est une réalité tellement évidente que de ne pas la voir est criminel.
    L’appel d’air donné aux clandestins par des mesures autant stupides que dangereuses à court terme est une hérésie. les clandestins de tous pays entendent une berceuse qui les invite à se précipiter vers l’Europe, ce nouvel Eldorado. La folie fera le reste…
    Alors que nos politiciens devraient se battre contre cet afflux, ils encouragent cet afflux.
    C’est un suicide sociétal programmé auquel nous assistons passivement.
    On nous ressert les vieilles recettes éculées de l’antiracisme et de la misère.

    Il est vrai que poser ainsi ce drame, drame qui ne sera au final que le notre, est facile et émeut la population.

    Quid des personnes âgées qui n’ont plus rien ?
    Quid de l’insécurité et du chômage ?
    On évacue tous les problèmes réels et désastreux de la société au profit d’une fausse cause humanitaire qui n’est qu’une invasion sournoise au profit d’une guerre religieuse annoncée pourtant depuis quelques années déjà. J’ai envie de dire à nos dirigeants ou qui se posent comme tels : réapprenez à lire et à écouter. L’État Islamique que pudiquement vous appelez Daesh a pourtant clairement écrit et annoncé son but qui est bien d’asservir l’Europe.
    On fait pleurer les bobos, les gogos et les veaux avec un sujet sur la détresse humaine et cela fonctionne toujours aussi bien.

    Pendant ce temps on ne parle plus des exactions terribles commises par les islamistes ici et là. De ceux qui, entre autres, ont égorgé des enfants dans un silence mystérieux au vu du tintamarre actuel pour soutenir les migrants, ces nouveaux envahisseurs. Et de grâce, que l’on ne vienne pas nous emmerder avec le traditionnel « vous êtes raciste » parce qu’il ne s’agit en fait que d’être réaliste.
    C’est surnaturel !
    D’un côté les barbares égorgent et décapitent des êtres humains sans vergogne et de l’autre l’Europe munichoise accueille la misère du monde avec force larmes à l‘œil, genre : on va noyer le poisson donc les vrais problèmes des gens sous ce déluge de repentance et fausse charité. Cette compassion est depuis longtemps l’apanage d’une gauche qui partout a échoué économiquement.

    Le parallèle avec cet Empire Romain est saisissant avec le fameux « du pain et des jeux » ou jeux du Cirque organisés afin de distraire la population.
    On retrouve d’ailleurs dans l’Histoire toujours ce phénomène qui consiste à masquer totalement la réalité au profit d’un dogme.
    Bien que le discours de la gauche soit éculé, son côté émotionnel fonctionne toujours.
    Là les gens ne pensent plus mais ils laissent l’émotion les submerger sans mesurer les cons séquences quelques inévitables qu’ils devront subir.

    Lire la suite

  • Hollande repart en guerre ?

    Notre inénarrable président, tout juste auréolé des médailles décernées aux héros du Thalys veut reprendre cette croisade névrotique et compulsive en Syrie. Oubliant sa dernière déconvenue belliciste contre Bachar Al-Assad, Hollande rappelle au monde que la crise syrienne ne peut être circonvenue que par le départ du président alaouite.

    Déjà, après la crise du 21 août 2013 concernant l’usage de l’arme chimique, il avait failli engager la France dans une attaque directe contre le régime syrien alors que le parlement britannique avait infligé un camouflet à David Cameron en refusant d’intervenir. Malgré ce désistement, il se disait prêt à passer outre le conseil de sécurité de l’ONU et même à engager la France en vertu de l’article 35 de la Constitution sur sa seule détermination. Quand on connait l’état de nos armées et la considération que nos politiques ont pour eux, il y a de fortes chances que l’on assiste avec « guimauve le conquérant » au même spectacle affligeant que nous avait offert Sarkoléon 1er devant les cercueils de nos militaires, morts pour… on ne sait pas qui !

    Nos chers amis terroristes

    Il n’aura échappé à personne que toutes les attaques terroristes survenues en France, depuis l’affaire Merah, ont été le fait de personnages nébuleux mais qui sont tous allés faire du « tourisme » chez ces gentils révolutionnaires qui mettent actuellement le Moyen-Orient à feux et à sang ; largement soutenus par tous les services secrets occidentaux, nos trafiquants d’armes, nos généreux donateurs, à la sauce Soros, harangués par le non moins brillant philosophe BHL. Sans aucun parti pris, heureusement que le président Al-Assad tient encore sa place et occupe ces « gentils terroristes » sous peine de voir la Syrie subir le même sort que les Libyens qui sont les acteurs d’un drame encore jamais vu en Méditerranée. Même du temps des grandes invasions vandales en Afrique du nord, au Ve siècle, jamais les autochtones ne se jetèrent de désespoir à la mer ainsi.

    L’effet Thalys

    Pourquoi la première personne qui se soit jeté sur Ayoub El-Khazzani n’a pas eu droit aux éloges planétaires ? Pourquoi la presse a tout juste évoqué cette personne ? Pourquoi dans son discours de remise de médaille, Hollande l’a discrètement occulté ? Peut-être parce qu’il était français et qu’il a préféré garder l’anonymat.

    François Hollande a salué le courage et l’héroïsme des trois Américains et du Britannique, qui incarnent « le bien » de « l’humanité » face au « mal qui est le terrorisme » lors de la cérémonie de remise de légion d’honneur. Ils « ont, par leur courage, permis d’éviter un carnage » a estimé François Hollande. « Face au mal du terrorisme, il y a un bien, vous l’incarnez ».

    Ce discours, digne d’un George W Bush Jr, résume à lui seul la dépendance idéologique, ainsi que ses conséquences, à la diplomatie américaine. Il ne faut pas s’étonner que dans la droite ligne de ses propos soit évoquée de nouveau une intervention française en Syrie au nom des « forces du bien ».

    Cette hyper dépendance de nos « zélites » aux doctrines économiques étatsuniennes comme le démontre la loi Macron, transfrontalières comme le traité transatlantique que nos « zélus » nous imposeront sans aucun moratoire et belliciste qui ne nous a rapporté que des déboires depuis l’accession au pouvoir d’un certain Sarkozy, ne s’explique que dans cette France américaine qui se renie et nous détruit.

    Ces destructeurs de l’identité française se retrouvent de droite comme de gauche dans ces cercles discrets, mais ô combien puissants et consanguins que sont les Young Leaders et la Franc-maçonnerie. Quoi qu’ils en disent, ils forment l’ossature de nos gouvernements et de nos parlements. Certains bien connus en arrivent même, comme Louis Sarkozy, à déclarer « Je suis plus fier d’être un patriote américain et pas français  ». Malheureusement pour le vrai héros de cette aventure, il avait le mauvais goût d’être français et humble car le vrai courage c’est de passer devant, comme le signalait Henri IV. Dans cette affaire, Hollande avait besoin de héros « pipolisés » pour redorer son blason et rappeler combien nous sommes éternellement redevable à nos chers amis américains.

    Cpt Anderson Administrateur du site d’information www.agenceinfolibre.fr 26/08/2015

    Source : Agoravox

    http://www.polemia.com/hollande-repart-en-guerre/

  • Les socialistes sont généreux avec notre argent

    Extrait du discours de Marion Maréchal Le Pen lors de l'Université d'été du FN :

    20150904PHOWWW01078.jpg"[L]les socialistes ont la générosité facile quand il s’agit de dépenser votre argent. 150 millions d’euros de subventions aux associations rien que sur l’année 2015. Avec des choses étonnantes comme à Forcalquier, ville du candidat socialiste Castaner, où le montant de la subvention par habitant est de 150 euros, 4 fois plus que la moyenne régionale. Ou encore les 45 000 euros accordés à l’association des familles musulmanes des Bouches-du-Rhône. 

    Et croyez-moi, le copinage n’est pas fini. Les socialistes sont actuellement en train de signer des contrats d’équilibres territoriaux à marche forcée, autrement dit de verrouiller des dépenses avec les agglomérations amies dans les années à venir

    Des embauches pléthoriques avec plus de 36% d’augmentation de dépenses de personnelsur la mandature. Sans oublier les copains puisqu’aujourd’hui la région dénombre 15 vice-présidents tous choyés aux frais du contribuable. Par ces temps de crise, ce sera à nous les élus de faire les premiers efforts ! Les voyages, les dépenses de communication, les frais de réception, les voitures et logements de fonction devront être réduits au strict nécessaire…

    Finis les projets pharaoniques censés flatter les égos de nos barons locaux comme la villa Méditerranée qui a coûté près de 60 millions d'euros d’investissement et coûte 4,4 millions d’euros en fonctionnement chaque année, alors que le conseil économique, social, environnemental régional s’interroge encore sur sa « vocation » et son « utilité ». 

    Une interrogation partagée lorsque le Conseil régional de M. Vauzelle, accompagné du Conseil départemental des bouches du Rhônefinancent à hauteur de plusieurs centaines de milliers d’euros une exposition pédo-pornographiqueà la Friche dans la quartier de la Belle de mai. Je vous épargnerai le détail de ces scènes qui livrent des corps d’enfants à la pire des obscénités. 

    Il me vient alors la citation de Saint-Augustin : "à force de tout voir, on finit par tout supporter ; à force de tout supporter on finit par tout tolérer ; à force de tout tolérer, on finit par tout accepter ; à force de tout accepter, on finit par tout approuver." [...]"

    Michel Janva

  • ÉDITORIAL DE L’Action Française 2915 : Déferlement migratoire : la solution est d’abord nationale

    À peine l’Action française bouclait-elle son université d’été – la plus ancienne du paysage politique français puisque datant de 1953 –, que socialistes et écologistes organisaient leurs raouts de rentrée sur fond de querelles intestines (à La Rochelle, Valls était hué par les Jeunes Socialistes) et de démissions (les écologistes Rugy et Placé ont préféré leurs ambitions ministérielles à leurs convictions politiques). Toutefois, avant même la rentrée politique officielle, l’été n’aura pas été avare en événements à la fois tragiques et inquiétants, qui ont donné à nos démagogues l’occasion de déverser leurs propos irresponsables.

     

    Nous pensons évidemment au raz-de-marée migratoire, en Méditerranée et en Europe orientale : c’est désormais à flots continus que déferlent des "réfugiés", terme compassionnel à l’emploi mensonger, puisqu’il mêle, à de vrais persécutés politiques que nous nous devons d’accueillir au nom de notre double tradition capétienne et chrétienne, une masse toujours recommencée d’insatisfaits économiques venus profiter des largesses offertes par une Europe prétendument riche. Le problème est que le "migrant", autre terme, qui s’oppose à l’"immigré", au "sans-papier" ou au "clandestin" aux connotations péjoratives, comme pour signifier une nouvelle dimension humaine adaptée au mondialisme, est devenu la figure du Pauvre absolu, incarnation de l’Humanité souffrante, justification d’une gauche qui a dérapé de l’internationalisme au mondialisme et cherche ainsi à dissimuler sa trahison de l’ouvrier français.

    L’angélisme niais de quelques prélats

    Quant à la droite supranationale, elle a toujours favorisé, et favoriserait encore si elle revenait au pouvoir, l’immigration, car elle y voit la possibilité de développer le marché tout en pesant sur les salaires et les conditions de travail. Il faut enfin évoquer l’angélisme niais de quelques prélats dont les positions, comme le déclarait récemment Stéphane Blanchonnet, « aussi paresseuses qu’iréniques – un humanisme déconnecté du réel qui confond la vertu d’hospitalité, qui doit rester individuelle et volontaire, et l’accueil forcé de masses de migrants qui menacent notre culture et notre mode de vie – sont aussi incompréhensibles que suicidaires ». Arrive-t-il aux droits-de-l’hommistes de toutes obédiences de s’interroger sur leur responsabilité morale dans les catastrophes humaines liées à ces déplacements de population ? Tant leurs propos que leur politique constituent de véritables appels d’air dont seuls profitent les passeurs...

    La palme de la bêtise revient à Emmanuelle Cosse, la patronne des écologistes, qui, appelant ouvertement à la libanisation de la France, a prôné sur I-Télé, le mardi 25 août, l’accueil par la France, comme au Liban, de 25 % de sa population en "migrants", soit plus de quinze millions de "réfugiés" ! « Nous sommes un pays extrêmement riche qui a des capacités d’accueil extrêmement fortes. [...] Donnons le message que nous accueillons tout le monde et que nous pouvons leur donner des droits. » Elle qui aspire à devenir en 2017 "cheffe" de l’État – mais le propre de la République n’est-il pas de permettre à n’importe qui d’accéder au poste suprême ? –, sait-elle ce qu’a coûté au Liban, qui en subit toujours les conséquences, l’accueil en trop grand nombre de réfugiés dans les années 1970 ? Et ce que coûtera à ce même pays cette nouvelle déferlante encore plus considérable, alors qu’il traverse une énième crise politique ?

    Les diktats d’Angela Merkel

    Or, cette déclaration irresponsable, notre Premier ministre l’a avalisée, à La Rochelle, le 30 août : les migrants, qui « fuient la guerre, les persécutions, la torture, les oppressions, doivent être accueillis » en France et « traités dignement, abrités, soignés »... aux frais d’une République qui s’apprête à fermer un service d’urgences hospitalières sur dix ? Ce faisant, il ne fait que s’incliner devant les diktats d’Angela Merkel qui, de mère-fouettarde des Grecs, qu’elle condamne à une régression sociale et sanitaire sans précédent, est devenue, contre ses compatriotes qui n’hésitent plus à la conspuer, comme en Saxe le 26 août, la mère Teresa des "réfugiés", osant donner des leçons d’humanité à l’Europe entière, comme dans l’affaire du camion-tombeau trouvé en Autriche. Ou comment se refaire une virginité humanitaire à bon compte auprès de l’opinion publique européenne tout en favorisant l’arrivée d’une main-d’œuvre corvéable à merci – le droit social allemand n’est pas le droit français – dans un pays qui ne fait plus d’enfants. Valls, qui veut faire plaisir à Cameron autant qu’à Merkel, a également annoncé la construction d’un camp de mille cinq cents places à Calais pour 25 millions d’euros, dont 5 payés par l’Europe, c’est-à-dire toujours par nous puisque notre pays est contributeur net au budget européen. Et ce, au seul bénéfice de la politique de contrôle des frontières des Britanniques qui n’appartiennent pas à l’espace Schengen ! Comprenne qui pourra ! Ou plutôt qui s’en donne les moyens. Ce que font apparemment les Hongrois qui, s’étant dotés depuis 2010 d’un gouvernement patriote, ont décidé de prendre à bras-le-corps la question du déferlement migratoire. D’où l’ire de Laurent Fabius, dont les propos imbéciles, ce 31 août, ont provoqué une crise diplomatique entre Paris et Budapest, la Hongrie étant accusée par notre ministre des Affaires étrangères de ne pas « respecte[r] [...] les valeurs communes de l’Europe » pour avoir érigé une clôture à sa frontière avec la Serbie. « Il apparaît que certaines personnes en Europe sont toujours incapables de comprendre quelle pression stupéfiante et dramatique subit la Hongrie du fait de la migration via les Balkans de l’Ouest », lui a rétorqué son homologue hongrois, M. Szijjarto, avant de convoquer un représentant de l’ambassade de France.

    La Hongrie a compris

    Sous prétexte que la solution au problème de l’invasion migratoire serait "européenne", Hollande et Merkel veulent « unifier » le droit d’asile (déclaration commune du 24 août), c’est-à-dire permettre à Bruxelles, sous autorité allemande, de nous imposer des millions de "réfugiés"... La Hongrie a, au contraire, compris que les premières solutions sont nationales puisque Bruxelles favorise cette « pression stupéfiante » au nom d’un mondialisme forcené, ennemi de l’identité des peuples. Ensuite, devront nécessairement venir des solutions non pas "européennes", au sens bruxellois – ou allemand – du terme, mais inter-nationales, c’est-à-dire prises de concert par plusieurs États souverains : européens, africains, proche et moyen-orientaux. Ce qui suppose, évidemment, que la France ait auparavant recouvré son indépendance...

    François Marcilhac - L’Action Française 2915

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?EDITORIAL-DE-L-Action-Francaise,9332