Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1550

  • L’école des déracinés, une atteinte à notre culture

    « La conception du paradis est au fond plus infernale que celle de l’enfer. L’hypothèse d’une félicité parfaite est plus désespérante que celle d’un tourment sans relâche, puisque nous sommes destinés à n’y jamais atteindre. », écrivit un jour Gustave Flaubert à Louise Collet. Ainsi en est-il du rêve de Najat Vallaud-Belkacem, son utopie sera le cimetière de ses ambitions. En souhaitant créer un paradis éducatif d’obédience sociétaliste, tout à fait inatteignable, en plus que d’être dangereux ; elle a parachevé le travail de ses prédécesseurs, et acté la destruction de l’école de la république.

    Au nom du dieu Egalité, Najat Vallaud-Belkacem, et ses sbires, pratiquent la politique de la tabula rasa. Tout doit être sacrifié sur l’autel de l’égalitarisme, tant la vérité historique, que ce qui fait le sentiment d’appartenir à un peuple enraciné. Elle ne hait pas la France, elle la nie. Elle ne hait pas notre histoire, elle pense qu’elle est finie. Jamais, depuis qu’elle est ministre, Najat Vallaud-Belkacem n’a parlé de l’apprentissage, de la transmission des savoirs, et même des savoirs. L’essentiel, pour ces gens, n’est pas d’instruire, mais de rééduquer les élèves pour en faire des êtres jetés-là, des enfants de personne. Il faut égaliser les jeunes pousses de force, toutes les têtes qui dépassent seront raccourcies par la guillotine Terra Nova. Le but recherché n’est donc pas de donner l’égalité des chances, et de réinstaurer la primauté du mérite individuel, mais bien de créer des êtres indifférenciés, sans qualités ni mérites particuliers.

    On pourra au moins reconnaître deux mérites à Najat Vallaud-Belkacem : elle a dévoilé sans artifices le projet du sociétal-libéralisme, et, elle a, par ses outrances, permis l’émergence d’une force contestataire. En effet, nous avons appris, ces derniers jours, que quatre membres du « Conseil supérieur des programmes » ont donné leurs démissions ; en raison de désaccords politiques (et humains) profonds avec les équipes du ministre.

    Il faut dire que le ministère est prêt à tout pour bâtir son paradis artificiel. Annie Genévard, membre démissionnaire, indiquait au journal Le Point que : « Nous avons appris (les membres du CSP) que le cabinet de la ministre intervenait dans nos travaux en amont et sans que la plupart des membres le sachent. Quand, lors d’un déjeuner au ministère, je me suis étonnée de cet interventionnisme, le directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem m’a répondu en citant Edgar Faure sur « l’indépendance dans l’interdépendance. » » Le cabinet du ministère ne veut pas d’opposition. Les instances indépendantes dont il se prévaut, tel le « Conseil supérieur des programmes », n’ont en réalité aucun pouvoir, et ne servent qu’à donner un cachet « scientifique » aux nouvelles mesures.

    Parmi les mesures envisagées, deux d’entre elles témoignent de la psychose qui s’est emparée du ministère. Le premier projet du programme de Français recommandait la parité entre les auteurs femmes et les auteurs hommes ! On peut sans peine imaginer les difficultés qu’aurait pu entraîner un tel délire. Mais ne vous y trompez pas, sans changement radical de direction, une telle absurdité reviendra sur le tapis. L’autre mesure envisagée préconisait de convier les familles d’enfants de « migrants » dans les salles de classe, pour qu’ils parlent leurs langues d’origine devant les élèves, sommés de les écouter les yeux fermés ! Un véritable cauchemar multiculturel antirépublicain, et anti-France. Nous ne pouvons plus les laisser faire, autrement ils détruiront la France à jamais.

    Gabriel Robin – Secrétaire Général

    Lien : http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/najat-vallaud-belkacem-assassine-lecole-publique-francaise,202027

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • La scandaleuse récupération politicienne du drame de Charleston

    La poudre n'était pas encore retombée sur les bancs de l'église de Charleston que tous les média américains reprenaient mot à mot la même antienne sur le racisme des Blancs, sur la nécessité de leur supprimer le libre accès aux armes à feu, de l'urgence de contrôler tout ce qui touche à leur nationalisme, à la défense de l'identité euro-américaine, à leur plus infime respiration ethnique. Comme si en somme la récupération de ce drame affreux était planifiée de longue date parce qu'elle permettrait une fois encore de renforcer les contrôles sur la silencieuse majorité américaine. On ne dira pas que l'événement ait pu être téléguidé, ou comme la bombe d'Oklahoma City voire le 11-Septembre, connu du FBI et de la CIA, mais qu'ils ont probablement laissé faire afin d'en tirer le meilleur parti. En revanche nous imaginons bien à qui profite le crime. A nouveau on a pu vérifier la célérité avec laquelle l'ultra-gauche sait utiliser le moindre forfait commis par un individu solitaire à peau blanche et le retourner contre la majorité caucasienne. Aussitôt les média de sac et de corde de ressortir l'antédiluvienne incantation antiraciste du pauvre noir martyrisé par le vilain blanc. A 2h55 le matin du 18 juin, on pouvait déjà lire ce genre de tweet : « Massacre de Charleston, plus vite on parvient à retirer les armes des Blancs et delà police et mieux nous serons ». Ou bien, une heure plus tôt « Ce qui s'est passé à Charleston va provoquer un débat sur le Second Amendement. Je propose un compromis. Juste enlevez leurs armes aux Blancs ». Obama se précipitant devant le premier micro ne dira pas autre chose les blancs sont des "terroristes" racistes, il faut leur enlever leurs armes. Eux seuls commettent des crimes de masse sur les Noirs. Ces derniers étant, chacun le sait depuis 400 ans, les victimes expiatoires éternelles engendrées par l'esclavage. Il importe peu - nous l'avons écrit si souvent -, qu'outre-Atlantique les Noirs aussi fussent esclavagistes et qu'il fallût des lois pour leur interdire d'exploiter des esclaves Blancs. Peu importe que chaque année, dans un mutisme hermétique, des milliers de Blancs soient tabassés dans les rues américaines par des bandes de jeunes Noirs. Peu importe si le Noir a 47 fois plus de chance que le Blanc de commettre un meurtre, si la plupart des Noirs qui sont tués le sont par des congénères, si ces fameuses "bavures" des policiers Blancs ne sont que de la propagande et que la police tue deux fois plus de Blancs que de Noirs. Or on ne parle jamais des premiers quand on ne cesse de monter en épingle les autres.

    Pourtant les chiffres ne manquent pas

    Il est faux de dénoncer un déferlement de crimes racistes de Blancs contre des Noirs (aux Etats-Unis on dit « hâte crimes » parce que le racisme y est confondu délibérément avec la haine) Ce sont des chiffres publiés par le ministère de la Justice de M. Holder. Entre 2003 et 2008,63 % d'hommes et 37 % de femmes en furent victimes : 61 % de Blancs, 7 % de Noirs et 20 % de Latinos. Entre 2007 et 2011, sous Obama donc, le ratio hommes/femmes avait légèrement bougé : 61 % pour les premiers, 39 % pour les secondes. Quant aux victimes, si les Latinos n'étaient plus que 15 %, les Noirs se retrouvaient à 13 %, leur taux dans la population globale, et les Blancs à 65 % c'est-à-dire légèrement au-dessus de leur représentation.

    Et pourtant la population blanche a bien des raisons d'être excédée par la criminalité des Noirs qui va de pair avec l'élévation de leur niveau social et la place considérable qu'on est en train de leur donner dans la société américaine. Bien au-delà de leurs 13 %. Il suffit de regarder les média, le sport, le cinéma, la police, l'ensemble de l'industrie et de l'administration où la loi impose un quota de 13 % dans les postes de direction, que par crainte des sanctions la plupart ont monté à 15%.

    Toujours selon les statistiques de M. Holder, entre 1980 et 2008, 50,3 % des victimes de meurtres étaient Blanches et 47,4 % Noires (dont 80 % tuées par des Noirs). En revanche 45,7 % des meurtriers étaient Blancs et 52,5 % Noirs. Sera-t-on surpris d'apprendre que les victimes blanches dans 45,5 % des cas seulement et Noires dans 51,4 % ont été tuées par arme à feu ? Alors que 41,2 % des criminels blancs et 56,9 % des criminels noirs en ont utilisé. Ainsi bien qu'ils soient 5 fois moins nombreux que les Blancs, les Africains-Américains, selon le FBI, commettent 8 fois plus de crimes contre les Blancs que ceux-ci n'en commettent contre eux. Hélas, c'est ce contraire justement qui est exploité par les charlatans du pouvoir médiatique. On a calculé qu'un homme noir a quarante fois plus de chances d'agresser un Blanc que de l’être par l'un d'eux. Si les média de masse se taisent, Internet est là, avec des centaines de vidéos qui montrent d'insupportables violences gratuites exercées sur des Caucasiens Blancs isolés par des bandes sauvages ivres de haine. Ceci en plus démontre la perfidie des discours d'Obama. Lequel ne cesse de faire une fixation sur la criminalité par armes à feu des racistes blancs et ne parle jamais de celle des Noirs. Ce serait, il est vrai, convenir qu'il existe un problème de violence paroxystique à l'intérieur de cette communauté. Et pas seulement aux Etats-Unis. Les auteurs des grandes campagnes de divinisation africaine sont aussi responsables d'une véhémence à laquelle répond une autre véhémence née d'exaspérations.

    Tout dépend de la couleur

    Le métis de la Maison-Blanche aura commencé sa tirade de Charleston par un gémissant « J'ai dû faire trop de déclarations de cette sorte. Des communautés comme celle-ci ont dû trop souvent supporter de telles tragédies ». Sauf que lorsqu'il intervient c'est toujours, depuis 7 ans, pour « des tragédies comme celles-ci » dans lesquelles on peut incriminer un Blanc raciste et "maniaque" de la gâchette. Dans les milliers de cas qui, chaque année, remplissent les annales de la Police, majoritairement imputables à des armes à feu détenues - illégalement - par des Noirs, Obama n'intervient pas. Il est muet. Il se tait. A deux reprises il se rendit sur la base de l'US Army de Fort Hood où des militaires avaient tiré sur des collègues. A chaque fois il se livra à un plaidoyer pour la limitation du port d'armes. Ce qui en effet est tout à fait approprié dans des casernes ! Pourtant les deux événements furent traités différemment.

    Dans le premier cas, un officier psychiatre d'origine palestinienne et qui n'avait jamais caché sa détestation de l'Amérique, le major Hasan, tue 13 de ses collègues et en blesse 32. Le discours du président dura trois minutes. Terne. Sans émotion. Il choqua beaucoup d'Américains en niant tout motif idéologique à l’action du meurtrier. Interrogé, le porte-parole de la Maison-Blanche, Camey, s'emporta. La religion et l'idéologie n'avaient rien à voir à l'affaire, Hasan était mécontent de la façon dont le traitait sa hiérarchie. Point.

    Dans le second fait divers, en avril 2013, un sergent porto-ricain, tua trois militaires et en blessa 16. Le ton présidentiel n'était plus le même. « Cette attaque, proféra-t-il, menaçant, est terroriste, sans aucun doute ». Ajoutant « Nous avons mené une guerre outre-mer pendant plus d'une décennie. Mais, hélas, environ 2,6millions de terroristes potentiels vivent parmi nous ». Avec cette précision que les 2,6 millions qui forment cette potentielle 5° Colonne, sont les organisations nationalistes. Le ministre de l'Intérieur avait d'ailleurs en son temps accusé Ron Paul ou l’American Légion d'en faire partie. Obama, lui, désigna nommément l'auteur du massacre, Ivan Lopez, ancien combattant d'Irak, Porto-Ricain parfaitement Blanc.

    Le 22 septembre 2013 il est de nouveau de sortie/obsèques au Navy Yard de Washington. Cinq jours plus tôt, une fusillade a tué 13 personnels de la Marine (11 Blancs, 2 Noirs) et blessé trois autres.

    Le président se fend d'une émouvante homélie, pleine de compassion et d'humanité. Il entrera dans l'intimité de chacun des disparus l'espace d'une ou deux phrases attendrissantes. Soit. Mais il reviendra sans cesse sur son mantra imposé « Aucune nation développée ne subit cette sorte de violence. Aucune. Ici en Amérique le taux des meurtres est trois fois plus élevé que dans les autres nations développées. Le crime par armes à feu est dix fois supérieur. Or cela tient aux décisions que nous prenons ou ne prenons pas. Il nous appartient de décider qu'il en aille autrement ». Le verbe est fait pour prendre aux tripes. Si ce n'est que pas une fois il ne mentionnera le meurtrier ni ne dira de lui qu'il est un terroriste. Qu'il cherche à diviser le pays sur des clivages raciaux. Qu'il n'a pas le sens de la Justice. Aaron Alexis est un ancien Marine qui travaillait comme "contracteur" pour elle. Il n'a eu aucune difficulté à se procurer au noir une Remington 870 dont il aura scié le Canon et un Beretta 9mm volé. Ayant été tué par la police, la justice n'aura pas à s'en mêler et considérera son geste comme celui d'un fou. Obama ne prononcera même pas son nom. Il est vrai Alexis était Africain-Américain. Ça explique...

     

    Jim REEVES. Rivarol du 25 juin 2015

  • Najat Vallaud-Belkacem : et si c’était elle, la plus dangereuse ?

    Najat est une jeune femme qui n’en revient toujours pas d’être arrivée là où elle est. Ses origines, sa jolie frimousse, son mariage avec un haut fonctionnaire, ses dents affûtées et fort longues ainsi que des hasards heureux l’ont propulsée rue de Grenelle.

    Najat Vallaud-Belkacem n’aime pas le latin. Tant pis, on va quand même lui servir une citation : « Errare humanum est, perseverare diabolicum. » Eh oui, Madame, écoutez la sagesse des anciens : faire une erreur est humain, mais persévérer, c’est-à-dire s’y enfoncer, est diabolique.

    Najat est une jeune femme qui n’en revient toujours pas d’être arrivée là où elle est. Ses origines, sa jolie frimousse, son mariage avec un haut fonctionnaire, ses dents affûtées et fort longues ainsi que des hasards heureux l’ont propulsée rue de Grenelle. Exit Benoît Hamon et voilà la protégée de Ségolène Royal devenue ministre de l’Éducation. Et que fait-on, chez nous, quand on est ministre de l’Éducation ? Une réforme qui porte son nom. Et qu’importe si la réforme est désastreuse pour les « apprenants », puisque là n’est pas l’essentiel.

    Lire la suite

  • L'antiracisme : une arme au service de l'oligarchie

    Dans l’histoire, les oligarchies se sont toujours opposées au peuple sur le thème du déracinement. Il importe que l’homme soit une matière première mobile pour l’économie et toute racine est considérée comme une contrainte, que ce soit pour un empereur multinational comme celui des Perses de l’Antiquité, que ce soit pour un dictateur moderne à la Staline ou que ce soit pour des oligarques marchands.

    Antiracisme et culte de l’argent

    Dans notre monde actuel, suite aux excès du matérialisme nazi, l’antiracisme est devenu la base idéologique sur laquelle l’oligarchie espère fonder son autorité. L’antiracisme forme un couple indissociable avec le culte de l’argent car la seule discrimination autorisée dans un monde matérialiste est précisément celle de l’argent. Si vous fondez un club de Blancs exclusifs se retrouvant entre eux (ou un club de Noirs, d’ailleurs, mais c’est moins grave car ils sont une « minorité »), la réprobation, voire la loi s’abattra sur vous et vous serez « puni » ! Mais si vous fondez un club dont la seule condition d’admission est de payer 1.000 voire 5.000 euros par mois, cela ne posera aucun problème aux bonnes consciences officielles. Seul l’argent a le droit de discriminer les hommes.

    L’antiracisme, cœur de l’idéologie du déracinement

    L’antiracisme est le cœur de l’idéologie du déracinement et de ce que Heidegger appelle « la destruction de la Terre », c’est-à-dire la destruction de la base sur laquelle se fonde un habitat humain spécifiquement humain. Le racisme n’est pas la réponse à l’antiracisme car il se meut dans la même sphère du matérialisme : l’homme est une chose au service de la volonté de puissance et doit donc être traité comme une matière première interchangeable. La seule variante est que le racisme espère obtenir l’interchangeabilité des hommes par l’homogénéité biologique obligatoire alors que l’antiracisme espère obtenir l’interchangeabilité grâce au mélange obligatoire. Dans les deux cas figure le mot « obligatoire » car le matérialisme du Gestell (mot de Heidegger pour désigner le système qui arraisonne les hommes à l’utilitarisme) est en fait autoritaire et destructeur des libertés. On le voit bien, le racisme comme l’antiracisme obligatoires, lorsqu’ils sont au pouvoir, étouffent les libertés, à commencer par la liberté d’expression malmenée en France par les lois Gayssot et consorts.

    Religion de l’ego et religion des droits de l’homme

    Antiracisme comme socle et culte de l’argent comme idéal (comme « ciel », dirait Heidegger), le système oligarchique s’oppose aussi à la divinité et à l’humanité. Il s’oppose à la Divinité car la religion est un marqueur ethnique puissant et gêne la volonté de transformer les hommes en matière première interchangeable. Le Gestell divinise l’ego humain car en flattant l’ego des citoyens on peut arriver à les manipuler. C’est ce qu’ont fait les faux prophètes (ouvrage d’Yvan Blot à paraître chez Jean Picollec prochainement) : Voltaire dit aux hommes : soyez votre Dieu ! Rousseau, soyez votre Roi ! Marx, soyez votre patron ! Freud, soyez Don Juan ! La religion de l’ego pompeusement baptisée religion des droits de l’homme a pour but de permettre à l’oligarchie de manipuler les hommes en leur retirant tout sens du sacré.

    La dictature molle : le contrôle des âmes par les médias

    Dès lors, l’homme devient, comme l’écrit Heidegger, un « animal technicisé », un être qui profite de la technique pour satisfaire ses instincts animaux (pas seulement sexuels, il y a aussi la volonté de puissance, par exemple). Sois heureux et tais-toi : tu seras interdit de référendum et d’initiative populaire, tu devras voter pour des hommes choisis par des oligarques que sont les bosses des partis, tu auras une liberté d’expression limitée (censure si tes idées gênent et prison et amende si le juge te juge arbitrairement raciste). Le régime n’est démocratique qu’en façade. Sa réalité est celle d’une oligarchie qui pratique une dictature molle (on recourt le moins possible à la contrainte physique mais on veut s’assurer par les médias le contrôle des âmes).

    L’oligarchie antiraciste est antiraciste comme l’URSS était une démocratie « populaire » : le mot « antiraciste » comme le mot « populaire » sont là pour indiquer qu’on a affaire à une notion taboue : on n’a pas le droit de remettre en cause le pouvoir PARCE QUE il est « populaire » ou « antiraciste ». Par contre, donner la parole au peuple comporte un risque de « populisme » (de remise en cause du pouvoir oligarchique), donc de « racisme » supposé, ce qui permet de verrouiller le système politique en toute bonne conscience.

    Grégariser en déculturant

    Enfin, quatrième caractéristique de l’oligarchie antiraciste : elle veut grégariser à tout prix les hommes et en faire des masses incultes donc manipulables. Inculte ne veut pas dire sans savoir. On veut bien des jeunes spécialisés pour servir l’économie sans broncher. Mais il faut absolument essayer de leur retirer la faculté de juger et pour cela s’attaquer à la culture générale. Le marxisme a servi cet objectif en traitant la culture générale de bourgeoise et créatrice d’inégalités. Mais le système oligarchique marchand exècre aussi la culture générale qui risque de former des hommes libres, des « personnalités ». On ne forme alors plus que des spécialistes, des rouages pour le système au pouvoir : anglais et informatique d’abord !

    On obtient en utilisant les schémas en croix de Heidegger pour approcher l’être du système le schéma suivant :

    Culte de l’argent 
    _
    Ego divinisé _ oligarchie_ masse grégaire
    _
    Antiracisme

    Sur ce schéma, on voit bien que le socle du pouvoir oligarchique est l’antiracisme, lequel à la limite n’a plus grand-chose à voir avec la race puisqu’on parlera de racisme anti-jeunes ou anti-vieux ou anti-féminin ou anti-ouvrier, etc.

    L’argent, idéal du système

    L’idéal du système est incarné par l’argent qui se substitue aux autres formes d’idéaux ; la religion est évacuée au profit du culte de l’ego et l’humanisme classique, qui forme des citoyens libres, est détruit au profit d’une formation technique de spécialistes appelés à devenir des rouages du système. L’aliénation, pour reprendre un mot juste, une fois n’est pas coutume, du marxisme, est alors à son comble. L’idéal est que le citoyen dénationalisé, consommateur matérialiste et interchangeable, aime le régime dans lequel il vit, accepte de ne pas être associé au pouvoir sinon par des simulacres (élections contrôlées étroitement par les chefs de parti) et s’agite au jour le jour, comme l’écrivait Tocqueville dans un écrit prophétique, pour « se procurer de petits et vulgaires plaisirs ». Quant aux oligarques, ils se réservent les plaisirs les plus grands, ceux qui satisfont leur volonté de puissance. C’est ainsi que sur la base de l’antiracisme (faux nez finalement de l’égalitarisme totalitaire), l’oligarchie contrôle les âmes de ceux qu’elle a le culot de nommer encore « citoyens » alors qu’ils sont des sujets, mieux encore, des objets manipulés par le système utilitariste et matérialiste du Gestell. Sans trop de contraintes physiques, le système réussit ainsi à faire de l’homme libre un « animal technicisé », à détruire l’humanisme édifié au cours des siècles en Occident par la synthèse du christianisme et de l’héroïsme antique. Le système est à sa façon totalitaire, même si les formes les plus brutales et primitives du totalitarisme ont aujourd’hui disparu de nos contrées.

    Yvan Blot , 16/10/2010

    Correspondance Polémia – 25/10/2010

    Note de la rédaction : « L’immigration de masse est une absurdité dans un pays avec 4 millions de chômeurs et il est très difficile de la justifier avec des arguments rationnels. L’oligarchie en tire cependant bénéfice. Tout propos qui attente au dogme immigrationniste est donc immédiatement sorti du champ du débat pour être frappé d’anathème. L’oligarchie finance notamment pour cela une myriade de micro-associations dites antiracistes dont les indignations sont complaisamment relayées par son appareil médiatique. » (Commentaire sur Le Monde .fr, à propos de l’affaire Guerlain, 25/10/2010)

    http://archives.polemia.com/article.php?id=3184

  • Parents, la rentrée approche entre idéologie et destruction de la culture

    L'idéologie, c'est celle de Vallaud-Belkacem, insatiable, qui subit encore une démission dans son entourage : 

    "La députée Les Républicains Annie Genevard, membre du Conseil supérieur des programmes (CSP), annonce officiellement sa démission. Elle est la quatrième sur dix-huit membres à claquer la porte. Et à lever le voile, du même coup, sur cette institution créée par la loi Peillon sur la refondation de l'écolequi a suscité de vives polémiques avant l'été à cause de ses choix, notamment sur l'enseignement de l'histoire ou des langues anciennes.

    La démissionnaire dénonce, en premier lieu, la « folie » qui consiste à modifier tous les programmes de la maternelle à la terminale d'un même mouvement. Elle s'insurge ensuite contre la fausse indépendance du CSP, que la loi de 2013 a désigné comme une « instance indépendante placée auprès du ministre ». Une ambiguïté dont n'a cessé de jouer Najat Vallaud-Belkacem. « Nous avons appris que le cabinet de la ministre intervenait dans nos travaux en amont et sans que la plupart des membres le sachent, explique Annie Genevard au Point. Quand, lors d'un déjeuner au ministère, je me suis étonnée de cet interventionnisme, le directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem m'a répondu en citant Edgar Faure sur « l'indépendance dans l'interdépendance ».

    Ainsi, quand la suppression du latin et du grec en tant que disciplines à part entière a provoqué le tollé que l'on sait, la ministre s'est retranchée derrière la prétendue indépendance du CSP, auquel elle a demandé de faire des propositions. « Mais la lettre de saisine contenait déjà la réponse aux questions qu'elle posait, s'insurge la députée. Elle découpait l'enseignement du latin en tranches, entre français pour l'étymologie, l'histoire pour la civilisation et un enseignement complémentaire pour la langue. »

    Le dossier sur le massacre de notre langue, c'est ici et c'est du lourd.  

    VA éc

    Lahire

  • Quand l’État impose une mosquée (Présent 8426)

    Présent nous a autorisé à reproduire l’intégralité de l’interview de Cyril Nauth, maire de Mantes-la-Ville, parue dans son édition de ce jour. Nous les remercions d’autant plus que nos lecteurs connaissent bien cette affaire et les différentes actions menées par le Bloc Identitaire pour lutter contrel’implantation d’une mosquée dans cette commune des Yvelines.

    27/08/2015 – FRANCE (NOVOpress) Dans notre précédente interview du maire FN Cyril Nauth (Présent du 19 mai), la question qui se posait était : y aura-t-il deux mosquées à Mantes-la-Ville ? La bataille juridique évolue, puisque désormais la question est : y aura-t-il un commissariat ou une mosquée ? Opposé au maire, le préfet des Yvelines lui-même, à qui la justice a donné raison vendredi. Une décision qui n’est pas définitive, comme le souligne Cyril Nauth.

    Que répondez-vous à l’accusation de « détournement de pouvoir », expression employée par le juge ? 
    Pour être précis, c’est le motif invoqué par le préfet des Yvelines, Erard Corbin de Mangoux – c’est-à-dire l’État. Dans ce dossier, il ne pouvait guère évoquer que ce motif-là. Ce qu’il faut noter, c’est que cette décision du tribunal administratif de Versailles de suspendre la préemption d’un local, telle que nous l’envisagions, n’est pas définitive. Certains de vos confrères semblent ne pas l’avoir compris. La décision suspend la préemption, ce qui est logique puisque, si elle ne le faisait pas, la mairie ferait sans tarder l’acquisition de l’ancienne trésorerie pour y installer un commissariat. Cette décision provisoire du tribunal n’a donc pas été une grande surprise.

    Avez-vous bon espoir de la décision judiciaire qui sera rendue ultérieurement ? 
    Oui, puisque la décision du 21 août ne préjuge en rien de la décision à venir – sauf si on considère que la justice française, administrative ou pas, est du même acabit que l’État. Je veux croire, encore, qu’il existe une justice indépendante et qui saura prendre de la hauteur par rapport à la position du préfet, qui me semble politique. Il s’est substitué à l’association musulmane pour attaquer ma décision. Je trouve cela regrettable. En ces temps difficiles, l’État n’a rien de mieux à faire que de chercher des poux dans la tête d’un maire ? D’autant que j’ai été élu en partie sur cette opposition au projet de mosquée. Les Mantevillois m’ont confié cette tâche et je suis là pour tenir mes engagements. À la place du projet de mosquée, j’ai proposé un vrai projet d’intérêt général et local de transfert de poste de police municipale.

    Est-ce habituel qu’un préfet s’immisce à ce point dans les projets d’une commune ? 
    En faveur de la création d’un lieu de culte musulman, je ne sais pas si c’est une première ; mais cela doit être peu fréquent. La jurisprudence fait état de cas concernant les Témoins de Jéhovah… En se mêlant de cela, le préfet commet une erreur, voire une faute, puisque c’était à l’association musulmane de contester ma décision, pas à lui. Elle en avait tout à fait le droit : quand un acquéreur potentiel voit s’annoncer une préemption par une collectivité territoriale, il a le droit de contester cette décision. Je m’attendais à une contestation de l’association musulmane, mais elle n’a pas eu à le faire : l’État a mis à sa disposition, en quelque sorte, des avocats et des moyens financiers pour s’opposer à un maire. C’est le plus scandaleux de l’affaire.

    Mi-août, le préfet de l’Hérault s’en est pris à Robert Ménard, maire de Béziers. Ce préfet est un ancien directeur de la DST. Le préfet des Yvelines, lui, a été directeur général de la DGSE. Faut-il y voir un « flicage » à l’égard des maires Front national ? 
    Les préfets, nommés par l’État, sont nécessairement proches du pouvoir. Dans les Yvelines, qui sont un département francilien, on place des gens particulièrement « choisis ». Corbin de Mangoux était présenté comme un « très proche » de Nicolas Sarkozy, qui l’avait nommé à la DGSE alors que sa carrière ne le prédisposait pas à ce type de haute fonction. Il a été nommé préfet des Yvelines par François Hollande en 2013. Pour le coup, la volonté d’imposer des mosquées en France appartient autant à la droite sarkozyste qu’aux socialistes. La question est : dans le cas qui nous occupe, le préfet agit-il de manière autonome ou est-ce un ordre qui vient d’en haut, voire de très haut ? Je n’ai pas la réponse.

    Les Yvelines connaîtraient-elles la tentation de la dhimmitude ? 
    Pierre Bédier, président LR du conseil général des Yvelines, est une personnalité importante des Yvelines, or il a toujours joué le jeu du communautarisme et de l’électoralisme avec les musulmans. D’où les deux grandes et « belles » mosquées de Mantes-la-Jolie… Il est tout à fait possible que le préfet joue le même jeu. Depuis le mois de juin, le département a même un CIMY, c’est-à-dire un Conseil des institutions musulmanes des Yvelines ! C’est une première en France, et ce conseil a été créé à l’instigation du préfet. Sans surprise, figure dans ce CIMY Abdelaziz El Jaouhari, qui n’est autre que le président de l’association musulmane avec laquelle je suis en conflit, la MMS. Or le préfet a publié sur son compte Twitter officiel, le 9 juillet dernier, une photo qui le montre partageant le repas de rupture du jeûne avec… Abdelaziz El Jaouhari, à la même table. Un nouveau préfet des Yvelines, Serge Morvan, a été installé tout récemment, le mardi 25 août précisément. Le départ d’Erard Corbin de Mangoux va-t-il modifier la donne ? L’affaire est très engagée et je ne vois pas pourquoi le nouveau préfet irait à l’encontre de son prédécesseur, d’autant que lui est un proche des socialistes. Mon espoir est que Serge Morvan soit moins proche de Pierre Bédier, avec lequel je suis en conflit sur d’autres sujets, notamment sur des subventions dues par le département à Mantes-la-Ville, qui s’élèvent à trois millions d’euros et que Pierre Bédier bloque. Il se croit tout permis depuis que l’UMP a fait un grand chelem électoral dans les Yvelines aux élections départementales.

    La procédure judiciaire va donc suivre son cours ? 
    Nous attendons une décision en première instance. Si elle nous est défavorable, nous ferons appel, mais cela ne laissera que peu de répit. La procédure choisie par le préfet est celle du référé, qui est une procédure d’urgence : non seulement on veut imposer quelque chose aux Mantevillois, mais on veut l’imposer de manière rapide. Si la justice allait dans le même sens que l’Etat, l’association musulmane acquerrait sans tarder le local, peut-être avant la fin de l’année 2015. Nous nous lancerions alors dans une autre bataille, celle du permis de construire. Les questions urbanistiques que soulève le projet de mosquée sont nombreuses, nous ne ferons pas de cadeaux. Il faut bien comprendre que, dans le droit français, il n’y a aucun moyen de s’opposer à la construction d’un lieu de culte, quel qu’il soit. Le domaine urbanistique est le seul sur lequel on puisse se battre.
    Je précise cela pour ceux qui seraient tentés d’accuser les élus du Front national d’être trop tendres vis-à-vis de l’islam : nos moyens d’action sont limités.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/191440/letat-impose-mosquee-present-8426/#more-191440

  • welcome

     merci, Esther...(1)

    "La mairie de Paris "n'envisage pas" l'expulsion de la centaine de migrants qui occupe depuis vendredi un lycée hôtelier désaffecté à Paris, a annoncé aujourd'hui le premier adjoint Bruno Julliard. "Nous n'envisageons pas d'expulsion, même si les locaux ne sont pas adaptés", a déclaré Bruno Julliard lors d'une conférence de presse. Il a précisé qu'une équipe technique de la ville allait se rendre sur place prochainement pour "vérifier la salubrité et la sécurité" du lieu. L'adjoint a cité l'attitude "constructive" des migrants lors d'une rencontre avec des élus vendredi et la politique municipale d'"accueil" et de "solidarité" pour justifier le refus de recourir aux forces de l'ordre, "même si cette occupation s'est faite dans l'illégalité". Après avoir occupé le local de l'association féministe Ni putes ni soumises (NPNS), les migrants ont investi vendredi en fin d'après-midi l'ancien lycée hôtelier désaffecté, situé rue Jean Quarré (XIXe arrondissement). Bruno Julliard a indiqué que le site, qui devait reconverti en médiathèque, ferait finalement partie d'une liste de "bâtiments intercalaires", dont est propriétaire la ville de Paris "qui ne seront pas occupés pendant un certain temps", et seront proposés à l'Etat pour l'hébergement d'urgence.

    Près de 1.300 places d'hébergement d'urgence créées depuis début juin

    Ces lieux constitueraient une alternative aux centres d'hébergement existants, occupés aujourd'hui à "100%". La mairie de Paris dit avoir créé un peu moins de 1.300 places d'hébergement d'urgence depuis début juin et ne pas disposer actuellement d'estimation du nombre de migrants présents dans la capitale."Figaro

    **************************************************************************************

    Finalement, tous ces crétins libéraux-libertaires sont sans doute une bénédiction. Je m'explique: depuis des décennies, des millions d'étrangers rentrent en Europe clandestinement ou pas contribuant, nolens volens, au chaos et à l'ensauvagement croissant de nos contrées et ce avec l'assentiment de la quasi-totalité des oligarchies politiques, économiques, médiatiques et cultureuses européennes qui ne cessent de nier ou de minorer les effets ravageurs de ces vagues migratoires successives (j'entendais ce matin encore sur Radiofrance un journaleux quelconque claironner que l'"Europe aurait besoin dans prochaines décennies de millions de migrants").

    Rien de mieux que le silence des agneaux et quelques chefs d'œuvres genre "Welcome" ou "Samba" pour faire passer sans trop de dommage ces politiques désastreuses pensées dans le silence des cabinets ministériels (2) ou l'entre-soi des cénacles journalistiques (3)...

    Rien de pire, en revanche, que le chaos migratoire contemporain incontrôlé, bruyant et violent qui s'étale à la une des tabloïds et qui oblige tous ces cafards à "prendre position", et à dire clairement leur soutien inconditionnel (leur amour, même) à ces centaines de milliers de clandestins extra-européens alors même qu'ils ne montrent aucune considération à l'égard de leurs compatriotes français dans la merde ou des autres européens.

    «  La botte souveraine de la réalité, disait le vieux Léon. Les censeurs, les idéologues, les inquisiteurs de la pensée libre travestissent la réalité, la badigeonnent de leurs mensonges, traînent en justice ceux qui osent égratigner les façades peinturlurées. Et puis un jour, on entend un bruit de plus en plus proche, un fracas puissant qu'on ne parvient plus à étouffer, géante, irrésistible, « la botte souveraine de la réalité » vient, s'impose. Le contreplaqué de mensonges s'écroule, le glapissement des folliculaires stipendiés s'étrangle, les mots prostitués retrouvent leur sens. La réalité se dresse devant nous, irréfutable. Bien vu, camarade Trotski ! » Andrei Makine, 2005.

    Tous ces Samba:) sont ce "fracas puissant qu'on ne parvient plus à étouffer" et que prennent dans la gueule ces millions de moutons partout en Europe qui remettent en selle, septennat après septennat et quinquennat après quinquennat les mêmes classes politiques corrompues et traîtres à leur patrie.

    Welcome, donc!

    (1) En octobre 2013 commentant l'affaire Leonarda, elle déclare :« Moi qui pensais que la France n'avait pas perdu la mémoire de sa sombre histoire, j'étais loin d'imaginer qu'en 2013, en tant que parlementaire, élue du peuple, je serais témoin d'une rafle. Car oui, il faut bien le dire, c'est une rafle. »

    (2)  "Andrew Neather, qui rédigeait les discours de Tony Blair, Jack Straw et David Blunkett, a fait une révélation de taille, dans l’émission Question Time de la BBC. Il a en effet dévoilé que l’énorme augmentation de l’immigration durant la dernière décennie était une politique délibérée et organisée par les Travaillistes afin de modifier la constitution ethnique de la Grande Bretagne : « Outre les besoins du marché du travail, il y avait également une motivation « politique » derrière la politique d’immigration. [Les ministres entendaient] mettre le nez des conservateurs dans la diversité ». Cet apparatchik de premier rang a précisé que les dirigeants travaillistes avaient opéré secrètement, craignant que cette politique ne perturbe « la classe ouvrière qui est son vivier électoral ». Les vraies raisons, qui figuraient dans les premières versions du rapport Performance and Innovation Unit, rédigé par Downing street, ont été supprimées dans la version finale du document afin de ne pas révéler cette politique délibérée et organisée. Selon lui, « l’immigration de masse était pour le gouvernement le moyen de rendre le Royaume Uni totalement multiculturel. Cette politique délibérée a duré de 2000 au moins jusqu’au mois de mai 2008, date à laquelle on a mis en place le nouveau système de points.» Ce qui a entraîné l’arrivée, selon le think tank Migration Watch, de plus de trois millions de nouveaux immigrés. " (Faits et documents 15-30/11/09)

    (3) JK Kahn dans ses oeuvres

    http://hoplite.hautetfort.com/

  • En Afrique du Sud aussi les cafards de la gauche médiatique tiennent le haut du pavé

    Le 26 mai la chaîne d'Etat, la South African Broadcasting Corporation, truffée de kollabos libéraux blancs à la totale dévotion de l'ANC s'inquiétait brusquement de l'engouement pour la pétition en faveur des Blancs persécutés en Afrique du Sud qui s'était emparé de l'Internet. Ne pouvant l'interdire il s'agissait pour le pouvoir et ses sbires de faire tout ce qui leur était possible pour empêcher qu'elle ne s'étende. Ce matin-là la domestique blanche de service officiant dans le programme Morning Live qui, quotidiennement porte aux nues la "diversité" et stigmatise l'apartheid et le racisme blanc, débattait sur cette pétition qui secoue l'Afrique du Sud blanche depuis quelques semaines. Deux invités. Angel Jones d'abord, économiste et publicitaire. L'essentiel de sa carrière s'est déroulée à l'agence de publicité juive londonienne de Saatchi&Saatchi. Elle a créé et dirige désormais une association qui a pour but de faire revenir en Afrique du Sud, à la demande du gouvernement noir enfoncé dans son chaos, le maximum de cadres disséminés dans le monde. Le second est notre ami Dan Roodt, fondateur de Praag, le dernier mouvement identitaire afrikaner vraiment efficace existant encore dans le pays. Un universitaire qui combattit jadis le développement séparé légué par Hendrik Verwoerd et qui depuis que le pays a été désintégré par les communistes et les analphabètes de l'ANC a effectué un virage à 360 degrés. La parole lui sera peu donnée, alors que sa position est forcément équivoque : il participe activement à la défense et au renouveau de la nation et de la culture afrikaner et ne saurait se réjouir de la fuite des élites blanches. En même temps il soutient une démarche qu'il estime justifiée par l'état de déréliction dans lequel se trouvent une grande partie des Afrikaners, boucs émissaires de la nation arc-en-ciel et baromètre tragique du racisme d'Etat qui infeste ce pays.

    Face à lui par conséquent, deux vipères blanches, adoratrices de Mandela et, bien entendu, indignées par le thème de la pétition et,surtout, par son succès inattendu. C'est d'ailleurs à Jones qu'est aussitôt donnée la parole par la présentatrice « Je suis furibarde s'enflamme-t-elle aussitôt. Je ne supporte pas l’expression « nettoyage ethnique sont des sornettes, ce genre de foutaises qui souillent l'image de l’Afrique du Sud à l'étranger et abîment toutes les belles réalisations réussie dans ce pays depuis 20 ans. » Et d'enfoncer le clou cher aux bourgeoises libérales enfermées dans leurs beaux quartiers, qui prêchent la tolérance à longueur d'interviews mais dégoulinent de sectarisme et d'intransigeance, se répandant en jugement insultants pour tous ceux qui ne partagent pas leur doxa. « Ces brochettes d'abrutis, ces gens qui diffusent ces inepties et qu'à l'extérieur de l'Afrique du Sud ceux qui n'y sont jamais allés, prennent pour paroles d'Evangile » C'est en effet à se demander où vit cette dame. Dans quelle tour d'ivoire de Pretoria ou de Johannesburg ? Dans quels quartiers luxueux sévèrement gardés du Cap où se presse une faune glauque et friquée évadée du monde pourri du spectacle, de la mode, du luxe, qui virevolte entre Marrakech, les Iles de la mer Tyrrhénienne ou les zones protégées de la Méditerranée, des Alpes et de l’ouest californien. Elle n'a jamais entendu parler des centaines de milliers d'Afrikaners qui survivent dans des taudis parce que la politique "d'empowerment" les a expulsés de leurs emplois, des plus de 4 000 fermiers torturés et mis à mort par des bandes formées à la violence et aux slogans de haine de l'ANC, des 70 000 Blancs assassinés au cours des 20 dernières années parce qu'ils étaient Blancs et pas parce qu'ils avaient une belle voiture. Des "inepties" ! Ailleurs, elle prendra prétexte des 360 000 personnes qui seraient "revenues" au pays oubliant de mentionner qu'aucun de ceux qui furent accueillis en Australie ne l'ont quittée. Que la plupart des adeptes de cette "alya" avaient tenté l'aventure européenne ou américaine et durent s'en aller leur visa expiré.

    Mais surtout, on apprend en parcourant les sites de son organisation La Révolution du Retour-Africa, que la plupart de ceux qui ont écouté son message sont en réalité des cadres africains qui avaient fui le chaos dans lequel a sombré l'Afrique australe, du Nigeria au Cap. « Vous êtes un technicien africain et vous voulez rentrer au pays ou dans les affaires et vous cherchez un professionnel africain de haut niveau, entrez en contact avec HomecomingRevolution. » 

    « Je ne vois aucun sentiment anti-Blancs, de quelque nature qu'il soit », poursuivit-elle.

    « Les Blancs ne sont pas les bienvenus ici »

    Roodt rétablira un peu les faits. L'expression « nettoyage ethnique » peut paraître rude, à certains mais quand on s'intéresse « à la législation anti-Blancs, les mesures allant dans ce sens, il, semble bien que sur le long terme ceux-ci ne sont pas les bienvenus en Afrique du Sud et qu’ils devraient trouver quelque autre place dans le monde ». Il fera d'ailleurs remarquer que l'Union Européenne soutient massivement les régimes racistes anti-Blancs. Mugabe, par exemple, vient de recevoir 1 milliard d'euros, alors qu'en visite en Afrique du Sud il ne manqua pas de remarquer « qu'on voyait beaucoup trop de faces blanches par ici ». En effet ils les a pratiquement toutes éliminées chez lui au prix de la famine et du chaos. Roodt rappellera qu'au moment où il parle, on interdit la langue afrikaans dans les écoles jusque-là fréquentées par les écoliers afrikaners et métis auxquels les tartuffes de la « nation arc-en-ciel » veulent imposer l'usage de l'anglais. D'innombrables monuments historiques symboles de la nation afrikaner sont souillés et profanés, souvent en plein jour, par des responsables politiques comme Malema. Au cours des récents congrès syndicalistes, monopolisés par les Noirs radicaux, des discours incendiaires ont exigé la disparition de tous les Blancs des postes de responsabilité.

    Après, les idiotes de gauche comme cette Jones peuvent jouer les naïves émerveillées par la Diversité, battre des mains avec enthousiasme lorsque le dernier refuge des Blancs solidement campés à gauche, l'Alliance Démocratique, financée par la famille Oppenheimer, se donne finalement un président africain et s'indigner qu'il y ait des Afrikaners pour étaler sur la place publique leur espoir de trouver un pays plus accueillant à leur race. Il n'empêche, elle fera comme les autres et si ses riches amis noirs ne lui ont pas encore fourni un cercueil capitonné, il lui restera peut-être juste assez de temps pour boucler sa valise.

    Elle conclura d'ailleurs sa péroraison sur une argumentation d'une stupidité abyssale : « nous sommes tous des êtres humains finalement issus du même berceau africain et notre destinée est de vivre ensemble »...

    Dan Roodt rappellera néanmoins à la donzelle que le Docteur Gregory Stanton, qui est une autorité morale mondialement reconnue, fondateur et président de Génocide Watch, en décembre 2014 déclarait que si le processus de génocide n'était pas encore en cours en Afrique du Sud, il n'en était pas moins une menace sérieuse et imminente. Au demeurant seul Génocide Watch, qui n'a jamais eu aucun accès aux média de France, s'est préoccupé de cette question. Ni Amnesty International, ni Human Rights Watch (George Soros) qui monopolisent nos antennes et nos écrans dès que meurt un enfant basané et ont pignon sur rue en Afrique du Sud ne sont intervenus depuis 20 ans sur les massacres et le racisme visant les Blancs. Perpétrés à 95 % par des Noirs. Mme Jones, comme ses acolytes progressistes, ignore à l'évidence ces faits.

     

    Jim REEVES. Rivarol du 25 juin 2015 

  • Et pendant ce temps à Mantes-la-Ville, la justice préfère une mosquée à un poste de police…

     

    Triste épilogue pour le combat qu’a mené le maire de Mantes-la-Ville, Cyril Nauth, contre l’implantation d’une mosquée sur sa commune. La justice a annulé son projet de transformer le local pressenti en commissariat municipal.

    En plus de l’action du maire FN de la commune, les militants du bloc Identitaire se sont mobilisés à plusieurs reprises contre ce projet. On se souvient de l’action sous le slogan de « Pas de mosquée chez moi ! » exprimant la volonté de la majorité de la population ou d’un tractage dénonçant l’action du maire de la commune voisine de Buchelay – et président de la Communauté d’Agglomérations de Mantes Yvelines — en faveur de ce projet.

    Alors que les voix s’élèvent toujours plus nombreuses contre les dangers de l’islamisation – dont nous avons encore eu ce week-end une manifestation violente—, il est scandaleux que celle-ci se poursuive au forceps, contre la volonté des représentants élus et de la population qu’ils représentent.

    http://fr.novopress.info/

  • Il n'y aura pas toujours des héros

    Un article lu sur le blog de Mathieu Bock-Côté, sociologue, repris sur le site deCauseur, sur la tentative d'attentat dans le train reliant Amsterdam à Paris. Extraits :

    "[...]Comme d’habitude, on nous sort la même excuse: c’était un paumé, un exclu, un taré. Son avocate en a rajouté: c’était un clochard, un pauvre hère qui aurait trouvé un sac plein d’armesdans une gare et qui aurait eu soudainement l’idée de rançonner les passagers. C’est à tout le moins la ligne de défense suivie par son avocate. Un peu plus et elle en fera une victime. Les autorités belges ne se sont pas laissé bluffer par une telle rhétorique: c’est de terrorisme dont il est question. Le pouvoir socialiste, en France, s’est montré plus timoré. On ne feindra pas la surprise.

    On ne semble pas comprendre, dans la société occidentale contemporaine, que la force d’une idéologie radicale comme l’islamisme vient justement de sa capacité à exciter et fanatiser les éléments antisociaux à son avantage, ceux qui cherchent souvent une raison de verser dans la violence. L’islamisme radical, pour emprunter les mots de Jean Baechler, excite la «canaille» et transfigure son nihilisme au service d’une cause. La révolution islamiste n’avance pas en misant sur les classes moyennes bedonnantes. Il suffirait de lire les grands stratèges révolutionnaires pour constater qu’ils en étaient les premiers conscients.

    C’est l’intervention providentielle de trois marines américains qui a permis d’éviter la catastrophe. Ils n’étaient évidemment pas en service, mais manifestement, leur entrainement n’était pas loin. En eux, le ressort civique était bien tendu. Ils ont risqué leur vie pour sauver la vie des autres.[...]

    Une chose est néanmoins certaine : il n’y aura pas toujours des héros.Je devine qu’il faut s’y faire : demain, après-demain ou l’an prochain, un terroriste islamiste entrera dans un wagon de train, ou dans un supermarché, puis il tirera sur tout ce qui bouge. À moins que les services de sécurité ne l’attrapent à temps et s’ajustent pleinement à la menace djihadiste. Et encore là, on sait bien que certains traverseront les mailles du filet sécuritaire, qui par-dessus tout, gâchera surtout la vie de ceux qu’il doit protéger.

    Thibault de Montbrial, dans son livre très convaincant Le sursaut ou le chaos (Plon, 2015), a dit les choses clairement: la France est en guerre. On dira la même chose de toutes les sociétés occidentales. On n’en tirera aucun slogan. Mais on comprend assurément que nous avons changé d’époque et que le sursaut espéré prendra d’abord le visage d’une grande lucidité. Il faudra savoir nommer l’ennemi. Il faudra aussi savoir réveiller les vertus nécessaires aux temps difficiles. Naturellement, personne ne sait vraiment comment s’y prendre. On ne fait pas la guerre paisiblement."

    Marie Bethanie