Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1592

  • Explosions de Berre-L'Etang : il s'agit bien d'un attentat

    Un dispositif de mise à feu de type électrique a été retrouvé et le grillageentourant le site classé Seveso avait été cisaillé à plusieurs endroits. Il faut se pincer pour croire aux dires d'une source proche de l’enquête :

    "Cela peut être une vengeance liée à un conflit social, un licenciement. Des individus d’une boîte concurrente voulant déstabiliser LyondellBasell.Un voisin lassé par l’odeur et les nuisances du site. Un ou plusieurs activistes voulant prouver que les sites Seveso sont mal protégés. C’est très très ouvert et, pour l’instant, nous avons peu d’éléments exploitables puisque tout est carbonisé."

    Selon Libération, l’hypothèse d’une action jihadiste n’est, pour l’heure, pas privilégiée.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dhimmi-taliens : Caritas veut organiser la colonisation des clandestins

    Face à l’opposition croissante que suscite le flot ininterrompu de clandestins en Italie, Caritas souhaite les répartir sur tout le territoire.

    La Caritas (le Secours catholique italien) est depuis des années le fer de lance du lobby immigrationniste. Elle a par exemple coorganisé la campagne « L’Italia Sono Anch’Io » pour le vote des immigrés et l’adoption du droit du sol. Elle travaille de toutes ses forces à culpabiliser les Italiens de souche en leur faisant une obligation d’accueillir sans limites tous les clandestins.
    Face à l’opposition croissante que suscite le flot ininterrompu des débarquements de clandestins, les branches de la Caritas dans tous les diocèses de Lombardie (Milan, Bergame, Brescia, Côme, Crema, Crémone, Lodi, Mantoue, Pavie et Vigevano) viennent donc de publier un long communiqué, « Le phénomène migratoire et les communautés chrétiennes de Lombardie ». Le texte, « rédigé en collaboration avec Mgr Erminio De Scalzi, évêque délégué de la Conférence épiscopale lombarde », est repris sur les sites officiels des diocèses. La presse locale en donne les principaux extraits.

    Les Caritas diocésaines et l’évêque De Scalzi affirment « ne pouvoir se taire devant les campagnes médiatiques trompeuses qui soufflent sur le feu de la peur et qui ôtent sa lucidité à l’opinion publique » – non, ce n’est pas de la propagande immigrationniste que parlent ces prélats.

    Nous dénonçons l’immoralité d’une certaine rhétorique politique qui, en redoutant des “invasions” et en définissant tous les réfugiés comme “des clandestins”, finit par autoriser le citoyen à ne plus se sentir coresponsable de l’accueil

    Car « le citoyen », bien sûr, est « coresponsable de l’accueil » !
    La solution contre ces méchantes gens qui osent redouter une invasion ? « Les Caritas de Lombardie, soutenues par leurs évêques respectifs, lancent un appel pour que les paroisses mettent à disposition des espaces adéquats pour un accueil réparti sur tout le territoire. La présence d’unités [de clandestins] peu nombreuses dans nos communautés paroissiales favorise une approche plus sereine de la part de la population, un vivre-Ensemble mieux accepté et soutenu par le volontariat ». Bref, il faut organiser la colonisation.

    Matteo Salvini, secrétaire de la Ligue du Nord, a commenté ironiquement sur twitter : « Les Caritas lombardes invitent les paroisses à accueillir des immigrés : peut-être parce que les clandestins rapportent plus que les pauvres chômeurs italiens ? »
    L’explication financière est effectivement la première qui vienne à l’esprit. En mai 2011, alors que le déferlement migratoire consécutif au « printemps arabe » ne faisait que commencer, l’hebdomadaire Panorama Economy avait déjà souligné que « le business de l’accueil aux immigrés ne connaît pas la crise ». Plus tard, en 2013, La Repubblica avait publié deux grandes enquêtes : « Le grand business des centres d’accueil : leur gestion devient une mine d’or » (octobre 2013) et « Ce business de deux millions par jour sur le dos des migrants : plus il en arrive, plus ils gagnent » (décembre 2013).
    Le gouvernement italien verse de trente à quarante-cinq euros par immigré et par jour (soixante-dix pour les mineurs) aux différents centres d’accueil – il en existe toute une gamme –, dont la gestion est attribuée après appel d’offres. La Caritas et la nébuleuse des associations catholiques se taillent la part du lion.

    L’appât du gain n’est pourtant pas le seul : il y a celui de la chair fraîche. Voici un an, le directeur de la Caritas diocésaine de Trapani, en Sicile, Mgr Sergio Librizzi, grande autorité immigrationniste, membre très influent de la commission préfectoralechargée d’attribuer le statut de réfugié politique, était arrêté, pour avoir contraint des clandestins à des rapports homosexuels, en échange d’un permis de séjour ou du statut de réfugié politique. L’instruction, toujours en cours, continue à produire son lot de révélations.

    L’ancien évêque de Trapani, Mgr Francesco Micciché, a ainsi été convaincu d’avoir sciemment couvert Librizzi, son complice dans une gigantesque affaire de détournement de fonds qui tournait autour de la Caritas diocésaine. Le mois dernier, les enquêteurs ont découvert sur l’ordinateur de l’évêque une impressionnante collection de photos pédopornographiques.

    À peu près au même moment éclatait le scandale de l’abbé Gregorio Vitali, recteur du sanctuaire de la Madonna della Bozzola de Garlasco, « un des prêtres les plus en vue du diocèse de Vigevano » – un des diocèses lombards où la Caritas appelle à disséminer les frères migrants : deux Roms le faisaient chanter après l’avoir filmé dans des orgies gay. Un réseau de prostitution masculine était organisé autour du sanctuaire. Le Recteur avait déjà payé 150.000 euros aux maîtres-chanteurs, qui lui en réclamaient 250.000 de plus.

    Il serait certes absurde de généraliser, mais on peut quand même se demander si tous ces immigrés africains, une fois installés dans chaque presbytère de Lombardie, seraient vraiment perdus pour tout le monde…

    Flavien Blanchon

    http://fr.novopress.info/190540/dhimmi-taliens-caritas-veut-organiser-colonisation-clandestins/#more-190540

  • Prisons : une "minorité" qui fait la loi

    Lu dans Minute :

    "Ce pourrait être une histoire belge mais ce ne serait pas la plus drôle. Plusieurs médias ont rapporté l’affaire se déroulant à Nivelles, dans le Brabant wallon, et le témoignage d’une quinquagénaire, Liliane. Depuis quelques mois, cette femme rend visite chaque semaine à son fils, incarcéré dans la prison de la commune. Dans les différents articles, celle-ci précise: « Je fais toujours attention à ce que je mets. C’est une prison d’hommes, avec une salle de visite remplie d’hommes. Je ne veux pas attiser les regards. Si j’y vais, je suis en pantalon et sans décolleté ».

    Voici dix jours, la canicule sévissant aussi chez nos voisins, la mère de famille a eu l’impudence, et manifestement l’imprudence, de se présenter avec une robe « longue, vraiment très longue », précise-t-elle, « sans décolleté, mais avec des bretelles. Mes épaules étaient donc découvertes ». A l’issue de cette visite, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’une gardienne lui expliqua qu’elle ne devait plus se présenter ainsi. « Elle s’est justifiée en me disant que d’autres femmes de détenus ne voulaient pas voir une femme aux bras dénudés dans la salle de visite, a fortiori en période de ramadan », raconte Liliane qui poursuit : «La gardienne a ajouté qu’il vaudrait mieux que je le fasse, parce que mon fils pourrait en subir les représailles. »

    Face aux demandes d’explication de la femme qui en a pleuré – «Je me sentais violée dans mon intimité, traitée comme une fille de rue » – puis des médias, un porte-parole des établissements pénitentiaires a affirmé qu’il n’y avait aucune mesure particulière liée à la période de ramadan ou aux réclamations de certains détenus. Mais Liliane ne décolère pas : « J’en veux à ceux qui dirigent et qui imposent ce genre de règlement. Je ne comprends qu’on fasse une règle absolue applicable à tout le monde pour ne pas choquer une minorité ». Une minorité, en prison, vous êtes sûre Liliane ?"

    Michel Janva

  • Le triste bilan d’une crise européenne.

    Les derniers jours ont été éprouvants pour qui considère que la vie des sociétés et des personnes ne se limite pas à un taux de croissance ou à quelques statistiques, et pour qui suit le dramatique feuilleton grec ou, plus largement et exactement, européen.

     

    L’Europe punitive...

    La volonté de quelques États de la zone euro, dont le plus puissant est incontestablement l’Allemagne, de briser la souveraineté grecque pour se venger de celui, M. Tsipras, qui a cherché à desserrer la mâchoire de fer de l’ordo-libéralisme, a rendu plus visible que jamais le côté « tyrannique » d’une Union européenne construite « hors-peuples » et plutôt amnésique quand cela l’arrange... Le rappel de la chance donnée à l’Allemagne en 1953 par la remise d’une grande partie de sa dette publique n’a guère ébranlé les gouvernements européens, et, même, les a agacés : pour beaucoup d’européistes, se souvenir de cette histoire-là et prôner une même solution pour l’État hellène, adaptée aux temps actuels et à ce pays précis, apparaît presque comme une sorte de revanchisme belligène ! Ce blocage mental de la part de l’Union qui se prétend européenne n’est guère rassurant, et ferait frémir un Bainville qui avait cette longue mémoire et cette compréhension intime d’une histoire qui ne doit pas se contenter d’être le récit des temps anciens.

    Néanmoins, l’histoire est cruelle et elle a tendance à se venger de qui la néglige : la France pourrait bien en faire les frais d’ici peu de temps, si elle n’y prend garde !

    Pour l’heure, c’est la Grèce qui souffrira un peu plus encore, et si la politique allemande semble triompher, c’est plus largement le libéralisme et l’économique qui motivent les eurocrates de Bruxelles, aux dépens des États et des peuples, selon la logique dont on me sait l’ennemi acharné, ce franklinisme qui énonce gravement, cléricalement même, « Time is money » : mais quand l’Argent devient la seule valeur dominante en économie, que le travail en devient l’esclave et que les personnes en sont « les variables d’ajustement », c’est trop souvent l’injustice sociale qui s’invite au bal ! Trop souvent, mais pas forcément automatiquement : si les États restent forts, sûrs d’eux-mêmes, volontaires mais aussi soucieux de leurs devoirs sociaux, ils peuvent encore agir et préserver les intérêts de la nation et de leurs citoyens ; mais s’ils sont affaiblis, ou qu’ils doutent d’eux-mêmes et se contentent d’être des administrations ou de simples relais des féodalités économiques ou financières, ils deviennent détestables et aussi tatillons qu’ils sont politiquement impuissants... [...]

    La suite sur le blog de Jean-Philippe Chauvin

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-triste-bilan-d-une-crise

  • Marine Le Pen compare la zone euro à "une secte où on meurt à petit feu"

    La présidente du Front national a dénoncé l'accord sur un troisième plan d'aide à la Grèce, lundi 13 juillet, en renouvelant ses vives critiques à l'euro.

    Marine Le Pen dénonce avec véhémence l'accord sur un troisième plan d'aide accordé à la Grèce. "La réalité, c'est que les Grecs passent à l'abattoir", résume la présidente du Front national, lundi 13 juillet. En guerre contre l'existence même de l'euro, elle dénonce une "monnaie religieuse, [une] monnaie sacrificielle, [une] monnaie vaudoue, à laquelle tout doit être sacrifié, y compris les peuples, leur démocratie et leur prospérité. On ne sort pas d'une secte, poursuit-elle, en évoquant la zone euro, on y meurt à petit feu après y avoir perdu sa liberté, sa raison et sa chemise."

    Marine Le Pen dénonce une facture salée pour la France

    Marine Le Pen a également dénoncé la création annoncée d'un fonds regroupant des actifs grecs à hauteur de 50 milliards d'euros, afin de garantir les privatisations promises. Il y aura "une facture pour les Français de 16 milliards d'euros d'endettement supplémentaire, pris dans la poche des contribuables français, jetés dans le feu de la dette", selon la dirigeante d'extrême droite. François Hollande "ment aux Français en laissant penser que cette opération sera indolore pour eux. Pouvons-nous nous permettre ce nouvel endettement ? Nous cumulons déjà 2 000 milliards d'euros de dette".

    source : Francetv info :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFylypEFETuwESYgm.shtml

  • Prix « Charlemagne » 2015…

    L’union européenne prétend régir la vie de centaines de millions d’européens. Mais connaissez-vous les fondateurs et promoteurs de l’EU ? Attention, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne serait pas que fortuite !

     

    http://gollnisch.com/2015/07/14/prix-charlemagne-2015/

  • Prix « Charlemagne » 2015…

    L’union européenne prétend régir la vie de centaines de millions d’européens. Mais connaissez-vous les fondateurs et promoteurs de l’EU ? Attention, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne serait pas que fortuite !

     

    http://gollnisch.com/2015/07/14/prix-charlemagne-2015/

  • TAFTA : Le scandaleux forcing du président Schulz au Parlement européen

     

    Source : ilFattoQuotidiano.fr

    Cette fois, Martin Schulz n’y est pas allé par quatre chemins. Il ne lui a pas suffi de faire le forcing pour reporter le vote sur le TTIP (Grand Traité transatlantique, ou TAFTA) le mois dernier. Aujourd’hui, interprétant librement le règlement, le président du Parlement européen est allé jusqu’à interdire le vote d’un amendement contre la clause des tribunaux arbitraux privés proposée par le Mouvement 5 Étoiles. Le plan des grandes multinationales et des lobbies a donc réussi au sein du parlement de Bruxelles et de Strasbourg. En un mois, ils sont parvenus à convaincre la majorité des eurodéputés indécis, surtout italiens. Ceux qui, jusqu’au mois dernier, auraient voté contre la clause de la discorde.
    Dans cette vidéo, l’eurodéputée Tiziana Beghin, porte-parole du Mouvement 5 Étoiles, nous explique ce que signifie ce vote du 8 juillet 2015.

    http://fr.novopress.info/

  • Le Planning familial américain coupable de trafic d'organes de bébés avortés ? La vidéo choc qui l'accuse [Add : enquête ouverte]

    The Center for Medical Progress a publié une vidéo, filmée en caméra cachée, dans laquelle le Dr Nucatola, directrice générale des services médicaux du Planning familial américain depuis 2009, reconnaît pratiquer des avortements par naissance partielle, une pratique totalement illégale, pour pouvoir prélever et vendre entre 30 et 100 $, des organes intacts de bébés avortés(le trafic d'organes est passible de 10 ans d'emprisonnement aux Etats-Unis et de 500 000 $ d'amende).

    Jeanne Smits avait décrit il y a quelques années en quoi consiste un avortement par naissance partielle :

    "Cette forme d’avortement, pratiquée à partir du 5e mois de grossesse, consiste à déclencher l’ouverture du col pendant deux jours, à faire naître partiellement l’enfant par le siège, puis à perforer sa tête par le bas du crâne et à aspirer son cerveau avant d’extraire totalement son corps de l’utérus. Le procédé répond à un double objectif : faciliter le passage de la tête, mais aussi s’assurer de la naissance d’un bébé mort."

    Tout au long de l'entretien filmé à son insu, le médecin parle d'avortements (où placer son forceps pour récupérer l'organe voulu, quelle partie écraser...) et de parties de corps de bébés à vendre tout en dégustant  sa salade - ses interlocuteurs se sont fait passer pour des acheteurs potentiels et lui ont fixé un rendez-vous au restaurant. La vidéo, reprise par les sites pro-vie américains, commence à faire parler d'elle outre-atlantique et mériterait d'être entièrement traduite et sous-titrée en français. Avis aux amateurs. La voici, en anglais donc :

     

    [Add] le résumé d'Yves Daoudal en complément :

    "C’est le foie qui est le plus demandé, bien que « beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment ». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des « extrémités inférieures », et elle ne sait pas trop pourquoi, sans doute « pour les tissus musculaires ».

    Le seul problème est qu’il faut le faire de façon à qu’on ne dise pas « la clinique vend des tissus et se fait de l’argent avec cela ».

    Elle pratique elle-même des avortements à Los Angeles jusqu’à la 24e semaine. Elle explique qu’elle tient une petite réunion chaque matin pour déterminer quelles parties du corps sont demandées (les clients remplissent un formulaire) et quelles sont les « patientes » qui ce jour-là auront des bébés sur lesquels on pourra faire les prélèvements. Ainsi les avorteurs pourront adapter leurs gestes de façon à ne pas endommager les organes à vendre ce jour-là. « Pour cette raison, la plupart des fournisseurs – sic – se font guider par échographie, afin de déterminer où ils vont mettre les forceps. Ils se disent : “Je ne vais pas écraser cette partie, je vais écraser en dessous, et au-dessus, et je vais voir si je peux avoir ça intact.” Certains changent la façon dont le fœtus se présente, de sorte qu’il ne vienne pas par la tête, parce que vous ne pouvez pas obtenir la dilatation suffisante. Si vous le faites à partir de la présentation par le siège, par les jambes, alors vous pouvez finir par avoir le crâne intact. »

    La loi fédérale américaine interdit l’avortement par démembrement depuis George Bush, et la vente d’organes. Mais, dit Deborah Nucatola, « les lois sont sujettes à interprétation. Si je vous dis d’emblée que je n’ai pas l’intention de faire cela, ce qui arrive après n’a pas d’importance. »"

    [Add 2] : le vice-président en charge de la communication du Planning familial américain ne dément qu'à moitié, en jouant sur les mots :

    « dans le domaine de la santé, parfois, les patients veulent donner des tissus pour la recherche scientifique pour aider à faire avancer la recherche, les soins, les traitements. Les femmes qui avortent au Planning Familial ne sont pas différentes. (…) Aucun bénéfice n’est réalisé lors de ces dons de tissus (ie d’embryons). Parfois, certains coûts, comme celui de transporter les tissus vers les meilleurs centres de recherche, sont remboursés. »

    Dans la vidéo, le Dr Nucatola parle pourtant bien de vente et non de dons, et d'organes et pas seulement de tissus. Le Gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal, annonce l’ouverture d’une enquête.

    Louise Tudy