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lobby - Page 1591

  • Sous la domination allemande (1), (2) et (3)

    Capitulation. Jacques Sapir (1) a raison d’utiliser le vocabulaire militaire pour décrire la situation au matin du 13 juillet : ce qui a été conçu et mis en œuvre pour obtenir la soumission du gouvernement grec est une opération de guerre.

     

    Bien sûr, on n’a pas bombardé Le Pirée comme autrefois Zanzibar (2). Mais cela fait des décennies qu’on disserte sur la « guerre économique » et sur la « guerre des monnaies » comme s’il s’agissait de métaphores. Hélas, nous y sommes vraiment et les Grecs sont en première ligne depuis cinq ans. Ils savent que la guerre économique et monétaire provoque ruines, misères et beaucoup de morts par suicide, infarctus ou à la suite de maladies peu ou pas soignées. Ils savent que cette guerre économique et monétaire est, comme les opérations spécifiquement militaires, la continuation de la politique par d’autres moyens.

    Cette guerre contre la Grèce est une opération politique et plus précisément une opération de reprise de contrôle et de domination politique qui ressemble fort à la stratégie étatsunienne du choc et de l’effroi. Frapper, punir, et régner par la peur – mais auparavant, disqualifier l’ennemi par une propagande obsessionnelle et intimider ceux qui seraient tentés de conforter ses positions. La presse allemande a donné le ton, dénonçant les dirigeants grecs comme des menteurs, des voleurs et des maîtres-chanteurs avec une pointe de mépris raciste dans Die Welt. Les médias ont repris ces « éléments de langage » (3) et les dirigeants de la droite sarkoziste ont aboyé avec la meute tandis que la gauche hollandiste s’affairait pour sauver l’euro sous les applaudissements de Jean-Luc Mélenchon. […]

    Bertrand Renouvin - La suite ici et, pour les parties 2 et 3, ici et ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Sous-la-domination-allemande-1-et

  • L'hôpital ne se fout pas de la charité (avec nos impôts)

    120 millions d'euros : c'est le montant de la dette accumulée par les pays étrangers, à la fin 2014, à l'égard de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). Ce chiffre, qui ne concerne pas les patients étrangers résidant en France, équivaut à plus du double du déficit du compte principal (activités de soins) de l'AP-HP, soit 49 millions d'euros en 2014.

    Parmi les pays les plus redevables :

    • l'Algérie avec 31,6 millions d'euros,
    • le Maroc (11 millions),
    • les États-Unis (5,7 millions),
    • la Belgique (4,9 millions),
    • la Tunisie (4,7 millions) 
    • l'Italie (4,1 millions).

    De 2010 à 2014, le nombre de séjours liés à l'accueil de patients domiciliés à l'étranger a crû de 9,8%, avec, en 2014, des séjours plus nombreux pour l'Algérie, le Maroc, l'Italie et le Koweït.

    Michel Janva

  • Il faut se battre pour montrer le réel

    Il est interdit de montrer Vincent Lambert, de montrer un foetus avorté, demontrer le film Le Cri silencieux à des lycéens, de montrer des enfants porteurs de la trisomie à la TV (dixit le CSA), de montrer les crimes islamistes... Jean-Marie Le Méné estime que la guerre des images fait rage et qu'il faut se battre pour montrer le réel :

    "Nos sociétés d’images imposées sont quelquefois piégées par les images rebelles. Car il y a image et image, les permises et les interdites, les citoyennes et les extrémistes, les pieuses et les blasphématoires.

    Dans l’affaire du Planning familial américain, pris la main dans le sac à vendre des morceaux de bébés avortés à la recherche médicale, il s’agit d’images prises en caméra cachée, par des militants pro-life, sur un sujet sanctuarisé : l’avortement.C’est dire si nous sommes dans l’interdit, l’extrémisme et le blasphème. C’est dire si ces images sont inconvenantes et suspectes.Mais quand elles arrivent à franchir la ligne de démarcation, comme c’est le cas ici, leur effet est multiplié, tant elles montrent le plus difficile à montrer, ce qui est.

    La guerre des images fait rage parce que, contrairement à ce que l’on croit, il faut se battre pour montrer le réel. Le réel, c’est ce qui résiste.En revanche, il est permis tant qu’on voudra – et même recommandé – de montrer des images qui ne présentent que du virtuel ou du maîtrisé idéologiquement.La prétendue civilisation de l’image n’est pas tellement libre.

    Quand la fondation Lejeune compare les images respectives d’embryons d’animaux et d’embryons humains, en montrant que les premiers sont mieux protégés que les seconds, elle est traduite devant le Jury de déontologie publicitaire (sic) qui la condamne. Il ne faudrait surtout pas penser que le petit de l’homme est un homme petit au risque de menacer le droit fondamental (re-sic) à l’avortement.

    Quand la même fondation coproduit une vidéo qui montre des jeunes trisomiques heureux, elle est traduite devant le CSA, qui prescrit aux chaînes de télévision de ne pas la diffuser.Il ne faudrait surtout pas stigmatiser les mères qui ont décidé d’avorter leur enfant trisomique (re-re-sic).

    Quand ses parents montrent des images de Vincent Lambert qui déglutit, le même CSA exige que le regard de ce jeune homme tétraplégique soit flouté. Il ne faudrait surtout pas qu’on puisse imaginer que l’euthanasie programmée de Vincent Lambert concerne un homme vivant. Alors, dans un geste d’un totalitarisme désespérément classique, il faut retoucher l’image et gommer l’une des rares parties du corps de cet homme qui s’exprime : ses yeux.

    C’est pourquoiil faut féliciter les pro-life américains pour leur travail. Ils font penser à ces journalistes historiques qui ont révélé les barbaries du XXe siècle auxquelles personne ne voulait croire.En débusquant les barbaries du XXIe siècle, la banalisation prétendument démocratique de l’homicide aux deux extrémités de la vie, ces corsaires risquent effectivement de donner mauvaise conscience à certains. Tant mieux. La France qui alimente en embryons humains les paillasses des chercheurs ne peut guère pavaner. Cinq des recherches autorisées par l’Agence de la biomédecine (ABM) viennent d’être jugées illégales et annulées, suite aux recours de la fondation Lejeune.

    Honneur aux reporters pro-life de la guerre contre la vie humaine."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Grèce: l’extrême ponction

    La Grèce est maintenant à genoux et elle va payer le prix fort

    La perversité du Système oligarchique et néolibéral éclate aujourd’hui au grand jour. Il apparaît désormais que la dette grecque se solde par une perte de contrôle dramatique et par voie de conséquence, entraine une mise sous tutelle de la politique étrangère et intérieure . Par le biais de la Troïka, les actifs du pays sont transférés au secteur privé à hauteur de …80 milliards: exorbitant!

    Ce sont les créanciers qui dictent leurs conditions. La Grèce n’est donc pas “sauvée” comme il est proclamé en une des journaux nationaux: elle est déchue puisqu’elle a livré les derniers pans de sa souveraineté pour nourrir le Moloch mondialiste. Entraînant avec cela la souffrance de tout un peuple, qui il y a une semaine exprimait sa volonté d’en finir.

    La proie était facile: il n’y a pas de structure étatique solide en Grèce comme en France. Mais l’appétit prédateur des créanciers est immense et sans pitié, nul n’est à l’abri car la dette est devenu le moteur de la croissance économique: elle fait partie de la mécanique de la croissance qui est sa condition première.

    En France, depuis 1973, l’Etat républicain a accepté d’entrer dans le mécanisme pervers d’endettement auprès des créanciers privés en s’adossant à une dette structurelle qui n’est plus considérée comme temporaire; il a engagé le pays sans consultation en hypothéquant le futur des générations à venir, sans souci du long terme.

    C’est comme un organisme qui se doperait à coup d’hormones de croissance au risque de bouleverser tout le système endocrinien

    Sous l’Ancien régime l’endettement est une défaillance temporaire liée au bouclage d’un budget, c’est un expédient, un pis aller. Aujourd’hui il est devenu une pratique budgétaire comme une autre.

    Il faudra bien un jour ou l’autre , nous aussi, payer la facture de ce changement de modèle économique et ce sera au prix fort, comme la Grèce.

    Sandrine Pico-Deprez

    http://www.allianceroyale.fr/grece-lextreme-ponction/

  • Libé contre Polony : le droit de vivre dans une poubelle géante pour tous !

    Le torchon brûle, dit-on, entre Natacha Polony et le journal Libération. En cause, un édito de Libé moquant la réaction de riverains du canal Saint-Martin, excédés que leur quartier se transforme chaque soir d’été en une porcherie à la faveur des beuveries et autres divertissements « culturels » dont le Paris post-historique du tandem Delanoë-Hidalgo a le secret.

     

    Lesdits riverains ont eu le tort de créer un compte Instagram et une page Facebook pour faire connaitre la situation et interpeler une mairie socialiste très peu impliquée. Cela leur vaut donc les sarcasmes d’une gratteuse de Libé, qui leur reproche d’avoir cru pouvoir profiter du calme dans un quartier pourtant historiquement agité et bruyant, et de vouloir imposer leur lubie à tout le monde. Après tout, n’y avait-il pas au siècle dernier des catins à tous les coins de rue autour du canal ? On remarquera en passant que la logique du progrès de l’histoire disparait tout bonnement du logiciel de la journaliste sur le sujet. Le progrès, c’est l’acquisition du droit à changer de sexe et à squatter les demeures des vieilles dames bretonnes, mais pas celui de vivre dans un silence relatif.

    Ou plutôt, non. Cette logique, au fond, reste bien présente dans le discours de Libération. En fin de compte, ici comme ailleurs, Libé se prononce pour la laideur, pour l’instabilité, et pour l’abolition de l’intimité. Car c’est cela, le progrès : le triomphe du rien et de l’indéterminé sur la structure, du chaos réputé porteur de vie sur l’ordre et l’harmonie oppressants. Tout ce qui est calme et installé, aux yeux de nos rebelles en chef, représente le mal qui empêche notre société de se réinventer dans une révolution démiurgique permanente, et doit être abattu. C’est ce qui sous-tend le multiculturalisme, la théorie du genre et le capitalisme sauvage, que Libération ne fait même plus semblant de réprouver. Alors, comme partout, lorsqu’un conflit se déclare entre les partisans du calme (peu nous importe par ailleurs que les bobos du Xe se soient soudainement senti pousser un sens commun applicable à leur seule situation, nous y verrons la nature indécrottable de l’appétence humaine pour l’ordre) et les porteurs du désordre (ces « djembéistes » vagabonds et malpropres qui constituent le modèle que vénère avec jalousie tout journaliste de Libé qui se respecte), ni une ni deux, il n’y a aucun doute sur le camp auquel va la loyauté de Libé. La crasse, les odeurs de vomi, le bruit affreux et le piètre exemple que donne à voir l’homo festivus moderne rendent presque impossible la mission d’élever des enfants ? La belle affaire. Libé n’aime pas les enfants, et préfère quand on les avorte, c’est une chose sue. L’affaire est pliée, vivent donc la foule, le carnaval permanent et la cacophonie moderne. Et sans se rendre compte, bien sûr, que c’est à nul autre que ses propres lecteurs que le journal réserve ses sarcasmes éduqués du jour. Qui sait, dans cette foule adepte de la repentance, il s’en trouvera certainement quelques-uns pour changer d’avis devant pareil prêche et pour embrasser enfin le nec plus ultra du nihilisme. [....]

    La suite sur Le Rouge & Le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Libe-contre-Polony-le-droit-de

  • Pour Ségolène Royal, deux explosions criminelles ne constituent pas un attentat terroriste

    A propos des explosions sur le site pétrochimique de Berre-l'Etang, en réponse à la question "Est-ce que la thèse d'un attentat terroriste est totalement exclue ?", Ségolène Royal répond ce matin sur BFMTV :

    "Ce n'est pas la piste qui est privilégiée aujourd'hui"

    Bernard Cazeneuve, ministre de l'intérieur, a pourtant déclaré hier devant l'Assemblée nationale :

    "Les premiers éléments qui sont communiqués montrent qu'il s'agit effectivement d'un acte criminel dont la motivation n'est pas établie"

    Allô, Manuel Valls ! On cherche un premier ministre pour coordonner les déclarations des ministres...

    Philippe Carhon

  • Attentat “déjoué” : diversion assurée, les terroristes encouragés !

    Tandis que la France s’enfonce dans « l’insécurité » délinquante et/ou terroriste, le gouvernement se vante de déjouer des attentats… enfumage !

    Audacieux. C’est ainsi que Hollande se qualifie et il a raison. Il en faut de l’audace pour oser une telle rhétorique fumeuse. Alors que pour le 14 juillet, on a battu des records en termes de violence, que des explosifs ont été dérobés sur un site militaire, qu’ils ont peut-être servi pour « l’acte malveillant » dont a été l’objet un site pétrochimique, voilà que l’on nous annonce en grande pompe qu’un attentat a été « déjoué » et que donc le gouvernement maîtrise la situation sécuritaire.

    Pour Ségolène Royal, le président a voulu communiquer car

    Il a estimé qu’à un moment il était important de montrer que les Français étaient protégés

    Ah, ça on se sent protégés ! Tout est parfait, pensent nos « gouvernants », du moins sur le plan de la communication politicienne. Parce que sur le plan de l’efficacité anti-terroriste, c’est zéro pointé ! Jugez plutôt :

    Quatre hommes âgés de 16 à 23 ans, dont un ancien militaire de la marine, ont donc été arrêtés lundi matin par la DGSI. « Ils projetaient de commettre une action terroriste contre des installations militaires françaises » a expliqué le ministre Bernard Cazeneuve lors d’une conférence de presse organisée à la hâte, quelques heures après une première annonce en ce sens de François Hollande.

    Je félicite nos services de renseignement pour ce nouveau coup porté au terrorisme. Rien n’empêchera les Français de vivre comme ils l’entendent, debout et libres

    Se rengorge Cazeneuve. Pas un mot direct du pensionnaire de la place Beauvau sur les motivations de nos quatre apprentis terroristes, repérés grâce à leur activité sur les réseaux sociaux.
    Ils projetaient de décapiter un militaire gradé et de filmer leur crime, selon une source proche du dossier. Mais PADAMALGAM ! Si ça se trouve, cela n’a rien à voir avec le mode opératoire habituel des sicaires de l’État Islamique (Daesh), déjà fortuitement copié par Yassin Salhi à Saint-Quentin-Fallavier. Tout juste quelques statistiques sur les filières jihadistes permettent-elles de faire le lien avec nos quatre « jeunes » qui affichaient sur Facebook leur volonté de partir en Syrie aux côtés de l’État Islamique (Daesh).

    Notons au passage que selon les sources proches du dossier, l’attentat en était au stade de la conception, ne devant intervenir qu’en décembre, mais les médias parlent bien « d’attentat déjoué » et non de « projet d’attentat ». De plus, le leader de ce groupe était repéré dès le mois d’octobre 2014 et sous le coup d’une enquête ouverte dès le 23 juin par la section antiterroriste du parquet de Paris pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. » Bref, on les avait sous le coude, ils ont été sortis opportunément.

    Opportunément ? Voire. les services de police et de renseignements sont en coulisse furieux que l’on se serve de leur travail pour de la communication politicienne, alors que la règle d’or en la matière est le silence.
    • Silence pour ne pas éventer les progrès d’une enquête qui se poursuit.
    • Silence pour ne pas servir la soupe aux terroristes -tous les détails donnés montrent notre vulnérabilité face à des gamins de moins de 20 ans qui veulent couper des têtes, l’effet sur la population est presque le même qu’un attentat effectivement réalisé : peur et sidération.
    • Silence pour ne pas faire de pub à de tels agissements et donner des idées à d’autres candidats djihadistes.

     

    D’un autre côté, si on grossit -bêtement, donc- le trait de ce succès un poil virtuel, les faits avérés se voient minimisés : curieusement, l’attentat dont l’usine pétrochimique de LyondellBasell, près de l’étang de Berre a été l’objet était d’abordqualifié « d’acte malveillant », puis, du bout des lèvres, Cazeneuve admettait qu’il s’agissait d’un acte criminel dont la motivation n’est pas établie.

    Interrogée sur la thèse terroriste, la ministre de l’Écologie et de l’Énergie a répondu jeudi sur BFM TV et RMC :

    Acte terroriste ? Ce n’est pas la piste qui est privilégiée aujourd’hui.

    Ce n’était pas non plus la piste privilégiée au début de l’enquête sur l’affaire Merah, sur les attaques à la voiture bélier dans plusieurs villes de France en décembre ni même pour la décapitation de Hervé Cornara, victime de la décapitation de Saint-Quentin Fallavier…

    C’est sûr, les enquêteurs ont raison de ne pas écarter pas l’hypothèse d’un acte de malveillance commis par un ex-salarié (muni d’explosifs…) ou celle d’un un groupuscule extrémiste écologiste (qui n’aurait pas commis “d’attentat”, mais juste une incivilité pour casser les pieds de Ségolène Royal ?).

    Laissons la police faire son travail, mais il semble pour le moins étrange que quelques jours après le vol d’explosifs et de détonateurs sur une base militaire, deux cuves, l’un remplie d’essence et l’autre de naphta, un dérivé du pétrole, sautent. Une troisième était visée, les enquêteurs ayant retrouvé une « chaîne pyrotechnique » qui a mal fonctionné… à la différence des deux premières, dont les traces ont été clairement identifiées.

    Pour les novices, une chaîne pyrotechnique, c’est un système d’allumage, un système de transfert du feu et finalement une charge explosive, selon Wikipedia. Une bombe, quoi. L’histoire ne dit pas pour le moment si ces éléments de cette chaîne sont identiques à ceux volés à Miramas, et serait-ce le cas, il est douteux que Cazeneuve vienne nous l’annoncer.

    Douteux aussi qu’il vienne se pavaner avec les derniers chiffres cumulés des destructions occasionnées lors de la fête nationale (13 et 14 juillet) : on parle tout de même de 721 véhicules brûlésdont 20 % rien que sur Paris et sa région et des 603 gardes à vue, triste bilan de ce 14 juillet, en augmentation de 23 % pour les incendies et 68 % pour les gardés à vue. Ce ne sont d’ailleurs pas que les voitures qui brûlent pour fêter la prise de la Bastille. Plusieurs bâtiments, dont une médiathèque et une « école de la deuxième chance » ont été incendiées à La Courneuve par des « jeunes », comprenez bien sûr des racailles, lesquels commettent, selon l’expression consacrée par les médias et les politiques, des « incivilités ».
    Pour rappel, une incivilité, c’est quand on oublie de dire merci ou de tenir la porte à une dame. Quand on brûle une voiture ou une école, c’est du vandalisme, un délit grave caractérisé…

    Tant que vous ne voyez pas que ça va mal, c’est que tout va bien. Quand vous voyez que ça va mal, chaussez vos lunettes roses. Les feux de voitures se transforment en « incivilités », les attentats en « actes malveillants » ou en « action d’un déséquilibré », et les sites Ceveso qui en sont victimes sont en fait « extrêmement bien protégés ». (On frémit à l’idée qu’ils ne le fussent pas…)

    D’ailleurs, notre gouvernement déjoue des attentats tous les jours. Les « Français sont protégés ». Vraiment ?

    Et si on arrêtait de se payer de mots ?

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/190624/attentat-dejoue-diversion-assuree/#more-190624

  • Le financement de l’Aïd Fitr par les fonds publics, c’est maintenant à Étampes !

    Franck Marlin, dhimmi du mois ? Qu’est-ce qui pousse le député-maire « Les Républicains » d’Étampes à tant de complaisance et de soumission envers les musulmans de sa commune ?

    Alors même que les islamistes commettent des attentats sanglants en Franceen Tunisieen Egypte ou au Koweït, sans parler des massacres de grande ampleur de l’État Islamique, Franck Marlin s’apprête à littéralement servir la soupe aux musulmans de sa commune aux frais de ses administrés.

    Nous apprenons avec stupeur qu’Étampes a débloqué 20 000 euros de crédit pour célébrer la fin du ramadan et un autre évènement musulman prévu à l’automne 2015.

    La municipalité va ainsi offrir le 18 juillet 2015, de 20 h à 23 h, un buffet gratuit à quelque 1 200 musulmans au stade du quartier sensible de la Croix de Vernailles, à l’occasion de la fête de l’Aïd Fitr, qui marque la fin du traditionnel mois de jeûne religieux, au mépris évident du principe de laïcité.
    S’agissant d’une fête à caractère religieux, les prescriptions d’abattage halal se devraient d’être respectées. Là aussi, nous osons espérer que la municipalité n’aura pas contrevenu aux règles de laïcité, d’hygiène publique et de respect des animaux en effectuant elle-même ou en cautionnant l’abattage d’animaux suivant ce rite cruel. La seule solution pour respecter la loi serait alors de présenter un buffet végétarien. La municipalité y a-t-elle seulement pensé ou est-elle tellement enferrée dans sa logique de complaisance qu’elle est prête à bafouer la loi républicaine par communautarisme servile ?

    Il semble en outre que les principes de précaution et de sécurité publique n’ont su entamer la détermination de Franck Marlin. La célébration municipale de l’Aïd Fitr est maintenue alors même que les quartiers sensibles d’Étampes ont été le terrain de violentes émeutes les 14 et 15 juillet dernier, passées sous silence dans les médias, mais relevées par des habitants de la région. Les forces de l’ordre se sont fait caillasser, elles ont dû se dégager à coups de gaz lacrymogènes et l’on déplore une voiture et plusieurs poubelles brûlées.

    Il convient de souligner que le maire d’Étampes n’en est pas à son coup d’essai, puisqu’il a récemment posé la première pierre de la seconde mosquée d’Étampes, un évènement dont lessites de réinformation se sont fait l’écho.
    Le Front National local, par la voix de son responsable de circonscription Julien Schénardi, avait posé la question du respect du principe de laïcité et du financement de cette Mosquée dans un communiqué.

    La colère monte auprès des élus de la majorité municipale qui ne comprennent plus la collaboration du maire d’Étampes envers la communauté musulmane, autrement que par l’achat de la « paix sociale » ou des suffrages communautaires sur des fonds publics.
    Les travaux de la mosquée ont commencé, et les habitants sont maintenant en droit de se poser la question du financement lié à sa construction.
    Franck Marlin cherche-t-il à obtenir la « Palme de l’élu Numéro 1 complice de la montée de l’islamisme » ? Le contraste est en tout cas saisissant avec le message qu’il a adressé aux habitants du sud-Essonne lors de la foire d’Étampes « Un territoire rural et fier de l’être ».

    Les électeurs ne s’y tromperont plus, espérons-le !

    http://fr.novopress.info/190579/le-financement-de-laid-fitr-par-les-fonds-publics-cest-maintenant-a-etampes/#more-190579

  • Nuits d’émeutes, incendie criminel de Berre-l’Étang : la République apaisée

    Depuis lundi, les émeutes se multiplient sur l’ensemble du territoire national. Le feu couve depuis plusieurs semaines. En effet, un à un, les quartiers s’embrasent, un peu partout en France. À Toulouse, par exemple, le quartier du Mirail est régulièrement la proie de nuits durant lesquelles les voitures brûlent, ou servent à des rodéos mortels entre les voyous et la police. Pareillement, Roubaix ne connaît pas un jour de repos, la ville étant constamment soumise à l’arbitraire de la violence des gangs. Cette jeunesse barbare est encouragée à commettre ses forfaits par un ministre de la Justice laxiste, prompt à excuser les délinquants, et même à présenter les coupables comme étant les victimes ontologiques de la société. Plus que jamais, nous avons la preuve qu’il existe une France hors la France. Pire : cette France hors la France n’est jamais réprimée, ou simplement rappelée à l’ordre.

    Bouches d’incendie reconverties en jeux d’eau, voitures brûlées lors de la nuit du 14 juillet, émeutes, piscines privées occupées par des « jeunes » qui maltraitent les propriétaires, spectacles annulés préventivement par peur de choquer la population : l’été est propice à toutes les dérives dans la France post-Charlie.

    Il me serait impossible de relater, ici, tous les événements des derniers jours, quelques-uns d’entre eux laissent à penser que la France est en état pré-insurrectionnel : la médiathèque Gagarine et l’école de la « Deuxième Chance » ont été incendiées à La Courneuve, la police a été canardée au mortier dans le XIXe arrondissement parisien, des habitations ont été les cibles de tirs de mortier à Meyzieu (69), cinquante véhicules ont été incendiés dans la nuit du 13 au 14 juillet dans la métropole lyonnaise, affrontements entre « jeunes » et gendarmes à Gisors (27)…

    Lire la suite

  • Quatre terroristes, dont un ancien militaire, préparaient des attentats contre des bases militaires et la décapitation d'un gradé

    Mais tout va bien en France et notre président s'occupe de la Grèce : 

    "Dans la soirée, c’est le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui s’est exprimé. « Lundi 13 juillet à l’aube, quatre individus de 16 à 23 ans, dont un ancien militaire réformé de la marine, ont été interpellés aux quatre coins du territoire. Ces individus projetaient des attaques terroristes contre des installations militaires françaises ». Selon l'AFP, les mis en cause projetaient de «décapiter un militaire gradé»

    Le principal instigateur dans ce projet d’attentat avait été, selon le locataire de la Place Beauvau ,« repéré pour son activisme sur les réseaux sociaux et dans le relationnel de jihadistes français aujourd’hui incarcérés ». Il avait aussi manifesté des « velléités de départ en Syrie» ce qui lui avait valu à l'époque «un entretien administratif» avec les services français.

    Bernard Cazeneuve a aussi précisé qu’« aucun lien ne peut etre établi à ce stade avec les faits qui se sont déroulés récemment dans les Bouches du Rhône. »

    Mais bien sûr...

    Lahire