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  • Qui y croit encore ?

    Lors de la réunion publique qu’il a tenue hier soir à  l’Isle-Adam, (Val-d’Oise),  Nicolas Sarkozy a manié la métaphore pour  condamner  des flots d’immigration massive qui se déversent en France et l’incapacité du gouvernement et de  l’Europe  à la juguler.  A l’image d’une  « maison (où)  il y a une canalisation qui explose (qui)  se déverse dans la cuisine ». «Le réparateur arrive et dit, j’ai une solution : on va garder la moitié pour la cuisine, mettre un quart dans le salon, un quart dans la chambre des parents et si ça ne suffit pas il reste la chambre des enfants (…). Il n’y a plus d’argent, plus d’emplois, plus de logements, mais ils ont trouvé un truc. Ils ont considéré que la solution au problème d’immigration, c’était pas de réduire, c’était de répartir »…en l’espèce une répartition  que propose pourtant son ami républicain Jean-Pierre Raffarin. A l’image de  la politique menée par le  mauvais  plombier Sarkozy  pendant les  dix ans, ou, principalement comme ministre de l’Intérieur puis comme Président  de  la République, l’immigration de peuplement s’est poursuivie à haut débit dans notre pays. Flux migratoires  favorisés par  toute  une série de pompes aspirantes qu’il propose aujourd’hui de supprimer…comme le fait la  droite depuis trente ans en période électorale…

     Pour autant,  Nicolas Sarkozy a pris bien soin de préciser également hier soir, citant sans les nommer ses  directeurs de conscience Bernard-Henry Lévy et Jacques Attali que le multiculturalisme restait un horizon indépassable,  le principe de base de sa vision de l’avenir : «Les sociétés meurent de la consanguinité et n’ont rien à craindre du métissage ».  Chassez  le naturel…

     Un  métissage laïque et obligatoire qui est pourtant rejeté de manière de plus en plus nette par les peuples européens, comme en témoigne notamment, indicateur parmi d‘autres, le score historique  réalisé cette semaine au Danemark lors de législatives par le parti populiste anti-immigration, le Parti du peuple danois (DF).  Cette formation,  présidée  par  Kristian Thulesen Dahl, est en effet arrivée deuxième avec 21,1% des voix. Un résultat qui, associé à celui du parti de droite Venstre, en troisième position avec 19,5% des suffrages, signe la défaite  de l’actuel gouvernement social-démocrate dirigé par Helle Thorning-Schmidt.

     Cette rupture entre le peuple d’un côté  et les «élites» prescriptrices d’un  prêt-à-penser politiquement correct rend ces dernières de plus en plus inaudibles. Les relais médiatiques de la caste  ont beau crié au retour de la bête  plus personne n’y croit et surtout les Français s’en moquent. Il n’ya  guère que Le Monde, via le blogue Droites extrêmes,  et quelques scribouillards d’extrême gauche pour s’émouvoir de la présence hier de Bruno Gollnisch  dans un  bar nationaliste à Paris,  Le Crabe-tambour. Il  répondait à l’invitation  qui lui avait été faite le 1er mai,  d’y boire un verre et d’échanger avec de jeunes militants.  Bruno reste un homme libre qui ne se fait pas dicter ses déplacements  par  des petits  inquisiteurs.   Et comme l’a précisé un de nos amis à un journaliste de ce blogue: «  Il va là où l’invite. Besancenot aurait un bar associatif qu’il irait aussi ! »

     Le Lab d’europe 1, a également attaqué indirectement Bruno Gollnisch, à l’instar du site du très antifrontiste  magazine  Politis, au motif qu’il inspirerait la haine et la violence. Pour preuve vendredi 12 juin, à Paris  deux journalistes de La Nouvelle Édition de Canal plus, « en train de tourner une séquence (…)  sur le Pont au Change, dans le 4ème arrondissement de la capitale » ont été « menacés », par « un individu » « selon le témoignage de l’une des reporters».

    Elle raconte :Il estimait que ‘Gollnisch avait raison’. (…)  Il a menacé — après avoir fait un laïus sur le massacre des chrétiens d’Orient — de me ‘jeter dans la Seine’. Bruno Gollnisch avait raison ? On peut raisonnablement penser que l’agresseur faisait référence à la petite leçon de déontologie donnée par l’eurodéputé aux journalistes du Petit Journal, lors du rassemblement frontiste du 1er mai (…)  L’agresseur en question n’est pas allé aussi loin que ceux du 1er mai, même si la journaliste citée par Politis explique qu’elle a dû se réfugier derrière [son] collègue et la personne [qu’ils étaient] en train d’interviewer, pour finir par fuir les lieux après quelques minutes pendant qu’ils le retenaient. L’homme est parti en lâchant :En 2017, on aura votre peau les journalistes de Canal + ! »

     La vérité oblige à dire  que les Français n’ont pas besoin des déclarations du FN pour manifester leur méfiance vis-à-vis  du quatrième pouvoir et des doutes sérieux sur l’indépendance des journalistes. Selon le dernier   baromètre annuel TNS-Sofres, portant sur « la   confiance dans les médias »,  publié par La Croix en janvier,  58% jugent que ces derniers ne sont pas indépendants des partis politiques et du pouvoir, et 53% des pressions de l’argent.

     Un autre sondage, réalisé en juin 2012 auprès d’un panel de journalistes par Harris Interactive, sur Twitter, pour le magazine Médias, indiquait que 74% des journalistes votaient à gauche. Au premier tour  de la présidentielle,  39% des journalistes interrogés déclaraient  avoir voté pour François Hollande , 19% pour Jean-Luc Mélenchon,  18% pour Nicolas Sarkozy…et  74% à avoir fait le choix du  candidat socialiste au second tour. Seulement 3% des sondés disaient  avoir voté pour Marine Le Pen...

     Certes, il existe bien évidemment des journalistes, même de gauche, qui sont des professionnels  honnêtes, sérieux, compétents qui en  fonction de  la latitude  qui leur est offerte, la laisse est en effet souvent très  courte, sont capables  d’objectivité, dans leurs analyses ou leur manière de mener les débats. Bruno en connaît mais c’est certes une exception qui confirme la règle de l’antifrontisme viscéral, militant du microcosme médiatique.

     Un travers dénoncé encore dernièrement par Marine qui a pointé  le traitement honteux par le   correspondant à Bruxelles de BFM TV,  de  l’annonce de  la création du groupe  Europe des nations et des libertés .

     Ou encore par Florian  Philippot, invité de l’émission Politiques sur LCP, qui, répondant aux questions de Sylvain Chazot, journaliste du Lab,   a dénoncé  ce blogue, hébergé par Europe 1, «  un espèce de machin qui tire vers le bas la politique, qui salit, qui diffame, qui injurie en permanence »,  « un tract du gouvernement ». Le vice-président du FN a précisé aussi qu’il ne sentait aucunement responsable  quand des journalistes de font agresser, comme ce fut le cas le 1er mai.  Est-il besoin de le préciser,   Bruno Gollnisch non plus.  

    http://gollnisch.com/2015/06/19/qui-y-croit-encore/

  • Accueille le migrant !

     

    Le pape appelle à la conversion écologique. Le pape appelle à ne pas fermer la porte aux migrants. Quand prend-il sa carte à Europe Écologie Les Verts ?
    Beaucoup de nos évêques eux, l’ont déjà. Le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France a adressé un appel mercredi 17 juin en faveur des clandestins intitulé « Migrants nous sommes tous concernés » :
    « Nous invitons l’ensemble des catholiques en France à changer leur regard, à se faire proches, à dépasser leurs préjugés et leurs peurs et à oser la rencontre. Il ne nous est pas possible de nous replier sur nous-mêmes et d’ignorer la misère de tant d’hommes, de femmes et d’enfants du monde entier qui cherchent seulement à vivre dignement. »
    Jeanne au secours ! Entre confusion intellectuelle, émotion compassionnelle et adhésion amoureuse à l’idéologie gauchiste, c’est au suicide français et européen que nous appellent ces bons pasteurs.
    La déclaration reprend à son compte la position du pape François qui a exprimé sa « “honte” devant ce qui se passe en Méditerranée comme à Calais ». Le pape a invité à « demander pardon » pour les « institutions qui ferment la porte à ces gens qui cherchent une famille ».
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    Matteo Salvini, dirigeant de laLigue du Nord, n’a pas manqué de bondir :
    « Par curiosité, combien d’immigrants y a-t-il dans l’État du Vatican ? »
    Outre la déclaration de la Conférence des évêques, trois autres prélats ont rédigé un message destiné à être lu dans les paroisses dimanche : « Aimez donc l’immigré, car au pays d’Égypte vous étiez des immigrés. »
    Sur RMC jeudi matin, l’un des auteurs, Mgr Renauld de Dinechin, évêque auxiliaire de Paris, a délivré un ahurissant message à mi-chemin entre le prêchi-prêcha de SOS-Racisme et celui de Têtu : « Les migrants sont pacifiques », « Les Érythréens sont de jeunes hommes », « Il faut rencontrer l’autre ».
    À un moment on a même cru que Jean-Jacques Bourdin qui paraissait écœuré par tant d’angélisme, allait lui rappeler le temps où l’Église défendait avec fermeté la civilisation et la chrétienté face aux envahisseurs et à l’invasion mahométane et lui coller au passage un petit extrait de l’enseignement de Pie XII :
    « En cette matière (l’immigration) ce ne sont pas les seuls intérêts des immigrants, mais aussi la prospérité du pays qui doivent être consultés (…) Il existe un ordre établi par Dieu selon lequel il faut porter un amour plus intense et faire du bien de préférence à ceux à qui l’on est uni par des liens spéciaux. Le Divin Maître Lui-même donna l’exemple de cette préférence envers sa terre et sa patrie en pleurant sur “l’imminente destruction de la Cité sainte”. »
    Il se trouvera des catholiques dimanche, des prêtres (et peut-être un évêque ?) pour manifester bruyamment leur désaccord à la lecture de cette propagande dans leur paroisse. À 70 % les Français ont déclaré qu’ils n’étaient pas choqués du tout par les expulsions de migrants qui débarquent par bateaux entiers sur leur sol. 40 ans de religion antiraciste pour en arriver là ! Vox populi, vox dei…

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • Manifestation contre la vente d'enfants par GPA

    Ludovine de La Rochère interrogée :

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    La manifestation :

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    Le discours de Ludovine :

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    Devant le palais de justice :

    Suite et fin ici :

  • Cinq ans après l’apéro saucisson-pinard, c’est ramadan

    Source : Boulevard Voltaire
    Comment mieux résumer le choc civilisationnel que constituent ces deux symboles totalement antagoniques ?

    Il y a 5 ans, toute la caste médiatique était en émoi devant « une insupportable provocation ». Des républicains jacobins venus de la gauche avaient osé s’allier avec des identitaires régionalistes venus de la droite de la droite, pour boire du vin et manger du cochon dans le quartier islamisé de la Goutte-d’Or !

    Encore plus intolérable, ils signifiaient que, soixante-dix ans plus tôt, autour du général de Gaulle, des personnes issues d’horizons politiques tout aussi différents que ceux de Riposte laïque ou des Identitaires s’étaient regroupées pour sauver la France.

    Le succès médiatique de l’apéro saucisson-pinard fut énorme. Le préfet interdira l’initiative à Barbès, pour risque de troubles à l’ordre public, des gauchistes et des musulmans ayant fait savoir qu’ils réserveraient un mauvais sort aux participants s’ils osaient venir.

    Nous avions donc fait le choix de nous replier sur les Champs-Élysées, devant un autre lieu symbolique : la plaque du 11 novembre 1940, célébrant une marche d’étudiants parisiens défiant courageusement l’occupant nazi.

    Les patriotes avaient répondu en nombre à cet appel. Un millier de manifestants s’étaient retrouvés, ravis de communier, en ce jour historique, autour de symboles incarnant notre mode de vie.

     

    L’apéro saucisson-pinard s’était terminé à 20 heures. Deux heures plus tard, un autre monde occupait les Champs-Élysées : celui de milliers de supporters de football algériens, klaxons hurlants, drapeaux déployés, arrogants et menaçants. Un impressionnant dispositif policier avait été déployé, pour éviter les actes de vandalisme qui se multipliaient partout à chaque match impliquant l’Algérie.

    Cinq ans jour pour jour après l’initiative de l’apéro saucisson-pinard, qui a fortement marqué les esprits, c’est le début du ramadan. Comment mieux résumer le choc civilisationnel que constituent ces deux symboles totalement antagoniques ?

    L’apéro saucisson-pinard, c’était le rassemblement des Français de tous âges, hommes ou femmes frondeurs et rebelles, épris de liberté, capables de se chamailler sur plein de sujets, mais unis dans l’amour de la France et la défense de son mode de vie, que de nouveaux venus lui contestent.

    Le ramadan, c’est d’abord un obscurantisme inadapté à un pays occidental du XXIe siècle. C’est une gigantesque hypocrisie, contraignant des individus à ne pas manger, ni boire, ni avoir de rapports sexuels, durant un mois, du matin au soir, avant de se goinfrer la nuit. C’est surtout un flicage social exercé par la communauté sur les moins pratiquants d’entre eux.

    L’Institut des études sociales sur le monde arabe a révélé que pendant le ramadan, dans les pays musulmans de l’Afrique du Nord, les crimes sont multipliés par 1,5, les accidents de la route et les vols par trois, la prostitution augmente de 216,40 %, les maladies de la tension, de diabète et de cholestérol de 27,56 %.

    À la RATP, au dépôt de Nanterre, la direction reconnaissait que le mois du ramadan s’était traduit en 2014 par 26,5 % d’arrêts maladie supplémentaires, 137,5 % d’accidents de travail en plus, et 48 services non couverts.

    L’avocat niçois Olivier Arnaubec vient de publier une fiction 2023 Le Mur, où il imagine une France séparée en deux par un mur de 700 kilomètres de long et 7 mètres de haut. Au sud, une République française islamique, au nord, une République laïque où l’islam est interdit.

    Un mur, c’est réellement ce qui sépare ceux qui participaient à l’apéro saucisson-pinard, il y a 5 ans, mais aussi les 74 % de Français qui jugent l’islam incompatible avec notre pays, et les 70 % de musulmans qui vont nous imposer leur ramadan, trente jours durant.

    Pierre Cassen

    http://fr.novopress.info/189436/cinq-ans-apres-lapero-saucisson-pinard-cest-ramadan/#more-189436

  • HILLARY CLINTON, UNE MONDIALISTE MILITANTE

    Éradiquer les identités culturelles

    Michel Lhomme 

    Ex: http://metamag.fr

    Hillary Clinton débutant sa campagne électorale pour les présidentielles américaines a affirmé que « les codes culturels profondément enracinés, les croyances religieuses et les phobies structurelles doivent être modifiées. Les gouvernements doivent utiliser leurs moyens de contrainte pour redéfinir les dogmes religieux traditionnels». Cette déclaration citée par Auran Derien dans un article de METAMAG, avait été annoncée par le quotidien El Manifestio.com, sous le titre « Hillary Clinton contre les identités culturelles et religieuses ». 

    La déclaration d'Hillary Clinton confirme ce que de nombreuses plumes dissidentes affirmaient depuis longtemps, à savoir que le gouvernement mondial ou ce que d'aucuns appelleraient les forces du capitalisme ont un plan qui passe par l'extinction planifiée des identités culturelles et de tout ce qui est traditionnel.

    Cette thèse qui a amené beaucoup d'entre nous à prendre conscience depuis quelques années du double jeu de l'idéologie officielle antiraciste est aussi celle qui a justifié dans les années 80 notre détachement du mouvement altermondialiste pro-immigrée, dans le style de la revue ''multitude''. 

    Avec la déclaration sincère - nous n'en doutons pas un instant ! - d'Hillary Clinton, nous comprenons à la lettre l'expression du ''grand remplacement'' de Renaud Camus et cette expression qui vise bien un programme politique délibéré, à la logique réfléchie et préparée en coulisses.

    Les déclarations d'Hillary Clinton révèlent la finalité proprement totalitaire du système mis en place, celui du mondialisme politique dont se réclame toute notre classe politique. Il s'agit bien d'éradiquer les identités culturelles et surtout de déraciner, de couper l'herbe sous le pied de la Tradition.

    En somme, les plus traditionnalistes et les plus conservateurs de nos penseurs (Schmitt, Kelsen, Evola, Gomez Davila, Alain de Benoist) ont eu raison de nous prévenir. La finalité de l'hyper-modernité est l'éradication de toute identité culturelle spécifique au nom de la consommation. Pour cela, effectivement, il n'est plus besoin d'aller à l'école ou d'apprendre l'histoire. Il suffira de réciter les mémoires sélectives des vainqueurs ou les épopées des bien-pensants.

    Ainsi, pour le programme mondialiste, les cultures, quels que soient leur espace géographique et leur singularité temporelle, doivent se plier à la consommation mercantile, au matérialisme de la technique et aux valeurs démocratiques sous peine d'être absorbées par la coercition totalitaire de la bonne gouvernance. 

    La candidate Clinton a été claire : ou les Traditions se soumettent et nous les y obligeront, ou les identités culturelles se dissolvent dans la masse des consommateurs et des cartes de crédit ou nous les annihileront. 

    Toute identité culturelle est invitée à se réformer ou à disparaître dans les temps nouveaux de la ''globalisation'' et du ''monde unique'', celui de l'hégémonie libérale et atlantiste. 

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Migrants : la Hongrie érige un mur, l’Union européenne lambine

    Deux chiffres suffisent à résumer le problème : en 2012, environ 2.000 clandestins étaient entrés en Hongrie. En 2015, ils sont 54.000, rien que depuis janvier. Elle est, après la Suède, le deuxième pays de l’Union européenne qui accueille le plus de migrants proportionnellement à sa population. 95 % d’entre eux pénètrent via la Serbie ; 75 % sont originaires de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan. Quelques milliers de Kosovars fuient également la crise économique. Pour endiguer au plus vite ce déferlement, le Premier ministre Viktor Orbán a choisi un traitement de choc : la construction d’un mur de 4 m de haut sur 175 km à la frontière serbe. « Une réponse commune de l’Union européenne à ce défi prend trop de temps et la Hongrie ne peut plus attendre. Elle doit agir », explique son ministre des Affaires étrangères, Péter Szijjártó. Les travaux préparatoires, d’ores et déjà lancés, seront bouclés le 24 juin.

    Stupeur du Premier ministre serbe, Aleksandar Vučić, qui se déclare « surpris et choqué » par l’annonce de Budapest : « La solution n’est pas de dresser des murs. La Serbie ne peut pas être responsable de la situation créée par les migrants, nous ne sommes qu’un pays de transit […]. Nous leur fournissons de l’aide, de la nourriture, mais ces gens ne veulent pas rester en Serbie, ils sont de passage », ajoute-t-il, visiblement guère enthousiaste à l’idée de récupérer la patate chaude. « Cette décision ne contrevient à aucun traité international, d’autres pays ont opté pour la même solution », rétorque Péter Szijjártó. La Bulgarie prévoit d’ailleurs de prolonger de 82 km la clôture de barbelés qu’elle a installée fin 2013 à la frontière turque.

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  • A lire : les racines marxistes de l’écologie contemporaine

    Le Pape François vient de publier une encyclique sur l’écologie qui fait déjà grand bruit tant elle serait alignée sur l’écologisme ambiant… Sans rentrer dans le débat propre à cette encyclique avant même de l’avoir lue, il est intéressant de se pencher sur le sujet de l’écologie tel qu’il est défendu aujourd’hui par tous les « grands » qui se réuniront en décembre prochain à Paris pour une conférence internationale sur le climat.

    Vivien Hoch publie un texte sur Nouvelles de France, pour déceler l’idéologie qui se cache en réalité derrière la propagande écologiste, qui a, peu à peu, transformé la noble « écologie » en « écologisme ». Le texte est un peu long, mais sa lecture est vraiment éclairante sur un sujet vecteur de totalitarisme, et profondément anti-chrétien.

    L’instrumentalisation marxienne de l’écologie
    La première chose à remarquer, c’est que la recherche d’une relation à la nature qui serait indépendante de la médiation par la marchandise est un élément fondamental de la critique « culturelle » du capitalisme héritée du marxisme (Pierre Charbonnier, « De l’écologie à l’écologisme de Marx », Tracés 1/2012 (n° 22) , p. 153-165).

    On lit, chez les marxistes, ou plutôt marxiens, que Marx « a proposé une lecture puissante de la principale crise écologique de son époque, à savoir le problème de la fertilité des sols dans l’agriculture capitaliste » (John Bellamy Foster, Marx écologiste, 2011, p. 43). Le même problème qui est soulevé, par exemple, à propos du TAFTA, le fameux Traité Transantlantique, qui, selon les mythes, décomplexerait totalement un usage ultra-libéral de la terre, à coups de pesticides non homologés ou d’immenses entreprises broyeuses d’hommes.

     

    Attention. Derrière le concept à la mode de « développement durable », se tapit l’influence de l’administration, de l’État et des collectivismes de tout genre. C’est chez Marx que se trouve la définition la plus claire du dévelopement durable, notre bon Karl cherchant « les fondements d’un matérialisme historico-environnemental prenant en compte la coévolution de la nature et de la société humaine. » (Marx écologiste, 2011, p. 43).

    Mais Marx n’avait que faire de l’écologie, au sens contemporain. Le bon Karl, en effet, se souciait surtout du développement des engrais synthétiques, à partir des années 1840, qui faisait définitivement passer l’agriculture au stade industriel, et de l’accroissement de la course aux engrais naturels. La seule chose qui l’intéresse, au fond, c’est la logique des flux matériels qui sous-tendent l’économie capitaliste.

    C’est évident : Marx instrumentalise l’écologie, la question de la terre et de son utilisation, à des fins uniquement critiques et afin d’illustrer sa théorie de la lutte des classes, de l’exploitation industrielle des méchants riches envers les pauvres prolétaires et de l’aliénation qui en découle. Si vous lisez Juan Martinez-Alier (1987), par exemple, vous saisirez comment les tentatives de reconstruire les liens entre l’économie écologique et l’héritage du matérialisme historique ont pu se développer.

    Le « développement durable » n’est, souvent, rien d’autre que l’occasion pour l’État d’exercer sa mainmise normative et administratives sur des propriétés privées ou des forces de production qui échappaient en partie, avant l’écologisme, à son contrôle. Il s’agit aussi, pour les collectivités publiques, de construire avec des normes de plus en plus complexes, comme si les individus n’avaient aucune conscience du « durable » et du « respecteux ». C’est le nom qui recouvre des milliers de « comités publics », de « réunions », de conventions, de normes, de directives, d’amendements : autant de contrôles que l’État ou les collectivités veulent exercer sur les individus et les entreprises.

    Le malthusianisme de certaines « écologies humaines » ou « intégrales »
    De même que l’écologie politique, ou l’économie écologique, cachent souvent une idéologie marxiste, la nouvelle propension des catholiques à s’intéresser à l’ « écologie intégrale » ou à « l’écologie humaine » cache lui aussi, bien souvent, une idéologie : une sorte de malthusianisme post-moderne. Il se définit très simplement : décroissez, mes enfants ; ou, comme a pu le dire le pape François : « ne copulez pas comme des lapins ». Cette méfiance à l’égard du potentiel de développement humain, couplé à la critique de l’utilisation économique de la nature, se rapproche à de nombreux égards de la critique marxiste de l’économie capitaliste.

    Il ne s’agit pas pour nous de nier le pressant besoin de formuler une doctrine saine du corps et de la chair, que l’on peut trouver dans les fructueuses théologies du corps par exemples, ni de nier la nécessicité philosophique qui consisterait à mettre en place les conditions de possibilité d’une véritable logique de l’οἶκος, de l’habiter et du demeurer. Il s’agit de faire un travail archéologique, à la manière de Michel Foucault et de Nietzsche : dénoncer la logique post-marxiste qui sous-tend les développements actuels de l’ « écologie intégrale » ou de l’ « écologie humaine ».

    Ses partisans ne semblent vouloir, au fond, que mettre en exergue la menace environnementale représentée par le « capitalisme » ou l’ « ultra-libéralisme ». Ils sont encore enfermés dans de vieux schémas dialectiques, désuets et absconts. Les mondialisations que nous vivont sont pour eux subies, alors qu’elles doivent constituer le socle sur lequel se propulser vers l’avant. Ils ont abandonné toute idée de progrès – si néfaste a-t-elle pu être dans l’histoire, ou si instrumentalisée est-elle encore aujourd’hui, et toute idée de liberté : l’homme est si mauvais, affirment-ils, qu’il ne peut que rentrer dans une logique de destruction de son environnement, de son corps et de son patrimoine : l’homme casse son οἶκος, sa « maison », pour la revendre à petit bout. Mais quelle idée ont-ils de l’homme ? Quel espoir ont-ils encore en lui ?

    Seule une « prise de conscience » des enjeux écologiques et humains pourra faire sortir l’homme de cette logique mortifère, affirment-ils. Il faut « moraliser » l’homme, « moraliser » le capitalisme, « réguler » le marché : en un mot, il faut faut imposer des règles strictes. Ils ne voient pas que cette prise de conscience ne peut avoir lieu que de manière libre, sans le concours de l’État, sans le concours d’une collectivité oppressante, et sans le caractère dirigiste d’une économie non libérale. Ce n’est pas en introduisant une coupure nette entre l’éco-nomie et l’éco-logie que leurs buts seront atteints ; bien au contraire, c’est en produisant une économie (gestion) de l’environnement (habitat) que l’un pourra, par mode d’inclusion, s’adjoindre les services de l’autre et travailler ensemble. Ni la liberté, ni l’économie ne sont contre l’écologie : elles en sont leur plus précieux alliés. Que ces quelques propos puissent ouvrir à d’autres débats futurs.

    L’écologisme mérite-t-il une bonne guerre ?
    Au fond, les marxistes, marxiens, collectivistes, malthusianistes et post-modernes ne roulent, consciemment ou inconsciemment, que pour une seule logique : celle de la guerre. L’éditorialiste Jean-Marc Vittori dans Les Échos est le plus clair sur ce point :

    « C’est ici qu’il faudrait une bonne guerre. Car pour financer un conflit, il faut toujours s’évader des règles ordinaires, faire des choix difficiles, transcender les oppositions. (…) Cette guerre, c’est logiquement le combat pour la planète, pour préserver l’existence de notre espèce, contre les dérèglements climatiques.[…] » (à lire, un commentaire cynique  sur Contrepoints).

    Suivant cette logique, le seul moyen de sauver l’humanité c’est l’instauration d’une dictature planétaire qui « normaliserait », « moraliserait » et « dirigerait » les actions humaines afin qu’elles respectent (enfin !) la nature.

    Encore une fois, c’est la logique de la dialectique des classes qui sous-tend cette idée : celle de la lutte permanente des opprimés (la nature, les oiseaux, le peuple) contre les oppresseurs (les pays riches, les industriels, la finance), qui ne pourra se régler que par une révolution (l’écologisme, l’écologie humaine) afin d’aboutir au monde parfait (l’internationale, pour l’ecologie politique, ou l’homme bien élevé, pour l’écologie humaine). Or on ne possède pas l’homme, non plus que l’homme se possède lui-même. L’homme construit et se construit, désire et se désire, et ne peut atteindre à une concience de soi et de son environnement que par lui-même. Pour que l’homme se respecte et respecte son environnement, il n’y a qu’un seul moyen : lui laisser une subsidiarité intégrale dans ses choix de vie.

    ***

    L’écologie, évidemment, c’est une morale, un tact, une vertu, garantissant la bonne maîtrise de la nature, quand elle n’est pas instrumentalisée par des idéologies né-marxistes, qui voient dans la nature le champ de bataille entre les méchants exploitants et les gentils exploités.

    L’écologie, évidemment, c’est le souci de soi, le soin de l’âme (Jan Patočka), le fait d’habiter et de demeurer ; c’est la logique de l’οἶκος, de la maison et du patrimoine. Mais ce n’est pas l’abandon de soi, la dépossession de ses désirs, de sa volonté de réussir, de perservérer, et même de calculer ce qui, pour soi, nous semble le meilleur.

    L’écologie est si noble, si vertueuse et si indispensable qu’elle ne peut pas faire l’objet d’une instrumentalisation, consciente ou inconsciente, à des fins de propagande pour mettre en place un « monde nouveau » basé sur le contrôle étatique des ressources, l’amoindrissement des libertés ou encore une « moralisation » normative de l’homme. Pour remplir tout à fait sa mission de science et de vertu, l’écologie a besoin de reposer sur une nature, qui, dans sa complexité, dans son caractère indéniablement concupiscent et dans son mystère profond, est celle de l’homme libre.

    http://www.contre-info.com/a-lire-les-racines-marxistes-de-lecologie-contemporaine#more-38386

  • Ludovine de La Rochère à Rivesaltes

    Les élus FN des Pyrénées-Orientales se sont rendus à la conférence de Ludovine de la Rochère à Perpignan :

    20150617_134958Marie-Thérèse Fesenbeck et Irina Kortanek : Conseillers Régionaux du Languedoc-Roussillon. Mohamed Bellebou, Catherine Pujol, Jean-Claude Pinget et Xavier Baudry Conseillers Communautaires et Municipaux de Perpignan avec Louis Aliot. Ludovine a annoncé à l'assistance qu'une rencontre avec Marine Le Pen aurait lieu très prochainement.

    L'article dans l'Indépendant du jour :

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    Michel Janva

  • La destruction de la famille continue

    Communiqué de Jacques Bompard :

    "Le gouvernement socialiste continue sa politique de destruction de la famille. Le 1er juillet, les allocations familiales seront attribuées en fonction des ressources des ménages. Cette conception mathématique d’une entité charnelle qu’est la famille est méprisante. La famille cellule de base de la société, cœur vibrant de la France, est atteinte ! La politique familiale qui visait à soutenir la natalité et le pouvoir d’achat des Français est mise à mal. Le gouvernement socialiste illustre ainsi son mépris pour les familles. Parents et enfants sont abandonnés à un monde individualiste qui les déteste. Ce qui constitue un grave danger pour notre société car « Une société à la mesure de la famille est la meilleure garantie contre toute dérive de type individualiste ou collectiviste, car en elle la personne est toujours au centre de l'attention en tant que fin et jamais comme moyen. » [Compendium de la doctrine sociale de l’Eglise, 213]

    Désormais, les familles dont les ressources annuelles sont comprises entre 55 950€ et 78300€ ne recevront plus que la moitié des aides accordées par l’Etat. Quant à ceux qui dépassent les 783000€ ils ne recevront plus qu’un quart de ce qu’ils perçoivent. Cette mesure porte atteinte à 659 000 ménages [Selon la CNAF (Caisse nationale d’allocations familiales)]. Or, chaque ménage, chaque famille est la transmission de ce que nous sommes. Cette atteinte à la famille est la destruction de notre identité.

    Depuis le début de l’année, cette politique ne cesse. Citons la libéralisation de l’autorisation du travail dominical qui tue l’unité de la Nation et les instants privilégiés des familles, la promotion mortifère de l’avortement qui banalise toute vie humaine, la légalisation de l’euthanasie qui détruit toute notion de dignité ... 

    Cette politique tue l’économie des foyers et de la France. De façon plus insidieuse, il tue aussi le respect dû à la famille et à ses membres. Cette politique destructrice est la mise à mort de notre pays. La famille n’a plus sa place et la fuite ou sa disparition sont les seules solutions proposées par l’état socialiste. Combattons pour que ces communautés vivantes et libres puissent toujours l’être ! Combattons contre cette politique d’anéantissement ! Combattons pour la vie et la promotion des familles !"

    Michel Janva

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