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lobby - Page 1671

  • Voile à l'université : le FN dénonce un "enfumage de fin de campagne"

    Mardi soir, Nicolas Sarkozy s'est montré favorable à l'interdiction du voile à l'université, et "opposé aux repas de substitution" dans les cantines.
    Le Front national a dénoncé mercredi la sortie de Nicolas Sarkozy sur TF1 mardi soir. L'ancien président s'est montré favorable à l'interdiction du voile islamique à l'université, mais aussi "opposé aux repas de substitution" dans les cantines scolaires. "Fidèle à son habitude, Nicolas Sarkozy court après le Front national et ressort la machine à promesses non tenues quelques jours avant les élections. Plus un Français n'est dupe de cette mascarade à visée électoraliste", écrit le FN dans un communiqué.
    "Chacun connaît son goût pour la discrimination positive"
    "Cette fois, il se présente en défenseur de la laïcité, prônant l'interdiction du voile à l'université. Cet enfumage de fin de campagne est grossier, car chacun sait que Nicolas Sarkozy avait dix ans pour agir, entre 2002 et 2012, comme ministre de l'Intérieur puis comme président de la République, et qu'il n'a rien fait. Chacun sait aussi que Nicolas Sarkozy est l'homme qui a nommé un préfet parce que musulman", poursuit le parti d'extrême droite. "Chacun connaît son goût pour la discrimination positive et sa vision communautariste de la société française. Chacun, enfin, a souvenir des flux massifs d'immigration sous le mandat de Nicolas Sarkozy, identiques aux chiffres actuels, soit 200 000 étrangers légalement reçus en France chaque année", développe le FN, pour qui "même à l'UMP Nicolas Sarkozy ne trompe plus".

    afp via le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukyZpykZujubFMIpc.shtml

  • À force de taper sur le FN, on finit par taper sur ses candidats

    La montée du FN est actuellement une nécessité vitale pour le régime. C’est la seule porte de sortie dont il dispose.

    À force de taper sur le Front national, on finit par taper sur ses candidats. Preuve en est la courageuse agression perpétrée sur une femme de 83 ans à Sartrouville : alors qu’elle collait, seule, des affiches sur un panneau électoral, cette suppléante a été prise à partie par deux « jeunes » qui l’ont frappée au visage et lui ont déversé son seau de colle sur la tête. La vieille dame n’a dû son salut qu’à l’intervention d’une institutrice qui s’est portée à son secours.

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  • Charlie Hebdo, ou l’imposture de Mai 68

    Je rêve ou bien c’est un nouvel appel, un énième appel au sexe hippie, au libertinage pour tous, à la frivolité peinarde, par Luz le lucide, dessinateur crypto-bab ?

    « Baisons avant les élections, on votera moins con ! » Qui parle ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce que c’est que cette injonction ? Signifie-t-elle que certains votent « con » ? C’est quoi, voter « con » ? Ça doit être, vu le journal – il s’agit de la une de Charlie Hebdo daté du 11 mars dernier -, voter à gauche, ou voter à droite, ou sans doute voter FN ? Mais alors quoi, ceux qui voteraient FN seraient donc des gens qui ne baisent pas, pas avant les élections en tout cas… Qui baisent après ? Pour les fêter ? Ces mal baisés, ces non baisables, qui votent FN parce qu’ils ont une revanche à prendre sur la vie ! Ah ben, voilà, on l’a, l’analyse que tout le monde attendait et qui nous manquait tant ! Le vote « con », le vote « FN » n’est plus un vote de protestation, mais de frustration ! Et les autres voteraient « pas con », parce qu’ils sont pas frustrés, parce qu’ils baisent tout simplement ! Mais oui ! Mais comment n’y avait-on pas pensé avant !

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  • Le maire Gilles Platret (UMP) a mis fin à 31 ans de menus halal dans les cantines de Chalon-sur-Saône

    Il faudra cesser avec la religiosité qui entre dans les assiettes de nos enfants dans les cantines scolaires sous couvert de laïcité.

    C’est toujours au nom de la tolérance qu’il faille endurer l’intolérance. Car, ne nous y trompons pas, il y a les porcs, les impurs d’un coté et le halal, les purs d’un autre coté dans l’esprit mahométan. C’est bien le droit de se laisser bafouer de façon religieuse qui nous est imposé par un biais de laïcité qui finit par être un fourre-tout contenant de tout sauf du laïc au fur et à mesure que le population musulmane augmente et prend de l’influence.

    A l’instar des indigents athées ou catholiques qui se retrouvent à manger ce que les musulmans ne veulent pas dans les distributions de colis pour précaires, des femmes qui se font juger légères dans leurs mœurs par les accompagnatrices voilées lors des sorties scolaires, les écoliers vivent cette ségrégation religieuse à l’avantage des islamistes.

    Et pourquoi, dans tous les cas, la France devrait continuer de subir les insanités sanitaires du halal et son impôt religieux sournoisement instauré dans les réseaux de distribution alimentaire ?

    C’est au nom d’une véritable laïcité que le maire Gilles Platret (UMP), a mis fin à 31 ans de menus mixtes dans les cantines de Chalon-sur-Saône. Il a, en effet, annoncé la suppression, à partir de la rentrée prochaine, du menu de substitution dans les cantines scolaires de Chalon-sur-Saône.

    Najat Vallaud-Belkacem, visiblement plus préoccupée par l’appétit des musulmans que par l’essor vertigineux de la délinquance dans les milieux scolaires et périscolaires a promptement réagi : « Supprimer la possibilité d’avoir un menu non confessionnel, je trouve que c’est une façon, en réalité, d’interdire l’accès de la cantine à certains enfants »

    Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national contre l’islamophobie, interrogé par BFMTV, a jugé que c’était de la bêtise.

    http://fr.novopress.info/

  • Pourquoi il faut soutenir Vladimir Poutine

    « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment.
    Oui, ils sont très durs les américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C'est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. » (Source : Le dernier Mitterrand de Georges-Marc Benamou).

    Ces dernières semaines, de bien surprenantes prises de positions sont apparues sur la toile: la dénonciation des dérives poutiniennes que connaîtraient une certaine classe politique, surtout de droite, tandis qu'une partie de la France aurait, elle, le tort d'être « pro-Poutine ».
    Hormis la fâcheuse manie franco-française de systématiquement dénoncer son voisin, surtout s'il est francais, on constate qu'une certaine panique gagne les relais médiatiques actifs du dispositif de gouvernance, dont le métier est de rédiger et de diffuser le « prêt-à-penser » démocratique. Il y a peu, émus par le nombre de commentaires pro-poutine sur le web hostiles aux articles de leurs journaux, ils tentèrent maladroitement de mettre cette tendance sur le compte de professionnels de l'agit-prop internet payés par le Kremlin. Une telle explication n'a pas manqué d'amuser les citoyens qui expriment par simple conviction leur opinion dans les commentaires du Figaro ou du Monde, par exemple.
    Dans la foulée, ces mêmes experts ne purent que constater la victoire idéologique russe (sic) dans la bataille de la communication, en affirmant que le Kremlin pouvait s'appuyer sur « des fantassins européens, recrutés ou ralliés par conviction ». Diantre!
    Leur panique semble du reste croître à mesure que n'augmente la défiance des Français envers la gouvernance actuelle ou lorsqu'ils constatent que toutes les décisions importantes qui concernent la France sont prises à Bruxelles ou Washington. En général, ils sont tout aussi méfiants envers les alliances supranationales ou face aux projets d'abolition totale des frontières ou d'installation de vastes marchés communs transatlantiques dans lesquels les Etats n'auraient plus leur mot à dire, et se verraient privés du droit de défendre leurs intérêts nationaux. Les « pro-Poutine », comme aiment les nommer nos journalistes et autres chercheurs, semblent dans l'ensemble penser que vivre dans un monde dominé par une hyperpuissance unique n'est pas une bonne chose.
    On ne saurait leur donner tort, sachant que semble se profiler la fin du monde unipolaire face au monde multipolaire en émergence. Une fin du monde unipolaire qui frappera par ricochet, et en priorité, les plus proches alliés de l'Amérique et les pays qui lui sont excessivement soumis au sein de l'OTAN, comme c'est le cas pour le bateau France. Ceux que nos « journalistes et autres chercheurs ou intellectuels » taxent de « pro-poutine » semblent plutôt partager un mode de pensée patriotique qui bénéfice de relais et d'échos aussi bien dans divers pays d'Europe qu'en Chine, au Brésil ou en Inde, parmi ceux qui souhaitent un monde pluri-polaire formé de nations souveraines. Voilà pourquoi le système de gouvernance actuelle, discrètement mais clairement atlantiste ou proaméricain en France, se sent inquiet et réagit par la voie médiatique notamment.
    La grande force du dispositif américain en France est d'avoir efficacement, laborieusement et très discrètement placé ses « trolls », relais et agents à des positions d'experts, du moins officiellement. Des experts dont le seul travail aura été ces dernières années d'exécuter une mission de totale désinformation à l'égard du peuple français en lui dressant un tableau mensonger de la situation nationale, européenne et surtout mondiale.
    Alors que le bateau France prend l'eau, les relais de ce système ne semblent pas très inquiets pour la France. Ce qui les préoccupe, c'est un possible échec du projet américain et euro-mondialiste qui gangrène la France et l'Europe. Un tel échec commencerait par affaiblir les financements du système et mettrait en péril les revenus de bon nombre de ces faux experts qui en vivent.
    Au fil des années, le modèle Bruxelles-Washington d'organisation de la planète s'est largement discrédité en essayant de propager la démocratie et l'économie libérale en bombardant Hanoï, Belgrade puis le Moyen-Orient. De plus, le bilan économique dans les pays occidentaux n'est pas fameux. Le système médiatique a donc arrêté de faire l'éloge de ce modèle, et il s'est mis à dénigrer les contre-modèles. Chine-bashing, Russie-bashing, Poutine-bashing et finalement dénigrement et maintenant bashing systématique des Français qui se déclarent pro-Poutine. Ils représenteraient un pays raciste et fermé (cette France qui a portant accueilli plus d'étrangers que la plupart des pays de l'OCDE et qui aimerait plus que tout Zidane, Goldman ou Omar Sy), cette même France moisie, stérile et idiote (!) aurait désormais le culot de porter un certain intérêt et d'estimer Vladimir Poutine.
    Cette hystérie pathologique prend des tournures parfois inattendues. Dimanche dernier, l'homme politique francais Nicolas Dupont-Aignan était en visite à Moscou. Il a rencontré des chefs d'entreprises francais qui lui ont fait part des difficultés qu'ils rencontraient dans le climat de « russophobie médiatique » excessif que propagent la majorité des médias nationaux. Immédiatement ces chefs d'entreprise ont été accusés d'être des « faussaires payés par le Kremlin » (!) par des journalistes qui ne supportent visiblement juste pas que leur travail soit critiqué, fût-ce de façon constructive.
    Pour nos journalistes, intellectuels, politiciens et professeurs d'université cela semble invraisemblable, démontrant par là-même que la faculté de comprendre le peuple n'est pas donnée à tout le monde. Et encore moins à une certaine élite globaliste et soumise, dont la mission aura été durant ces dernières décennies de servir pitoyablement la volonté politique de Washington et du bloc Otan-centré, portant ainsi atteinte aux intérêts supérieurs de la nation.
    Pourtant, il y a de très nombreuses raisons de penser que cette France « stérile et idiote » (sic) qui soutient Vladimir Poutine n'a pas tort.
    La première sans doute est qu'il est impossible de ne pas reconnaitre au président russe les attributs d'un authentique chef d'Etat, dont la mission unique et absolue est la défense des intérêts supérieurs de la nation russe. Une tâche que ce dernier accomplit sans faillir depuis maintenant 15 ans.
    Et n'en déplaise à une majorité d'«experts » occidentaux, le projet Poutine a été expliqué par ce dernier au peuple russe dès sa prise de pouvoir en 2000. Force est de constater que le peuple russe plébiscite encore à ce jour ce projet qui s'axe sur la croissance économique, le retour d'un Etat fort (une tradition en Russie) et la réaffirmation d‘une certaine fierté nationale de voir la Russie de nouveau jouer un rôle important au niveau régional et mondial. On ne souhaiterait pas mieux à la France!
    En tant que Français, je me souviens du rôle historique que mon pays a joué afin de contribuer, au cœur des années 60, à l'émergence d'un monde multipolaire, cette tâche juste et fondamentale dont le flambeau est aujourd'hui très clairement porté par la Russie.
    La majorité des Français de Russie saisit bien à quel point les difficultés de redressement de la barque russe sont grandes et qu'aujourd'hui, seul le « système Poutine », malgré ses nombreuses imperfections, est le seul suffisamment solide et éprouvé pour aborder et achever la complexe transition en cours en évitant un quelconque chaos.
    Inclassable, le président russe, réformateur économiquement et conservateur socialement, représente aujourd'hui en Russie tant la droite et la gauche, le patriotisme et l'internationalisme, le libéralisme et l'étatisme. Cette politique qui mise sur le pragmatisme et la croissance a sans doute été la clef du dispositif de gouvernance russe, permettant au pouvoir russe de s'assurer un enracinement politique sur la longue durée, la seule échelle permettant le déploiement et l'application d'une authentique politique stratégique.
    Cet enracinement politique lui permet de fédérer la grande majorité des courants électoraux comme ne le faisait du reste en son temps dans notre pays le Général De Gaulle, avec 78,5% des voix 1958 et 55% en 1965. S'il n'est sans doute pas plus facile de créer une opposition contre Poutine aujourd'hui qu'il ne l'était d'en créer une contre De Gaulle en 1958, il est amusant de constater que dans les deux cas, avec un demi-siècle d'écart, la principale opposition est communiste, traduisant bien la grande similitude non seulement de ces moments historiques mais aussi sans doute des situations politiques de ces deux personnages.
    Ce qui a été bon pour la France durant les 30 glorieuses ne peut fondamentalement qu'être bon pour la Russie durant ses 15 glorieuses, mais la similitude historique pourrait ne pas s'arrêter là. La Russie sortait d'une grave crise historique, politique et sociale et à ce titre, si le Poutine de 2012 ressemble au De Gaulle de 1958, la France de 2020 pourrait ressembler à la Russie des années 2000 tant notre pays semble malheureusement se diriger vers des années douloureuses et une crise profonde. Une crise qui devrait, comme en Russie, permettre l'émergence d'une nouvelle élite politique.
    Un tel bouleversement politique devrait entraîner (du moins espérons-le) de profondes modifications structurelles et générer une lourde réorientation stratégique et structurelle de la France.
    De l'époque actuelle, il restera le souvenir de l'extraordinaire incompétence des gens qui depuis 1968 ont dirigé notre pays.
    Une sous-élite dont la durée de vie, ou plutôt de nuisance, n'aura historiquement duré qu'un demi-siècle, mais que la réalité ne devrait pas tarder à renvoyer, avec leur panoplie de faux experts et autres donneurs de leçons, à l'endroit qu'ils méritent: les poubelles de l'histoire.

    Alexandre Latsa

    http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20150318/1015230276.html

  • Mais de qui parle Christiane Taubira ?

    Elle vient de déclarer :

    "Quand il était ministre des Affaires étrangères et premier ministre, j'étais parlementaire donc j'ai eu l'occasion de voir de près son travail. Je suis persuadée qu'il a des valeurs, et des valeurs républicaines qui se raréfient dans le parti auquel il appartient."

    Et à propos de sa position sur la loi Taubira :

    "Il a su prendre de la hauteur. On l'a pressé en disant ‘vous allez abroger en reprenant des responsabilités'. Il a dit que ça n'a pas de sens. Il a eu le courage, face à son camp, de dire que même si nous n'étions pas d'accord, c'est une réforme de société. Ce n'est pas la peine de casser pour le plaisir de casser. Je trouve que c'est vraiment de la hauteur d'homme d'État et moi je le considère comme un homme d'État"

    Pour ceux qui auraient encore des doutes, il s'agit d'Alain Juppé.

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • J-C Fromantin : "Les Français n’attendent pas une coalition défensive contre le Front national mais une remise en cause d’un système qui ne fonctionne plus"

    A quelques jours des élections départementales, Jean-Christophe Fromantin revient sur les enjeux politiques d’un Front national historiquement haut dans les sondages, et sur la lecture que devraient en faire les partis traditionnels.

    Atlantico : On vous voit davantage comme une personnalité en dehors des clous en politique : issu de la société civile, vous comptez vous démarquer davantage par les propositions, parfois en rupture, plutôt que par les logiques politiciennes. Pour autant, cette attitude n’a pas toujours porté ses fruits, en témoigne les résultats lors des élections à la présidence de l’UDI il y a quelques mois. En quoi cette différence peut-elle constituer une entrave en politique ? D’une manière générale, comment se gère-t-elle ?

    Jean-Christophe Fromantin  : Au contraire, c’est avec ce positionnement libre et éloigné des constructions politiciennes, que j’ai été élu à la fois maire et parlementaire.

    Jusqu’à présent cela m’a plutôt servi … Et c’est logique, car mon engagement politique part du même constat que celui des 90% de Français qui disent ne plus faire confiance aux hommes politiques, ni aux partis traditionnels. Je ne supporte plus ce langage démagogique, ces attaques personnelles, cette critique systématique et l’absence de vision qui caractérise le débat politique. Je n’ai pas envie d’être un homme politique comme les autres. J’ai envie d’entreprendre pour ma ville, pour mon pays, d’oser, de réformer, de réinventer, de renverser la table s’il le faut, mais surtout pas de m’installer dans le confort d’une carrière politique.

    La réforme territoriale, dont vous avez récemment vilipendé le 3ème volet à l’Assemblée, rend les futures responsabilités des élus des départementales floues. Selon vous, quels sont alors les vrais enjeux de ces élections ?

    Avec la réforme territoriale nous avions une occasion formidable de bâtir la France de demain : en créant de nouvelles régions autour de quelques métropoles ouvertes sur le monde ; en structurant la France autour de 500 villes moyennes pour offrir à chacun le bouquet de services publics auquel il peut légitimement prétendre ; en proposant une nouvelle carte des mobilités et de l’aménagement du territoire ; et en lançant une grande réforme de l’organisation de l’Etat. Plutôt que d’adapter la France aux nouveaux défis, on a bricolé en maintenant toutes les épaisseurs du millefeuille territorial. Les départements sont une échelle qui se justifiait sans doute à la fin du XVIIIème siècle mais qui peine aujourd’hui à trouver sa place dans une nouvelle ambition territoriale. C’est la raison pour laquelle l’intérêt de cette élection échappe de plus en plus aux Français. Du coup, le véritable enjeu sera sans doute dans la lecture des résultats et dans les enseignements que l’on tirera des messages politiques que les Français vont adresser. [....]

    La suite sur Atlantico

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?J-C-Fromantin-Les-Francais-n

  • Nouveau scandale du sang contaminé en perspective

    Alors que 43% du nombre total de découvertes de séropositivité en France concernent les LGBT, on apprend que le gouvernement souhaite qu'ils puissent donner leur sang.

    En 2012, derniers chiffres connus, chez les personnes homosexuelles pratiquantes, le nombre de découvertes de séropositivité VIH avait augmenté de 14% par rapport à l’année précédente. Cela représente 43% du nombre total de découvertes de séropositivité en France.

    Au premier jour de l'examen du projet de loi santé en commission des affaires sociales, à l'Assemblée, mardi 17 mars, le ministre de la santé Marisol Touraine a annoncé que le questionnaire préalable au don du sang serait modifié. Celui-ci exclut aujourd'hui les personnes homosexuelles de sexe masculin, en raison de la forte prévalence du VIH parmi cette population.

    Pour les autorités sanitaires, l'exclusion du don du sang des personnes homosexuelles est une mesure de précaution. Le nombre de personnes contaminées par le VIH est 65 fois plus élevé parmi les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres homme. Le nombre de nouvelles infections enregistrées chaque année dans cette population est 200 fois plus élevé. 

    Mais le gouvernement n'a que faire du principe de réalité. Son idéologie criminelle l'aveugle.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Démolir les 26 dogmes du politiquement correct

    Voici 26 éléments de propagande de l’idéologie dominante ou de la vulgate médiatique – de gauche ou de droite – dans plusieurs domaines. Tous ces dogmes inversent la réalité, par aveuglement idéologique et déni des faits. Cette idéologie est ”hégémonique”, c’est-à-dire qu’elle s’impose politiquement et dans les médias bien qu’elle ne soit pas partagée par la majorité de la population. Passage en revue.
    Dogme N° 1. L’intégration des immigrés échoue parce que la République et ses valeurs sont en faillite. 

    Faux : c’est l’inverse. C’est à cause de l’immigration trop massive que les valeurs de la République intégratrice s’effondrent. On ne peut pas intégrer ni assimiler aux normes d’un pays, quel qu’il soit, des populations de plus en plus nombreuses et prolifiques qui, majoritairement, sont indifférentes ou hostiles aux valeurs et à l’identité de ce pays.
    Dogme N° 2. L’école publique échoue à cause de l’idéologie “pédagogique” issue de Mai 68. 

    C’est un dogme de la droite. Partiellement faux : elle échoue surtout à cause de l’hétérogénéité ethnique des élèves et de l’islamisation, conséquences de l’immigration incontrôlée. 
    Dogme N° 3. La France n’est pas menacée par l’immigration et se renouvelle dans la ”diversité”, comme elle l’a toujours fait au cours de son histoire. 

    Faux. Si rien ne change très rapidement sur le plan immigratoire et démographique, la France disparaîtra en tant qu’unité anthropologique, politique et culturelle avant la fin de ce siècle. De même que plusieurs pays voisins : Belgique, Allemagne, Hollande, Royaume-Uni, etc. La France n’est ni une ”république” désincarnée ni une ”idée”, mais une entité historique construite sur une homogénéité ethnique d’origine européenne et non pas ”cosmopolite”. 
    Dogme N° 4. Les banlieues sont défavorisées, ce sont des ghettos où l’on a parqué les immigrés, dont les jeunes subissent un taux de chômage insupportable parce qu’ils sont ”exclus”. 

    Faux. Les banlieues immigrées sont abreuvées d’aides et de subventions de toute nature et les ”jeunes” bénéficient de nombreuses mesures préférentielles de discrimination positive , mais rien n’y fait. Le ”racisme” et l’exclusion sont des mythes. Ce sont au contraire les Français de souche des classes populaires qui sont relégués et exclus.

    Dogme N° 5. L’islam laïc, tolérant et républicain est possible et bienvenu en France. Le ”vivre ensemble” est possible. 

    Faux. L’islam est fondamentalement une religion/idéologie théocratique, antirépublicaine et antidémocratique. Islamisme et islam sont rigoureusement la même chose. Relire le Coran. L’islam laïc ou spiritualiste (soufisme) est minoritaire et marginal. C’est un faux nez. Aucune cohabitation pacifique n’a jamais et ne sera jamais possible avec l’islam, de par sa nature même.

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  • Comment vos élus locaux financent la construction des mosquées

    Extrait de l'interview du sénateur UDI de l’Eure, Hervé Maurey, rapporteur d'un projet sur la question des financements des lieux de culte par les collectivités locales :

    1442180326"Aujourd’hui, nous n’avons aucune information - et je dis bien aucune - sur la manière dont les lieux de culte qui se construisent sont financés, en premier lieu les mosquées. Parce qu’aucune règle de transparence n’a jamais été posée. Avec des règles, nous saurions qui finance et nous pourrions aussi comprendre pourquoi et dans quel but. Nous avons besoin de savoir si certains doutes sont fondés ou non.Des financements de lieux de culte ont déjà interpellé Tracfin, les services du ministère des Finances qui surveillent les éventuels blanchiments d’argent.

    Ces baux emphytéotiques sont une bombe à retardement. Le principe du bail emphytéotique est que le propriétaire met à disposition le terrain pour un nombre déterminé d’années. Au terme du bail, l’édifice construit appartient au propriétaire du terrain. Dans un proche avenir, les municipalités vont ainsi devenir les propriétaires d’une série d’églises catholiques construites avant guerre, comme c’est le cas pour une trentaine d’entre elles à Paris. Ce sont des bâtiments qui ont des coûts d’entretien élevés.Aujourd’hui, ce sont les églises catholiques mais demain, nous aurons les mêmes problèmes avec les mosquées. A Montreuil, la mosquée est ainsi édifiée sur un terrain municipal grâce à un bail emphytéotique.

    La jurisprudence du Conseil d’Etat a autorisé les communes à financer des équipements ou des parties d’équipements à vocation culturelle et non pas cultuelle. Mais c’est souvent dans le même bâtiment. La frontière entre le cultuel et le culturel est assez ténue. Nous suggérons qu’il y ait un décret du Conseil d’Etat qui délimite tout cela. Dans certains cas, il y a une hypocrisie dans la distinction et la partie culturelle a pu être injectée pour que la totalité de l’édifice puisse être subventionnée."

    Pour en savoir plus sur ce qui se passe près de chez vous.

    Addendum : Jean-Marie Bockel vient d'annoncer que le rapport vient d'être adopté à l'unanimité au Sénat avec notamment l'article 6 : "Aider et sécuriser les élus locaux en définissant explicitement, par décret en Conseil d'Etat, les types de dépenses municipales pouvant relever du culturel et celles pouvant relever du cultuel".

    Le financement officiel de l'islam en France, c'est maintenant !

    Philippe Carhon