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lobby - Page 1746

  • Manifestation “contre l’islamophobie” : Drapeaux étrangers et femmes voilées dans les rues de Paris

    Dimanche 18 janvier 2015. Alors que le rassemblement anti-islamistes organisé par Riposte Laïque et Résistance Républicaine était interdit, la contre-manifestation “pour dénoncer l’islamophobie” était, quant à elle, autorisée.

    Les Parisiens ont ainsi pu assister à un rassemblement hétéroclite mêlant militants “antiracistes”, drapeaux étrangers et femmes voilées. Comme en Allemagne, où certains se mobilisent contre Pegida, les Européens se déclarant “en guerre contre l’islamophobie” apparaissent comme les soutiens actifs de l’islamisation.

    http://fr.novopress.info/

  • L’ultra-libéralisme, le pire ennemi de la liberté réelle

    L’un des dogmes fondateurs de l’Union Européenne depuis le traîté de Maastricht de 1992 est la totale « liberté » de circulation des biens, des capitaux et des personnes. Au nom de ce dogme ultra-libéral, tout contrôle des frontières est interdit aux Etats membres de l’Union Européenne. Incidemment, c’est à cause de ce principe économique qu’on dénie au peuple français le droit de se préserver de toute la faune islamo-terroriste, qui déambule sans entrave.

    En contradiction totale avec ce culte fanatique de la logique économique, ces derniers jours, on assiste à un concours de déclarations liberticides à l’UMP. Observons quelques tweets et déclarations :

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  • Ce n’est pas la relance de Charlie Hebdo qui donnera envie de respecter la France

    De Marc Fromager, directeur de l'AED :

    "Charlie. Etre ou ne pas l’être. Si c’est pour manifester notre compassion pour les victimes et notre résistance au terrorisme, évidemment oui. Si c’est pour ériger un soi-disant droit à l’insulte au nom d’une pseudo liberté d’expression sans limite, non. Comme catholique, j’ai souvent été consterné par la vulgarité de ces dessins qui offensaient sans retenue la foi des croyants, quelle que soit la religion. A ce propos, il est vraiment paradoxal que ce soit des églises qui soient incendiées au Niger alors que les chrétiens n’y sont pour rien.

    Si aujourd’hui, être Charlie se révèle être le summum de l’expérience collective proposée aux Français, on peut imaginer quelques réticences et malheureusement prévoir de nouveaux drames. Fallait-il absolument imprimer et réimprimer une nouvelle couverture de ce journal pour susciter à nouveau des violences ? Que cherche-t-on ? Quel est notre objectif en nombre de morts ?

    Charia. On peut ne pas aimer Charlie, cela ne peut en aucun cas justifier une telle violence, commise, selon les terroristes, au nom de l’islam. Ils ressemblent en cela aux djihadistes de l’Etat islamique, de Boko Haram ou d’Al Qaida qui tous prétendent également agir au nom de l’islam. Ces événements sont-ils le début du jihad sur le territoire national ? Si oui, quel autre objectif aurait ce combat si ce n’est l’accélération de l’islamisation de la France et sa soumission à la charia ? On peut feindre l’angélisme mais la simple revendication de la liberté d’expression ne nous protégera aucunement contre une volonté radicale servie par une vitalité démographique, le tout sur fond de violence.

    Charité. Alors que faire ? On a parlé de guerre déclarée à la France, il faut donc se défendre, avec toutes les armes nécessaires, qu’elles soient matérielles pour assurer la défense du territoire, juridiques pour faire régner le droit ou spirituelles car en dernier ressort, on doit pouvoir répondre à la vacuité spirituelle dont l’Occident meurt et dans laquelle l’islamisme s’engouffre.

    Ce n’est pas la relance de Charlie Hebdo qui donnera envie de respecter voire même d’aimer la France mais d’abord une réappropriation des valeurs qui ont fondé l’Occident et dont l’abandon suscite – à juste titre – un mépris croissant, puis une double découverte, à la fois celle de la beauté et de la grandeur de notre histoire et de notre culture et aussi, mais peut-être avant tout, celle du Christ que nous sommes appelés à révéler par le témoignage de notre foi et par l’exercice de la charité."

    Michel Janva

  • Carnages djihadistes à Paris : ce n’est qu’un début – Par Guillaume Faye

    Les carnages à Charlie Hebdo, dans le magasin casher et à Montrouge ne sont qu’un début, un signe avant-coureur. En tout, 17 morts, dont 10 journalistes, 4 Juifs et 3 policiers et une trentaine de blessés. En ces journées, la guerre civile ethnique a commencé, menée en France sous la bannière de l’islam. Plus rien ne pourra l’arrêter, sauf une victoire d’un côté ou de l’autre, car jamais une guerre ne cesse d’elle-même par armistice sans vaincus ni vainqueurs.

    Plus grave que le 11 septembre ?

    Ces tueries suivent les attentats meurtriers commis par des ”loups solitaires”, au cri de « Allah Akbar ! » en lançant des voitures dans la foule ou en attaquant au couteau (à Joué-lès-Tours, Nantes, Dijon). Cet acte de guerre s’inscrit dans une offensive tous azimuts (pensée comme contre-offensive et vengeresse) de l’islam contre l’Occident et plus spécifiquement contre la France qu’il entend conquérir. Cette guerre, le terrorisme n’en est que la partie visible de l’iceberg ; la partie immergée, c’est l’islamisation, offensive grandissante sur tout le territoire, dont l’intimidation par le terrorisme n’est qu’un des aspects. Après les tueries de Merah et de Nemmouche, la saga sanguinaire continue. Et les angéliques crient : ”il n’y a pas de guerre de civilisations ! ”. Remarquez, d’un certain point de vue, ils ont raison car, en fait, c’est la guerre de la civilisation contre la barbarie.

    Paradoxe : par leur portée symbolique, ces attaques sont plus marquantes que celles du 11 septembre 2001 à New-York, pourtant autrement plus meurtrières (3.000 morts). À l’époque, on n’avait pas vu une pareille mobilisation, avec manifs géantes qui ont attiré 50 chefs d’État et de gouvernement. En effet, les attaques de Paris, venues de l’intérieur, ont été une opération militaire de commandos qui a frappé les esprits. Ces raids, ces rezzous, peuvent se répéter à l’infini, alors que les attentats du 11 septembre, comme ceux de Madrid et de Londres, supposent une lourde logistique. C’est la logique de la guérilla de terrain, autrement plus angoissante et imparable que celle du terrorisme classique.

    Islam et barbarie

    Partout la barbarie islamique prend de l’ampleur, Boko Haram au Nigéria, Syrie, Irak, Algérie, etc. avec son cortège de décapitations, de massacres de civils, de viols, d’esclavagisme, d’enfants tueurs enrôlés, de spoliations, de persécutions, de prises d’otages, de pillages, d’exécutions sommaires, etc. Relisez l’histoire, rien de nouveau. Quand se décidera-t-on à ouvrir les yeux ? Ils ne se cachent même pas, à la différence des nazis et des communistes (Staline, Mao, Pol-Pot, etc.), ils ne maquillent même pas leurs crimes. Ils en sont fiers ; ils les étalent au nom d’Allah, ils les filment et les diffusent. Si l’on commettait de telles abominations au nom du christianisme, ne se poserait-on pas des questions sur la nature de ce dernier ? Pourquoi ne pas le faire quand il s’agit de l’islam, qui est devenu en France intouchable ? Intouchable (péché d’”islamophobie”), par peur, tout simplement.

    Vous avez dit ”liberté d’expression” ?

    On a manifesté au nom de la liberté de pensée et d’expression pour défendre Charlie Hebdo. C‘est assez hypocrite de la part d’un État et d’une idéologie dominante qui, par ailleurs, répriment la liberté d’expression quand elle provient de ceux qui ne participent pas de cette idéologie. J’ai été condamné à une très forte amende par la justice française en l’an 2000 pour mon livre La colonisation de l’Europe, discours vrai contre l’immigration et l’islam. (L’Aencre) qui pourtant ne comportait aucune caricature ni propos offensants mais une argumentation contre l’immigration et l’islamisation. Cause de la condamnation : islamophobie. Éric Zemmour, après d’autres ennuis judiciaires, a été remercié de I-Télé pour son livre Le suicide français. Où est la ”liberté d’expression” ? Deux poids, deux mesures. Charlie Hebdo, lui, étant gauchiste (et non pas du tout subversif) bénéficiait d’une sorte d’immunité judiciaire. En réalité, l’État français, gauche et droite confondues, a préparé la voie à l’intolérance islamique en criminalisant l’”islamophobie”. Pour ménager un électorat et acheter la paix civile. C’est raté. Au nom de la tolérance, il est puni de critiquer l’islam intolérant ! Ce n’est pas la peine de se réclamer hypocritement de Voltaire ! On oublie que sa pièce (médiocre par ailleurs) Mahomet a été interdite de représentation à Genève il y a peu de temps.

    Stratégie d’intimidation

    Les meurtres des journalistes de Charlie Hebdo, font partie d’une stratégie d’intimidation qui joue sur les peurs. Il s’agit de dissuader toute critique de l’islam totalitaire. Cette dissuasion peut marcher. Par une sorte d’étrange concomitance, l’attentat contre Charlie Hebdo a eu lieu le jour même de la sortie du roman malheureusement prophétique de Houellebecq, Soumission, qui décrit en 2022 la prise de pouvoir de l’islam en France, du fait de la lâcheté et de la collaboration des élites, ce qui est bien vu. Mais, l’auteur a décidé, suite aux récents événements, d’annuler la promotion de son roman, par une sorte d’autocensure. On comprend que Michel Houellebecq ait peur : en 2004, Theo Van Gogh, le cinéaste qui avait réalisé le film Submission, (exactement le même titre que son roman Soumission, traduction de ”islam”) avec la courageuse Somalienne Ayaan Hirsi Ali, sur l’oppression des femmes par l’islam et qui mettait en scène Allah, a été égorgé par un musulman marocain. Houellebecq n’ose pas monter au front et s’exposer en faisant la promotion de son roman. C’est un des premiers exemples du processus d’intimidation.

    L’immigration comme cause efficiente

    Dans tout processus, fait ou événement, Aristote (dans La Métaphysique, Livre I) distinguait plusieurs causes très diverses qui l’avaient provoqué. La plus importante était la cause efficiente, le ”moteur” sans lequel rien n’aurait pu avoir lieu.

    Critiquant l’”union nationale” à laquelle appelait François Hollande, Jean-Marie Le Pen a eu cette remarque très juste : « je n’ai pas envie de soutenir l’action gouvernementale impuissante et incohérente face à un problème [le terrorisme musulman] qui touche évidemment de très près à l’immigration massive subie par notre pays depuis quarante ans ». Car le cœur du problème est là : la France est le déversoir d’une immigration invasive de peuplement en très grande majorité musulmane et à forte fécondité. Et l’on ne s’attaque pas à cette vraie cause, du fait de l’idéologie cosmopolite et antiraciste. Les gouvernants sont à la fois pour l’immigration incontrôlée des musulmans en Europe et contre les dangers du djihadisme. Ils s’imaginent que les masses musulmanes vont devenir par enchantement ” républicaines”, ”laïques”, ”démocrates”. Une telle incohérence montre à quel point de sidération nos élites sont parvenues. Le déni de réalité (dans ce domaine comme en économie) et la stupidité ont atteint un paroxysme pathologique qui n’a été égalé dans l’histoire qu’au IVe siècle lorsque les élites romaines faisaient entrer dans la romanitas les Barbares pour les protéger des …invasions barbares. (Michel De Jaeghere, Les derniers jours, la fin de l’empire romain d’Occident, Les Belles Lettres). Ce qui nous arrive est la conséquence à la fois de l’idéologie assimilationniste (tout le monde pourra s’assimiler à la France républicaine) et de l’idéologie communautariste de Terra Nova qui inspire le PS (une France paisible, une ”nouvelle France” multiethnique serait possible, même avec l’islam) qui sont les deux faces de la même utopie délirante qui débouche à chaque fois sur la guerre civile. Celle qui, précisément, commence.

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  • Chrétiens assassinés : merci Charlie !

    Là où l’islam règne, ce sont les chrétiens de la dhimmitude qui trinquent, dans l’indifférence complice des États.

    La publication de Charlie Hebdo actuellement en vente a pour couverture la caricature de Mahomet. Quoi qu’elle ne soit point obscène comme les dessins visant ignoblement les chrétiens dans les pages intérieures, c’est un crime impardonnable selon la charia et tous les musulmans la ressentent comme une injure à leur croyance et l’expriment plus ou moins fortement selon qu’ils sont ou non en pays d’islam.

    Assimilant Charlie Hebdo, parce que français, à une production des chrétiens, des foules de musulmans fanatisés incendient des églises, terrorisent et assassinent nos frères chrétiens dans des pays d’Afrique et d’Asie. Or, tragique ironie, si ni le prophète ni les musulmans ne sont traités ordurièrement, ce sont les chrétiens qui le sont. Comme toujours selon le même « bas-fonds » de commerce pour satisfaire les pauvres consommateurs de l’obscénité antichrétienne. Cette fois, dans cette abjecte ignominie à 7 millions d’exemplaires, on a notamment pris pour cible sœur Emmanuelle. Et on sait à Charlie Hebdo qu’il n’y a aucun risque à publier pareilles déjections sauf celui de l’appel à la justice quand la dérision la plus ordurière devient par trop incitation à la haine.

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  • Combats dans l'Est de l'Ukraine, renforts russes selon Kiev

    L’essentiel

    Les combats continuaient, lundi 19 janvier, dans l’Est ukrainien entre les forces de Kiev et les séparatistes prorusses. ◾Plusieurs personnes ont été blessées dans un tir à l’hôpital de Donetsk, ville contrôlée par les prorusses.

    Sept cents soldats russes sont arrivés lundi en Ukraine, assure Kiev.

     

    La situation restait très tendue, lundi 19 janvier, dans l’Est séparatiste de l’Ukraine, après notamment un tir d’artillerie sur le centre de Donetsk et des accusations de Kiev qui affirme que les rebelles ont reçu le renfort de 700 soldats russes.

    La fin de semaine dernière avait été d’une violence inégalée. L’armée ukrainienne affirmait avoir repoussé une offensive des rebelles prorusses à l’aéroport de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine. Mais les combats se sont poursuivis dimanche 18 et lundi 19 janvier. 

    OFFENSIVE REBELLE

    Lundi après-midi, les bombardements – certes moins puissants que ce week-end – étaient à nouveau réguliers dans la zone de l’aéroport, selon des journalistes de l’AFP. Les séparatistes ont notamment « fait exploser » une partie du plafond du premier étage du nouveau terminal et causé « beaucoup de blessés » dans les rangs ukrainiens, selon un conseiller de la présidence présent près de la zone des combats. Au moins 3 soldats gouvernementaux auraient été tués dans la zone ces dernières 24 heures et 66 autres blessés, selon l’armée.

    A la mi-journée, c’est un hôpital qui a été touché par un tir de roquette dans le centre-ville de Donetsk. Une attaque qui a fait six blessés, parmi lesquels un médecin et cinq patients, a rapporté le ministère des situations d’urgence de la république séparatiste autoproclamée de Donetsk.[....]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Combats-dans-l-Est-de-l-Ukraine

  • Laïcité et islam : je t’aime, moi non plus

    Une nation dont le seul principe fédérateur est la laïcité souffre d’un vide spirituel qui la fragilise, analyse le philosophe dominicain, Thierry-Dominique Humbrecht.

     

    Au-delà de la tragédie des attentats et de la mobilisation nationale, les discours laissent percer des enjeux. Leurs entrelacs jusqu’à l’ambiguïté vont se répercuter longtemps. La manifestation n’a pas seulement été portée par l’émotion, elle l’a représentée. Le gouvernement et les médias l’ont même suscitée, en la déclarant telle dès le début, la modelant ainsi avec une maestria qui serait impressionnante si elle n’avait bénéficié de tels moyens, qui rendaient la tâche aisée.

    C’est sous l’angle de la réponse émotionnelle qu’il fallait prendre parti. Le slogan « Je suis Charlie », opportunément universalisé, traduisait lui aussi un unanimisme rare. La raison de son succès, outre le désir de chacun de s’associer à une légitime protestation, est la pauvreté de son contenu, fondé sur une identification fusionnelle aux victimes, sans réflexion et surtout sans objet. Cette manifestation fut unique par son ampleur mais aussi par son absence de but. Elle était motivée par le refus du terrorisme et par l’affirmation de la liberté démocratique mais elle n’avait pas de but, comme c’est le cas d’habitude pour obtenir quelque chose ou l’empêcher.

    Reste l’émotion collective, alliée d’un jour mais alliée dangereuse lorsqu’elle est seule. Elle sert toutes les manipulations, sur fond de faiblesse du discours rationnel, lequel suppose au contraire motifs, distance et critique. Les fascismes savaient la force de l’émotion collective et en usaient. Les médias devraient devenir plus responsables dans leur maniement de l’émotion des masses.[...]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Laicite-et-islam-je-t-aime-moi-non

  • Quand la culture de l’excuse n’a plus aucune limite…

    On poursuit l’« apologie du terrorisme » partout, la traque de ceux qui ne sont pas Charlie n’en finit pas, et la liberté d’expression s’est arrêtée au périmètre qui encercle les gens biens, c’est-à-dire les gens de gauche.

    Et il en est une, Virginie Despentes, fille de gauche bien entendu, qui s’est pourtant servi des Inrocks pour déclarer son amour des frères Kouachi qui, les pauvres chéris, étaient tout simplement rejetés par la société. Il faut bien que ce soit toujours de notre faute, nous les sales Français, quoi qu’il arrive.

    Hallucinant.

    […] J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir.

     

    Leur façon de dire – vous ne voulez pas de moi, vous ne voulez pas me voir, vous pensez que je vais vivre ma vie accroupi dans un ghetto en supportant votre hostilité sans venir gêner votre semaine de shopping soldes ou votre partie de golf – je vais faire irruption dans vos putains de réalités que je hais parce que non seulement elles m’excluent mais en plus elles me mettent en taule et condamnent tous les miens au déshonneur d’une précarité de plomb. Je les ai aimés dans le mouvement de la focale écartée en grand, leur geste devenait aussi une déclaration d’amour – regarde-moi, prends-moi en compte. On ne tire pas sur ce qu’on ne voit pas.

    Je les ai aimés dans leur maladresse – quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le Prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Du mauvais film d’action, du mauvais gangsta-rap. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose qui ne réussissait pas. […]

    http://www.contre-info.com/quand-la-culture-de-lexcuse-na-plus-aucune-limite#more-36371

  • «J’irai cracher sur vos tombes…» - par Pieter KERSTENS

    Successeur de Hara-Kiri (bête et méchant), Charlie Hebdo se spécialisait lui aussi dans les caricatures cyniques, satiriques, grinçantes, insultantes et Ô combien scatologiques et pornographiques. Les cibles préférées de ses dessinateurs se concentraient sur la société « bourgeoise », sur l’armée, l’église catholique et la police ; mais rarement sur les francs-maçons ou les gauchistes.

    Vomissant les patriotes, les nationalistes et les identitaires à longueur de semaine, la rédaction ne cessait de déverser sa haine à l’encontre du Front National. Désignant les coupables à ses lecteurs, l’hebdo de la « gôche bobo/caviar » a toujours bénéficié de la complaisance des différents gouvernements socialo-écolo-marxistes et pouvait se permettre les pires outrances, qui auraient conduit d’autres dessinateurs sur les bancs des tribunaux.
     
    Quand on entend aujourd’hui la totalité des « pourriticards » de la démocratie totalitaire hurler contre le terrorisme et appeler à la défense de la liberté d’expression, de presse, de conviction et de réunion, on en pisse de rire ! Parce que juste avant le massacre du 7 janvier à Paris, un polémiste talentueux –Éric Zemmour- était la cible de la classe politico-médiatique, interdit de parole à Bruxelles, et poursuivi par les hyènes du « prêt à penser ». Il y a un an, un humoriste cynique et satirique –Dieudonné- s’est vu interdire le droit d’exprimer ses opinions lors d’un spectacle à Nantes, par le Conseil d’État.
     
    Et les exemples sont nombreux. Alors, 2 poids, 2 mesures ? Il est interdit d’interdire ?
     
    Messieurs qu’on nomme grands, va falloir se décider et désigner qui sont réellement les ennemis de notre civilisation et de la culture gréco-romaine.
    Vos erreurs multiples, votre idéologie sectaire, votre utopie de la « société multiculturelle et pluriethnique », votre « vivre ensemble », et cette frénésie de rites « citoyens » ou « républicains », toutes ces chimères décrites, illustrées et promues par Charlie Hebdo, nous n’en voulons pas !
    Cette clique de marionnettes du Nouvel Ordre Mondial, qui a détruit les valeurs fondamentales de notre civilisation, nous a déjà trop fait chier ! Attention au retour du boomerang. Et chez Charlie Hebdo, « le dernier qui restera se tapera toutes les veuves » (in Hara-Kiri oct.1983).
    Khaled, Mohamed, Medhi, Saïd, Chérif, tous ces prénoms qui sentent bon le terroir breton.
     
    Dans « l’Express » du 4 mai 2006, Christiane Taubira déclarait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière par les arabo-musulmans pour que les jeunes arabes (les d’jeuns des ZSP) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes ».Mais pour les colons blancs, on peut y aller, comme le faisait Charlie Hebdo, qui ne se gênait pas pour salir le drapeau français.
     
    En niant l’évidence, en refusant le constat établi par les professionnels de la criminalité et du terrorisme, en fuyant la réalité du terrain et en faisant preuve de laxisme, d’angélisme et de lâcheté, les gouvernements successifs depuis 1974 ont rejeté et occulté ce diagnostic implacable aujourd’hui : la cause de l’insécurité nationale se localise dans une centaine de quartiers « sensibles », occupés par des immigrés et des racailles. Car pendant 30 ans le régime (de droite comme de gauche) nous a imposé le dogme du « TOUCHE PAS À MON POTE » et l’idiote « politique de l’excuse », l’ensemble noyé sous une avalanche de milliards de francs et d’euros, au titre de la « politique de la ville » destinée à acheter la paix des banlieues.
     
    Sans une ferme volonté d’éradiquer le fléau de la criminalité et du terrorisme, qui ne concerne que quelques milliers de crapules multirécidivistes, il est probable que d’autres massacres puissent avoir lieu. Mais il ne faut pas, surtout pas, absolument pas « faire d’amalgame », ni stigmatiser la communauté maghrébine ou musulmane au nom de la « société citoyenne »…
     
    À ce titre, c’est bien Ayaan Hirsi Ali qui dès ce 8 janvier déclarait :
    «  L’argument que l’on entend en permanence, selon lequel il ne faut pas faire d’amalgame, que ces terroristes ne sont pas musulmans etc... est caduque. Cet argument n’a plus aucune valeur. Il y a un lien très évident et très clair entre ce qui se passe à Paris, au Pakistan, au Nigéria, en Syrie et ailleurs. On ne peut plus dissocier toute cette violence de l’Islam, du Prophète Mahomet ou du Coran. »
    Vive le hasard.
     
    En fin de journée le vendredi 9 janvier, le directeur de la Police Nationale se rengorgeait d’avoir pu retrouver si vite la trace des frères Kouachi et vantait le professionnalisme et l’efficacité de ses services qui avaient, en moins de 24h, identifié les assassins. Grâce à qui ? À une carte d’identité « oubliée » dans le premier véhicule qui avait conduit les deux frères au siège de Charlie Hebdo.
     
    Un hasard du destin MI-RA-CU-LEUX ! Le même hasard inespéré qui, le 10/9/2001 avait permis au FBI de New York de mettre la main (dans les décombres fumants) sur le passeport intact de l’un des pilotes qui avait percuté le WTC II, quelques heures auparavant, et permis l’identification du réseau d’Al Quaïda.
     
    La chance parfois explique bien des choses incroyables. Mais ne gâchons pas le plaisir de tous ces abrutis qui se prénomment « Charlie » et ignorent que quelques centaines de racailles rêvent dans leur banlieue d’imiter le duo Kouachi et le fanatique Coulibaly, qui lui, n’est pas entré dans le magasin casher porte de Vincennes par hasard.
    Le dimanche 11 janvier 2015 restera comme la Journée Mondiale des Cocus Amnésiques.
     
    Le ministre des Affaires Étrangères, Laurent Fabius, a eu l’audace de déclarer à Europe 1 que « la Liberté, était née en France » ; NON ! Elle est née il y a 3000 ans à Sparte, qui a montré bien plus de courage et de détermination face aux épreuves. De son côté Manuel Valls a prétendu ce 9 janvier que « la France, sans les juifs, ne serait plus la France ! ». Quelle méconnaissance de l’Histoire ! Qu’il parle de la rue du Sentier, on comprendrait.
    Et lorsque l’on voit tous ces zozos qui défilent en scandant des slogans imbéciles, on se dit que le sursaut et le réveil de la Nation afin de sortir du gouffre, n’est pas pour demain. Pitres amnésiques et égoïstes, vous  oubliez les atrocités commises en France par les islamistes entre juillet et octobre 1995 (8 attentats) dont l’explosion criminelle du RER B à la station saint-Michel le 25/7/1995.
     
    Et pas de commémoration, ni de souvenir pour les 2 attentats du 12 octobre 2002 à Bali, bilan : 202 morts et des centaines de blessés. Pas de marche « citoyenne » ou « solidaire » en France, concernant l’attentat à Madrid en 2004 qui tua 191 personnes innocentes. A-t-on vu une larme (une seule), ou quelques pleurs, pour les attentats de Londres en juillet 2007 où 52 victimes se sont rajoutées à la triste liste du « vivre ensemble » ? Le 10 janvier 2015 au Nigéria, une fillette se fait exploser au marché de Maiduguri : 20 morts. On se recueille ?
    Alors quand la classe politico-médiatique nomme Paris « capitale mondiale de la défense de la liberté d’expression et des valeurs républicaines », je suis pris de nausées !
     
    Parce que leurs libertés ne sont disponibles et ne concernent que ceux qui suivent leurs dogmes et marchent entre les clous du politiquement correct et de la Pensée Unique.
     
    TOUS les autres par exemples, comme les Faurisson, Rassinier, Meyssian, Reynouard, Olivier Mathieu ou Dieudonné, sont agressés par les milices juives ou sont poursuivis par la police de la pensée et envoyés, pour certains, dans les geôles, car ceux-là au moins ont le courage de leurs opinions.
    N’est-il pas scandaleux de voir Dieudonné poursuivit aujourd’hui par le parquet pour « apologie du terrorisme » à cause d’une blague outrancière ? Mais le plus grave est encore l’interdiction qui a été prononcée par le gouvernement à l’encontre de la compagne du dessinateur Charb d’assister à son enterrement, parce qu’elle aurait tenu des propos « incorrects » devant les caméras de télé !
    Ô tempora ! Ô mores !
     
    Notre devoir de mémoire nous rappelle que suite à l’émission télé en décembre 1982 de Michel Polac qui avait invité le professeur Choron directeur de Charlie Hebdo, déjà en grosses difficultés financières, une polémique nationale avait conduit toute la presse à démolir l’hebdomadaire. Le 11 décembre 1982, le numéro 581 (Hara-Kiri n°24) titrait en première page, avec le dessin d’un énorme étron surpiqué des titres de différents quotidiens hexagonaux:« Les croque-morts indignés. Toute la presse a chié sur le cercueil de Charlie Hebdo »  Libération titrait même : « Crève Charlie ! » On ne peut être plus clair.
    Alors avec ce qu’on peut lire et entendre aujourd’hui, ils doivent se tordre de rire, les macchabées du 7 janvier…
     
    De même, en août 2008, Siné a été limogé par Philippe Val, directeurs de Charlie Hebdo car le dessinateur avait refusé d’exprimer ses excuses, suite à son dessin caricatural concernant le mariage de Jean Sarközy avec l’héritière des magasins Darty et la légende :« Va-t-il se convertir ? », ce fut un tollé. Mais sans doute son éviction d’alors lui a-t-elle sauvée la vie…
    Tout ce fatras de débilités journalistiques, de logorrhées des diafoirus de tout acabit et des politiciens en mal de notoriété, n’obéit qu’à une seule visée : abrutir les masses populaires par une vague de compassion généralisée pour mieux pouvoir les encadrer dans la démocratie totalitaire du Nouvel Ordre Mondial.
    Big Brother a réussi au-delà de toute espérance : ils sont tous devenus des « Zombies-Charlie »…
     
    «J’irai cracher sur vos tombes…» : titre d’un livre de Boris VIAN.
  • Radio Courtoisie : « Les 14 mensonges sur l’immigration » (Audio)

    Le lundi 19 janvier 2015, dans son “Libre journal” diffusé sur Radio Courtoisie, Henri de Lesquen recevait Jean-Yves Le Gallou de la Fondation Polemia, Gérard Pince, auteur de l’ouvrage Les Français ruinés par l’immigration et André Posokhov, pour leurs rapports respectifs sur les coûts de l’immigration.

     

    Au chapitre des mensonges abordés lors de l’émission:

    - Le mythe du héros immigré.
    - Pas de lien entre immigration et insécurité.
    - Pas de lien entre immigration et chômage.
    - L’immigration ne coûte rien à la France.
    - La France a toujours été une terre d’immigration.
    - Pas de différence de nature entre l’immigration actuelle et celle que la France a connu jusqu’en 1950.
    - La France est une population métissée, les Français sont de toutes origines.
    - La solution c’est l’intégration des immigrés.
    - La politique d’immigration actuelle est compatible avec la tradition républicaine.
    - Les Français de souche ont une dette envers les immigrés (au titre de la colonisation, du racisme…)
    - L’islam est une religion de paix et d’amour, pas d’amalgames.
    - L’islam est compatible avec l’identité de la France.
    - Il est impossible d’inverser les flux migratoires.
    - La population d’immigrés n’augmente pas en France.

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