Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1840

  • Silence médiatique sur l’agression des rugbymen à Millau…

    À Millau, dans les Midi-Pyrénées, des rugbymen clermontois ont été agressés sans raison par une bande armée de couteaux, sabres et machettes.   

    Méthode de propagande numéro un : l’occultation. Principe de base : communiquer l’information sous des dehors objectifs, tout en dissimulant les éléments délicats, même (et surtout) s’ils mettent en lumière l’insoutenable complexité de l’être : ceux qui écorchent le mythe de la société plurielle baignant dans la béatitude du Grand Mélange, ceux qui pourraient réfuter la thèse de l’immigration providentielle et toute-bienfaisante, etc.

    Les faits : à Millau, dans les Midi-Pyrénées, des rugbymen clermontois ont été agressés sans raison par une bande armée de couteaux, sabres et machettes. L’ « altercation », qui a mené trois sportifs à l’hôpital, « serait due à la volonté d’un des trois joueurs blessés de s’interposer pour éviter une dispute conjugale ». Point. Ne rien ajouter à cette relation qui serait de nature à réveiller les démons populistes. Ne pas s’étendre sur la forme de cette agression « d’une rare violence ». Ne pas épiloguer sur l’usage tout pyrénéen de la machette. Éluder. Tronquer. Couper au montage.

    Lire la suite

  • Le gouvernement en remet une couche sur la famille

    La loi famille, dite « loi APIE », a été adoptée le 27 juin par l'Assemblée nationale, au terme d'un feuilleton législatif révélateur des véritables priorités politiques du gouvernement socialiste. Elle crée le statut de « beau-parent » qui, dans les familles recomposées et, bien sûr, dans les ménages « homoparentaux » qui eux aussi ont vocation à se recomposer, se verra reconnaître des droits de plus en plus proches de ceux des parents biologiques.

    Cyniquement intitulée « loi sur l'autorité parentale et l'intérêt de l'enfant », la loi socialiste sur la famille a subi bien des reports, à commencer par l'édulcoration du projet à la suite de la mobilisation contre le « mariage pour tous ». On annonçait l'arrivée de la procréation médicale et même de la gestation pour autrui ; elles ont été abandonnées.

    Cela ne suffisait pas à rendre la loi APIE consensuelle. Elle prévoyait un assouplissement - encore un - de l'accès au divorce. A peine la « Manif pour tous » de février dernier s'était-elle achevée que, désavouant le projet défendu par le ministre de la Famille d'alors, Dominique Bertinotti; le gouvernement socialiste annonçait la remise du texte aux calendes grecques. Il fallait laisser passer les élections municipales...

    Mais dès la mi-mai, la proposition PS-écologiste, délestée de quelques-unes de ses dispositions - sur le divorce notamment - revenait devant les députés. Ce fut l'occasion pour l'Entente parlementaire pour la famille de monter au créneau, non sans panache. Ce qui passait pour un texte technique ayant pour objectif de régler des problèmes pratiques a été dénoncé avec force et raison comme un plan lourd de conséquences néfastes pour la famille, pour l'enfance, pour les libertés.

    Aucune étude d'impact

    Revenue sous forme de proposition, la loi a échappé du même coup aux études d'impact, à l'examen du Conseil d’État et du Haut Conseil pour la Famille. En aurait-elle était améliorée ? Ne rêvons pas. Reste que tout a été mis en œuvre pour faciliter l'avancement du texte.

    Les amendements se sont pourtant succédé par centaines. L'opposition a dénoncé un texte qui se préoccupe avant tout des adultes en autorisant le partage de l'autorité parentale avec un tiers partageant la vie de l'un des parents biologiques. Jusqu'à lui confier la garde de l'enfant.

    Est-il vraiment dans l'intérêt de l'enfant que les actes importants - ou non - le concernant soient cosignés par les deux parents ? Que l'un puisse assigner l'autre au moindre désaccord ? Que la garde alternée devienne la quasi norme en cas de séparation ? Qu'un « mandat » puisse confier au moins une partie de l'autorité parentale au « beau-parent » ? Qu'un juge puisse ne pas donner la priorité à la parentèle d'un enfant mais le confier à un étranger, en cas de placement ?

    Faux espoirs

    Le nouveau ministre de la famille, Laurence Rossignol, a dû baisser les armes. Une nouvelle fois, la loi était reportée sine die. On imaginait la partie presque gagnée : le texte ne reviendrait pas avant l'été, pensaient les observateurs.

    Le texte est tout de même revenu devant les élus, à marches forcées. Le 16 juin, le revoici à l'ordre du jour. Deux nouvelles séances de discussions s'achèvent alors que 207 des 700 amendements déposés par les élus de l'Entente parlementaire pour la famille n'ont pu être examinés. Philippe Gosselin, Hervé Mariton, Nicolas Dhuicq et d'autres bataillent ferme. Les discussions s'éternisent. Une nouvelle fois, le texte est reporté à une « date ultérieure ». Partie gagnée ?

    À marche forcée

    Non. Le 27 juin, lors d'une séance annoncée seulement quelques jours auparavant, le dernier chapitre, celui de la médiation familiale, a été voté par une poignée de députés. Beaucoup n'avaient pu - paraît-il - se libérer à temps. La gauche, unie comme toujours autour de ses projets « sociétaux », était là suffisamment nombreuse pour assurer l'adoption in extremis avant l'été. Il y a eu une escarmouche autour du projet de parler de la séparation et de la médiation lors de la cérémonie de mariage : on l'a finalement abandonné. Xavier Breton, au nom de l'UMP, a fait observer que cela risquait de « plomber la cérémonie ». Bien modeste victoire...

    Partis sabre au clair, pugnaces et lucides comme on n'a pas l'habitude de les voir - un fruit des mobilisations pour la famille de l'an dernier ? -, les députés de l'opposition n'ont pas pu tenir sur la distance. Il est vrai que la volonté des socialistes était forte et que l'avantage du nombre aidant, il n'était pas possible d'espérer autre chose que de gagner du temps.

    Une révolution « anthropologique »

    Du moins la loi a-t-elle été dénoncée pour ce qu'elle est : « Une révolution anthropologique dont on ne mesure pas encore les conséquences », comme l'a déclaré l'Entente parlementaire pour la famille, puisqu'elle fait déjà céder le parent biologique devant le « parent social » cher au rapporteur Erwann Binet. Voici l’État et le juge dotés d'un droit de regard sans précédent sur ce qui se passe à l'intérieur des familles.

    En attendant que le Sénat soit saisi de la proposition, on retiendra cet article qui la caractérise : « Les parents et les enfants se doivent mutuellement respect, considération et solidarité. » Disparaîtront du code civil ces mots quirappellent trop l'autorité parentale de papa :« L'enfant, à tout âge, doit honneur et respectà ses père et mère. » Si l'enfant, victime desstéréotypes d'un autre âge, a encore un père etune mère, ils n'auront de toute façon qu'à biense tenir...

    Agathe Basset monde & vie 

  • France : totalitarisme rouge

    On apprend de-ci de-là le limogeage d’un haut fonctionnaire. Fait divers… Or Éric Brunet de Radio Monte Carlo (RMC) à partir de divers journaux et d’une liste établie par Luc Chatel a rassemblé un incroyable écheveau. Il nous livre les données d’une effroyable épuration diligentée dans la Haute Administration ; il dénonce une stupéfiante chasse aux sorcières instituée par les socialistes depuis mai 2012 Qu’on en juge ! Que déclarait-il avec son franc-parler dans son émission Carrément Brunet du 5 février ? Il est possible d’imaginer ce que cela peut être cinq mois plus tard.

    Il faut savoir que 30 % des préfets et sous-préfets ont été limogés. Que la moitié des recteurs d’universités ont été remerciés et remplacés par les « copains » socialistes souvent d’origine d’extrême-gauche ; ces derniers commencent à s’en prendre à l’enseignement catholique notamment en fermant les unités professant la philosophie et de l’histoire. Des subventions aux universités catholiques ont été discrètement supprimées.

    Mais c’est dans la police que l’épuration a été la plus importante ainsi que dans la Justice, un monde qui n’est guère connu du grand public. Il faut se souvenir de la tentative faite par Taubira pour limoger François Faletti le Procureur général de Paris.

    Selon Brunet, il est facile de retrouver ces chiffres sur les documents officiels ; ce qu’il a fait.

    On n’a jamais vu une telle épuration, depuis le début de la cinquième République en mai 1958. Nous ajouterions, depuis l’après-guerre de 1940-1945 ainsi qu’aux débuts de la Quatrième. De Gaulle en 1962 s’en était pris principalement aux cadres militaires.

    Quand on voit comment La Manif pour tous a été réprimée : plus de 1.000 arrestations, des centaines de gardes à vue. Un Premier Ministre Valls niant que des enfants aient été gazés alors que des photos sans équivoque ont circulé sur Internet. Une malheureuse fille ayant eu le malheur de comparer Taubira à un singe ; elle se voit jugée par les personnes que cette dernière a mises en place elle-même, et condamnée à neuf mois de prison ferme. On se croirait sous Ceausescu ou Castro. Pendant ce temps les délinquants « bien connus de la police » courent les rues après avoir été condamnés pour des dizaines de délits. Les casseurs après différents matches, et autres manifestations de rues (comme à Sarcelles ou a Barbès) s’en tirent avec des trois mois de sursis. Ils ne demanderont qu’à recommencer.

    Il n’y a qu’une seule conclusion à tirer. Oui, effectivement notre pays est sous une dictature qui ne veut pas dire son nom ! Oui, la Justice de Madame Taubira couvre les malfrats et va bientôt vider les prisons.

    Jean-Pierre Dickès

    http://medias-presse.info/france-totalitarisme-rouge/13333

  • L'avortement devient un "droit" sans opposition

    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    "Le Sénat et l'Assemblée nationale ont adopté le même jour, en seconde lecture, la loi sur l'égalité entre hommes et femmes. Le Sénat, c'était ce matin ; l'Assemblée nationale tard dans la soirée.Personne n'a voté contre. Dans l'opposition, la plus grande partie de l'UMP s'est contentée de s'abstenir, même si d'aucuns ont osé dénoncer l'introduction dans la loi d'une disposition qui fait disparaître du droit toute référence à une condition de « détresse » pour la femme qui veut obtenir une « IVG ». Ainsi l'avortement devient un droit en France sans contestation possible. Ce qui était vrai déjà dans les faits et assez largement dans la loi est entériné. Et le projet de loi est définitivement adopté.

    Texte idéologique par excellence, la loi sur l'égalité « femmes-hommes » prévoit notamment un partage obligatoire du congé parental de trois ans, droit ouvert à compter du deuxième enfant, entre les parents, le père devant en prendre au moins 6 mois. Dès le premier enfant, chaque parent pourra prendre 6 mois. Manière de souligner que papa et maman, c'est tout comme.

    Pour les couples éclatés, l'Etat-nounou prendra le relais d'une nouvelle manière, puisqu'un fonds de garantie pour pensions alimentaires impayées verra le jour.

    De nouvelles mesures pour la parité viennent compléter le dispositif déjà existant, avec des sanctions alourdies.

    Car on veut changer non seulement les mœurs, mais aussi les « mentalités ».

    La mesure symbolique qui fait disparaître la notion de détresse de la loi sur l'avortement n'est pas le seul aspect contestable de la loi, mais elle est le plus tragique. L'UMP, par la voix d'André Reichardt, a annoncé la saisine du Conseil constitutionnel sur ce point."

    Michel Janva

  • Finkielkraut, le face à face avec Maïtena Biraben & Nicolas Demorand (Canal +)

    Canal + le Supplément – 16/02/2014

    ________________________

     
  • Jean-Jacques Brot : quand un fonctionnaire d’État préfère l’honneur au déshonneur…

    Il existe donc, au service de l'État, des hommes qui, à la compromission, au reniement de soi, par respect pour leurs convictions, et à la trahison de leur engagement, préfèrent le sacrifice de la fonction.   

    Le fait est suffisamment rare pour être rapporté : Jean-Jacques Brot, haut commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie, en raison de son désaccord avec la stratégie de l’État concernant la décolonisation en cours de l’archipel, a envoyé sa lettre de démission à madame Pau Langevin, le ministre des Outres-mer. « Je ne veux pas cautionner le largage annoncé de la Nouvelle-Calédonie » aurait-il déclaré. Gaulliste assumé, Jean-Jacques Brot, jamais officiellement mais toujours devant témoins, parle même « d’acte républicain ».

    Très peu usuelle dans les milieux politiques où les ambitions prennent si souvent le pas sur l’éthique et les convictions personnelles, une décision semblable sera prise en France métropolitaine, en 1981, par Philippe de Villiers, après l’élection de François Mitterrand. « Mû par la haine, ce régime s’écroulera tôt ou tard dans la haine. La France, disait Victor Hugo, n’est pas faite pour porter la haine mais pour porter l’amour. Je ne peux rester, une minute de plus, solidaire d’un pouvoir d’État qui finira dans la faillite, les scandales, et qui sait ? dans le sang… » En plus d’avoir commis, à l’instar du haut commissaire trente et quelques années plus tôt, un acte républicain, les scènes de guerre civile dans notre pays – entre autres – ce samedi 21 juillet, nous révèlent un sous- préfet visionnaire.

    Lire la suite

  • Bien-pensance médiatique : ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire…

    J’ai attendu. Plusieurs jours. Je me suis même pincé en l’absence de toute (ou presque) réaction médiatique concernant le magnifique lapsus de notre Taubira nationale.

    Refusant (?) de commenter la peine prononcée à l’encontre d’Anne Sophie Leclere, l’ardennaise qui l’avait accolée à un singe sur son blog, la ministre s’est empiergée dans le tapis, affirmant sur I Télé : « Je ne commente pas les injust… heu, les décisions de justice. »

    Pensez… Un ministre de la Justice qui reconnaît, certes en trébuchant mais de manière suffisamment audible, qu’une décision de justice serait justement une injustice, le tout en arguant du contraire. Bon, d’accord, la ministre en question nous a déjà fait le coup, d’affirmer haut et fort l’envers de ce qu’elle brandit à pleine main. Je ne rêvais donc pas. Notre presse, la grande, s’était finalement désintéressée d’un lapsus digne de retouner Sigmund dans sa tombe. Oh, certes, pas le plus croustillant. Un petit lape-suce naguère proposé en direct par une ministre d’une autre mandature (de la justice également, ce doit être la fonction), c’était plus sexy. Et la gâterie tout de suite plus classe en tailleur Prada qu’avec les dreadlocks qui frétillent.

    Lire la suite

  • Jean-Jacques Candelier demande la dissolution de la LDJ

    Nous verrons la suite que donnera le gouvernement à cette requête du député. En effet dans une lettre ouverte à François Hollande ce député communiste réclame : «J’en profite pour réclamer la dissolution administrative de la Ligue de Défense Juive, organisation criminelle, classée organisation terroriste par le FBI, et interdite d’activité en Israël comme aux États-Unis. L’impunité de ces barbares dont le seul but est de créer un amalgame entre judaïsme et sionisme est inacceptable. »

    Le député s’était déjà illustré en juin lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, en parlant « grand capital apatride », estimant que « cette purge ultra-libérale ne se fait qu’au bénéfice du grand capital apatride »

    http://www.contre-info.com/jean-jacques-candelier-demande-la-dissolution-de-la-ldj

  • Pogrome, Intifada, une vraie guerre sur notre territoire ! (Présent n° 8150)

    C’est une vraie guerre qui s’installe sur notre territoire

    Il y a quelques jours, revenant ici même sur les “débordements” (manière lénifiante de dire les choses) provoqués en France (en Algérie, chacals et fennecs font oreille basse…) par les supporters ou supposés tels des Fennecs, j’écrivais qu’ils annonçaient, à terme, une sorte de nouvelle guerre d’Algérie. Sur notre sol.

    Pogrome, Intifada, une vraie guerre en plein Paris ! (Présent n° 8150)Un lecteur, qui m’avait alors écrit que j’allais peut-être « un peu loin »,m’a envoyé un courriel après les tentatives de pogrome du 13 juillet et les scènes d’Intifada du 19 en plein Paris : « Des milliers de musulmans occupant le pavé de nos villes, des assauts avortés de justesse contre deux synagogues, des scènes de guérilla, des cris de haine, une police débordée… Je crois que vous avez raison. » (1)

    Après ces deux (premières) démonstrations de force – et écoutez-moi bien : ce n’est qu’un pâle début –, nous vivons les prémisses de soulèvements islamistes de plus en plus violents. Et qui ne concerneront pas la seule communauté israélite, bien sûr.

    Un échantillonnage des slogans lancés place de la République et place de la Bastille le 13 juillet résume bien l’état des lieux : “Mort aux juifs !” ;“Mort aux ashkénazes !” ; “Sales Blancs (sic) ! ” ; “Hitler avait raison ! ” ; “ On va vous cramer ! ” ; “Nique la France !” ; “Jihad ! Jihad ! Jihad !” ; “La Palestine doit finir le boulot (commencé par Hitler) ! ” ; etc.

     

    A l’appel de la prière, place de la Bastille, des milliers de manifestants ont répondu comme un seul homme : « Allah Ouakbar ! ». Rappelons que, pour les musulmans, un territoire, quel qu’il soit, où la prière a été physiquement dite au nom d’Allah devient automatiquement dar al-islam(terre musulmane).

    Dans la foule, outre les drapeaux palestiniens, des keffiehs, de nombreux drapeaux algériens (les mêmes que lors des manifs pour les Fennecs ou que celui mis à l’honneur sur les Champs-Elysées), tunisiens, irakiens. Des pancartes à la gloire du Hamas et des Frères musulmans. Une réplique du missile palestinien qui s’est écrasé sur une crèche israélienne. Des femmes à la Belphégor comme s’il en pleuvait.

    Cela, c’était le 13 juillet. Le 19, alors que la manif pro-Hamas, pro-Jihad islamique, pro-Frères musulmans, avait été interdite, ils sont passés en force. A partir de Barbès qui, depuis longtemps, est devenu un territoire occupé (2). Avec plus de vingt policiers blessés pour une poignée d’interpellations. « Des scènes de guerre civile », témoigne un policier. « Jamais vu ça en quinze ans de carrière », témoigne un autre. Les émeutiers ? « Des troupes composées largement de Français (sic)d’origine maghrébine et turque ». Aux cris de : « Nous sommes tous des Palestiniens ! ». Vraiment ? Alors qu’ils se tirent et vite !

    Avec une mobilité qui ne relève pas de la seule improvisation (3), ils étaient partout : à Barbès, Gare du Nord, rues de Rochechouart, Pétrelle, Faubourg-Poissonnière, jusque dans le jardin des Halles en plein centre de Paris…

    J’ai, sous les yeux, des dizaines de photos de ces “événements”. Des femmes voilées qui youyoutent à pleine gorge. Des visages tordus par la haine. Des centaines de “jeunes” (des “Français”, comme les supporters des Fennecs, des bi-nationaux comme dit la grosse presse). A qui il faut poser – et vite – la question : « Musulmans de France, qui êtes-vousd’abord ? Français ou d’abord musulmans ? »

    Le nouveau grand rabbin de France, Haïm Korsia, n’a pas tort qui déclare (ce que nous répétons depuis des années et seuls bien souvent) : « Je crois qu’il faut oser dire les choses, sinon c’est l’ensemble du système qui constitue la société française qui s’écroule : c’est une haine de la France, une haine du vivre ensemble. »

    Et ce n’est pas, comme le disent Hollande et Valls, ces deux gogols bisounours, « le conflit israélo-palestinien qui s’importe en France ». C’est la mise en place, la terrifiante mise en jambes, la répétition (les manifs pour les Fennecs furent des signes avant-coureurs) d’une véritable armée islamiste. Il va falloir – sinon à choisir de disparaître – l’écraser avant qu’elle nous écrase.

    Il y a des millions de musulmans en France. Un bon nombre ayant la nationalité française. Dont, on veut bien le croire, une majorité de gens paisibles et loyaux. Mais si seulement 10 % de ces millions décidaient de passer à l’action le même jour, à la même heure, partout en France, on fait quoi ? On envoie quelques pauvrettes compagnies de CRS qui, on l’a vu samedi dernier, ne font pas le poids ?

    Alain Sanders

    (1) Des scènes de guérilla urbaine ainsi résumées par Le Nouvel Observateur : « Safari pro-palestinien dans les rues de Paris ». Le problème, c’est que nous sommes le gibier…

    (2) Les supporters des Fennecs s’y étaient déjà “illustrés” comme en pays conquis.

    (3) Mais aussi des logistiques trotskiste du NPA et stalinienne du PCF. Ce dernier fait partie des organisateurs dont les “autorités” invoquent le « sérieux » pour autoriser le défilé anti-israélien de ce 23/7 !

    En partenariat avec le quotidien Présent – Chaque jour, retrouvez surNovopress la Une du quotidien Présent ainsi qu’un article sélectionné par la rédaction et mis gratuitement à votre disposition. Seul quotidien de réinformation, Présent est unique dans le paysage médiatique français.Contribuez à abattre le mur de la bien-pensance et du médiatiquement correct, lisez et faites lire Présent ! Abonnez-vous !

    http://fr.novopress.info/172682/pogrome-intifada-vraie-guerre-notre-territoire-present-n-8150/#more-172682

  • Et si on remplaçait Gaza par le Kosovo ?

    Ce n'est pas en trouvant refuge dans un vote trop souvent stérile que Français et Européens retrouveront leur fierté et imposeront leur vision du monde sur leur propre sol. C'est en reprenant la rue.   

    Des milliers de manifestants qui manifestent dans les rues de Paris en solidarité avec Gaza, avec le Hamas, avec la Palestine, malgré une interdiction préfectorale.

    Des centaines d’individus qui se mettent à tout casser et à s’attaquer à la fois aux symboles de la République française (policiers blessés, matériel urbain détruit) mais également aux symboles de « l’agresseur » juif (tentative d’attaque contre la synagogue de Sarcelles ou celle de la Roquette la semaine dernière) qui serait forcément pro-israélien.

    Ces milliers d’individus qui manifestent pour ceux qu’ils appellent « leurs frères » sont néanmoins rentrés (hormis la petite cinquantaine d’interpellés) bien au chaud dans le confort de la vie parisienne pendant que « leurs frères » continuaient de mourir sous les bombes à Gaza.

    Le courage politique, pour ces individus, serait de prendre un aller simple pour la Palestine, et d’y combattre. C’est d’ailleurs ce que font des juifs de France désireux de quitter le pays et d’aller se battre pour Israël.

    Lire la suite