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lobby - Page 1937

  • Municipales 2014 : la revanche de la Manif pour tous

    lmpt.jpgLa leçon donnée par ces municipales ne saurait être oubliée au moment où la droite sera confrontée aux grands choix qui détermineront l’après-socialisme, et pas seulement celui de maintenir ou non la loi Taubira...   

    Ce n’est un secret pour personne que la loi Taubira instituant le mariage homosexuel, et surtout officialisant la théorie du genre, aurait eu plus de mal à passer si certaines personnalités de droite n’avaient fait preuve, sur ce sujet, d’une regrettable ambiguïté, en s’abstenant ou en votant de manière plus ou moins ostensible avec la majorité socialiste.

    En démocratie, les actes politiques ne trouvent leur vraie sanction que dans l’épreuve électorale. Le vaste mouvement de la Manif pour tous n’aurait pas pesé bien lourd sur la scène politique, en dépit des centaines de milliers de manifestants qu’il a rassemblés, si les comportements que nous venons d’évoquer n’avaient été sanctionnés par les électeurs.

    Ils l’ont été, et de manière spectaculaire, dans deux cas au moins : Paris et Strasbourg. Le déficit d’image dont a longtemps pâti Nathalie Kosciszko-Morizet au sein de la droite parisienne (et qui a abouti, par exemple, à la dissidence de Charles Beigbeder) n’est pas sans lien avec sa décision de s’abstenir lors du vote de la loi Taubira. Ce déficit lui a d’ailleurs été fatal.

    À Strasbourg, il est probable que Fabienne Keller, candidate de l’UMP, aurait survécu à la triangulaire difficile qui l’a opposée aux candidats du Parti socialiste et du Front national si elle n’avait pas fait partie des quelques sénateurs de droite décidés à voter la loi Taubira (l’a-t-elle fait ? Qui le saura dans le brouhaha à main levée qui a tenu lieu de vote au sein de la haute assemblée, honteuse mascarade de démocratie).

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  • Une loi peut en remplacer une autre surtout lorsqu’elle est irréaliste et injuste

    Mgr Tony Anatrella, psychanalyste et spécialiste en psychiatrie sociale, consulteur des Conseils pontificaux pour la famille et pour la santé, publie un nouveau livre « Mariage en tous genres ». Il répond à Zenit :

    "Vous dites que la loi du « mariage pour tous » n’a pas d’avenir. Comment est-ce possible ?

    Les lois civiles ne sont pas intangibles. Une loi peut en remplacer une autre surtout lorsqu’elle est irréaliste et injuste puisqu’elle fausse le sens du mariage et de la famille.Dans la plupart des pays où cette loi est entrée en vigueur, les chiffres du « mariage » entre personnes de même sexe se sont effondrés pour devenir insignifiants. Pendant ce temps-là, on a quand même modifié le Code civil en redéfinissant le couple, le mariage, la famille et la filiation à partir des orientations sexuelles et de l’homosexualité en particulier.Ce qui est une aberration, c’est-à-dire une attitude en dehors des catégories de la raison et de la logique.[...]

    Le mariage pour tous a-t-il quelque chose à voir avec la théorie du genre et le Care ?

    Sans aucun doute. La théorie du genre n’est pas une rumeur et ses concepts ne sont pas neutres.Elle existe. Je décris dans le livre ce que représentent les études desgenresqui étaient au départ un mode d’analyse sociologique des relations entre les hommes et les femmes pour évaluer les inégalités entre-eux et de leur rôle. Mais très vite, sous l’influence de courants philosophiques français, du féminisme et des mouvements homosexuels, elle est devenue une idéologie comme l’ont montré divers auteurs.Cette idéologie est une mosaïque d’idées empruntées à tous ces courants de pensée qui détourne de nombreux concepts pour leur donner une autre signification en faveur de l’identité de genre et des orientations sexuelles comme par exemple la notion psychanalytique de « bisexualité psychique ».Une idéologie du genre qui a été systématisée en séparant l’identité sexuelle de l’orientation sexuelle : cette dernière serait plus vraie que la première alors qu’il n’y a que deux identités sexuelles. Elle a également établi une opposition entre l’homme et la femme qui devrait se réduire grâce à la « parité » qui n’est pas l’égalité. Il s’agit d’une vision comptable de la relation entre-eux et assez conflictuelle. On veut ainsi enseigner à l’école la similitude et amalgamer la personnalité masculine ou féminine avec des rôles sociaux. Brefl’argumentaire tel qu’il se déploie dans les ABCD de l’égalité est très infantile et entretient la confusion des genres et des sexes.

    Et en ce qui concerne le Care ?

    Le Care (qui signifie prendre soin de soi et de l’autre) est une nouvelle perspective qui se développe depuis quelques années aux USA, et qui arrive en France. Certains veulent comprendre leCareà la lumière du bon samaritain de l’Évangile, ce qui n’a rien à voir. Pour résumer la démarche à grands traits disons quece mouvement d’idées part du principe que nous sommes dans une société individualiste et qu’en ce sens la politique doit partir de l’individu et organiser la société selon ses revendications subjectives et ses intérêts particuliers, et non plus selon le bien commun. D’où le « mariage pour tous ».

    Les concepts du genre et ceux du Care s’associent et vont effectivement dans le même sens, ce qui nous éloigne d’un réel personnalisme, et participe ainsi au morcellement justifié de la société en tribus d’individus.

    Comme vous le constaterez ces mouvements d’idées se recommandent de nobles causes relativement acceptées par tous pour en réalité, comme le Cheval de Troie, révéler un autre univers dans lequel ils entraînent la société. Nous sommes dans la logique du chacun pour soi et ensuite pour ne pas se retrouver dans la solitude, on essaie de rattacher socialement l’autre à l’aune du chacun dispose de sa loi en fonction de sa situation. Une façon de conforter les maximes : « c’est ton problème » ou encore « chacun fait ce qu’il veut » ou enfin « il ne faut pas moraliser » ! Cette fausse compassion, est une fracture sociale qui se creuse, comme je l’avais annoncée dans mon livre :Non à la société dépressive(Flammarion), et une défiance à l’égard de la famille pour en appliquer le concept à toutes sortes d’associations affectives.

    On pourrait vous objecter une vision bien pessimiste de l’avenir de l’humanité ?

    Il n’est jamais facile de dresser des constats et d’affronter la réalité etun certain angélisme n’est pas toujours à la hauteur des enjeux qui nous attendent. Mais, bien au contraire, nous sommes dans l’espérance lorsque nous sommes lucides sur les enjeux conceptuels qui entraînent la société dans des impasses.

    Dans l’individualisme régnant, conforté par la « philosophie » duCare, on se complait à voir se multiplier des « modèles » d’associations affectives interprétés comme de la famille. À la confusion des sexes et des genres on ajoute de l’insécurité familiale qui fragilise les personnalités juvéniles. C’est pourquoi, c’est par les chemins de la famille constituée par un homme et une femme, et leurs enfants que nous pouvons humaniser cette société délétère et en souffrance. Qu’on le veuille ou non, le divorce banalisé comme mode de traitement des problèmes conjugaux a fini par dévaloriser le sens du couple et de la famille. Des jeunes finissent par être inhibés et avoir peur de s’engager. D’où la multiplication de relations précaires et de l’adultère dans le concubinage, voire même une nouvelle forme de polygamie qui apparaît. Le brouillage de la figure de l’homme et de la femme, du père et de la mère, du couple et de la famille ne peut que desservir le lien social. [...]"

    Michel Janva

  • Montreuil : le foyer de travailleurs africains abritait… une fonderie clandestine !

    Mercredi, la police a découvert dans un foyer de travailleurs africains (sponsorisé par qui ?) de Montreuil (Seine-Saint-Denis), une fonderie clandestine…
    Elle transformait des métaux précieux dérobés à des Français, depuis au moins un an. Une forge et plusieurs outils permettant de travailler l’or y sont installés, et des kilos d’or et d’argent ont été saisis.

    En 2012, une fonderie clandestine avait déjà été démantelée à Montreuil, dans un bâtiment attenant au même foyer précise Le Parisien

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Renaud Camus n’a pas le droit de ne pas aimer l’islam. Vous non plus.

    C'est en conformité avec toutes les prévisions que Renaud Camus a été condamné hier pour quelques mots prononcés en 2010 lors des Assises sur l'islamisation.   

    « Je venais d’apprendre que mon frère était promu chevalier de la Légion d’honneur, quand ma garde à vue commença. »

    Ainsi commence Un roman français, de Frédéric Beigbeder.

    Hier, à l’instant précis de l’élection d’Alain Finkielkraut à l’Académie française, Renaud Camus apprenait qu’il était, lui, condamné pour « provocation à la haine ou à la violence ».

    C’est en conformité avec toutes les prévisions – les siennes y compris – que Renaud Camus a donc été condamné hier en première instance pour quelques mots de son discours prononcé le 18 décembre 2010 lors des Assises internationales sur l’islamisation, à Paris.

    On ne reviendra pas ici sur les propos en question (une simple recherche sur YouTube vous permettra de les retrouver), mais cette condamnation qui vient s’ajouter à un arsenal sans cesse grandissant de jurisprudences liberticides nous donne l’occasion de regarder en face le régime dans lequel nous vivons, et d’imaginer les moyens de le mettre à bas.

    Alors que partout sur les réseaux sociaux pullulent les injures devenues communes contre les chrétiens (au hasard : « catholique = pédophile »), il semble que la seule attitude légalement possible désormais face à l’islam soit l’amour, l’admiration, la quasi-fascination ! Que ce soit clair dans les chaumières : il n’est plus permis de ne pas aimer les disciples de Mahomet, chef de guerre et fondateur politique de l’oumma. Quant à « l’incitation à ne pas aimer », n’en parlons même pas !

    Mahomet : interdit de l’interdire !

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  • A Nantes, les Sentinelles contre l'idéologie du gender

    Ce vendredi 11 avril, les Sentinelles de Nantes organisaient une action de 12H30 à 13H30, devant la préfecture pour dénoncer la "convention égalité garçons-filles" signée cette après-midi par le préfet et et le recteur de l'académie de Nantes au lycée professionnel Louis-Armand de Machecoul.

    La presse était là, visiblement étonnée.

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    Michel Janva

     
  • La grande manip antifasciste de Münzenberg

    Willi Münzenberg, né en 1889, milita dans sa jeunesse au sein du vieux parti social-démocrate. En contact avec Lénine et les bolcheviks à Zurich dès 1916, il se ralliera en 1918 au mouvement que l'on appelle alors spartakiste.

    En 1920 il représente les jeunesses internationales au Deuxième Congrès de l'IC.

    En 1921, alors âgé de 32 ans, il se rend à Moscou. (1)

    Dès 1922, lors du Quatrième congrès de l'IC il est en mesure de quantifier à hauteur de 40 millions les “êtres humains exposés directement” et de 3 millions de morts les conséquences de la famine en URSS. Le nombre réel de décès semble plus proche de 5 millions. Mais son rôle de propagandiste habile et acharné consistera à s'impliquer dans une “commission internationale de secours aux affamés”, dissimulant les responsabilités et entravant la mise en cause du système affameur.

    À partir de 1924 et jusqu'en 1933, de retour en Allemagne, il siège au Reichstag élu sur les listes du KPD, parti communiste allemand.

    Lorsque le brillant essayiste Philippe Muray le décrit comme un “compagnon de route du bolchevisme”, et le plus talentueux de l'espèce, une telle litote introduit donc un grave contresens. Simple et naïf “compagnon de route” ? Non : agent du Komintern stalinien et du NKVD.

    Plus réaliste, Stephen Koch souligne au contraire (2) que Münzenberg met tout simplement en œuvre les directives de Staline : “Son objectif était de susciter chez les Occidentaux non communistes et bien pensants le préjugé politique qui allait dominer toute l’époque : la conviction que toute opinion favorable à la politique étrangère de l’union soviétique était fondée sur les principes de l’honnêteté la plus élémentaire.”

    Créateur de multiples organisations, comme la “ligue contre l'Impérialisme” il apparaît dès 1926 comme l'inspirateur de la fameuse campagne en faveur de Sacco et Vanzetti. Mais divers témoignages permettent de le situer, comme apparatchik stalinien, au centre de la manipulation d'ensemble.

    L'écrivain alors communiste Manès Sperber qui collabora avec lui de 1927 à 1937 décrit de la sorte son rôle : “Münzenberg poussait des écrivains, des philosophes, des artistes de tout genre à témoigner, par leur signature, qu'ils se plaçaient au premier rang de combattants radicaux […] constituant ainsi des caravanes d'intellectuels qui n'attendaient qu'un signe de lui pour se mettre en route; il choisissait aussi la direction.” (3)

     

     

    Comme on ne prête qu'aux riches on lui a aussi attribué l'inspiration de l'école de Francfort, le recrutement de Kim Philby, le traitement d'André Breton pape infaillible du surréalisme, etc.

    Mais son indiscutable et majeure invention s'identifie à “l'antifascisme”. Non qu'en Italie les militants communistes ne se soient trouvés en opposition au gouvernement de Mussolini et souvent en prison ou en exil. Mais d'une part les relations inter-étatiques entre Rome et Moscou ont parfaitement fonctionné jusqu'en 1941. D'autre part jamais jusqu'au milieu des années 1930 les communistes n'ont accepté d'opérer de différence entre leurs adversaires, leurs rivaux, et les “sociaux-traîtres”. “Feu sur le Blum” écrit le poète Aragon. Et surtout la confusion entre les diverses formes de ce qu'on désigne du terme générique de “fascismes” n'a été mise en œuvre que très tardivement, et artificiellement, par la propagande soviétique. Que M. Poutine affuble, aujourd'hui encore l'Allemagne hitlérienne de cette épithète, (4) qui devient, dans le cas précis dérisoire, en dit long sur cette imprégnation.

    L'idée géniale d'un front commun antifasciste va fonctionner à plein régime à l'occasion de la guerre d'Espagne, entre 1936 et 1938, lorsque les relations germano-soviétiques paraissent glaciales.

    En réalité, le point essentiel découle de la ligne définie en 1920. Celle-ci dominera presque constamment la politique extérieure de Moscou. Elle inspire donc sans mystère la conduite du Komintern, en vertu de l'obligation statutaire de “solidarité internationale”. Vis-à-vis de l'Allemagne, elle avait donné naissance au traité de Rapallo de 1922, par lequel la Reichswehr allait recevoir un soutien permanent de l'Urss, en matériel et en formation de ses cadres. Cet accord sera complété en 1926 par un traité d'amitié. Or à partir de 1933 le gouvernement de Berlin prendra, seul, et de manière provisoire, l'initiative d'un  relatif refroidissement de ces relations. Jamais le Kremlin, de son côté n'a varié dans sa remise en cause du traité de Versailles, ce que ses stratèges appellent “la paix des Alliés” et ce que les hitlériens et les nationalistes allemands dénoncent comme le “diktat”.

    En 1933 le procès de Leipzig consécutif à l'incendie du Reichstag avait donné à Münzenberg l'opportunité d'exprimer tout son talent. Il orchestre une campagne  visant à décrédibiliser l'enquête menée de façon expéditive sous la houlette de Goering, ministre de l'Intérieur de Prusse. L'incendiaire Van der Lubbe, militant d'extrême gauche hollandais, est ainsi présenté tour à tour comme un “nazi puisqu'homosexuel” ou malheureux fantoche conduit sur les lieux de son forfait par des provocateurs policiers. Le procès tournera à la confusion de la dictature allemande, et permettra au dirigeant communiste bulgare Dimitrov, accusé de complicité, de quitter le pays. En fait, protégé par le Guépéou, il sait que sa propre libération a été négociée en coulisse avec la Gestapo, et il se montre étonnamment combattif lors des audiences. (5)

    En 1935 à Paris, Münzenberg organise encore “en sous-main” (6) à la demande d'André Malraux le “Congrès des écrivains pour la défense de la culture”. Il fait venir de Moscou, le temps d'une intervention, Isaac Babel. Celui-ci sera arrêté après son retour, et assassiné par la police en 1940.

    Durant la guerre civile espagnole, à partir de 1936, certes l'Internationale communiste s'engage aux côtés des républicains. Mais en fait elle soutient les Rouges comme la corde soutient le pendu. Et la grande épuration des “antifascistes” commence dès cette époque. Elle se prolongera pendant 15 ans, selon les pays, à partir de la guerre, pendant les luttes secrètes au sein de la résistance ou après le partage de Yalta et Potsdam de 1945, qui transforment la libération en occupation soviétique de l'Europe centrale et orientale.

    À partir de 1939 l'activité de propagande en direction des bonnes consciences ne sert donc plus à rien. Dès le mémorandum de Lord Halifax, lui-même consécutif à la délimitation de la frontière des Sudètes, en octobre 1938 la Grande-Bretagne se prépare au conflit. Au Kremlin, on souhaite que celui-ci abatte l'immense puissance maritime qui domine alors le quart des terres émergées. Certes les radicaux socialistes français, conduits par Daladier président du Conseil, imaginent encore de finasser. La diplomatie de la Wilhelmstraße et les discours du chancelier ménagent ces interlocuteurs, tels des petits cochons roses qui ne voient pas le danger du grand méchant loup.

    Dès lors le grand manipulateur de l'antifascisme Mûnzenberg n'apparaît plus comme un rouage nécessaire. Il devient désormais encombrant. Et au lendemain du pacte du 23 août 1939, il se rebellera. Voici ce qu'il écrit le 6 octobre en direction des communistes français, qui eux-mêmes appliquent sans broncher les directives soviétiques et, au lendemain du partage de la Pologne du 28 septembre demandent dès le 1er octobre la “paix immédiate”.

    “Vous cherchez des arguments pour expliquer les changements à Moscou et leur donner une signification “socialiste” ? écrit-il. Il n'y en a pas (…) le grand fauteur de guerre se trouve aujourd'hui à Moscou et s'appelle Staline”. (7)

    En 1940 on retrouvera son cadavre dans la campagne française. 

     

     

    JG Malliarakis   http://www.insolent.fr/

    2petitlogo

    Apostilles

    1. Cf. Jean-Louis Panné “Boris Souvarine” Ed. Robert Laffont 1993 page 115

    2. Cf. Il lui consacre un livre essentiel : “La fin de l'innocence” (The End of Innocence, The Free Press, New-York, 1994, La fin de l'innocence, les intellectuels d'Occident et la tentation stalinienne : 30 ans de guerre secrète, Grasset, Paris, 1995) Lire à ce sujet la notice que Denis Touret consacre à l'auteur.

    3. Cf. Wikipedia

    4. Cf. par exemple sa tribune libre au Figaro en mai 2005 pour le 60e anniversaire de la victoire alliée.

    5. Cf. Panné page 213

    6. Cf. Panné page 221

    7. Cité par Alexandra Viatteau “Staline assassine la Pologne” (ed. Seuil 1999 coll. Archives du communisme) pp 308-309 et par le “Dossier Münzenberg” (Revue “Communisme” Nos 38-39 1994).

    “L'Alliance Staline Hitler”

    Ashs Sous ce titre paraîtra un ouvrage de l'auteur de ces lignes retraçant le contexte de la politique soviétique pendant toute l'entre deux guerres. Il comprend en annexe, et expliquant, plus de 80 documents diplomatiques, caractéristiques de cette alliance. Il sera en vente à partir du 15 mai au prix de 29 euros. Les lecteurs de L'Insolent peuvent y souscrire jusqu'au 30 avril au prix de 20 euros, soit en passant par la page spéciale sur le site des Éditions du Trident, soit en adressant directement un chèque de 20 euros aux Éditions du Trident 39 rue du Cherche Midi 75006 Paris. Tel 06 72 87 31 59.

  • Immigration : les régularisations ont bondi de 50 % en 2013

    Ces régularisations ont atteint, en 2013, le nombre record de 35 000. Si l'on ajoute les étrangers régularisés pour « maladie » — soit 6 000 personnes — et ceux régularisés en tant que « parents d'un enfant français » — soit environ 3 000 personnes —, plus quelques autres, ce sont environ 45 000 personnes qui ont été régularisées en 2013. Cela représente 123 régularisations par jour.

    Avec ce nombre de régularisations, la France franchit le cap des 200 000 entrées annuelles d'étrangers, alors que celles-ci tournaient depuis le début des années 2000 autour de 190 000.

    • 94 457 entrées pour motif familial (+ 8,4 %),
    • 17 813 pour motif économique (+ 11 %),
    • 62 984 pour motif étudiant (+ 7 %),
    • 17 754 pour raisons humanitaires (– 3 %)
    • 13 322 de motifs divers.

    Michel Janva

  • François Hollande n’est pas là par hasard…

    L’ancien Premier secrétaire du PS n’est pas fait pour être Président de la République, c’est entendu, mais c’est un homme de pouvoir.   

    Que François Hollande ne soit pas l’homme qu’il faut où il faut est une évidence. Mais il n’est pas là par hasard. L’ancien Premier secrétaire du PS n’est pas fait pour être Président de la République, c’est entendu, mais c’est un homme de pouvoir, peut-être plus habile à agir dans les coulisses et à jongler au milieu des arcanes politiciennes qu’à représenter et diriger la France. Le voici donc en train d’exploiter le marasme de la gauche et du parti socialiste en particulier. En touchant le fond après le naufrage municipal, il saisit l’occasion de rebondir par une manoeuvre qui révèle d’ailleurs la réalité du pouvoir dans notre pays.

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  • 13 avril : Farida Belghoul à Vernon

    Les Veilleurs de Vernon ont pour invité Farida Belghoul pour parler de la théorie du genre et de son action nationale des Journées de Retrait d'Ecole (JRE)dimanche 13 avril de 20h30 à 21h30 devant la mairie de Vernon.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html