Il déclare au Figaro :
"J'ai été le premier à dire qu'il fallait réécrire cette loi pour faire en sorte que les lignes rouges de la PMA et de la GPA ne soient jamais franchies, mais que l'abrogation pure et simple était illusoire."
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Il déclare au Figaro :
"J'ai été le premier à dire qu'il fallait réécrire cette loi pour faire en sorte que les lignes rouges de la PMA et de la GPA ne soient jamais franchies, mais que l'abrogation pure et simple était illusoire."
Depuis l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539 sous François Ier, le français est la seule langue admise en France...
Le ministère de l’Éducation nationale propose à l’école élémentaire des cours de langue arabe et de culture algérienne.
Il diffuse un questionnaire « à retourner obligatoirement à l’école ». Celui que je détiens provient de l’école élémentaire Gérard-Philipe à Grigny dans l’Essonne, et est rédigé en français et en arabe. En voilà le texte : [...]
François Jourdier - La suite sur Boulevard Voltaire
Une foule considérable a défilé ce dimanche, pour la manifestation intitulée « Jour de Colère », dans une ambiance déterminée et enjouée, en dépit d’un temps très hostile et d’un parcours fort long.
Le cortège global, en accéléré :
La police, et certains « merdias », ont annoncé le chiffre aberrant de 17 000 participants, mais l’on peut au moins tabler sur 50 000 manifestants (les organisateurs parlent de 120 000 à 160 000 personnes).
Cette manifestation s’est traduite par un cortège particulièrement hétéroclite, composé de groupes nombreux aux thématiques variées : défenseurs de la famille, de la souveraineté et de l’identité nationale, de la liberté d’expression (avec une foule bigarrée de « dieudonnistes »), entrepreneurs et rackettés fiscaux, etc.
Un message pertinent, du mouvement Renouveau français :
Un grand succès donc, pour cette manifestation organisée hors des grands circuits politiques, et sans le soutien d’un quelconque parti politique.
A l’arrivée, des discours se sont succédés : souvent bons en dépit de quelques dérapages républicains, ils traduisaient les différentes raisons pour lesquelles le peuple est légitimement mécontent – voire furieux – du comportement de François Hollande, et exige la démission de cet individu calamiteux.
Quelques video-clips hilarants furent diffusés entre les discours : nous espérons vous les proposer ici bientôt.
En dépit de la relative radicalité du ton, une partie non négligeable des manifestants, très motivés, a été un peu déçue de la conclusion : les organisateurs annonçant solennellement recourir à … l’Assemblée nationale pour obtenir la destitution d’Hollande…
Et Béatrice Bourges, l’un des meneurs de cette mobilisation, d’annoncer pour sa part débuter une grève de la faim (elle logera dans une tente sur le Champ de Mars près du « Mur de la paix », où l’on peut aller lui témoigner son soutien) jusqu’à ce que la procédure parlementaire soit engagée.
Bref, pas d’opération spectaculaire ce dimanche soir.
Après la fin de la manifestation, des heurts ont éclaté entre quelques centaines de manifestants et la police de Valls, celle-ci usant rapidement d’une violence inadmissible, comme les opposants au gouvernement (contrairement aux racailles) y ont de plus en souvent droit. Ces affrontements ont duré quelques heures et se sont traduits par près de 150 arrestations (!) et quelques blessés de part et d’autre :
Plus tard dans la soirée, quelques dizaines de jeunes nationalistes ont bloqué le Carrefour Odéon, incendiant des pneus avant d’être, au bout d’un long moment, délogés par la police (quelques arrestations).
Ce « Jour de Colère » marque une étape intéressante dans l’opposition à Hollande et à son gouvernement d’idéologues fanatiques.
Regroupant des mécontents d’horizons variés, bien organisés, avec des discours moins « nunuches » que ceux des « Manifs pour tous », il témoigne que la résistance se porte bien : nombre et détermination.
On est encore loin de l’Ukraine et il en faudra plus, en termes de colère, pour se débarrasser de l’immonde clique au pouvoir.
Mais l’espoir grandit.
PS : des militantes gouvernementales antichrétiennes Femen sont venues s’en prendre à la manifestation, à son début, mais ont été rapidement embarquées par la police, qui voulait surtout leur éviter de passer un très sale quart d’heure (video ci-dessous).
Quelques dizaines « d’antifas », violents extrémistes de gauche au service du Système, ont regretté d’être venus provoquer (casqués et armés) d’un peu trop près les manifestants.
La théorie du genre avance masquée, au nom de l’égalité notamment. Le pouvoir est habile et vicieux. Il sait comment imposer ses vues sans alarmer l’opinion publique.
En ce moment, en France, Farida Belghoul chez les musulmans et Alain Escada chez les catholiques tentent de faire prendre conscience des enjeux et enchaînent les conférences de ville en ville.
Mais le pouvoir pratique le déni –« non, la théorie du genre n’existe pas », répète Najat Vallaud-Belkacem – et peut compter sur quelques officines complices comme la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) chargée d’apaiser les inquiets : circulez, il n’y rien à voir.
Ainsi, l’antenne départementale du Val d’Oise de la FCPE vient de publier un communiqué hallucinant. Soit l’auteur de ce communiqué ne sait pas de quoi il parle et ferait donc mieux de se taire, soit il ment effrontément. Dans les deux cas, c’est scandaleux et les parents feraient bien de s’en aviser et de remettre les représentants de cet organisme à leur place.
Dans son communiqué, la FCPE écrit notamment : « Si cette théorie pourrait être abordée, dans le cadre de l’éducation sexuelle aux collèges et aux lycées, elle ne sera pas abordée en primaire où son uniquement prévues des informations sur l’égalité des sexes. ».
Or, c’est bien dès l’école maternelle que la théorie du genre se propage avec la lecture hebdomadaire d’ouvrages comme « Jean a deux mamans », « Papa porte une robe » ou « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ». C’est bien la théorie du genre qu’on inculque à nos enfants sous couvert d’un programme consacré à l’égalité.
« La lutte contre l’homophobie et pour l’égalité fille/garçon a toujours été une priorité de notre fédération. », poursuit le communiqué, permettant de mieux comprendre l’origine des œuillères de cette fédération qui voit dans ceux qui dénoncent la théorie du genre une «inspiration pétainiste et réactionnaire ».
Le Jour de colère du 26 janvier est une révolte du bon sens qui refuse qu’on traîne un pays doté de tant d’atouts vers le bas.
Séduits par les alliances gauche-droite qui se multiplient en Europe, certains ne songeraient-ils pas à une évolution semblable en France ? Entre une gauche social-démocrate et une « droite » opportuniste, appuyée sur le discours de Valls en matière de sécurité et la conversion économique verbale de Hollande, cette alliance doit titiller l’esprit de quelques-uns. Le peuple pourrait même lui être favorable en y voyant une union de salut public, quand il ne s’agirait que d’une union pour se maintenir au pouvoir…
La connivence médiatique assez exceptionnelle dans notre pays ne manquera pas de célébrer une évolution qui rassemblera les dévots du politiquement correct et confirmera le confortable entre-soi des « gens qui comptent ».
Un excellente synthèse du Salon Beige
A l’occasion de l’affaire Dieudonné, certains ont critiqué le retournement de jurisprudence décidé par le Conseil d’Etat sous l’impulsion de Manuel Valls, en affirmant qu’il aurait suffi d’appliquer la loi existante.
L’occasion de rappeler qu’il existe en effet tout un arsenal législatif liberticide en France, sur lequel peut s’appuyer la police de l’opinion actuelle. Pour pouvoir un jour les abroger, il peut être utile de connaître ces lois réprimant la liberté d’expression. Petit tour d’horizon :
1881- 1972 : un siècle de liberté d’expression
La France fait l’expérience pendant près d’un siècle d’une libre expression publique, grâce à la loi de 1881 sur la presse. Preuve, selon le philosophe Philippe Nemo, dans son ouvrage "Les deux Républiques françaises", qu’un juste équilibre est possible :
"Promulguée après de vives luttes pour la liberté d’expression, elle avait réussi à supprimer toute censure, sauf pour certaines restrictions concernant l’ordre public, notamment la diffamation, l’injure et l’incitation à l’émeute. Elle autorisait l’expression publique de toute opinion, y compris des hostilités verbales entre divers courants idéologiques, considérées comme élément essentiel d’une vraie démocratie. (...) Les idées les plus farfelues s’exprimaient librement, sans que la France ne soit devenue ni nazie, ni communiste, ni antisémite ni plus homophobe ou xénophobe qu’auparavant."
La loi Pleven de 1972 sur le racisme : les sentiments et les propos deviennent des délits
Mais en 1972, la majorité de droite fait adopter la loi Pleven, qui modifie en profondeur la loi de 1881 à plusieurs points de vue : [...]
La suite ici
Vraiment curieux cet hasard, il n'y a pas de train le dimanche 2 février au matin au départ de Bordeaux :