Pour vous en donner une idée, voici quelques extraits du communiqué d’Harlem Désir:« Ces dernières semaines ont été particulièrement éprouvantes pour tous les Socialistes, pour tous les progressistes, pour tous les républicains. Les valeurs qui sont le socle de notre pays sont aujourd’hui mises en cause par une montée de racisme, de la xénophobie et de la haine. Une offensive réactionnaire, dont un des terreaux a été la « Manif pour tous » et qui a pris récemment pour cible la Ministre de la justice Christiane Taubira, a libéré en France la parole d’intolérance et nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire.La surenchère de ces dernières semaines montre l’importance de la bataille culturelle et idéologique que nous avons engagée dès nos Universités de la Rochelle contre un bloc droitier, extrémisé et antirépublicain, qui alimente ce climat d’intolérance.
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Et devinez sur quoi sera le prochain meeting du PS ?
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L’école des barbares
De l’école, j’ai eu le meilleur.
J’ai su lire, écrire et compter dès le cours préparatoire. À l’école primaire j’ai appris l’orthographe et la grammaire, l’Histoire de France et sa géographie, l’arithmétique et la géométrie, les sciences naturelles (on disait « leçons de choses »), la couture, la musique et la gymnastique.
Au Lycée j’ai appris le latin, l’anglais, l’allemand, la littérature, les maths, la biologie, la physique, la chimie. J’ai appris à maîtriser ma langue, à disserter en trois parties, à raisonner juste. À coudre un bouton avec une queue, faire un ourlet invisible et une reprise d’accroc.
J’ai appris aussi la discipline, le respect des autres, les horaires, la hiérarchie, la politesse. Il y a ce qu’on fait, et ce qu’on ne fait pas. Nos blouses gommaient nos différences sociales.
Notre école était sanctuarisée. Si un prof était un peu tripoteur, un simple signalement nous mettait à l’abri. Garçons et filles apprenaient à se connaître en se respectant, la violence était absente. On rêvait à l’amour, ceux qui le faisaient le faisaient discrètement. Ça ne regardait personne. Les problèmes que j’ai eus dans ma jeunesse ne venaient pas de l’école, ils ne vinrent pas de mon Lycée. Aujourd’hui les élèves ne savent plus écrire et ne savent même pas à quoi peut servir de savoir compter, certains accèdent au bac sans maîtriser la lecture. Leur programme d’Histoire les fait passer de la Renaissance à la Révolution, les cours de Sciences étudient le « genre ».
Les filles doivent avoir couché avec une fille et pas seulement avec un garçon. Ben quoi, c’est vrai ça, pourquoi pas, bande d’homophobes ! Certaines demandent si, quand on couche, « il faut » faire comme ci, ou bien comme ça. Par ailleurs, on va s’assurer que les petits garçons auront très vite une notion précise de ce qu’est la sodomie, comptons sur la maîtrise du sujet qu’auront les militants de la cause homosexuelle qui viendront leur apprendre à jouir sans entrave dès les cours préparatoires. Comment en sommes-nous arrivés là ?
Je croyais qu’on avait touché le fond, jusqu’à ce que j’entende, pétrifiée, le témoignage de Nora Fraisse, la maman d’une petite Marion, qui s’est pendue à l’âge de 13 ans, parce qu’elle a préféré mourir que de retourner en classe.
Non seulement l’école ne veut plus rien enseigner aux gosses à part leur droit de baiser avec tout ce qui bouge sans s’attacher à personne, mais elle n’est même plus à même d’assurer leur sécurité.
Des pervers en herbe peuvent, en toute impunité et sous le regard indifférent d’un encadrement totalement amoralisé, persécuter à mort une gosse de treize ans.
C’est l’école de la barbarie et des barbares.
Sortez vos gosses de l’Éducation nationale ! Vite !
Marion Sigaut
http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-ecole-des-barbares-21446.html
En complément
Farida Belghoul explique le projet REID d’éducation à domicile dans les banlieues françaises ainsi que les difficultés rencontrées lors de sa mise en œuvre (extrait de la conférence du 22 juin 2013 avec Alain Soral et Mathias Cardet) :
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Polémique autour de zone interdite : des journalistes accusés d'avoir incité les clandestins qu'ils filmaient au départ
Les journalistes qui ont suivi le parcours d'immigrés clandestins sont accusé d'avoir incité des Camerounais à traverser la Méditerranée pour aller en France.
Un bateau transportant 200 migrants en provenance de Libye accoste sur l'île italienne de Lampedusa, le 9 avril 2011. Un bateau transportant 200 migrants en provenance de Libye accoste sur l'île italienne de Lampedusa, le 9 avril 2011. (FILIPPO MONTEFORTE / AFP)
Par Francetv info avec AFP
C'est un reportage qui fait polémique. Une équipe de reporters de l'agence Tony Comiti a filmé pour le magazine "Zone Interdite", sur M6, des clandestins camerounais qui traversaient la Méditerranée. Le problème : les journalistes ont avoué leur avoir payé un billet de train pour qu'ils relient l'Italie à Paris.
Par ailleurs, trois Camerounais filmés pour "Zone Interdite" plusieurs mois durant lors de leur périple pour arriver clandestinement en France ont déposé plainte pour différents motifs visant la production du reportage, "Émile Zola Matemb Ba Em, Alain Joseph Ebanga Ndoumou et Elie Mbock ont déposé une plainte entre les mains du procureur de la République, car ils estiment avoir été victimes d'un certain nombre d'infractions", a déclaré vendredi 22 novembre leur avocat, Jérémie Assous. -
Les nervis d'extrême gauche collaborent avec la police
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Peillon et la gauche ou la haine de l’excellence
Peillon veut rogner les revenus des profs des classes préparatoires... Ou comment jouer sur ces sentiments bas que sont l’envie ou la jalousie en dénonçant les "privilèges"... de ceux qui ne font pas partie de votre électorat de base...
Au sein de cette corporation d’habitude discrète certains menacent de bloquer leur lycée.
Lu sur Le Figaro
Du lycée Hoche à Versailles, en passant par le lycée Saint-Louis à Paris ou Lakanal à Sceaux, les professeurs de classes préparatoires ont multiplié les assemblées générales cette semaine. Au lycée Condorcet, certains hésitent même à bloquer l’établissement ! Du jamais vu de la part de cette corporation de 8000 enseignants habituellement extrêmement discrète.
En cause, une piste de réforme de Vincent Peillon sur le métier d’enseignant. Ce dernier envisage d’entamer les avantages de ces professeurs réputés privilégiés et (trop) bien payés afin de financer l’allégement d’une ou deux heures hebdomadaire d’une partie des enseignants de zone d’éducation prioritaire (ZEP). Selon des calculs syndicaux, le ministère pourrait économiser 20 à 30 millions d’euros sur le dos des prépas. « La gauche ne les aime pas, même si elle en sort et y met ses enfants. C’est purement idéologique », s’insurge un professeur de mathématiques de Louis-le-Grand.
En mai dernier, la Cour des comptes avait fait grand bruit en pointant un professeur agrégé de langue vivante rémunéré 107.339 euros net, en grande partie grâce à ses multiples heures supplémentaires. La Cour rappelait que les enseignants de classes prépa touchaient en moyenne 28 % de plus que les agrégés de lycée, eux-mêmes gagnant 30 % de plus que les professeurs certifiés…
Ce projet de réforme Peillon, qui entend modifier l’actuel système, consisterait à supprimer les diminutions horaires liées aux « heuresde première chaire », dont bénéficient uniquement les professeurs de première et de terminale, ainsi que celles des professeurs de classes préparatoires. Les décharges horaires seraient calculées différemment avec un système de « pondération » uniforme censé bénéficier à plus de monde, incluant les enseignants de ZEP.
Beaucoup à perdre
Les professeurs de classes prépa sont sans nul doute ceux qui ont le plus à perdre. Selon Dominique Schiltz, du Snalc ,ce projet, s’il aboutissait, conduirait à une fonte de revenu de 10 à 15 % par an pour plus de la moitié d’entre eux. Le gros des troupes perdrait 2 500 à 4 000 euros par an. Les professeurs « de chaire supérieure », les mieux payés, en fin de carrière, pourraient perdre plus de 10.000 euros.
Aujourd’hui, les professeurs de prépa ont un service obligatoire entre huit et onze heures de cours hebdomadaires qui oscille selon les effectifs de la classe et son niveau. Certaines classes pouvant atteindre jusqu’à 45 élèves.
Or, et c’est une particularité des prépas, plus l’obligation de service est faible, plus l’heure supplémentaire est payée chère… Ceux qui travaillent dans les lycées à forts effectifs, qui sont souvent situés en centre-ville et font partie des plus prestigieux, ont donc beaucoup à perdre : avec la réforme Peillon ils auront tous dix heures obligatoires à assurer quels que soient les effectifs de leurs classes.
Du coup, tous ceux qui effectuent aujourd’hui moins de dix heures devront travailler une ou deux heures de plus sans être payés plus. Ceux qui cumulaient quatre à six « heures supplémentaires » devront en faire moins, rognant ainsi leurs revenus.
Présidente de l’union des professeurs de classes préparatoires scientifiques, Sylvie Bonnet ne décolère pas. Elle vient d’envoyer une lettre au ministre pour être reçue. « Avant même que nous soyons au courant, Peillon a indiqué mardi qu’il voyait déjà des conservatismes qui s’organisaient. C’est incroyablement humiliant ! » Des courriers furieux s’accumulent au siège de l’association. Elle se souvient pourtant avec ironie de Hollande critiquant Sarkozy pendant la campagne électorale : « Connaissez-vous des salariés prêts à travailler 50 % de plus pour gagner 25 % de plus ? », avait-il tonné au sujet d’une réforme des enseignants proposée par le candidat UMP. « C’est ironique, puisque c’est précisément ce que Hollande est en train de nous faire », critique-t-elle, ajoutant que cette annonce tombe d’autant plus mal que les professeurs de prépa cumulent cette année plusieurs lourdes réformes de leurs programmes.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Peillon-et-la-gauche-ou-la-haine
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Aymeric Chauprade : à peine débarqué, déjà attaqué…
Source : lecolonel.net – À peine une semaine après sa première apparition dans un média de grande écoute, la classe politico-médiatique est en ébullition. Aymeric Chauprade, tête de liste FN pour les Européennes de 2014, fait parler de lui, et déjà les médias officiels lui collent aux basques. À croire qu’il en inquiète plus d’un.
Ancien professeur de géopolitique dans plusieurs universités et grandes écoles (CID, université de Neuchâtel, collège de l’enseignement militaire supérieur du royaume du Maroc etc…) Aymeric Chauprade est connu et reconnu aux quatre coins du monde comme étant un géopolitologue de renom (encore aujourd’hui, il est régulièrement invité à tenir des conférences dans de grandes écoles et universités).
Grand défenseur des civilisations, des nations et de leur souveraineté, des peuples et de leur culture, il publie régulièrement des livres très approfondis dans son domaine, qui font date (Géopolitique : Constantes et changements dans l’histoire) très appréciés par de nombreux étudiants, mais aussi des ouvrages accessibles à un plus large public (Dictionnaire de géopolitique, avec François Thual, Chronique du choc des civilisations).
Viré manu militari du Collège Interarmées de Défense par son ministre de tutelle pour avoir osé mettre en avant les doutes qui subsistent sur la version officielle des attentats du 11 septembre (sans pour autant adhérer aux théories de complots) dans son ouvrage Chronique du choc des civilisations (10 pages sur un livre qui en compte 300), il s’est reconverti, depuis, dans le conseil international, tout en continuant à publier des articles sur la géopolitique. Il est directeur du site Realpolitik.tv.
Conseiller de Marine Le Pen depuis quelques années, il a officiellement rejoint le Front National en septembre dernier, et est devenu le candidat FN, en Île-de-France pour les Européennes de 2014.
C’est donc un homme de renommée internationale, côtoyant les plus grandes instances dans le monde entier, régulièrement invité dans les plus grandes écoles et universités, que nos médias dépeignent, aujourd’hui, comme un vulgaire conspirationniste de bas étage
À écouter ou à lire certains journalistes, il est facile de comprendre que, soit ils n’ont pas vraiment cherché à savoir qui est cet homme et d’où il vient, ce qui, vu le niveau de certains, ne serait pas étonnant ; soit, ils ont reçu des consignes, venant de très haut, pour tenter de discréditer l’un des plus brillants experts de géopolitique et de relations internationales français, ce qui est bien plus probable.
Il ne faut pourtant pas beaucoup de temps pour comprendre que Aymeric Chauprade n’a rien d’un affreux. Il a simplement le malheur d’être, comme une majorité de Français, en lutte contre un système mondialisé devenu fou. Il n’est donc pas étonnant de voir les médias, complices de ce même système, essayer de descendre en flammes un homme voulant simplement redonner au peuple la place qu’il a perdue depuis bien longtemps.
On peut ne pas adhérer aux idées du FN, certes, mais s’attaquer aussi bêtement à un homme ayant une réputation aussi solide, simplement parce qu’il est candidat de ce parti, prouve que les journalistes ne sont pas prêt de relever le niveau, et que l’argumentation fait défaut à bon nombre d’entre eux.
Source : lecolonel.net
Retrouvez Aymeric Chauprade sur Facebook : www.facebook.com/aymeric.chauprade
http://fr.novopress.info/146244/aymeric-chauprade-peine-debarque-deja-attaque/#more-146244
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Agenda : le 25 novembre, retrouvez à Paris celui qui a révélé le mur des cons
Le lundi 25 novembre, le blogue Nouvel Arbitre vous convie au Carré Parisien afin d’y retrouver Clément Weill-Raynal, le fameux journaliste ayant révélé, l’année passée, l’existence du « mur des cons » par la publication d’une vidéo prise en catimini. La divulgation de cette dernière avait en effet entraîné un certain retentissement. Depuis, le journaliste de France 3 a aussi publié chez Plon « Le fusillé du Mur des cons » afin de revenir sur cette affaire qui montre une justice de plus en plus politique.
Source : nouvelarbitre.com / Événement Facebook
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5 mois, jour pour jour
... que les Sentinelles se relaient devant le ministère de l'Injustice. Un pied de nez à Christiane Taubira, dont une proche a avoué : "On ne pensait pas qu'ils passeraient l'été".
Deux sentinelles sont sur place en ce moment.
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A Nantes, la "Manif pour tous" a fait sa "rentrée"
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Pierre Hillard, spécialiste du mondialisme... origines, découvertes et terrifiantes perspectives