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lobby - Page 2133

  • Les conséquences de la résolution 2118

    Bien que le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, se soit bruyamment félicité du vote de la résolution 2118 sur les armes chimiques en Syrie, ce texte marque à la fois la victoire de la Russie et celle du président Bachar el-Assad. Il porte en lui-même deux conséquences qui ruinent définitivement les prétentions franco-britanniques sur le pays.

    Une fois passé l’étonnement face au tête-à-queue US en Syrie, une nouvelle situation politique se fait jour correspondant point par point aux plans élaborés conjointement par la Russie et la Syrie en juin 2012, c’est-à-dire avant la conférence de Genève 1. À l’époque, le Kremlin envisageait de négocier un accord avec Washington à la fois pour régler la crise syrienne et pour permettre au président Obama de sortir de son tête-à-tête étouffant avec Israël. Cependant ce plan, qui allait devenir un projet de partage de la gouvernance au Proche-Orient, supposait la présence de troupes russes en Syrie. Le général Hassan Tourekmani avait alors proposé que des troupes d’interposition mandatées par les Nations Unies soient déployées par l’Organisation du Traité de sécurité collective (« l’Otan russe »), comme il existe déjà sur le sol syrien une Force des Nations Unies chargée d’observer le désengagement au Golan.

     

    L’idée de ce déploiement a fait son chemin. L’OTSC a signé un Protocole avec le département des Opérations de maintien de la paix de l’Onu en septembre 2012 qui lui permet, comme l’Otan, de sous-traiter des actions du Conseil de sécurité. Depuis un an, l’OTSC a préparé 50 000 hommes qui peuvent être projetés en moins de deux semaines. Mais Moscou craignait de tomber dans un piège : c’était pour détruire l’Armée rouge que la CIA avait créé, en 1979 avec l’Arabie saoudite, le mouvement jihadiste international aujourd’hui appelé Al-Qaëda. La Syrie serait-elle le nouvel Afghanistan de l’armée russe ?

     

    Compte tenu des hésitations et contradictions US, le projet fut interrompu, mais pas abandonné. Or, la solution de la crise des armes chimiques ouvre de nouvelles possibilités.

     

    En premier lieu, la résolution 2118 ne se contente pas de soutenir le plan russe de destruction des restes du programme chimique syrien des années 80, elle implique implicitement le maintien du président Bachar el-Assad au pouvoir pour au moins un an afin qu’il supervise cette destruction. Du coup, non seulement les grandes puissances occidentales ne réclament plus son départ, mais seraient favorables à un allongement de son mandat et à un report de la prochaine élection présidentielle.

     

    En second lieu, la transmission par la Syrie de la liste de ses stocks d’armes chimiques à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) les rend vulnérables, puisque cette liste ne manquera pas de parvenir à « l’opposition armée ». Malgré ses efforts, l’Armée arabe syrienne ne pourra pas à la fois combattre les jihadistes internationaux sur l’ensemble du territoire et défendre ses arsenaux. Prévoyant cette situation, les chefs d’État de l’OTSC, réunis autour de Vladimir Poutine le 23 septembre à Sotchi (c’est-à-dire quatre jours avant le vote de la résolution 2118 du Conseil de sécurité), ont donné ordre de se tenir prêts à sécuriser la destruction des armes chimiques, si le Conseil de sécurité en faisait la demande. Les troupes arméniennes, biélorusses, kazakhs, kirghizes, russes et tadjiks ne seraient plus déployées pour s’interposer entre les deux camps comme cela était envisagé il y a un an et demi, mais pour défendre les arsenaux de l’État. Leur mission serait donc beaucoup plus simple et efficace.

     

    Dans cette perspective, les 2 500 hommes de l’OTSC qui doivent participer à des manœuvres au Kazakhstan, du 7 au 11 octobre, procéderont à une simulation.

     

  • Ecole : un embrigadement national

    « Qui tient les écoles de France tient la France ! » Tout était déjà dit au XIXème siècle dans cette maxime de Jean Macé, instituteur, journaliste politique et franc-maçon...

    De fait, ce que l’on appelait « enseignement » hier, et que l’on baptise « éducation nationale » aujourd’hui, a toujours fait l’objet d’une lutte d’influence sans merci.

    Jules Ferry et Jules Grévy, républicains acharnés, anticléricaux et francs-maçons, savaient parfaitement ce qu’ils cherchaient en voulant arracher l’enseignement à l’Eglise de France. Le but, sous le prétexte fort louable par ailleurs, d’apporter un enseignement gratuit et ouvert à tous, était bien de déchristianiser la France en déchristianisant d’abord l’école. Ne nous y trompons pas : le conflit qui resurgit de façon récurrente entre l’école laïque et l’école privée n’est qu’une survivance et une résurgence de ce conflit initial.

    L’éducation nationale, en plein désarroi aujourd’hui, n’en est pas moins un fief de gauche et il convient de s’en réjouir. Il semble en effet normal que les acteurs d’une longue et consciencieuse manipulation des esprits récoltent ce qu’ils ont semé. Pour nous en convaincre, nous observerons le phénomène sous l’angle de trois dogmes de l’éducation nationale : l’égalitarisme, l’anti-autoritarisme, le progressisme.

    - Un égalitarisme forcené.

    Ces maîtres de l’éducation de nos enfants, qui ont eu leur moment de gloire pendant le « joli mois de mai », ont refusé tout système d’émulation et combattu l’élitisme. Le résultat, c’est que le niveau scolaire moyen est aujourd’hui affligeant ainsi que l’a révélé la presse récemment : élèves de sixième illettrés, élèves de troisième ne sachant que syllaber, bacheliers incultes. Et tous doivent se contenter d’un enseignement adapté à des jeunes Français d’origines multiples qui éprouvent des difficultés à comprendre la langue vernaculaire... [...]

    JM - La suite sur Politique Magazine

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Ecole-un-embrigadement-national

  • « Qui instrumentalise l’Eglise ? » de Martin Peltier

    « Comment certains lobbies tentent d’asservir Rome au politiquement correct »
    Le livre « Qui instrumentalise l’Eglise ? » n’a pas eu beaucoup d’écho dans la grande distribution. Pourtant, paru au printemps 2012, c’est-à-dire avant l’élection de Hollande, avant la loi Taubira sur le mariage des homosexuels, avant le retrait de Benoît XVI et les nouveautés du pape François, il paraît aujourd’hui rétrospectivement presque prophétique. Parce qu’il s’est posé des questions qui restent actuelles : Qui se sert de l’Eglise catholique ? Comment ? Pourquoi ? A quoi tendent les controverses dont elle est l’objet ? Que valent les reproches qu’on lui fait ? Qui sont ses ennemis, à l’intérieur et à l’extérieur ? Que veulent-ils ? Accessoirement, comment « lire » les actes et les paroles d’un pape ? Il s’agit là d’un vaste programme, que ce livre remarquablement documenté, et argumenté pied à pied, résume dans un sous-titre exprimant son hypothèse de travail : « Comment certains lobbies tentent d’asservir Rome au politiquement correct. »
    Peltier examine les groupes de pression à la manœuvre, certains avec des données nombreuses et probantes, groupes homosexuels, juifs ou chrétiens modernistes, d’autres un peu brièvement (francs-maçons, protestants anglo-saxons). La méthode retenue par tout ce beau monde est l’intimidation. Par le biais de controverses explicites, voire tonitruantes, et par une propagande diffuse, omniprésente dans les médias, ces lobbies tendent à faire honte à l’Eglise de son passé et de son enseignement pour la terroriser par l’image qu’ils en donnent.
    Quant aux buts visés par ladite manœuvre, trois sont principalement recensés :
    –      le premier, le plus évident, qui n’a pas besoin d’autre développement, est l’affaiblissement de l’enseignement traditionnel de l’Eglise sur les questions de mœurs et de foi – on en a vu maint exemple dans l’affaire du mariage gay ;
    –      le deuxième est l’asservissement de l’Église à l’idéologie des droits de l’homme et son enrôlement au profit du mondialisme politiquement correct ;
    –      le troisième, d’ordre théologique, est la mise sous tutelle de Rome, accompagnée d’un changement radical de sa doctrine et même de ses textes fondateurs, de sorte qu’elle ne soit plus que la servante d’un nouveau superpouvoir moral.
    L’ancien chroniqueur religieux du Monde Henri Tincq, l’un des gourous du catholicisme progressiste en France, tombait d’accord avec l’historien René Rémond pour « observer que l’opinion tolère mieux les prescriptions de l’Eglise dans le champ de la morale collective – justice sociale, droits de l’homme, paix et solidarité – que dans celui de la morale personnelle et sexuelle ». Autrement dit, que le pape s’occupe de ses affaires, ou plutôt qu’il ne s’occupe pas de celles des autres, mais qu’il fasse des déclarations socialistoïdes, qu’il promeuve l’immigration/invasion, et, là, on l’écoutera. La stratégie a été payante : en France comme en Italie, on a vu l’épiscopat en pointe dans la diabolisation des partis nationaux, FN ou Ligue du Nord, pour la défense des roms, des clandestins, etc. L’étude est parfaitement convaincante.
    Peltier ajoute que les prélats politiques d’aujourd’hui peuvent faire semblant de se fonder sur un texte de Pie XII, la constitution apostolique Exsul Familia Nazarethana d’août 1952, pour justifier leurs extravagances : la doctrine chrétienne, évidemment non raciste, comporte un droit à l’émigration, assortie de circonstances et de conditions et il suffit d’oublier les circonstances et les conditions pour faire de bon nombre d’églises européennes les complices revendiqués de l’invasion en cours. Le constat va plus loin : certains papes dits « conservateurs », sur le plan de la morale sexuelle, ou du dogme, ou de la liturgie, tels Jean Paul II ou Benoît XVI, peuvent être plus utiles en matière d’invasion que de plus modernistes, parce qu’ils rassurent les catholiques conservateurs, lesquels seront plus enclins à les écouter sur le plan de la « morale collective ».
    Le troisième but, sans doute le but ultime, des lobbies qui instrumentalisent l’Eglise, i.e. sa mise sous tutelle doctrinale et scripturale au profit d’un nouveau magistère moral, demandait une analyse plus fine et aussi plus longue et plus détaillée :
    - Une grande première partie est consacrée à l’examen des principales attaques dont l’Eglise a été la cible depuis les années quatre-vingt. Pourquoi ? Parce que, parmi les reproches qui lui sont ordinairement faits, certains (pédophilie, refus de la capote pour lutter contre le Sida, béatifications diverses, Pie XII, Isabelle la Catholique, célibat des prêtres, ordination des femmes, carmel d’Auschwitz, affaire Williamson, etc.), certains semblent faits de bonne foi. Bien des braves gens se disent, ma foi oui, on a beau ne pas être anticatholique, l’Eglise ferait bien de faire son mea culpa et de la mettre un peu en veilleuse. Il fallait donc étudier ces controverses en détail pour établir en quoi elles sont faibles, comment, par qui et pour quoi elles ont été agitées.
    Peltier démonte les erreurs de la vulgate anti-romaine, les intentions et les trucs de ses promoteurs, officines gaies, juives et modernistes souvent liées. Les chapitres sur la déclaration de Mgr de Berranger à Drancy, le prétendu silence de Pie XII durant la seconde guerre mondiale, la canonisation d’Edith Stein et le carmel d’Auschwitz sont véritablement sans réplique.
    On découvre à leur suite une entreprise, qui n’est pas cachée, et qui trouve des complices, tel Christian Terras, directeur de la revue « catholique » Golias, pour changer de fond en comble les textes chrétiens, leur exégèse, et en particulier la christologie, afin que le judaïsme conquière le primat intellectuel et moral parmi les religions. Après le prétendu « enseignement du mépris » viendrait l’enseignement de la prosternation : la Shoah devant remplacer la Croix, Auschwitz le Golgotha. Benoît XVI était judéophile et plutôt immigrationniste, mais il a préparé pour Jean Paul II la déclaration Dominus Jesus ; il n’était donc pas du tout malléable ni même compatible de ce côté-là. Son retrait a sûrement fait plaisir.
    Le livre se termine sur des questions, dont la principale est : Comment se défend l’Eglise, ou : Se défend-elle ? Ou encore : Comment lire le pape, sa politique et sa doctrine ? A l’époque, c’était Benoît XVI, ce n’était déjà pas facile ; aujourd’hui, avec François, ça ne s’est pas simplifié. L’ouvrage montre là son ambiguïté : l’auteur a deux regards, celui d’un observateur laïc et celui d’un croyant. L’observateur convainc, le croyant est parfois pathétique. Les catholiques le comprendront, les autres retiendront une œuvre riche, dépaysante, très utile dans de nombreuses controverses, et qui, sans révisionnisme proclamé, fait litière d’un nombre impressionnant de mythes et d’arguments faux.
     Marcelle Puttemans, 7/10/2013
     Martin Peltier, Qui instrumentalise l’Eglise ?, éditions Godefroy de Bouillon (www.godefroydebouillon.fr), 315 p.
    http://www.polemia.com/qui-instrumentalise-leglise-de-martin-peltier/

  • Lakim Faust, le tueur de Blancs que l’on vous cache

    WASHINGTON (NOVOpress) - Avez-vous entendu parler de Lakim Faust ? Lakim Faust est un américain de 23 ans. Il vient d’être incarceré pour le meurtre de quatre personnes en juin dernier, en attendant son procès. La presse locale – les médias nationaux sont plus silencieux… – vient de révéler que Lakim Faust « choisissait ses victimes parce qu’elles étaient blanches ». L’une d’entre elles est morte et les trois autres ont « des blessures traumatisantes à vie » (« A man who shot four people near a Greenville Walmart in June picked out his victims because they were white, according to several indictments handed down against him »).

    On doit cette révélation aux chefs d’inculpation retenus par le juge américain. Jusqu’à maintenant, la police était soigneusement restée silencieuse sur le sujet. Les enquêteurs ont fini par déclarer à la télévision avoir « saisi des ordinateurs et des documents au domicile de Lakim Faust, qui démontrent qu’il planifiait une attaque et voulait tuer un très grand nombre de personnes ». En effet, on a retrouvé une centaine de balles sur Lakim Faust au moment de son interpellation.

     

    Et si les rôles étaient inversés ? Que se serait-il passé si on avait retrouvé chez l’accusé, Blanc et choisissant ses victimes “parce qu’elles sont noires”, un plan de meurtre collectif ? N’aurait-on pas parlé de “tentative d’attentat” ? De “terrorisme” ? L’affaire n’aurait-elle pas été montée en épingle par les grands médias internationaux, avec déclarations solennelles de chefs d’Etat à l’appui ? Si, bien sûr. On aurait parlé d’“assassin d’extrême droite”, voire de “nouveau Breivik”. L’écho médiatique et officiel serait d’une portée phénoménale et les populations seraient à juste titre traumatisées.

    Mais Lakim Faust est noir. Si les rôles avaient été inversés, ce serait le plus gros fait divers de tout le monde occidental. Frustré de ne pouvoir déclarer la guerre à un pays quelconque en guise d’exutoire, Bernard-Henri Lévy se consolerait en se précipitant au devant de tous les micros pour se déverser en appels à l’ouverture à l’Autre…

    La seule omerta sur ce fait divers est la meilleure preuve du racisme anti-Blanc qui règne dans la presse occidentale. Des victimes blanches d’un tueur raciste avéré ne méritent pas la même couverture médiatique qu’une victime noire d’une bande de skinheads.

    Ce racisme-là n’intéresse personne. Car il fait peur : si les victimes d’un meurtre raciste sont des blanches, c’est que le coupable ne l’est pas. Il a alors de fortes chances d’être un immigré ou descendant d’immigrés extra-européens. Le phénomène du racisme anti-Blanc déchire le voile du mensonge multiracial et ruine l’utopie du métissage.

    Julien Langella,
    co-fondateur de Génération Identitaire

    http://fr.novopress.info/142088/lakim-faust-le-tueur-de-blancs-que-lon-vous-cache/#more-142088

  • Poutine plus cool que Fabius…

    Que serait notre monde sans vilains dirigeants étrangers et sans gentils écologistes ? On se le demande…
    Depuis le 24 septembre dernier, l’Arctic Sunrise, le brise-glace de Greenpeace, fait escale forcée à Mourmansk, tandis que sa trentaine d’occupants est en détention provisoire. Motif ? Pour protester contre les forages pétroliers en Arctique de Gazprom, le géant russe de l’énergie, ils avaient tenté sans succès le 18 septembre d’aborder sa plateforme Prirazlomnaïa.
    Ils entendaient ainsi dénoncer sa vétusté : cette plateforme présenterait selon eux de graves risques potentiels de marée noire « à proximité de réserves naturelles. »
    Les Russes, de leurs côtés, considèrent cette tentative d’abordage comme un pur « acte de piraterie ».
    Depuis, évidemment, c’est la guerre des communiqués et des demandes de pressions internationales pour régler l’affaire pour obtenir la libération des écologistes. De l’habituel, somme toute, tandis que les deux camps s’invectivent férocement…
    Pour le président Poutine, « ces gens ont enfreint le droit international. Nos forces de l’ordre, nos garde-côtes, ne savaient pas qui tentait de s’emparer de la plateforme sous couvert de l’organisation Greenpeace. »
    Pour Kumi Naidoo, directeur de Greenpeace International, « (les garde-côtes russes) nous ont suivis pendant près de 24 heures avant le début de la protestation. Nous avons une longue histoire de militantisme pacifique en Russie et sommes bien connus des autorités »… et de surenchérir en soulignant dans un communiqué qu’il s’agit ni plus ni moins que « de la plus grave atteinte contre nos activités pacifiques depuis que les services secrets français ont coulé le Rainbow Warrior en Nouvelle-Zélande, en 1985. »
    C’est que, justement, parmi les emprisonnés se trouve l’Américain Peter Willcox, capitaine de l’Arctic Sunrise, mais également du Rainbow Warrior, à l’époque.
    Il est donc assez cocasse de voir l’association écologiste en appeler le 4 octobre dernier à François Hollande pour intervenir en faveur de leur libération.
    L’actuel locataire de l’Élysée aura peut-être le bon goût (ou à défaut le sens du ridicule) de ne pas faire plaider la cause des greenpeaciens par Laurent Fabius, notre actuel Ministre des Affaires étrangères.
    Le terrible dictateur Vladimir Poutine, honni de tous les donneurs de leçons humanistes de la planète, pourrait lui faire remarquer qu’il s’est contenté, lui, de faire arrêter sans violence les trublions écologistes. Pas de faire exploser leur bateau comme les services secrets de la France mitterrandienne.
    Rappelons que Laurent Fabius, alors Premier ministre, avait été obligé d’admettre, le 22 septembre 1985 à la télévision, que les services secrets français avaient bel et bien mené l’attaque mortelle (un mort parmi l’équipage) du Rainbow Warrior : celui-ci faisait route vers Mururoa pour protester contre les essais nucléaires français.
    Maladroit et coupable à l’époque, ridicule aujourd’hui ? Pourquoi pas !

    Philippe Randa http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFlEuEukklDUjUkPDQ.shtml

  • Communiqué du Printemps Français (9 oct 2013)

    Rythmes scolaires, gender à l’école : nos enfants ne sont pas des cobayes ! C’est le message affiché cette nuit par le Printemps Français devant les écoles primaires des vingt arrondissements parisiens.

    Le Printemps Français appelle à résister contre la pénétration de l’idéologie dans les écoles. Vincent Peillon prétend aménager les rythmes scolaires, mais il vise à détruire les rythmes familiaux. Vincent Peillon prétend favoriser la tolérance, mais il veut imposer le gender à l’école. NON, nos enfants ne sont pas de cobayes ! Pas question de nous voir imposer une réforme qui nie les rythmes biologiques des enfants pour en faire des zombies. Pas question de nous voir imposer l’enseignement d’une idéologie qui nie la différence entre garçons et filles, pour créer une société de robots indifférenciés.

    L’objectif de la réforme Peillon est clair : il s’agit de casser le rythme biologique des enfants pour les épuiser et les rendre malléables à tout endoctrinement, et de les arracher à leur famille en systématisant des activités extra-scolaires encadrées par les syndicalistes de l’Education Nationale. Créer un mouvement de jeunesse obligatoire a toujours été une priorité dans les dictatures. Avec ses changements de rythme, son enseignement de l’idéologie du genre et sa religion laïque à l’école, la réforme Peillon prépare-t-elle le terrain à la « Hollande Jügen » ?

    Hier, la constitution de la République Française a été mise à l’épreuve d’une tentation dictatoriale : peut-elle interdire une clause de conscience aux officiers d’Etat Civil opposés à la dénaturation du mariage ? Cette question engage notre démocratie. Aujourd’hui, après la circulaire Valls menaçant de prison les maires opposés au mariage unisexe, c’est la réforme Peillon qui s’attaque aux familles. Les apprentis dictateurs avancent leurs pions. Le Printemps Français appelle à leur résister.

    Tous avec le Printemps Français, pour la Liberté, la Justice et la Vérité ! On ne lâche rien !

    http://www.printempsfrancais.fr/3663/communique-du-9-octobre-2013/

  • Alain Juppé : “La maîtrise des flux migratoires n’a jamais été aussi inefficace”

    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Le maire de Bordeaux est inquiet. Le résultat du premier tour des élections cantonales à Brignoles a fait l’effet d’une bombe dans le milieu politique, et particulièrement dans une UMP en proie à de graves divisions, quant à sa stratégie envers le Front national.
     
    L’ancien ministre des Affaires étrangères craint pour la « survie de l’UMP » prise entre son aile gauche (centristes) et son aile droite (Front national). « D’un côté, nous perdons sur le flanc centriste qui s’efforce de reconstituer l’ancienne UDF. De l’autre, en nous précipitant dans le piège de nos relations avec le Front National, nous décomplexons notre propre électorat qui cède de plus en plus aisément à la tentation de préférer l’original à la copie », estime-t-il dans un billet posté sur son blog.
    Alain Juppé en profite également pour étriller le gouvernement socialiste : « cacophonie ministérielle », « record d’impopularité », « cafouillages répétés sur la fiscalité », « insécurité grandissante »… sans oublier de viser le ministre de l’intérieur, Manuel Valls : « les résultats ne sont pas au rendez-vous et la maîtrise des flux migratoires n’a jamais été aussi inefficace ».

  • La Qatarstrophe

    Soucieux de ne pas  « désespérer Billancourt », Jean-François Copé a refusé de répondre à la question qui lui était posée hier sur France 2, au sujet du  vote qui serait le sien en cas de duel François Hollande-Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017. Si  Harlem Désir a déclaré  qu’il voterait pour Nicolas Sarkozy dans l’hypothèse d’un face-à-face de celui-ci avec la présidente du FN, M. Copé a encore affirmé  que  «le programme (de Marine Le Pen, NDLR)  est un copier-coller de celui des communistes» (sic).  Le « programme du FN », « parti extrémiste » « est absurde » a-t-il encore affirmé. Significativement, il a  notamment  cité   à l’appui de sa démonstration « l’immigration zéro » prônée  par l’opposition  nationale (en l’espèce très drastiquement réduite par la mise en place d’une politique vigoureuse d’inversion des flux migratoires),  plaidant  lui  pour sa poursuite, pour  « une nouvelle politique d’immigration »…

     Hier soir Jean-François Copé  a avoué  qu’il était  prêt à s’effacer devant la candidature de Nicolas  Sarkozy en 2017, répétant qu’il sera « à ses côtés ». Il n’a pas été pour autant interrogé sur les accusations de son ami, le   sulfureux homme d’affaires franco-libanais  Ziad Takieddine,  dont il barbotait dans  la piscine,  l’un des protagonistes de tout premier plan de l’affaire Karachi.

     Mis en examen dans l’enquête sur le financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007,  M. Takiedinne avait réitéré en avril dernier  ses accusations contre l’ex-président de la  République, avançant que ce dernier aurait touché 300 millions d’euros du Qatar.

     Un émirat également  en pointe dans le financement du djihadisme, également  en Syrie où une ONG,  Human Rights Watch,  vient  de dénoncer  les crimes contre l’humanité,  les atrocités commises par les miliciens des brigades internationales islamistes en lutte contre le régime laïc de Damas. Les  terroristes  soutenus de facto   notamment par  MM. Fabius,  Hollande  et les Etats-Unis,  auraient exécuté  au moins 190 civils lors d’une attaque en août dernier dans la province alaouite de Lattaquié.

     Un émirat qui est aussi pointé du doigt dans la cadre de sa préparation  de la coupe de monde de football qu’elle accueillera en 2022. Une délégation syndicale internationale s’est vue ainsi refusée mercredi l’accès à un chantier près de Doha, dans le cadre d’une enquête au sur le conditions de travailleurs immigrés dans ce pays.

     Selon un reportage publié cette semaine par le quotidien britannique The Guardian, des ouvriers (esclaves) népalais travaillant au Qatar sont morts par dizaines ces dernières semaines, et des milliers d’autres endurent des conditions de travail épouvantables. Et ce journal, citant des  documents fournis aux journalistes du Guardian par l’ambassade népalaise à Doha, affirme qu’ au moins 44 travailleurs sont morts entre le 4 juin et le 8 août.

     Interrogé sur cette question,  la Fédération internationale de foot (Fifa), qui a confié l’organisation du Mondial 2022 à l’émirat, s’est déclarée «très préoccupée à propos des rapports dans les médias faisant état d’abus en matière de droit du travail et des conditions des travailleurs de la construction des projets menés à Lusail City, au Qatar».

     Sepp Blatter, président de la fédération internationale, a même parlé  d’une «erreur» à propos de cette désignation. Silence assourdissant en revanche de  la  France autoproclamée  championne des   droits de l’homme.

     Même le site de Libération (le 26 septembre) a   « osé » rappeler qu’en «  novembre 2010, un mois avant la désignation du Qatar, une réunion à l’Elysée aurait réuni Nicolas Sarkozy, l’émir du Qatar et Michel Platini. En échange du rachat du PSG et du lancement de BeInSports, l’émirat aurait obtenu que la France, par l’intermédiaire de Michel Platini, membre influent de la Fifa, soutienne le dossier qatari. »

     Le Qatar, nous l’avons déjà souligné sur ce blog,  se voit aussi dérouler le tapis rouge en France,  notamment dans le cadre de son offensive dans nos banlieues. Le  fonds  initié par cet émirat  (d’un montant de 100 millions d’euros croyait savoir Libération) , pour financer des projets économiques dans les quartiers pluriels,  fut approuvé en son temps par Sarkozy et le gouvernement UMP.

     Il  fut  avalisé dès l’arrivée  à l’Elysée de François Hollande , officiellement par   le  ministère  du Redressement productif d’Arnaud Montebourg . Un fonds était-il annoncé,    cofinancé par l’État français et par des entreprises privées, afin de faire taire les accusations formulées selon lesquelles le Qatar cherche à prendre pied dans les quartiers  sensibles à des fins de prosélytisme islamiste.

     Marine Le Pen rappelait alors que  cet OPA du Qatar, «  cheval de Troie de l’islamisme », avec  la complicité de M. Montebourg,  « (démontrait)  que notre pays est bel et bien à vendre aux monarchies pétrolières qui soutiennent par ailleurs, partout dans le monde, l’islamisme radical et le djihadisme ».

     Sur le site de France 24, il était rappelé que le  Qatar étant «suspecté  de soutenir des mouvements islamistes radicaux », l’ancien président Nicolas Sarkozy avait mis le projet en veilleuse au mois de mars dernier ». Mais « les élections passées, le Qatar peut repasser à l’offensive, estime Karim Sader, politologue et spécialiste des pays de la péninsule arabique. »

     Or note-t-il encore, « de la part du Qatar, rien n’est gratuit. Et beaucoup ont été assez naïfs pour ne pas voir la main du Qatar derrière les révolutions arabes et l’établissement de gouvernements proches des Frères musulmans ».

     Pourtant Laurent Fabius  et Arnaud Montebourg s’étaient rendus à Doha au cours de la campagne présidentielle, émirat qui avait pris soin d’inviter  au cours de ces dernières  années « Manuel Valls, François Hollande, Ségolène Royal, Fadela Amara et Rachida Dati »,  «rapporte une source anonyme qui les a rencontrés tour à tour autour de la piscine d’un des somptueux palaces de l’émir. Depuis mai 2012, les délégations de Doha ont plus souvent été reçues sous les ors de la République françaises que toute autre puissance étrangère. »

     Là encore, gauche et droite mondialistes naviguent de concert constate Bruno Gollnisch.  Une politique  de compromission, soumise au veau d’or,  qui pour le coup, et pour reprendre la formule de M. Copé , n’est pas seulement absurde mais assurément dangereuse et  peu soucieuse de nos intérêts nationaux  bien compris.

    http://www.gollnisch.com/2013/10/11/qatarstrophe/

  • « Je vais égorger du Français »

    L’affaire date du 20 août mais n’a été révélée qu’hier.
    Karim Benkeltoum, étranger délinquant multirécidiviste, qui n’a jamais été expulsé du territoire, se promène ce soir là avec une autre racaille. Il est armé d’un long couteau. Ils croisent la route d’un Français qui commande des frites dans un établissement, en compagnie de son jeune fils de 9 ans.

    L’immigré attaque alors le Français en criant « je vais égorger du Français » et en brandissant son couteau. Un témoin qui avait constaté auparavant le comportement étrange de l’Arabe intervient avec une matraque ; l’immigré fuit en gueulant : « sales Français, on va vous saigner ! »

    Six mois de prison seulement ont été requis. Imaginons un instant l’hystérie politico-médiatico-judicaire si l’agresseur était un Français de souche et la victime un brave Maghrébin avec son fils de 9 ans…

    http://www.thomasjoly.fr/article-je-vais-egorger-du-fran-ais-120527484.html