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lobby - Page 2215

  • Les bons conseils du Père Ubu : Le plus beau 14-Juillet de ma vie (10)

    T’en fais pas, mon François, pour quelques huées ! Faut bien que les gens se défoulent : ça les console de ne pas être au pouvoir. Et il y a belle lurette que nous savons, toi et moi, mépriser ceux qui ne pensent pas comme nous. Prends du recul pour mieux voir que c’est toi qui as gagné, Jarnicoton bleu! Ce fut peut-être le plus beau 14-Juillet de ma longue vie. Tes potes et toi, vous avez franchi une nouvelle étape dans la marginalisation de ceux qui en sont encore à la famille père-mère-enfant(s).

    Un exemple : le feu d’artifice parisien de notre Bertrandounet. À un moment, un peu d’obscurité, puis la tour Eiffel prend les couleurs de l’arc-en-ciel, enfin des fusées dessinent en rouge des formes de cœurs. Tout le monde a pigé. Ceux qu’étaient contents, ceux qui l’étaient pas. Autour de moi, des pékins disaient : « Ouais, la tour Eiffel est pour le mariage gay ! » Y en avait qui applaudissaient. Je me demande pourquoi la Mairie de Paris dément. C’était on ne peut plus clair. Une manière lumineuse et colorée de dire: «Ah, z’êtes contre le mariage homo? Z’êtes des sous-citoyens, et Madame Tour-Eiffel vous aime pas. Et le 14-Juillet, c’est plus pour vous. Ah, vous vouliez le Tour-Pour-Tous? Eh bien, nous avons la Tour-Pour-Nous ! »

    La fête, ça ne dure pas. Mais il y a ce qui reste. Pense à ta distribution de la Légion d’Honneur, Cornegidouille! Tu as rétribué la personnalité de Drouâte qui s’est le plus trémoussée en faveur de la 2013-404. Une médaille pour Roselyne Bâche-le-Haut, une ! Et tu as décoré un évêque, des bons pères, des bonnes sœurs. Avec de l’humour, mon François ! Parce que le prélat que tu as distingué, d’où c’est-y qu’il est archevêque? De Bourges ! Pour une Légion d’Honneur à un ecclésiastique, c’est un sacré bras d’honneur aux catholiques.

    Et cette distribution de breloques au clergé, ça sème la pagaille. Parce que des génitrices et des géniteurs de familles nombreuses ont refusé la médaille de la Famille hollandienne. Tu vois le topo. Certains se demandent pourquoi nul religieux n’a repoussé avec horreur cette Légion venant de toi. Chapeau, Dictatounet ! Tu avais déjà divisé les Français, tu divises aussi les cathos. Avec des médailles ! J’ai un pote qui, lui, utilisait un vase précieux. Tullius Détritus, qu’il s’appelait.

    Mais venons-en au plus beau. Plutôt, à la plus belle, la nouvelle Marianne ! Là, pas de démenti. Le p’tit Olivier Ciappa persiste et signe (yakavoir, entre autres, le « Bouffington Post »). Il a choisi « comme modèle » Irma Chèvre-Chenko, la lideure des Femen. Il trouve qu’elle « incarne le mieux les valeurs de la République ». Bougre de merdre et merdre de bougre ! Une génialissime manière de dire à la fraction chrétienne de tes sujets : « Oyez, oyez, pauvres parias de la civilisation nouvelle, celles qui ont montré leurs rondeurs aux cloches de Notre-Dame, celles qui ont arrosé un pitoyable évêque belge, celles qui y vont à la tronçonneuse contre d’encombrants crucifix, eh bien, elles sont la République ! Chaque fois qu’à cette effigie vous timbrerez une enveloppe, vous vous rappellerez, bande de bouffres, que vous n’êtes que des sous-citoyens ! »

    D’ailleurs, l’intéressante intéressée ne se sent pas de joie. N’ayant pas plus froid aux yeux qu’au reste (et inversement), elle répond aux méchants en évoquant avec délicatesse son propre arrière-train. Alors, s’il te plaît, pour le prochain timbre, le même modèle, mais juste en changeant de point de vue… Oh, mon François, dis oui, dis oui !

    Plus sérieusement, l’artiste a déclaré que, dans son œuvre immortelle, la main de Marianne fait un geste typique de la Mère Taubie et de la Mère Bâche-le-Haut. Cornephysique, ils sont cernés, les anti-2013-404 !

    Allons plus loin (car il est observateur, le Père Ubu). Sur la version rouge du timbre, en bas à droite, une fillette et un garçonnet jouent au ballon. Au premier regard, ces deux p’tites silhouettes pourraient presque rappeler le logo de la Manif-Pour-Tous – mais seulement en partie, ah, ah !, parce qu’il manque le père et la mère. Les gosses jouent sous le contrôle direct d’Irma-Rianne Chèvre-and-Co et à l’ombre d’une main qui appartient à la fois à l’éloquente Christiane et à la pétulante Roselyne. La famille, c’est fini. L’État veille. Et, maintenant, il est sympa à regarder, l’État. Trop nul, Big-Brother, de montrer sa moustache ! Le Pouvoir, cette fois, a des yeux langoureux et une milice aux seins nus.

    Le Père Ubu http://www.printempsfrancais.fr/

  • Si on parlait un peu de l’extrémisme de gauche ?

    Le Monde du 2 juillet publie une tribune stupéfiante, révélatrice de la soviétisation morale de la gauche. Nicolas Lebourg, historien, y assume une pensée totalitaire décomplexée.

    Jugeant insuffisante la dissolution des mouvements d’extrême droite qui « laisse vaquer hommes et idées », il préconise une « politique globale de répression ».

    Il en appelle à la création d’un « dispositif capable de réprimer aussi bien en haut qu’en bas » par l’instauration « d’une structure de veille et de saisine du juge ». La répression sera renforcée « par l’instauration de peines plancher et de privation des droits civiques » pour les déviants de la pensée. [...]

    Bruno Riondel - La suite sur Boulevard Voltaire

  • De la prétendue indépendance du Procureur de la République

    Un magistrat témoigne pour Le Salon Beige :

    "Il est beaucoup question ces temps-ci de l’indépendance du Procureur de la République ou Parquet ou Ministère Public par rapport au Ministre de la Justice ou Garde des Sceaux.

    En effet le Parlement a définitivement adopté le 16 juillet un projet de loi en ce sens, qui dit renforcer l’autonomie du Parquet. Le Ministère de la Justice déclare dans un communiqué :

    « Lors de la campagne présidentielle, François Hollande s'était engagé, s'il était élu, à assurer aux décisions de Justice une « impartialité insoupçonnable ». C’est désormais chose faite, le Parlement a adopté la loi relative aux attributions du Garde des sceaux et des parquets en matière de politique pénale et d'action publique. Après deux lectures à l'Assemblée nationale et au Sénat, le projet de loi a été définitivement adopté le 16 juillet 2013. Christiane TAUBIRA, garde des Sceaux, ministre de la justice l’avait affirmé : « Ce texte vise à éradiquer et à déraciner la suspicion qui a trop longtemps pesé sur la Justice pour que les citoyens, notamment des plus vulnérables, retrouvent confiance dans l'institution judiciaire ».

    Il ne faut pas se méprendre sur ce qui n’est qu’une illusion.

    Le Procureur de la République et le Ministre de la Justice sont depuis toujours les doigts d’une même main que l’on ne sépare pas par un coup de communication politique. Une loi, quelle que soit l’intention de ses auteurs, ne supprime pas brusquement l’habitude des Parquets d’en référer au Ministre et d’attendre des instructions de lui ou de ses services. Il faut une véritable révolution culturelle.

    Le texte voté prévoit simplement que le Procureur de la République ne pourra plus recevoir des instructions écrites du Ministre en matière de politique pénale. Il n’y a là rien de révolutionnaire, car de telles instructions sont très rares en pratique.

    Le texte ne dit rien sur les instructions ou recommandations orales, qui sont monnaie courante et subsisteront. Chassez le naturel, il revient au galop.

    Le Ministre de la Justice pourra continuer à donner des instructions par voie de circulaires en principe générales mais qui pourront aller dans les détails.

    Les événements récents lors des manifestations antimariage gay ont démontré plus que suffisamment que le Procureur de la République n’avait guère d’indépendance vis-à-vis de son ministre de tutelle et de celui de l’Intérieur.

    En tant que magistrat judiciaire il est garant des libertés individuelles et collectives, et doit veiller à leur respect par la police et la gendarmerie. À ce titre il lui incombe de contrôler les gardes à vue, qui sont des mesures de sûreté destinées seulement à garantir le bon déroulement d’enquêtes judiciaires.

    Or nous avons assisté ces derniers mois à de nombreuses interpellations et gardes à vue injustifiées et seulement punitives décidées par des officiers de police judiciaire ou des magistrats du Parquet à l’encontre de manifestants de LMPT et des veilleurs. Nul doute que les ordres venaient d’en haut, de Paris Place Vendôme et Place Beauvau.

    La police d’opinion est là.

    Indépendance du Procureur de la République où es-tu ?"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • "Socialisme maçonnique" L'IDÉOLOGIE ET LA STRATÉGIE DES FRANCS-MAÇONS MISES À NU

    Dans les années 1920, un prêtre, qui signera "AG Michel", entreprit l'examen systématique de tous les textes politiques adoptés par les convents annuels du Grand Orient de France. Il publiera le fruit de ses découvertes en un livre intitulé La France sous l'étreinte maçonnique. Les Editions du Trident le rééditent aujourd'hui, en deux tomes, dont le premier, Socialisme maçonnique, vient de paraître. Le deuxième paraîtra sous le titre Mondialisme maçonnique.

    L'intérêt, exceptionnel, de cet ouvrage, est qu'il est quasi exclusivement composé de textes maçonniques. Ici, nulle interprétation sujette à caution, aucune extrapolation. L'auteur a sélectionné des citations de documents maçonniques officiels, et les a classées en chapitres qui déclinent les principaux aspects de l'entreprise maçonnique : la république démocratique maçonnique; la démocratie maçonnique est dictatoriale; la dictature sur les parlementaires; le secret, condition essentiel de la dictature maçonnique; les organes de la dictature maçonnique; l' irradiation maçonnique dans le corps social; la propagande et ses moyens; la stabilité du régime maçonnique assurée par l'Education.

    Le chapitre sur les organes de la dictature maçonnique, qui est le plus long, permet de vérifier la profonde pertinence du travail accompli. En partant d'une citation sur la franc-maçonnerie comme cœur quasi physiologique de la République, il explique qu'en effet elle « constitue un système circulatoire complet qui va porter l'influx maçonnique jusqu'aux extrémités du corps social ». A partir de là il va donc détailler, toujours par des citations, ce qu'est le cœur du système, puis quels sont « les vaisseaux sanguins maçonniques » : fraternelles, partis politiques, ligues, amicales laïques, etc., et enfin comment fonctionne le « système capillaire maçonnique » qui permet d'étendre l'influence des Loges dans tous les milieux sans qu'elle soit perçue comme telle.

    Naturellement, le chapitre sur l'Education est également important, car il donne nombre de citations sur ce que la maçonnerie appelle la laïcité, à savoir le laïcisme officiel de la République, qui est sa grande œuvre.

    • AG Michel, Socialisme maçonnique, 254 pages, 25 euros. Editions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi, 75006 Paris. Tél. 06 72873159.

    Yves Daoudal National Hebdo du 10 au 16 février 2005

  • Echec cuisant du lobby LGBT à l'OSCE pour restreindre les libertés

    Lu sur C-Fam :

    "Fin juin, les lobbies homosexuels ont subi une défaite humiliante devant une des plus importantes organisations internationales pour la sécurité.

    C’est un vote de 24 voix défavorables et 3 voix favorables que l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a en effet accueilli une déclaration controversée sur l’homosexualité. Même les Etats européens, en général très favorables aux lobbies homosexuels, ont fait défection.

    Cette déclaration non contraignante, plus connue sous le nom « principes de Yogyakarta », proclame l’existence de nouveaux droits spéciaux au profit des personnes qui se considèrent lesbiennes, homosexuels, bisexuels ou transgenres (LGBT). Les 29 principes ont été rédigés en 2006 par militants, universitaires et anciens fonctionnaires internationaux.

    Leurs sympathisants affirment que ces principes résultent d’interprétations dignes de foi du droit international existant. Ils ont demandé aux organisations internationales d’y adhérer. Ils ont eu plus ou moins de succès, en particulier avec les fonctionnaires non élus. Obtenir le soutien de l’OSCE aurait été une victoire de taille pour les associations d’homosexuels et leurs alliés internationaux, puisque les réunions de l’OSCE sont généralement peuplées d’élus.

    La Belgique était convaincue que la résolution passerait. Le Conseil de l’Europe, qui rassemble à peu de choses près les mêmes Etats membres que l’OSCE, avait avalisé certains de ces principes dans une résolution de 2010. Mais l’initiative a tourné au cauchemar lorsque des Etats, qui d’ordinaire donneraient leur soutien total à la cause homosexuelle, ont refusé de le faire. En tête des opposants, et à la grande surprise de beaucoup, les Etats-Unis.

    Seulement trois sur douze des élus à l’origine de la résolution ont décidé de confirmer leur soutien après le débat. Dès le début des débats, l’atmosphère s’est soudainement tendue.

    C’est le député américain Chris Smith, parlant au nom de la délégation des Etats-Unis, qui s’est exprimé en premier. Il a déclaré que les principes de Yogyakarta vont à l’encontre des engagements de l’OSCE en faveur d’une protection de la liberté religieuse et de la liberté d’expression. Il a ensuite énuméré les conflits potentiels entre les principes débattus et les doctrines majeures des grandes religions, ou le droit international en vigueur. Smith a également souligné que les Etats membres n’avaient jamais soumis ces principes à une quelconque négociation.

    Alors que l’administration Obama a publiquement fait des droits LGBT une des priorités des Etats-Unis, et que les déclarations publiques du président et de ses fonctionnaires continuent à confirmer cette impression, ce dernier épisode semble signaler un changement de direction.

    Les Etats-Unis ne sont pas les seuls à avoir dénigré les principes de Yogyakarta.

    La Pologne a demandé à ce que la résolution soit retirée de l’agenda de la séance sans débat. Le représentant a déclaré que les principes étaient incompatibles avec la constitution polonaise, et qu’aucune organisation internationale n’avait jamais défini les termes « orientation sexuelle » et « identité de genre ».

    Certains Etats membres, qui ont pourtant reconnu l’existence de nouveaux droits au profit des personnes LGBT, se sont eux aussi opposés à la résolution. C’était le cas de l’Italie, qui prévoie un statut juridique spécial pour les couples homosexuels par le biais de unions civiles. Pour le représentant italien, la promotion de ces principes partisans pourrait « amoindrir » l’autorité de l’OSCE. Il a observé qu’il serait déplacé de la part de l’OSCE d’aller jusqu’à débattre des mérites des principes de Yorgyakarta, sachant que l’organisation reconnaît le droit de tout individu à ne pas être discriminé, quelque soit son orientation sexuelle ou son identité de genre.

    Faisant écho aux juristes selon lesquels les principes de Yogyakarta ne sont pas un reflet exact du droit international en vigueur, il a enfin déclaré que ces principes allaient bien au delà du cadre normatif des droits de l’homme tels que reconnus par les Etats de l’OSCE.

    La Russie et l’Arménie ont aussi exprimé leurs objections. Au final, aucun Etat membre de l’OSCE n’a publiquement soutenu la résolution, pas même la Belgique.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Scandale : parce qu’ils sont musulmans, ils sont relachés après avoir tabassé trois policiers

    Quatre musulmans sont arrêtés après avoir tabassé trois policiers et sont immédiatement remis en liberté. Pourquoi une telle clémence ? Parce qu’ils sont musulmans! Nicolas lui, n’avait pas cette « chance »… En République il n’est pas de bon ton d’être blanc et catholique. Il est urgent de mettre un bon coup de pied dans la fourmilière !

    Lu sur RMC : « Dans la nuit de mardi à mercredi à Marseille, trois policiers ont été tabassés après un contrôle d’identité qui a mal tourné. Vers 00h45 à proximité de la mosquée Es-Sunna, trois agents de police se sont approchés d’une jeune femme de 18 ans qui portait un voile intégral, le niqab. Conformément à la loi de 2010 sur le voile intégral, des policiers ont décidé de faire un contrôle d’identité. Mais cette dernière a refusé de se soumettre à l’autorité policière.

    « Je n’obéis pas aux lois de la République », a-t-elle expliqué (NDLR : on ne va pas lui reprocher). Elle s’est alors mise à crier et a dénoncé une agression de la police. Elle a même donné des coups de poing au visage d’un policier. C’est là que le compagnon de la jeune femme s’est interposé, de manière à empêcher définitivement le contrôle d’identité. L‘homme a ensuite appelé à la rescousse. Une cinquantaine de personnes ont rejoint la bagarre et roué de coups les policiers de la tête aux pieds. L’arrivée de renforts a permis l’interpellation de quatre personnes dont la femme voilée. Mais tous ont été remis en liberté dans la nuit par le parquet de Marseille dans un souci d’apaisement en période de ramadan.

     

    « Le signal donné à cette affaire par le parquet de Marseille nous laisse dans l’expectative la plus totale, explique David-Olivier Reverdy qui est secrétaire adjoint du Syndicat de police « Alliance » dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Comment peut-on s’en prendre aux forces de l’ordre et être remis en liberté sans garde à vue, sans être inquiété ? Il me semble que le message donné à la population et à la délinquance, qui je vous le rappelle est assez prégnante à Marseille, est un message qui est absolument hors de propos. On aurait aimé le soutien de la justice et non pas une défiance à ce sujet. Encore une fois, les agents de police de Marseille se sentent délaissés ». »

    http://www.contre-info.com

  • Il est interdit de demander si l’islam est soluble dans la République

    Mercredi 17 juillet, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a publié un communiqué suite à la diffusion par la chaîne Numéro 23, le 17 février 2013, d’un numéro de l’émission « Hondelatte Dimanche » posant la question : « L’islam est-il soluble dans la République ? » :

    « la chaîne a manqué aux obligations déontologiques mentionnées dans sa convention, d’une part à l’article 3-1-1 qui prévoit que le service contribue à la cohésion sociale, d’autre part à l’article 2-3-2 relatif à la promotion des valeurs d’intégration et de lutte contre les discriminations »

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La Région Ile de France attribue 1,302 M€ à la recherche sur le gender

    La région Île-de-France a voté vendredi 12 juillet 2013 plusieurs rapports sur sa politique scientifique, et attribue un budget de 22,8 millions d'euros au programme 2013 des 16 DIM (domaines d'intérêt majeurs). Ce budget est composé de 18,8 millions d'euros en autorisations d'engagement et de 4,1 millions d'euros en autorisations de programme. Outre le budget pour ses DIM (domaines d'intérêt majeur), la région Île-de-France adopte également l'attribution de 6 subventions d'un montant total de 76 700 euros en autorisations d'engagement pour « favoriser l'insertion professionnelle des jeunes chercheurs ».

    Pour le poste GID (Genre, inégalités, discriminations) : 1 302 200 €

  • La liberté de conscience n’est plus répoublicaine…

    par Dominique Daguet

    L’exemple de la Vendée trotte toujours au sein de mes neurones : la loi s’imposait par la force, la conscience libre s’imposait par le martyre. Exemple tragique qu’il nous faut porter au plus profond de nos réflexions comme de nos actes.

    Il est rare qu’une telle question se pose en France : aujourd’hui pourtant chacun, dans la mesure même où il est informé, doit se décider, non parce que la loi l’emporte toujours puisqu’elle émane de la force politique, mais parce que l’on a choisi en connaissance de cause soit son dictat, soit la décision d’une conscience amené à penser qu’on ne doit pas accomplir ce que dit cette loi.

    Nombre de gens ont subi depuis 1974 des violences suite au vote qui légalisait et ainsi justifiait la pratique des « interruptions volontaires de grossesse », normalement nommées avortements : leur conscience exigeait d’eux qu’ils s’opposent par des actes non-violents mais expressifs.

    Il nous convient de prendre la mesure de ce que l’État, en ces matières qui dépassent le seul niveau du politique pour atteindre le seuil de ce que l’on nomme « la civilisation », peut décider contre ceux qui le défient, armés, non de la force policière, non des jugements prononcés par des juges inféodés aux idéologies libertaires, francs-maçonnes ou marxistes, mais seulement d’une conviction qui leur fait savoir ou comprendre qu’il est impossible de commettre de tels actes, d’obéir à de tels règlements totalement opposés à leurs odéaux philosophiques, moraux ou chrétiens… [...]

    La suite sur France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net

  • Embryon ou citoyen, tous traités comme du bétail !

    Le mardi 16 juillet, les veilleurs debout devant l’Assemblée Nationale

    Mardi fut un sombre jour où l’être humain a été traité en France comme le plus vil des animaux, qu’il soit tout petit ou déjà grand. Car, mardi fut d’abord un sinistre jour où la loi autorisant la recherche sur l’embryon humain a été votée. Mais mardi fut aussi un illustre jour où les Français de conviction qui ont été réprimés ont montré une fois de plus qu’ils ne lâchaient rien.

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    De nouveau les députés de l’Assemblée Nationale allaient être amenés à voter la loi sur l’embryon humain. Par un coût de force dans la nuit du 18 avril dernier, le député Poisson avait réussi à faire clapoter la loi. Elle n’était pas passée. Aujourd’hui le projet de loi revient. Les Veilleurs debout, spontanément, se sont mobilisés pour soutenir nos députés en cette après-midi qui s’annonçait difficile. Leur présence impose devant les grilles du temple néo-classique qu’est l’Assemblée Nationale. S’impose aux passants. S’impose aux forces de l’ordre. Et surtout, s’impose au cœur de l’Hémicycle.

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    Bientôt le sort de l’embryon humain allait être fixé. Bientôt « le plus petit d’entre nous » serait le moins protégé de tous. Bientôt « ce que nous avons tous été » serait en proie à toutes les expérimentations des apprentis sorciers. Mais à l’intérieur, le débat dans l’antre de l’Hémicycle bat encore son plein. Les députés peu nombreux mais engagés qui soutiennent notre cause se battent jusqu’au bout.

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    Les forces de l’ordre sont déjà bien présentent. Des curieux béats aux militants sclérosés par la bien-pensance, rien ne manquent au tableau : les veilleurs sont abordés par, tantôt les insensés, victimes du « totalitarisme de l’indifférence », tantôt les « écrlinf » persuadés qu’il aurait mieux fallu que nous ne fussions pas nés. Etre un de ces embryons qu’on jette après en avoir usées. Mais cela ne dure qu’un moment. Car ces gens-là passent, mais les veilleurs restent.

    Entre deux séances, le député-maire Jacques Bompard, accompagné de son fidèle attaché parlementaire, s’empresse de prendre le temps de passer rendre visite à ces Veilleurs debout dont on lui vente le mérite. Le député-maire salue plusieurs personnes et remercie vivement les manifestants pour leur soutien.

    veilleurs AN 17 h 20

    Il est presque 17 h, quand pour se faire voir davantage du peuple et de ses élus, les veilleurs décident de se déplacer devant l’entrée principale, place du Palais Bourbon. Leur nombre a gonflé. Les voilà près de trente, espacés, alignés. Toute la place est occupée. Plus un seul élu ne peut rentrer ou sortir par le grand portail sans devoir affronter des regards dont la clarté les effraie, des personnes dont la droiture les horripile. C’était là sans-doute en effet suffisamment insoutenable, puisque la police a eu ordre de ne pas « rester sans rien faire ».

    La nouvelle tombe. La loi est votée. L’atmosphère tendue. Aussitôt, les forces de l’ordre arrivent en renfort. De nouvelles camionnettes prennent place devant le Palais Bourbon. Les policiers se déploient. Lentement les veilleurs sont cernés.

    Veilleurs AN 17 h 40

    Tout le dispositif est prêt. La police attend les ordres. D’autant plus hautes sont pris les directives qu’elles mettent du temps à descendre. Or il eut fallu attendre longtemps avant qu’une décision soit prise. Un des veilleurs se fait contrôler son identité. Il n’y en aura presque nul autre. Voilà, derrière les veilleurs, le capitaine prononce la première sommation au haut-parleur. Là aussi, il n’y en aura nulle autre. Sans-doute considéraient-ils que faire ces deux autres sommations était donner dans la fioriture superflue.

    les veilleurs encerclés

    En pédagogues avertis, les policiers ont préféré auprès de chaque veilleur aller lui prier de bien vouloir instamment se donner la peine de quitter les lieux. Si le langage ne fut pas toujours si courtois, l’intention sans-doute elle y était. Seulement voilà, la détermination des veilleurs n’est pas des moindres. Elle lui faut être proportionnée à la cause défendue. Jeunes ou moins jeunes, tous ont appris, parfois avec une grande difficulté, à faire le deuil de la politesse pour dénoncer la haute gravité de leur combat pour la vie et la famille.

    les veilleurs veille dame... Là, commence alors la valse lente des interpellations individuelles ; là continue l’illégalisme des arrestations abusives élevé en nouvelle norme du socialisme ; et là apparaît surtout une première dans l’histoire de la répression policière de la Hollandie. Un ordre est aboyé dans les radios : « Vous allez les prendre un par un avec la fermeté nécessaire ». Rien de très nouveau pour l’instant. Un par un alors, les veilleurs sont déportés sur une place adjacente au Palais, la Place Edouard Herriot. Tandis que certain accepte de suivre les policiers, d’autres font comprendre qu’ils ne bougeront pas d’eux-mêmes. Les policiers sont alors contraints n’en faire les frais et de les porter jusqu’à point nommé.

    Tous les veilleurs debout sont parqués comme du bétail entre des barrières de sécurité, tous emprisonnés dans 15 mètres carrés, pareils que des bêtes à la foire.

    veilleurs parqués

    Débute alors l’incroyable détention des veilleurs debout, où près de quatre heures durant la liberté de circulation est allègrement bafouée, où près de quatre heures durant, « il nous semblait vivre en cage au milieu d’un grand désert » ; au milieu du grand désert d’une république asséchée de principes et assoiffée de pouvoir.

    Après une heure, tout laisse croire que la police allait leurs rendre la liberté. Mais aussitôt sortie de l’enclos, tous ceux qui n’eut la présence d’esprit de prendre leurs jambes à leur cou pour fuir, aussitôt ont été re-parqués de nouveau. Aux premières d’entre elles, les personnes retournées veiller.

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    Les députés Poisson et Mariton viennent demander la libération des veilleurs. Ils parlementent longuement, l’un après d’autre, avec les commissaires présents ; repartent à l’Assemblée, revienne à la charge une demi-heure plus tard, apprenant que tous sont encore détenus. En vain. Ils sont démobilisés devant l’autisme du commissaire.

    veilleurs poisson

    Benjamin Blanchard, assistant parlementaire du député-maire Bompard, passe sur le trottoir pour aller au bar. Là, il est interpellé, sans motif, et parqué avec les autres. « Je travaille ici, à l’Assemblée. Là, c’est la fenêtre de mon bureau », dit-il, en sortant sa carte. Mais rien n’y fait. La raison de sa séquestration ? Il ne lui apprendra que plus tard : « l’on vous a vu tout à l’heure aller saluer les manifestants ». Avec de tels états d’esprit, les dégâts de l’Épuration ne font plus surprise aucune. Il a fallu à Bompard lui-même de se déplacer pour sortir de là son collaborateur.

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    Se gare sur le trottoir d’en face, le « panier à salade ». Comme à l’accoutumée, l’on nous affirmer qu’il ne servira pas. Un agent de police pousse la plaisanterie sur sa présence : « Oh, dit-il, ce car là, ce ne serait pas le retour de colo des enfants de la police, non ? ». Le temps s’écoule. De temps à autres, un veilleur nouveau venu rejoint les autres déjà emparqués . Parmi les veilleurs, se trouve une femme en ceinte.

    veilleurs le bus

    Le commissaire apprend aux veilleurs qu’ils sont « libres de sortir ». Non pardon. Il précise son propos : ils sont « libres d’être raccompagnés de force dans le métro ». Point du tout pareil.

    « Le métro n’est pas votre direction ? » Rien à faire. « Il vous faut reprendre votre vélo ? » Rien à faire. « Vos amis vous attendent dans le bar là ? ». Rien à faire. « Il vous faut aller sur les quais et prendre le pont pour rentrer chez vous ? ». Rien à faire. Rien à faire. Rien à faire. Drôle de liberté que celle de ne pouvoir allez nul part ; nul part sinon là où l’on vous y contraint. Personne ne pouvant être libre de circuler, personne ne circula.

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    Dans l’esprit les veilleurs, la raison en est simple. Une fois arrêté par la police, il n’y a que deux possibilités : ou bien on est libre de circuler, ou on ne l’est pas. Dans le second cas, le policier n’a pas à demander de « choisir » sa volonté, il doit la faire exécuter par coercition. Là est la différence entre l’exécutif et le législatif.

    Il est 21 heure 10 passée quand les veilleurs ont été tous reconduits au Métro, après 4 heures parqués à côté de l’Assemblée Nationale. Voilà le double exploit de ladite République socialiste en une seule journée : l’embryon humain sera désormais traité tout comme l’embryon d’une souris ou celui d’une vache.

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    Et puis, nous leur faisons dire, au fond : « fi des convenances, traiter pareil au bétail des opposants politiques n’est pas pire que de le faire pour les embryons humains. C’est juste, après tout, une question de délai de prise en charge : on a laissé l’un vivre plus longtemps que l’autre. »

    http://nouvelarbitre.com