Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2279

  • Des liens étroits entre les conséquences du mariage homosexuel et la recherche sur l'embryon

    Communiqué de Laissez-les-Vivre :

    " Moi, président de la République, je conduis la France vers " Le Meilleur des Mondes " !

    Première étape : sous couvert d'égalité absolue des citoyens, légaliser le mariage homosexuel et, ce, grâce à la complaisance des principaux corps de l'Etat : refus du "Conseil Economique Social et Environnemental" de prendre en compte les 700.000 signatures de la pétition d'origine citoyenne, suivi du refus par le Conseil Constitutionnel non seulement d'invalider la loi TAUBIRA et même d'émettre quelque réserve d'inconstitutionnalité que ce soit à son encontre.

    Seconde étape : faciliter la recherche sur l'embryon, véritable vivisection humaine, sous le prétexte fallacieux de combler le prétendu retard scientifique de la France en passant de l'interdiction assortie de dérogations (telle que prévue par la loi bioéthique du 7 juillet 2011, à l'autorisation encadrée et, ce, en dépit des preuves scientifiques de l'inutilité des dites recherches attestées par l'attribution le 8 octobre 2012 du Prix Nobel de Médecine au chercheur britannique John B. GURDON et à son confrère japonais Sinhya YAMANAKA en raison de leur découverte concernant la possibilité pour les cellules adultes matures d'être reprogrammées pour devenir pluripotentes. Le député socialiste Catherine LEMORTHON ne déplorait -elle pas le 3 mars 2013 devant l'Assemblée nationale : "L'embryon, ce pan de matière qui échappe à la recherche". Bien qu'une loi ait été votée en 2011 après un long débat, le gouvernement, sous pression des lobbys, veut impérativement imposer une nouvelle législation.

    Troisième étape : bouleverser les règles de la filiation et admettre cette fois sous couvert de droit à la vérité, des formes de multiparentalité qui seront officielles par les nouvelles sortes de livret de famille telles que les revendique notamment la sociologue Irène THERY, qui déclarait à Télérama le 21 décembre 2011 : "Le problème, c'est ce fameux modèle un seul père, une seule mère" et ce par le biais d'une nouvelle loi sur la famille (toujours en préparation bien que reportée) qui va redéfinir les règles de la PMA (Procréation Médicale Assistée) et vraisemblablement instituer la GPA (Gestation Pour Autrui) actuellement interdite. Jean Yves NAU, (ancien rédacteur de la rubrique médicale du "Monde") ne proposait-il pas sur "slate.fr" le 31 décembre 2012 de "fournir les couples homosexuels en embryons surnuméraires dépourvus de projet parental". La sénatrice socialiste Virginie KLEE n' annonçait-elle pas aux "états généraux de la bioéthique" le 11 décembre 2011 : " Les grossesses du futur seront assurées par la fécondation in vitro" (lu dans "L'ultime transgression" du Dr DICKES).

    On perçoit ainsi avec effroi les prémisses de la société du "Meilleur des Mondes" que ce gouvernement nous prépare. Le 4 décembre 2012, le Sénat votait une proposition de loi "visant à autoriser sous certaines conditions la recherche sur l'embryon". Puis dans la nuit du 28 au 29 mars 2013,une guérilla d'amendements appuyée par une très forte mobilisation parvient à faire ajourner la proposition. Mais cette dernière va revenir devant le Parlement pour y être à nouveau discutée, le souhait du gouvernement (M. AYRAULT est toujours chef du gouvernement à ce jour) s'en est plusieurs fois targué, étant que les dispositions puissent être opération dès septembre 2013. Pour s'opposer aux nouvelles folies de l'Etat français, il ne nous restera probablement, comme toujours que la rue ! Mais, il est sage de nous préparer à la mobilisation."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le 26 mai ou l’imitation du socialisme soviétique par le socialisme français

    place-de-lopéra.png

    Le nombre

    C’était écrit à l’avance, depuis plusieurs jours, notamment depuis cette rencontre entre le ministre de l’Intérieur et les dociles représentants des médias qu’il avait convoqués : dimanche 26 mai, selon la préfecture, Civitas rassemblerait 2.800 personnes et la Manif pour tous 150.000. Défense de rire, circulez, il n’y a rien à voir, tout est dit.

    Les incidents

    Et puisque Manuel Vals était l’auteur du scénario du roman de la journée, il était aussi stipulé qu’il y aurait des “incidents”. D’ailleurs, afin d’effrayer les braves gens et de dissuader de participer à l’une ou l’autre des manifestations de dimanche, Manuel Vals s’est invité au journal télévisé de 20h sur France 2 samedi soir et a pris le ton le plus glacial pour mettre tout le monde en garde (à vue, serait-on tenté d’ajouter).

    Donc, pour respecter le scénario du ministre de l’Intérieur, tout a été fait pour créer des incidents là où il n’y en avait pas. Dès le début de la journée, contrôles d’identité arbitraires, vexations et intimidations se multiplient partout : dans la rue, dans le métro, à la sortie des gares, à la terrasse de cafés,…

    A l’issue de la manifestation de Civitas, vers 18h, alors que l’essentiel de la foule a déjà quitté la place de l’Opéra et que j’y termine quelques interviews, des CRS reçoivent ordre de la préfecture d’encercler 25 personnes qui discutaient paisiblement. Ces personnes seront interpellées et gardées dans un commissariat jusque 23h pour, selon la version journalistico-policière, avoir refusé d’obtempérer à un ordre de dispersion qui, bien entendu, n’a jamais existé, et pour cause puisque nous avions l’autorisation d’occuper la place de l’Opéra jusque 19h.

    Ailleurs et plus tard, sur les Invalides, après la fin de la Manif pour tous, c’est le retour des barbouzes. Des policiers en civil, portant parfois des insignes nazis -caricature oblige-, jouent le rôle de “casseurs d’extrême droite” parmi les nombreux jeunes venus simplement exprimer leur légitime colère devant la promulgation d’une loi infâme. Belle mise en scène ! Plus loin, comme l’ont immortalisé des images filmées par une agence de presse et visibles sur internet, des policiers en uniforme jettent copieusement des bouteilles vides dont les éclats de verre peuvent sérieusement blesser des Français qui ont pour seul tort d’être venus défendre la Famille, socle de base de la société.

    Sale besogne pour des forces de l’ordre bien moins présentes et répressives lorsqu’il s’agit de traiter les racailles qui incendient des voitures et pillent des boutiques au Trocadero.

    La résistance

    Mardi soir, toutes les télévisions ont montré François Hollande nous expliquer, sur un ton professoral, que le mot “résistance” est réservé à la seconde guerre mondiale et ne peut être utilisé par les défenseurs de la Famille. Mais notre président-professeur a la mémoire bien courte. Pour le seul vingtième siècle, s’il y eut la résistance au national-socialisme, il y eut aussi, jusque bien longtemps après la seconde guerre mondiale, la résistance au socialo-communisme. Est-ce parce que la république socialiste française s’inspire de plus en plus des méthodes autrefois pratiquées dans l’union des républiques socialistes soviétiques que François Hollande occulte ainsi la portée du mot “résistance” ? Le nom de Soljénitsyne lui est-il inconnu ? Les écrits de ce résistant russe vont pourtant précieusement pouvoir inspirer la nouvelle génération de résistants français. Car, dans l’esprit de Manuel Vals, du “mariage pour tous” au goulag pour tous, il n’y a qu’un pas…

    Alain Escada,

    président de CIVITAS

  • Tugdual Derville : “C’est l’âme de la France qui est en train de se réveiller”

    Extrait de l’interview de Tugdual Derville sur France Info :

    “Cette manifestation est la dernière d’un cycle ; il y aura d’autres manifestations dans les années à venir pour défendre l’enfant, pour protéger la famille. (…)

    Ce fut une fête des mères extraordinaire ! La manifestation est historique par sa taille. Pourquoi tant de personnes pour une loi promulguée, démocratiquement votée mais qui, à nos yeux, blesse en profondeur la démocratie parce qu’elle ne respecte pas l’enfant qui est le plus fragile. (…)

    Depuis le début, on a toujours été piétiné, étouffé, méprisé. Notre colère s’exprime dans la non-violence ; c’est la seule solution. Le gouvernement a fait une lourde faute politique en ne voulant pas nous entendre. Nous sommes entrés dans une forme de résistance intérieure. (…)

    Nous avons toujours dit que les élus étaient les bienvenus dans notre mouvement, de droite comme de gauche, mais nous avons voulu récuser, depuis toujours, toute récupération politique. Aucun parti politique n’est capable de rassembler de telles foules. Notre mouvement est inédit.(…)

    Les dizaines de milliers de jeunes qui se sont mobilisés vont construire une nouvelle société non pas individualiste, comme la montré la loi Taubira, mais altruiste ; c’est l’âme de la France qui est en train de se réveiller. (…)

    Nous n’avons pas été compris parce que nous ne nous battons pas pour notre intérêt, mais pour un altruisme qui doit construire une société qui respecte les plus faibles et les plus fragiles”

    source Le Salon Beige

    http://fr.altermedia.info

  • Témoignage sur la soirée du 26 mai aux Invalides

    Une manifestante nous écrit :

    "Enfin de retour de Paris dans ma tranquille petite ville de province, je prends le temps de vous envoyer ma part de témoignage.

    Juste à la fin de la manifestation, après que la pelouse des Invalides se soit bien vidée, une journaliste a commencé à se faire filmer par son caméraman pour son résumé de la manif. A plusieurs, nous nous sommes amusés à danser juste derrière elle avec des drapeaux LMPT et a crier des sloggans, d'une manière festive et franchement bon enfant. Elle s'est donc arrêté très vexée, en nous demandant d'arrêter. Nous lui avons répondu que nous la laisserons travailler quand elle racontera la vérité.

    A cet instant, un homme métis, avec un bandage à la main, surgit d'un coup et donne un coup de poing par derrière dans la caméra que tenait le caméraman sur son épaule. Nous nous précipitons sur lui le faisant reculer en lui criant d'aller s'énerver ailleurs, que ce n'est pas de cette façon que nous voulons agir. Jetant des coups d'oeil vers la journaliste, il se met à dire bien fort : "c'est parce que je suis noir que vous me virez, c'est ça?" On pouffe de rire, en lui répondant qu'il est complètement malade.

    La journaliste s'en va et lui s'éloigne vers l'entrée de la rue où les CRS ont monté un mur anti-émeute (rue saint Dominique ou rue de l'université, je ne sais pas, je ne suis pas parisienne...). A ce moment, un cousin me glisse à l'oreille que ce type pourrait bien être un flic en civil. Un groupe d'une dizaine de jeunes hommes se dirigeaient dans la même direction, juste derrière lui. Je cours donc vers eux et leur glisse : "attention, c'est peut être un flic en civil, il vient de frapper une caméra." Un de ces jeunes crie alors : "alerte, flic en civil".

    L'homme se retourne immédiatement vers nous, ainsi qu'un autre homme que je n'avais pas remarqué. Ils se mettent alors à courir vers les CRS, en fuyant mon groupe de jeunes hommes qui s'élancent à leur poursuite. Le mur anti émeute s'ouvre alors pour eux et nos deux hommes se réfugient derrière. CQFD, je l'ai vu de mes propres yeux et j'arrive pas à y croire pour de vrai".

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Vidéo : la montée sans violences de Génération Identitaire sur le toit du siège du PS

    Vidéo : la montée sans violences de <em>Génération Identitaire</em> sur le toit du siège du PS

    PARIS (NOVOpress) – Nous avons relaté l’occupation temporaire pacifique du toit du siège du Parti Socialiste par Génération Identitaire dimanche. Toit sur lequel ces jeunes gens ont déployé une banderole “Hollande démission”. Nous avons aussi relaté les suites judiciaires de ce que Harlem Désir, premier secrétaire du PS a qualifié d’attaque du siège du Parti socialiste”. A la kalach ou bien au camion bélier ? Sans compter les appels à la dissolution de Génération Identitaire par des représentants du PS pour ce sacrilège : être monté sur le toit du siège du Parti Socialiste.

    Mais nous n’avions pas publié la vidéo qui montre le caractère non-violent et sans effraction de la montée sur ce toit.

    Une banale échelle en plusieurs parties qui s’emboitent, il suffisait d’y penser ! Mais quelle organisation cela a du nécessiter, en repérage, en déplacement au nez à la barbe des milliers de policiers qui quadrillaient Paris ce jour-là, etc. ? Il faut dire que ces amateurs ont déjà l’expérience de l’organisation d’escalade à grand spectacle, lors de l’opération sur le toit du chantier de la future mosquée cathédrale de Poitiers, pour réclamer un référendum sur l’immigration et la construction de mosquées.

    On remarque, à partir de 2min13 les jeunes gens restés en bas, vite replier l’échelle et s’en aller avec elle pour que la masse de policiers qui allait être très vite alertée ne puisse pas l’utiliser à son arrivée. Elémentaire mon cher Watson !

    A l’inverse quel manque d’organisation de la Préfecture de police et du ministre de l’intérieur Manuel Valls. Le jour où ils savaient que des centaines de milliers de personnes allaient manifester à Paris contre la loi instituant le mariage homosexuel, ne pas avoir protégé le siège du Parti Socialiste par deux ou trois policiers en faction ! Le Préfet de Police de Paris et Manuel Valls vont-ils démissionner ?

    http://fr.novopress.info/

  • On n’est pas près de retourner dans notre placard ! par Gabrielle Cluzel

    Article paru sur Boulevard Voltaire

     

    La loi sur le mariage pour tous est promulguée, la manif du 26 mai est passée… Et maintenant ?

     

    Et maintenant, tout commence. Car, bien sûr, cette dernière manif n’était pas une fin mais un acte fondateur, qui sera sans doute dans l’histoire de notre pays comme le point de départ d’une reconfiguration du combat politique et culturel. Un premier coup de piolet ouvrant une brèche irréversible dans un mur de Berlin que l’on croyait, comme l’autre en son temps, imprenable.¢

     

    Le gouvernement tablait sur l’essoufflement. Ce public de « classes moyennes plutôt éduquées » (sic) – pour reprendre les termes de je ne sais quel quotidien -, attachées aux valeurs de réussite sociale, de famille et de confort bourgeois, peu portées sur la contestation déclarerait forfait, surtout un jour de fête des mères, en période de communions et d’examens. C’est tout le contraire qui s’est passé. Évidemment. Car avec la Manif pour tous, ce public-là a fait son coming out. Désinhibé, décomplexé, il n’a plus honte de ce qu’il est, il assume ses valeurs, ne se laisse plus intimider ni railler ; autant dire qu’il est inutile de compter sur lui pour retourner dans son placard.

     

     

    Il a surtout compris qu’il constituait une force de frappe. Sereine, pacifique, mais force de frappe quand même. Ces sept mois de Manif pour tous lui ont permis de se compter, de s’identifier, de s’organiser en réseaux distincts et autonomes (sans réel leader : ce qui pourrait passer pour une faiblesse est en fait une garantie de liberté), de mettre à bas aussi, par des rencontres sur le terrain et une connivence dans l’adversité, certains préjugés et clivages dépassés. En le confrontant au parti pris idéologique d’une certaine presse, ces sept mois l’ont enjoint à chercher l’information ailleurs, dans des médias alternatifs qui, du Salon beige à Boulevard Voltaire en passant par bien d’autres encore, relaient ce qui est occulté et tissent le lien entre les foyers de résistance. Une force de frappe, donc, qui grâce à la Manif pour tous s’est mise en ordre de bataille et qui ne s’en laissera plus conter.

     

     

    Ludovine de La Rochère, présidente de la Manif pour tous, l’a prédit dimanche : « Nous participerons activement à la vie de la cité avec nos convictions et nos valeurs. »

     

     

    Sur le terrain électoral, par exemple.

     

     

    C’est la rue qui a été la locomotive du mouvement, les partis traditionnels n’ont fait que courir derrière le train pour tenter de le rattraper. La rue a donc pris la main. Comme une femme trop longtemps bafouée qui relève la tête, une partie de l’électorat dit « conservateur » a ainsi compris que continuer de voter pour une droite qui violente ses valeurs au seul motif qu’elle serait« moins pire quand même » que la gauche n’est plus une fatalité. Le rapport de forces s’est inversé, cet électorat n’est plus captif, a pris confiance en lui, et mettra ses hommes politiques face à leurs incohérences qu’elle sanctionnera, s’il le faut, dans les urnes. NKM sera-t-elle la première à en faire les frais ?

     

    Valls parlait d’interdire le Printemps français. Mais sera-ce suffisant pour en arrêter l’éclosion ? Le gouvernement ne voit-il donc pas la détermination joyeuse des jeunes pousses de cette « génération Manif pour tous », comme l’appelle Le Figaro, qui fleurit en ce mois de mai comme pâquerettes sur la pelouse des Invalides, et qui est en train — allez, disons-le, c’est le propre de la jeunesse — de prendre goût à cette jacquerie tout à la fois profonde et facétieuse (« Si t’es un flic en civil, tape dans tes mains ! », entendait-on chanter gaiement hier soir entre chien et loup au milieu des gaz lacrymogènes) ?

     

     

    Et ne regrette-t-il pas d’un coup d’avoir, depuis sept mois, par son implacable et sourd mépris, scrupuleusement labouré, semé, arrosé, couvert d’engrais ce terreau dans lequel la résistance a durablement pris racine ?¢
    Gabrielle Cluzel pour Boulevard Voltaire
  • Le Grand maître du Grand Orient de France en pleine névrose

    José Gulino, Grand maître du Grand Orient de France, a déclaré, entre autres inepties :

    « J’ai l’impression de me retrouver au temps de l’Inquisition. »

    « Nous sommes dans un climat de montée de l’intégrisme, du fascisme, du racisme. »

    « Nous devons sécuriser nos locaux, prendre des précautions, faire un travail de mémoire, redire l’Histoire. »

    « Mais quand la République est en danger, il faut la préserver et la défendre. »

    Ce qui est excessif est insignifiant. Mais on comprend mieux d’où viennent les demandes de rafles policières.

     Source

    http://www.contre-info.com/

  • Candidats UMP : quelle liberté pour des alliances locales ?

    Lu dans Le Monde :

     

    "Au sein de l'UMP, un autre point de clivage apparaît : celui des sanctions à prendre vis-à-vis des élus de droite qui fricotent avec les partisans du FN. Le parti de M. Copé a prononcé le 14 mai l'exclusion d'Arnaud Cléré, candidat UMP à Gamaches (Somme), qui a annoncé son intention de faire une alliance avec le FN. Mais Roland Chassain, maire UMP des Saintes-Maries-de-la-Mer (Bouches-du-Rhône), qui s'était désisté en faveur du parti frontiste aux législatives, n'a reçu qu'une lettre d'avertissement. Deux poids deux mesures ? " Il n'a pas été jusqu'à nouer une alliance effective avec le FN ", se défend M. Copé. Pour Xavier Bertrand et François Fillon, l'UMP ne doit pas attendre que des élus franchissent le pas pour les exclure. Le député de l'Aisne s'est dit favorable à l'exclusion de tous ceux qui souhaitent faire une alliance avec le FN, comme... Roland Chassain.

    Lors de la campagne des municipales, l'UMP risque de se retrouver de nouveau confrontée à des rapprochements entre ses candidats et ceux du parti de Marine Le Pen."

     

    Et dans un autre article :

     

    "Dans ce Sud-Est où l'UMP est omniprésente, se pose évidemment la question des alliances. " Nous tendons la main à tous ceux qui veulent nous rejoindre. Il n'y a d'ailleurs pas que des gens de droite qui viennent vers nous ", avance M. Bay. Il cite le cas - particulier - d'Anna Rosso-Roig, candidate Front de gauche aux législatives de 2012, qui vient de rejoindre le FN. Il concède cependant que " dans la majorité des cas, ce sont des gens de l'UMP ". Le FN explique volontiers qu'il n'a pas besoin de démarcher, les " contacts " viennent d'eux-mêmes. Ce phénomène s'explique, selon M. Bay, par une " fracture entre la base UMP et la direction nationale ". Les militants UMP " ne se sentent pas en phase avec le discours officiel. D'un côté, Jean-François Copé leur envoie des signaux et de l'autre, il leur pose un interdit définitif concernant les alliances ", affirme-t-il."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Résistance


    Hollande: 93 interpellations au lycée Buffon par actuclip