Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2366

  • Manif pour tous : UNE RÉPUBLIQUE DÉSHONORÉE : pour répondre à la marée humaine, Valls fait gazer des femmes et des enfants ! : Une manifestante percutée par un véhicule de police !

    Il ne suffisait pas au préfet de police de police de Paris d’être un fieffé menteur. Du reste, un des sujets de conversation dans la Manif pour tous, ce dimanche des Rameaux, était de se demander quel chiffre abracadabrantesque ce valet zélé de l’exécutif allait bien pouvoir inventer. Quand on a perdu sa crédibilité on peut tout se permettre... Il a osé 300 000 !

    Ignoble : Sur l’ordre de François Hollande : des enfants de moins de dix ans gazés ! (Le Salon Beige)

    Ce que le pouvoir a ordonné et fait exécuter. Sur NdF, une vidéo choquante

    Les mercenaires de la République agressent des manifestants pacifiques, parmi lesquels des femmes et des enfants.

    Voir également La vidéo d’une manifestante percutée par un véhicule de police, comme il y a un an et demi un jeune militant d’Action française ! Cela devient un habitude pour la police républicaine !

    Non, il est allé plus loin : sur l’ordre de son maître, Manuel Valls, il n’ a pas hésité à ordonner de gazer des femmes et des enfants, seule réponse possible, à ses yeux, à l’immense marée humaine de près de 1,5 million de Français qui ne pouvaient évidemment pas se contenter d’occuper, sous peine d’étouffements, l’espace étriqué que ce même préfet leur avait généreusement octroyé. Avec une brutalité inouïe, que montrent des vidéos sur Le Figaro, les mercenaires Robocop du régime républicain n’ont pas hésité à agresser des pères et des mères de familles, mais surtout, des enfants, au grand contentement d’un ministre de l’intérieur qui a perdu dans cette affaire, semble-t-il, tout repère moral. Le député UMP Wauquiez demande que la préfecture de police de Paris rende des comptes... L’UMP est toujours forte en parole,... alors que chacun sait que Copé a déjà à plusieurs reprises fait savoir que, revenue au pouvoir, la prétendue "droite" parlementaire ne reviendrait pas sur cette loi infâme si elle était votée. Les Français doivent donc comprendre, face aux mensonges du pouvoir comme face à la brutalité des mercenaires de la République, que c’est aujourd’hui que se joue le sort de cette loi et que c’est le régime lui-même qui est en cause, à savoir une République oligarchique, dépourvue d’ambition pour la France et ayant perdu tout système de valeurs. Oui, c’est elle le véritable problème.

    Le discours lénifiant de Frigide Barjot ne répond plus à la demande d’un pays réel qui commence à comprendre la vraie nature d’un régime qui détruit la cellule de base de la société, à savoir la famille, pour mieux asservir l’ensemble des citoyens. Nous ne laisserons pas ce mouvement historique récupéré par une droite parlementaire dépourvue de conviction, à quelques exceptions près, une droite "bien sous tous rapports" mais surtout bien trop présente cet après-midi sur le podium de La Manif pour tous.

    Aujourd’hui Marianne a gazé des femmes et des enfants. Le pays réel ne se laissera pas faire ! 1,5 million de Français dans la rue ont crié leur rejet à la fois d’un projet de loi et d’un pouvoir devenu illégitime. Il nous appartient de faire prendre conscience à nos compatriotes qu’ils seront toujours trahis par ce régime sans scrupule et sans repères.

    François Marcilhac - Directeur politique du site de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net

  • Les manifestants étaient non-violents : un journaliste raconte

     

    Ivan Rioufol, journaliste, était hier à la Manif pour tous et dément les propos de ses confrères :

     

    "Ce que j’entends à propos de la Manif pour tous, de sa mobilisation et de ses débordements, ne correspond pas à ce que j’ai vu sur place. Je note tout d’abord l’invraisemblable opération de désinformation menée par le ministère de l’Intérieur et avalisée par les médias. Vendredi, ses services tablaient sur un peu plus de 100.000 personnes sur l’avenue de la Grande-Armée. "La mayonnaise Frigide Barjot, égérie des anti-mariage gay, ne prend sans doute plus comme avant", assurait même "un policier de haut rang", dans Le Figaro de samedi. Dimanche soir, tandis que les organisateurs annonçaient 1,4 million de manifestants, l’Intérieur en comptabilisait 300.000, ce qui est une provocation stupide. Les cinq kilomètres séparant l’Arche de la Défense du haut de l’avenue de la Grande-Armée étaient bondés à craquer, sur toute la largeur de l’avenue évidemment. Dès 14h30, les avenues Foch et Carnot étaient, à leur tour, envahies par une foule tout aussi compacte et toujours bon enfant. Il était quasiment impossible, j’en ai fait l’expérience, de se frayer un passage pour tenter de remonter vers le podium, dressé derrière l’Arc de Triomphe. Là comme ailleurs, la foule se pressait, y compris contre les barrières métalliques interdisant le périmètre de la Place de l’Etoile. C’est peu après 15 heures que des personnes excédées, dont un avocat en robe, ont commencé à repousser ces barrières, à déborder le service d’ordre de la manifestation et à prendre par surprise le cordon de CRS qui ne s’était visiblement pas préparé à cette trouée. J’étais dans ce groupe.

    J’ai écouté, ce lundi matin (sur RTL), le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, mettre en cause  des "militants d’extrême droite qui ont jeté des boulons".  Le directeur de cabinet du préfet de police, Laurent Nunez, a parlé, lui, de "comportements très agressifs de certains manifestants". Des "factieux" ont été dénoncés à gauche. Pour avoir accompagné ce premier flot de manifestants vers la Place de l’Etoile - environ deux cents personnes, étonnées d’avoir pu franchir si facilement les obstacles -  j’assure que tout s’est passé, à ce moment là, sans violence. La police a réussi habilement à resserrer les rangs, en isolant ce premier groupe qui voulait rejoindre les Champs-Elysées. Une deuxième vague, plus importante, a pris la relève environ une demi-heure après. Cette fois, les CRS ont rapidement ouvert le passage, après quelques tirs de gaz lacrymogène. Ils ont alors laissé au trois-quarts libre l’accès à la place de l’Etoile. Des barrières antiémeutes ont été installées sur les Champs-Elysées, au niveau du drugstore. Des familles avec leurs enfants, souvent venues de province, ont pris possession des lieux, tandis que les prises de parole se poursuivaient un peu plus bas. Vers 17 h 15, j’étais face au mur dressé sur les Champs. J’ai remarqué trois ou quatre jeunes qui semblaient plus excités que la moyenne. Une vague tension commençait à poindre à cause de groupes qui tentaient de contourner ce barrage par d’autres rues. Mais il n’y avait aucune provocation visible. Je n’ai pas assisté aux charges qui ont eu lieu peu de temps après, qui ont été violentes malgré la présence de femmes et d‘enfants. Voilà ce que j’ai vu."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La République, une dictature

    Les journalistes sont-ils condamnés à sacrifier leur carrière s'ils écoutent leur conscience ? En tout cas, la presse inspire la défiance populaire-Une fissure de plus dans un édifice républicain en passe de s'écrouler.
    Une dépêche de Novopress indique que « l'Observatoire des journalistes et de l'information médiatique (Ojim) vient de publier les résultats d'une consultation sur l'indépendance et la pluralité des journalistes et médias en France. Les résultats révèlent une fois de plus un décalage profond entre le système médiatique et les Français. On apprend ainsi que 85 % des sondés pensent que la liberté d'expression en France se dégrade et 89 % d'entre eux que les journalistes sont "déconnectés des réalités". » Si on ajoute à cela un jugement des Français de plus en plus partagé sur la justice idéologique de Taubira et la répression à sens unique exercée par la police politique, le pays dit "des droits de l'homme" est en droit de s'interroger sur sa République incantatoire et moralisatrice. Le fait est que la dernière bombe de Laurent Obertone, La France orange mécanique, éclate au moment précis où l'échec des politiques menées depuis trente ans devient de plus en plus évident pour bon nombre de nos compatriotes. Ce livre ne dit rien de plus que ce que tout le monde savait déjà plus ou moins, confirmant ce "sentiment d'insécurité" partagé par tous les Français jusque dans nos campagnes les plus reculées. Il confirme sans tabou que l'immigration n'est pas vraiment une chance pour la France. Et que fait la presse subventionnée ? Elle rechigne bien sûr, elle conteste les chiffres, avec une certaine dose de mauvaise foi, en essayant de s'en prendre à l'auteur avec la bassesse et méchanceté qu'on lui connaît. Mais elle tombe sur "un os", car les chiffres énoncés sont tout ce qu'il y a de plus officiel. Ils proviennent notamment du très institutionnel Observatoire national de la délinquance, lequel, à mon avis, risque bien d'être menacé dans son existence. Une dictature doit être fidèle à ses principes : si le thermomètre ne donne pas la température souhaitée, cassons le thermomètre. La politique de l'immigration qui voit l'idéologie de gauche "copuler" avec le patronat libéral est trop importante aux yeux de nos dirigeants démocrates pour prendre en compte les inquiétudes d'un peuple jugé trop populiste.
    Quand un régime refuse de prendre en compte une pétition de 700 000 signatures sous des prétextes fallacieux d'un juridisme contestable, c'est qu'il est pour le moins à classer parmi les régimes autoritaires, les républiques bananières, les dictatures des "tontons macoute" et autres Kampuchea démocratiques. Sa presse est aux ordres, à moins que ce soit elle qui donne les ordres, et il appartient de raser les murs aux Français de seconde zone, c'est-à-dire ceux qui refusent ce consensus arbitraire porté par les "élites" qui organisent la destruction de notre pays cellule par cellule.
    Mais, la technologie doit être horriblement réactionnaire car elle permet, avec Internet notamment, de glisser de l'information non formatée au travers des mailles du filet tendu par la presse officielle. Notons-le quand même pour ne pas être injuste : quelques rares journaux et magazines participent à la résistance, il faut être courageux aujourd'hui, quand on est journaliste et que l'on est doté d'une conscience. Il faut choisir : être consensuel ou perdre toute chance de faire une. Robert Menard fait partie de ces hommes courageux qui ont refusé de se taire, qui ont voulu exercer le métier honnêtement. Il a parlé, il a donné la parole à ceux que la grande presse ignorait et méprisait, les exclus de la République. Le système fonctionnant bien, il a été lui même exclu de toutes les bonnes rédactions qui ont pignon sur rue. De ce fait, il nous est éminemment sympathique parce qu'il représente pour nous la France des honnêtes gens. Celle qui ne renonce jamais, les vrais résistants qui ne choisissent pas leur camp en fonction des idéologies et qui sont profondément épris de cette merveille qu'on appelle liberté. Nous recevrons dans nos locaux le lundi 18 mars prochain ce journaliste de combat qui fonda Reporters sans frontières et qui, aujourd'hui, est devenu un exilé de l'intérieur. Nous lui ferons bon accueil.
    Olivier Perceval Secrétaire général de l'AF, Action Française mars 2013

  • Champs-Élysées : l’Action française en première ligne

    C’est sans ménagement que les forces de l’ordre ont évacué hier au soir à l’aide de gaz lacrymogène et en usant de matraques quelques centaines de manifestants contre le mariage homosexuel qui s’étaient installés pacifiquement sur les Champs-Elysées, certains prévoyant d’y camper.

    Les manifestants étaient pris en tenaille par des gendarmes mobiles d’un côté et des CRS de l’autre, qui les ont poussés sans ménagement — l’AFP l’a elle-même reconnu !

    L’Action française est fière d’avoir été en première ligne de cette action symbolique réprimée brutalement par le pouvoir. Parmi la quarantaine de manifestants placés en garde à vue, elle compte sept militants. Honneur à eux et à tous leurs camarades de quelque horizon qu’ils viennent.

    Photos sur Le Printemps français

     


    Le Printemps français par Le_Salon_Beige

    http://www.actionfrancaise.net/craf/

  • « Historique »

    Bruno Gollnisch, le secrétaire général Steeve Briois, le secrétaire général adjoint Nicolas Bay, les députés Marion  Maréchal et Gilbert Collard,  Jany Le Pen, les secrétaires départementaux Philippe Chevrier et Jean-Luc Manoury, les Conseillers régionaux du Nord  Sylvie Goddyn et  Eric  Dillies, les membres du Bureau politique Catherine Salagnac, Thibaut de  La Tocnaye, Jean-Richard Sulzer, le responsable du FNJ Julien Rochedy  (nos excuses à ceux que nous oublions et que nous n’avons pas vu !) , les dizaines de milliers d’électeurs et sympathisants frontistes présents  l’ont constaté: la manifestation de ce dimanche en faveur de la  défense de la famille traditionnelle et contre le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels a été, comme celle du 13 janvier, une énorme succès populaire.

     Malgré la consigne donnée et reprise par nombre de médias d’en minimiser l’ampleur,  ce sont bien de nouveau certainement bien  plus de 700 000 Français qui étaient dans la rue, comme l’atteste notamment les photos de la foule impressionnante  empruntant l’avenue de la Grande Armée.

     Un rassemblement bon enfant, où La Marseillaise était entonnée  à plein poumon,  réunissant  les familles et les générations mais que le ministère de l’intérieur voulait entacher d’une image de violence ou à tout le moins,  qu’il n’a pas su gérer correctement. Les forces de l’ordre obéissant à  Manuel Valls ont en effet gazé une partie de manifestants, hommes, femmes enfants, personnes âgées, aux abords de l’Arc de triomphe.

     Le ministre de l’Intérieur a expliqué qu’il s’agissait de disperser des militants et autres casseurs d’extrême droite, l’antienne est connue. Il est d’ailleurs déplorable que Frigide Barjot ait reprise dés hier soir sur les chaînes d’information, sans vérification et sans le recul nécessaire, les éléments de langage de la place Beauvau.

     Dans les faits rapporte plus justement un  bénévole d’une équipe d’accueil de la Manif pour tous, dont le témoignage a été publié par Nouvelles de France  et repris sur Le salon beige, «les forces de police ont été débordées par une manifestation dont tout le monde pensait qu’elle serait inférieure à celle du 13 janvier. »

     Et de rapporter les propos d’un commandant de gendarmerie: «nous ne sommes pas habitués à gérer ce type de rassemblement. Quand on met un nombre de personnes trop important dans un lieu insuffisant pour les contenir, c’est évident qu’il y a des débordements. Vous serez 10 000 pour la police mais en réalité vous êtes plus d’un million, nous le savons, ils le savent… »

     Ce que savent aussi les dirigeants de l’UMP qui étaient présents hier dans le cortège,  c’est que la Marée nationale ne cesse de monter et qu’elle menace aussi de les emporter. Il est à cette aune assez « surprenant » (?)  que Bruno Gollnisch n’ai pas été autorisée par les organisateurs  à dire quelques mots à la tribune, alors constate-t-il, que « ceux qui sont directement ou indirectement responsables de la décadence morale de ce pays depuis quarante ans »,  les représentants de la droite molle, courbe et lâche,  ont monopolisé le micro.

     Tout cela nous dépasse feignons d’en être  les organisateurs : ce sentiment explique la venue  à cette manifestation de figures de  l’UMP.  A l’instar d’un Jean-Pierre Raffarin, partisan du front républicain contre le FN dans la seconde circonscription de l’Oise, avançant pour le justifier  les mêmes arguments que le porte-parole du PS David Assouline.

     Dans ce contexte, Marine Le Pen a souligné avec justesse la portée  « historique » du résultat de la candidate du FN ,  Florence Italiani, lors du second tour hier de cette partielle face à Jean-François Mancel , député sans interruption depuis 2002. Florence Italiani  «frise la victoire » avec 48,59% des sufrages. Cela « doit être analysé comme une extraordinaire accélération de la dynamique du Front National et un magnifique signal d’espérance » a estimé  Marine. De bon augure  à  un an des élections municipales !

     Avec habilité, M Mancel avait mené une campagne très droitière et « populiste » visant à capter le ras-le-bol populaire contre la politique du gouvernement  afin de faire oublier les tares, l’euromondialisme, l’immigrationnisme, le bilan calamiteux de dix ans de règne UMP à la tête de l’Etat.

      Les observateurs s’attendaient  à un écart de voix beaucoup plus grand au profit de ce dernier  lors de ce second tour. Or, malgré une abstention encore très élevée (64,70%) toujours pénalisante pour le FN, Florence Italiani a battu le candidat de l’UMP dans  quatre des huit cantons que compte la circonscription.

     De quoi désespérer les bien-pensants et notamment les gardiens du dogme sur France Inter, dont le site internet  présentait  ce matin  la venue dans le journal de Patrick Cohen,  de l’ancien président de SOS racisme et actuel député  PS de l’Essonne, Malek Boutih.

     Il y est écrit  que M. Boutih,   chargé d’apporter dernièrement la contestation à la présidente du FN sur   le plateau de l’émission  « Des paroles et des actes »  (France2),  l’aurait  « (renvoyé » à son appartenance à l’extrême droite et au jeu trouble qu’elle entretient avec la démocratie ».  Cela est asséné tout de go,   sur une radio publique financée aussi avec l’argent des contribuables du FN. Mais c’est aussi,  n’en doutons pas,  cette partialité venimeuse qui fait monter un peu partout le vote patriote.

     Notons encore que le secrétaire national du Parti de Gauche, Alexis Corbière, a qualifié d’ »affligeant » le second tour Italinai-Mancel et estimé qu’il attestait d’un  « pourrissement du climat politique ».

     Pourrissement que M. Mélenchon a plus justement pu  constater avec les nouvelles accusations d’antisémitisme  portées contre lui ces dernières heures. Climat délétère  et chantage  plus ou moins conscient à l’antisémitisme que nous pointions déjà le 15 mars sur ce blog  en relatant la passe d’arme « fraternelle » entre les humanistes Julien Dray, Mélenchon et Corbière.

     Samedi à Bordeaux, lors du troisième Congrès du Parti de gauche, dont  Jean-Luc Mélenchon est co-président, ce dernier a attaqué sabre au clair la politique européiste d’un PS qu’il  soutient en toute schizophrénie dans les urnes.

     Non sans raison, il a reproché  au gouvernement  d’avoir donné son feu vert  la semaine dernière un « plan de sauvetage financier »  de Chypre de 10 milliards d’euros, reposant sur un remboursement de la dette via des taxes sur les dépôts bancaires des particuliers.

     François Delapierre, secrétaire national du PG, a dénoncé « les 17 salopards de l’Europe » en référence  à l’attitude des 17 gouvernements de la zone euro à l’égard de Chypre. « Dans ces 17 salopards, il y a un Français, il a un nom, il a une adresse, il s’appelle Pierre Moscovici et il est membre du Parti socialiste »

     Jean-Luc Mélenchon a embrayé devant les journalistes  en qualifiant M. Moscovici de « petit intelligent qui a fait l’ENA » et qui « ne pense pas français, qui pense finance internationale ».

     Cela a suffit à déclencher l’hallali contre le conducator du FG.

     « Je suis Français par tous mes pores et je ne raisonne pas finance internationale», a affirmé M Moscovivi ce dimanche sur Canal+ , rappelant qu’il était «fils de déportés». « (M Mélenchon est ) «en train de franchir certaines bornes» «par détestation du social-libéralisme» et devrait faire «attention à ce qu’il dit».

     Plusieurs ministres socialistes comme Manuel Valls (« Inacceptable et irresponsable »), Arnaud Montebourg,  Nicole Bricq et Cécile Duflot (EE-LV) ont dénoncé la petite phrase du co-président du PG. Cette dernière a encore montré toute l’étendue  de son  intelligence en estimant que si M. Mélenchon   « n’est pas antisémite », « il flirte avec le dérapage à chaque instant, notamment sur les questions de nationalisme » (sic).

     David Assouline, porte-parole du PS, a déclaré : « le style, l’insulte et l’appel ad hominem à la vindicte publique du Front de Gauche contre Pierre Moscovici, au delà de sa vulgarité, est indigne d’un parti de gauche ».

     Le premier secrétaire du PS, Harlem Désir,  a demandé à Jean-Luc  Mélenchon de « retirer » ses propos. « C’est un vocabulaire des années 1930 que l’on ne pensait plus entendre de la bouche d’un républicain et encore moins d’un dirigeant de gauche »,

     « Cette attaque sur l’identité française de Pierre Moscovici donne le haut le cœur. Elle signe une dérive dangereuse qui doit cesser dans l’injure et la mise en cause personnelle. Elle franchit les limites de l’acceptable et ne peut être tolérée par aucun républicain » a encore affirmé l’ancien gourou des « potes ».

     L’UMP est aussi montée au créneau. Déjà coutumière des attaques contre M. Mélenchon sur ce thème, Nathalie Kosciusko-Morizet, invitée du  Forum Radio J,  a avancé  que « les termes finance internationale, l’idée qu’on puisse être plus lié à la finance internationale qu’à son propre pays sont des termes utilisés à d’autres époques et par d’autres personnes ».

     Pareillement,  lors de l’émission Le Grand Rendez-vous d’Europe 1-iTélé, Jean-François Copé  a  clamé que « le temps est venu pour (François Hollande) de dire si oui ou non, dans ce contexte, il continue cette alliance électorale (…) car c’est cela qui est en cause au regard de propos indignes, contraires aux valeurs de la République. »

     Enfin, et pour faire oublier de manière peu subtile les liens idéologiques  profonds et le même logiciel  qui anime les partis de la gauche et de la droite euromondialistes, M. Copé a affirmé que « l’ extrême-droite (comprendre  dans sa bouche le FN) et l’ extrême-gauche mélenchoniste  sont « bien entendu » à mettre dans le même panier.

     Là aussi la ficelle est un peu grosse et la diversion pitoyable constate Bruno Gollnisch.  Il faudra que l’UMP tente de trouver un peu mieux, et ce n’est pas gagné,  pour détourner des millions de Français du vote FN en 2014.

    http://www.gollnisch.com

  • Frigide Barjot dérape encore…

     

    Madame Barjot a sans doute quelque accointance avec ses prétendus adversaires. La dernière fois, elle voulait « dialoguer » avec eux, se voulant rassurante quant à ses intentions : non, elle n’est pas une « révolutionnaire« . Elle promettait donc de demeurer aux ordres.

    Nous lui avions répondu, sur Contre-Info, que « les révolutionnaires, ce sont précisément ceux qui décident de renverser l’ordre traditionnel de la société, ce sont ceux qui nient l’ordre naturel, ou qui déclarent vouloir s’en émanciper, sous le fallacieux prétexte d’une liberté mal comprise, qui recouvre en fait un nouvel esclavage, celui du consumérisme. Les opposants à leur funeste projet sont au contraire des contre-révolutionnaires, qui veulent reconstruire la société sur ses fondements traditionnels, comme la famille, condition de sa pérennité. »

    Hier, madame Barjot a poursuivi sur sa lancée. Annonçant que des perturbateurs tentaient de troubler la manifestation -allusion aux heurts déjà évoqués avec les forces de police-, elle demande aux forces de l’ordre de les en empêcher. Et de s’écrier fièrement : pas de « fachos » ! Voilà, le mot est lancé. Les fachos sont de retour. Entendez que dans sa bouche, il s’agit bien d’une insulte. Ou comment une organisatrice se retourne contre ses propres manifestants. Comme si elle avait besoin, en effet, de donner des gages de bonne volonté à un système qui l’a pourtant déjà condamnée, et de sacrifier sur l’autel de la bien-pensance les militants les plus remontés contre un gouvernement devenu totalement illégitime.

    Jamais elle n’a eu de mot aussi dur contre ses « adversaires » politiques qui veulent faire passer en force une loi inique. Mais elle ne se prive pas en revanche de reprendre à son compte une rhétorique complètement éculée, celle de l’ »adversaire » précisément, pour la retourner contre ceux qui sont censés être ses alliés dans le combat qu’elle prétend mener.

    Doit-on souligner également qu’aucun député de la droite nationale, pourtant présents dans le cortège de la manifestation (les deux députés FN et Jacques Bompart), n’a été invité à s’exprimer sur le podium ? En revanche, un trotskyste a  été invité à y prononcer un discours. Vous avez dit « manif pour tous » ?

    http://www.contre-info.com

  • Un des dangereux émeutiers mis hors d’état de nuire sur l’ordre de Manuel Valls

    Comme le montre la photo ci-dessous, c’est un fait : Manuel Valls est plus efficace quand il s’agit de réprimer de dangereux extrémistes venus renverser la République que les doux délinquants des grandes métropoles choyés par son alter ego, Christiane Taubira.

    MERCI À VALLS D’AVOIR SAUVÉ LA RÉPUBLIQUE !

  • Manif pour tous : les forces de l’ordre chargent la foule

     

     
    Deux poids, deux mesures - Les socialistes font preuve d’une grande « mansuétude » à l’égard de la racaille et des prières musulmanes illégales.  Par contre, ici lors de la « Manif pour tous », il ne s’agit que de Français… alors, ils peuvent se lâcher ! La prochaine  fois, les socialistes feront-ils tirer sur la foule ?... Des événements similaires à ceux de la rue d’Isly ne sont pas loin !... Hier aussi, la foule chantait "La Marseillaise". LA SITUATION GÉNÉRALE DEVIENT INSURRECTIONNELLE.
    Le réveil de la FRANCE réelle
  • Les Femen se sont pris une vilaine déculottée

    Les Femen, ce groupuscule extrémiste prétendument « féministe », avaient prévu d’intervenir hier durant la manifestation contre le mariage « gay » : hé bien, elles n’ont même pas eu le temps de se déshabiller et ont été fermement reconduites par la police, sous les huées des manifestants…

    Faut-il souligner que ces extrémistes n’incarnent en aucun point le combat qu’elles prétendent mener? Par la vulgarité habituelle dans laquelle elles se complaisent, elles renvoient de la femme, en permanence, une image dégradée et avilie.

    Il faudrait cependant que quelqu’un se dévoue pour leur expliquer que si leurs actions reposent systématiquement sur la violence, passé l’effet de surprise qu’elles avaient su susciter, il est vrai, lors du défilé de Civitas en novembre dernier, elles s’exposent tout de même à se prendre un sérieux retour de bâton en pleine figure : une dizaine de prostituées contre un million et demi de manifestants, le rapport de force est vite calculé…

    http://www.contre-info.com/

  • Enorme succès de la manif contre le « mariage » inverti

     

    Compte rendu d’un rédacteur de Contre-info, empestant encore le gaz lacrymogène :

    « C’est au moins un triple succès que cette manifestation à Paris.

    - Par le nombre d’abord : les chiffres sont encore flous mais il y avait au moins autant de monde que lors de la précédente, le 13 janvier (c’est-à-dire au moins un million de personnes battant le pavé). 1,4 millions d’après les organisateurs, 300 000 d’après une préfecture décrédibilisée. Une véritable marée humaine a de nouveau déferlé sur Paris, alors qu’un peu tout le monde pronostiquait un affaiblissement du mouvement. La détermination et la révolte populaires n’ont pas été refroidies par l’absence de résultats tangibles de la mobilisation de ces derniers mois (manifs méprisées par les autorités et les médias, pétition de 700 000 personnes directement à la poubelle…)

    - Succès car les mesures liberticides décrétées par la préfecture de police, sur ordre du gouvernement, ont été vaincues : des milliers de personnes ont réussi à gagner les Champs Elysées, en théorie interdits. Les forces dites « de l’ordre » ont été débordées et ont parfois fait preuve d’une violence hors de propos, aspergeant de gaz lacrymogène n’importe qui – femmes et enfants compris -, distribuant des coups de matraque sur des bons Français qui voulaient simplement se déplacer librement chez eux. Des heurts vifs ont éclatés à plusieurs reprises et durant des heures la tension est resté très élevée. Des centaines de manifestants ont réussi à repousser à plusieurs reprises les cordons de CRS suréquipés. Les jeunes du Renouveau français ou du GUD Lyon se sont particulièrement illustrés face à une police plus servile et sans scrupule que jamais, en étant pendant des heures en première ligne. Plus tard, les CRS postés devant le palais de l’Elysée, pas suffisamment nombreux et surpris, ont paniqué en voyant venir quelques dizaines de jeunes nationalistes chahuteurs.


    Violents affrontements entre anti-mariage gay... par leparisien

    - Succès enfin car des milliers de personnes ont bravé les mots d’ordre lamentables des organisateurs de cette manifestation, qui ne savaient plus quoi dire pour exprimer leur estime et leur respect des forces de police (dont certains membres se comportaient comme des ordures), qui ne trouvaient plus de termes assez forts pour clamer leur républicanisme. Sans évoquer le discours lamentable du militant homosexuel Xavier Bongibault (« les homos avec nous ! »)…
    La saine colère des défenseurs du mariage se retrouve depuis des mois canalisée et déviée par des personnes très mal placées pour la diriger, et dont la méthode et les discours – en plus d’être scandaleux – ne payent pas, au contraire. Aujourd’hui, ils ont été débordés et c’est très appréciable. »

    PS : quelques dizaines de personnes ont été embarquées par la police. Le Comité de soutien aux victimes de la répression annonce déjà « qu’il interviendra si des personnes sont inquiétées par la justice suite à la manifestation de ce jour ».

    http://www.contre-info.com/