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lobby - Page 2370

  • Quelques échos de « la France d’après »

    Un petit coup d’oeil à trois extrémités de notre doux pays, pour observer l’actualité locale.

    Dans la belle Alsace : une émeute a lieu à Wittelsheim dans la nuit de jeudi à vendredi. « Un groupe de jeunes » a brûlé des voitures puis caillassé les pompiers venus sur place. Se déplaçant, ils sont ensuite allés sur un pont et ont « jeté des pavés et des pierres » sur une route très fréquentée. Les policiers ont du couper la circulation puis appeler des renforts pour « pacifier la zone ». Aucune arrestation cette nuit-là.
    Les raisons de la colère des « jeunes » ? 5 de leurs congénères avaient été interpellés quelques jours plus tôt, pour une histoire de viol collectif sur une fille de moins de 15 ans…. (source)

    En Flandres, la boulangerie de la place de Béthune à Lille existe depuis 500 ans. La semaine prochaine, Myriam et Alain Sieuw arrêtent. C’est un kebab qui prend le relais. (source)

    A Avignon, a lieu un procès avec des jeunes immigrés. Les plus malchanceux d’entre eux vont s’en tirer avec quelques mois de prison, qu’ils ne feront probablement pas.
    « Le 7 janvier 2009, Serge Juillard, qui rentrait chez lui a été ralenti par un embouteillage dû à la neige. Au niveau de la Barbière, des jeunes de la cité s’amusaient à lancer sur les voitures des boules de neige « farcies avec des pierres ». Après avoir entendu un choc, M. Juillard est sorti constater les dégâts. Il a alors été victime d’une agression sauvage. Une dizaine de jeunes l’ont insulté, fait chuter au sol et l’ont passé à tabac. »
    Il lui ont baissé son pantalon pour mieux le frapper dans les parties génitales. Ils le maintenaient écartelé pour mieux le frapper à coup de barres de fer, en commençant par la tête.
    « J’ai essayé de faire le mort mais vous savez c’est difficile », témoigne avec une vive émotion M. Juillard, aujourd’hui cloué dans un fauteuil roulant. « Ils m’ont bourré la bouche avec de la neige, j’arrivais plus à respirer. » « Aujourd’hui, son quotidien, ce sont des crises et des souffrances terribles qu’il soulage avec de la morphine et le soutien indéfectible de son épouse.  »
    Une dizaine de suspects ont été interpellés mais seulement trois ont été renvoyés devant le tribunal pour enfants. (source)
    Notons que la motivation « raciale » – si souvent invoquée contre des Français -, n’a pas été retenue par la « justice » dans cette affaire.
    Pourtant, les mots dont se souvient la victime et qui résonnent encore dans sa tête sont « Finissons cette face de craie »

    A quand la révolution nationaliste ?!

    http://www.contre-info.com/

  • États-Unis : Le gaz de schiste s’infiltre jusque dans les facs

    Autorisation de forage dans les facs, collusion entre les chercheurs et les foreurs… En Pennsylvanie, le gaz de schiste trouble la vie des universités.

    Loi sur « le développement des ressources minérales indigènes ». Contrairement à ce que son nom suggère, la loi votée par le gouverneur de Pennsylvanie Tom Corbett en octobre 2012 ne concerne pas les droits des communautés indiennes riveraines, mais certains propriétaires des sous-sols de l’Etat : précisément les 14 universités publiques de Pennsylvanie. Plusieurs d’entre elles sont en effet situées au-dessus du fameux « Marcellus shale », un des principaux gisements de gaz de schiste américains.

    Avec cette loi, les présidents d’université ont désormais la possibilité d’autoriser le forage sur leurs campus, pour en extraire du gaz ou du pétrole. L’intérêt ? Leur permettre d’augmenter leurs ressources financières, sur fond de coupes dans les budgets de l’éducation publique.

     

    Baisse des subventions aux facs

    Pour justifier cette autorisation, qui a provoqué une levée de boucliers chez des organisations environnementales et étudiantes, le gouverneur Corbett met dans la balance les réductions de ses subventions aux universités, du fait de la crise. Sur le budget 2011/2012, ces baisses ont été de 18% pour la plupart des universités. Or, la nouvelle loi réserve 50% des royalties sur le gaz des sous-sols universitaires à l’université hôte, le reste se répartissant entre l’Etat (35%) et les autres universités publiques (15%).

    Mais d’après Robert Myers, directeur des études environnementales à l’université de Loch Haven , située au dessus du Marcellus Shale, la loi a peu de chances de se concrétiser à court terme. « La baisse du prix du gaz (une des conséquences du boom du gaz de schiste, ndlr) depuis un an a conduit à un recentrement de l’activité gazière et l’industrie a actuellement peu d’intérêt à acquérir des nouvelles concessions », estime-t-il. Et l’enseignant d’ajouter : « Cette loi a tout d’une tentative boiteuse des régulateurs pour se faire de l’argent sur le boom du gaz et éviter de soutenir le système éducatif à travers des taxes. »

    A court terme, l’exploitation du gaz sous les campus de Pennsylvanie serait donc peu probable. C’est ce que semble confirmer une autre université concernée, celle de Mansfield, dont le président par intérim déclarait récemment qu’il n’y avait aucune négociation de prévue sur la fracturation. Mais qu’adviendra-t-il si le prix du gaz augmente ? Dans d’autres Etats, plusieurs universités ont déjà signé des contrats avec des compagnies d’extraction. En Virginie-Occidentale, la petite université (privée) de Bethanie a autorisé dès 2011 l’entreprise Chesapeake Energy à installer un forage sur ses terres – situées à l’extérieur du campus. Dans l’Indiana, c’est l’université publique qui a signé un accord pour étudier un forage de pétrole sur son campus. Dans ces deux exemples, une poignée d’étudiants se sont mobilisés contre ces projets, invoquant les risques sanitaires et l’impact environnemental. Mais le véritable enjeu, tant que le prix du gaz ne remonte pas, est plutôt celui des liens financiers entre les chercheurs universitaires et l’industrie du gaz, selon Robert Myers de l’université de Loch Haven.

    Frackademia : collusion entre l’industrie et les chercheurs

    La chose n’est pas nouvelle, l’argent du pétrole et du gaz afflue déjà sur certains campus, non pas en royalties, mais en subventions. Face aux risques de collusions, la plupart des universités ont voté des principes de transparence irréprochables sur le papier, mais pas toujours appliqués.

    C’est ce que vient de démontrer le centre d’études Public Accountability Initiative (PAI), aux dépens de l’université d’Austin au Texas : alors que l’université avait reçu, selon le PAI, 1,5 million de dollars (1,16 million d’euros) de l’entreprise pétrolière ConocoPhillips, son Institut de l’énergie a publié une étude très relayée par l’université, selon laquelle il n’y aurait « aucune preuve que la fracturation hydraulique pollue les nappes phréatiques ». L’université n’a eu d’autre choix que de « démissionner » le directeur de l’institut, et l’auteur de l’étude Charles Groat, car ce dernier avait notamment omis de préciser qu’il était au board(conseil) – et grassement retribué – d’une importante entreprise de forage de gaz (1). L’étude a été retirée de la circulation. Un grave manquement aux règles de transparence.

    Ce type de connivence est loin d’être isolé, souligne Robert Myers, qui rappelle qu’en Pennsylvanie et dans l’Etat de New York, des affaires similaires ont été dévoilées en 2012. Dans ce contexte, nul doute que l’étude de l’agence environnementale EPA, sur l’impact entre fracturation hydraulique et pollution des eaux de surface, sera particulièrement scrutée. Attendues pour la fin de l’année 2014, ses conclusions recevront « le plus haut niveau de revue par des pairs », précise l’agence.

    Note :

    (1) Paradoxalement, ce silence n’était pas, pour des raisons subtiles, une violation du code de conduite de l’université au moment de l’étude. Le code a depuis été modifié.

    terraeco.net  http://fortune.fdesouche.com

  • Le comte de Paris dénonce le "mariage" pour tous

    Les Hommes et les femmes sont ils égaux ?

    Un vieux sage animiste Dogon m’a dit un jour :"N’oublies pas que les civilisations disparaissent lorsque les portes de l’abîme s’ouvrent et, qu’ainsi, l’Ouragan est lâché..."

    Une fois seul, je réfléchis à notre monde actuel et particulièrement à la France qui semble déroutée vers un effondrement apparemment inéluctable. Pourquoi ?...

    Si nous ne réagissons pas avec toutes nos forces ce maelström risque de nous engloutir. Les lois actuelles tentent déjà de détruire la famille, de séparer la Femme de l’Homme et bientôt de faciliter la disparition de la vieillesse par une euthanasie acceptée.

    Il y eut au XIX° et XX° siècles de spectaculaires prises de conscience pour réfléchir à la situation des femmes et de leurs droits civiques et pour nous les hommes la nécessité de modifier notre perception et notre comportement, non seulement vis a vis de leur position, mais aussi de devoir accepter en toute justice la volonté d’une évolution vers plus de respect mutuel.

    1750 avant Jesus Christ, Hammourabi, Roi de Babylone, avait codifié et gravé dans la pierre les rapports de l’homme et de la femme dans le mariage. L’institution perdura au fil des siècles et évoluera. S’adaptant à chaque étape de l’évolution, cette magnifique complémentarité entre l’homme et la femme, dans le respect de l’autre, peut être cité en exemple au XII° siècle en France : qui ne se souvient des épouses d’ardents chevaliers, partis aux Croisades, aux quelles ils remettaient les clefs et la responsabilité du fief, et notamment de Saint Louis qui confiait la Régence du royaume à Blanche de Castille, sa mère, femme d’expérience ?

    Ne confondons pas le "mouvement pour la libération de la femme", le M.L.F., justifié et nécessaire au XIX° siècle, avec ces nouvelles "Amazones" poussées par un mondialisme sans axes, sans frontières ni critères. Elles ont participé, de leur côté, en 1995 à la conférence mondiale de la Femme à Pékin, pour se poser en victimes de l’homme, prenant appui sur les théories de l’antique J.J.Rousseau qui affirmait que l’homme naît bon et que la société le pervertit. Ce nouveau clan des Amazones aimeraient bien faire table rase de plusieurs millénaires de construction sociale pour transférer le pouvoir de décision exclusif et celui d’imaginer l’avenir à elles seules, dans une sorte de chacune pour soi.

    Cette vision, cette politique globale de construction d’un sur moi féminin est en train de prendre corps dans les projets de lois annoncés. J’ai déjà écrit sur les conséquences du mariage pour tous, qui dans un premier temps détruirait la famille et, dont les conséquences, la procréation médicalement assistée (PMA) déracinerait l’enfant sans passé. Mais n’est-ce pas le but souhaité par les néo- trotskistes ? L’école deviendrait également un instrument pour conditionner l’enfant, dés deux ans, et peut même avant dans le ventre de la mère ! Quelle liberté pour les jeunes de 14 ou 15 ans, puisqu’on leur supprime la possibilité de pouvoir s’orienter vers une carrière manuelle, alors qu’ils sont en échec scolaire renouvelé.

    Quant à la théorie du genre, celle de l’indifférenciation des sexes, des expériences ont dores et déjà lieu dans des écoles maternelles en France. On formatera nos chérubins en hermaphrodites jusqu’à leur puberté afin qu’ils puissent choisir leur appétence, leur sexe, alors qu’ils se trouvent encore dans l’ignorance de ce qu’ils sont et confrontés à ce qu’ils doivent déjà choisir. L’égalité prônée, divinisée, existe-t-elle réellement, profondément ?

    La Norvège nous répond. Elle s’était lancée dans ce mouvement d’indifférenciation des sexes. Elle avait pris des mesures politiques dans le but de mettre en place une vraie égalité entre femmes et hommes. Malgré tout l’attirail de lois, la Norvège constate qu’elle s’est fourvoyée dans une impasse. Elle revient donc au bon sens, les hommes et les femmes sont égaux, certes dans leurs complémentarités. D’après le professeur Simon Baron-Cohen, éminent psycho-pathologiste de l’Université de Cambridge, le niveau de testostérone dans le foetus détermine le sexe. Il existe donc une explication biologique à la différenciation des sexes. De plus les hommes et les femmes, malgré toutes les pressions législatives en Norvège, conservent toujours des centres d’intérêt différents et des capacités différentes et indispensables pourtant à la complémentarité, c’est là la richesse de notre humanité si diverse.

    Parlons de l’avenir de notre civilisation tellement tourmentée. Saint Exupéry avait écrit :" Il ne s’agît pas de prévoir l’avenir, mais de le rendre possible." J’ajouterai qu’il ne peut s’agir de bouleverser le présent mais de construire un avenir apaisé, seraient-ce, par miracle, les buts annoncés par certains gouvernements ? Il nous incombe à tous, Occidentaux, Françaises et Français de rendre l’avenir de nos enfants possible. Nous devons remettre de l’ordre dans la maison. S’il est juste qu’hommes et femmes puissent être égaux socialement, ils demeurent néanmoins biologiquement différents et cette différence devient une complémentarité pour construire l’avenir.

    On ne supprime pas brutalement une civilisation de plusieurs millénaires. Theilhard de Chardin disait :"le passé nous a révélé la construction de l’avenir" , oui osons construire l’avenir. Un avenir de bon sens qui ne soit pas castrateur pour quiconque. Un avenir qui détiendrait un vrai droit éthique et démocratique pour pouvoir promulguer des lois qui ne puissent tendre à manipuler les êtres humains, mais à les respecter. Un avenir qui nous enseigne notre Histoire, notre langue et ne creuse pas la tombe de notre culture. Osons encourager la recherche et l’apprentissage car il est honteux d’assister sans rien faire aux vagues successives du chômage. Souhaitons que les Gouvernements d’aujourd’hui comme de demain aient l’intelligence de comprendre qu’on ne vole pas aux gens leur liberté d’être et de faire.

    Henri, Comte de Paris, Duc de France - IMRF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Les droits de l'homme en France : et les cathos ?

    Aujourd'hui a été révélé le rapport 2012 de la Commission nationale consultative des droits de l’homme. Dans les commentaires autorisés sur cette étude bien encadrée, on lit :

    " la commission recense 53 actes et 148 menaces islamophobes commis en 2012".

    "La méfiance à l'égard des immigrés augmente également: 69% des personnes interrogées par l'institut CSA déclarent qu'«il y a trop d'immigrés» en France, soit une hausse de 10 points par rapport à 2011. Un sentiment partagé par une part croissante des sympathisants de gauche (51% contre 40% en 2011), et, fait nouveau, par une majorité des personnes de nationalité étrangère vivant en France (51%)".

    ou encore Libération qui titre : "Les actes racistes et antisémites en hausse".

    Et sur les catholiques, sur les centaines d'actes de profanation et de vandalisme dont sont l'objet les églises et les cimetières catholiques? Rien! Et pourtant ils sont nombreux : ce site qui depuis tant d'années recensait ces agressions, semble avoir cessé ce dénombrement macabre qu'il serait pourtant si juste de poursuivre (des volontaires?).

    Mais notez en plus que c'est normal d'omettre ces méfaits comme le précise la page officielle de la commission :

    "Aux termes de la loi du 13 juillet 1990, la CNCDH a l’obligation, chaque année, de présenter au premier ministre un rapport qui recense les manifestations de racisme, d’antisémitisme et de xénophobie, ainsi que les moyens de lutte mis en œuvre dans notre pays pour les combattre". 

    La loi n'oblige donc pas de rapporter quoi que ce soit qui concerne les chrétiens... ou les musulmans. Mais l'islamophobie a droit de cité dans le dernier rapport annuel. Les seuls oubliés finalement, ce sont les chrétiens, pourtant victimes sur le sol de la Fille aînée de l'Eglise des plus nombreux et plus vils actes de haine (Voir l'excellent observatoire de la christianophobie de Daniel Hamiche). Mais ce n'est pas nouveau, on a toujours voulu chasser Dieu de la Patrie des droits de l'Homme.

    http://lesalonbeige.blogs.com

  • Taubira au secours d’Aubry

    Comme par hasard, Marie-Odile Bertella-Geffroy, le juge d'instruction en charge du dossier de l'amiante impliquant Martine Aubry, a été dessaisi de ses fonctions, lundi dernier par Christiane Taubira. L’indépendantiste guyannaise continue de faire le vide. (voir aussi l’article du Gaulois)
    Motif : le magistrat ferait l’objet d’une règle administrative limitant à 10 ans les fonctions de « juge spécialisé » pour les fonctionnaires nommés après le 1er janvier 2002.
    Problème : le magistrat en question était déjà « juge spécialisé » avant cette date.
    Mais la Garde des Sceaux affirme que « la décision n’a rien de politique ». Ben voyons, qu’alliez-vous donc penser ?...
    Dans la foulée, Madame le juge a donc annoncé son intention d'attaquer cette décision devant le Conseil d'État. Sa possible mutation avait pris un tour politique avec la mise en examen, en novembre dernier, de l'ancienne première secrétaire du PS Martine Aubry pour homicides et blessures involontaires.

    Martine Aubry est poursuivie en tant qu'ancien haut fonctionnaire du ministère du Travail entre 1984 et 1987, dans le cadre de l'enquête sur l'exposition à l'amiante de travailleurs de l'usine Ferodo-Valeo de Condé-sur-Noireau (Calvados). Le magistrat lui reproche de ne pas avoir pris les mesures qui auraient permis d'éviter les conséquences dramatiques de cette exposition. Martine Aubry a contesté sa mise en examen fin février devant la cour d'appel de Paris, qui rendra sa décision le 17 mai.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Les bourgeois socialistes

    En 1981, au lendemain de l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République, on avait assisté à un phénomène extraordinaire, que je n’ai encore pas vu étudié dans les livres de sociologie, mais qui aurait pourtant mérité une analyse approfondie. Du jour au lendemain, la France, jusqu’ici divisée en deux parties à peu près égales, se retrouvait avec une très large majorité à gauche. Aux législatives qui ont suivi, on avait alors parlé de raz de marée, de vague « rose ». Quelques jours auparavant on ne parlait même pas encore de gens de gauche ou de peuple de gauche. On utilisait le mot « gauchiste » pour les désigner, avec le ton et la manière adéquats pour mieux les ranger dans le camp des intouchables. Tout d’un coup, les français se sont réveillés coiffés de leurs bonnets phrygiens jusqu’ici rangés dans leur mémoire, ressuscitant en eux de vieux thèmes révolutionnaires bien balisés : la Révolution Française de 1789, les trois glorieuses, la révolution de 1848, la Commune, le Front Populaire de 1936, et même le pas si lointain Mai 68. Fini Giscard-Barre, vive la fraternité et le partage des richesses.

    Il ne s’agissait que de cela, en fait : partager les richesses. Tout le monde voulait sa place dans la société de consommation, et les socialistes ont promis de faire le nécessaire pour que cela soit. Pour arriver au pouvoir ils avaient concocté mille recettes leur permettant de remporter l’adhésion à une société encore plus consumériste. Après les élections, je me rappelle une conversation dans laquelle un ami disait d’un autre qu’il n’était qu’un bourgeois socialiste. A l’époque, cela équivalait à une insulte pour ceux qui avaient voté à gauche. Pour eux, la bourgeoisie était l’ennemi à abattre. Et pourtant c’était le cas ; il s’agissait bien d’un bourgeois socialiste.

    La gauche bourgeoise des années 80 est celle qui règne aujourd’hui sur la France. Elle peut se définir en quelques mots : c’est la bourgeoisie avec des habits de gauche. Pour les bourgeois de gauche, l’humanisme, l’égalité, la justice, le partage ou encore la solidarité, ne sont que des mots que l’on peut interpréter à sa guise et même en inverser le sens. Ce qui importe, ce n’est pas le vrai sens des mots, mais se définir et être défini comme un adepte de ces mots. Parfois même ils vont jusqu’à militer pour les défendre ou les imposer.

    Ainsi quand un militant de la gauche bourgeoise va prôner la solidarité, c’est pour réclamer la solidarité des autres. Lui, se considère comme solidaire. Il veut que les autres partagent, mais lui n’a pas assez pour partager. Il réclame la justice et veut que toutes les fautes des autres soient punies, les siennes, en revanche, ne méritent pas l’attention, n’étant que des fautes vénielles nécessaires pour survivre dans cette jungle de menteurs, voleurs, roublards et autres petits malins. Quant à son humanisme, il s’arrête à sa porte. Les autres peuples du monde ? On ne peut pas accueillir toute la misère du monde. Le commerce équitable ? Le pouvoir d’achat, la crise, la croissance, et tout ça… il faut d’abord régler les problèmes internes… Sans oublier la chère liberté d’expression, la leur, bien sûr, et seulement la leur, car pour les autres, une nécessaire surveillance s’impose.

    D’ailleurs le mot même « humanisme » n’est revenu à l’usage que tout récemment. Il avait été occulté par d’autres expressions plus à la mode telles que : niveau de vie, salaires, économie, pouvoir d’achat, etc… Comment n’a-t-on pas vu ce que ce terme « pouvoir d’achat », c’est-à-dire pouvoir acheter, portait de néfaste à long terme ? Lutter et organiser sa vie, juste pour pouvoir acheter, ou se définir en fonction de sa capacité à acheter, ne pouvait que mener à ce que nous vivons aujourd’hui. Ca annonçait surtout une dépendance irréversible vis-à-vis de l’argent, donc vis-à-vis de ceux qui le détiennent et de son système de production. Les bourgeois de gauche n’ont pas vu le piège. Au contraire, ils ont cherché à modifier la société et l’état pour coller à leur mentalité.

    Pour satisfaire leurs exigences (et il y en a des yaka faucon), il leur fallait un gouvernement fort et déterminé, capable de contraindre les autres de remplir leurs devoirs. Leurs exigences ne sont-elles pas nobles ? Toute résistance à la contrainte qu’elles engendrent est un signe d’incivisme, en plus d’être hors-la-loi. D’ailleurs, comment peut-on refuser de si nobles buts si on n’est pas un monstre d’égoïsme, de laideur, de vilenie, bref un salopard et un facho. Oui facho. C’est ainsi qu’ils dénomment tout ce qui n’est pas eux. Ce faisant, ils dévoilent, sans s’en rendre compte, leur vraie nature autoritaire, intolérante et dictatoriale. N’était-ce pas cela le vrai fascisme ? Il est curieux de constater que beaucoup des « intellectuels de gauche » des années 70-80 avaient pour référence des systèmes dirigistes et autoritaires. On trouvait parmi eux des maoïstes, des trotskystes, des léninistes, et diverses autres tendances toutes orientées vers des politiques d’états forts. En revoyant aujourd’hui des Glucksmann et des BHL, qui ne sont que des spécimens parmi tant d’autres, on a une parfaite illustration de ce qu’est la gauche bourgeoise.

    Si on enlève tous les mots dont se drape cette gauche, que reste-t-il ? On constate tout d’abord qu’ils sont souvent plus à droite que la droite française classique. Les mots ne leur avaient servi qu’à cacher cette vérité. Ils sont, comme nous l’avons dit, fervents défenseurs d’un certain type de totalitarisme où seuls l’état et les élites peuvent décider pour tout le monde. Elitistes jusqu’au bout des ongles, ils considèrent les citoyens lambda comme quantité négligeable, pour ne pas dire « tous des cons ». C’est aussi une manière de se démarquer de la « populace ». Ils n’hésitent pourtant pas, quand le besoin s’en fait sentir, à s’habiller des mots de cette populace qu’ils méprisent, pour mieux l’utiliser ou l’écraser pour monter encore plus haut dans leurs ambitions. A un certain niveau de l’échelle, les mots n’ont plus besoin d’être sortis que pour les grandes occasions, les occasions électorales, par exemple. Point trop n’en faut, ne serait-ce que pour préserver d’autres liens tissés avec d’autres élites qui ne sont pas forcément du même bord. En effet, à ce niveau, toutes les élites finissent par se rejoindre dans le même cénacle, pour une même quête du pouvoir. Là, il n’y a plus de solidarité, plus de partage, plus de protection des plus faibles et autres grandes idées. Il n’y a plus que des personnes occupées à se maintenir au pouvoir ou déterminées à le conquérir.

    Ils ne s’en cachent même pas. Tout le monde peut le voir et pourtant, à chaque fois qu’ils revêtent leurs habits mensongers, ils réapparaissent comme des anges descendus du ciel apportant la bonne parole. Drôle de société.

    Avic http://www.agoravox.fr

    Réseau International

  • Occupez-vous du bien être des Français…pas des « communautés » !

    Bruno Gollnisch sera bien évidement présent ce dimanche 24 mars à la « Manif pour tous », comme des milliers d’électeurs, de  sympathisants du Front National, des dizaines de cadres et  d’élus  du  Mouvement de Marine Le Pen,   pour ce nouveau  rassemblement à Paris contre le mariage, l’adoption, la PMA, la GPA pour les couples homosexuels.  A cette occasion, Bruno donne rendez-vous à nos amis  80 avenue de la Grande Armée,  devant la brasserie Le congrès à 14 H.  Un projet   adopté par la commission des lois du Sénat  a relevé mercredi le secrétaire général adjoint du FN   Nicolas Bay,  « grâce » au vote favorable de deux sénateurs UMP, Christophe-André Frassa et Christian Cointat…

      Une loi Taubira, d’essence communautariste,  comme l’était déjà la précédente portant son nom de mai 2001,   qui reconnaissait  la traite négrière et l’esclavage comme crimes contre l’humanité. Loi de repentance  invitant les Français  à battre leur coulpe. Il s’agit cette fois sous couvert de progressisme,   de  flatter  un lobby   gay qu’il  ne faut pas  confondre avec la majorité des homosexuels, hostile à cette loi et revendiquant avant tout le droit à l’indifférence. Le PS nous l’avions souligné,  s’inspire des conseils du club de réflexion Terra Nova qui l’a invité à  répondre plus avant  aux souhaits  des « minorités » et des « communautés organisées », sexuelles, religieuses, ethniques ; un  gage de sa survie électorale    au fur et à mesure que le  peuple français « traditionnel »  qu’il a trompé se détourne de lui.

     Reflexe communautariste  qui imprègne plus  largement les partis du Système dont les représentants étaient donc,  comme chaque année,  nombreux à se presser le 19 mars au traditionnel dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France ( Crif), qui prétend lui aussi, bien faussement  d’ailleurs, parler au nom de l’ensemble des juifs de France.

    Son président  en partance,  Richard Prasquier,  sans originalité mais  en toute logique, a exhorté la classe politique à défendre  l’Etat d’Israël,  a loué    le « sionisme », dénoncé « l’antisémitisme » et « l’islamisme radical »  devant une  dizaine de ministres en exercice.  Manuel Valls,  Laurent Fabius, Vincent Peillon, Christiane Taubira, Pierre Moscovici, Najat Vallaud-Belkacem côtoyaient  des dizaines d’anciens ministres, des personnalités comme  Simone Veil, Arno Klarsfeld, Michèle Alliot-Marie, Harlem Désir,  Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé,  Anne Sinclair, Jean-Louis Borloo ou encore  Patrick Devedjian.

    Le président Israélien Shimon Peres avait tenu le même discours devant les parlementaires européens à Strasbourg  le 12 mars dernier, M.  Prasquier a cependant  fustigé la « frilosité » et la « faiblesse » de la  France dans son  refus d’inscrire le Hezbollah au  nombre des organisations terroristes et recommandé de redoubler  de fermeté vis-à-vis de Téhéran et de la menace du nucléaire iranien.

     Pour sa première intervention en tant que président de la république, François Hollande a prononcé  un discours convenu, peu ou prou ceux de ses prédécesseurs à l’Elysée. Il a  réaffirmé que  la lutte contre l’antisémitisme passe par l’éducation et l’enseignement de la Shoah qui « doit pouvoir être enseignée partout, dans tous les collèges et les lycées de France, dans nos villages, dans nos cités, dans nos banlieues ». Il est clair que cette précision vise  les écoles des quartiers pluriels ou de nombreux professeurs pratiquent l’autocensure sur un certain nombre de sujets et de périodes pour éviter les conflits

     M. Hollande s’est arrêté  aussi sur le cas   des « tweets antisémites »,  expliquant  qu’il « ne peut y avoir d’impunité pour les auteurs racistes et antisémites ». Ils « doivent savoir qu’ils seront poursuivis et condamnés pour leurs agissements ». Le chef de l’Etat évoquait ici les derniers développements de l’affaire qui avait éclaté en octobre dernier avec le concours de blagues   généré  par le  hashtag #Unbonjuif  sur Twitter.   Selon plusieurs associations dites  antiracistes, ce hashtag  aurait été l’occasion « de toutes sortes de tweets et de retweets ouvertement antisémites ».

     Force est de constater en effet que si humour il y avait  ici, il nous est très largement étranger notions nous alors.  Mais l’association proche du PS,  l’Union des étudiants juifs de France (UEJF),  a décidé de surfer médiatiquement  sur cette affaire. L’UEJF  a  annoncé  qu’elle attaquait au pénal Twitter et son président Dick Costolo et qu’elle  réclamait 38,5 millions d’euros de réparations (!),  pour ne pas avoir répondu à la demande de la justice française d’identifier les auteurs de tweets antisémites. Sur les réseaux sociaux,  certains   avancent   que ce refus de la  direction de Twitter   fait partie intégrante de la philosophie américaine de cette entreprise qui  refuse pareillement de donner aux autorités des pays où la liberté d’expression est réprimée, comme en Chine  par exemple, les noms des auteurs de tweets professant des opinions  dissidentes.  

    Le discours de M.  Hollande entendait aussi répondre aux propos de Richard Prasquier faisant état d’un récent rapport d’une structure appelée  Service de Protection de la Communauté Juive (SPCJ), selon laquelle le nombre d’actes antisémite a augmenté de 58% en 2012  (614 actes antisémites, dont 96 violences contre des individus),   et au rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH),  qui estime que l’intolérance s’installe de manière «préoccupante».

     La CNCDH indique une  « augmentation toujours plus marquée de la méfiance à l’égard des musulmans »  et « un rejet croissant des étrangers, perçus de plus en plus comme des parasites, voire comme une menace ». Un an après   l’équipée sanglante de Mohammed Merah et en pleine polémique sur le refus du footballeur Karim Benzema de chanter la  Marseillaise,   55 % des personnes interrogées estimeraient  que « les musulmans forment un groupe à part dans la société » (+ 4 points par rapport à 2011 et + 11 points par rapport à 2009).  69 % des sondés  déclareraient aussi qu’ « il y a trop d’immigrés aujourd’hui en France », soit + 10 points par rapport à 2011 et + 22 points par rapport à 2009.

    La Commission établit ainsi un lien entre le résultat de ce sondage et ce qui serait une  « une forte augmentation » (+ 23 % en 2012) « des actes et menaces à caractère raciste et antisémite ». 1 539 actes et menaces ont été dénombrés par les services de police et de gendarmerie l’an passé. Mais la CNCDH distingue le « racisme », en « relative stabilité » (+ 2 %) du « racisme anti-musulman » (+ 30 %) et de l’ « antisémitisme » (+ 58 %, pourcentage identique à celui avancé par la SPCJ ). « Cette vraisemblable hausse des actes antisémites restera à confirmer en 2013 », a souligné lors d’une conférence de presse Christine Lazerges, présidente de la CNCDH, faisant état d’ « indicateurs insatisfaisants ».

    S’agissant de l’antisémitisme et du racisme anti-musulman, la CNCDH pointe  « l’existence de pics » entre mars et avril, dans la foulée de l’affaire Merah. « Face à une situation économique et sociale extrêmement tendue, ce sont bien les Noirs, les Arabes, les Juifs, les femmes et les homosexuels, qui deviennent les premières victimes de la conjoncture », a réagi le pseudopode socialiste  SOS racisme dans un communiqué qui, comme d’habitude, tord la réalité des faits pour la plier au chantage idéologique dont cette officine est coutumière.

    Pas en reste, dans ses propositions  le CNCDH  appelle les pouvoirs publics « à trouver les moyens pour lutter contre les préjugés », et ce, « dès la crèche et l’école maternelle » ! Ne doutons  pas que le ministre Peillon, chantre la « morale laïque »,  a reçu cinq sur cinq un message qui recoupe ses préoccupations intimes. Mais est-il encore possible d’intensifier encore plus la propagande gouvernementale sur le sujet ? Aussi surprenant que celui puisse paraître, il faut croire que oui…avec les limites évoquées plus haut en ce qui concerne l’enseignement de la tolérance dans  les quartiers pluriels qui selon les humanistes au pouvoir sont l’avenir de la France métissée

    Plus justement constate Bruno Gollnisch,   et pour évacuer les mauvais fantasmes (intéressés)  des politiciens et des structures en question, la violence  dont il est fait état ici n’est pas comparable avec le développement du  racisme anti-français autrement plus prégnant mais qui n’intéresse pas la caste au pouvoir,  et  d’une criminalité violente en pleine expansion  dans notre pays en voie  d’ensauvagement rapide.

     Les menaces et agressions évoquées par   le Crif et  le CNDCH,   et que nous condamnons bien évidemment  au-delà même de toute  polémique sur leur réalité,  s’inscrivent plus largement dans un contexte ou selon les données fournies par Laurent Obertone,   13 000 vols, 2 000 agressions, 200 viols sont  commis quotidiennement en France. Selon  l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP)  « les violences aux personnes ont augmenté de 14 % depuis 2005.  Moins de parlotte, d’hypocrisie, de démagogie  et de dîners mondains, mais plus d’actions efficaces  pour s’attaquer aux problèmes du quotidien, c’est cela qu’attendent les Français.

    http://www.gollnisch.com

  • Video de la cérémonie des « Bobards d’Or » 2013


    Les Bobards d'Or 2013 de la Fondation Polémia par Agence2Presse

  • « C’est le Far West et le retour des attaques de diligences »… à

    150 crimes et délits par jour sur le réseau ferré d’IDF.

    En une année, environ 10.000 faits de délinquance sont déclarés dans les bus et plus de 55.000 dans le métro ou le RER. Jean-Marc Leclerc, journaliste au Figaro, fait lepoint.

    L’affaire de Grigny jette une lumière crue sur l’insécurité dans les transports en commun en région parisienne. Le phénomène des actions collectives n’est pas nouveau. Sous Nicolas Sarkozy, la préfecture de police de Paris avait dû juguler les débordements des groupes qui s’étaient illustrés gare du Nord en mars 2007.

    Par ailleurs, en 2009, des membres du gang Def-mafia, qui avaient mis en coupe réglée le quartier du centre commercial des Quatre Temps et la gare RER de la Défense, avaient été déférés et jugés. Le climat s’était ainsi apaisé sous l’effet d’un «plan antibandes», suivi à la loupe par le préfet de police d’alors, Michel Gaudin.

    Mais l’accalmie n’a eu qu’un temps. Comme l’a révélé Le Figaro , de janvier à novembre 2012 (période assez longue pour être significative), les crimes et délits ont augmenté de 1,7 % dans le réseau ferré d’Ile-de-France et de 18 % dans les bus.

    A ce rythme, en une année, cela correspond à environ 10.000 faits de délinquance déclarés dans les bus et plus de 55.000 dans le métro ou le RER, soit environ 150 par jour.

    En janvier 2013, tous les indicateurs importants sont passés au rouge

    Les vols à la tire ont littéralement explosé de plus de 20 % en un an. Ce qui représente plus de 40 vols à la tire par jour en moyenne, rien que dans le réseau ferré. Mais pour la police parisienne, le phénomène a surtout été amplifié par la suractivité de la délinquance mineure roumaine et bulgare, que la justice peine à sanctionner.

    La violence, en revanche, obéit à des évolutions plus contrastées. Les vols avec violence, par exemple, souvent liés au phénomène des bandes, avaient plutôt tendance à diminuer en 2012 (environ 6 % sur onze mois). Tandis que les agressions contre le personnel des rames montaient en flèche: + 25 % à la RATP et même + 50 % à la SNCF!

    En janvier 2013, la statistique officielle s’est mise à s’affoler. Tous les indicateurs importants sont passés au rouge dans les réseaux ferrés d’Ile-de-France, hormis les dégradations volontaires et les atteintes sexuelles.

    Les vols à la tire ont crû de 43 % en un mois, les vols simples de 25 %. Tandis que les violences connaissaient une hausse de 2 % environ.

    Le département de l’Essonne, où s’est déroulée l’attaque de Grigny, n’est pas le plus exposé d’Ile-de-France. La Seine-Saint-Denis ou les Hauts-de-Seine recensent chaque mois deux fois plus de faits délictueux. Mais Grigny est un point de fixation des bandes parmi les plus dures d’Ile-de-France. Lors des émeutes de 2005, 30 policiers y furent blessés, à la cité de la Grande Borne. Un des agents fut même atteint par des plombs de chasse. Deux ans avant la retentissante affaire des tirs contre la police lors des émeutes de Villiers-le-Bel(Val-d’Oise).

    Jean-Marc Leclerc  http://www.polemia.com
    Le Figaro. Fr
    20/03/2013

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