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lobby - Page 2373

  • Pour Frigide Barjot, invitée au congrès de l’UOIF, les musulmans représentent « une espérance »

    PARIS (NOVOpress) – S’il est bien une chose que l’on puisse dire au sujet des dernières déclarations de Frigide Barjot, c’est qu’elles sont particulièrement sidérantes, mais in fine peu étonnantes. Ainsi, elle a déclaré lors du dernier congrès de l’UOIF, en s’adressant aux musulmans : « Vous êtes notre espérance ! » (image ci-dessus). Une déclaration « d’amour » et de soutien qui fait déjà sortir de leurs gonds des militants de La Manif pour tous.

     

    Et ce d’autant qu’il ne s’agit pas d’un montage ou de propos tronqués. En effet ces propos et cette photo ont été publiés sur le compte Twitter de l’équipe de Frigide Barjot, et cette dernière les a repris sur son propre compte.

    Des déclarations qui risquent de ne pas plaire à une bonne part des partisans de La Manif pour tous, dont le catholicisme – pratiqué ou de « culture » – ne semble donc pas être motif d’espérance pour Frigide Barjot.

    Cependant, contrairement à ce que certains pensent au sujet de ces déclarations, il ne s’agit pas d’une stratégie de communication bien pensée, un billard à trois bandes bien conçu. Non, très sincèrement, Frigide Barjot est dans le droit fil de sa conception (et de beaucoup d’autres qui lui sont proches) d’une France black-blanc-beur – qui n’existe pas… – unie par la morale naturelle présente au sein de toutes les religions. Un moyen pour elle de faire cesser les accusations de collusion avec ce loup-garou médiatique qu’est l’extrême droite…

    Petit hic, Frigide Barjot a semble-t-il oublié que bon nombre de particpants du congrès de l’UOIF sont dans le droit fil des Frères musulmans – Novopress est déjà revenu dessus plusieurs fois – qui, le moins que l’on puisse dire, ne combattent pas « l’homophobie » comme l’exige Frigide Barjot de La Manif pour tous…

    Mais surtout, elle commet une grave erreur de communication et de stratégie, comme l’expliquent Roman Bernard, via son blog Criticus, et Polémia précédemment  – au moment de la manifestation du 13 janvier, Jean-Yves Le Gallou avait reproché à Frigide Barjot de céder à  « l’idéologie médiatique ». Erreur qui vise à légitimer le discours de l’adversaire et à se soumettre à son jugement à son bon-vouloir. Or, rester ainsi, c’est s’abonner à organiser des rassemblements qui ne serviront à rien et risquent de démobiliser très rapidement les opposants à la loi Taubira…

    http://fr.novopress.info

  • Comité d'accueil de Madame Bertinotti hier matin à Rennes

    Au Théâtre National de Bretagne (Ouest-France en parle) :1
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    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Des réseaux criminels à l’assaut de nos allocs ! Faire des économies ? Chiche !

    Pour conclure (très provisoirement) notre série sur les économies possibles à réaliser en France, « Minute » se penche sur le puits sans fond des arnaques aux aides sociales. Loin de ne concerner que de petits fraudeurs, notre système social est la proie de groupes criminels organisés, originaires de pays du tiers-monde. Avec 20 milliards d’euros de préjudice l’année dernière, voilà un secteur où le gouvernement pourrait facilement trouver les 6 milliards d’euros nécessaires pour boucler son budget…

    L’arnaque a été découverte il y a quinze jours, en Seine-Saint-Denis. C’est l’histoire d’un gérant de société d’ambulances, Saïd Samir, qui employait de faux brancardiers et facturait des courses fictives pour se faire « rembourser » par la Sécurité sociale. Pendant plus de deux ans, l’escroc d’origine marocaine et son frère, à la tête de quatre sociétés différentes, ont piloté un mini-ré seau bien rodé: l’arnaqueur embauchait des brancardiers agréés avant de les licencier au plus vite, tout en conservant leur numéro d’agrément. Il faisait ensuite appel à des immigrés illégaux qui utilisaient lesdits numéros… mais n’effectuaient pas la course [l'arnaque à la Sécurité sociale est de 1,65 million d’euros]. L’Urssaf de son coté estime son préjudice à plus de 500.000 euros. Les services de lutte contre la fraude aux prestations sociales ont évidemment mené une enquête, mais une bonne partie de l’argent détourné dormait déjà à l’abri, dans des banques marocaines.

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    [Campagne audio de la CAF contre la fraude. Là ils sont trois . Il y a Jennifer comme sur l'affiche mais aussi  Sylvain son mari et devinez… ou écoutez... mais bien sûr, c'est Paul.

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    L’arnaque de Saïd Samir n’est hélas qu’un exemple parmi les milliers d’autres voyous qui pillent le système social français. RMI perçus dans plusieurs départements par un seul individu, faux malades, personnes mariées bénéficiant de l’allocation pour personne isolée, certificats médicaux de complaisance, faux chômeurs, titres de séjour bidon ouvrant droit à des aides… Selon un alarmant rapport parlementaire présenté par le député (UMP) des Bouches-du-Rhône Dominique Tian et consacré aux moyens de contrôle des aides sociales, le montant net des fraudes s’élève à 20 milliards d’euros – dont 17 milliards pour les assurances chômage – et représente 10 % du budget de la Sécurité sociale!

    Le plus grave, selon le commissaire Fougeray, ancien patron du groupe d’intervention régionale (GIR) des Yvelines, c’est qu’à côté des nombreux resquilleurs individuels, des réseaux mafieux extrêmement organisés sont désormais en train de mettre à sac le modèle d’Etat-providence des pays développés: « Pour les voyous, le calcul est vite fait. La fraude sociale est plus rentable et moins risquée que le trafic de drogue et les braquages. »

    Ces groupes, originaires du tiers-monde, profitent des failles de la mondialisation pour étendre leurs réseaux en Europe via leurs diasporas. Selon Christian Kalck, chef de la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA), « il n’est pas rare de trouver à la tête de ces réseaux des individus issus du grand banditisme, voire évoluant dans la mouvance terroriste ».

    De fausses fiches de paie au salaire très généreux

    Loin du petit fraudeur d’occasion, ces criminels développent des méthodes quasi industrielles. L’un des plus grosses prises de la BRDA fut ainsi le démantèlement, il y a quelques années, d’un réseau de fraudes aux indemnités chômage s’appuyant sur plus de… 6000 sociétés fantômes émettant des bulletins de paye fictifs!

    Plus récemment, un escroc « marseillais » avait créé plus de 200 fausses entreprises, puis licencié 2400 employés tout aussi inexistants afin d’empocher leurs indemnités chômage, pour un préjudice (bien réel) de 20 millions d’euros!

     

    Selon le commissaire Fougeray, ces fraudes à l’assurance chômage s’appuient sur des « kits Assedic », grâce auxquels « des personnes se prétendent licenciées par des sociétés pour lesquelles elles n’ont, en fait, pas travaillé et qui souvent n’ont aucune activité ».

    Le point de départ de la fraude est donc la constitution d’une société fictive. Légalement immatriculée, cette société ne sert qu’à générer des opérations frauduleuses, à commencer par la perception des indemnités de chômage, mais sans négliger, évidemment, d’autres infractions: escroqueries au crédit, blanchiment d’argent sale, etc.

    Dominique Tian évoque aussi le cas d’entreprises « ayant une activité commerciale effective mais sans commune mesure avec le nombre de salariés qui prétendent y avoir été employés ». Dans d’autres cas, les kits Assédic sont remis, en guise de rémunération, à des personnes qui ont travaillé dans une entreprise, mais sans avoir été déclarées. D’autres, par le bouche-à-oreille, parviennent à acheter un kit Assedic comportant contrat de travail, bulletins de salaire et lettre de licenciement, qui leur permet alors de bénéficier d’allocations chômage. Les aides correspondant à 70 % du salaire brut durant un an, puis 60 % la deuxième année, les fausses fiches de paie annoncent souvent des salaires généreux, permettant de vivre confortablement aux crochets des contribuables.

    Ainsi, il y a quelques mois, le tribunal correctionnel de Pontoise a condamné treize escrocs à des peines de six mois à trois ans de prison pour avoir escroqué les Assedic à hauteur de 600000 eu ros! Le réseau avait été démantelé à l’issue d’une enquête lancée après la liquidation judiciaire d’une entreprise dépourvue de documents comptables. L’enquête, me née par la police judiciaire avec le GIR du Val-d’Oise, a permis de mettre la main sur une cinquantaine de faux dossiers déposés par des racailles de Seine- Saint-Denis, du Val-de-Marne et du Val-d’Oise.

     Il arnaque la Sécu pour financer une mosquée

    La création de ce genre de « sociétés-écrans » est désormais pratiquée de façon intensive. Une étude de l’Unédic (organisme chargé de l’assurance chômage) a mis en lumière les dérives de la « multigérance ». Elle évoque par exemple le cas de « 10 personnes assurant (ou ayant assuré) la gérance de 651 sociétés » ou « 20 personnes assurant la gérance de 2112 sociétés »!

    Et la situation n’est pas moins préoccupante avec l’Assurance maladie ou les aides sociales. Le commissaire Fougeray évoque le cas d’un médecin tunisien mis en examen pour « escroquerie en bande organisée » au préjudice de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM). Les contrôleurs se sont lancés sur la piste du toubib indélicat en constatant un beau jour que là où un médecin procède en moyenne à 40 consultations par jour, ce dernier en faisait… 147, six jours par semaine! Après enquête, « Le Figaro » a révélé que le suspect était « connu de la communauté musulmane pour prescrire des arrêts et traitements de complaisance à des assurés de la France entière, bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU) ». Mais il ne s’arrêtait pas là : « En contrepartie, il conservait la carte vitale de ses patients quelques jours et faisait de fausses consultations, la nuit ou les jours fériés ». Avec un chiffre d’affaires de 1,2 million d’euros, il pouvait donc jouer les bienfaiteurs de l’islam, car, dixit « Le Figaro », « une partie des fonds aurait servi à financer une mosquée au Sénégal ».

    Le remboursement des médicaments par la Sécurité sociale est également à l’origine de juteux trafics. Le principe est simple. Des patients se font prescrire des traitements dont ils n’ont pas besoin, puis les expédient à l’étranger, où ils sont ensuite revendus. Le Subutex, substitut de l’héroïne, figure parmi les produits les plus prisés. Consommé à haute dose, ce médicament a en effet les effets d’une drogue, mais coûte beaucoup moins cher. Il fait donc l’objet d’un trafic d’autant plus lucratif que les trafiquants se font « rembourser » par la Sécu la marchandise qu’ils revendent par ailleurs! Ici aussi, les quantités écoulées donnent le vertige et révèlent l’implication de réseaux structurés à l’échelle internationale. Le 15 mars dernier, Déborah Dangla, jeune femme de nationalité française, a été condamnée à 17 ans de prison par la Cour suprême de l’île Maurice: elle transportait plus de 6000 pilules de Subutex dans ses bagages! Plusieurs Français accusés de s’être livrés à un tel trafic sont d’ailleurs détenus à Maurice, où le Subutex fait l’objet d’un vaste trafic. Farah Nachi, originaire de région parisienne, avait ainsi été arrêtée, le 9 décembre 2011 à l’aéroport de Plaisance, avec près de 9600 cachets de Subutex. De manière globale, en 2011, les douanes françaises ont intercepté 65 000 boîtes de médicaments illicites à Roissy.

    Les fraudes au RSA, aux allocations familiales et aux aides en tous genres sont de toute évidence moins risquées… Là encore, l’arnaque à grande échelle repose sur la possibilité de se procurer de faux papiers pour ouvrir un compte et… échapper à d’éventuelles poursuites! On peut se procurer une carte d’identité de mauvaise qualité pour 300 euros dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Il faut compter dix fois plus pour un document faisant illusion. En 2010, au moins 25000 escrocs ont usurpé une identité dans le but d’ouvrir frauduleusement un compte bancaire puis toucher des prestations sociales (avec, au passage, quelques juteux crédits à la consommation). Selon Arnaud Naudin, criminologue au département de recherches des menaces criminelles contemporaines (MCC) de Paris, « le taux de fraudes franchit désormais la barre des 6 % concernant les pièces administratives présentées pour obtenir des aides sociales ».

    « Plus nous contrôlons, plus nous trouvons »

    Selon lui, « le sujet est politiquement incorrect car il met en cause des personnes en difficulté financière, des précaires, des immigrés et des chômeurs, note le criminologue. A ce titre, les responsables des caisses d’assurances familiales ne veulent pas voir cet te réalité en face et ont tendance à esquiver quand des élus de la représentation nationale viennent demander un état des lieux. Pourtant, les fraudes s’exercent aujourd’hui à une échelle industrielle. »

    Face à « un système social basé sur la confiance et la solidarité », pour reprendre les mots de Christian Jacquier, président du Reso-Club (cercle de lutte contre la fraude identitaire), le nombre des escroqueries explose. La Cour des comptes estime que la fraude aux prestations sociales, toutes branches confondues, s’accroît chaque année de 2 à 3 milliards d’euros pour le régime général de la Sécurité sociale. Toutefois, le montant exact est par nature impossible à connaître. Voici quelques années, Jean-Pierre Revoil, secrétaire général de l’Unedic, admettait que les fraudes constatées ne représentaient « sans doute que la partie visible de l’iceberg », car, précisait-il, « plus nous contrôlons, plus nous en trouvons ».

    Une loi du 14 mars 2011 renforce le dispositif de lutte contre les fraudes en matière sociale en permettant notamment aux agents assermentés des organismes de sécurité sociale et à ceux des impôts de s’échanger tous renseignements et tous documents utiles pour confondre les contrevenants. Toutefois, de l’avis général, le problème ne pourra être réglé sans un changement dans les mentalités. Pour ce la, il faut persuader les agents de rejeter le schéma victimaire voulant que la fraude serait le fait de malheureux contraints d’enfreindre la loi pour survivre, alors que notre système social est la cible d’un véritable hold-up de la part de bandes criminelles résolues à le piller pour réinvestir leurs gains dans le terrorisme islamiste ou d’autres activités criminelles.

    Simultanément, il faut convaincre le législateur qu’il est désormais vital de verrouiller le système social de manière à contrer les bandes organisées qui s’y servent à pleines mains. Nous n’y sommes pas encore: une proposition de loi relative à la lutte contre les fraudes aux prestations sociales a été déposée le 13 mars à l’Assemblée nationale, par le député UMP de Gironde, Yves Foulon. Son projet prévoit « la suppression définitive des allocations sociales pour tout fraudeur récidiviste ». Autrement dit, il s’agit de cogner sur les fraudeurs à la petite semaine, et en aucun cas les escrocs chevronnés, qui changent d’identité comme de chemise. Pour combler le trou de la Sécu, il va falloir trouver autre chose…

    Patrick Cousteau

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 27 mars 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.
    Des réseaux criminels à l’assaut de nos allocs! Faire des économies ? Chiche !

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  • La dénaturation du mariage a fait passer des non-militants aux actes

    Le Monde consacre un reportage aux électeurs de Sucy-en-Brie. Ils avaient voté Nicolas Sarkozy, lors de l'élection présidentielle de 2012, car ils votent traditionnellement à droite. La victoire de François Hollande les a laissés attentistes. Sauf que, avec le projet de loi Taubira les pousse à l'action. Là, il n'est plus question d'opinion politique, d'option économique, mais de convictions morales.

    Avant cela, François Hollande les laissait plutôt apathiques. Son entêtement à faire passer cette loi inique les a réveillés. En outre, l'UMP ne profite pas de ce regain de militantisme. Ils regrettent les tentatives de récupération de la Manif pour tous par l'UMP. Gérald Darmanin, élu UMP de Tourcoing,  déclare :

    "Il y a un rejet total de la gauche et pas d'adhésion à la droite".

    Un autre élu UMP estime : 

    "Pour les municipales et les régionales, le vrai problème, c'est le Front national." "La base des militants est chauffée à blanc pour des alliances avec le FN et je ne vois pas qui pourra empêcher ça ".

    M. Gosselin voit des militants qui lui demandent chaque jour "d'être plus offensif, de tirer dans le tas".

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Bruxelles vole les Chypriotes – par Marc Noé

    Le plan dit « de sauvetage » qui vient d’être signé entre Chypre et l'Eurogroupe lundi va entrainer des sacrifices importants de la part des banques de l'île mais aussi de leurs plus gros déposants parmi lesquels figurent de « nombreux étrangers ». Comme si cette expression prenait tout à coup des allures de suspicion tout en servant d’excuse fallacieuse pour camoufler un vol planifié.
    Pour temporiser, l'Eurogroupe assure que les détenteurs de dépôts bancaires de moins de 100 000 euros (pour un total de 30 milliards d'euros) seront épargnés. Pour les eurocrates, au-delà de cette somme, un Chypriote est donc considéré comme un « riche » ! Pour travestir la manipulation, il n'est désormais plus question de « taxe sur les dépôts », mais de « perte contrainte et forcée » sur les comptes de plus de 100 000 euros. Question de vocabulaire… et d’hypocrisie ! La ponction ainsi opérée sur ces «gros comptes» dans les deux principales banques du pays devrait favoriser l’extorsion de 4,2 milliards d'euros.¢
    Dans ce montage frauduleux, la « Bank of Cyprus », première banque du pays, sera « sauvée » par la recapitalisation opérée à leur corps défendant par les détenteurs de comptes supérieur à 100 000 euros. Ceux-ci se verront alors amputés de 30 à 40% de leur épargne qu’ils seront ensuite « autorisés » à récupérer. Quelle délicatesse ! On parle bien d’argent privé ici. S’accaparer le bien d’autrui sans son consentement, c’est bien du vol… non ?
    Quant à la « Laiki Bank », la seconde de l’île, elle est maintenant purement et simplement mise en faillite. Les comptes inférieurs à 100 000 euros et les prêts de la Banque centrale européenne (pour un montant de 9 milliards d'euros) sont appelés à former la partie saine de la banque, la « good bank », qui sera, elle, intégrée à la « Bank of Cyprus ». Le reste est mis en liquidation. Les déposants n’auront plus que leurs yeux pour pleurer avec le maigre reliquat qui leur reviendra. « Que le Peuple s’amuse ! » Un Peuple qui n’est pourtant absolument pas fautif ni responsable des errements de ses « dirigeants ».
    Bruxelles joue ici sur du velours. Le Parlement de Nicosie ayant voté, vendredi dernier, une loi sur les faillites bancaires, l'accord de Bruxelles n'a plus besoin d'être approuvé… démocratiquement.
    Mais le diktat de l’Eurogroupe ne s’arrête pas là : privatisations, hausse de l'impôt sur les sociétés dans une fourchette de 10 % à 12,5 %... Tout cela sera précisé dans un « protocole » prévu pour le mois d’avril prochain. C’en est fini du caractère attractif pour les capitaux étrangers.
    Les Chypriotes n’ont pas fini d’en baver et les européistes s’en moquent. À moins que…¢
    © Marc NOÉ pour FPI-Le Gaulois
    Ancien Maire-Conseiller Général de Seine-et-Marne
    FPI-Le Gaulois

  • L’éternel problème du lien de cause à effet

    [L'Etat a voulu rembourser à 100% avortement et « pilule ». On parle de plus en plus des effets néfastes de cette dernière sur la santé des femmes. L'occasion pour CI de passer cette tribune libre de Christine Dol, à propos de l'irresponsabilité. ]

    La jeune fille vient voir son « petit-ami » pour lui annoncer qu’ils ont un problème. « Bim », elle est enceinte. « Comment est-ce arrivé ? » rétorque spontanément le jeune homme.
    Une question se pose alors : est-il bête ou le fait-il exprès ? Ni l’un ni l’autre : son esprit n’est tout simplement pas au courant des réalités de la vie, il n’est pas élevé, pas éduqué. Dans le domaine de l’enfantement, il est souvent admis que les femmes ont davantage de logique ; cela peut s’expliquer biologiquement, et non intellectuellement. En effet, lorsqu’une fille « s’accouple naturellement » avec un homme, elle a conscience d’une possible procréation. Mais cette idée disparaît de son esprit quand elle a recours aux contraceptifs. C’est alors qu’on peut l’entendre, elle aussi, s’écrier : « comment est-ce arrivé ? » De même, nous nous demandons si elle est bête ou si elle le fait exprès, car la réponse reste tout aussi évidente. Au final, nous avons affaire à des cerveaux déconnectés du réel.

     Ce genre d’historiette quotidienne révèle un problème bien plus grave qu’un enfant surprise.
    Les êtres humains d’aujourd’hui ne semblent plus voir le lien entre la cause et l’effet, entre l’acte et la conséquence ; ils ne voient plus le monde avec son ordre et sa logique.
    Cette absurdité peut pousser un individu à se jeter d’un immeuble parce qu’il veut arriver plus vite en bas, et à être révolté de constater que son corps est amoché… Ainsi, la bêtise n’est pas dans son action mais dans sa tête.

     La journaliste Natacha Polony aborde ce sujet à travers son expérience dans l’éducation nationale en tant que professeur de français. Elle raconte que sur un groupe de 60 élèves de seconde, il y en avait 50 incapables de distinguer la cause de la conséquence dans une phrase (in Nos enfants gâchés). Cela ne concerne pas le domaine de la connaissance grammaticale mais bien du bon-sens, de la simple logique universelle.

     On se plaint souvent de l’inutilité pratique des matières littéraires. C’est oublier que celles-ci forment les esprits à connaître les réalités concrètes de la vie. Dans leur vie quotidienne, si ces « jeunes » – et moins jeunes – ne savent pas faire la différence cause/conséquence (ne serait-ce que répondre à la question : « qu’est-ce qui arrive en premier : la cause ou la conséquence ??? » tic tac, tic, tac..), ils ne pourront pas être responsables. Ils ne pourront pas agir selon un but, car ne verront pas les moyens logiques pour y parvenir. Ils n’arriveront pas à assumer les conséquences de leurs actes, car ne les comprendront pas… Un adage nous dit « dans le doute, s’abstenir »…

    Il est tout de même bien malheureux de faire de nos enfants des barbares…

     De même, les jeunes filles qui se plaignent, se scandalisent ou portent plainte parce que leur pilule leur cause des soucis de santé ou de fertilité ont agi avec une ignorance coupable. Elle sont en grande partie responsables des conséquences de la prise de ces « médicaments ».

     Notre État, qui n’en est plus un, souhaite donc encourager l’irresponsabilité en débranchant les cerveaux des citoyens, que ce soit par le biais de l’Éducation nationale ou par celui des lois. Qui pensait que la démocratie moderne avait ouvert la voie à la liberté ? Liberté des mœurs, sans doute ; mais pas celle de la réflexion : c’est dommage, c’est pourtant elle qui nous différencie des animaux.

     Oui, l’individualisme et le culte de l’envie sont coupables de la bêtise sociétale actuelle, mais le manque d’esprit logique est un mal supérieur. Il faut donc sauver la véritable intelligence, la faire fonctionner activement, très activement, sans chercher orgueilleusement à inventer des nouveaux concepts philosophiques.. De là découle la liberté.

    Christine Dol http://www.contre-info.com

  • Mélenchon contre les « tyrans médiatiques » et surtout les « blonds aux yeux bleus

    Tribune libre de Claude Lorne.

    Mémorable empoignade le 26 mars au journal matinal de France Inter entre le journaliste-animateur Patrick Cohen et Jean-Luc Mélenchon, invité du jour après sa sortie du samedi précédent, lors du congrès du Parti de gauche à Bordeaux, où il avait accusé le « salopard », Pierre Moscovici; de se comporter comme « quelqu’un qui ne pense pas français, qui pense dans la langue de la finance internationale ».

    Judaïsme et capitalisme sont-ils synonymes ?

    « Un vocabulaire des années 1930 que l’on ne pensait plus entendre de la bouche d’un républicain », s’était aussitôt indigné Harlem Désir, premier secrétaire du Parti socialiste, dans un amalgame hardi et plutôt maladroit entre judaïsme et capitalisme apatride, cependant que le ministre des Finances lui-même, rappelant son père déporté à Auschwitz et refusant de croire à un simple « dérapage », taxait implicitement Mélenchon d’antisémitisme. Ce à quoi l’agresseur-agressé répliquait en affirmant « tout ignorer de la religion du ministre » (de même feu Georges Frêche, président du Conseil régional de Languedoc-Roussillon, avait-il feint d’ignorer les origines de Laurent Fabius auquel il avait attribué « une tête pas très catholique »), avant de proclamer que « si Pierre Moscovici était victime d’antisémitisme », lui-même et le Parti de gauche « seraient au premier rang pour le défendre ».

    Un nouveau tribun du peuple, mais quel peuple ?

    L’incident ayant été de nouveau évoqué longuement sur France Inter par Patrick Cohen – épinglé le 19 mars aux « Bobards d’Or » pour avoir sommé son confrère Frédéric Taddeï de cesser d’inviter des personnalités aussi sulfureuses que Dieudonné ou Alain Soral (1) dans son émission de France 3, Jean-Luc Mélenchon éructa, explosa. Il se déchaîna contre les « curés médiatiques » qui tentent d’imposer leur credo, contre les « tyrans médiatiques » qui se rassemblent éplorés « autour de la momie d’Hessel », le prophète des « Indignés », mais pour lesquels « il faut s’indigner dans le langage de la bonne société, il faut dire prout-prout, parler gentiment » alors que « ce n’est pas comme ça que s’exprime la colère du peuple » : « Les gens en ont par-dessus la tête, ils ont besoin d’avoir des dirigeants qui parlent dru et cru, qui disent les choses comme elles sont. »

    Alors, bravo « Méluche » pour sa lecture attentive, voire son appropriation de La Tyrannie médiatique si efficacement démontée, et flétrie, par Jean-Yves Le Gallou dans son dernier livre ?

    Pas si vite ! Et pas question de se laisser prendre au jeu de dupes que nous jouent Mélenchon et les médias, les seconds permettant par leurs fulminations au premier de s’emparer en toute légitimité de la « fonction tribunicienne », si longtemps exercée par Jean-Marie Le Pen. Quitte à ce qu’un homme politique incarne la révolte populaire contre la Pensée unique en matière économique – et éventuellement la subvertisse – en parlant « dru et cru », mieux vaut que ce soit quelqu’un du sérail, dont la doxa soit impeccable en matière d’antiracisme et de métissage universel, ce qui est finalement l’essentiel pour les maîtres de la « finance internationale » anxieux de dissoudre au plus vite les identités nationales dans le village planétaire.

    La Normandie ou « l’horreur absolue »

    Or, sur ce plan, M. Mélenchon donne toutes garanties. Invité le 24 mars, soit le lendemain même du « scandale bordelais », de l’antenne marocaine Hit Radio, ce natif de Tanger, dont le père et la grand-mère espagnols parlaient arabe et desquels, « tout petit », il avait appris « le sens de l’ouverture », ne racontait-il pas complaisamment comment cela avait été « l’horreur absolue » pour la famille quand elle s’était retrouvée en Normandie, dans ce pays de Caux aux « campagnes extraordinairement arriérées » où « personne ne parlait une langue étrangère » mais où régnait « un alcoolisme épouvantable » ?

    Et l’ultra-cosmopolite Mélenchon d’enfoncer le clou : « Je ne supporte plus de vivre autrement que quand les gens sont mélangés… Je ne pourrais pas vivre dans le Ve ou le VIe arrondissement de Paris. Je ne peux pas survivre quand il n’y a que des blonds aux yeux bleus. »

    Un racisme anti-Blancs digne de BHL

    Vous avez dit racisme viscéral et primaire, digne des rappeurs les plus excités ? Mais, bizarrement, cette déclaration de guerre à la France des clochers (et des monuments aux morts) qui, que l’on sache, est encore majoritaire, n’a fait aucun buzz. Ce qui est d’ailleurs logique puisque cette pétition de principe, si semblable à celle de l’éditocrate Bernard-Henri Lévy dans la première livraison du Globe de Pïerre Bergé (« Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux »), apparaissait tout à fait naturelle et normale aux « curés médiatiques » dans la perspective du « monde à créer » dont le coprésident du Parti de gauche attend l’avènement avec impatience. Sans doute n’en aurait-on même rien su si le précieux site fdesouche.com n’avait mis la vidéo en ligne sur son site (2). On conviendra pourtant que l’assaut est bien plus violent, et ciblé, que celui visant le ministre des Finances. Mais sans doute s’agissait-il, en gonflant la non-affaire Moscovici, de montrer à l’ancien sénateur de l’Essonne que le sentier de son éloquence était balisé.

    Que, blonds ou pas, les derniers résistants du « terroir » ne se fassent donc aucune illusion : ce n’est jamais en leur faveur que s’exprimera le zélateur du « parler dru et cru ».

    Claude Lorne http://www.polemia.com
    27/03/2013

    Notes

    (1) L’offensive du censeur Cohen, vite relayée par Roger-Pol Droit sur le site du Monde, semble avoir réussi : le vendredi 22 mars au soir, les invités de Taddeï étaient Marcela Iakub, Alain Finkielkraut et Daniel Cohn-Bendit.
    (2) http://www.youtube.com/watch?v=3Xsdo4GcClE&feature=player_embedded

  • Crise de la zone euro : Faisons sauter les paradis fiscaux !

     La crise chypriote a révélé au grand jour le statut fiscal particulier de l’île au sein de la zone euro. Mais il n’est pas très différent de celui d’autres pays européens, comme le Luxembourg ou les îles Anglo-Normandes : des aberrations qu’il faudrait purement et simplement abolir.

    Pourquoi fait-on couler Chypre, alors que les autres paradis fiscaux – le Luxembourg ou les petites îles britanniques comme Man et Guernesey – ne sont pas inquiétés ?

    Cette attitude de victime qu’adopte Chypre est assez bête. Si quasiment personne ne va fouiller dans ces enclaves, c’est parce qu’elles ne demandent pas à leurs partenaires européens de les sauver de la faillite.

    Ce n’est pas tout, en revanche, car le cas chypriote est tout de même hallucinant. Jusqu’en 2007, c’est tout juste si l’île collectait des impôts. Dans les années 1990, c’est à Chypre que Slobodan Milosevic est venu cacher les 800 millions de dollars qu’il avait raflés dans les caisses yougoslaves. Ce sont les banques chypriotes qui placent, blanchissent et réinjectent l’argent sale venu de Russie, et notamment les capitaux issus de la spéculation pétrolière. Selon la CIA, l’île participe aussi à la traite de femmes philippines et dominicaines pour leur exploitation sexuelle. Le grand port de Limassol est la capitale des navires qui échappent aux réglementations et dont les activités sont opaques et irresponsables, car ils profitent du pavillon chypriote – qui s’apparente presque à un drapeau pirate.

    Liste noire

    Par ailleurs, l’élite financière maintient, tout comme en Irlande, des relations incestueuses avec la droite politique : c’est le ministre des Finances, Michalis Sarris, qui a cherché à faire ami-ami avec Moscou pour apaiser les blessures des banques ; c’est aussi lui qui, en 2012, était président du conseil d’administration de l’institution financière dont l’état est le plus catastrophique, le groupe Laïki.

    En réalité, Chypre n’est pas un paradis fiscal, si l’on se fie à la définition vague de l’OCDE. Il est vrai que les impôts sont extrêmement bas, condition sine qua non pour être inscrit sur la liste noire. Pourtant, l’île ne répond pas aux deux autres critères nécessaires : l’opacité totale et l’impossibilité pour les pays tiers d’obtenir des informations fiscales.

    D’autres petits détails enlaidissent et fragilisent l’île. Son secteur financier a une ampleur démesurée (les actifs équivalent à 7,1 fois le PIB) – tout comme l’Irlande, dont le sauvetage était aussi lié à la taille de l’économie –, soit le double de la moyenne européenne (où les actifs atteignent 3,5 fois le PIB) et de l’Espagne (3,1), mais le tiers du Luxembourg (21,7).

    Ainsi, Chypre n’est pas un paradis fiscal au strict sens juridique du terme, même si elle n’en n’est pas loin, tout comme le Luxembourg, bien que les deux ne soient plus inscrits sur la liste grise de l’OCDE.

    Le mal chypriote couve

    Le Luxembourg ? Parlons-en. Le Grand-Duché est le pays le plus riche au monde, grâce à 200 banques étrangères et plus de 3.000 milliards d’euros en actifs financiers extraterritoriaux (sur les 20.000 milliards existants dans le monde), qui bénéficient d’un système fiscal extrêmement généreux. La situation actuelle n’est plus aussi paradisiaque que l’ancien régime dont bénéficiaient les entreprises de type “Holding 1929″, qui étaient exemptes de tout impôt et retenue. Toutefois, depuis 2007, certaines sociétés de gestion de patrimoine familial (SPF), qui ne sont redevables à aucun moment de leurs rentes, leur patrimoine ou de la TVA, se voient tout de même prélever quelques retenues et une taxe de 0,25 %. Voilà ce qu’on pourrait appeler les limbes fiscaux.

    Un jour, peut-être que le Luxembourg, la Suisse et les égouts insulaires de Londres (et… de Singapour) contracteront le mal chypriote. Ces territoires couvent déjà la maladie, en un sens. Ainsi, pour éviter de faire appel au contribuable allemand ou espagnol pour les sauver et pour empêcher que les détenteurs de dépôts non garantis ne paient les pots cassés, il y a une solution : dynamiter les limbes fiscaux.

    Comment ? Il faut mettre en œuvre une grande harmonisation fiscale, qui complétera la partie consacrée aux recettes dans le traité budgétaire, dont l’objectif est la maîtrise des dépenses. La stratégie consiste à harmoniser les types d’impôts et les bases imposables en ce qui concerne les taxes sur le capital, mais aussi à mettre en place des tranches plus petites pour l’impôt sur le revenu, éliminer les exceptions à la TVA, harmoniser à la hausse l’impôt sur les sociétés, taxer les bénéfices engrangés dans les limbes fiscaux par les sociétés marchandes étrangères et imposer une taxe progressive sur les transactions financières.

    De telles transformations ne seront pas simples. Au sein de l’UE, les accords fiscaux nécessitent l’unanimité. Ceux qui profitent des limbes fiscaux et tous leurs amis ont un droit de veto. Et ils s’en servent, pour l’instant. Dynamitons aussi ce veto. Faites passer le mot.

    - Article original en espagnol : El País

    - Traduction française : Presseurop

    http://fortune.fdesouche.com

  • Le vrai but du mariage homosexuel : imposer la théorie du Genre (Gender)

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    Mariage homo : Un comité d’accueil attendait Najat Vallaud-Belkacem à Rennes

    RENNES (NOVOpress Breizh) – « On veut du boulot, pas du mariage homo ! », « Hollande, ta loi on n’en veut pas ! » Hier après-midi en gare de Rennes plus de 200 personnes du collectif « La manif pour tous » – parmi lesquelles de nombreux militants identitaires bretons – ont réservé à Najat Vallaud Belkacem un accueil dont elle se souviendra longtemps.

    C’est en effet sous les huées, les sifflets et au milieu d’une grande bousculade que la porte-parole du gouvernement, a pu gagner – au pas de charge et sous forte escorte policière – la voiture qui devait la conduire au Théâtre national de Bretagne, où elle devait prendre la parole, dans le cadre du forum Libération, sur le thème de… la « présidence normale » (!).

    Intervenant, le 15 octobre dernier, au collège André Chêne de Fleury-les-Aubrais, dans le Loiret, la ministre des Droits de la femme s’était fait remarquer en n’hésitant pas à déclarer devant de jeunes élèves de 4ème : « Le mariage pour tous, cela veut dire que pourront se marier des gens qui s’aiment même s’ils sont de même sexe, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent. Ca va permettre plus d’épanouissement, plus de liberté, plus d’égalité dans la société. Il faut comprendre ça comme une avancée. » Ce discours de propagande, tenu devant de jeunes adolescents, avait été filmé par BFMTV. Jugé gênant par la ministre, son service de communication avait, selon cette chaîne, demandé – en vain – la suppression de ce reportage.

    Récemment, la ministre s’est encore illustrée en déclarant, à propos du projet de loi sur le mariage forcé, que « ça ne concerne pas que les sociétés musulmanes, vous voyez. C’est aussi de ce point de vue-là qu’il faut, je pense, arrêter les amalgames ou la stigmatisation : le mariage forcé, ça peut concerner des sociétés catholiques (sic). » Des propos qui avaient sidérés tous ceux qui connaissent la doctrine catholique en matière de mariage, fondée justement sur la liberté du consentement (“Si cette liberté manque, le mariage est invalide”)

    Porte-parole d’un gouvernement dont l’identité de « gauche » ne tient plus que grâce à quelques mesures « sociétales » – mariage gay, salles de shoot etc. – à défaut de pouvoir mettre en place d’authentiques mesures sociales, madame Vallaud Belkacem, qui maîtrise par ailleurs parfaitement la novlangue du Système, semble donc tout à fait à sa place dans cet emploi. Pas certain, toutefois, que ce soit précisément ce qu’attendent aujourd’hui les Français.

    Crédit photo : DR.

    http://fr.novopress.info