Le 27 avril dernier, le gouvernement américain annonçait la création du DGB (Disinformation Governance Board), un organe consultatif rattaché au département de la Sécurité intérieure des États-Unis dont la fonction était de lutter contre les campagnes de désinformation menées depuis l’étranger ou sur le territoire national et qui menaceraient la sécurité de l’État américain.
Mise en pause après moins d’un mois d’activité, cette nouvelle agence d’État illustre la tentation de la surveillance généralisée qui séduit de plus en plus les gouvernements occidentaux.